#Mes proches vous le diront...
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kiffa-australis · 11 days ago
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Se noyer dans le contexte
C’est bien beau d’avoir un règlement fonctionnel , tout beau, tout bien mis en page mais sans son sacro-saint contexte, un forum rpg n’est rien.
Les contextes, il y en a pour tous les goûts : longs ou court, fourni ou soft, inspiré ou non, ... En attendant, cela reste un des arguments de vente de votre forum et il vaut mieux qu’il te se tienne.
Certains vous diront qu’il est le seul qui compte , que finalement le design, ça ne sert à rien . Cela va même parfois avec une petite remarque sur ces gens qui ne choisissent leur forum que sur le design alors qu’elle, Hectoriette, ne choisit ses forums que sur le contexte. Spoiler, Hectoriette ne s’inscrivant jamais sur un forum à fond vert pomme, police en Mistral blanc 10pt et une bannière pixelisée aux photos déformées, pour elle aussi, le design, ça compte. Je vois d’ailleurs dans cette réaction un espèce de mépris de classe, servant à discréditer des débutants ou des gens moins habiles de leur plume, surtout si on prend compte que pour diverses raisons qu’on abordera ultérieurement, les designs tendent à se standardiser.
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Suivez moi donc dans cette petite review non exhaustive, probablement pleine de lapalissades
Ces derniers temps, je classe les forums en deux catégories :
Les forums avec contexte «light» (attention, je n’ai pas dis simple) pour deux raisons principales :
C’est le but , jouer sans prise de tête avec un contexte facile en prise ne main. Quand vous vous inscrivez sur un forum city, c’est rarement pour vous prendre le chou avec quinze annexes. De toute façon, si vous êtes chercheur de petite bêtes comme moi, vous irez glaner les infos au fur et à mesure avec votre moteur de recherche. (Oui, j’ai déjà cherché le prix d’une pomme en automne 1895 à Paris pour les besoins d’un rp) (et oui, j’ai trouvé).
Dans ce cas, le contexte donne plus un vague cadre (par exemple Stockholm, janvier 2025), un prétexte pour faire vivre des personnages avec un background parfois digne un personnage de soap opéra et faire subir sa schadenfreunde sur des gens imaginaires (martyriser ses persos, c’est le bien, toi même tu sais.). Ce genre de forum a l’immense avantage de pouvoir recaser au prix de quelques adaptations des personnages parti trop tôt dans la fermeture d’un forum précédent ou un fin d’aventure pour d’autres raisons dans un autre. Pour ma part, c’est ce que je recherche dans ce style de forum : un cadre simple pour y jouer mes personnages madeleines, souvent en traînant un.e copain.ine .
C’est un forum à contexte évolutif. On part d’une situation de base qui va évoluer au fur et à mesures des actions des joueurs . Ce sont soit des forums à mystère (enquête digne d’un Hercule Poirot, ambiance proche de ce que proposait la série Anthracite, etc) soit des forums à huis clos , qui ont certes une part d’enquête mais en plus un contexte légèrement plus fournis, notamment augmenté d’annexe pour accompagner le joueur dans la prise en main. Soit vous êtes là depuis le début de manière plus ou moins assidue , soit vous arrivez en cours de route et, dans l’idéal, de courts résumés des événements vous sont fournis en plus du contexte.
Les forums avec contexte très fournis . Là aussi, on distingue plusieurs cas de figures :
Les forums «fanfiction» , dont une partie du contexte est là pour exposer à un potentiel novice ce qu’il doit savoir de l’univers et pour les autres, ce qui diverge (parce que vous allez rarement jouer exactement les mêmes aventures)
Les forums historiquement poussés . Là, le contexte permet surtout de clarifier les différentes périodes, le parti pris et de centraliser les ressources.
Les forums fantasy/ fantastique qui peuvent amener des dizaines et des dizaines de spécificité (on vous voit , la secte des adorateurs de Tolkien)
Les forums «politiques / guerre de pouvoir» où la majorité de l’annexe sert à comprendre qui est avec qui, qui est contre et qui et quels intérêts le futur personnage devra défendre
Je me trompe peut être, mais il n’existe plus vraiment dans le paysage rpgique actuel de contexte «entre deux» (mais je ne me targue pas de tout connaître, bien au contraire), des forums fantasy avec des contexte peut être plus light par exemple, ou des forums fantastiques dont le trust se résume dans trois petits sujets d’annexes. J’imagine que c’est une question d’offre et de demande , qui fait que le «milieu» est souvent voué à disparaître .
Et si on réfléchissait sur la construction d’un contexte ?
Un contexte réunit les connaissances communes aux joueurs (et à leur personnages). Il doit donc être lu et compris par tout à chacun. En tant qu’administrateur, vous êtes garant de sa cohérence, même si le contexte peut être participatifs à une certaine échelle.
Une chose est à prendre en compte et c’est pas toujours facile :
Ce qui est absolument évident pour vous ne l’est pas forcément pour votre (futur.e) joueur.se .
Vous, en tant que Maitre de Jeu, vous êtes omniscient et vous allez devoir passer de l’information et réfléchir à ce qui va dans le contexte et ce qui va dans les annexes. Les différent éléments de contexte que vous allez devoir transmettre vont se classer en quatre catégories (comment ça , encore ?!)
Ce qui doit absolument être su : Sans ces informations, la personne ne pigera rien au contexte et passera à côté. Ces informations doivent absolument apparaître dans le contexte et être pimpée au maximum.
Ce que le.a joueur.se doit savoir : Une petite (j’insiste) liste des informations indispensables, notamment pour la création du personnage et de son histoire. Ces connaissances peuvent aussi différer, selon les choix, d’un.e joueur.se à l’autre. Si vous jouez un barbare dans un univers fantasy, sans présumé des capacités intellectuelles de votre barbare, il y a de très fortes chances qu’il n’y comprenne rien à la magie arcanique.
Ce que le personnage doit savoir : C’est différent de la catégorie précédente. Il y a forcément des informations que le personnage sait mais tant que ça n’intervient pas dans un rp, que le.a joueur.se le sache ne change rien . Exemple concret : Votre personnage est allé à l’école dans son histoire , il en connaît donc plus ou moins le fonctionnement (quoi que, si ça fait vingt ans, y’a prescription). Mais en tant que joueur.se, à moins de convoquer des souvenirs scolaires ou d’avoir des connaissances du personnage qui y vont, vous n’avez pas besoin connaître ledit système sur le bout des doigts.
Le reste : A convoquer dans des situations très spécifiques ou à moins d’avoir un personnage intello, ça ne servira pas .
Lors de sa rédaction, vous allez classer (et je vous conseille les listes) toutes les informations que vous souhaitez voir apparaître dans ces catégories pour ainsi anticiper vos futurs rédactions.
Ces listes ne sont pas immuables et les éléments peuvent naviguer d’une catégorie , pendant l’écriture mais aussi au fil de l’avancée de l’intrigue. Par exemple, l’existence des dragons dans votre univers peuvent tenir de la légende urbaine et n’être disponible que pour quelques initiés , jusqu’à ce qu’une des bestioles atterrisse en plein Jardin du Luxembourg sous le regard des caméras.
Pour faire simple, ce que vous allez classer dans 1 et un peu 2 ira dans le contexte . Le reste, zou, dans les annexes.
Et c’est là que mes annexes ressemblent à une encyclopédie en quinze volumes.
Attention . Une annexe n’est pas destinée à être lue dans son intégralité. Au contraire, on doit pouvoir y chercher facilement une information . Abusez et sur abusez des sommaires et liens . Vous parlez d’un groupe d’intérêt ou de la monnaie dans votre texte ? Pouf, lien vers l’annexe qui détaille la question. L’idée, c’est de faire se balader votre lecteur dans vos annexes à la manière d’un wiki.
Contrairement au contexte qui demande un minimum de rédaction (parce que ça fait parti de la vitrine) , une annexe se doit être fonctionnelle. Oubliez Marcel Proust et faite simple.
Dernière chose, faites appel à plusieurs bêtas lecteurs extérieurs . Si vous n’avez pas de victime consentante sous la main, nombre de discords et de forums d’entraide vous propose ce service ou un échange de bon procédé.
Votre alliée : la présentation
Pour vérifier si votre futur.e joueur.se a compris le principal , aidez vous de la présentation (oui, elle ne sert aussi à ça).
Un système bien pratique que je vois de plus en plus échange la partie «histoire» de la fiche contre un questionnaire à remplir pour avoir le ressenti du personnage sur différents points du contexte.
Cela permettra de bloquer simplement les malotrus (oui ça existe) qui ont décidé qu’ils s’inscriraient sans lire le contexte et sans jamais consulter les annexes
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Merci d'être arrivé.e jusqu'au bout de ce second post issu du bazar qui me sert de cerveau.
Les commentaires d'accord ou pas sont acceptés mais je me réserve le droit de squeezer toute personne qui ne ferait pas ça dans les règles de l'art, notamment si vous n'avez visiblement pas lu jusqu’au bout. Ce message est vraiment là au cas où, j'y crois pas trop mais bon.
Ave atque vale ! 🦉
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gerard-menjoui · 1 year ago
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Bonne année
Hello par ici
Ca fait quelques temps que j'ai pas posté (et je vais m'expliquer à ce sujet) mais je voulais quand même vous souhaiter une bonne année 2024 (en retard)
J'espère sincèrement que cette année ne vous apportera que des bonnes choses !
Pour ma part, les fêtes se sont très mal passées à la fois dans ma vie de rpgiste (c'est pas un mot mais osef) et dans ma vie perso.
Beaucoup de choses qui m'ont fait remettre pas mal de choses en question (certains diront bien "il était temps" sûrement) et j'ai besoin d'un peu de temps pour m'en remettre.
Oui ça peut vous paraître ridicule de lire ça mais certaines choses m'ont énormément atteint et je prends doucement mon temps pour process tout ce qu'il y a à process, si j'y arrive.
En tant que personne sur le spectre de l'autisme, certaines interactions sociales sont assez dure à décoder pour moi et je me retrouve souvent dans le flou complet (comme maintenant haha so much fun on adore)
Tout ça pour vous dire que je ne disparais pas, que je répondrai le plus vite possible aux quelques commandes que j'ai reçu parce que vos persos ont l'air OUFISSIMES et que vos mots sont clairement des rayons de soleil dans mes journées -surtout en ce moment avec la neige et tout-
Bref,
Prenez soin de vous et de vos proches !
Encore une excellente année
Gégé
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ousontlesfemmes · 10 months ago
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Lady Jane Grey (1537-1554)
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Si vous suivez l’actualité des séries, vous aurez vu passer les news sur la série My Lady Jane, adaptation du roman éponyme de Jodi Meadows, Brodi Ashton et Cynthia Hand. Mais la vraie Jane Grey a eu un destin plus tragique : on ne l’appelle pas pour rien « La reine des neuf jours »
Ou celle qui n’a régné que neuf jours sur l’Angleterre.
Si je vous demande de me donner des noms de monarques sous la dynastie des Tudors, vous allez me dire Henry VIII et Elizabeth I. Les plus historiophiles me diront : Henry VII, Henry VIII, Edward VII, Mary I et Elizabeth I.
Vous en avez oublié un.
Vous avez oublié Lady Jane Grey.
Figure relativement connue en Angleterre, inconnue au bataillon en France, l’histoire de Jane est une véritable tragédie shakespearienne.
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Jane est le premier enfant et la première fille de Henry Grey, Duc de Suffolk (1517-1554) et de Lady Frances Brandon (1517-1559).
Elle descend de la vieille noblesse anglaise par son père.
Sa mère, quant à elle, est la fille de Charles Brandon (C. 1484-1545) qui a été un ami proche d’Henry VIII (1491-1547) et de Marie Tudor (1496-1533), la sœur d’Henry, laquelle mériterait elle aussi son petit article.
Notre Jane est donc une petite-nièce du roi d’Angleterre et une cousine des futurs Edward VI, Mary I et Elizabeth I.
Elle naît vers 1537 à Bradgate, non loin de Leicester.
Jane s’avère être une enfant précoce, scolaire, qui aime les études. Elle est élevée dans la foi protestante. Vers ses 10 ans, elle est confiée à la reine Catherine Parr (1512-1548), la veuve d’Henry VIII, laquelle s’occupe déjà de l’éducation de sa belle fille, la future Elizabeth I (1533-1603), pour laquelle elle a une profonde affection.
L’enfance de Jane n’est guère heureuse : sa mère est une mère abusive et maltraitante. Elle l’insulte, la rabaisse, la frappe, pensant ainsi l’endurcir car sa fille, de nature timide et soumise, l’irrite. Ainsi, malgré ses capacités, la jeune fille se croit idiote et surtout indigne de ses parents, comme elle le confiera à Roger Ascham (1515-1568), le précepteur qu’elle partage avec Elizabeth :
« Quand je me trouve en présence de mon père ou de ma mère, si je parle, me tais, m’assois, suis debout, pars, mange, bois, me réjouis ou m’attriste, couds, joue, danse, fais n’importe quelle chose, il faut que je l’entreprenne comme si la tâche était d’une importance infinie et que je l’achève à la perfection avec laquelle Dieu a créé le monde ; sinon, ils me raillent sans merci, ils me menacent cruellement, parfois par la force… pour que je me croie être en enfer. »
Sous l’égide de Catherine Parr, Jane est plus heureuse et reçoit enfin l’affection dont elle a tant besoin.
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Hélas, ces jours heureux ne durent pas et un an après son entrée dans la maison de Catherine, Jane doit lui dire adieu : en effet, la reine douairière, qui s’était remariée à Thomas Seymour, l’oncle d’Edward VII, meurt en mettant au monde son première enfant, une petite Mary, dont on perd la trace après sa deuxième année de vie. Agée de 11 ans, Jane sera le « chief mourner » lors des funérailles : c’est elle qui veillera le corps. Thomas, lui, sera arrêté et exécuté pour trahison.
Jane rentre donc à Bradgate pour y poursuivre sa vie.
On commence à envisager son mariage : Thomas Seymour, du temps où il vivait encore, avait suggéré qu’elle épouse son neveu ! Il semble l’avoir tenue en haute estime : lui proposer la main du roi, dire qu’elle pouvait rester chez lui après le décès de Catherine, ce qui a été annulé suite à son arrestation…
Jane, elle, aimerait bien épouser Edward Seymour (1539-1621), le neveu de Thomas, ce qui ne se fera pas et l’homme épousera, plus tard… Catherine, la plus jeune sœur de Jane !
Frances, la mère de Jane, décide de lui faire épouser Guilford Dudley (1535-1554), pour le plus grand effroi de sa fille qui déteste cette famille. Une bonne petite rouste et le mariage est célébré le 25 mai 1553.
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Sinon, au gouvernement, on se pisse dessus : Edward, le jeune roi, est à l’agonie, rongé par la tuberculose. Il n’est pas marié, il n’a pas d’enfants et selon l’acte de succession instauré par son père, s’il meut sans héritier, la couronne revient à l’aîné de ses sœurs : Mary (1516-1558).
Le souci, c’est que Mary est… catholique !
Pour vous la faire courte parce que l’histoire religieuse sous Henry VIII est un bordel !
Quand Henry VIII accède au trône à 18 ans, l’Angleterre est catholique. Henry est pieux, il défend la foi chrétienne, il rédige des écrits contre l’hérésie, tant est si bien que le pape le considère comme défenseur de la Foi, ce qui est un titre qui pète sa mère quand vous êtes croyant.
Henry est marié à Catherine d’Aragon (1485-1536), la veuve de son frère Arthur, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, Henry ne l’épouse pas tant pour conserver l’alliance entre son pays et les royaumes de Castille et d’Aragon mais parce qu’il est sincèrement amoureux ! Le problème, c’est que des six grossesses qu’ils ont, seuls deux enfants sont nés : le petit Henry, mort à 52 jours de vie et Mary.
Ce qui fait qu’Henry n’a pas d’héritier mâle alors qu’il est la deuxième génération des Tudor, son père ayant gagné la couronne lors de la guerre des Deux Roses qui a mis fin au conflit entre les Lancastre et les York. (Je vous la fais courte, ça aussi, c’est un bordel!). Ca la fout mal.
Selon la Bible, on n’a pas le droit d’épouser la veuve de son frère, sinon on est condamné à ne pas avoir d’enfants. Sauf si le mariage n’a pas été consommé : là, le frère doit prendre sa belle-sœur pour femme. Catherine soutient et soutiendra jusqu’à sa mort qu’elle est arrivée vierge dans les bras d’Henry.
Sauf que pour Henry, l’absence d’enfant, il la traduit par l’absence de fils vivant, surtout que la belle Anne Boleyn (c.1501-1536) commence à lui faire de l’oeil et contrairement à sa sœur Mary Boleyn (C.1499-1543) qui a été la maîtresse du roi, elle refuse de coucher avec lui et de n’être qu’une maîtresse. La bague au doigt sinon rien !
Henry cherche donc à faire annuler son mariage, le Pape refuse (il kiffe Catherine et il n’a pas envie de se mettre son neveu, Charles Quint (excusez du peu), à dos). Du coup, Henry dit au Pape d’aller se faire voir chez les grecs, il fonde sa propre église : l’Anglicanisme, qui est un mélange entre le catholiscime et le protestantisme, dit qu’il est le chef de l’Église dans son pays, il fait annuler son mariage, il épouse Anne qui lui donne Elisabeth, avant de la faire exécuter le 19 mai 1536 pour épouser, dix jours plus tard, Jane Seymour (c.1508-1537) qui lui donnera enfin le garçon tant espéré : Edward.
Sauf que pour annuler les mariages, il a fallu reconnaître qu’ils n’étaient pas légaux, donc dire que ses deux filles étaient des bâtardes.
Vers la fin de sa vie, en signe de réconciliation, Henry crée l’acte de succession, mettant ses filles dans la lignée, si et seulement si leur frère n’a pas d’héritier légitime.
Ca va, vous suivez toujours ?
Du coup, on est en juin 1553, Edward est en train de mourir, il n’a pas d’enfants et si Mary prend le trône, elle qui est une catholique convaincue, elle va tout faire pour remettre l’Angleterre dans le giron de Rome et forcément, le gouvernement ne veut pas ça.
Edward, élevé en protestant, malgré l’amour qu’il a pour sa sœur (et marraine!) ne le veut pas non plus.
Pensant donc protéger son pays, il décrète que c’est sa cousine Jane Grey qui est son héritière puisque ses deux sœurs, Mary et Elizabeth, sont des bâtardes.
Oui, encore une fois.
Le 06 juillet 1553, Edward meurt et le beau-père de Jane, John Dudley : le duc de Nothumberland, la proclame reine. Si Jane l’accepte, elle semble le faire avec énormément de réticence. Elle élit domicile à la Tour de Londres et refuse que l’on appelle son mari « le roi ». Il sera duc de Clarence, c’est déjà pas mal.
Evidemment, Mary n’accepte pas la situation, rallie rapidement ses partisans et aux côtés d’Elizabeth, elle marche sur Londres pour récupérer son trône.
Oui, on dirait un épisode d’House of the Dragon ou de Game of Thrones, c’est normal, George R.R Martin s’est énormément inspiré de cette période de l’Histoire pour écrire son banger qu’est « A Song of Ice and Fire », les livres qui ont crée cet univers.
Malgré ses tentatives, le duc de Nothumberland ne parvient pas à consolider le pouvoir de Jane et neuf jours après son accession au trône, la voilà déchue : les partisans de Mary ont réussi à la priver de ses droits le 19 juillet 1553, soit 9 jours après son arrivée sur le trône d’Angleterre puisqu’on ne lui a annoncé tout cela que le 10 juillet.
Mary est à Londres le 03 août et elle reprend sans efforts ce qu’elle considère être son droit.
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Le 12 novembre 1553, un procès a lieu et Jane est reconnue coupable de haute trahison et condamnée à mourir « brûlée vive ou décapitée, selon le bon plaisir de la reine ». L’ambassadeur d’Espagne rapporte à Charles Quint, cousin de Mary, que sa vie devrait être épargnée. Jane écrit à Mary, s’excuse pour le mal qui lui a été causé, lui relate la vérité des événements. Dans cette lettre, elle se décrit comme une femme aimant son époux. D’ailleurs, Guilford, dans sa cellule, a gravé le prénom de Jane. Est-ce pour elle ou en hommage à sa mère, seul lui le savait.
A la surprise générale, Mary se montre étonnamment bienveillante : elle refuse de punir Jane ! Elle a bien compris que cette pauvre adolescente de 16 ans n’a été qu’un pion sur l’échiquier politique des plus grands. Si elle la garde enfermée, elle refuse de faire exécuter la jeune fille.
Hélas pour Jane, les conseillers de Mary la pressent : son choix est beau, il est noble mais Jane demeure, malgré elle, un point de ralliement pour les protestants. De plus, la rébellion de Sir Thomas Wyatt en 1554 précipite la fin de Jane : Thomas Wyatt voulait renverser Mary, catholique, pour mettre sa sœur Elizabeth sur le trône car protestante. Lors de son exécution, Wyatt démentira la participation de la princesse dans ce complot.
La mort dans l’âme, Mary doit se résoudre à signer les arrêts de mort de Jane et de Guilford.
Le 12 février 1554, Guilford est décapité à la hache. On dit qu’il a fait face à son destin avec courage. De sa fenêtre, Jane aurait murmuré : « Oh, Guilford, Guilford ! ».
Le même jour, Jane monte sur l’échafaud.
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Mary demande à ce que l’exécution ait lieu à Tower Green, une pelouse de la Tour de Londres, loin des yeux curieux, afin qu’elle soit exécutée en petit comité, un honneur généralement réservé aux personnes de sang royal.
Jane prononce ces quelques mots :
« Gens de bien, je viens ici pour mourir, condamnée par la loi au même lot. L’acte contre la majesté était illégitime, comme ma participation : mais ce jour, pour autant que je l’aie désiré et en aie ambitionné l’achèvement, j’en lave les mains, devant Dieu et devant vous, bons chrétiens. »
Elle récite ensuite Miserere mei Deus (psaume 50) en anglais. John Feckenham, un chapelain catholique, lequel n’a pas pu la convertir à la foi de la reine, reste à ses côtés.
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C’est elle qui s’agenouille, qui se bande les yeux mais alors qu’elle cherche, en vain, le billot du bout des doigts, elle panique : elle craint de mourir sans dignité et s’exclame « Que dois-je faire ? Où est-il ? ». Une âme charitable mène son bras et le bourreau l’exécute sans heurt.
Jane et Guilford reposent en paix, côte à côte, dans la chapelle de Saint Peter ad Vincula.
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Le père de Jane, Henry, est exécuté onze jours plus tard, le 23 février 1554.
Frances, sa mère, vivra dans la pauvreté sous le règne de Mary. La reine se montre magnanime, même si elle reste méfiante, la laisse vivre à Richmond et engage à son service ses deux filles survivantes, Mary et Catherine, comme dames d’honneur.
Le père et les frères de Guilford demeureront emprisonnés mais Mary leur pardonnera. Robert, l’un des frères de Guilford, sera libéré et sera le grand ami (voire le grand amour) d’Elizabeth I.
Jane, quant à elle, survit dans les mémoires surtout grâce à la série My Lady Jane qui vient de sortir et avec le film Lady Jane de 1986 où son rôle est tenu par nulle autre qu’Helaena Boham Carter.
– Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Jane, tu peux aller regarder ces sources :
Jane Grey : épisode de l’histoire d’Angleterre. Tome 1 d’Alphonse Brot
Nine Days Queen of England de Faith Cook
Lady Jane Grey : A Tudor Mystery d’ Eric Ives
Lady Jane Grey: Nine Days Queen, d’Alison Plowden,
Sovereign Ladies : Sex, Sacrifice, and Power. The Six Reigning Queens of England de Maureen Waller, ;
Children of England: The Heirs of King Henry VIII d’Alison Weir
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christophe76460 · 23 days ago
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PEUT-ON SE SENTIR PROCHE DE DIEU MAIS ……QU’EN FAIT NOUS NE LE SOMMES PAS?
2 CORINTHIENS 13:5 examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; …
LA BIBLE NOUS PARLE DE CROYANTS QUI ATTENDENT LE RETOUR DE JÉSUS, SANS SE PRÉOCCUPER DE LEUR ÉTAT SPIRITUEL DEVANT DIEU
MATTHIEU 7:21-24 ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.
QUELLES QUESTIONS DOIT-ON SE POSER ?
AI-JE CRU EN JÉSUS-CHRIST POUR ÊTRE PARDONNÉ DE MES PÉCHÉS?
JEAN 14:6 Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
AI-JE REÇU L’ESPRIT DE JÉSUS-CHRIST À MA CONVERSION?
ACTES 19:2 avez-vous reçu le Saint-Esprit, quand vous avez cru? Ils lui répondirent : nous n’avons pas même entendu dire qu’il y ait un Saint-Esprit.
ROMAINS 8:9 pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu’un n‘a pas l‘Esprit de Christ, il ne lui appartient pas.
EXAMINEZ-VOUS VOUS-MÊME POUR SAVOIR SI VOUS ÊTES DANS LA FOI!
2 CORINTHIENS 13:5 examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous? À moins peut-être que vous ne soyez réprouvés.
ME SUIS-JE VRAIMENT ENGAGÉ À SA SUITE?
MATTHIEU 16:24-25 alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.
SOYEZ REMPLIS DU SAINT ESPRIT ET ALLEZ DANS LA PAIX 🌿 DU CHRIST! ✝️ ALLEZ POUR LA PAIX, 📖 ALLEZ FAIRE LA PAIX 🤝
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JÉSUS A-T-IL MENTI QUAND IL NOUS A DIT :
Tout est possible avec Dieu.
Tout est possible à celui qui croit.
Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu, ou encore, tu verras Dieu se manifester lui-même dans ta vie personnelle.
Soyez parfait, comme Dieu est parfait.
Tout disciple accompli ou tout disciple se soumettant complètement à Dieu sera comme Jésus, qui est le Messie.
Celui qui suit le Seigneur, ne marchera pas dans les ténèbres.
Celui qui suit Jésus, fera les mêmes miracles que lui, et même des miracles encore plus grand que ceux du Seigneur.
SI TU NE VIS PAS TOUTES CES CHOSES DANS TA VIE PERSONNELLE, C'EST QUE TU NE SUIS PAS LE CHRIST, CAR LE SEIGNEUR JÉSUS NE MENT PAS QUAND IL PARLE.
NON ?
SI TA VIE NE PROUVE PAS QUE CE QUE LE SEIGNEUR A DIT ET VÉCU EST LA VÉRITÉ, CHER AMI(E).
TU RÉVÈLES QUE JÉSUS EST UN MENTEUR, POUR TOI.
CAR TU NE LUI FAIS PAS ASSEZ CONFIANCE, AU POINT DE VIVRE PERSONNELLEMENT ET SURNATURELLEMENT, TOUT CE QU'IL A DIT ET VÉCU.
--
LA SEULE FAÇON DE PROUVER QUE JÉSUS EST TON SEIGNEUR ET QU'IL A DIT LA VÉRITÉ POUR TOI, EST DEVENIR COMME LUI.
Devenir surnaturellement comme le Christ, c'est cela prouvé qu'on suit LE CHEMIN, qu'on est dans LA VÉRITÉ et qu'on a LA VIE ÉTERNELLE.
Le reste est de l'hypocrisie, du mensonge et de la fausse publicité.
MAINTENANT, SI TU DEMEURES SINCÈRE JUSQU'À LA FIN DE TA VIE SUR TERRE, QU'IMPORTE LE CONTENU DE TA VIE TERRESTRE, COMME LE VOLEUR REPENTANT SUR LA CROIX, TU SERAS SAUVÉ.
CAR LE SEIGNEUR EST SI BON QU'IL A AUSSI DIT QU'EST HEUREUX OU QU'EST BÉNI CELUI QUI A CRU SANS JAMAIS RIEN VOIR.
C'EST UN MYSTÈRE, MAIS MÊME SI TU NE VOIS RIEN DE CE QUE JÉSUS A DIT ET VÉCU DANS TA VIE PERSONNELLE, MAIS QUE TU Y CROIS SINCÈREMENT DE TON VIVANT, DIEU TE SAUVERA, CHER AMI(E).
CAR À LA FIN, DIEU EST BON, ET IL FAIT TOUT CE QU'IL VEUT.
ET LE CRÉATEUR DEMEURE PROCHE DE TOUTE PERSONNE SINCÈRE.
C'EST EN CELA QU'IL N'Y A DE BON QUE DIEU SEUL ET QUE LE CRÉATEUR PARDONNE, EN RÉALITÉ, QU'AUX PERSONNES QU'IL JUGE SINCÈRES.
CAR LE TOUT-PUISSANT A DÉCIDÉ DE RÉSISTER ET DE CONDAMNER EN ENFER, LES PERSONNES QU'IL CONSIDÈRE ORGUEILLEUSES, ARROGANTES, HYPOCRITES ET NON TOTALEMENT TRANSPARENTES.
RAPPELLE-TOI DE TOUTES LES PERSONNES JUGÉES SÉVÈREMENT PAR JÉSUS DURANT SA VIE TERRESTRE.
En effet, le Seigneur appelait hypocrites, beaucoup de religieux, et il a même appelé satan, son propre disciple Pierre, car il avait osé lui donné un conseil, alors que Jésus n'écoute que Dieu seul.
Et d'ailleurs, l'apôtre Pierre est même devenu hypocrite après avoir reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte.
Oui, il n'avait toujours pas de courage intérieur véritable, même après avoir vécu tout ce qu'il a vécu.
PREUVE QUE LES MIRACLES EXTÉRIEURS NE CHANGENT LA VIE INTÉRIEURE DE PERSONNE.
ET QUE SEUL LE FAIT DE DEVENIR SURNATURELLEMENT UN AVEC DIEU, EN NE FAISANT QUE CE QU'IL NOUS DIT, DANS NOTRE CŒUR, À CHAQUE INSTANT, JUSQU'À LA FIN DE NOTRE VIE SUR TERRE, EST LA GARANTIE DU SALUT.
"Tous ceux qui me disent : "Seigneur, Seigneur" n'entreront pas dans le royaume des cieux.
Seuls entreront dans le royaume des cieux ceux qui persévèrent à faire la volonté de mon Père céleste.
Au jour du jugement, beaucoup me diront : "Seigneur, Seigneur, ne te souviens-tu pas de nous ?
N'avons-nous pas prophétisé en ton nom ?
N'avons-nous pas chassé des démons et fait beaucoup de miracles en ton nom ?
Mais il me faudra leur dire : "Éloignez-vous de moi, rebelles sans foi ni loi ! Je ne me suis jamais lié à vous."
MAINTENANT, SEUL APRÈS NOTRE MORT, QUE L'ON SAURA COMMENT DIEU A JUGÉ CHACUN.
Penser de son vivant que telle personne est formidable ou que telle personne est mauvaise est de l'inconscience, est du jugement et est de l'infidélité envers le Créateur.
En effet, qu'en sais-tu que ton opinion personnelle est la vérité, cher ami(e) ?
Le même Jésus qui a dit à l'apôtre Pierre de s'occuper de ses brebis et que Pierre et les 11 apôtres jugeront les 12 tribus d'Israël, et certains comprennent aussi que l'apôtre Pierre est le fondement sur lequel l'église est bâtie.
Le même Jésus a affirmé aussi que Pierre est satan, que Pierre le reniera et que ses disciples sont des incrédules.
LES ACTES DES APÔTRES NE SONT PAS LE TÉMOIGNE DE JÉSUS, MAIS L'OPINION HUMAINE OU LA COMPRÉHENSION HUMAINE DE CE QUI S'EST PASSÉ SUITE AU DÉPART DU CHRIST.
SE DIRE QUE LES DISCIPLES DU CHRIST ONT FAIT OBLIGATOIREMENT CE QUI ÉTAIT ATTENDU D'EUX, APRÈS QUE LE SEIGNEUR JÉSUS SOIT PARTI, SEUL LE CRÉATEUR PEUT SE PRONONCER SUR CE SUJET.
SE DIRE QUE L'ON COMPREND PARFAITEMENT TOUT CE QUE JÉSUS VEUT DIRE, EST SE PRENDRE POUR DIEU.
NON ?
JÉSUS SEUL PEUT JUGER ET IL A CORRIGÉ ET JUGÉ BEAUCOUP DE PERSONNES QUE NOUS CONSIDÉRONS, AUJOURD'HUI, ÊTRE DE BONS EXEMPLES POUR NOUS.
OR SEUL JÉSUS, QUI EST DIEU DEVRAIT ÊTRE UN BON EXEMPLE POUR CHACUN DE NOUS, MES CHERS AMIS.
N'EST-CE PAS CE QUE SIGNIFIE QUE JÉSUS EST LE CHEMIN, LA VÉRITÉ ET LA VIE ?
ATTENTION MES CHERS AMIS, CAR LE CRÉATEUR NE PENSE COMME AUCUN D'ENTRE NOUS.
Et penser qu'on comprend comme Dieu, c'est se préparer à recevoir de très grands jugements de sa part.
Car nos pensées ne sont pas ses pensées.
Et il nous a été dit de ne pas juger, et de ne pas nous appuyer sur notre sagesse ou nos opinions humaines, mes chers amis.
ET À LA FIN, JÉSUS A DAVANTAGE CORRIGER ET JUGER QUE LES AUTRES, LES PERSONNES QUI PENSAIENT LE SUIVRE, DONC SES PROPRES DISCIPLES.
ATTENTION DONC À TOI, CHER AMI(E), QUI TE CONSIDÈRE SUIVRE JÉSUS.
CAR TU SERAS JUGÉ PAR DIEU ENCORE PLUS QUE LES AUTRES.
EN EFFET, QUI PEUT RÉELLEMENT DIRE QU'IL SUIT LE CHRIST ?
AS-TU LA PRÉTENTION DE DIRE QUE TU SUIS DIEU, QUI EST LE MESSIE ?
Il y a une grande différence entre Dieu qui annonce que tu le suis ou que tu es avec lui, et toi qui le dis et l'affirme, cher ami(e).
Auras-tu le courage d'affirmer que tu suis le Christ devant des menaces réelles et concrètes dans ta vie personnelle ?
Auras-tu le courage de rester fidèle jusqu'à la mort, à tout ce que tu crois au fond de toi ?
Sache que Dieu seul est capable de juger.
Et donc lui seul peut faire ce travail d'analyse des cœurs et ainsi juger chaque personne de façon juste et équitable, mes chers amis.
---
CAR SI CHACUN DE NOUS SERA JUGÉ PAR DIEU, UN JOUR, C'EST BIEN LA PREUVE QUE DIEU NE FAIT CONFIANCE À PERSONNE POUR JUGER À SA PLACE.
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PARLONS UN PEU DU FAIT QUE LE SEIGNEUR AIT DIT QUE SES 12 DISCIPLES JUGERONT LES 12 TRIBUS D'ISRAËL.
Certains prennent cet argument, comme une prophétie de la part du Christ, afin de dire que les 12 disciples du Christ sont sauvés et qu'il sont obligatoirement au ciel, aujourd'hui.
Et si on croit littéralement, que les 12 disciples du Seigneur jugeront les 12 tribus d'Israël.
Cela signifie que Judas Iscariote, que Jésus lui-même a choisi pour faire partie des 12 disciples, est au ciel et va donc juger les 12 tribus d'Israël aussi.
Non ?
LES VÉRITÉS ÉTERNELLES DU CHRIST SONT PRÉCÉDÉES DE LA MENTION "EN VÉRITÉ EN VÉRITÉ".
CETTE PAROLE DU SEIGNEUR N'EST DONC PAS UNE VÉRITÉ ÉTERNELLE.
Et d'ailleurs, la vie du Christ qui est l'exemple à suivre, nous démontre que nous devons tous persévérer individuellement jusqu'à la fin, afin d'être sauvé, après la mort.
Jésus par souci d'équité envers tous ses suiveurs, ne peut pas récompenser des gens, alors qu'ils ne lui ont pas prouvé son amour en persévérant jusqu'à la fin ?
C'est si on arrive au ciel que l'on verra parmi les personnes sauvées, qui Dieu accorde des honneurs selon son plan éternel parfait.
Mais à la fin, personne n'a de mérite, on dépend tous de la grâce divine.
Donc, cette parole du Seigneur est donc adressée à ceux des disciples du Christ, que Dieu a réservé cet honneur.
Tout comme quand les disciples Jaques et Jean se battaient avec les autres disciples pour être les plus proches du Seigneur dans son royaume céleste.
Le Seigneur leur a répondu que cela est réservé à ceux que Dieu a choisi.
Il n'y a pas de privilégié devant Dieu.
Et le Créateur est le seul décideur de toute chose.
LES 11 DISCIPLES ONT TIRÉ AU SORT POUR REMPLACER JUDAS ISCARIOTE, ALORS QUE JÉSUS LEUR AVAIT DIT D'ATTENDRE SIMPLEMENT LE SAINT-ESPRIT.
On voit que même avant la Pentecôte et que le Saint-Esprit viennent sur eux, les disciples font tout ce qu'ils veulent, sans consulter Dieu, apparemment.
D'ailleurs, il n'est jamais dit nulle part que Jésus ait tiré au sort pour prendre une quelconque décision dans sa vie personnelle.
Les disciples du Christ imitent donc qui en tirant au sort ?
Il n'est dit, d'ailleurs, nulle part, que c'est poussé par Dieu que les disciples ont décidé de remplacer Judas Iscariote et que Dieu leur a dit de tirer au sort pour choisir un remplaçant.
DE PLUS, SI DIEU, QUI EST LE CHRIST, AVAIT CHOISI JUDAS ISCARIOTE LUI-MÊME, APRÈS TOUTE UNE NUIT DE PRIÈRE, QUI SOMMES NOUS POUR LE REMPLACER PAR LA SUITE ?
Il y a beaucoup de choses qu'on ne peut se permettre d'accepter, comme venant de Dieu, obligatoirement, que les disciples de Christ ont fait, mes chers amis.
Seule la vie du Christ est irréprochable pour moi.
Celle de ses disciples, je ne suis pas habilité à en juger, car seul Dieu peut juger ses créatures.
Jésus seul est le chemin, la vérité, la vie.
Lui seul est habilité ou qualifié à être suivi, car il a dit qu'il est le bon berger.
Non ?
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yes-bernie-stuff · 5 years ago
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-l’Évangile au Quotidien
-l’Évangile au Quotidien « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68 Lundi 24 Août Livre de l'Apocalypse 21,9b-14. Moi, Jean, j'ai vu un ange qui me disait : « Viens, je te montrerai la Fiancée, l'épouse de l'Agneau. »En esprit, il m’emporta sur une grande et haute montagne ; il me montra la Ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu :elle avait en elle la gloire de Dieu ; son éclat était celui d’une pierre très précieuse, comme le jaspe cristallin.Elle avait une grande et haute muraille, avec douze portes et, sur ces portes, douze anges ; des noms y étaient inscrits : ceux des douze tribus des fils d’Israël.Il y avait trois portes à l’orient, trois au nord, trois au midi, et trois à l’occident.La muraille de la ville reposait sur douze fondations portant les douze noms des douze Apôtres de l’Agneau. Psaume 145(144),10-11.12-13ab.17-18. Que tes œuvres, Seigneur, te rendent grâceet que tes fidèles te bénissent !Ils diront la gloire de ton règne,ils parleront de tes exploits. Ils annonceront aux hommes tes exploits,la gloire et l'éclat de ton règne :ton règne, un règne éternel,ton empire, pour les âges des âges. Le Seigneur est juste en toutes ses voies,fidèle en tout ce qu'il fait.Il est proche de ceux qui l'invoquent,de tous ceux qui l'invoquent en vérité. Évangile de Jésus-Christ selon Jean 1,45-51. En ce temps-là, Philippe trouve Nathanaël et lui dit : « Celui dont il est écrit dans la loi de Moïse et chez les Prophètes, nous l’avons trouvé : c’est Jésus fils de Joseph, de Nazareth. »Nathanaël répliqua : « De Nazareth peut-il sortir quelque chose de bon ? » Philippe répond : « Viens, et vois. »Lorsque Jésus voit Nathanaël venir à lui, il déclare à son sujet : « Voici vraiment un Israélite : il n’y a pas de ruse en lui. »Nathanaël lui demande : « D’où me connais-tu ? » Jésus lui répond : « Avant que Philippe t’appelle, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu. »Nathanaël lui dit : « Rabbi, c’est toi le Fils de Dieu ! C’est toi le roi d’Israël ! »Jésus reprend : « Je te dis que je t’ai vu sous le figuier, et c’est pour cela que tu crois ! Tu verras des choses plus grandes encore. »Et il ajoute : « Amen, amen, je vous le dis : vous verrez le ciel ouvert, et les anges de Dieu monter et descendre au-dessus du Fils de l’homme. » © AELF, Paris Nathanaël-Barthélemy reconnaît le Messie, le Fils de Dieu L'évangéliste Jean nous rapporte que, lorsque Jésus voit Nathanaël s'approcher, il s'exclame : « Voici un véritable fils d'Israël, un homme qui ne sait pas mentir ». Il s'agit d'un éloge qui rappelle le texte d'un psaume : « Heureux l'homme (...) dont l'esprit est sans fraude » (Ps 31,2), mais qui suscite la curiosité de Nathanaël ; il réplique avec étonnement : « Comment me connais-tu ? » La réponse de Jésus n'est pas immédiatement compréhensible. Il dit : « Avant que Philippe te parle, quand tu étais sous le figuier, je t'ai vu ». Nous ne savons pas ce qui s'est passé sous ce figuier. Il est évident qu'il s'agit d'un moment décisif dans la vie de Nathanaël. Il se sent touché au plus profond du cœur par ces paroles de Jésus, il se sent compris et il comprend : cet homme sait tout sur moi, il sait et connaît le chemin de la vie, je peux réellement faire confiance à cet homme. Et ainsi, il répond par une profession de foi limpide et belle en disant : « Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël ! »Dans cette confession apparaît un premier pas important dans l'itinéraire d'adhésion à Jésus. Les paroles de Nathanaël mettent en lumière un double aspect complémentaire de l'identité de Jésus : il est reconnu aussi bien dans sa relation spéciale avec Dieu le Père, dont il est le Fils unique, que dans son rapport au peuple d'Israël, dont il est déclaré le roi, un qualificatif propre au Messie attendu. Nous ne devons jamais perdre de vue ni l'une ni l'autre de ces deux composantes, car si nous proclamons seulement la dimension céleste de Jésus, nous risquons d'en faire un être éthéré et évanescent, et si au contraire nous ne reconnaissons que sa situation concrète dans l'histoire, nous finissons par négliger la dimension divine qui précisément le qualifie.
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days-of-a-nurse · 5 years ago
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Reconfinement Day 1
Vendredi 30 octobre.
Voilà, ça y est,on est reconfiné.
Enfin, "on" est un bien grand mot, je suis infirmière, pour moi tout continu quasi à l'identique, même horaires, même trajet, même boulot, même collègues.... Malgré la peur, malgré ce foutu Covid qui reprend du terrain jour après jour, je continue à m'occuper de mes patients, car l'hôpital ne s'arrête jamais de tourner.
Posons le décor : Ce reconfinement à fait remonter tous mes souvenirs à la surface, j'espère que vous me pardonnerez mes bavardages et la longueur de ce post.
Je travaille dans un hôpital de la region Parisienne, un gros hôpital, une vraie petite ville, même les "rues" qui séparent la multitude de bâtiments portant le nom d'obscurs médecins et les différents secteurs qualifiés par couleurs portent de vraies plaque de rue avec de vrais noms ...
C'est un vrai labyrinthe où j'ai bien failli me perdre plus d'une fois, surtout les premiers mois.
Je suis diplômée depuis Juillet 2019 et le poste que j'occupe actuellement est mon premier poste.
Infirmière en pneumologie.... Tout mes proches disent que j'ai le pire timing qui soit, en même temps ils n'ont pas tort ... J'ai été embauchée dans le service le 10 Mars dernier.
Cette date vous dit quelque chose ? Normal trois jours plus tard nous étions confinés ....
J'ai été jetée dans le grand bain via le plus haut plongeoir avec comme seule sécurité une bouée percée par les "circonstances sanitaires" comme les bureaucrates aiment bien dire.
Ça n'a pas été simple, surtout au début, j'avais un sentiment d'imposture d'incompétence qui me prenait aux tripes a chacune de mes prises de poste, et puis au final j'ai eu de la chance, notre équipe soignante est jeune et on s'entend tous bien. Nous nous sommes serrés les coudes et plus je voyais arriver nos "renforts" :des étudiantes infirmières de troisième année venues faire fonction d'aide soignante, des externes en médecine venus faire fonction d'infirmière, des collègues proche de la retraite arrachés à leurs poste en hôpital de jour ou d'assistantes dans les salles d'examens (scanner, fibro, ...) ; plus je me disais que finalement je n'étais peut être pas si perdue et incompétente que ça, qu'on était tous dans le même bateau, dans la même galère et qu'on allait s'en sortir, ensemble.
Notre service est constitué de deux "ailes" une grande aile de 36 lit dont une douzaine de chambres doubles, et une petite aile de 15 lits dont cinq chambres doubles. Pour faire tourner tout ce petit monde, en temps normal il faut trois infirmière sur la grande aile et une à deux sur la petite aile à tout moment et autant d'aides soignantes.
Nous tournons en horaire de 7h30 de jour et 10h la nuit . Soit une horaire de "Jour" 6h45 - 14h15, une horaire de "Garde" 14h - 21h30 et une horaire de nuit 21h-7h.
Avec le Covid nous avons vu notre nombre de lit et notre effectif faire les montagnes russes.
Au tout début, dès le confinement nous avons déplacé tout nos patients fragiles le plus loins possible de notre service pour qu'il y ait moins de chance qu'ils attrapent le Covid, et avons fermés tout les lits doubles afin de ne plus avoir que des chambres simples. Nous voulions éviter tout problème de contamination croisée.
Puis ils ont passé notre petite aile en Unité Covid. Jusqu'ici elle était fermée pour travaux et venait d'être prête à la réouverture.
Pas de problème de personnel au début, bien sur il fallait une infirmière et une aide soignante pour s'occuper de l'unité Covid, mais comme nous avions baissé notre nombre de patients à 23 sur la grande aile il ne fallait plus que deux infirmières de ce côté là.
Et puis la situation s'intensifie, on a besoin de lits covid supplémentaires, alors on nous annonce le passage de la grande aile en unité covid, mais comme nous avons toujours des patients non covid qui ne sont pas en état de rentrer chez eux, la petite aile redevient covid negative, il a fallut faire un gros transfert de tous les patients d'une aile à l'autre ... Heureusement qu'il n'y a qu'un couloir entre les deux ...
On s'aperçoit très vite que là ou une infirmière peut s'occuper de douze patient non covid sans trop de difficulté, les contraints sanitaires font qu'il est difficile de s'occuper de plus de six patients covid pour un binôme Infirmière-aide soignante.
Alors nos 23 lits sont divisés en 4 secteurs (3 de 6 et 1 de 5). Nos collègues de fibroscopie bronchique et d'hôpital de jour de pneumologie nous rejoignent pour gonfler les effectifs.
La demande en lit monte encore, nos dernier patients non covid sont transférés dans un autre hôpital et la petite aile rejoint le côté obscur du covid... Dix chambres donc deux infirmières, les externes et étudiants infirmiers viennent en renfort.
Les lits manquent partout, les unités covid fleurissent dans tout les service, les soins intensifs, les réas, sont débordés ont ouvres les blocs opératoires et la salle de réveil pour en faire des unités de réa et même comme ça de plus en plus de nos patients qui en temps normal seraient descendus aux soins intensifs ou en réa au vu de leur état restent en salle malgré un debit d'oxygène à très haute doses.
La peur et la colère s'installe parmis l'equipe. Peur, peur de ne jamais voir le bout de cette pandémie, peur d'être contaminer et de contaminer sa famille, peur de ne pas réussir à soigner nos patients, peur de nous noyer sous cette vague de Covid.
Colère, colère contre le gouvernement qui n'a pas écouter quand on leur a dit que nos moyens et nos effectifs n'étaient pas suffisant, colère contre ceux qui n'ont rien ou peu fait par peur de faire paniquer la population, colère contre ceux qui n'ont pas pris au sérieux l'ampleur de la pandémie et la nécessité des mesures, colère contre les gens dans la rue qui semblaient avoir plus de FFP2 que nous, colère contre les sans masques et les anti vax, contre ceux qui ne respectaient rien...
C'en est venu au point où vos applaudissements, vos encouragements nous semblaient bien dérisoires.
Pour autant nous n'avons jamais perdu ni l'espoir et le sourire, nous avons trouvés la force de continuer, dans un gâteau fait par une collègue ( soyons honnêtes c'est moi la pâtissière de l'équipe donc là je parle de moi), dans nos rires et nos decompressions inopinés a coup de bataille d'eau, et de blagues plus ou moins douteuses, dans le sourire de nos familles au travers d'un écran, dans la vision bienvenue d'un patient resté longtemps en réa sortir du service sur ses deux jambes pour rentrer chez lui.
Puis les cas ont baissés et petit a petit le service a retrouvé ses patients non covid jusqu'à ne plus en avoir du tout... Et puis septembre est arrivé et avec lui la deuxième vague et le retour des patients covid ....
Cette fois-ci nos médecins espèrent ne pas avoir à passer la grande aile en unité covid car nos patients habitiels devant faire leurs bilans de suivi habituels ont déjà du être décalé, si nous annulons à nouveau leurs rendez vous, nous ne pourrons jamais rattraper le retard et ce sera nos patients qui en pâtirons. Alors la petite aile est pleine à craquer, quatorze patients, deux infirmières, deux aides soignants et beaucoup de demandes d'intérim parceque entre les deux vagues plusieurs de nos collègues sont partis travailler ailleurs et que nous manquons cruellement de personnel.
Vendredi, malgré le confinement, il y avait toujours autant de monde dans les transports et toujours autant de monde qui ne portent pas leurs masque correctement... Sous le menton, sous le nez, a le triturer en permanence, portant des gants qui ne servent a rien vu qu'ils pensent que le seuls faits de les porter les protège et qu'ils se touchent le visage, le masque, Etc après avoir mis leurs mains partout.
Oubliez les gants, le lavage de mains est bien plus protecteur, et portez vos masques bon sang !!!
Vendredi, c'était le dernier jour de stage pour nos internes, Lundi ce seront des petits nouveaux qui travailleront avec nous ... Alors on a décidé de leurs souhaiter leurs départ comme il se doit : avec une bonne bataille : eau, mousse à raser, betadine, ... Tout est bon pour les arroser des pieds à la tête en embuscade entre deux couloirs. Et ils ne sont pas en reste, la riposte à été féroce ! Certains diront que c'est un comportement de gamins, mais en fait c'est juste la soupape de décompression d'une équipe soignante épuisée, surchargée de travail et au moral au plus bas, a deux doigts de finir noyée dans cette deuxième vague.
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claudehenrion · 5 years ago
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Coronavirus : la vérité, rien que la vérité, toute la vérité... pour le moment !
  L’un des drames de notre temps, c’est que nos élites, gouvernants, journalistes, intellectuels… n’ont, à de rares exceptions près, aucune vision globale des choses et des faits. En cause, les programmes de notre Education nationale et les grandes écoles, plus soucieuses d’imprégner leurs élèves des idéologies dominantes et d'une soi-disant ''efficacité à court terme'' que de les former à voir large et loin, à avoir l’esprit analytique et critique, y compris sur eux-mêmes, ce qui est difficile. Et pourtant... en regardant les choses de loin un instant, on se rend vite compte que la ‘’pandémie’’ dont nous venons de nous extraire n’avait rien de dramatique.
  A la seule condition de le faire avec prudence et honnêteté, il faut toujours remonter aux faits et, le plus souvent possible, aux chiffres. Ils servent trop souvent aux malveillants à tout rendre incompréhensible (''Don't bother me with facts, they only confuse the issue'' disait Mark Twain : les faits compliquent toute discussion), mais  ils sont paradoxalement la lumière qui éclaire le chemin pour ceux qui voudraient comprendre. Or... que disent-ils, avec un entêtement qui ne suffit pas à convaincre ceux qui croient aux informations officielles et aux affirmations répétées assez souvent pour avoir l'air d'être ''la vérité'' ? Bon an mal an, il y a dans le monde, en période hivernale (du 21 déc. au 21 mars sous nos latitudes), 200 000 morts par jour, dont 6 % pour des causes pulmonaires, et ce n’est pas une variation de 2 ou 3 % pendant trois mois qui peut changer grand-chose à ce bilan annuel ! On sait déjà qu’il sera meilleur cette année qu’en 2018 : l’INSEE et l’INED ont compté, en France 57441 morts en mars 2020 contre 58641 en mars 2018, 11,9 %  de moins en 2020. Pas de quoi élever des stèles aux morts de cette pandémie !
  Autre observation, qui mérite réflexion : les Chinois, qui sont bien placés pour savoir que le virus communiste a fait beaucoup plus de morts que les épidémies (entre 60 et 80 millions de chinois sur un demi siècle. Et, avec ce qui est en cours, ce total devrait encore monter...), ont baptisé le covid 19 ''le virus du PCC'' (NB : PCC = Parti Communiste Chinois). La Chine, soumise à la férule impitoyable d'un parti communiste aux ambitions de domination mondiale, et raciste de surcroît (Ouighours et toutes ethnies non Han), a commis une erreur dramatique, pour ses populations et pour le monde, en ne surveillant pas suffisamment la sécurité des laboratoires où s'expérimentent des vaccins et des armes biologiques. Elle avait pourtant été mollement rappelée à l’ordre à deux reprises par l’OMS, mais a menti dès décembre, en ordonnant que tous les tubes contenant des ''coronavirus OGM'' soient déplacés ou détruits pour éviter que des enquêteurs ne les découvrent.
  Troisième sujet sur lequel une réflexion approfondie s'impose : alors que l’Occident a eu un taux de mortalité / Covid-19 de 16 décès par million, ce taux tombe à 0,7 par million d’habitants en Afrique (25 fois moins qu’en Europe et en Amérique du nord). Et pourtant, sur ce continent où les élites se bâtissent des fortunes insolentes (personne n'a oublié les palais des Ben Ali, Mugabe, Bokassa et autres –ces dictateurs sanglants, tous ''ex-socialistes'' jusqu'à leur confiscation du Pouvoir !--... les peuples sont redevenus très pauvres depuis le départ des colonisateurs. L'explosion démographique est terrifiante, les villes sont devenues de monstrueux bidonvilles, parfois des cloaques, les infrastructures sont très dégradées lorsqu'elles ont survécu, et les systèmes de santé sont presque partout à l'abandon. On attendait donc une énorme catastrophe sanitaire, avec le covid 19. Or l'Afrique a nettement moins de morts, en absolu comme en relatif.  Pourquoi ?
  Retour sur images : l’hygiène est à un niveau déplorable en Afrique (comme en Inde) Il y a là, tous les ans une ou plusieurs épidémies de ''faible'' ampleur (ébola, choléra…) dont on n’a même pas connaissance en Europe, à l’exception des fonctionnaires de l’OMS, des ambassades, des volontaires de l’aide sociale et sanitaire, des quelques ONG et fondations honnêtes (on me dit qu'il y en a !), etc... et les Africains ont donc des systèmes immunitaires habitués à réagir à toutes sortes de provocations. Un second facteur (dont nous avons parlé la semaine dernière)  c’est qu'il y a, dans toutes les pharmacies africaines, du Maroc (SANOFI) à l’Afrique du Sud, des produits à base de quinquina (qui se synthétise en quinine et finalement en chloroquine). Dès qu’il y a un soupçon de fièvre, les molécules antivirales du quinquina, quelle qu’en soit la forme, la taille  ou la dénomination pharmaceutique, sont sollicitées. Et tous les africains en prennent, régulièrement, depuis leur plus tendre enfance, ce qui les rend, d'une certaine façon, plus ou moins immunisés devant une attaque virale nouvelle. Mais ce ne sont pas les ''Big Pharmas'' et leurs agents d’influence (certains -dont tous les réseaux sociaux- prononcent les noms de Karole Lacombe ou de... Olivier Véran, et de presque tous les membres des Comités soi-disant scientifiques officiels) qui vous le diront. 
  (NDLR - Pour la petite histoire, vers la fin du XIX ème siècle, la minuscule société Picon de Philippeville, en Algérie a été subventionnée par l’Armée française pour ouvrir des usines ailleurs et même en France. Les médecins militaires avaient constaté que les soldats buvant régulièrement du Picon à l’apéritif semblaient immunisés contre le paludisme et le choléra. Pour mémoire, le Picon (''Amer'' !) est obtenu avec des zests d'orange, des racines de gentiane et du quinquina. CQFD !).
  Une autre remarque qu'il faut bien se résoudre à faire : des pays qui vivent sous une dictature ou sous la loi islamique (et pire, islamiste !) ont de plus mauvais résultats, en matière de lutte contre la pandémie. En Asie, la Chine de Xi Jinping -mais pas Taïwan, ni la Corée du sud (NDLR - en Corée du nord, la situation est ridicule, comme son ''leader'' : zéro cas, donc zéro mort -chiffres officiels ! L'épidémie s'est arrêtée à la frontière, comme en France lors de Tchernobyl !). En Afrique, c'est le Mali et au Moyen-orient, l'Iran, soumis à la charia'a, qui ont souffert du non-respect des contraintes du confinement. En France, c'est dans les zones où il y a des communautés musulmanes importantes (ex. : Mulhouse-Colmar ou la Seine-Saint-Denis, à l’exception de  Marseille-nord, où on pouvait trouver, à l’IHU-Méditerranée-Infection du Pr Raoult, autant de chloroquine que nécessaire...
  En Europe, et même si ''ça passe mal'', l'Espagne (officiellement), la France, et l'Italie (sans le dire), les grands pays les plus proches du ''rêve (?) socialiste'',  se sont mises au confinement général après avoir raté tout ce qui aurait permis de diviser par cinq le nombre de décès. Quant à l’institution ''Union Européenne'', elle a commencé par nier le problème en refusant de trancher sur les masques et le matériel médical, la fermeture des frontières, les mesures à prendre, etc… sous le prétexte absurde de l’urgence à faire entrer dans l’Union deux pays musulmans, l’Albanie et la Macédoine. C’est fait : Macron a contresigné l’accord (Qui en a entendu parler ?). Quand elle a enfin ouvert les vannes, il était bien trop tard ! Coût estimé : de 60 à 70 000 morts dont ces  gouvernements portent la responsabilité.
  En conclusion de ce premier ''bilan'' de la pandémie dite ''covid 19'' (car l'OMS, asservie à la Chine, a refusé de laisser le nom ''Virus-Wuhan'') il est clair qu'aucun pays ne pourra plus jamais envisager à nouveau des mesures comparables (lire : aussi stupides et aussi assassines) à celles dont nous sortons, piteusement... si celui-là ou un autre virus revenait. Il faut donc préparer le futur. Pour la France, ça veut dire beaucoup, beaucoup moins de gouvernement, de fonctionnaires (donc d'impôts voraces et de taxes cannibales), de normes paralysantes, d'inutiles décrets chronophages et de lois perverses... mais plus de libertés, une refonte totale de la communication publique et moins de notre socialisme actuel, rampant et insidieux, fait d’impôts confiscatoires, générateur de panique et qui s'oppose à ce que nous reprenions le chemin de la fabrication et de l'accumulation de richesses qui seul, peut amener un retour à plus de prospérité. Il y a du pain sur la planche !
H-Cl.
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sihame-assbague · 5 years ago
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Violences policières et confinement : un mort à Béziers.
Il s’appelait Mohamed. Il avait 34 ans.
Ce mercredi 8 avril, il est décédé dans la cour du commissariat de Béziers. De quoi ? Très certainement du plaquage ventral effectué par un agent. Pratique mortelle, maintes et maintes fois dénoncée, mais qui continue d’être utilisée en France, en toute impunité.
La justice nous explique que « pour l’instant, rien n’explique de façon évidente les causes du décès. » Alors, autant on n’est pas médecin légiste hein, autant on peut faire une constatation très simple : quand tu t’assois sur un homme que plusieurs policiers viennent de malmener, qui s’est débattu de toutes ses forces, et qui avait sûrement des substances toxiques dans le corps, tu rends la respiration plus que difficile, pour ne pas dire impossible. Dans bien des cas, cela provoque une asphyxie et le décès de la victime. Ces dernières années, plusieurs hommes sont morts de cette manière, entre les mains des forces de l’ordre.
Selon le récit même des policiers, c’est ce qui semble être arrivé ce soir-là. Mercredi 8 avril donc. Vers 22h30. Un homme en détresse dans les rues de Béziers. La presse, aux oreilles de laquelle les préfectures murmurent, le présente comme un « SDF », un « toxicomane », un « multi-récidiviste », tout juste condamné pour un vol. De l’argent « pour acheter sa consommation ». L’un de ses meilleurs amis fulmine « je ne vais pas dire que c’était un enfant de chœur mais il était cassé. Il a eu un parcours de vie chaotique. Il avait besoin d’aide. Il avait vraiment besoin d’aide. Pas de mourir comme ça sur la banquette arrière d’une voiture de police. » Mais il était dehors ce soir-là. Dans une ville sous couvre-feu. Dans un pays sous confinement. Dans un État qui, dans certains quartiers, à l’égard de certaines populations, a fait le choix d’une gestion particulièrement répressive de cette crise sanitaire. Il était là donc. Lui qui, depuis son divorce, n'avait pas d'hébergement fixe et était logé, tantôt chez son frère, tantôt chez sa sœur. Il était là. La police aussi. Très vite, la situation se tend. Il faut dire qu’il y a quelques jours à peine, Mohamed avait déjà eu maille à partir avec la police. On le voit sur une vidéo, plaqué au sol par des agents, criant son mal à respirer, le visage lésé par le bitume. On l’entend même dire et redire « Ils vont me tuer. S’il vous plaît, aidez-moi. » Il a survécu à cette interpellation-là, pas à la suivante.
Mercredi 8 avril donc. Là encore, une partie de l’interpellation a été filmée par des habitants du quartier. Le confinement aura transformé nos balcons en observatoire des violences policières. C’est de là, en effet, que viennent la majorité des images qui ont inondé les réseaux sociaux ces dernières semaines. Dans cette vidéo, on entend les voisins dire que quand même, 5 agents et 4 voitures de police pour un seul homme « c’est abusé ». « Abusée » aussi la manière dont il a été interpellé. On le voit, à un moment, allongé par terre, sur le ventre, un policier sur lui. Puis, quelques instants après, ce sont trois agents qui le traînent jusque leur voiture. « Arrêtez, arrêtez » répète en boucle Mohamed. Il est déjà mal en point, le souffle haletant. Que s’est-il passé dans la voiture ? De cette séquence, nous n’avons que le récit des policiers. L’un d’eux se serait assis sur les fesses du trentenaire pour le maîtriser. Il était, là encore, allongé sur le ventre...avec le poids d’un homme - peut-être plus ? - sur le corps. Au cours du trajet, il a arrêté de bouger. Les policiers disent qu’ils pensaient qu’il s'était « endormi ». Certains affirment même l’avoir entendu « ronfler ». En réalité, il était inconscient. Mohamed est arrivé inerte au commissariat. Les secours n’ont malheureusement rien pu faire pour lui.
Une enquête a été ouverte.
Les commentateurs-experts du net diront « bah il n'avait qu'à se confiner. » Bah oui. Il n'y a toujours qu'à faire ci ou ça. Suis-je bête, c'est pourtant si simple. Même quand tu n'as pas un vrai chez toi où te confiner. Même quand ta situation sociale, sanitaire ou psychologique te pousse dehors.
Ses proches se souviendront de lui comme d'un « gars vraiment bien », un « vrai gentil », qui n'a pas eu de chance dans la vie. Nous, nous souviendrons de lui comme le premier mort de la répression policière liée au confinement. Cela fait des semaines qu'on les récolte les témoignages, les récits de cette violence qui - davantage encore que d'habitude - s'abat sur les quartiers populaires. Des « sale arabe », des coups de poing, des coups de rangers, des matraques dans le crâne, des plaquages au sol, des clés d'étranglement à n'en plus finir. À en vomir même. De Lille à Marseille, en passant par Strasbourg, les Ulis, et St-Pierre-des-Corps. Des lésions, des ecchymoses, des marques de strangulation, des traumatismes. Et puis un mort.
Quelle morbide ironie. Asphyxié par les forces de l'ordre d'un État qui justifie la violence des interventions policières par la nécessité de freiner, coûte que coûte, la propagation...d'une maladie respiratoire. Pour reprendre les termes d'une maman dont le fils a été passé à tabac par des policiers la semaine dernière : « on se retrouve à avoir autant peur de la police que du coronavirus. J'ai dit à Samir* d'arrêter de travailler. De base, j'avais peur qu'il ramène la maladie à la maison...maintenant j'ai peur qu'il croise le chemin de policiers et qu'il ne rentre pas du tout. À se demander contre quoi ou contre qui les autorités sont-elles vraiment en guerre ? » Rien à ajouter.
Mohamed, Allah y rhamo, laisse 3 enfants âgés de 1 à 7 ans derrière lui. Courage à toute sa famille et à tous ceux à Béziers qui le connaissaient et l'estimaient. Une cagnotte de soutien a été lancée, voici le lien : https://www.leetchi.com/c/pour-soutenir-la-famille-de-notre…
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lily-yvonne · 5 years ago
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LA PASSION DU CHRIST
Alors une question se pose : est-il possible que Jésus ait pu subir tous les événement décrits dans les Evangiles en l’espace d’une nuit ? Certains diront que c’est impossible, alors que rien ne s’y oppose. Au contraire, il fallait en finir rapidement avec le dit « imposteur », afin d’éviter toute manifestation de la foule. En effet, Jésus n’avait pas que des ennemis et un procès traînant en longueur aurait pu mettre dans une situation délicate Ses accusateurs. De fait, tout porte à croire que le premier interrogatoire chez Caïphe, le grand prêtre, ( sans compter la brève visite chez Anne, le beau père de Caïphe ), a eu lieu la nuit, aussitôt après l’arrestation de Jésus. Ensuite, dès que le conseil avec les Anciens et autres intervenants ont été réunis, un jugement hâtif s’est opéré devant le sanhédrin, ( entre cinq et six heures du matin ) : "Quand il fit jour ..." ( Luc 22, 66 ).
En règle général, il est vrai qu’aucun jugement n’avait lieu la nuit, ni très tôt le matin mais, dans ce cas précis, il était nécessaire d’agir au plus vite, quitte à faire exceptionnellement une entorse à ces traditions ancestrales auxquelles les Juifs étaient fiers. Peu importe les traditions, puisqu’il fallait absolument juger et condamner coûte que coûte Celui qui se prenait pour le Fils de Dieu ! Ce grand sacrilège était intolérable pour les Juifs, donc devenait une raison majeure pour qu’un jugement se fasse dans les plus brefs délais et sans autres compromis ! Les paroles de Caïphe, au conseil du sanhédrin, sont limpides : « Vous n’y entendez rien ! Il ne vous vient pas à l’esprit qu’il est de votre intérêt qu’un seul homme meurt pour le peuple et que la nation ne périsse pas tout entière ? » ( Jean 11, 49-50 ). Il était plus important pour Caïphe de sauver une nation que de respecter la Loi de Yahweh. C’était réellement de la haine que Caïphe portait contre Jésus. D’autant plus que le Seigneur devenait populaire et des gens du sanhédrin avaient des pensées troublées. En effet, quelques uns d’entre-eux commençaient à croire en Jésus du fait des miracles qu’Il opérait. Caïphe ne pouvait pas supporter qu’il règne une discorde au sein de sa proche assemblée. Voilà donc les raisons pour lesquelles tout devait se dérouler rapidement, avant même que la populacesoit levée, pour éviter une révolte de la foule car "…ils craignaient le peuple" ( Luc 22, 2 ). « Pas pendant la fête, de peur qu’il ne se produise un mouvement dans le peuple. » ‘( Mat. 26, 5 )
Le second interrogatoire a été aussi expéditif ( à sept heures du matin ) puisque Pilate a fait envoyer Jésus chez Hérode, qui était non loin de là, pour une raison de juridiction compétente. Le troisième interrogatoire qui s’est déroulé chez Hérode a été relativement bref, car celui-ci a fait repartir Jésus chez Pilate. Il s’est passé moins de trente minutes entre l’aller et le retour de Jésus depuis Hérode jusqu’à Pilate. Ce qui nous conduit aproximativement à sept heures trente lorsque Jésus retourne au prétoire, et le jugement avec Pilate a eu lieu peu après. Entre ce jugement, la flagellation, le déguisement avec la couronne d’épines, la sentence définitive, et le moment du départ avec la poutre transversale ( et non pas la croix ), d’abord sur les deux épaules, ensuite sur une seule, il devait être aux environs de huit heures vingt. Le trajet entre le lieu du jugement par Pilate et le Golgotha s’est déroulé en moins de quarante-cinq minutes, ce qui nous amène aproximativement vers neuf heures, l’instant de la crucifixion tel qu’il est écrit dans les Évangiles.
Concernant la flagellation de notre Seigneur, les traces laissées par les osselets des flagrum romanum sont parfaitement visibles sur le Linceul de Turin. Je vous affirme qu’il y a eu 122 coups ! C’est à dire, d’après une vision que j’ai reçue du Ciel, j’ai pu voir deux gardes frapper Jésus de 30 coups chacun, complété d’un dernier coup pour le plaisir ! Ces fouets romains très particuliers avaient chacun deux lanières, donc le compte y était. Ces 60 coups sont toutefois exceptionnels. Un condamné au supplice de la flagellation devait recevoir 50 coups maximum selon la loi romaine. Toutefois ce compte n’était jamais respecté, surtout lorsqu’il s’agissait d’un « criminel »…
J’en profite pour ouvrir une parenthèse sur les multiples erreurs commises dans le film de l’acteur-réalisateur américain Mel Gibson : "La Passion du Christ". Je pense que vous en avez tous entendu parlé et l’avez peut-être vu ?… Dans ce cas, vous avez du être impressionné par la barbarie outrancière démontrée au travers de ces images choquantes. Votre serviteur ne blâme pas notre ami Mel Gibson de son ignorance, car cet homme a été trompé. Il a en effet été très largement influencé par les « visions » d’une prétendue « mystique » du 19è siècle : Anne-Catherine Emmerick
Je tiens déjà à préciser que cette « mystique » n’a jamais rien écrit et tout ce que nous connaissons d’elle provient d’un poète Allemand qui aurait retranscrit les paroles de A-C Emmerick. Personnellement je suis convaincu de la bonne foi de cette femme, mais je doute de la véracité de ses dires ou des écrits. La raison de ce scepticisme provient du fait que – à la suite du film de Mel Gibson – je me suis procuré le livre : "La Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ".* Au fur et à mesure que je lisais les pages du livre, je sentais que les dites « visions » reçues par cette personne ne correspondaient ni avec les informations que m’avaient communiquées Jésus par Son Esprit, ni avec les empruntes laissées sur le Linceul de Turin. Si bien que je n’ai pu aller jusqu’au bout de cet ouvrage, tant ce que je lisais était incompatible avec la réalité des faits…
Votre serviteur ne va pas ici exposer toutes les erreurs relevées dans le livre ainsi que dans le film, mais je vais cependant souligner trois incohérences qui m’apparaissent les plus importantes :
1) – La flagellation, comme on vient de le voir plus haut n’a pas été faite par deux fois deux "esclaves bourreaux Egyptiens cruels", mais bien deux romains qui ont donné 30 coups chacun, plus un coup. Cette flagellation ne s’est pas non plus éternisée, car elle a durée entre 10 et 15 minutes tout au plus. Elle a eu lieu sur le corps dénudé de Jésus de dos et de face par les flagrum romanum uniquement, alors qu’Il était attaché par les poignets à un anneau fixé sur une grande colonne. Les fouets à griffes n’existaient pas chez les Romains, donc ils ne pouvaient pas utiliser ces instruments de torture sur le Christ. Ce qui ne signifie pas que les flagrum romanum n’étaient pas barbares. Il est utile de savoir qu’à chaque coup de fouet, les deux osselets en plomb pénétraient dans la chair jusqu’aux os et lorsqu’ils étaient retirés, ils déchiraient les muscles et la peau. Parfois il y avait trois osselets en plomb au bout des lanières en cuir. Mais pour notre Seigneur, il n’y en avait que deux par fouet. Or les hommes qui flagellaient Jésus ne frappaient jamais au même endroit, pour que la douleur soit plus vive à chaque coup porté. Il n’y avait donc pas besoin de fouet à griffes pour faire jaillir le Sang du Christ. D’autre part, il ne Lui a pas été donné de tunique neuve. Aussitôt après la flagellation, Jésus s’est habillé très péniblement avec les mêmes vêtements qu’Il portait au moment de Son arrestation au jardin de Gethsémani…
2) Au sujet de la couronne d’épines il est écrit dans ce livre : "Ils la lui placèrent autour du front en manière de bandeau, et la lièrent fortement par derrière." Or la couronne d’épines de jujubier n’a pas été liée directement sur la tête de Jésus, mais enfoncée brutalement comme un casque. Elle avait été tressée préalablement et grossièrement. D’autre part, cette couronne d’épines avait été arrachée ensuite par un garde Romain, juste avant la crucifixion, afin de pouvoir ôter facilement les vêtements de Jésus. C’est au moment où le garde arrache la couronne que le sang a jailli de la tête du Christ. Nous pouvons d’ailleurs constater sur l’image de la Sainte Face du Linceul cette spirale particulière bien marquée sur le front.1 En pénétrant dans les veines, les épines ont paradoxalement servi de bouchons. Une fois retirées, ces épines ont fait jaillir le sang en abondance, ce qui est médicalement logique après les efforts fournis du chemin de croix…
3) Notre Seigneur n’a pas porté la croix complète mais la barre transversale ( patibulum ) d’une trentaine de kilos....
Vous trouverez la suite à la page 107 de l’Ouvrage : “L��APPEL DE DIEU” en cliquant sur le lien suivant : http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/l_appel-de-dieu....pdf
http://www.prophete-du-sacre-coeur.com/ https://www.youtube.com/watch?v=1qI8FeNbFsM&t=621s https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
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chaglt · 6 years ago
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Ma semaine sans réseau social
Article un peu plus perso, que je ne partagerai pas sur Facebook (hence the title, pas sûre que "hence" soit la préposition adaptée). J'ai effacé Facebook de mes applications ce matin et j'ai l'intention de ne pas y trainer d'ici samedi matin prochain (nous sommes le 15 novembre, dans 5 semaine je suis back en Belgique !! ☺️).
J'ai toujours voulu écrire un article du type "7 jours sans pester", "5 jours de gratitude".. qu'on peut voir dans certains magazines (féminins, I know. #sexism). Comme ce blog est à mwaa et qu'il contient beaucoup de "hihihi", "hahaha" comme dirait ma mummy chérie (maman, pas momie), mais aussi une "critique" littéraire que j'aime particulièrement et un article plus reposant relatant un voyage, pourquoi ne pas y ajouter ce type de contenu. De toute façon, personne ne me lit hahaha (Rire jaune, pas le youtubeur, l'autre).
Bon, l'idée de cette semaine : éviter de trainer sur Facebook (quand je suis fatiguée j'y passe beaucoup trop de temps, à regarder beaucoup de bêtises) et sur insta. Je n'ai pas insta et j'y vais quand même, la puissance ! Inutile de vous préciser que c'est souvent pour y regarder des choses peu intelligentes, même s'il y a parfois du contenu assez sympa (j'adore le compte insta "on s'en bat le clito" par exemple, belle dose de fraîcheur par rapport à la sexualité féminine - "par rapport" est-elle la préposition adaptée ?).
Bref, je pense que ça ne peut me faire que du bien, encore plus si j'y inclus YouTube, sur lequel je peux également passer un nombre d'heures effarant. Bon allez je l'inclus, mais c'est bien parce que c'est vous.
Je viendrai faire quelques petits comptes-rendus par ici de temps en temps :)
* Jour 2 (samedi) : prise de conscience, j'ai vraiment des réflexes à aller cliquer sur des applications (comme Facebook et insta sont virés de mes possibilités, je me retranche sur les E-Mails, WhatsApp et Messenger). Le positif c'est que les applications qui me restent sont beaucoup moins chronophages, du coup je laisse vite tomber une fois que j'ai répondu à mes quelques messages (qui ne sont pas si nombreux étant donné que je ne suis pas très message) et je m'occupe autrement ☺️ Autre point positif, ça ne me manque pas (elle est mignonne elle après 48h). J'ai passé une super soirée avec Javivi hier, mais de toute façon avec lui je n'utilise pas, ou très peu, mon phone-tele (wesh). Siesta time maintenant, sans craindre de passer plus de temps à scroller mon fil dactu Facebook qu'à me reposer per se. La bise ♥️
* Jour 3 (dimanche) : contextualisons d'abord quelque peu. Je suis dans mon lit, une légère barre de fatigue au front. Il est 14h30, la siesta time donc. J'ai eu une chouette matinée à appeler Mum et Arnaud, à écouter des podcasts en allemand sur les relations (j'adore : Paarologie, recommandé par une Allemande rencontrée à Séville, et Beste Freundinnen. La fille de Paarologie s'appelle Charlotte en plus, prononcé à l'allemande (= trop cute). Continuons) et à faire le ménage #proud. J'ai mangé des canellonis pas mauvais du tout, avec un petit dessert des familles en prime. J'ai même bavardé un petit peu avec Elsa qui est revenue d'un week-end dans une ville sympa dont je n'ai pas trop compris le nom. Ce soir j'ai une soirée danse de prévue, et avant je vais peut-être voir Jacob. Après ma sieste j'appelle ma cousine d'amour. Qu'attend-elle donc pour dormir me direz-vous! Et bien je suis gluée à mon téléphone, avec l'envie irrépressible (mais que je represse parce que je suis une WARRIOR - et parce que je me suis engagée ici) d'aller me perdre dans les méandres de Facebook et d'Instagram. Alors que j'ai Simone de Beauvoir qui me fait de l'oeil. Bon j'ai cette chance d'être plutôt venue faire un compte-rendu ici, je vais donc aller me reposer telle le princesse que je suis, pour ensuite passer un reste de journée doux et agréable ♥️ Saloperies de réseaux, mais jolie prise de conscience ☺️ I'm glad I started this. 🧜
* Jour 4 (lundi): contextualisation, dans le salon. Premier "craquage", je suis allée voir les nouvelles Google. Heureusement pour moi, comme c'est de la bonne shit des familles, je n'y suis pas restée longtemps. Je me rends compte que j'ai beaucoup de temps libre, que je vais essayer d'apprendre à mieux gérer. Je suis revenue de l'école (contente de moi en plus car j'ai bien avancé dans mes quelques prépas, et contente tout court parce que j'ai eu un we magique pour la confiance en moi) mais je ne savais que faire, je n'avais pas faim mais j'ai quand même dîné, je suis partie dans mes pensées et finalement je me suis retrouvée devant les nouvelles Google a grignoter des galettes de sésame-chia (y a pire comme grignotage me direz-vous 😂). Une conclusion qui pourrait être tirée ici, c'est que je suis davantage attirée par les bêtises sur mon téléphone quand je suis désoeuvrée. Setting an intention for the day would help me I think :) Mais je suis quand même contente, j'ai réussi à couper le cycle pas trop tard en mettant un podcast et en rangeant la cuisine. Bon autre mini contextualisation, je ne dors pas vraiment bien pour le moment, et j'ai fait une insomnie hier. Ce qui n'excuse rien, mais qui peut expliquer mon petit "dérapage". Programme du reste de la journée : mettre sécher, me reposer et aller chez l'ORL. Avec le bouquin de Deepak Chopra ☺️ La bise! (Bon finalement c'est sympa ce glissement, ça met un peu de piment dans mon article)
* Jour 6 (mercredi): petit point avant d’aller au théâtre (première fois que je me repose correctement avant d’y aller, sereinement). Au fait, je suis allée 2 minutes sur Youtube mais c’est parce que c’est Pauline qui m’a envoyé un lien donc ça compte pas <3
- Je suis beaucoup plus en contact avec mes proches. Ayant beaucoup plus de temps à disposition (bueno, mieux utilisé serait la palabra mas correcta), j’envoie plus de messages, je prends plus le temps de téléphoner... et ça fait beaucoup de bien <3
- J’ai découvert Spotify, beaucoup moins chronophage que Youtube. Je peux écouter ma musique, mes podcasts magiques.. ENFIN, me diront les plus techologiques d’entre-vous!
- Je suis de meilleure humeur, plus sereine. Même si j’ai des petits soucis de sommeil pour le moment, je prends le temps de me reposer, et je ne passe plus des heures à traîner sur des comptes Instagram / sur mon fil d’actualité Facebook sans beaucoup d’intérêt qui ne me faisaient pas de bien.
- Je médite plus (prononcer “plusse”) :) Est-ce nécessaire de vous dire que ça fait du bien?
- J’écoute les nouvelles (bon ça fait deux jours, mais quand même!). J’ai découvert l’assistant Google à qui je dis “bonjour” le matin et qui me dit les nouvelles du jour, ce qui est assez sympa :) Je vais essayer de le configurer pour avoir les nouvelles dans d’autres langues aussi.
- J’écoute beaucoup plus de podcasts, en allemand et en anglais :)
Et je n’invente rien, je vous jure que tout est vrai. C’est vraiment bizarre mais cool à la fois :) Time to go to the theater! Byyye <3
* Jour 7: Qu’est-ce que je m’ennuie bon sang! C’est le premier jour durant lequel je ne fais rien (je n’ai pas donné cours à Sheila aujourd’hui avec les examens) et je m’ennuie, je suis grave :) Du coup je suis ici. A 21h30 je vais chercher mon tout premier colis “too good too go”, WOUHOUU!
J’aimerais bien traîner un coup sur Youtube mais je ne peux pas. J’avoue j’y suis allée pour terminer la vidéo de 8 minutes envoyée par l’amour de ma vie (ma soeur me manque, oui). Et je suis aussi allée sur Facebook quelques minutes pour vérifier la durée d’un événement. Et j’ai aperçu 24 notifications je pense. Parce que oui, pour les événements Facebook est assez cool :) C’est d’ailleurs grâce à Facebook que je suis allée voir le Joker avec des Américaines bien sympas :)
Bon alors si on reprend mon défi de la semaine, je pense que ça me fait du bien (confer hier), et que je me rends maintenant compte que j’ai beaucoup, beaucoup de temps libre. Heureusement que je donne des cours particuliers et que j’ai théâtre le mercredi! Ce sont les soirées qui sont parfois longues. Ici je suis à l’appart depuis 16h (il est 19:52). J’ai essayé de faire une petite sieste, mais comme j’ai dormi 9h30 la nuit passée ça n’a pas marché. J’ai un peu exploré Spotify (purée j’adore cette application), entamé quelques audiobooks, quelques podcasts... Je pense qu’il y a juste des moments où ça fait du bien de se perdre sur Youtube, de couper son cerveau et de profiter. Je n’avais même pas envie de venir vous raconter ma vie ici, c’est vous dire!
Comment je me sens? Une petite barre au front. Il faut dire que mon sommeil a été pas mal perturbé ces derniers temps. Là j’ai une musique de guitare douce de Spotify en fond, ça fait plaisir :) Mais sinon je suis contente, je prends vraiment conscience de l’effet que les réseaux sociaux peuvent avoir sur moi (et sur d’autres gens je présume). Ce qui est cool, ce que je m’ennuie mais que je n’ai pas envie d’aller sur Facebook ou Insta. Juste de me matter une série ou des vidéos un peu con sur Youtube. 
- Découvertes so far:
* Spotify
* Le plaisir d’écrire (redécouverte dans ce cas-ci)
* L’assistant Google pour avoir un bref aperçu des nouvelles le matin
* La satisfaction (redécouverte dans ce cas-ci), je sens clairement les effets de la non-comparaison (inconsciente, mais d’actualité quand j’utilise les réseaux sociaux, surtout insta de mes deux. Bien contente d’avoir jamais créé de compte d’ailleurs).
* Que j’ai énormément de temps libre, et que je peux en faire ce que je veux :)
* Ce que c’est que de s’ennuyer. Ça faisait longtemps, vraiment longtemps que je n’avais pas reçu l’ennui comme ça. C’est bon pour la santé il paraît :) Allez, je vous mets un article sur “S’ennuyer c’est bon pour la santé” juste ici:
http://www.slate.fr/story/171981/ennuyer-bon-esprit
Oh. Wow. Je viens de tilter sur la citation suivante de l’article:
“Pour que ça marche, il est crucial de se déconnecter. Sandi Mann explique que nos smartphones détruisent notre capacité à nous ennuyer et empêchent un vrai divertissement: «Nous essayons de balayer et de faire défiler l'ennui, mais en faisant cela, nous nous rendons plus enclins à l'ennui, car chaque fois que nous sortons notre téléphone, nous ne laissons pas notre esprit vagabonder et résoudre notre problème». Ne reste peut-être plus qu'à créer une appli pour s'ennuyer...”
Je me reconnais beaucoup là-dedans. Et c’est vrai que ça fait deux nuits que je fais beaucoup de rêves, un peu guérisseurs comme ça. J’ai rêvé de bébé (maman ne lit pas cet article), j’ai rêvé de Javi, de pas mal d’autres choses aussi dont je ne me souviens pas tellement. Mais vous savez, cette sensation au réveil de “résolution” de certaines choses? Ça faisait bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé, j’avais au contraire un sommeil assez peu réparateur ces derniers temps. Et quand ils disent “Nous essayons de balayer et de faire défiler l’ennui”, c’est tellement ça. Je me plonge/ plongeais dans ces réseaux en faisant défiler les fils d’actu. Oui, le temps passait. Mais je ne me sens/sentais pas bien après. Du tout.
Bon là je pense que mon corps se remet des émotions que j’ai eue depuis septembre, mais en ce qui concerne ma non-utilisation des réseaux sociaux depuis 7 jours (nous sommes le 21 et j’ai commencé le 15, plutôt 6 jours mais soit), ce n’est que du positif. Et s’ennuyer c’est assez sympa, ça me permet d’écrire, de découvrir des applications (et des artistes!) vraiment chouettes, d’écouter les nouvelles (qui l’eut crû!), de méditer un peu plus... Et puis je me sens reposée. Et ça c’est gai. Même si je ne dors pas bien.
Le jour qui m’a le plus marquée c’est hier. Insomnie la veille, je serais rentrée de ma grande journée à l’école de mauvaise humeur et je me serai plongée dans Facebook, sans vraiment me reposer avant d’aller au théâtre. Ici je suis rentrée, j’ai pris le temps de me poser, j’ai laissé les émotions couler (yes j’ai chialé bouuh), j’étais épuisée. Et j’ai fait une sieste de laquelle je n’ai pas réussi à me réveiller tout de suite. Et je suis allée sereinement au théâtre, car je me suis réveillée 1h30 avant, j’ai pu appeler ma Mutti (seuls les Allemands comprendront), me faire à manger... Un monde de différence. C’est chouette, il y a définitivement un mieux. Un bien mieux même :)
Je m’attendais à ce que l’expérience soit positive, mais à ce point-là! Et faire le point régulièrement me permet de voir tout ça, c’est vraiment gai :) Ça me donne envie de faire d’autres articles du genre, ça me donne une motivation héhé.
La semaine prochaine, je vous écris un article “ma semaine sans respirer”. On verra ce que ça donnera :D J’ai hâte!
Bisouus!
À samedi prochain ! (Oui je me vois déjà dans Flair ou autre 😎)
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les-portes-du-sud · 6 years ago
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Nawell Madani
Peu importe ta couleur. La couleur de peau importe peu. La couleur de ton âme nous éclaire encore plus, encore mieux. Elle indique jusqu’à quel point tu es proche ou loin de Dieu. Jusqu’à quel point tu peux être obscur ou lumineux, sans valeur ou valeureux, dégénéré ou généreux… car notre rapport à l’absolu est ce que nous avons de plus sérieux. Plus dignes d’être pris au sérieux.
L’Absolu n’est visible à l’œil nu qu’à travers deux choses : la patrie et le parti pris éthique ou religieux. Parce qu’il n’y a pas d’âme sans lieu et sans Dieu.
Mon propos peut sembler abstrait ou curieux. Pour l’illustrer, j’ai choisi de vous rapporter en quelques mots le profil d’un pays où je n’ai que des amis : l’Algérie.
J’ai fait comme si c’était une dame et je me suis interrogée sur la couleur de son âme.
Ce qui la distingue c’est le tout ou rien… toute l’âme ou rien de l’âme… la vie vécu ou perçue comme une session sans concession. Exigence pure qui va jusqu’à la démesure.
L’Algérien c’est soit tout, soit rien. Il n’est pas plus arabe que berbère, pas plus ceci que cela, il est avant tout et surtout Algérien.
C’est son identité première et dernière : son Algérité… son Algéritude.
Certains diront son idiosyncrasie : tout Algérien est Algérien par défaut et par excès parce qu’il a une faim sans fin, un rêve sans trêve, un dépit sans répit.
Sa vie quelle qu’elle soit est trop petite pour lui. Pour la supporter il utilise deux points d’appui : sa patrie et son infini. Et les deux réunis le dispensent de toute position d’abri, de tout repli. C’est pour cette raison que l’Algérien n’a peur de rien.
C’est Albert Camus, l’Algérien, qui nous apprit plus que n’importe qui ce que c’est que le courage impavide… de celui qui saute avant et réfléchit après.
C’est Kylian MBappé même s’il n’est Algérien qu’à moitié, qui déclare aux bons entendeurs qu’il faut cesser d’avoir peur. C’est ce qui s’appelle être entier… entièrement Algérien.
C’est Eric Zemmour l’Algérien, qui en veut aux Algériens de l’avoir chassé du paradis et rêve de les voir brûler en enfer ! et pourtant il doit à l’Algérie toute l’audace qu’il utilise pour faire de l’esprit.
Ah j’ai failli oublier le coup de boule de Zidane ! qui signifie que « son honneur se situe bien au-dessus des honneurs ».
Oui à la gloire… mais pas à n’importe quel prix ! C’est ça l’Algérie… l’Algérité… l’Algéritude.
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christophe76460 · 3 months ago
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Lecture proposée: Matthieu 23.37-39
Vous ne me verrez plus désormais jusqu’à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur. ( Matthieu 23.39)
Mais ils l’ont dit : « Béni soit le roi qui vient… » Oui, mais ceux qui l’ont dit, c’était la multitude des disciples qui l’avaient, pour la plupart, accompagné depuis la Galilée. Des Juifs avaient même été scandalisés et avaient tenté de les faire taire. Et Jésus avait répondu
: S’ils se taisent, les pierres crieront.
C’est en face de Jérusalem, peu après, et à elle, en particulier à ses chefs religieux, qu’il a dit : Que de fois j’ai voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu. Il savait qu’une fois de plus, il ne serait pas entendu et même, que, cette fois-ci ils le tueraient. Aussi s’adressait-il à eux en ces mots : Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés…
Les conséquences du refus de cette semaine dite ‘sainte’, allaient être longues et profondément douloureuses pour le peuple élu. Même sa résurrection proclamée par des apôtres convaincus presque malgré eux, ne les conduirait pas à la repentance et près de 2000 ans allaient s’écouler, pour Israël, dans les persécutions, la dispersion, les pogroms, la shoah, et, aujourd’hui, l’abandon international dans un territoire indéfendable.
Mais la maison n’est plus vraiment déserte. Le temps est proche où ils LE verront revenir et, cette fois, diront d’un même coeur: Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur.
Chrétiens, prions pour que ce soit très bientôt.
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charlycade · 6 years ago
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English version below
14 avril 2019, C'est maintenant officiel. Ces mots signent la fin de mon aventure chez Vans et sans vous mentir, c’est assez étrange comme sensation.
En ayant refermé derrière moi la porte du 1334 rue sainte-Catherine, je n'ai pas juste dit au revoir à un endroit: malgré les cinquantaines de paires qui s’empilent, d’aussi loin que je me souvienne, la seule chose qui a marqué mon image sont mes paires de Vans. C’était une évidence pour moi d’accepter un poste et d’y laisser mon empreinte. Ce n'est pas seulement une semelle, ça représente tout ce j’ai pu aimer, vivre, partager et tout ce que je suis, une partie de mon identité. Mais voilà, nous sommes à l'abri de rien et tout ce que j’étais n’est plus tout à fait ce que je suis. Bien sûr aucun souvenir, aucun endroit, ni personne ne me quittera vraiment. Cependant, avec le changement vient le besoin du renouveau, d'un nouveau départ. Suite à un arrêt de travail, j’ai décidé de quitter ma seconde famille. Une décision difficile mais voulue. De cette absence, je n’ai jamais pu dire au revoir à mes collègues, à cet endroit, à ces dernières années et surtout à mes amis. C’est la raison pour laquelle j’écris ces mots. Je garderai proche de mon cœur les personnes que j’ai rencontrées et elles se reconnaîtront. Sachez que Je pars fière de l’impact que j’ai pu laisser au sein notre équipe (8108): j’ai fait de mon mieux pour vous déléguer tout ce que je pouvais, tout en essayant de vous inspirer chaque jour. Et je suis persuadée que grâce à cela vous avez jamais abandonné. C'est maintenant à vous de montrer de quoi vous êtes capable. Si j'ai cru en vous, c'est qu'il y a une raison.
Quitter vans, c’est quitter la personne que j’étais.
Je me suis longtemps dit que le futur était tracé si on savait ce qu'on voulait, quand tout d'un coup tout est devenu imprévisible. Je ne savais plus ce que je voulais. Je me suis longtemps dit “je veux faire ça”, “je dois faire ça” et “je rêve de ça” pour finalement rien vouloir de tout “ça”. Tout a longtemps été idéalisé, puis tout à disparu. J’ai d’abord paniqué de voir tout se décomposer en mille morceaux, mais aujourd'hui j’essaye et m’efforce de ramasser ces morceaux, petits à petits, pour mieux les mettre à leur place. 
Peut-être faudrait-il toujours espérer le pire, pour mieux se reconstruire et en faire quelque chose mieux ? Mais la principale raison est que j'ai toujours pensé que j'étais forte mentalement (ma famille et mes amis vous le diront), mais j’ai aussi appris que rien ne nous évite l’éventuel épuisement psychologique. Je n'ai pas eu un parcours facile pour des raisons de santé et même si ça été un obstacle toute ma vie, j'ai quand même appris à grandir avec et à me dire que les choses arrivent pour une raison. Mais dernièrement j'ai réalisé que mon unique obstacle ne pouvait être que moi. D'aussi longtemps que je me souvienne, je n'ai jamais eu peur, peur des échecs, d'être blessé, d'abandonner ou d'être abandonné, mais vous savez quoi j'ai toujours ressenti cette boule de feu à l'intérieur de moi. Et J'ai merdé, elle était bien là pour une raison: je n'ai fait que taire la douleur, tout ce que j'ai pu ressentir, le bon comme le mauvais jusqu'à qu'il n'est plus rien. Sous une pierre, se cache de l’or.
Alors s’il vous plaît, si vous souffrez de dépression sachez que ça ne détermine pas qui vous êtes. Notre corps construit parfois des boucliers pour nous protéger du monde qui nous entoure. Il est important de prendre du temps pour vous et de ne jamais abandonné. On entend souvent « its okay not to be okay » mais la vérité c’est que ça ne l'est pas. Il ne faut pas avoir honte et parler, car même si certaines choses ne sont pas claires, c’est seulement en grattant votre roche que l’or scintillera à nouveau. Nous sommes tous importants et méritons plus qu’un simple « okay ». Le faux bonheur reste la pire des tristesses. Sachez que je n’oublierais jamais tous ces moments, ce qui ont cru en moi et tous ce que cela a pu m’apporter. Cependant, Il faut savoir construire sa carrière autour de votre vie, pas sa vie autour de sa carrière. Vous ne pouvez pas passer votre vie entière à tenir la porte aux autres et être en colère ou triste parce que personne ne vous en a remercié, parce que personne ne vous a demandé de tenir cette putain de porte. Alors, vivez votre passion, battez -vous pour vous-même, essayez-vous, trompez-vous et recommencer. Priorisez ces choses qui améliorent votre qualité de vie. Soyez fier de vous et n’oubliez jamais ce qui fait battre votre cœur.
Stay gold. 
April 14th, 2019, it is now official. Those words mean the end of my adventure at Vans and without lying, it is a very strange feeling.
While closing the doors of the 1334 Saint-Catherine street behind me, I didn’t only say goodbye to a place; despite the 50 and more pairs that are piling up, as far as I can remember, the only thing that marked my image are my pair of Vans. It was evident for me to accept a position for this brand and to leave my mark. It is not only about the sole, it represented everything that I loved, lived, shared and everything that I am, a part of my identity. But alas, we are aren’t safe from everything and everything that I was isn’t exactly who I am anymore. With that said every memory, place and person will always be a part of me. However, with change comes the need to renew, to a new beginning. Following a sick leave, I decided to leave my second family. A wanted but difficult decision to take. And with that I never had the chance to say goodbye to my colleagues, to that place, to those last years and especially to my friends, which is the reason why I am writing these words. I’ll keep close to my heart the people that I’ve met along the way and they’ll recognize themselves. Be sure that I’m leaving proud of the impact that I left on our team (8108): I did my best to delegate everything I could, in the means to inspire you all everyday. And I am quite sure that thanks to it, none of you ever gave up. It is now to you to show what you are made of. If I believed in you, then there was a reason for it.
Leaving Vans, is leaving the person I was. I’ve always told myself that the future was written in stars if we knew what we wanted, when all of a sudden I didn’t know what I wanted, all became unforeseeable. For the longest time I was driven by the “I want to do that”, “I need to do that” and “ I dream of that” to finally not wanting to do none of “that”. Everything has, for so long, been idealized and then everything disappeared. First I panicked at the sight of it all, crumbling into a million pieces, but today I’m trying and fighting to pick the pieces up, little by little, to better fit them at their place. 
Maybe we should hope for the worst, to rebuild ourselves and make something better? But the main reason is that I always thought I was mentally strong (friends and family could attest to that), however I’ve also learned that nothing escapes the inevitable psychological weariness. I never really had the easiest path due to health reasons and even if it was an obstacle my whole life, I still managed to live and grow with it, and to tell myself that things happen for a reason. Recently I realized that my only obstacle in life, could only be me. As long as I can remember, I was never afraid of anything, afraid of failure, afraid of being hurt, of giving up or others giving up on me. But you know what? I’ve always felt I had this fire inside of me. And I messed up, it was there for a reason: all I did was suppress the pain, everything I could’ve felt, the good just like the bad until there was nothing left. Inside the rock lies gold. 
So please, if you ever suffer from depression know that it doesn’t make you who you are. Sometimes our body and soul creates these walls and barriers to protect us from the world that surrounds us. It is important to take time for yourself and to never give up. We always hear “it’s okay not to be okay” but the truth of the matter is that it’s not. We shouldn’t feel ashamed, on the contrary we should speak about it, because even though some things aren’t clear, it’s only by scratching that rock that the gold will shine through and sparkle again. We are all important and deserve more than a simple “okay”. The worst sadness is a false happiness. I will never forget all those moments, those that believed in me and everything that it has brought me. Yet, we need to start building our career around our life and not our life around our career. You can’t live your entire life holding the door open for others and be upset or sad when no one thanks you for it, because no one has asked you to hold that goddamn door. With all being said, live your passion, fight for yourself, take chances, make mistakes and try again. Prioritize those things that make your life that much better. Be proud of yourselves and never forget what keeps that heart beating.
Stay gold.
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lifeisjock-blog1 · 6 years ago
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Vous savez quoi? On vit dans un monde où:
tous le monde va mal,
qui se plaint,
qui se fais du mal,
ou tous le monde veut avoir de l'intention par tous les moyens,
qui est stressé et triste h24.
Et moi, ça me saoule en faite.
Alors que en réalités la solution c'est de parler à ces proches. Pas de balancer tout et n'importe quoi sur les réseaux. De profiter de la vie parce que c'est vrai on en un qu'une !
Il faut réduire les mauvaises penser par tous les moyens et arrêter de tous dramatiser sérieux.
Beaucoup me diront "haha c'est facil à dire !!" Oui, ça l'est, mais c'est facil à faire, si on en a réellement envi.
Alors respirer, sourier et profiter des bons moments, soyer épanoui dans ce que vous entreprenez et soyer au prêt des gens que vous aimez.
Tout cela reste mon point de vu.
Personne pourra le changer je dis bien "personne".
Après si toi là, oui, toi qui lis ce message, tu vas mal et que tu veux allez biens. Je te recommande tout ce que j'ai dis précédemment, c'est ce que je fais moi. Et je te souhaite d'être heureux.
Après si tu dis que sa sert à rien ou que tu essaye de trouver une escuse, c'est toi qui est libre de ton corp, fais ce que tu veux, si tu pense que allé mal est la meilleur des choses, libre à toi.
Bref. Peace and love.
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cernesciment · 2 years ago
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(À propos de King Charles III sur les billets de 20$) Gardez la votre monarchie, célébrez la autant que vous voudrez, c'est pas moi qui va chialer sur vos traditions mais venez pas nous l'imposer une fois de plus. Certains diront que c'est juste un bill de 20 piastres, pour les gueux, c'est un regard direct sur la prison monarchique canadienne-anglaise, un regard obligatoire pour tougher jusqu'à la prochaine paye. On remplace une vieille plissé par un vieux sénile, me semble qu'on a autre chose à célébrer, autant pour les fédéralistes que les souvrainistes. Si jamais on peut s'entendre sur quelque chose, c'est ben ça. Un gaspillage médiatique, d'énergie et de temps. On passe notre temps à regarder notre nombril, mais quand l'Angleterre souffle ses trompettes, on regarde au loin. Le paradoxe vit en chacun de nous, le nez trop proche de la bouche, on sent la marde.
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