Tumgik
lilseaotter · 6 years
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J'ai perdu...
If you’re old enough to remember it, you just lost The Game.
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lilseaotter · 6 years
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Et le voilà, le nouvel article tant attendu (ou pas) sur cet auteur que j'aime tout particulièrement : J.R.R. Tolkien ! #VendrediLecture Mais qui ne connaît par J.R.R. Tolkien ? Monument de la littérature fantasy, auteur de la Trilogie du…
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lilseaotter · 6 years
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Je viens de me rendre compte que je n’avais pas fait d’articles sur mon petit week-end au Pays Basque il y a deux ans. Alors, rattrapons le temps perdu. Je vais essayer de me rappeler ce que nous avons fait durant ce court mais excellent séjour à Bidart.
Je suis partie avec une de mes colocataires de l’époque : I.. J’étais arrivée à Toulouse en avril et je n’avais toujours pas quitté la ville alors lorsqu’elle m’a proposée de l’accompagner à l’océan, j’ai répondu oui avec beaucoup d’enthousiasme. Nous sommes allées à Bidart le premier week-end de juillet 2016 et nous avons adoré. Ma coloc était déjà allée à plusieurs reprises à Biarritz car elle a un oncle qui y habite. Pour ma part, c’était la première fois que je mettais les pieds au pays basque. Quel bonheur de se retrouver au bord de l’océan ! J’habite depuis toujours au bord de la mer. Pour moi, l’air iodé est essentiel, et autant dire qu’à Toulouse, il m’arrive de dépérir un peu. Ne vous méprenez pas, j’aime beaucoup Toulouse mais je préfère les stations balnéaires et à choisir, l’océan car ça bouge comme à la maison. Eh oui, je ne suis pas une grande fan de la Méditerranée car il manque un élément essentiel : les marées. Oui bon d’accord, il y a des marées mais tellement insignifiantes qu’on ne voit pas la différence entre marée haute et marée basse. Alors aller à l’océan, c’était vraiment le pied.
Nous sommes donc parties avec deux covoitureurs en route pour un petit week-end au bord de l’océan. Malheureusement, le temps n’était pas avec nous le samedi. Il a fait gris toute la journée mais ça ne nous a pas empêché de nous balader car il faisait très bon (et d’attraper quelques coups de soleil parce que on a oublié le basique de : même s’il est caché, le soleil est là et tu peux choper des coups de soleil comme pour rire). Bref, nous avons décidé de faire Bidart et le bord de mer en long, en large et en travers. Nous nous sommes baladées un peu partout dans la ville, sur le bord de mer, sous les arbres. Après un bon moment de marche, nous avons décidé d’aller boire un verre sur la place de la ville. En fin d’après-midi, le soleil a décidé de pointer le bout de son nez et c’était fort agréable. Le soir venu, nous avons décidé d’aller manger à la pizzeria Bidart. Cette pizzeria est super sympa car elle offre une terrasse avec une vue sur la ville. Le temps étant des plus cléments, nous avons donc profité de cette terrasse. Après un bon repas, nous avons décidé d’aller faire un tour à la plage et de profiter des lumières du soir sur l’océan.
Le lendemain matin, nous avons décidé d’aller nous baigner. C’était marée basse et la zone de baignade était particulièrement étroite car il y avait beaucoup de courant et de vagues. Nous en avons tout de même bien profité. Après avoir mangé, nous sommes retournées à la plage pour bronzer car la baignade était quelque peu ardue à cause des vagues et de la marée haute. Il n’y avait personne dans l’eau à l’exception des sauveteurs. Il y avait de sacrés rouleaux et c’était un spectacle vraiment beau à voir. Malheureusement, ce fut un très court séjour car nous sommes reparties le soir même.
Niveau logement, nous avions pris une chambre dans une maison grâce à Air BnB. La chambre avait sa propre salle de bain et la propriétaire était adorable. Elle a passé du temps à nous expliquer quoi faire pendant notre séjour ou encore, où se rendre pour aller se baigner (le tout en toute sécurité).
J’aimerai beaucoup retourner dans cette région et visiter d’autres villes alentours car c’était un très bon week-end et ce n’est pas très loin de Toulouse. Je vous laisse profiter de quelques photos que j’ai réalisé là-bas.
Petit retour en arrière sur un week-end à #Bidart :) Je viens de me rendre compte que je n'avais pas fait d'articles sur mon petit week-end au Pays Basque il y a deux ans.
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lilseaotter · 6 years
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A défaut de pouvoir voyager en ce moment pour diverses raisons, il faut alimenter ce blog et je me suis dit que parler de cette association était une bonne idée. Bon déjà, kézako ? Je pense que la plupart aura compris le petit clin d’oeil et jeu de mot avec Intramuros mais sinon c’est quoi Intramurock ?
Intramurock c’est une association boulonnaise, de Boulogne-sur-Mer (oui bon je précise on sait jamais, certains pourraient penser à Boulogne Billancourt par exemple). Cette association souhaite promouvoir des petits (ou grands) groupes locaux et leur permettre de faire un concert dans une vraie salle de spectacle prévue à cet effet. En gros, permettre à tous de se produire dans les meilleures conditions possibles et en mettant à dispo’ des professionnels du monde du spectacle : ingé’ sons, techniciens … Et pourquoi rock à la fin ? Tout simplement parce que dans l’idée c’est plutôt pour des groupes de rock. Ainsi, des groupes avec des styles très différents se produisent chaque soir et chacun découvre ou profite de ce moment.
Pour s’occuper de tout ce petit monde ? Eh bien, comme pour toutes les associations, une ribambelle de bénévoles se bousculent un peu partout. Au bar, sur les stands, à la billetterie (mais seulement si vous faites partie du très prisé Spice Girl Band d’Intramurock), pour s’occuper des loges, monter, démonter, prendre des photos … Bref, tout le monde se coupe en 60 pour faire en sorte que le festival soit une réussite. Tout ça, sous l’oeil attentif de Laurence, responsable de l’association. Pendant deux jours, on court partout, on oublie la fatigue et le mal de dos et on s’y met à fond. On rit, on déconne et on se démène pour faire un travail correct tout en profitant de la musique et des gens présents.
Pour moi, ce festival c’est un peu la famille. Depuis 2011, je suis bénévole. Tantôt à la billetterie, tantôt en train de prendre des photos ou d’aider pour ci ou ça, je passe toujours un super moment. Des liens se nouent très vite avec l’équipe mais aussi avec les festivaliers avec lesquels on déconne pas mal surtout quand on faisait les Tronches de rock. Le principe ? On allait dans le public demander aux gens de nous faire leur meilleure tronche de rock et autant vous dire qu’on en a des assez priceless. Les bénévoles s’occupent d’un peu tout le monde et c’est super cool. Surtout que le rush passé, il est tout à fait possible de profiter des concerts ou de faire une pause sandwich.
Pour les groupes, il y en a pour tous les goûts : rock, pop, pop rock, punk, math rock/post rock, métal, ska et j’en passe. Chacun peut y trouver, y découvrir et y écouter des groupes à son goût. Quatre groupes par soir, une bonne ambiance, des sourires, de la joie, bref, du bonheur en barre.
Chaque année, j’attends avec impatience ce week-end où je vais retrouver des copains que je n’ai pas l’occasion de voir autre part qu’à Intramurock mais où je vais également passer un très bon moment musical. Il réside dans chaque ville des petits groupes pas assez connus et c’est, je trouve, plutôt très sympa d’avoir un rendez-vous annuel où les retrouver.
Alors, venez les 9 et 10 novembre 2018 (bon, on est d’accord, vous avez le temps) pour découvrir et soutenir ces groupes locaux qui ont besoin qu’on parle un peu plus d’eux. Un peu de pub n’a jamais tué personne 🙂
Voici quelques photos des éditions précédentes :
Cette photo a été retenue pour faire l’affiche et la première de couv’ du magazine Intranews :
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Vous retrouverez toutes les infos sur cette association sur le site et les différents réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Instagram.
Intramurock A défaut de pouvoir voyager en ce moment pour diverses raisons, il faut alimenter ce blog et je me suis dit que parler de cette association était une bonne idée.
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lilseaotter · 6 years
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Alors, ça fait une éternité que j’avais parlé de faire un article sur le sujet et donc, je me lance. Je suis un peu une noob en convention mais j’avais envie de vous parler de ces deux conventions que j’ai eu l’occasion de faire : le TGS Springbreak (2 éditions : 2016 et 2018) et le TGS en décembre 2017.
Tout d’abord, je n’ai que des photos du TGS Springbreak pour une raison toute simple : l’affluence du TGS était telle que je n’ai pas pris de photos avec l’appareil de peur de l’abîmer. Donc les illustrations de l’article seront uniquement du TGS Springbreak.
Alors, commençons par la première convention que j’ai faite qui était le TGS Springbreak de 2016. Je venais tout juste d’arriver à Toulouse et déçue de ne pas pouvoir participer au Geek Days de Lille, j’ai décidé de prendre ma place pour le TGS. Vêtue d’une veste panda, je suis partie à la conquête de ma première convention. Le TGS Springbreak se déroule à Labège au centre Diagora et dure pendant deux jours, un samedi et un dimanche. Rien de très innovant, j’ai l’impression que c’est la plupart du temps comme cela sauf sur des événements de plus grande ampleur. En 2016, l’une des têtes d’affiche était un méchant (oui, je pense qu’on ne peut pas dire un héro dans ce cas précis) de mon enfance : Apophis de Stargate SG1. Mon père, grand maître de la sacro sainte télécommande, nous empêchait de regarder un autre programme si Stargate était à l’antenne, et ce, même si c’était la 150ème fois qu’il voyait l’épisode. Donc autant vous dire que je suis plutôt au taquet sur cette série. J’ai même succombé et payé pour obtenir une dédicace, même si je dois reconnaître que les prix sont un peu élevés. Après, c’est une association qui s’occupe de l’organisation donc c’est un moyen pour l’invité d’être payé. Cette année-là, j’ai également eu la chance de pouvoir prendre une photo de mon fier acolyte Mr Pingouin en compagnie de la bande de Noob, websérie que j’apprécie particulièrement et croiser au détour d’un stand des acteurs de Kaamelott, plus précisément, Bô Gaultier de Kermoal et Guillaume Briat. De même, j’ai croisé Brigitte Lecordier, doubleuse française de Son Goku. J’ai également souhaité me faire dédicacer le livre de Bruce Benamran mais suis arrivée trop tard. J’y ai également croisé de très beaux cosplays, et de manière générale, l’ambiance y est très bonne enfant bien que mercantile.
J’ai refait le TGS Springbreak cette année, donc l’édition 2018 et j’ai été quelque peu déçue car j’ai trouvé qu’il y avait moins de choses à voir et moins de personnes à rencontrer surtout. Je ne vais pas vous mentir, j’adore aller aux conventions pour rencontrer des gens que je n’aurai pas l’occasion de rencontrer autrement et cette année, à l’exception de Kayane et de Reflet d’Acide, je n’ai pas trouvé mon compte. Je n’étais peut-être pas la cible certes mais ça m’a fait bizarre quand je me suis rendue compte que je ne connaissais aucun des Youtubeurs invités. Les têtes d’affiche de cette année étaient Joe Flanigan, acteur de Stargate Atlantis (que j’ai regardé avec mon paternel également mais je ne suis pas une fan incontestée de son personnage), David Nykl, autre acteur de Stargate Atlantis et Ross Mullan, marcheur blanc de Game of Thrones. Cette édition n’était pas de moindre qualité mais j’en suis ressortie mitigée. Néanmoins, j’ai pris du plaisir à être cosplayée en Chloé Price du jeu Life is Strange et à voir des cosplays plus beaux les uns que les autres. Je pense sérieusement à m’y intéresser afin de faire mes propres cosplays. Affaire à suivre …
Ce qui nous amène au TGS de décembre. Le Toulouse Game Show ne prend pas place à Diagora mais au Parc des Expositions dans Toulouse, à proximité du stade de football (oui parce qu’il y a aussi le stade de rugby, il est important de les différencier car ils ne sont pas du tout au même endroit). Cet événement se produit sur un week-end en fin d’année généralement et est beaucoup plus grand et conséquent que le TGS Springbreak. Les invités sont généralement plus “prestigieux” mais surtout beaucoup plus nombreux. En effet, pour l’édition 2018, les premiers invités annoncés sont Don Rosa, créateur de Picsou et l’acteur Sean Bean. De même l’an dernier, on y trouvait Frankie Muniz de la série Malcolm ou encore James Marsters, acteur de Spike dans Buffy contre les Vampires. Il y avait également énormément de comédiens, de Youtubeurs, de gamers/gameuses et d’auteurs, illustrateurs en tout genre. Bref, il était facile d’y trouver son compte. J’ai même eu la chance de rencontrer Barry Kitson qui a travaillé sur différents comics comme Batman (je suis une fan inconditionnelle du chevalier noir). J’ai d’ailleurs acquis un dessin A5 du Joker, réalisé spécialement pour moi et sous mes yeux ébahis. J’ai également pu voir Maliki et Becky (et me procurer le cadeau de Noël parfait pour mon meilleur ami). Mais le monde, la promiscuité et l’effervescence ont vite rendu tout cela étouffant. Néanmoins, j’ai adoré l’espace cosplay où l’on pouvait rencontrer des cosplayeurs professionnels, des crafteurs, une porte des étoiles, les voitures de Supernatural, Retour vers le Futur et Harry Potter. De même, j’ai vraiment apprécié les stands de littérature fantasy qu’on trouvait en de nombreux endroits. C’était vraiment super de pouvoir discuter avec des auteurs, obtenir une petite dédicace et repartir avec un sac rempli de livres.
Bref, malgré la foule et quelques incivilités, je retire pas mal de positif de ces événements et c’est avec plaisir que je retournerai au TGS édition 2018. J’ai adoré être cosplayée en Chloé et être reconnue par quelques personnes même si je n’étais pas vraiment à l’aise puisque c’était la première fois. J’ai hâte d’y retourner et de voir si mon impression sur le TGS Springbreak 2018 n’était justement qu’une impression par rapport à des invités/activités qui ne me passionnaient pas.
Petit article sur le TGS et le TGS Springbreak de #Toulouse @TGSTOULOUSE Alors, ça fait une éternité que j'avais parlé de faire un article sur le sujet et donc, je me lance.
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lilseaotter · 7 years
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Je reviens avec une petite #chronique sur les livres de M. D. Bortoli : Projet Friendzone - Projet Bridezilla. Alors, allez la lire nom d'une truite ! Bon ce sera deux chroniques en une car j'ai fait l'éloge de Projet Friendzone sur mon Facebook privé mais pas sur ce blog (shame on me).
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lilseaotter · 7 years
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Et voilà, nous nous sommes envolés le 22 décembre pour l’Algérie et en sommes revenus le 26. Ce voyage aura été des plus rempli entre visites, mariage, découvertes et autres joyeusetés des voyages. Dans tous les cas, je pense que les mots : dépaysement, magique, émerveillement et découverte sont les plus représentatifs de ce voyage.
Alors, pour ce voyage, nous n’avons pu aller et profiter que d’Oran car nous étions quelque peu dans une course contre la montre puisque je devais être en France le 28 décembre. Nous avons donc décidé de profiter au maximum de nos quelques jours en Algérie et à Oran.
Tout d’abord, le départ pour l’Algérie, nous avons pris l’avion pour Oran vers 12h30. Nous avions à peu près une demi-heure de retard par rapport à l’heure prévue mais il semblerait que ce soit monnaie courante sur la compagnie Air Algérie. Arrivés à l’aéroport, nous avons réalisé que nous n’avions peut-être pas choisi le meilleur jour d’arrivée. En effet, nous sommes arrivés un vendredi et le vendredi est le jour saint en Algérie donc la plupart des commerces, banques et autres facilités sont fermées. De même, nous avons rencontré des problèmes avec la navette. Nous avons pris un peu de retard le temps de passer la douane. D’ailleurs, il faut savoir qu’en tant que ressortissant étranger, vous avez une fiche de police à remplir (et que celles-ci se trouvent à droite de la zone d’attente à l’aéroport d’Oran). Ne le sachant pas, nous avons fait la queue jusqu’à arriver devant un douanier plutôt mal-aimable qui m’a signifié avec un signe de la main d’exaspération qu’il fallait remplir la fiche. Sans préciser où la trouver. Par chance, nous avons vu une dame faire la même chose. Après la douane, il a fallu récupérer la valise et autant dire que ce n’était pas une mince affaire. Ce n’est pas le nombre de valises qui comptent sur cette compagnie mais le poids. Donc, la plupart des gens ont plein de valises et sacs différents. Une fois le tout récupéré, opération navette. Et là, ça a été compliqué. L’aéroport était particulièrement rempli car il y avait des familles présentes pour accueillir des retours de pèlerinages. Nous avons demandé de l’aide à l’aéroport et en désespoir de cause, avons appelé l’hôtel qui nous a renvoyé une navette. Nous n’avons pas trop compris pourquoi elle n’était pas là à notre arrivée mais nous sommes finalement arrivés à bon port à l’hôtel Colombes, qui est un très bon hôtel pour un prix plutôt raisonnable.
A peine arrivés, notre ami S., futur marié de surcroît, nous a appelé pour nous dire qu’il venait nous retrouver avec C., une collègue de V. et invitée au mariage, pour aller manger un bout ensemble. Avec un simple plateau d’avion dans l’estomac, j’avoue que nous commencions à avoir faim. Donc nous retrouvons S. et C. pour aller manger un bout dans le centre d’Oran. On en profite pour faire un petit tour sur le front de mer. On mange et un peu terrassé par la fatigue, on décide tous de rentrer chacun chez soi pour dormir et être en forme le lendemain pour notre première visite guidée du séjour.
En effet, nous avons décidé sur conseil de S., de visiter la ville grâce à un guide et une association qui s’appelle Bel Horizon. Cette association cherche à faire connaître le patrimoine Oranais aux Oranais mais aussi aux touristes qui pourraient passer par là. Dans ce sens, cette association propose des formations pour devenir guide et nous avons pu profiter de leur connaissance de la ville et de son histoire. Et tout ceci, pour un prix qui était des plus raisonnables (sur la base d’un salaire français j’entends) surtout, que nous étions 3 à nous partager les frais. Faire la visite de la ville et de ses alentours avec cette association nous a permis d’en apprendre plus sur la ville, son histoire et son évolution à travers les âges mais aussi sur des projets de restauration à venir (et les enjeux qui en découlent). C’est une association très investie qui cherche à défendre le patrimoine qui ne dispose que de très peu de budget et n’est pas un réel enjeu pour les politiques (bien malheureusement d’ailleurs). Vous pouvez les suivre et les contacter sur leur page Facebook. Durant notre voyage, c’est Rafik qui nous a fait la visite d’Oran et Abdel la visite de ses alentours.
1ère journée de visite, Oran
Commençons par notre première journée de visite ! Je ne vais pas vous retranscrire tout ce qui nous a été dit car si vous voulez des informations, je vous invite à consulter la page de Bel Horizon :). Levés relativement tôt pour un rythme de vacances, Rafik vient nous chercher directement à l’hôtel et direction la Place d’Armes d’Oran et la ville Européenne. La ville Européenne est la partie d’Oran qui a été construite par les Français durant la colonisation. Nous arrivons donc sur la Place d’Armes, désormais, la place 1er novembre, où l’on trouve le théâtre, l’ancien hôtel de ville et le monument de Sidi-Brahim (ou Abd-el-kader). Tous ces bâtiments et cette place ont été construits par la France. D’ailleurs, durant un temps il a été question de rapatrier le monument Sidi-Brahim en France. C’est une chose qui s’est produite par exemple avec la statue de Jeanne d’Arc qui se trouvait devant la cathédrale dans le style néo-byzantin qui est désormais une bibliothèque. La statue de Jeanne d’Arc se trouve à Caen. Après, la place d’Armes, nous nous sommes rendus dans le bureau du plus vieux journal d’Oran : L’écho d’Oran qui est devenu la République. Rafik réussit à nous faire voir une salle qui est censée être fermée (car nous étions samedi, jour de week-end). Dans cette dernière, plusieurs portraits dont celui de journalistes qui ont été tués lors de la guerre civile dans les année 1990. Rafik en profite pour parfaire notre culture et nos connaissances historiques en nous expliquant beaucoup de choses sur cette période et de la défiance que les algériens nourrissent quant aux barbus depuis. Ensuite, on marche jusqu’au musée de la Culture, anciennement le musée du Colon et de l’Agriculture. C’est un très beau bâtiment art déco mais un espèce d’alien architectural se tient à ses côtés et gâche un peu tout. De plus, le bâtiment est assez abîmé. Pourtant, comme nous l’a dit Rafik, ce serait un bâtiment à rénover et surtout à conserver. Nous sommes ensuite allés voir la bibliothèque d’Oran, ancienne cathédrale dans le style néo-byzantin. On a aussi été voir la tour de la Compagnie Algérienne. Nous sommes repartis vers la place d’armes et nous sommes rentrés dans le théâtre et nous avons pu visiter la salle. C’était magnifique.
Nous avons repris la voiture pour aller voir le palais du Bey, un des rares bâtiments qui témoignent du passage des Ottomans à Oran. En effet, il faut savoir que les Ottomans ont été présents pendant très peu de temps comparé au reste de l’Algérie et on trouve donc très peu de traces de leur passage. A côté du palais du Bey, se trouve un énorme squelette d’un bâtiment inachevé. Ce bâtiment devait être un palace avec piscine etc. afin d’accueillir des délégations mais n’a jamais été fini car le second crash pétrolier a mis à mal l’économie algérienne et oranaise. De plus, le d��truire coûterait très cher et on prendrait le risque de détruire le palais du Bey. La structure sert entre autre, de panneau publicitaire ou de panneau d’affichage pour les élections. Rafik nous a dit qu’il existait actuellement un projet de réhabilitation du palais du Bey par la Turquie. Bel Horizon souhaite superviser cette réhabilitation car on trouve dans le palais du Bey, une partie Ottomane mais aussi une partie française puisque les militaires français ont investi le palais durant de nombreuses années. On trouve un premier bâtiment où le plancher est très abîmé. De même que les peintures mais qui rénové, présenterait une richesse superbe. On a aucun mal à imaginer les lieux en meilleur état et c’est somptueux. On passe ensuite dans un jardin à l’écart de la ville et là, on ne sait plus où l’on est. C’est calme, tranquille, loin de l’agitation de la ville. Au fond de ce jardin, on trouve la maison de la favorite. Sur le balcon, on a une jolie vue sur la Vieille ville d’Oran. Cette partie de la ville est un vestige de l’occupation espagnole et Ottomane. En effet, avant l’arrivée des français, la ville et le centre ville se concentrait de ce côté-là. Ce sont les français qui ont étendu la ville lorsque la population a beaucoup augmenté. On peut voir d’ailleurs un minaret dans le style Ottoman. Ensuite, nous avons continué notre visite avec le bassin, les anciennes cuisines et les écuries.
Repartis en voiture, on s’arrête près du port, dans un parc et ensuite on va voir l’ancienne mairie, les arbres amoureux sur la place de la République ainsi que la place Kleber. Après, on s’en va voir les bains turcs où l’on trouve une association. C’est tout comme le palais du Bey, un des vestiges du passage Ottoman à Oran. Notre visite est un peu écourtée par un appel de notre ami S. qui souhaite manger avec nous. Retour vers le centre et on mange dans un self avant de partir pour un nouvel après-midi de découverte. On en profite pour passer voir le bureau et siège de l’association Bel Horizon, dans la rue des associations. On trouve dans cette rue comme son nom l’indique, un grand nombre d’associations.
L’après-midi, direction les hauteurs d’Oran et le fort de Santa Cruz ! Nous prenons de la hauteur et on a une vue géniale sur la ville ainsi que sur Mers el-Kébir. Historiquement c’est là que les espagnols se sont installés et ont ensuite construit des forts pour se défendre sur les hauteurs. Mais fatigués d’être attaqué par Oran, les espagnols ont fini par prendre Oran. Sur les hauteurs, on trouve également des traces de l’ancien téléphérique et une mosquée en construction. Cette mosquée est un don d’une personne influente qui voulait construire une mosquée qui surplombe Notre Dame du Salut. On profite d’un petit cours d’histoire de la part de Rafik qui nous apprend de nombreuses choses par exemple, sur la participation de l’Algérie lors de la seconde guerre mondiale ou encore, sur l’indépendance de l’Algérie. Si vous voulez plus de détails, je vous invite à aller visiter et faire appel à cette association 🙂 D’ailleurs, j’ai appris de nombreuses choses durant ce voyage tant sur l’histoire de la France que de l’Algérie. Nous sommes ensuite allés visiter le fort de Santa Cruz, fort espagnol qui surplombe la ville de toute sa hauteur. Malgré des travaux, nous avons aussi pu jeter un œil à Notre Dame du Salut qui se trouve en contrebas du fort.
Nous repartons dans la ville pour aller visiter la Grande Mosquée et la gare. Pour visiter la mosquée en tant que femme, C. et moi devons nous couvrir. Pas de problème, on nous prête de quoi nous couvrir et nous visitons la Grande Mosquée et je pense qu’un mot résume ce bâtiment : splendide. Cette mosquée est récent (2013) et peut accueillir jusqu’à 15 000 personnes. Tout est beau, travaillé et il émane un côté chaleureux de ce bâtiment. Lors de la prière, l’étage est pour les femmes et le rez-de-chaussée pour les hommes. Nous avons également vu la bibliothèque qui est une bibliothèque généraliste. La gare quant à elle, a été construite par les français et a le style d’une mosquée “pour se fondre dans le paysage”. C’est également un bâtiment très beau à voir. Cette première journée de visite s’achève car nous devons rentrer nous préparer pour le mariage qui nous attend.
Le mariage
C’était une grande première pour nous, un mariage algérien en Algérie. On commence en se rendant chez notre ami, le futur marié. Il a quelque une heure et demi de retard mais nous prenons des photos, le folklore joue de la musique et tout le monde se joint au cortège pour se rendre chez la mariée. Après quelques cafouillages, nous arrivons chez la mariée, un peu en retard. C. et moi avons la possibilité de monter voir les mariés, on nous prend une nouvelle fois en photos, on nous dit de sortir, on ne sait pas quoi faire et on se sent un peu perdu mais par chance, la famille de S. nous prend en main et nous dit quoi faire. Nous reprenons la voiture et direction la salle. Cette fois, on ne s’est pas perdu et nous attendons les mariés. Ils arrivent et c’est le début des hostilités et des 11 robes de la mariée. Elle est magnifique il faut le dire mais on a beaucoup compati car elle a passé sa soirée à se changer. Nous profitons de la fête, du repas et chaque fois qu’une tradition est à l’oeuvre, on vient nous chercher pour qu’on puisse profiter de chaque instant.
Nous étions un peu la touche exotique du mariage et tout le monde était au petit soin. Je pense que c’est ce qui m’a le plus marqué dans ce voyage, le sens de l’hospitalité des algériens. Je n’ai jamais autant entendu “Soyez les bienvenus” ou vu des gens aussi concerné par l’image de leur pays et ce que nous pensions jusqu’ici de notre voyage. La gentillesse, l’attention et le sens de l’hospitalité des Algériens est sans limite et particulièrement touchant. C’est une chose qui est beaucoup moins présente en France et c’est bien dommage.
La soirée se finit vers 4h30 du matin, nous avons bien mangé, dansé, rigolé, parlé et autant dire que nous sommes fatigués. On rentre se coucher. On s’endort en entendant le premier appel à la prière de la journée et on se repose toute la journée.
2ème journée de visite, Oran et ses alentours
Et c’est reparti pour une nouvelle journée de visite ! Et là, catastrophe, je suis malade. Eh oui, le 25 décembre même en Algérie, la malédiction de la maladie de Noël me poursuit. Bon tant pis, je passe en mode survie et coûte que coûte je profiterai de ma dernière journée en Algérie, parce que oui, le voyage touche à sa fin et ce n’est pas facile à avaler. Nous retrouvons Abdel cette fois-ci, le père de Rafik. Il nous emmène à Port aux Poules, à une cinquantaine de kilomètres d’Oran. C’est un petit port de pêche dont une partie est restée assez authentique. C’est agréable d’être au bord de l’eau. La mer, c’est beau. Le littoral également. C’est ce que Abdel nous a concocté pour la journée, découverte du patrimoine naturel. On commence avec Port aux Poules et on s’en va ensuite vers une ville dont j’ai oublié le nom je dois le reconnaître où on trouve des vestiges romains et un important site pétrolier. Oui, on continue avec les contrastes de paysage. Abdel nous explique que de nombreux vestiges sont présents en Algérie mais pour le moment, il n’existe pas de chantiers archéologiques avec un plan d’avenir pour ça. Donc autant conserver le tout sous terre que l’exposer aux intempéries sans plan de conservation. On reprend la voiture et on s’arrête pour voir un phare. Dans la voiture, on parle d’Apollinaire, de Camus et de littérature de manière générale. C’est super agréable d’apprendre de nouvelles choses.
Nous arrivons à Kristel. Dans ce village, on trouve des cultures en terrasse et une ville qui se construit autour d’une source qui traverse le village. Chaque jour à 3h du matin, une famille prend le contrôle de l’eau pour ses cultures et chaque jour c’est une famille différente. Nous descendons au milieu des cultures où on trouve de tout, des navets, des laitues, des betteraves etc. On arrive sur le bord de mer et c’est très beau. Le paysage est exceptionnel et c’est l’un de endroits que j’ai préféré. Nous buvons un petit verre avec notre guide et nous repartons vers Oran. Sur les conseils de notre super guide, nous allons manger du poisson au Corsaire, on se régale, on reprend des forces et c’est reparti pour un tour !
Nous repassons à la gare car C. a besoin d’un billet pour aller à Alger et nous décidons au vu de la circulation plus que compliquée de sortir d’Oran pour aller vers l’Ouest d’Oran. Nous passons à Misserghin où nous avons vu l’endroit où le frère Clément a créé la clémentine. Nous passons au milieu de vergers. C’est très vert et ça contraste un peu avec ce que nous avons vu jusque là. Nous rentrons vers Oran en passant par Mers el-Kébir et par la route littorale.
La journée s’achève et notre guide nous dépasse chez S. car sa mère nous a invité à manger un couscous. Après la soirée et retour à l’hôtel où il faut faire les valises pour rentrer en France. Avec V., c’est décidé, on reviendra ! On fera le désert, on finira de visiter Oran et on ira à Alger. En tout cas, on a hâte d’y retourner car c’était un voyage génial bien que beaucoup trop court. Il me tarde d’en apprendre encore plus sur ce pays qui m’a conquise. Par contre, je ne conduirai jamais à Oran. Les oranais ont leur propre code de la route et il serait dangereux de se lancer sur la route sans le connaître. De plus, les dos d’ânes sont d’une violence inouïe. Bref, ce voyage m’a laissé des étoiles dans les yeux et j’ai vraiment envie d’y retourner bientôt.
    A la découverte d'Oran et de ses différents visages ... Et voilà, nous nous sommes envolés le 22 décembre pour l'Algérie et en sommes revenus le 26.
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lilseaotter · 7 years
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Et si on s'envolait pour l'Algérie ? Mais avant ce départ, quoi faire ? Quand ? Comment ? En ce moment, je suis motivée pour faire plein d'articles donc on va continuer sur la lancée et parler des démarches à entreprendre pour aller en Algérie.
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lilseaotter · 7 years
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The Handmaid’s Tale (La servante écarlate) par Margaret ATWOOD. Ma dernière lecture en date et pas des moindres, The Handmaid's Tale traduit La servante écarlate…
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lilseaotter · 7 years
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Bordeaux ou à la découverte d’une ville inconnue. J’ai décidé (et profité d’une réduction SNCF) d’aller à Bordeaux. C’est à 2h de Toulouse en train (oui c’est à peu près le même temps en voiture mais pas le même confort on va dire).
Et autant dire que je n’ai pas été déçue par cette petite escapade d’une journée. Je suis partie le matin et rentrée le soir et je n’ai pas chômé durant cette journée. Arrivée à la gare, je m’en vais direction Place de la Bourse. Ne connaissant pas du tout la ville, j’ai fait une petite recherche Google préalable afin de voir quels endroits sont réputés. Néanmoins, c’est surtout le hasard et Google Maps qui m’ont guidée. En chemin, je passe devant l’église Sainte Croix. Je ne suis pas entrée pour la visiter mais, l’architecture extérieure était des plus sympathiques. J’ai croisé un grand nombre de tags et autres pièces de Street Art que je me suis amusée à prendre en photos. Ce qui m’a le plus impressionné, c’est le côté ancien de la ville. Il faut dire qu’étant originaire du Nord-Pas-de-Calais où on a un peu pris cher avec les deux guerres mondiales, c’est toujours dépaysant d’être dans une ville dont on ressent l’histoire à travers les âges. Je n’ai aucune idée de quand date la plupart des bâtiments du centre de Bordeaux. Dans tous les cas, cela donne un charme certain à cette ville. De même, on trouve de nombreuses portes pour entrer dans le centre historique.
A force de déambuler sans but, je découvre la basilique Saint-Michel. Le temps varie d’ensoleillé à pluvieux et redevient ensoleillé. Je me croirai à la maison. Par la suite, je poursuis mon chemin et arrive place de la Bourse où l’on trouve le Miroir d’eau, attraction touristique, il me semble, la plus connue de Bordeaux. Je passe devant des nouvelles portes ainsi que des colonnes. Je décide de quitter les quais pour repartir dans la ville afin de manger quelque chose avant de reprendre ma visite de la ville. Après avoir avalé un sandwich (oui, je n’étais pas sur Bordeaux pour très longtemps et j’avais envie de profiter un maximum de la ville), je repars au hasard. Je vais jusqu’au Jardin Public, passe par le Parc des Allées de Chartres et finit nez à nez avec le monument aux Girondins, modeste construction toute en subtilité …
Oui comme vous voyez, c’est très discret comme monument mais, c’est très bien réalisé. Je continue mon petit tour en me dirigeant vers les quais et  reposent un petit peu mes papattes en m’asseyant à proximité de la Garonne, qui est bien plus crade qu’à Toulouse. (Désolée pour les bordelais qui passeraient par ici, mais franchement, c’est pas joli-joli). Je repars déambuler dans le centre, et prend plaisir à me perdre dans ces rues d’un autre temps. Je finis par m’arrêter sur la place de la basilique Saint-Michel, dans un petit salon de thé avant de repartir vers la gare.
Mon excursion d’une journée prend fin, retour à Toulouse. Mais, je pense que je vais repasser à Bordeaux, car cette ville est tout de même bien jolie même si la légende prêtant que les bordelais ne font pas partie des gens les plus sympathiques, à vérifier ! (Ceci est une blague, merci aux bordelais de ne pas me crucifier sur la place publique x) )
Bordeaux Bordeaux ou à la découverte d'une ville inconnue. J'ai décidé (et profité d'une réduction SNCF) d'aller à Bordeaux.
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lilseaotter · 7 years
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Quand je me rends compte que ça fait un sacré bout de temps que je suis pas venue par ici ... COUCOU :D 
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lilseaotter · 7 years
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Quand mes potes sur facebook débattent de la situation la plus pourrie entre fonction publique et privé, et que chacun joue de son cliché, entre le “tu as plein de vacances”, “mais toi dans ton entreprise, tu as un super CE et plein d’avantages” ou encore le classique “vous connaissez pas le chômage dans le public, faut arrêter un peu” ... 
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lilseaotter · 7 years
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Ah Lille, ville de mes études et de mes rêves, quand j’étais plus jeune et déçue de ne pas habiter en ville. Ville dont j’ai arpenté les rues maintes fois, tantôt pour la photographier, tantôt pour aller à la fac, tantôt pour aller travailler, Lille, ville remplie de souvenirs et d’aventures à venir.
En effet, j’ai fait une grande partie de mes études sur Lille et j’ai donc un grand nombre de souvenirs là-bas. Et les aventures à venir me direz-vous ? Et bien, je peux maintenant faire découvrir cette ville à V. qui ne la connait pas. Donc il y a toujours des aventures à venir.
J’aime bien retourner à Lille et me perdre dans les rues du Vieux Lille. Le centre de Lille n’est pas gigantesque, on en fait vite le tour mais il n’empêche que le Vieux Lille dispose d’un charme tout à lui. Sur la Grand’Place, j’apprécie également de me perdre dans les livres de seconde voire 36ème main que l’on peut trouver à la Vieille Bourse qui est une vraie caverne d’Alibaba pour les amateurs de vieux livres, de comics, vaisselles anciennes, timbres et autres objets plus ou moins insolites. Sur cette même place, vous trouverez La Voix du Nord ainsi que le Furet de Nord et son espace lecture dans lequel j’ai perdu des heures et des heures à lire. Derrière la Vieille Bourse, on trouve l’Opéra ainsi que la Chambre de Commerce, qui sont de bien belles bâtisses. Ensuite, on prend la rue de la Clé ou la Rue Esquermoise et on peut s’enfoncer dans le Vieux Lille, quartier assez chic de Lille. Pavés, petites rues, cours cachées au premier regard, on y trouve de nombreux endroits bien sympathiques pour se balader. Si l’on veut profiter de la verdure, on peut se rendre à la Citadelle à Vauban. Ce parc se trouve à proximité du quai du Wau, autre endroit très appréciable, en particulier lorsque le soleil est de la partie.
En dehors de Lille, La Piscine de Roubaix est un musée très sympa à faire. Dans Lille, le Palais des Beaux-Arts propose régulièrement des bonnes expositions. Durant les expositions de Lille 3000, la gare Saint-Sauveur ou le Tripostal deviennent des musées incontournables à visiter. Les expositions proposées durant cette période dépendent d’un thème précis et sont, le plus souvent, assez dérangeantes ou décalées. D’ailleurs durant Lille 3000, la ville se transforme et devient une oeuvre d’art géante. Dans le centre, à la gare, à Wazemmes, il n’est pas rare de croiser des installations de cet événement qui s’étale sur quelques mois.
En petites adresses sympas pour manger (non, je ne suis pas obnubilée par la bouffe), j’en ai quelques unes. Pour le goûter, Be Yourself est un endroit des plus sympas. A deux pas de Rihour, on y trouve gâteaux, cookies, muffins, smoothies, pancakes et autres petites douceurs. Une amie m’a également assurée qu’y manger le midi était top ! On reste dans le goûter et on s’en va vers le Vieux Lille, à l’entrée de la rue Esquermoise se trouve la fameuse  pâtisserie Méert. Salon de thé, sur place ou à emporter, gâteaux plus beaux les uns que les autres, voilà ce que vous propose Méert. Façade reconnaissable entre mille et dont la renommée n’est plus à faire. Les pâtisseries ne sont pas données mais elles valent leurs prix. Pour manger, il y a la classique Chicorée, loin d’être exceptionnelle au niveau de la qualité mais ouvert très tard le soir. Dans le secteur Gambetta/Solférino, on trouve la Tradition et Chez Max, tous deux tenus par le même propriétaire. On y retrouve de la cuisine française et du coin revu de façon un peu plus sophistiquée. Néanmoins, la cuisine reste authentique, la qualité et le goût sont au rendez-vous ! Dans un autre style, on trouve désormais le Sherlock Pub où l’on peut boire un verre mais aussi manger dans une ambiance tirée du roman d’Arthur Conan Doyle. Du côté de Cormontaigne et si vous souhaitez manger italien, la Tramontana est LA bonne adresse de Lille. Restaurant tenu depuis de nombreuses années par une famille italienne, la qualité/quantité est au rendez-vous. Pour le prix, ce n’est pas le restaurant le plus donné de Lille mais loin d’être le plus cher !
Je suis toujours heureuse de me balader dans ces rues, de sortir boire un verre dans le Vieux Lille ou dans la rue de la soif (Solférino). De plus, c’était très sympa de présenter cette ville à V. qui ne la connaissait pas.
Lille Ah Lille, ville de mes études et de mes rêves, quand j'étais plus jeune et déçue de ne pas habiter en ville.
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lilseaotter · 7 years
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“Bruxelles, ma belle, sont des mots qui vont très bien ensemble, très bien ensemble”
Retour à Bruxelles pour deux jours de vacances avec V. et lui faire découvrir cette ville que j’ai déjà eu l’occasion de visiter à plusieurs reprises lors de voyage en famille. Bruxelles, capitale de la Belgique, une ville magnifique et des plus agréables avec un rythme bien plus sympa que le rythme parisien.
Nous sommes partis jeudi en train depuis Lille. Ayant moins de 26 ans lors de notre départ, nous avons pu profiter de très bons tarifs (36€ l’aller/retour avec des billets Jeune Express si je ne m’abuse). De même pour l’hôtel, nous avons profité d’une offre sur Booking. Nous sommes arrivés sur Bruxelles aux alentours de 10h et nous sommes rendus à l’hôtel Orts pour déposer notre valise, le check-in se faisant à partir de 14h. L’hôtel se trouve à 2 minutes à peine de la place de la Bourse à pied et 5 minutes de la Grand’Place.
Après avoir déposé notre valise, nous avons décidé d’aller nous balader dans les environs. Le temps n’était pas des plus cléments puisqu’il s’est mis à pleuvoir sans arrêt jusqu’au lendemain. Néanmoins, nous en avons profité au maximum. Nous avons tout d’abord, été dans un musée : le MOOF Museum. C’est un musée de figurines venant d’une collection privée appartenant à deux hommes. Ces figurines viennent du monde de la bande dessinée en particulier belge. On retrouve Spirou, Tintin, le Marsupilami, les Schtroumpfs ( d’ailleurs, vous en trouverez un géant à l’entrée du musée) et bien d’autres. C’est un musée des plus ludiques, on s’amuse à découvrir ces figurines, on profite du cinéma diffusant les films adaptés des BD et on joue aux consoles mises à disposition des visiteurs. Pour l’entrée, comptez 10€ pour les adultes et 7€ pour les tarifs réduits (étudiants, séniors, 10-18 ans). J’avais découvert ce musée il y a quelques années avec ma soeur et c’est un plaisir d’y retourner et de profiter de cette collection de figurines ainsi que de revoir une statue de Batman.
Suite à cette visite, nous sommes passés par les galeries royales et nous sommes rendus sur la Grand’Place. Citation de V., toulousain de son état : “C’est beaucoup plus joli que le Capitole” (vous pouvez imaginer mon sourire face à cet aveu). La pluie étant de plus en plus importante et l’estomac commençant à réclamer de la nourriture, nous sommes partis chercher un restaurant avec des spécialités belges. Nous sommes allés à la Brasserie de la Ville. C’était correct mais pas exceptionnel. Ensuite, nous sommes allés à l’hôtel et après une petite sieste, nous sommes repartis explorer la ville. Nous sommes allés au Mont des Arts et ensuite, nous avons continué dans une partie de la ville que je ne connaissais pas particulièrement. Nous sommes allés voir la Colonne des Congrés, une église ainsi que le jardin botanique (qui m’a rappelé le bâtiment du même nom dans le jeu Arkham Asylum). Malheureusement, la pluie m’a empêché de faire beaucoup de photos. V. voulait absolument manger des frites au gras de boeuf donc nous sommes allés manger au Café Georgette et autant dire que l’on s’est fait péter le bide, bière, burger/frites pour ma part et filet mignon/frites pour V. et dessert. Bref, on s’est fait plaisir sur le gras. Mais comme dit Karadoc, le gras c’est la vie. Suite à ce repas, nous avons décidé de voir Bruxelles de nuit et avons été du côté de la cathédrale.
Après une bonne nuit de sommeil et un bon petit-déjeuner, nous sommes partis pour aller aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique. Ayant déjà fait le musée Magritte lors d’une précédente visite de la capitale, nous avons décidé de faire la collection des Old Masters. Nous avons pu profiter de nombreuses œuvres de Bruegel. Petit bonus, j’ai découvert que “Marat assassiné” était justement exposé à Bruxelles. Ensuite, nous sommes repartis nous balader ! Après une pause baraque à frites (oui, on a mangé particulièrement équilibré durant ce séjour), nous sommes allés nous perdre dans le parc de Bruxelles et les rues attenantes. De fait, nous sommes allés visiter de le Palais de Bruxelles. Une autre visite assez sympa, surtout que je n’avais aucune idée que c’était en entrée libre. Nous avons pu voir des lustres plus magnifiques les uns que les autres. Seul bémol, sans audioguide, on ne sait pas vraiment ce qu’on observe. Néanmoins, cette construction est de toute beauté. Suite à cette visite, nous sommes repartis vers l’hôtel car notre train nous attendait pour repartir à Lille.
Bruxelles est une ville dans laquelle j’adore revenir. On y trouve plein de choses, que ce soit l’architecture, les boutiques (il y a de supers boutiques de vinyles, j’ai d’ailleurs fait l’acquisition lors d’un précédent passage dans la capitale d’un disque de Pink Floyd de 1977, Pigs on the Wing) ou encore, l’atmosphère de la ville. C’est une capitale et en même temps, on ne ressent pas le stress ou le rythme de Paris par exemple. Il est vrai que la densité de population n’est pas la même. Néanmoins, le rythme semble plus calme, moins stressé (et stressant).
Pour voir l’intégralité des photos de mes différents voyage, rendez-vous sur la page Facebook de ce blog !
Quelques photos de cette dernière escapade :
Bruxelles "Bruxelles, ma belle, sont des mots qui vont très bien ensemble, très bien ensemble" Retour à Bruxelles pour deux jours de vacances avec V.
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lilseaotter · 7 years
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Quand j’ai décroché le CDD de 3 mois que je voulais :D 
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lilseaotter · 7 years
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Une douche pitié ! Je fonds, je fooooonnnds !
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lilseaotter · 7 years
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Quand mon entretien s’est super bien passé et que la personne en charge du recrutement m’a dit que j’étais exactement la personne qu’il cherchait et même plus ! Bref, on croise les doigts, les orteils et tout le tralala en attendant un retour !
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