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Les pensées de Rose
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rosepelchat · 5 years ago
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SÉANCE #13
Bilan du cours Médias numériques et société
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https://www.nomai.fr/objet-connecte/internet-des-objets-ido/ 
Nous sommes déjà rendu à la fin de la session d’automne de l’année 2020 et lorsque je prends du recul sur les mes différents cours, j’avoue que plusieurs nouvelles connaissances ont retenu mon attention. Principalement dans la classe de Médias numériques et société : j’ai appris beaucoup de faits pertinents pour ma future carrière. Ce qui m’a surpris le plus c’est de réaliser à quel point l’ère d’Internet, dans laquelle nous vivons, a de l’influence sur plusieurs aspects de la vie quotidienne tout en prenant de l’ampleur en permanence. Le web est un outil non seulement d’information, mais aussi de partage, de communication, de rapprochement, de relations et de valorisation. Mais toute bonne chose a aussi de moins bons côtés et c’est ce qu’on a pu apprendre dans le cours avec les différents chapitres, entre autres, sur les soi-disant pirates informatiques aussi appelés les hackers, le « dark web », la cyberintimidation ou encore la cybersurveillance.
Malgré tout, on peut vraiment dire que les médias numériques et l’ensemble du web ont changé nos vies :  le 12 août 1981, l’entreprise américaine IBM lançait son premier ordinateur personnel et le 6 aout 1991, le premier site Internet voyait le jour dans un laboratoire (Rioux, 2001, paragr. 1). C’est à s’imagine comment avons-nous pu vivre tout ce temps sans cette révolution technologique qui est considérée par plusieurs comme la plus grande invention de tous les temps. Le cours a été extrêmement enrichissant pour une étudiante comme moi, en communication publique, puisqu’il m’a permis de réaliser l’ampleur des médias numériques ainsi que de me questionner quant à l’utilisation  que je fais de ceux-ci. Pour nous les jeunes, tout cela c’est plus un acquis que d’autre chose, puisque nous avons vu leurs évolutions, mais nous avons surtout toujours grandi en leur présence. 
Sur ce, merci monsieur Gadeau pour ce splendide cours très pertinent pour notre présent tellement axé sur la numérisation et tout ce qu’elle comporte.
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rosepelchat · 5 years ago
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SÉANCE #12
Politique 2.0
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https://innovation.engie.com/fr/detail/appel-a-projet/appel-a-projets--solutions-digitales-de-concertation-citoyenne/10389
Aujourd’hui, avec l’Internet, les communications se déroulent de plus en plus rapidement et tous ont quelque chose à dire en lien avec un certain sujet. Plusieurs sphères de la vie ont été transformées à cause de ce phénomène technologique dont la politique. 
Maintenant les citoyens jouent un rôle encore plus important dans une société démocratique et c’est grâce à la participation citoyenne. Pour qu’elle ait lieu, il faut avant tout que les autorités rendent disponible un message et diffusent au grand public des informations pertinentes à son intention (Boudreau, Caron : 2016, p.158). Avant la popularité du web, l’État ne s’attendait pas à devoir analyser les réactions de son peuple sur ce qu’elle avait diffusé, puisque la participation politique de la société était au minimum : les gens se limitaient à assimiler les données transmises (Boudreau, Caron : 2016, p.159). Peu à peu, l’Internet a permis une communication à plus grande échelle tout en ayant la possibilité de prendre le pouls des concitoyens et de mieux réagir à leurs différents états d’âme face à une situation (Boudreau, Caron : 2016, p.159). En plus d’un coût relativement plus bas, les gouvernements peuvent maintenant intercepter plus facilement des situations compromettantes à leur égard en lisant tout simplement les commentaires des gens sur un statut publié sur Facebook.
 Pour les Québécois et les Québécoises, collaborer à la vie politique s’avère très stimulant et je peux en convenir ainsi puisque moi-même j’y participe activement en tant que citoyenne sur nos réseaux sociaux. Je trouve cela intéressant de voir les différents points de vue s’étayer dans les commentaires et se confronter dans les réponses. En tant qu’étudiante en communication publique, c’est vraiment pertinent de faire partie de ces échanges surtout lorsqu’on a l’âge de voter ! 
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rosepelchat · 5 years ago
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SÉANCE #08
La confiance aveugle des jeunes envers Internet
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https://www.proximus.be/fr/id_b_cr_facebook_privacy/particuliers/blog/news/le-bon-conseil-de/facebook-vie-privee.html
L’âge légal pour posséder un compte Facebook est de 13 ans. Cela veut dire qu’à partir de ce moment, tous les jeunes peuvent naviguer librement sur l’ensemble du web et exposer les différents aspects de leur vie privée sur les médias sociaux, souvent sans que les parents le sachent. Il n’est pas rare de voir des profils inondés de photos d’anniversaire peu flatteuses et de vidéos de la dernière soirée allumée entre amis. Les jeunes semblent publier ces moments de leur quotidien sans aucune inquiétude quant à qui aura accès à ce contenu. On y retrouve même certaines informations qui peuvent être compromettantes, bref ça peut aller loin. Brian Beamish, le vice-commissaire à la protection de la vie privée en Ontario a dit en entrevue avec le Journal Le Soleil : « Les gens doivent réaliser que dès qu'ils mettent quelque chose sur les réseaux sociaux, ils perdent le contrôle sur ce contenu. L'idée que ça peut être privé n'est certainement pas garantie » (Auger : 2013, p.1).
On remarque donc une confiance aveugle qui se créer dans la tête de nos jeunes. C’est à se demander, mais qui peut bien s’intéresser à un adolescent de 15 ans vivant au Québec ? Pourtant comme dans la vie de tous les jours, il y a sur le web, des gens malsains qui ont de mauvaises intentions. Que ce soit par cybersurveillance ou géolocalisation, des utilisateurs en épient d’autres à défaut de leur nuire. Avec notre téléphone intelligent toujours à la portée de nos doigts, il nous suit dans nos moindres déplacements. Adeptes d’une vie branchée, nombreux sont les jeunes qui identifient où ils sont, avec qui et quand, bref qui font part à leur communauté Facebook de leurs déplacements (Auger : 2013, p.2). 
Les jeunes ont une confiance aveugle envers les médias sociaux puisqu’ils veulent être comme les autres, faire comme leurs amis et eux aussi montrer qu’ils y étaient à cette fête super cool. Mais exposer ces détails sur l’Internet c’est comme les lancer dans un grand nuage sur lequel on n’a plus aucun contrôle. L’information se perd dans le monde électronique, qu’on la supprime ou non, elle y reste toujours et c’est à nos risques et périls.
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rosepelchat · 5 years ago
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SÉANCE #06
NOAH : Quand fiction devient réalité
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https://portiaem.wixsite.com/website/single-post/2017/07/09/Relationships-in-the-21st-Century
L’écoute du court-métrage de Patrick Cederber, intitulé NOAH (Cederber : 2013) pour la rédaction de ce billet de blogue a été particulièrement intéressante. De façon immersive, en tant que spectateur, on devient Noah, le personnage principal, en étant derrière son écran d’ordinateur portable. On voit ce qu’il voit, on entend ce qu’il entend, on suit ses moindres faits et gestes comme si on était lui. Pareillement à la majorité des adolescents, Noah entretient une relation étroitement serrée avec sa vie sociale et « en ligne ». Mais cette relation semble bien affecter sa « vraie vie ». Les interactions qu’il a avec sa copine Amy, lors d’un appel sur la plateforme Skype,  sont assez brèves, sans sentiments : il ne lui porte peu sinon aucune attention. Je trouve que ses réponses étaient programmées selon ce qui est socialement acceptable : rire, hocher de la tête, dire oui ou non à un moment planifié. Son regard, que l’on suit de près, ne peut se concentrer sur un point fixe qui dans ce cas est Amy, il est constamment dérangé par d’autres choses : un lien qui apparait, une animation web, un message qui rentre… Cette scène prouve bien à quel point la communication est différente en ligne versus hors-ligne. C’est beaucoup moins fluide, plus figé et surtout moins naturel.
La dernière scène du court-métrage est particulièrement intéressante : Noah discute en ligne par rencontre vidéo avec une inconnue. Toute son attention est entièrement dirigée sur elle et la conversation qui se déroule. Sa vie « en ligne » vient de prendre une tournure intéressante et surtout différente de son quotidien. La nouveauté évoque clairement l’attention et la curiosité. C’est à se demander si maintenant pour avoir un échange profond avec quelqu’un, il faut uniquement se mettre à discuter sur le web avec des gens qu’on ne connaît pas. La routine de le faire avec notre entourage est bien moins excitante. Dans ce cas, il arrive que l’individu (Noah) en vienne « à prioriser les cyberrelations plutôt que de mettre l’accent sur les relations sociales et familiales présentes dans la vie réelle. » (Sergeri : 2019, p.1). Et c’est bien dommage, en fin de compte !
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rosepelchat · 5 years ago
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SÉANCE #05
La cyberintimidation : fléau poison caché derrière un écran
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 https://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201503/07/01-4850117-les-travaux-du-comite-sur-la-cyberintimidation-sont-lances.php 
En tant que jeune étudiante, consommatrice d’Internet et adepte de réseaux sociaux, je suis capable de dire, sans généraliser, que le fléau de la cyberintimidation se vit tous les jours et derrière les écrans de tout le monde. Avant tout, pour donner une définition plus formelle, la cyberintimidation « se produit lorsqu’un enfant ou un adolescent devient la cible des agissements d’autres personnes, au moyen d’ordinateurs, de téléphones cellulaires (…) et le but est de l’embarrasser, de l’humilier, de le tourmenter, de le menacer ou de le harceler » (Sécurité publique Canada, 2018 : p.1). J’avoue être bien d’accord avec ces propos, mais j’ajouterais toute la facilité que les gens ont cachée derrière leurs écrans à tenir des propos haineux envers d’autres. Ils se sentent invincibles puisque toutes les barrières du face-à-face sont tombées.
Aujourd’hui, avec la multitude de réseaux sociaux existants, je pense que la cyberintimidation a pris de l’ampleur et les gens qui la causent ont probablement modifié leur manière d’approche. Puisque la majorité des utilisateurs ont un profil public sur une plateforme sociale : profil exposant leurs journées, leurs voyages, leurs activités, il est devenu plus facile de cibler les victimes. En jouant sur l’importance de l’apparence et du nombre d’abonnés, les commentaires haineux sont doublement plus exposés qu’il y a quelques années, selon moi. Juste en 2016, une étude de Statistique Canada a conclu que « 17% des utilisateurs d’internet de 15 à 29 ans ont déclaré avoir été victimes de cyberintimidation (…) au cours des cinq années précédentes » (La Tribune : 2016, p.1). Pour l’instant aucune étude officielle n’a été sortie dernièrement. C’est en effet un phénomène nouveau qui va prendre de l’ampleur et qui a une évolution sinueuse à suivre.
En tant que femme maintenant, je peux dire que oui, nous sommes probablement plus visées par ce mal du web parce que nous portons une plus grande importance à la manière dont les gens nous perçoivent. Quoique c’est la même chose pour certains hommes, mais par expérience et par connaissance, je suis assurée que la gent féminine est plus à risque. C’est le devoir de tous les usagers d’Internet de dénoncer cette forme d’intimidation qui fait des ravages quotidiens.
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