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Comme toute bonne chose a une fin (sinon on se rend plus compte qu’elle est bonne, au bout d’un moment), ce tumblr s’achève ici... J’ai pris beaucoup de plaisir à le faire, même quand la connexion était mauvaise et que je devais renvoyer 7 ou 8 fois le même billet pour qu’il passe !
Merci à celles et ceux qui l’ont suivi, de près ou de loin, à Manu, Del et Stouf pour leurs commentaires, à celles et ceux qui nous ont donné des conseils pour préparer ce fabuleux voyage qu’on ne fera probablement qu’une fois dans notre vie...
Et surtout, à bientôt !
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En sortant, on a pu apprécier une dernière fois la fluidité du trafic dans Bangkok...
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Bref, le tarif d’entrée était plus cher qu’au Pathé Chavant de Grenoble, ce qui est colossal pour la plupart des Thaïs... Mais quand on voit le hall du cinéma, on comprend qu’on n’est pas vraiment dans le quartier de la classe moyenne.
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Pour en profiter jusqu’à la dernière minute, on a décidé d’aller voir un film en 4DX.
Pour arriver à l’entrée du cinéma, on a du traverser deux centres commerciaux qui font passer les galeries Lafayette pour le PMU du quartier, passer devant le chapiteau où avaient lieu les défilés de la fashion week, re-rentrer dans un troisième centre commercial plus gros que les deux premiers (et plus luxueux), monter au 5 étage et trouver le guichet…
Alors la 4DX c’est quoi ? La 4D, c’est facile, c’est une manière de projeter le film qui ne fait plus intervenir que les yeux et les oreilles, mais aussi le toucher… Les fauteuils sont montés sur vérins et bougent en fonction des mouvements à l’écran (ça secoue parfois beaucoup), des trucs vibrent dans le dos et malaxent les côtes lors des scènes de bagarre, des ventilateurs énormes fixées dans les murs du cinéma envoient de grosses bourrasques lorsqu’il y a du vent à l’écran, des souffleries situées de part et d’autre de la tête et à l’arrière du siège de devant vous envoient des bourrasques en pleine tronche, et top du top, lorsqu’un acteur tombe dans l’eau, vous recevez un spray d’eau d’ans la figure… Assez magique, même si on a du aller voir les Power Rangers car c’était le seul film projeté en 4DX ce soir là !
Ah, et ou pour le “X”, on ne sait pas d’où il sort…
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Le petit jardin, que Mr Thompson appelait à juste titre sa “jungle”, est à l’image de la maison.
Le 26 mars 1967, Jim Thompson est en vadrouille en Malaysie. Il disparait mystérieusement en pleine forêt et son corps ne sera jamais retrouvé. Son passé d’espion fait émerger des théories plus farfelues les unes que les autres... C’était il y a 50 ans, jour pour jour.
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On arrive enfin au dimanche 26 mars, dernière journée de notre périple. On ne voulait pas rester sans rien faire, on aurait été trop frustré... Alors on est allé au Chatuchak Market, le plus gros marché du monde (8000 stands!), puis on a visité la maison de Jim Thompson.
Jim Thompson était un architecte américain. Après plusieurs années à exercer dans son cabinet, il a changé de voie en rentrant dans les services de renseignement. Il a donc œuvré comme “espion” pendant la Seconde Guerre mondiale, et c’est en 1945 qu’il est envoyé en mission en Thaïlande. La guerre prend fin avant qu’il n’ait pu commencer à la remplir, mais il a eu le temps de tomber amoureux du pays, et a décidé de s’y installer.
Il a eu un rôle très important dans le renouveau du commerce de la soie tissée à la main, et a participé à la sauvegarde du patrimoine thaïlandais en récupérant de nombreuses œuvres d’art. Sa maison est en fait constituée de 6 maisons en teck qui ont été amenées de divers endroits de la Thaïlande et ont été assemblées (avec quelques modifications) pour n’en faire qu’une seule. C’est beau, c’est calme, c’est harmonieux, on a envie d’avoir la même pour y finir ses jours...
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La journée du 25 mars s’achève donc sur cette mini-croisière, dans une atmosphère bien plus reposante que celle du marché aux fleurs ou du quartier chinois !
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L’un des rares trucs qu’on a complètement oublié d’aller voir à Bangkok, c’est un marché flottant. Notre promenade sur les klongs rattrape un peu le coup. Juste un peu.
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Puis petit à petit, on s’en éloigne doucement mais sûrement, et ne restent plus que les petites bicoques des quartiers de Thonburi. Oh, et les temples. Beaucoup de temples.
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Et c’est un visage de Bangkok très différents qu’on a découvert lors de cette promenade en long-tail boat... Au début, on aperçoit encore les gratte-ciel et les barres d’immeubles.
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Au troisième arrêt sur la Chao Prayah, on n’est descendu du bateau que pour remonter sur un autre, plus petit, qui nous a emmenés sur les klongs, ces canaux qui sillonnent Bangkok et qui étaient autrefois une voie très utilisée pour se déplacer. Toutes les maisons au bord des klongs ont d’ailleurs toujours leur petit embarcadère privé.
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En retournant à l’embarcadère, on est passé devant cette maison sur laquelle pousse un gros arbre. Normal.
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Après avoir refait quelques centaines de mètres en bateau, on est descendu à l’embarcadère des quartiers chinois et indien.
Je n’ai fait qu’une photo, car c’était compliqué de sortir l’appareil au milieu de cette foule ultra-compacte au milieu de laquelle des scooters passent régulièrement... Ici, on arrive au bout de l’une des nombreuses ruelles du quartier chinois, et on y voit nettement plus clair.
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Une fois de plus, ce qui est le plus dingue, c’est la quantité qu’il y a sur chaque étal.
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Ce qu’on trouve le plus, ce sont ces grosses fleurs jaune-orange qu’ils utilisent pour faire des colliers posés en offrande dans les temples ou sur les autels qui jalonnent les rues. Certains en accrochent à leur rétroviseur de voiture, probablement pour s’attirer les faveurs de Dame Chance lorsqu’ils conduisent. Et croyez-moi, Elle a du boulot...
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