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C’est que de l’amour
Comédie dramatique - Patrick Sébastien Ezequiel Lavezzi (Gérard Vives) est un footballeur qui a tout pour être heureux : la puissance, la gloire, l'argent et des tatouages idiots.

Une petite olive ça ne se refuse jamais.
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Laurent Courtois, un des plus grands talents passés par le centre de formation de l'OL, revient sur sa carrière et sa reconversion dans la formation.
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Man vs. Machine
Germany’s 7-1 win was instantly as legendary as many World Cup finals. If it wins the title, it will be remembered in the same breath as the best teams ever to play in this tournament, because you do not beat Brazil in Brazil by six goals en route to a world championship and still get dinged for drawing with Ghana. An Argentina win, meanwhile, not only gives the nation a schadenfreude-laced World Cup championship on the home turf of its continental rival. It also puts Messi beyond even the shoutiest pundit’s efforts to keep him out of the greatest-of-all-time debate. And that’s what we’re playing for on Sunday. Validation for the best team in the tournament or validation for the best player in the world. In a sense, it’s perfect. Germany has the better squad, Argentina has the best player.
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Jorge Valdano a un jour théorisé le renouvellement des générations appliqué au football : « Qui était ce dénommé Raúl pour se permettre subitement de retirer à Butragueño son maillot du Real Madrid, ses titres dans les journaux et sa place dans le cœur des gens ? Facile. Raúl, c'était le temps qui passe. » D'où vient alors ce sentiment de tristesse qui s'empare de l'amateur de football au moment de voir Pirlo, Buffon, Xavi, Casillas, Xavi, Eto'o, etc, quitter le pays tropical dès la phase de poules ? D'abord parce que les savoir en si grande difficulté au Brésil fut particulièrement dur à vivre, tant « courir est dégradant, et le faire sous les tropiques encore plus », comme l'écrit l'écrivain mexicain Juan Villoro. Lequel rappelle également que le football, avant d'être un sport, est un « état d'âme ». C'est pourquoi quitter tous ces hommes d'un coup est un chagrin. C'est le même chagrin que celui qui s'abat sur la famille qui, après un divorce ou un décès, doit laisser une maison derrière elle. Après l'avoir époussetée, nettoyée, rangée, vidée, laissée libre pour les occupants suivants. Ce qu'il reste dedans : des souvenirs. Une malle pleine de gens.
So Foot
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Le groupe vit bien
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Il y a quelques années, Evra éclairait ce concept en disant que l’homme se compromet, se salit, assume et repart au combat quand l’enfant - ou le joueur d’Arsenal - rentre le maillot dans le short et joue pour plaire aux filles. Surtout, l’homme ne dit rien sur Knysna, même quand il se consume de voir ses mérites reconnus. Depuis quatre semaines, tous les joueurs sont passés à confesse - façon de parler - dans les médias, sauf l’arrière gauche mancunien. A la longue, ça lui donne une aura mystérieuse, celle d’un type qui vit sa Coupe du monde comme un chevrier mutique parti pour un mois d’estive : on sait son aura dans le vestiaire réelle.
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So why do you smile when you think about Dacourt ?
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