#chronique lecture
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De nouveaux avis de lecture sur mon dernier roman
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Dernières lectures pour les prochains mois
De nouveaux livres, de nouvelles maisons d’édition, de nouvelles chroniques… tant de découvertes excitantes à venir! Ce sont ceux qui, ces prochains mois, rythmeront mes lectures et mes chroniques. C’est une réception habituelle de livres, une véritable fête pour les passionnés de littérature. Sans compter ceux des auteurs autoédités ou non, qui apportent une diversité inestimable et souvent des…
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📌[LIVRE] Dans le numéro 11, le journal Embarquements innove. La rubrique « La petite librairie » 📚 s’agrandit et occupe une pleine page. Le fruit des lectures et de la plume ✒️ de Magali Brieussel de La Géosphère, librairie de voyage à Montpellier.
〰️ LA CHRONIQUE 🔖 L’illustrateur Virgile Dureuil, qui avait déjà adapté en bande dessinée deux ouvrages de Sylvain Tesson, revient avec une mise en images aussi magistrale que fidèle de L’Axe du loup, l’une des aventures les plus (…)
Pour lire la chronique en intégralité, abonnez-vous et soutenez le journal EmbarquementsEmbarquements, un média papier 100% indépendant, 0% pub 👇 www.embarquements.com
〰️ 📕 LE LIVRE L’Axe du loup de Virgile Dureuil, 128 pages - 21 €, Casterman BD.
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LE TON 🐌 ÉLOGE DE LA LENTEUR 🍃 Partir loin – ou pas. Mais partir lentement. Voilà une idée qui, de plus en plus, fait son chemin. Que ce soit au sein des frontières de nos régions françaises ou à travers les immensités d’Asie centrale, les livres de notre sélection invitent à prendre le temps. Le temps de la contemplation… ou celui de la vengeance ! Premier ouvrage de sa sélection.
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Le premier volet de la série de huit livres, intitulé L’Héritage d’Estée et écrit par Soraya Lane, explore les vies tourmentées de femmes confrontées à des secrets familiaux. La traduction en français de ce roman a été réalisée par Hélène Tordo.
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Coucou,
Nouvelle chronique pour SCE !
Encore un immense merci à Lily @la_bibli_de_lily pour sa lecture et ce service presse 🙏❤️
Quelle jolie photo également, nous sommes gâtés 😍
Vous pouvez aller lire la chronique en entier sur son compte 😊
« Soixante centimètres d’écart ! » est une romance cocooning où l’écoute, le respect et la tendresse sont la base 🥰
Ce SP a été réalisé via Bookfluencers.io 📚
⭐ Roman disponible en formats numériques : ebook + lecture gratuite avec l’abonnement Kindle. Vous pouvez aussi lire un extrait 📖 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS/
⭐ En versions papiers : broché et relié 📚 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska/dp/B0C5YYNZ26/
Bonne journée 🍁
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Lectures 2024
A lire
L'assassin royal - Époque 1, Robin Hobb
Jusqu'au bout de la peur, Geoffrey Moorhouse
Batman, Année un, Frank Miller, David Mazzucchelli
La Passe-miroir, Livre 1, Christelle Dabos
Petit traité des grandes vertus, André Comte-Sponville
Le clan des Otori, tomes 4 et 5, Lian Hearn
La patience des traces, Jeanne Benameur
Arbos Anima 3,4 et 5
Donjon
Kafka sur le rivage, Murakami
Chroniques de l'oiseau à ressort, Murakami
1q84, tomes 2 et 3, Haruki Murakami
La danse des damnées, Kiran milwood hargrave
Rocky, dernier rivage, Thomas Gunzig
Les déraisons, Odile d'Outremont
Envol, Kathleen Jennings
Fables livre 1, Bill Willingham et Mark Buckingham
Un apprentissage ou le livre des plaisirs
La belle famille, Laure de Rivières
Le fardeau tranquille des choses, Ruth L. Ozeki
L'été où tout a fondu, Tiffany Mc Daniel
Et toujours les forêts, Sandrine Collette
Une bête au paradis, Cécile Coulon
Le livre d'Eve, Meg Clothier
L'heure du retour. Christopher M. Hood
La femme gelée, Annie Ernaux
Lus: (les tags ci dessous pour retrouver mon petit mot pour chaque livre)
1. Tant que le café est encore chaud, Toshikazu Kawaguchi ⭐⭐⭐⭐ - 01/01
2. Prométhée et la boîte de Pandore, Luc Ferry (BD) ⭐⭐ - 17/01
3. La maison aux sortilèges, Emilia Hart. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/01
4. Le chant d'Achille, Madeline Miller. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 25/02
5. Accident de personne, Florence Mendez. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 27/02
6. L'été de la sorcière, Nashiki Kaho ⭐⭐⭐⭐⭐ - 08/03
7. 10000 litres d'horreur pure, Thomas Gunzig ⭐⭐⭐⭐⭐ - 09/03
8. Les jolis garçons, Delphine de Vigan ⭐⭐⭐⭐ - 14/03
9. Là où les arbres rencontrent les étoiles, Glendy Vanderah ⭐⭐⭐⭐⭐ - 24/03
10. Patients, Grand Corps Malade. ⭐⭐⭐⭐ - 20/04
11. Le passage de la nuit, Murakami ⭐⭐⭐⭐ - 29/04
12. Un miracle, Victoria Mas ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/05
13. Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/05
14. Acide sulfurique, Amélie Nothomb ⭐⭐⭐⭐⭐ - 30/05
15. Croire aux fauves, Nastassja Martin ⭐⭐⭐⭐ - 31/05
16. La clarté de la Lune, Lian Hearn ❤️❤️❤️❤️❤️ - 02/07
17. Mon mari, Maud Ventura. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/07
18. J'étais là avant, Katherine Pancol ⭐⭐⭐⭐ - 31/07
19. Au prochain arrêt, Hiro Arikawa ⭐⭐⭐⭐ - 04/08
20. Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ⭐⭐⭐⭐⭐- 24/08
21. Les papillons, Barcella. ⭐⭐⭐- 01/09
22. L'homme coquillage, Asli Erdogan ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/09
23. Autopsy, Sophie Buyse. ⭐⭐⭐ - 17/10
24. Morphine, Mikhaïl Boulgakov. ⭐⭐⭐⭐ - 19/10
25. Le jeune homme, Annie Ernaux ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/10
26. Tout le bleu du ciel, Roman graphique d'après le roman de Melissa da Costa ⭐⭐⭐⭐ - 20/10
27. Antigone, Anouilh. ⭐⭐⭐⭐ - 11/11
28. Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, E.E. Schmitt. ⭐⭐⭐ - 14/11 #fleurs #j'ai mis trop de hashtags
29. Au bal des absents, Catherine Dufour. ⭐⭐⭐ 22/12 (thème de la maison hantée)
30. La végétarienne, Han Kang ⭐⭐⭐⭐⭐ 29/12

#livres 24#livres 23#livres 22#café#pandore#sortilèges#Achille#accident#été#horreur pure#garçons#étoiles#patients#nuit#miracle#condamné#acide#fauves#clarté#mari#avant#arrêt#vivants#papillons#homme coquillage#autopsy#morph#jeune homme#bleu#Antigone
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Ça ne s’arrange pas… j’ai fini et adoré ce livre et pourtant je traîne des pieds pour en faire la chronique… chose que j’adorais faire, avant.
Je le fais quand même, ne serait-ce que pour garde une trace de cette lecture.
Excellent premier roman, d’une anglaise inconnue. Un livre qui plairait à Kate Bush, je le parie.
Un trauma de l’enfance, la vie rurale, une famille soudée mais qui parle peu, des comptines, une maison décatie que l’on aime. La vie qui suit, la construction de soi, avec ce manque, ces interrogations, la culpabilité, l’incompréhension… être mère, penser à sa mère…
Tout est raconté au plus juste. Tout donne juste dans ce roman. Les descriptions, les actions, leurs imperfections, les détails qui viennent heurter les intentions, la matérialité d’un monde dont on ne peut faire abstraction, et tant mieux finalement.
J’ai adoré. J’étais triste de quitter cette famille de guingois.
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28 novembre
au soleil sur le nouveau canapé mais quel luxe d'avoir accès au soleil. j'ai rêvé de a. et de son double au bout d'un bras de mer sur une passerelle accrochée à la falaise. on allait voir l'arc-en-ciel au bout du bras de mer mais c'était un faux arc-en-ciel, une fille en tenait le bout à côté d'une porte vitrée. la plateforme pour voir l'arc-en-ciel était toute petite et le double de a. me touchait. ça faisait trop longtemps que j'avais pas rêvé d'une fille qui me touche. je lui disais que je savais qu'y avait un arc-en-ciel au bout du bras de mer parce qu'un chat me l'avait dit ce matin, mais c'est pas possible les chats ne parlent pas. je devais donc déjà le savoir. j'étais par terre dans le noir avec le chat et quand il s'est intéressé à moi j'étais folle de joie. il m'a montré comment me laver le visage avec ma patte et je devais faire comme lui.
autres trucs bien d'être de retour à la maison: chanter à plein poumons dans la douche et craquer mes noisettes avec les dents en écoutant un morceau intitulé l'écureuil agité sur france musique. parfois je craquais mes noisettes avec mes dents à berlin mais j'avais toujours peur que quelqu'un rentre dans la cuisine à ce moment-là.
mardi soir f. m'a dit qu'elle avait été diagnostiquée autiste et je me suis rendu compte que le fait de le savoir noir sur blanc officiellement ça changeait tout. pour moi. c'est plus des spéculations, c'est un fait biologique. tout d'un coup plein d'aspects de ma relation compliquée avec elle ont pris sens. si je me faisais diagnostiquer autiste est-ce que plein d'aspects de ma vie feraient soudain sens? et si j'avais été virée de la librairie sans raison parce que je suis autiste? et si les gens étaient touchés quand je suis sur scène parce que je suis autiste? et si r. était mon ami parce que je suis autiste? et si je comprenais rien à la vie parce que je suis autiste? ?? et si je retrouve plus jamais de coloc avec des gens aussi gentils et tolérants que j. n. et d.? mardi soir j. m'a écrit gute nacht avec un coeur mais je dormais déjà.
je suis en train de feuilleter l'odeur des pierres mouillées de léa rivière (l'amie de a.) pour mon atelier d'écriture et elle dit "tenter de définir des gender roles c'est comme essayer de trouver le pied d'un arc-en-ciel" mais moi je l'ai trouvé le pied de l'arc-en-ciel cette nuit et j'étais avec a. et c'était un FAUX. mes rêves sont beaucoup plus profonds que moi, je me demande qui les fabrique.
29 novembre
la deuxième épreuve de la semaine est passée, troisième si on compte le voyage de mardi, mais la lecture est celle que je craignais le moins parce que j'adore les lectures. depuis que f. m'a dit qu'elle était autiste c'est comme si moi aussi j'avais été diagnostiquée. est-ce que je devrais intituler mon texte chronique d'une autiste à berlin? juste après ma lecture pendant la pause je suis allée boire un truc au bar et un type du rainbow center est venu me dire qu'il avait adoré et il m'a donné sa carte pour que je lui envoie un texte pour leur magazine. il m'a demandé ce que je faisais au luxembourg et j'ai dit que je donnais des cours de luxembourgeois et il m'a dit qu'ils cherchaient des gens pour donner des cours, facile comme bonjour. e. m'a proposé de publier mon texte dans la future anthologie des trois premiers numéros de leur revue, j'ai dit que j'y réfléchirais, j'ai pas osé lui dire que je voulais le publier moi-même, peut être sous forme de chapbook. j'ai pas dit à j. que j'avais lu un texte en partie sur lui hier soir non plus.
je suis manifestement née pour souffrir, souffrir et écrire souffrir et puis écrire. dans mon texte hier soir je disais i have ptsd when i have to have fun et ce soir j’en ai fait la démonstration concrète à la soirée karaoké. je suis partie avant la fin parce que je commençais à sentir monter la colère en réaction à mon incapacité à participer au fun ambiant. je suis partie au bord des larmes, j’ai attendu de passer devant e. r. qui fumait dehors et une fois plongée dans l’obscurité totale de l’allée j’ai pleuré. je me répétais you’re ok it’s gonna be ok un jour un jour un jour ça ira mieux pendant que les larmes me coulaient sur les joues sans discontinuer drama drama dramatique. une fois dans le train j’ai mis de la musique qui fait du bruit avec des gens qui hurlent et ça m’a calmée. quand e. p. m’a dit au revoir j’ai senti la pitié dans sa voix. elle venait de chanter baby one more time avec j. et s. en se frottant lascivement contre elles et moi j’ai pas bougé de ma chaise de toute la soirée, les jambes croisés la bouche cousue, même pendant avril lavigne, même pendant kelly clarkson, même pendant taylor swift, incroyable incroyable incroyable cerveau. je fixais l’appli de mobilité sur mon téléphone comme si ça allait me téléporter à la maison en me disant que c’était la dernière fois que je faisais des efforts, c’est terminé, j’abandonne, je suis une cause perdue. je dois acheter un synthé écrire des chansons et les chanter sur scène, c’est le seul moyen. ça doit être moi l’artiste pour que j’arrive à lâcher. si c’est moi l’artiste je m’autorise.
le photographe de hier soir est venu me reféliciter pour mon texte, il m’a demandé si j’écrivais pour la scène, il m’a dit qu’il avait parlé de moi à e. r. la comédienne tu la connais? j’ai dit non alors que j’avais fait une lecture avec elle à la kufa l’année dernière. je suis vraiment une catastrophe sociale. il m’a dit qu’il allait aussi suggérer mon nom à celle qui s’occupe du projet des promenades littéraires pour la luga. j’en revenais pas de sa gentillesse. j’étais tellement enchantée que j’ai touché ma nouvelle boucle d’oreille interdite sans m’en rendre compte. je suis contente des retours que j’ai reçus parce que j’avais vraiment peur d’être trop larmoyante et autocentrée. j. m’a dit qu’elle était fan de tout ce que j’écrivais, bébé. j’aurais tellement aimé chanter avril lavigne avec elle. autres bonnes nouvelles: mon cours de luxembourgeois s’est mieux passé que celui de mercredi, mon atelier d’écriture de demain a été annulé faute d’inscriptions mais je vais quand même être payée 250 euros. s’il avait eu lieu j’aurais touché le double. c'est le seul pays où je suis payée une fortune pour des trucs littéraires mais c'est aussi le seul où ça intéresse personne. ça me rend folle, avec toutes les mega coupes budgétaires culturelles à berlin et à bruxelles en ce moment.
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Lecture Chiisako Garden

Bonjour tout le monde ! Comment vous sentez-vous aujourd'hui ? Êtes-vous en forme ? J'espère que la fin d'année se passe bien de vos côtés et que les fêtes auront été agréables. Pour les curieux, ce sera un manga aujourd'hui, un petit One Shot qui, je l'espère, vous intriguera ne serait-ce qu'un peu après mon avis. Les chiisakos sont des êtres minuscules qui vivent dans la nature. Pour avoir une chance de les voir, il faut être un enfant ou n'avoir jamais connu l'amour. Pour les personnes concernées, ces rencontres s'avèrent très riches en émotions et peuvent apporter le bonheur. Une petite fille va se rapprocher de sa mère, un responsable éditorial prend conscience de ses sentiments pour une auteure, deux époux osent se parler franchement, un garçon déscolarisé affronte l'extérieur... A travers le temps, il y a toujours des rencontres improbables qui changent les personnes. Néanmoins, il n'est pas évident de côtoyer des chiisakos sans passer pour un rêveur ou un fou... Cinq histoires courtes parsèment ce manga de Yuki Kodama, un manga nous entraînant tout simplement dans notre monde, celui que nous connaissons, mais avec un petit élément en plus : les chiisako. Avant de débuter la chronique comme il se doit, je tiens à ajouter que « Chiisako Garden » est l’un de mes premiers titres des éditions Vega et qu’il est arrivé en même temps que le tome 1 de « Deep Sea Aquarium Magmel », deux mangas qui m’ont fait découvrir cet éditeur. Les Chiisako sont de petites créatures humanoïdes vivant dans les jardins ou tout simplement en pleine nature. Visibles la majeure partie du temps par les enfants, ils le sont tant que l’être humain ne ressent pas un sentiment que nous connaissons pour la majeure partie : « L’amour ». Une émotion si forte qu’elle fait que notre vision se modifie petit à petit, que notre cœur se lie d’une certaine façon à quelqu’un. Cela peut se passer à tout âge, même si c’est bien plus fréquent que nous ne les apercevions plus durant l’adolescence, mais il arrive tout de même que des adultes aient gardé un cœur « pur ». Façon de parler bien sûr, mais vous aurez compris que dès l’arrivée de ce sentiment nos amis les chiisako disparaissent progressivement de notre vision et ouïe, ils sont toujours présents, mais invisibles faisant que la destruction de leur habitat peut aisément se faire sans que nous ne le réalisions… A moins d’écouter un enfant, une personne pouvant encore les apercevoir, malheureusement beaucoup finiraient par oublier la présence des petits êtres, pourraient finir par « rire » ou demander d’arrêter de faire des « caprices » suite à l’une ou l’autre remarque. Jusqu’à réaliser, se souvenir de petits moments du passé… Ce que j’ai eu durant la lecture suite à mes différents visionnages des « Minipouces ». Oui, petite je croyais qu’il y avait de petits êtres quelque part dans la maison… Vous vous en doutez sûrement, oui, j’ai vu « Arthur et les Minimoy » ainsi qu’ « Arrietty, le petit monde des chapardeurs » et je lis « Minuscule ». Donc oui… Le monde du « minuscule » m’a naturellement intriguée très tôt et je l’ai apprécié comme vous le voyez. Les différentes histoires présentes dans ce manga sont réellement douces, montre une évolution des personnages, des réalisations, des choix à effectuer ou tout simplement le fait de se souvenir comme mentionné plus haut. Garder une part de l’enfant que l’on a été, de celui qui voyait des « choses » que les adultes semblent avoir oublié, auxquelles ces derniers ne veulent plus croire. Chacune des petites histoires apporte un élément en plus, touche à sa manière et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. D’ailleurs, les personnages sont variés autant en âge qu’au niveau des métiers, des soucis, des rêves et il n’est pas difficile de les suivre, de trouver certaines scènes mignonnes, de se dire que d’autres font réfléchir. Au niveau du dessin, il vous sera connu si vous avez déjà lu son œuvre phare « Kids on the Slope », sinon ce sera de la découverte ! Je trouve qu’il va à merveille au titre, lui rajoute un petit quelque chose qui lui est propre, mais je sais également qu’il ne plaira probablement pas à tout le monde car les goûts sont dans la nature, variés et que ce qui me plait, ne plaira peut-être pas à quelqu’un d’autre. C’est logique car totalement subjectif. J’ai bien aimé contempler certaines planches, me laisser envahir par l’atmosphère s’y trouvant, profiter juste durant quelques instants de ce que j’avais sous les yeux grâce à la douceur et à la fluidité des traits avant de tourner à la page suivante et c’est, à mon sens, le plus important ! Du coup, vous l’aurez probablement compris, mais « Chiisako Garden » a été une douce et belle découverte dans laquelle j’ai apprécié me plonger, profiter. Une lecture dans laquelle je me replongerai probablement lors d’un petit coup de mou ou juste l’envie de retrouver des êtres auxquels je me suis tout de même attachée en une seule lecture. Ce One-Shot a été un véritable bonbon du début à la fin et le fait d’avoir plusieurs histoires ne force pas spécialement, à la relecture, à toutes les relire, il est simple de se replonger dans l’une d’elle juste parce qu’elle nous fait envie.
Coup de coeur Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Read the full article
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I'm a English native and I'm learning French I can have a short conversation in French but I'm really slow and takes time to understand some words. I used to be in French classes in highschool (I'm going to be a senior in highschool when it starts up) what would you recommend for me to use to help learn more? I'm currently using droplets and Duolingo for studying (Droplets for vocabulary and Duolingo for grammar, reading things like that) what would you recommend for me to use thats free or doesn't cost that much? It would help a lot thank you
Hi!
Duolingo and Droplets are good resources for starters.
there are several things you can do if you want to go further.
Check out RFI (Radio France International) : You'll find free listening and reading resources abt French speaking news. I highly recommend you listen and then read the podcast episodes of LES MOTS D'ACTUALITÉ (words that are the news - they will explain the origin and meanings of 1 word that is relevant these days in France). but be curious and check out the rest, they have lots of good stuff.
Read news articles for free on official news website France Info, RTBF (Belgium). you'll find some free articles on Le Monde, Libération, Le Parisien, etc.
find lessons and exercises on Francaisfacile.com to get a better understanding of grammar, conjugations, tenses, etc.
Read 19th Guy de Maupassanant's (King of French fantastique genre) short stories on Wikisource. Highly recommend "La Main" ("The Hand", kinda horror, but really famous)
-> when you're more confident abt reading novels in French, just search for any 19th writer + Wikisource and you should be able to find their works in full for free. My favs are Zola, Balzac, Victor Hugo (Les Misérables' writer !), Flaubert, Dumas (Les Trois Mousquetaires' writer !), George Sand, Stendhal (esp La Chartreuse de Parme) etc.
if you have doubts about how to say something like a native, ask someone on HiNative you'll always have some French speaking ppl to help you.
- Familiarise yourself with spoken French with youtube/podcasts/etc (anything that's material for listening skills). If you're on youtube you can check channels like
Vogue France and their street style, with subtitles and lots of fashion and slang vocab! I used it in my French lesson and it worked quite well.
Yes Vous Aime was a comedy skits channel, with French subtitles. They did parodies, you can check it out!
Paul Taylor is a British stand up comedian. He's doing skits and specials in both French and English, and he's honestly perfect at grasping and vulgarising French oddities either in the language or the french society.
Clément Viktorovitch and his weekly analysis on French politics/news on Franceinfo. As you may already know, we're very passionate about our political life in France. so you can get used to the vocab have a gist of it with these chroniques radio.
Karambolage - it's a bilingual channel (German & French - l'amitié franco-allemande is a big thing! 🙂) that explains social, cultural differences between the two countries. You can find illustrated explanations of Le Verlan, expressions like "Monter à Paris" etc etc. It worked so well with my students! they found it easier to understand.
Damon Dominique is a language American youtuber and he's good at explaining and vulgarising French grammar and slang. Sometimes you gotta look at a foreign point of view :)
Konbini (especially their Club Lecture, Vidéo Club where famous authors/film directors show their favourite works, their inspirations and talk abt it, you probably won't find any subtitles tho)
and ofc you have dozen of french youtubers like Squeezie, Seb, Lena Situation, Aurélien Prévaux, Zen (talkshow) etc.
And when you're more confident, you can pick a day when you'll try to think only in French, another day when you'll translate what's written on your food package/friends convos/emails etc etc
put your phone settings in french, follow vocab accounts on Instagram, follow French ppl on social media so that you get accustomed to read in French on a daily basis.
and find a book to read in french, or fanfics if you're into it, anything that'll make you read in French :)
I hope that answers your questions! and sorry if it looks like too much, I'm getting back at a language I used to learn in high school too, it's not easy and it takes time. so take your time with French, I just put everything I thought might help in the first months/first year!
good luck! bonne chance !
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Je répond dans un billet séparé parce que Tomblère me laisse pas poster en reblog
Pour commencer, le télescopage de grilles de lecture qu’elle présente est au moins incomplet, sinon historiquement faux.
Pour faire simple, si les US soutiennent effectivement Israël de manière inconditionnelle – et encore, c’est beaucoup moins vrai depuis 15 ans, il suffit d’ouvrir les infos pour le constater - c’est beaucoup moins le cas de l’Europe, et encore moins de l’ONU. La France a la même position depuis des années, qui est de ménager la chèvre et le chou, en ménageant ses relations diplomatiques avec Israël en sous-main, tout en étant dans le discours public plutôt pro-arabe. Nos politiques locaux ont bien compris depuis des années que ce conflit posait un problème de sécurité sur notre propre sol, et les positions prises concernent bien moins le conflit en soi que de la politique intérieure.
Il suffit d’allumer la radio de service public pour voir d’ailleurs que nos journalistes-fonctionnaires sont à 90% de gauche ou d’extrême-gauche, et que l’information financée par l’Etat et nos impôts est bien loin de diffuser massivement l’idée qu’Israël est un pays héroïque. Au contraire, on a des médias qui reprennent en cœur les chiffres du Hamas sans les vérifier.
De l’autre côté, la vision qu’elle dit arabe - la réalité des opinions publiques est bien plus nuancée en réalité, surtout dans des pays où la liberté de manifester n’est pas du tout établie - présentée comme “prosaïque” est tout sauf prosaïque. Elle est historiquement fausse.
“Israël est un état fondé sur le colonialisme et l’expulsion, et qui mène une politique d’apartheid”
Tous les états du Moyen-Orient sont “fondés sur le colonialisme�� si on va par-là, puisque tous ont été créés par les puissances occidentales réunies par l’ancêtre de l’ONU, la SDN, après le démantèlement de l’Empire Ottoman, suite à la Première Guerre Mondiale.
D’autre part, Israël s’est construit en opposition au titulaire du mandat de Palestine, à savoir l’Angleterre, qui avait certes soutenu l’idée de la création d’un foyer national juif dès 1917, mais qui soutenait par ce biais l’immigration de populations juives sur le territoire qu’elle administrait, et pas la création d’un état juif indépendant. Les précurseurs de l’état d’Israël se sont littéralement battus contre les Anglais, qui s’opposaient radicalement à l’installation de juifs réfugiés après la seconde guerre mondiale, et à la création d’un état juif. C’est donc le comble pour un “état colonial” d’être fondé après une lutte armée contre...l’administrateur de la colonie.
Israël n’est pas plus un état “fondé sur l’expulsion". Après sa création, l’état a vécu 3 guerres en 25 ans, qu’il a toutes gagnées, et ces guerres ont redessiné les frontières à plusieurs reprises. Le rapport de force, pendant les trois, était en totale défaveur d’Israël, puisque le jeune état était attaqué sur plusieurs fronts par plusieurs pays mieux équipés et avec une armée bien plus nombreuse. Il y a bien eu des expulsions et des violences, comme dans n’importe quel conflit, mais les plus gros mouvements de population ont été une conséquence directe de ces guerres, notamment la première, où c’est littéralement les pays voisins qui ont conseillé aux populations locales de fuir les combats parce qu’ils étaient sûrs de gagner.
Le fait qu’ils aient perdu – et perdu des territoires par la même occasion – puis que des cellules armées d’obédience palestinienne en Jordanie, en Egypte, au Koweit et au Liban aient tenté de renverser les gouvernements en place a très largement contribué au fait que les relations avec Israël se soient normalisées par la suite, et aussi au fait que ces pays ne veulent plus accueillir de réfugiés palestiniens. C'est surtout à ce moment-là que le rapport de force s’est inversé en faveur d’Israël, car même si les pays voisins instrumentalisent le conflit dans le cadre de leur politique intérieure, aucun n’attaquera Israël militairement / ouvertement. Ils n’ont concrètement rien à y gagner.
Quant à dire qu’Israël mène une politique d’apartheid, c’est faux aussi. Israël compte 20% d’arabes israéliens. Je mets quiconque au défi d’aller essayer de trouver ce que représentent les communautés juives dans les pays arabes. Concrètement plus grand-chose, parce qu’elles ont été expulsées de chez elles – par la force, la loi, ou par pression - après l’indépendance d’Israël. La Tunisie ne compte plus que 2000 juifs et compte faire passer une loi pour envoyer quiconque a des liens avec “l’entité sioniste” en prison pour plusieurs années.
A moins de considérer que les populations arabes de Gaza et de Cisjordanie font de facto partie d’Israël, je ne vois pas comment on peut parler d’apartheid.
Au-delà des arguments historiques qui pêchent par leurs omissions (*tousse* on va rester polie), l’autrice enfile des perles argumentatives qu’elle n’étaye jamais par des faits ou des sources. En vrac on a
* Des arguments pseudo-psychanalytiques > l’Occident souffrirait d’un “refoulé colonial” qui ressort dans son soutien à Israël.
* Des arguments pseudo-sociologiques > Le racisme anti-arabes serait “phénoménal” (preuves? Chiffres? Comment on quantifie quelque chose de phénoménal? On le fait pas mais ça claque)
* Des arguments pseudo-politiques / historiques > l’occident justifierait “l’écrasement” des palestiniens (qui? Quand? Comment? Dans quelles proportions? Suite à quel événement?)
Le tous en citant bien sûr les chiffres de victimes donnés par le Hamas.
On est ici - après tout moi aussi je peux faire de la psycho de chez Gifi – dans le chantage émotionnel le plus basique qui soit. On déroule une liste très approximative de faits qui omet 90% du contexte historique, avant de faire tenir une argumentation bancale à coup de gros mots, racisme phénoménal, humiliation, écrasement. Bref à ce stade de l’article si vous n’acquiescez pas avec Mona vous êtes MECHANT.
"Prouver qu’un enfant est un enfant”
Je ne vais pas m’attarder dessus, mais on est encore dans le chantage affectif, saupoudré d’une belle dose de malhonnêteté quand on a vu le négationnisme à l’oeuvre immédiatement après les massacres du 7 octobre, qui a obligé les autorités israéliennes à montrer à une sélection de journalistes les images des civils assassinés par les commandos du Hamas.
Encore une fois, Mona Chollet avance sans preuve et sans citation. Elle décide que quelqu’un - j’imagine encore la personnification de cet “Occident” soudain tellement uni et homogène - considère que la publication de photos d’enfants victimes des bombardements est “le signe d’une fixation antisémite et une volonté malsaine de diaboliser Israël”. Qui a dit ça? Quand? On ne le saura pas mais on est tenus de la croire, et surtout de croire que c’est une opinion majoritaire. De l’esstrème droite certainement.
On continue dans le registre émotionnel, avec encore des mots forts attribués à...personne encore. Les palestiniens sont “diabolisés”, vus comme “une horde indistincte et barbare congénitalement violente et terroriste”. Par qui Mona? Par qui? A part essayer de susciter chez le lecteur une réaction de rejet immédiat pour le rallier à l’argumentation de l’article, je ne vois pas à quoi ça sert?
On est littéralement dans le “les gens qui ne pensent pas comme moi sont démoniaques croyez-moi sur parole j’ai pas l’intention de prouver ce que je dis”.
"Starhawk et l’effacement complet des palestiniens”
Là j’atteins le moment où je me roule par terre de rire. On parle de quelqu’un qui se définit comme sorcière néo-païenne. Soyons sérieux cinq minutes. J’attends l’avis des reptiliens illuminatis du FBI. Dans le même paragraphe elle tente de maladroitement prouver qu’Israël entreprend un génocide sur la population palestinienne... tout en admettant que c’est l’état hébreu qui fournit eau et électricité. En revanche elle ne précise pas qu’avant la guerre, bien des habitants de Gaza travaillaient sur le territoire d’Israël et que beaucoup d’entre eux s’y font soigner. Pas plus que Tsahal a passé plusieurs jours à essayer de convaincre les civils d’évacuer.
La source c’est “trust me bro” et “y’a des gens qui sont d’accord avec moi”. OKAY.
« Les mêmes éléments de langage repris ad nauseam »
Merde alors, et sans sources en plus ? Mais qui ferait un truc pareil. Hem.
Là notre amie Mona découvre... La communication. De guerre. Le fait que les pays en guerre communique positivement sur les actions qu’ils entreprennent et essaient de convaincre de leur bien-fondé l’opinion internationale. Ah mais c’est du jamais vu. Personne n’a jamais fait un truc pareil. Ouh là là. (pardon je fatigue)
(aussi, parenthèse professionnelle, déterminer des éléments de langage et les répéter c’est euh, la base de toute campagne de com, pas une preuve de démoniaquisme effréné)
“La vision des Gazaouis en Occident, un “effet Homeland”
Bon déjà c’est triste pour Mona parce que l’effet Homeland existe, mais ce n’est pas ça. C’est tout simplement l’engouement pour les séries d’espionnage après Homeland, avec plus ou moins de succès. Après, que les américains soient fans de filtre sépia et autres décors de studio dignes de Tintin au Pays de l’Or Noir, c’est pas exactement nouveau.
Mona nous explique par la suite que les Occidentaux – cette masse informe - se sentent plus proches des Israéliens parce qu’ils ont un mode de vie moderne. Basé sur quoi? Rien comme d’habitude, à part un exemple issu de cette fameuse série dont j’ai oublié l’existence depuis 2013, comme je suppose 90% de gens.
“Si les Etats-Unis avaient forcé Israël à mettre fin à l’occupation il y a 30 ans”
Mince alors moi je pensais que l’influence américaine était un problème, faudrait savoir.
On repart sur la psycho de chez Lidl avec le fameux refoulé colonial qui ne sera jamais défini ou étayé et on enchaîne avec les US qui auraient dû “forcer” Israël à cesser l’occupation il y a 30 ans, soit en 1993.
Du coup on ouvre un autre chapitre d’imprécisions historiques (encore une fois je suis polie) puisque Madame se réfère aux accords d’Oslo qui ont foiré, certes, mais par rejet des *deux* côtés de la barrière. Du côté palestinien parce qu’Arafat et consorts à l’époque ont clairement admis que si l’OLP avait le contrôle de la Cisjordanie, ce n’était qu’une étape avant la reconquête totale du territoire, enterrant de fait l’idée d’une future solution à deux Etats, et du côté israélien parce que la droite considérait que la “Judée-Samarie” conquise après la guerre des 6 jours, faisait de toute façon partie de l’Israël biblique et devait rester sous son contrôle. Le tout dans un contexte fait d’attentats et attaques diverses.
On termine sur une nouvelle comparaison merdique, cette fois-ci avec les natifs américains, histoire d’ajouter encore une louche de chantage émotionnel sans rien étayer.
Je conseille à l’autrice de faire ce qu’elle a l’habitude de faire : plagier un ouvrage ou un article écrit par quelqu’un de compétent, et y ajouter une anecdote perso sur sa copine Myrtille, sorcière technopagan, et de laisser la politique aux gens qui s’y connaissent un minimum, ou qui au moins essaient de lire des trucs avant d’écrire.
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PAPY A FAIT L'ALGÉRIE, par Maud Bachotet (1/2)
Première partie d'une chronique à la fois familiale et historique, du portrait d'un homme et d'une guerre, "Papy a fait l'Algérie" convoque un réseau d'images gardées secrètes que l'écriture se charge de donner à voir, de transmettre, relier, faire parler. C'est un voyage de recouvrance à la fois physique et mental aux deux pôles Nord/Sud. Maud Bachotet est écrivaine et éditrice, ses travaux d'écriture récents ont pour points de départ l'enquête psycho-géographique, l'imagerie populaire et anonyme, ou encore l'autofiction "psychopompe" (le récit intime se lovant dans celui d'une figure réelle dont l'écrit est leur point de rencontre). "Papy a fait l'Algérie" est sa première contribution au blog du Feu Sacré. Gooble Gobble, bienvenue à elle !

Les Parapluies de Cherbourg, Jacques Demy.
J’ai tant grandi que la maison d’enfance me semble devenue de poupée. Je déborde aussi bien du lit que de la baignoire, me cogne le crâne dans la largeur de la trémie chaque fois que je descends l’escalier et peux sans peine m’accouder à la table du séjour depuis le canapé tout en ayant un pied dans la cuisine. C’est un peu comme de vivre dans un voilier à jamais amarré.
Je me souviens du jour où la grande marée avait envoyé le fleuve valser dans les ruelles du village. Mon père, craignant le naufrage, avait pulvérisé de la mousse expansive sur le pas de la porte. Depuis la fenêtre, j’espérais que l’eau monte assez pour emporter notre bicoque au loin. Peut-être aurions-nous ainsi pu rendre visite à nos « cousins des îles ». Mais l’eau s’était arrêtée à une dizaine de centimètres seulement de notre porte. Comme pour me narguer. J’étais dévastée. Autant que je le suis aujourd’hui de me coucher bredouille dans mes draps de petit mousse. Après trois années passées sur les bancs de l’université à ne pas chercher à regarder plus loin que l’horizon de la licence (mes parents n’avaient pas su me payer de longue-vue en laiton ni me conseiller dans mon orientation), j’ai dû me résoudre à m’échouer sur le banc de sable bordant mon bled littoral. Me voici donc ensevelie sous une mer de cartons que je me refuse à ouvrir. Quitte à faire trois pas en arrière (un par année passée loin d’ici), je préfère encore m’immerger dans l’hier. Je retourne placards et tiroirs, relie chaque objet, vêtement ou feuille volante à une image de mon enfance ou de mon adolescence – je fais bien plus confiance aux récits de l’inanimé qu’à mes propres souvenirs. Dans la maigre bibliothèque, je tombe sur un livre de Jéromine Pasteur, Chaveta. Entre les pages, tournées à la volée, je feuillette ma mémoire qui se supplée à celles de l’exploratrice. C’est mon grand-père, dont je n’ai jamais vu le nez dans un bouquin, qui me l’avait donné à lire. Je me souviens d’un bateau construit des mains d’une jeune femme sans expérience. Je me souviens de ce même bateau engloutis quelque part sous l’Atlantique et des larmes de la jeune femme sans expérience. Je me souviens aussi d’un plan élaboré à la récré – au fil de ma lecture, peut-être ? – ayant pour dessein une virée à deux (pré-adolescentes sans autre expérience qu’une poignée d’heures de cours de voile) en catamaran. En revanche, je ne me souviens pas sur-le-champ de la forêt péruvienne, des Asháninkas ni des guérilleros. Ce n’était pas tant le prolongement de l’arrivée qui m’avait fascinée que l’urgence du départ.
Cette urgence, je l’avais toujours eue en moi. Enfant, j’avais vidé une valisette en plastique rouge (un jouet) de son contenu (des jouets) pour la remplir de ce qui me semblait nécessaire à la fuite, à savoir deux culottes blanches, un crayon télévision à double mines rouge et bleue et mon ours en peluche rose. Une fois sur le trottoir, tétanisée par le grondement des voitures, j’avais pris conscience qu’il n’était pas si simple de partir et étais rentrée affronter la peur de ma mère assourdie par le vrombissement du Moulinex. Plus tard, j’avais fini par accepter les vacances de la Toussaint, de Noël, d’hiver et d’été à demeure. Mes amies me postaient des cartes où tout était blanc, les pistes de neige comme les plages, et qui me réconfortaient lorsque le vert des champs, des dunes et de la mer me donnait la nausée.
Mon grand-père ne s’est jamais lassé des paysages de son enfance. Tous les matins, il prend sa voiture pour aller saluer la baie et prévoir le temps qu’il fera selon le niveau d’ennuagement du mont. Le samedi, il se laisse conduire par ma grand-mère jusqu’au sémaphore de Granville où il occupe son après-midi à inventorier les bateaux du port. À quoi pense-t-il depuis son banc de guet public ? Au jeune pêcheur en partance pour les grands bancs de Terre-Neuve ? Au jeune appelé sur le point d’embarquer sur l’El Djezaïr ? Au petit garçon rêvant de marcher dans les sabots de son grand-père ? Peut-être m’avait-il mis le livre de Jéromine Pasteur entre les mains pour cultiver chez moi ce désir héréditaire du grand large et qui semblait toujours sauter une génération.
Un jour, ma mère m’a dit : « Je ne comprends pas d’où te viens cette envie de voyager. Moi, je n’ai jamais eu envie de partir. » Je rêvais alors de contrées lointaines, de coutumes exotiques et de langues imprononçables. Je nourrissais une passion dévorante pour la Chine, ensuite détrônée par l’Inde, tandis que ma mère s’était contentée de ne jamais quitter le village qui l’avait vue grandir. Quant à mon père, il n’avait eu qu’à parcourir moins de quatre kilomètres pour l’épouser. La seule personne de mon noyau familial à n’avoir jamais franchi les frontières du village et du pays tout entier se trouvait être mon grand-père. Plus qu’une guerre, l’Algérie avait été pour moi un voyage dans sa jeunesse. Ce n’était pas la Chine, mais ça m’allait bien aussi. C’était un autre continent et on y parlait une langue qui se peint. Quelque part, j’enviais mon grand-père d’avoir « fait l’Algérie ». « Faire l’Algérie », à mes oreilles, ça ne signifiait pas « faire la guerre ». Avec l’innocence de l’enfance, je posais des questions sur le pays et il traçait devant mes yeux des paysages étrangers. Je posais des questions sur la langue et il posait sur la mienne des mots arabes. Je notais déjà sur des feuilles volantes à moitié noircies de dessins tout ce qu’il voulait bien me raconter. Mais j’ai beau fouiller la chambre de fond en comble, je ne parviens pas à mettre la main sur ces premiers témoignages recueillis à l’encre pailletée, peut-être même parfumée. Cette fois, il me faut me fier à ma mémoire.
Je repense à la boîte cartonnée. Plus tôt dans la semaine, mon grand-père m’a demandé au téléphone « dis, la boîte avec mes photos, sais-tu où qu’elle est ? » « C’est moi qui l’ai, papy. Rappelle-toi, tu me l’as prêtée… Je te la rends la prochaine fois que je passe ! » « Ah ! Bon, bon… » Je me suis demandée si ça lui prenait souvent de parcourir ces images. Avant de les lui rendre, je me lance dans un grand inventaire. Je dénombre un total de 190 photographies, 11 cartes postales et photos-cartes et 4 documents. Je distingue les photos de famille des photos que j’associe au service militaire. En attendant que mon grand-père accepte de poser des mots sur ces images, je me contente de les trier à l’estime :
FAMILLE (66)
· Baptême maman (14)
· Maman (15)
· Chantiers (5)
· Chiens (10)
· Fête de mariage (5)
· Autres (17)
SERVICE MILITAIRE (124)
· France (11)
· Algérie (113)
CARTES POSTALES & PHOTOS-CARTES (11)
· Deux femmes devant un décor peint (1)
· Carnaval (1)
· Le vieux pont (1)
· Rue du Pavé (1)
· Gavarnie (1)
· Algérois (1)
· Alger, casbah (1)
· Heureuse année (1)
· Souvenir de mon passage sur l’El Djezaïr (1)
· Souvenir de mon passage sur le Kairouan (1)
· Souvenir de mon passage sur le Ville de Tunis (1)
DOCUMENTS (4)
· Ordre de mission (1)
· Permission (1)
· Ticket de pesage de la grande pharmacie de Bab El Oued (1)
· Carte de prière Sœur Marie-Céline de la Présentation (1)
Les photos ainsi répertoriées, je les scanne une par une. Zoomées et rétroéclairées par l’écran de mon ordinateur, j’en découvre les détails.
Une vue en plongée du pont. Une mer vide occupe quasi entièrement la moitié supérieure du cadre. Au premier plan, deux rangées de valises bon marché, trop petites pour contenir des vies entières. Près des valises, trois hommes en uniforme. L’un d’eux a remarqué la présence du photographe. Il y a de la méfiance dans son regard. Ou peut-être est-ce un rayon de soleil. Sur la gauche de l’image, des civils, trois hommes et une fillette dont la tête est masquée par un foulard, s’appuient au garde-corps pour suivre du regard la trajectoire du bateau. Sur la droite de l’image, un jeune garçon et deux soldats les imitent. Au centre de l’image, deux autres soldats fixent l’objectif. Leur air penaud semble avoir été saisi par surprise. Sans doute le photographe les a-t-il sifflés depuis son nid perché avant de déclencher l’obturateur. Le mauvais cadrage donne à l’image une impression de mouvement.
À force de fixer la photo, je vois la houle onduler, les cheveux ondoyer, les corps tanguer. Surtout, je vois les valises. Le sujet de ce cliché, ce sont elles. C’est le départ. L’ailleurs. L’inconnu. Que met-on dans une valise quand on n’a rien ? Quand on nous somme de tout laisser derrière soi ? De ne prendre que le stricte nécessaire ? Une carte de prière confiée par les mains d’une mère inquiète et qui a marginé au dos « Réciter cette prière pendant neuf jours. N’oublie pas. » ? Moi, dans ma valise, je glisserai cette photo de deux inconnus surpris par le regard de mon grand-père. Il ne remarquera pas qu’elle a disparu.
À faire défiler sur l’écran de mon ordinateur ces paysages en noir et blanc, l’urgence du départ se fait plus que jamais ressentir. Comme l’ont fait avant moi Jéromine, papy, Zachary – la première par défi, le deuxième par devoir, le dernier par nécessité –, je m’en vais prendre la mer. Par dérobade. À une vitesse de 21,5 nœuds, soit 39,8 km/h, il me semble que je pourrais mettre à bonne distance le futur qui s’entête à me rattraper.
Le choix de la destination est simple : 1) il me faut un pays où me rendre par bateau ; 2) il me faut un port d’arrivée au départ de Cherbourg. De tous les pays qui peuplent mes fantasmes d’ailleurs, il ne reste donc plus que la Grande-Bretagne et l’Irlande. Je choisis les rebelles aux colons, la république à la monarchie, la patate à la Marmite, les Pogues à Police.
Pour se rendre à Cork, il n’est pas nécessaire de construire son propre bateau, pas plus qu’il n’est requis de posséder un ordre de mission ou des compétences en matière de pêche à la morue. Il suffit simplement de sélectionner au clic avec ou sans cabine, standard ou supérieure, avec ou sans hublot. Parce que je rêve d’aventure – qui a l’avantage d’être plus à portée de porte-monnaie que le confort –, j’opte pour l’expérience du grand large sans cabine, option hublots à volonté, dix-sept heures de traversée. Débarquée à Rosslare Harbour, il ne me restera ensuite qu’à prendre un premier bus pour Waterford et un second pour Cork. Quatre à cinq heures de route, trois comtés (Wexford, Waterford, Cork), vingt-six arrêts.
Arrivée à Cherbourg, il pleut. Je ne m’en étonne pas. Car l’économie cherbourgeoise repose sur l’eau dans tous ses états. D’un côté la mer, dont quatre ports (militaire, de pêche, de commerce et de plaisance) permettent de tirer profit, de l’autre la pluie, que Jean-Pierre Yvon a l’idée (soufflée par Jacques Demy) d’exploiter en créant en 1986 « Le Véritable Cherbourg », un parapluie haut de gamme multiprimé qui voyagera jusqu’au Japon couvrir la tête de l’actuel empereur Hiro-no-miya Nahurito dont la notice Wikipédia nous apprend qu’il a été décoré Grand maître de l’ordre du Soleil levant mais malheureusement pas de celui de la Pluie tombante. L’Antibourrasque étant à 149 euros, le Pébroque à 299 euros et le Milady en Moire à 650 euros, je prends la pluie. Et je me demande si Geneviève (Catherine Deneuve) aurait pu se refuser à Roland (Marc Michel) et lui jeter ses pierres précieuses à la moustache si seulement elle avait fait une école de commerce et vendu des parapluies de Cherbourg à des princes héritiers.
Je pense à Guy (Nino Castelnuovo), appelé en Algérie dans la première partie du film, en novembre 1957. J’entends ses paroles : Oh... Tu sais, maintenant, ça n’a plus d’importance... / Nous avons même tout notre temps... / Ce matin, j’ai reçu cette feuille de route / et je dois partir pour deux ans... / Alors, le mariage, on en reparlera plus tard... / Avec ce qui se passe en Algérie en ce moment, / je ne reviendrai pas d’ici longtemps... Je pense alors à mon grand-père, Normand lui aussi, ouvrier lui aussi, appelé lui aussi, au même âge, à l’été 1959. C’est drôle, je cours à l’aveugle derrière cette histoire que personne ne veut regarder droit dans les yeux et la voilà qui me devance sur le quai du port de Cherbourg tandis que j’embrasse ma mère, comme tant d’autres l’ont fait avant moi.
Sur la passerelle d’embarquement, je me demande si, là-bas, du côté de la mer Celtique, je trouverais des réponses dans mon disque dur saturé de photos. Sans doute trouverais-je plutôt des questions à poser dans le micro de mon téléphone, que mon interlocuteur, rejetant la faute sur la mauvaise qualité du réseau, pourra ignorer comme bon lui semble.
Depuis le pont, j’observe le quai. Ça fourmille d’adieux en bas. Je distingue mon grand-père, dans son uniforme foncé. Nous ne sommes plus à Cherbourg mais à Marseille. Derrière lui se dresse La Major. Il n’a ni mère à consoler – elle tient son café en Normandie –, ni fiancée à qui chanter des adieux – il ne l’a pas encore rencontrée.
Je sens une présence à mon côté. C’est lui, qui s’accoude au bastingage. Il considère la cathédrale d’un œil déformé à la fois par les rayons du soleil et par un professionnalisme juvénile. À 20 ans déjà, il ne peut s’empêcher de détailler la structure d’un édifice aussi digne – lui qui s’apprête à rejoindre un conflit qui l’est si peu –, de se figurer, sans posséder aucune connaissance de l’histoire de l’art et de l’architecture, quelles techniques les ouvriers de l’époque ont-ils utilisées. Bien plus tard, lorsqu’il sera transporté par taxi à Reims pour qu’un spécialiste de renom pulvérise au laser la tumeur venue se loger dans son oreille, il rendra chaque jour visite (du lundi au vendredi, pendant plusieurs semaines) à la cathédrale de Reims, sans jamais laisser faiblir son admiration.
Je me souviens de la présence de deux photos de La Major, la cathédrale de Marseille, dans la boîte, prises depuis le bateau. Il y en a également trois qui font le tour presque complet (nord, ouest, sud) de Notre-Dame-d’Afrique, à l’ouest d’Alger. Il n’y aucune piété chez mon grand-père. Ces édifices religieux sont pour lui comme des phares. Des points de départ. Et d’arrivée. Des témoins familiers parce que taillés dans le plus noble des matériaux : la pierre.
Je voudrais lui pointer du doigt le Mucem, ce cube posé sur la jetée et voilé d’une mantille de béton. Mais lui ne peut pas la voir. Il ne sait pas encore qu’un musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée verra le jour en 2013 à Marseille et qu’il s’enrichira en 2017 d’une collection d’œuvres et d’objets rassemblée en vue de l’ouverture d’un musée d’histoire de la France et de l’Algérie qui n’aura pas lieu. Alors je me contente de lui dire « est-ce que tu vas finir par me parler ? » Mais lui ne semble pas m’entendre. Son regard s’est posé à son tour sur le quai devenu celui du port de Granville. Il scrute un homme à l’accoutrement d’un autre temps : gros chandail, veste et pantalon cirés, bottes cuissardes, suroît en toile brune, mitaines en laine, baluchon. Zachary, le terre-neuvas. Un peu plus loin, une chorale d’hommes avinés entonne : Ceux qui ont nommé les Bancs / les ont bien mal nommés / ils en font des louanges / ils y ont jamais été. À son côté, une femme fixe la mer avec défi. Derrière eux, une fillette à qui l’on a dit de ne pas se retourner, sous peine de ne pas voir revenir son père, caresse un énorme chien à robe noire qui bientôt s’endort. Je me tourne vers mon grand-père. Je voudrais lui poser des questions sur Zachary, ce grand-père qu’il aimait tant. Mais il a disparu. Je suis de retour à Cherbourg. Et le ferry lève l’ancre.
La seconde partie sera publiée la semaine prochaine.
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Toujours mal quelque part
Avoir mal, quand ça dure depuis longtemps, c’est jamais juste avoir mal : c’est devoir adapter son quotidien, gérer l’incompréhension des proches, et faire plein de petits deuils, tout en gardant des espaces de joie. La douleur chronique est un truc qui touche énormément de gens. Pourtant, en dehors des recommandations médicales habituelles, peu de ressources s’attardent sur la gestion du quotidien. Comment on fait quand on n’a pas une thune ? Comment on en parle autour de soi, comment on adapte son existence à une donnée aussi imprévisible ?
Ce zine est un début de piste, qui s’adresse autant aux personnes qui vivent avec des douleurs chroniques, ainsi qu’à celle qui les entoure. Il te dira pas d’aller voir un médecin ou de faire du yoga, tu fais bien comme tu veux. Il existe juste pour te dire qu’il est possible de se rendre la vie plus facile et moins solitaire, même quand on a mal.


Il a aussi été pensé comme un outil pratique qu'on a envie de garder pas loin, avec des espaces de prises de notes et des illustrations pour accompagner sa lecture 🌱.
"Toujours mal quelque part" est disponible en pré-commande à prix libre. Il suffit de m'envoyer un message privé en précisant ce qu’on veut payer, son mail & selon le mode d'envoi : une adresse. Ce soutient financier servira en premier lieu à imprimer et diffuser ce zine. Plus largement, il contribue à l’existence de mon travail et j’en suis très reconnaissant·e. Comme d’hab, une version en ligne est est disponible en fin d'article.
À titre indicatif ✉️ Pour la poste française, le coût d'envoi est à partir de 2,90€ selon le volume, (1€ pour le reste de l'Europe).
Le zine fait une quarantaine de pages, imprimé sur papier bouffant, intégralement en couleur.
Toutes les références à la fin et bien plus sont répertoriées dans ce post.

Lien de téléchargement :
En page par page.
En cahier à imprimer et relier.
J’espère que vous aurez autant de plaisir à le lire que moi à le créer, à très vite!
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Coucou,
Je remercie grandement Manon @bookstabymanon pour avoir lu « Soixante centimètres d’écart ! » et pour avoir pris le temps de rédiger son avis 🥰
Chronique complète : https://www.bookfluencers.io/book/soixante-centimetres-d-ecart/chronicle/6b032189-8e0d-44c8-b1c8-020d614dbb99
Quand je me remémore les nombreuses étapes du processus : l’écriture, la relecture, les envois aux maisons d’édition, la mise en page, la création de la couverture, les premières propositions de services presse, etc… comme la très grande majorité des auteurs-rices, je suis passée par toutes les émotions 😅
Les doutes, l’euphorie d’écrire, le syndrome de l’imposteur, l’espoir que cette histoire puisse apporter du bonheur et bien d’autres : de véritables montagnes russes 🎢
Tous vos retours font sens maintenant, pourquoi nous mettons-nous dans des états pas possibles alors que tout ce que l’on souhaite c’est de vous faire kiffer ? 😎
Je garde ça en tête pour « Flirt avec une Star » : moins douter et s’amuser en écrivant parce que vous vous amuserez aussi en le lisant ✍️
Ce SP a été réalisé via Bookfluencers.io, merci pour cette plateforme 👌
⭐ Roman disponible en formats numériques : ebook + lecture gratuite avec l’abonnement Kindle. Vous pouvez aussi lire un extrait 📖 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS/
⭐ En versions papiers : broché et relié 📚 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska/dp/B0C5YYNZ26/
Bonne journée 🍁
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🇬🇧 Hi everyone,
Thank you so much to Manon @bookstabymanon for reading my novel and taking the time to write a review about it 🥰
When I think back at all the steps of the production: writing, proofreading, contacting publishing houses, the layout, making the cover, the first book reviews, etc… like most of authors, I went through many emotions 😅
Doubts, writing euphoria, impostor syndrome, hope that this story can bring you joy and many things: that’s a real roller coaster 🎢
All your reviews make sense now, why do we get in such states when all we want is to make you enjoy your read? 😎
I keep this in mind for my next novel, less doubting and more fun while writing because you’ll have fun while reading ✍️
⭐Ebook version and Kindle Unlimited: https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS
⭐Paper versions: https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska/dp/B0C5YYNZ26/
Have a great weekend 🍁
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