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chphy · 2 years ago
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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“I only sleep with people I love, which is why I have insomnia.”
— Emilie Autumn
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chphy · 7 years ago
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“Le besoin sexuel est le plus violent de nos appĂ©tits : le dĂ©sir de tous nos dĂ©sirs.”
Un jour, je finirais bien par atteindre quarante ans. Ce n’est pas un cap qui m’effraye ni m’enthousiasme. Je n’attache aucune importance aux Ăąges, aux traces laissĂ©es par le temps, ni Ă  la maturitĂ© qu’il est censĂ© nous apporter. Mais c’est certainement cet horizon qui approche qui m’a motivĂ©e Ă  reprendre la plume.
J’ai toujours aimĂ© comprendre la raison de nos agissements. Je trouve passionnant de savoir ce qui nous pousse Ă  faire des choix plutĂŽt que d’autres et ce qui dĂ©clenche des situations.
Je cherche dans ma mĂ©moire, encore aujourd’hui, ce qui a bien pu m’amener Ă  aimer le sexe « interdit ».
Je suis incapable, le mot n’est pas trop fort, de prendre du plaisir si l’accouplement n’est pas un tant soit peu dĂ©bridĂ©.
S’embrasser langoureusement, laisser nos mains caresser nos peaux, se serrer l’un contre l’autre, tout cela ne m’excite absolument pas. J’ai besoin que des dents mordillent mes lĂšvres pendant un baiser, qu’une main empoigne fortement la peau de mon ventre et qu’on me plaque si fort contre soi que j’en Ă©touffe.
J’ai besoin de voir et d’ĂȘtre vue. Pouvoir observer mon amant dĂ©gustant ma chatte ou sa verge qui entame ses va-et-vient entre mes cuisses. Besoin de savoir qu’il garde ses yeux ouverts et de ne rien lui cacher de mon plaisir.
Les positions sexuelles qui ne nous mettent pas toujours Ă  notre avantage sont, pour moi, d’un Ă©rotisme torride. Je n’ai que faire d’ĂȘtre ridicule, tordue, mon corps malmenĂ© et laissant apparaĂźtre ses imperfections. Au contraire, ces faiblesses, ces dĂ©fauts, ajoutent une puissance sexuelle Ă©norme Ă  mon plaisir.
Je n’ai aucun complexe et amĂšne mon amant Ă  oublier les siens. Nos ventres sont rebondis et parfois flasques, les cuisses s’oublient dans des plis dĂ©licieux. Sur dix orteils il y en a toujours quelques-uns de tordus voire monstrueux, un visage perdu dans un orgasme se confond avec la terreur et l’effroi. Un vagin n’est jamais parfaitement Ă©pilĂ©, les petites lĂšvres pendent parfois ou se colorent de teintes Ă©tranges. Une verge Ă  tendance Ă  se recourber, n’est jamais, au premier coup d’Ɠil, de la bonne taille et une paire de testicule ressemble plus Ă  un vieux lĂ©gume oubliĂ© qu’à un premier choix. C’est, pour moi, ce qui nous rend justement tellement dĂ©sirables !
Je ne parviens pas Ă  jouir de tendresse. Je sais ĂȘtre tendre et j’adore cela, mais je rĂ©serve ces instants pour le quotidien. J’aime dĂ©poser ma tĂȘte contre une Ă©paule, tenir une main ou l’oublier dans une chevelure. J’aime qu’on caresse ma joue ou qu’on m’enlace longuement, comme on berce un enfant mais ces gestes ne provoquent aucun dĂ©sir. La tendresse, c’est la complicitĂ©, l’attachement, l’envie d’ĂȘtre ensemble. Pour que mon bas-ventre s’enflamme j’ai besoin qu’on y ajoute du vice et du culot.
Parfois, je me sens emprisonnée de ces besoins.
Qu’il serait doux, qu’une simple caresse sur mon Ă©paule m’enflamme

Pascal Ă©tait mon officiel, couple Ă©changiste et libre de papillonner chacun de son cĂŽtĂ©, quand je rencontrais F. Nous vivions dans la mĂȘme rĂ©gion, nous connaissions de vue depuis des annĂ©es, avions mĂȘme partagĂ© quelques verres au mariage d’une amie commune. Je connaissais Ă©galement sa femme et je les rangeais dans la catĂ©gorie des couples sacrĂ©s: complices, beaux que rien ne peut Ă©branler. F. venait de divorcer pourtant et il dĂ©couvrait la vie de cĂ©libataire aprĂšs 19 ans de duo. Sur un rĂ©seau social, il me laissait un petit mot disant qu’il aimait bien ma libertĂ© de ton. F. tentait de me draguer, je l’ai su plus tard, mais cela n’y ressemblait absolument pas
 Il m’a toujours plu, physiquement mais Ă©galement ce petit quelque chose qui se dĂ©gageait de lui : une force tranquille, une sĂ©rĂ©nitĂ©, une gentillesse et de la douceur. Je l’invitais Ă  boire un verre et nous passions la soirĂ©e Ă  refaire le monde. Il me plaisait, je lui plaisais. Nous alternions les rendez-vous, chez lui, chez moi et en faisions toujours quelque chose de romantique, des rendez-vous galants. Nous nous faisons beaux, musique d’ambiance, bougies, repas cuisinĂ© avec attention, bouteilles de vin. Il a fallu attendre la 5e rencontre pour que je parvienne Ă  provoquer quelque chose de plus charnelle. Il Ă©tait parti Ă  la cuisine cherche une seconde bouteille de vin, Ă  son retour je lui proposais d’ouvrir cette bouteille pour qu’on la finisse ou de la reposer et qu’on s’envoie en l’air. Il a oubliĂ© la bouteille et je me lançais dans une chevauchĂ©e fantastique sur son canapĂ©. Je sais que je l’ai surpris et il m’avouait, plus tard, qu’aucune femme ne l’avais encore chevauchĂ©. Nous nous attachions l’un Ă  l’autre et F. devenait de plus en plus prĂ©sent dans ma vie. Le fait de vivre dans la mĂȘme rĂ©gion facilitait les visites. Il s'arrĂȘtait me voir aprĂšs son travail, nous nous croisions Ă  une terrasse, une fĂȘte ou simplement dans la rue. Nous nous cĂŽtoyions presque quotidiennement et F. tournait dans ma tĂȘte sans cesse. Je ne lui cachais pas mon couple, lui expliquait sans trop de dĂ©tail que je ne trompais pas mon conjoint et les grandes lignes de notre couple libre. F. m’admirait, incapable de son cĂŽtĂ© de partager sa compagne avec d’autres hommes ou d’aller butiner une autre fleur que la sienne.
Il me faisait envie. Comme si d’ĂȘtre avec lui faisait de moi une autre femme. Cette femme normale, Ă©quilibrĂ©e que je ne savais pas ĂȘtre. Et puis quand nos peaux se collaient, il me laissait absolument tout diriger sans s’effacer pour autant. Il rĂ©agissait instantanĂ©ment Ă  la moindre de mes demandes et s’il devait en ressentir une lĂ©gĂšre gĂȘne ou surprise, elle ne faisait qu’ajouter de l’érotisme Ă  nos Ă©bats. Il posait sur moi un regard Ă©merveillĂ© et ne cachait pas son admiration pour ma dĂ©sinvolture. Curieux de mes appĂ©tits sexuels, il franchissait toutes les portes en tenant ma main. F. me laissait ĂȘtre moi, sans jugement, la fiertĂ© qu’il ressentait Ă  partager mes plaisirs me gonflait d’orgueil.
Avec lui, il me semblait pouvoir harmoniser mes ĂȘtres.J’assumais ma normalitĂ©, simplement heureuse des petits riens de la vie, capable de tenir sa main dans la rue sans me sentir abĂȘtie, rire Ă  ses traits d’esprit sans me trouver puĂ©rile, avoir envie de le voir tout le temps sans craindre une dĂ©pendance, ĂȘtre simplement heureuse de sa prĂ©sence sans me poser mille pourquoi. J’assumais mes particularitĂ©s : l’emmener dans une ruelle et me mettre Ă  nue pour qu’il me prenne sauvagement. Ouvrir sa salopette pour branler sa verge tandis qu’il me racontait sa journĂ©e de travail que je n’écoutais dĂ©jĂ  plus. Le rĂ©veiller par une fellation passionnĂ©e ou prendre sa main et la glisser entre mes cuisses Ă©chauffĂ©es alors que nous partagions un repas. DĂ©couvrir ses yeux s’animer tandis que je lui ordonnais de me baiser plus fort. Sentir sa virilitĂ© irradier alors que je maintenais mes cuisses Ă©cartĂ©es, le suppliant d’enfoncer un quatriĂšme doigt en moi. Il me suivait sans hĂ©siter, quoi que je propose. Écumer les bars et danser n’importe oĂč sur n’importe quel morceau Ă  la con. Rentrer saouls comme des cochons et passer des heures Ă  lui faire dĂ©couvrir mes groupes prĂ©fĂ©rĂ©s, Ă  plein volume. Lui raconter pourquoi la chanson de Craonne me bouleverse, chanter Ă  tue-tĂȘte sur du Boby Lapointe ou encore fondre en larme aprĂšs le douziĂšme morceau de FerrĂ©. Comprendre qu’à passĂ© quarante ans il n’avait jamais pogotĂ© et l’emmener dans un squat tout pourri pour y remĂ©dier. Lui offrir un abonnement Ă  ma galerie d’art chĂ©rie, lui montrer quels sont les artistes qui me touchent et rire de ceux qui m’indiffĂšrent. Me blottir dans ses bras pour lui lire a voix haute les passages d’un bouquin qui m’anime, accueillir avec plaisir sa main dans mes cheveux tandis que les mots nous enveloppent. Apprendre a se parler, Ă  s'Ă©couter. Lui demander d’ĂȘtre lui, vraiment, et pas ce qu’il croit que je veuille qu’il soit. Le voir s’ouvrir, s’épanouir, prendre, la parole et faire des choix pour lui. Me voir m’apaiser, me stabiliser et toucher du doigt cette sĂ©rĂ©nitĂ© tant recherchĂ©e.
J’ai frĂ©quentĂ© F. en Ă©tant en couple avec Pascal pendant prĂšs d’un an. Tout deux savaient et je ne laissais Ă  aucun le droit de me sermonner ou d’instaurer une quelconque jalousie. Pourtant Pascal, du haut de ses belles thĂ©ories libertines, avait du mal avec mon nouvel amant. Avec raison, puisque F. n’était pas Ă  mes yeux, un amant comme un autre. Il m’était frĂ©quent de comparer mes deux hommes, de juger l’un par le comportement de l’autre ou d’envier les attitudes de l’un sur l’autre. Quand j’en pris conscience, il fut Ă©vident qu’il fallait faire un choix. Pascal, F. ou aucun des deux mais cette configuration devenait malsaine, avant tout pour moi, et elle n’apportait rien de beau Ă  mes deux compagnons. C’est Ă  un concert que j’ai pris ma dĂ©cision. Nous nous y rendions avec Pascal, accompagnĂ©s de quelques amis. Au bar bondĂ©, F. posait une main sur mon Ă©paule pour me saluer. Son plaisir sincĂšre de me croiser s’évanouissait quand, par simple Ă©ducation et pour Ă©viter tout quiproquo, je lui prĂ©sentais Pascal. Mes vies se rencontraient et l’impact ne fut pas des plus joli. Tous on fait bonne figure. Bonsoir poli, banalitĂ© quant Ă  la bonne suite de la soirĂ©e, salutations embarrassĂ©es de mes amis qui connaissaient mes deux amants mais qui portaient une plus grande tendresse a F., chacun reprenant ses marques dans cette petite salle, bien trop petite pour pouvoir s’ignorer. J’ai vu F. se dĂ©faire au fil de la soirĂ©e, noyant ses sentiments dans des biĂšres Ă  rĂ©pĂ©tition. J’ai vu Pascal s’enorgueillir d’ĂȘtre celui qui pouvait prendre ma main. J’ai vu les potes de F. me dĂ©cocher des regards noirs. J’ai vu mes amis feindre la dĂ©sinvolture. Je me suis vue Ă©galement. DĂ©complexĂ©e, la situation en elle-mĂȘme ne me posait pas de problĂšme, vraiment. Mais la blessure Ă©vidente de F. me bouleversait, ajoutĂ©e Ă  cela, la fiertĂ© mal placĂ©e de Pascal qui me rĂ©voltait. Son orgueil de mĂąle conquĂ©rant me dĂ©goĂ»tait. J’attendais de lui plus de civilitĂ© et de finesse, voire mĂȘme du respect pour F. Sa rĂ©action basique gĂąchait toute l’admiration que je lui portais. J’ai quittĂ© la soirĂ©e discrĂštement, pour que cette mascarade cesse. Un pote de F. m’arrĂȘtait dans l’escalier et me crachait son dĂ©goĂ»t au visage, posant un jugement implacable sur ma vie. Je me contentais de lui adresser un doigt d’honneur et rentrais chez moi, plus en colĂšre que malheureuse.
Pascal arrivait tard Ă  la maison, enveloppĂ© dans une distance glaciale. Il n’avait pas apprĂ©ciĂ© se voir larguer ainsi et me reprochait d’avoir dĂ» se dĂ©brouiller seul pour rentrer. Je sirotais un verre de rouge, plongĂ©e dans un bouquin et accueillais ses semonces par un « ça va, tu as retrouvĂ© ton chemin tout seul non ? » complĂštement indiffĂ©rente Ă  sa colĂšre ou Ă  la culpabilitĂ© que j’aurais du ressentir. Je voulais rompre. Ces quelques heures seules m’avaient amenĂ©e Ă  cette Ă©vidence: il Ă©tait certain que Pascal devait sortir de ma vie. « Je vais dormir sur le canapĂ© et demain tu reprends toutes tes affaires. Je veux plus vivre comme ça. Je veux plus vivre une soirĂ©e comme celle-lĂ . Je veux plus vivre avec toi. » Ma voix Ă©tait Ă©tonnamment posĂ©e, pourtant tout en moi bouillonnait de peur. De peur oui, de n’ĂȘtre pas crĂ©dible, de n’ĂȘtre pas comprise et de ne pas rĂ©ussir Ă  tenir ma dĂ©cision. Pascal s’est assis calmement Ă  la table de la cuisine, se servant un verre de vin au passage. AprĂšs un long silence, il voulut savoir si j’étais amoureuse de F. Le problĂšme n’était pas lĂ , je ne voulais tout simplement plus me retrouver dans ce genre de situation et Pascal ne saurait jamais ĂȘtre un compagnon normal. Je ne voulais plus d’un couple libre mais bien retrouver ma vie de cĂ©libataire, l’indĂ©pendance et l’équilibre qu’elle m’apportait. Aucune colĂšre en moi, aucune colĂšre en lui. Peu de mots mais de longs silences, de ceux qui font que l’on se comprend, que l’on est d’accord que l’on prend un engagement tacite. Il est venu s’asseoir sur la table basse face Ă  moi et, trinquant son verre au mien, me murmurait dans un sourire que j’allais lui manquer. J’étais soulagĂ©e, apaisĂ©e et lui souris, assurant que lui aussi allait me manquer. C’était vrai, simplement vrai. Pascal allait me manquer, sa prĂ©sence, ses passions, son corps, ses caresses, ses mots, ses idĂ©aux et son mystĂšre mais je me voyais trĂšs bien survivre Ă  ce manque. Il prit ma main dans la sienne et m’attirait Ă  lui pour dĂ©poser un tendre baiser sur mes lĂšvres. Je l’embrassais comme on embrasse un amant pour la derniĂšre fois. Un baiser sensuel mais dĂ©tachĂ©. Nos langues s’emmĂȘlaient langoureusement et la fiĂšvre s’emparait doucement de mes joues. Il me murmurait qu’il dormirait lui sur le canapĂ©, qu’à mon rĂ©veil il ne serait plus lĂ  et qu’il resterait un fantĂŽme. Un fantĂŽme pour mon Ăąme. Un fantĂŽme pour mon cƓur. Mon secret Ă  jamais. Il me demandait de lui adresser quelques pensĂ©es lors de mes caresses solitaires, de lui dĂ©dier des orgasmes et de ne pas l’oublier trop vite. Tandis que ces mots glissaient Ă  mon oreille, ses mains elles se baladaient sur mon corps, dĂ©faisant ma robe de chambre et laissaient ma peau frissonnante. Je cambrais mon torse et offrais la chaleur de mes cuisses, une derniĂšre fois, Ă  mon amant, tremblante du dĂ©sir qu’il me baise comme il savait si bien le faire.
Pascal posait sa main autour de ma gorge et se dĂ©tachait de ma peau pour m’observer. Il me poussait lentement contre le canapĂ© et j’accompagnais ma chute de mes bras sous mes cuisses, lui prĂ©sentant mon intime, impudique et rĂ©clamante. J’adorais qu’il me jauge, me scrute et voir son regard s’illuminer de dĂ©sir pervers. D’une voix douce il m’intimait de me caresser, une derniĂšre fois, pour lui. Je ramenais mes mains sous mes fesses et mes doigts massaient lentement mes grandes lĂšvres. Pascal me murmurait que les effluves de ma mouille l’entĂȘtaient, qu’il ne pourrait jamais oublier mon parfum et je jouais dĂ©licatement sur mon bouton. Sa main enserrant toujours ma gorge, de l’autre il tirait merveilleusement sur mes tĂ©tons, les pinçant fortement jusqu’à m’arracher de petits cris. Quand je glissais deux doigts dans mon sexe trempĂ©, il m’embrassait avec fougue et me noyait de paroles, me promettant une derniĂšre nuit inoubliable, des orgasmes Ă  en crever. Je mĂ©ritais le meilleur de lui, j’avais rĂ©vĂ©lĂ© en lui un pouvoir insoupçonnĂ©, il ne pourrait jamais assez me remercier, il m’aimait, il me dĂ©sirait, il m’admirait. Je gĂ©missais sous ses dĂ©clarations et mes caresses profondes. N’étais plus qu’un corps rĂ©clamant plaisir et jouissance. Pascal agrippait mes joues, plongeant son regard dans le mien et me demandait de lui accorder cette derniĂšre nuit, comme un adieu Ă  lui et au Marquis. Le laisser me faire jouir toute la nuit, Ă  la folie, comme Ă  nos premiĂšres rencontres. Tout en moi acquiesçait, rĂ©clamait ses plaisirs, cet homme et son autoritĂ©. Il m’ordonnait de continuer mes caresses tandis qu’il disparaissait chercher les outils nĂ©cessaires.


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chphy · 7 years ago
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Her eyes and hair are remarkable 

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chphy · 7 years ago
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Un étrange pressentiment de catastrophe
https://www.revmed.ch/RMS/2018/RMS-N-603/Un-etrange-pressentiment-de-catastrophe
“Oui, nous assistons Ă  l’amorce d’une fin, voire aux prĂ©mices d’un effondrement.”(New Scientist)
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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“Chaque jour nous laissons une partie de nous-mĂȘmes en chemin. Tout s'Ă©vanouit autour de nous, figures, parents, concitoyens, les gĂ©nĂ©rations s'Ă©coulent en silence, tout tombe et s'en va, le monde nous Ă©chappe, les illusions se dissipent, nous assistons Ă  la perte de toutes choses. Ce que j'Ă©tais il y a quelques annĂ©es, mes plaisirs, mes sentiments, mes pensĂ©es, je ne le sais plus, le temps a tout emportĂ©.”
— Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel, Journal intime, le 8 octobre 1840
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chphy · 7 years ago
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Yoko Ono: Someone Like You Cover
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chphy · 7 years ago
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Il peggior inganno,
ingannare se stessi.
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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Ferdinand Preiss
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chphy · 7 years ago
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The Mothers of Invention
Dog Meat In the Year Of the Plague
from the lp Uncle Meat
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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chphy · 7 years ago
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