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Guinevere swallowed thickly as she helped Her Majesty undress, mindful of the other girls who were assisting. She dared not look her beloved Queen in the eyes, lest her gaze linger too long ; instead, she talked aimlessly with her fellows and focused on the task of keeping her hand from wandering. Finally, Lilian was in her last layer, and Her Majesty told everyone except Guinevere to depart.
The blonde followed on their heels. She waited a moment before bolting the door, just so the sound would not betray them. After, she returned to Lilian. Guinevere took the Queen's face in her hands and kissed her fiercely, eager to feed the hunger in her belly that came when she was forced to play innocent.
When she was through, the blonde stroked Lilian's cheeks with her thumbs. Her emerald eyes, softened by the sight of the Queen, sparkled as they looked down on the royal. "Today is your day of birth," she murmured. "The King has given us both a gift by staying at the hunting lodge tonight." She chuckled and dropped her arms.
Guinevere moved over to Lilian's bed. From beneath the Queen's pillow, she withdrew a small package tied with string. The noblewoman approached the older woman and passed it over. She leaned into Lilian, fingers carding through her glossy brunette locks.
"For you," the blonde said, the words practically a purr in Lilian's ear. Inside was a simple trinket : a palm - sized lily bloom made of pearl - colored glass with gold - tipped petals. Guinevere knew she could not get anything too noticeable for her lover, as they had to be careful. "My incredible flower."
unscripted asks - birthday edition! . always accepting
The queen could tell that even the palace servants were aware that their rulers had a less than optimal marriage - not only had Lilian failed to produce an heir thus far, but also the time that the king spent away was not lost on those manning the royal grounds. And on dates such as her birthday, where by all means a celebration should be held, the silence spoke volumes in itself.
But the brunette did not remark upon anything - Lilian had all but a neutral face with a gentle smile for her handmaidens, thanking them for services offered and then having them depart for having no further need of them for the rest of the evening. That Guinevere remained was not strange - she was the queen's favorite, after all; the one who could be found at the sovereign's side at all occasions.
And on that night, it was no different - the kiss was returned with the same eagerness, relief and all the suppressed longing that Lilian could have for another. Frederik inspired nothing but repulsive and violent thoughts in his consort; it was Guinevere instead that made the palace bearable and less of a gilded cage.
The older woman almost said that the greatest birthday gift was her - the noblewoman herself, the affection and company that the queen so desperately needed - but when she returned with the most delicate and exquisite adorn after removing the wrapping, Lilian gasped softly. It was beautifully done - the sort of memento that the kingdom's ruler would treasure forever and have it regarded with far more interest than all of the gold and jewelry lining her vanity drawers.
"It's beautiful, Gwen," the queen said, moving to use a free hand to trace the visage of her lover adoringly, pushing a lock of perfectly sun-kissed hair behind an ear and then leaning closer for another kiss - only this was done with less of the fervor from a moment earlier, if only because Lilian was so moved.
"I shall keep it with me forevermore - nothing in the vaults could ever compare to your lovely gift or to you," Lilian smiled then, resting her forehead against the handmaiden's and inhaling softly, allowing her senses to be overtaken by Guinevere's perfume, the warmth of her skin and the comforting presence of her trusted beloved.
"This may yet be my favorite nameday - I love you, Gwen."
#rosegoldandsequins#v: Yakuza ; vampire AU#birthday shenanigans 2023!#replied#feral girls being human and soff for once ;-;#this was so sweet I am HONORED#<3
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Quand la BD se fait muette
Cet article est paru dans le numéro de septembre 2019 d’ “Aimer lire”, magazine de l’actualité du livre de Payot libraire, suite à une commande. Certains titres ont été choisis par les libraires, d’autres par moi. Limitée dans le temps et l’espace, je n’ai pas développé les aspects théorique et historique comme il l’auraient mérité. Car le sujet est passionnant! Et des auteurs, il en manque ici. En Suisse, par exemple, il aurait fallu parler de Anna Sommer, de Thomas Ott, de Helge Reumann, pour ne citer qu’eux. Si vous souhaitez aller plus loin, je vous recommande la lecture du dossier paru dans la revue en ligne neuvième art 2.0 http://neuviemeart.citebd.org/spip.php?rubrique153
Le lecteur qui tient une bande dessinée muette entre ses mains n’a que son titre auquel s’accrocher. Ce repère lâché, il plonge dans une expérience de lecture inédite et souvent forte qui requiert une participation active. Ici point de dialogues dans des phylactères, ni de descriptions et explications dans des cartouches, la seule exception étant des aides à la compréhension sous forme de panneaux indicateurs, d’affiches, d’articles de journaux. Tout se concentre dans la mise en page, la suite des images, les différents plans qui rappellent les techniques utilisées par le cinéma. La bd muette contemporaine fait parfois figure d’ovni, à l’opposé de certaines séries classiques où dialogues et texte occupent une grande place. Sa position est aujourd’hui bien éloignée des comic strips ayant fait leur apparition à la fin du XiXe siècle tout d’abord dans la presse quotidienne américaine, puis chez nous. Pour rappel, il s’agit de cases organisées en une ligne souvent horizontale et dont l’effet doit être immédiat. Dans ce type de narration à visée principalement humoristique, le visuel l’emporte sur le texte, souvent absent. En revanche, on y trouve des symboles qui expriment ce que ressent le personnage, par exemple la bûche et la scie, le coeur ou encore la tête de mort. Dans les ouvrages présentés ci-dessous, nous en sommes bien loin.

3′’ Marc Antoine Mathieu
La couverture, noire, d’un format carré peu courant, est déjà une énigme. Y figurent ce titre étrange 3’’ et, dans un cadre, le portrait coupé du visage d’un homme apeuré. A mieux observer, on distingue un reflet dans sa pupille, soit l’amorce d’une séquence. On apprend que l’histoire se déroule sur trois secondes, le temps pour une balle d’atteindre sa cible, d’embarquer pour un voyage lumière. Un homme mêlé à un scandale financier dans le monde du sport va être assassiné. On entre alléché dans le noir très noir et le blanc très blanc de planches de neuf cases carrées, théâtres de zooms qui se suivent, de reflet en reflet. Les indices défilent par arrêts sur image, comme au cinéma. L’histoire ? Il faudra tout reprendre en boucle pour peut-être la saisir tant le voyage, les distances, les implications sont rapides. L’album se referme sur un miroir en face d’un miroir. Que se passe-t-il quand deux miroirs se regardent ? Rien. Il n’y a plus même de voyeur, juste des reflets. Le voyeurisme absolu. Vertigineux.

Là où vont nos pères Shaun Tan
Quand Shaun Tan se lance dans Là où vont nos pères, il a une solide expérience d’auteur-illustrateur pour la jeunesse. Il s’adresse ici à un public plus âgé en conservant la forme de l’album illustré. L’histoire, organisée en chapitres - une caractéristique courante dans la bd muette – se compose de planches de vignettes carrées, sauf lorsqu'un seul dessin, de couleur sépia, rappelant les vieux albums photo, envahit la page. Mais voilà que flottent comme en apesanteur des éléments étranges. On pense à des décors de cinéma muet. Qu’on ne s’y trompe pas, l’histoire est simple, tristement universelle. Se penchant sur ses origines, Shaun Tan rend hommage à ceux, immigrés, réfugiés, exilés, qui, un jour, quittent tout et se retrouvent dans un espace qui leur est totalement inconnu, indéchiffrable. L’histoire de ce père de famille qui débarque avec sa valise dans une mégalopole dont il ne maîtrise aucun code, surréaliste et peuplée de créatures étranges, pourrait n’être qu’angoissante. L’auteur préfère montrer la solidarité, celle d’êtres qui comme le héros ont vécu l’exil. Ils vont l’aider, lui enseigner les codes, se raconter, partager un repas et des rires. L’homme trouvera du travail. Sa famille le rejoindra. Sa fille s’intégrera rapidement et l’histoire se répétera. Cet ouvrage merveilleux a reçu de nombreux prix.

Gon Masahi Tanaka
Le récit s’ouvre sur une rivière tumultueuse que remontent des saumons. Bien planté sur ses pattes, un ours attend. La chasse peut commencer. Le lecteur y participe, saisi par les remous glacés, les grondements, les coups de griffes et de crocs, l’odeur de chair des poissons. La fête est interrompue par l’irruption de Gon le dinosaure, venu réclamer sa part de festin. Une bagarre terrible s’ensuit, qui prend fin lorsque les deux animaux épuisés s’endorment, l’ours les pattes en croix et le dinosaure lové dans la fourrure épaisse du plantigrade. Gon est un bébé pourvu d’une force immense. Seul de son espèce, manger, dormir et jouer sont ses besoins principaux. Il a tout à apprendre et le fera au gré de rencontres avec toutes sortes d’animaux. Le dessin est époustouflant. Parfois violent dans les scènes de chasse, il est contrebalancé par l’humour et la tendresse de l’auteur pour son héros. Ce manga a connu le succès auprès d’un large public.

Un océan d’amour Lugano et Panaccione
Partons en mer dans Un Océan d’amour pour des aventures rocambolesques en compagnie d’un vieux pêcheur, de sa femme en costume breton, d’une mouette, et de bien d’autres personnages, tous plus surprenants les uns que les autres. Sur un mode léger et drôle, le scénariste – reconnu, c’est un comble, pour la qualité de ses dialogues - aborde des problématiques sérieuses liées à la mer, l’amour qui dure et les traditions bigoudènes. Le dessinateur, un habitué de la bd muette, adopte un découpage rythmé et efficace qui alterne avec de belles pleines pages réalisées à la palette graphique. Il donne vie à des personnages bien croqués et drôles. L’album a été très remarqué à sa sortie.
Et quelques titres encore
Pour les amateurs d’étrange et de science-fiction, Tremen rappelle Arzach de Moebius qui a révolutionné l’histoire de la bd muette et auquel l’auteur rend hommage. Dans un monde post-apocalyptique rendu par un dessin gris et étonnant, un voyageur solitaire et sa monture errent dans la désolation d’une ville peuplée d’êtres étranges. Tout aussi cauchemardesque, Saccage, du Genevois Frederik Peeters, nous conduit dans un monde dévasté, en une succession de tableaux colorés en pleine page qui sont autant de références picturales. Sabre fait un saut dans le passé quand, il y a 15'000 ans, un petit tigre à dents de sabre voit le jour. Au fil des saisons, dans une nature étonnamment rendue par un dessin d’une grande beauté, il va de découverte en découverte, d’apprentissage en apprentissage.

Saccage Frederik Peeters

Sabre Eric Feres
Enfin, pour une initiation précoce, les petits dès trois ans se plongeront dans l’épatante série Petit Poilu, puis un peu plus tard dans L’Ours Barnabé, en débutant bien entendu par Sans paroles !

Petit Poilu Bailly et Fraipont

L’Ours Barnabé Philippe Coudray
Bibliographie
3’’, Marc-Antoine Mathieu, Delcourt
Là où vont nos pères, Shaun Tan, Dargaud
Gon, Masahi Tanaka, Pika
Un Océan d’amour, Wilfrid Lupano et Grégory Panaccione, Delcourt
Tremen, Pim Bos, Dargaud
Saccage, Frederik Peeters, Atrabile
Sabre, Eric Feres, Dargaud
Petit Poilu, Pierre Bailly et Céline Fraipont, Dupuis
L’Ours Barnabé, Philippe Coudray, La Boîte à Bulles
#bande dessinée#Marc-Antoine Mathieu#Shaun Tan#Masahi Tanaka#Wilfrid Lupano#Grégory Panaccione#Pim Bos#Frederik Peeters#Eric Feres#Pierre Bailly#Céline Fraipont#Philippe Coudray#Delcourt#Dargaud#Pika#Atrabile#Dupuis#La Boîte à Bulles
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Un avocat qui maîtrise parfaitement l’art des mots pour défendre les pires criminels sombre dans l’alcoolisme et dans l’auto-destruction suite aux meurtres de son épouse et de sa fille. Il va faire vœu de silence et s’entraîner rudement afin de découvrir le meurtrier de sa famille et prendre sa revanche…
Origine du film : Bulgarie, États-Unis Réalisateur : Isaac Florentine Scénariste : Matt Venne Acteurs : Antonio Banderas, Karl Urban, Paz Vega, Cristina Serafini, Lillian Blankenship, Robert Forster, Jonathan Schaech, Raicho Vasilev, Isaac Florentine Musique : Frederik Wiedmann Genre : Action, Drame, Thriller Durée : 87 minutes Date de sortie : 27 octobre 2017 (États-Unis) Année de production : 2017 Sociétés de production : Saban Capital Group, Millennium Films Distribué par : Lionsgate Titre original : Acts of Vengeance Notre note : ★★★☆☆
“Acts of Vengeance” est un thriller d’action américain datant de 2017, réalisé par Isaac Florentine, à qui l’on doit également “Close Range” (2015). Les acteurs principaux sont Antonio Banderas, qu’on a pu voir dans “Security” (2017), Karl Urban, qu’on a pu voir dans “Hangman” (2017), Paz Vega, qu’on a pu voir dans “Kill the Messenger” (2014), Cristina Serafini, qu’on a pu voir dans “Day of the Dead: Bloodline” (2016), Robert Forster, qu’on a pu voir dans “Small Town Crime” (2017), et Johnathon Schaech, qu’on a pu voir dans “Marauders” (2016).
L’histoire proposée par “Acts of Vengeance” nous invite à suivre Frank Valera (Antonio Banderas), un avocat qui sait habilement utiliser les mots dans ses plaidoiries afin de défendre toutes sortes de criminels. L’épouse et la fille de Frank sont assassinées peu après un spectacle dédié aux jeunes talents où la fille de Frank s’est produite, mais dont il fut absent en raison de ses engagements professionnels. Après les obsèques, Frank se rend rapidement compte que l’enquête est au point mort, et sombre dans l’alcoolisme tout en s’adonnant au free-fight afin de se faire frapper, chose qu’il vit comme une forme de repentir. Alors qu’il est blessé dans une bagarre de rue, il prend conscience qu’en se “flagellant” de la sorte, il punit la mauvaise personne, et décide de mener sa propre enquête, tout en s’entraînant à divers arts martiaux. À force de persévérance, il va identifier l’auteur de l’assassinat de sa famille, et va tomber de haut en comprenant le cheminement de cette situation…
Il faut être bien clair d’entrée de match, il n’y a absolument rien de nouveau, d’innovant et d’original dans “Acts of Vengence”. Le scénario concocté par Frederik Wiedmann est tout ce qu’il y a de plus classique. En outre, Isaac Florentine, le réalisateur, est loin d’être connu pour produire des films offrant un renouvellement d’un genre, quel que soit le thème abordé. Reste que ce dernier sait gérer les scènes d’action, son point fort, sans aucun doute. Le personnage principal du récit, incarné avec une certaine aisance par Antonio Banderas, suit un cheminement ultra-classique. Il perd sa famille tragiquement, il sombre dans le chaos, puis se reconstruit avec une approche plus ou moins philosophique pour trouver le méchant et lui mettre une bonne raclée. Non seulement, c’est familier, mais c’est aussi cousu de fil blanc, et on peut tous facilement anticiper ce qui va se passer dans l’instant d’après.
Reste que tout ceci est bien fait, et que finalement, bien installé dans notre canapé favori, on se retrouve captivé et le rythme proposé par l’édition signée d’un trio composé de Paul Harb, Ivan Todorov Ivanov et Irit Raz, permet d’obtenir un métrage de 87 minutes toniques où finalement, on a que peu de temps à consacrer aux quelques incohérences de l’histoire. La photographie proposée par Yaron Scharf est basique, les scènes de combat sont très bien tournées, avec un certain sens du réalisme, et souvent avec peu de plan-séquence, ce qui indique que les acteurs ont travaillé leurs chorégraphies.
Du côté de la distribution, on retrouve donc Antonio Banderas dans le rôle principal. L’acteur ibérique montre qu’à 58 ans, il est encore très bien conservé et qu’un rôle physique ne lui fait pas peur. Il dispose d’un rôle intéressant, et pour les trois-quarts du métrage, il ne dispose d’aucun dialogue, le personnage ayant fait vœu de silence. Il est encore tout à fait capable de faire passer les émotions par ses expressions de visage. On retrouve également Karl Urban dans un rôle secondaire, qui prend essentiellement son importance dans la dernière partie du film. Plus jeune d’une bonne dizaine d’années, l’acteur néo-zélandais, 46 ans, affiche également un physique d’athlète et s’avère très à l’aise dans les scènes d’action. Le rôle qu’incarne Paz Vega tombe un petit peu dans la caricature, dans le cliché. La belle qui vient en aide au héros, qui en remerciement va l’aider à se débarrasser de ses propres problèmes. Enfin, citons également la présence de Robert Forster qui s’avère totalement sous-exploité dans un personnage à la limite du désagréable.
En conclusion, “Acts of Vengeance” est un petit thriller d’action basique disposant d’une histoire familière, d’une intrigue usuelle et d’un développement classique mais efficace. Le rythme est soutenu, le récit est fluide, et la narration est construite sur la base d’un flashback. La photographie est agréable, les scènes d’action sont cohérentes, et les scènes de combat sont très bien chorégraphiées. La distribution offre de bonnes prestations, et les acteurs principaux peuvent mettre en avant leur bonne condition physique. L’ensemble n’est en rien innovant, mais c’est propre et divertissant, voire même captivant.
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ACTS OF VENGEANCE (2017) ★★★☆☆ Un avocat qui maîtrise parfaitement l'art des mots pour défendre les pires criminels sombre dans l'alcoolisme et dans l'auto-destruction suite aux meurtres de son épouse et de sa fille.
#Antonio Banderas#Cristina Serafini#Isaac Florentine#Jonathan Schaech#Karl Urban#Lillian Blankenship#Paz Vega#Raicho Vasilev#Robert Forster
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Tulipmanie, Heerlen, NL Finished piece for @heerlenmurals featuring a gradient with tulips and chains superimposed over the visage of Frederik Hendrik (1625-1647) a Statdtholder of the Dutch Republic, and sovereign Prince of Orange during the Dutch Golden Age and advent of the Vereenigde Oost Indische Compagnie (VOC). The flower arrangement, intended to represent the Tulip Mania, one of the first documented commodity bubbles in the history of Europe and mercantilism, is complimented by a cornucopia of common Dutch fruits and vegetables derived from capitalism's insatiable, global reach. Even the potato, the most common and humble staple of the Dutch diet, was brought from Peru.
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@itsonlyhxman






joe mazzello with drinks because i’m thirsty af
#{ visage; frederik steinberg }#{ musings; frederik steinberg }#// here we have fred in his element xD
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