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#émeuvent
lisaalmeida · 1 year
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“ Mais il savait que les rencontres sont rarissimes, celles qui émeuvent, transforment et tracent une frontière sur le temps pour qu’il y ait un avant et un après.”
- Yves Simon
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cricxuss · 6 months
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J'adore ce texte.
C'est tellement moi.
Il faut se méfier des hommes qui savent manier le verbe, et qui ont le sens de l'humour.
Tour à tour ils vous font rire, ils vous émeuvent, ils vous déshabillent jusqu'à l'âme, semblent à la fois tout connaître de ce qui vous touche et vouloir apprendre tout de vous.
Sans savoir trop comment, vous vous retrouvez toute nue devant eux, le corps plein de désirs, avide de tous les plaisirs qu'ils vont savoir vous offrir, vous en êtes persuadée, avant même que les lèvres qui ont dit tant de choses ne vous effleurent, avant même que les doigts qui ont écrit avec tant de poésie ne vous aguichent.
Et là, ils vous font "poètes poètes" sur vos seins.
Et le rire vous prend au dépourvu, faisant tomber vos ultimes remparts.
Vous vous retrouvez femme et enfant à la fois, et votre rire se meut en râle de plaisir, et votre coeur se meurt devant tant de désir, et votre corps s'émeut à force de soupirs...
(Copyright Lucas Heller, 25/03/2022)
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oviri7 · 1 year
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« Des vestiges d’empire, de puissants châteaux et de capitales ne nous émeuvent pas autant que les ruines des palais minoens. Il semble que la morgue des grandes civilisations ait été étrangère aux habitants de la Crète antique. Ils ne défiaient pas le sort. Ils tentaient de durer dans leur singularité, avec leur sentiment illusoire de sécurité. Le déchaînement des éléments fut trop grand et bien trop cruel, au regard de ce qu’il détruisit. Leurs ruines sont les ruines d’un berceau, les ruines d’une chambre d’enfant. »
Zbigniew Herbert - Le labyrinthe au bord de la mer
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jojobegood1 · 1 year
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⚠️😈⚠️😈
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darkpalmor · 2 years
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22 FEVRIER 2023
Programme ou programme, il faut choisir
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1°) Fragment à illustrer (10 minutes) : Qui sont-ils ? Voici un fragment de Cornélius Fronton, précepteur de Marc-Aurèle, au début d’un ouvrage lacunaire, Principes de l’Histoire : « errants, dispersés, il n’est point de but à leurs voyages, ils marchent, non pour arriver à un lieu, mais au soir. » On développera l’image qui s’en dégage, librement, en une dizaine de lignes. On pourra tenter de donner une identité aux « ils ».
D’où viennent-ils ? Bagages réduits dans une seule main, déboussolés, le peu qu’ils transportent est leur entière et seule richesse. Chaussures éculées, jambes dures, l’œil aux aguets, ils ne connaissent pas les chemins qu’ils empruntent. Leur seule certitude est qu’ils ne feront pas demi-tour. Ils avancent. Leur ambition n’est pas d’arriver quelque part, mais de fuir, de trouver le repos temporaire qui leur donnera la force de repartir, toujours plus loin. Ils en forment pas de troupes compactes ou organisées, ils rejoignent parfois d’autres fuyards, s’adaptent à leur rythme, puis les dépassent ou bifurquent. Errants, dispersés, il n’est point de but à leurs voyages, ils marchent, non pour arriver à un lieu, mais au soir. Et si cela doit être le soir de leur vie, au moins auront-ils pu s’éloigner davantage de la guerre qui les a mis en marche.
2°) Les sons qui émeuvent (5 minutes) : Rapide recension de quelques sons qui produisent un émoi, et comment, et pourquoi ? Réponse sous forme de liste légèrement explicative.
Le petit bruit de l’allumette qui s’enflamme, explosion minimaliste, sorte de pschttt suivi d’un grésillement régulier, me rappelle le feu qu’on m’autorisait à allumer dans le fourneau familial, et je replonge aussitôt dans cette atmosphère d’enfance, avec le souvenir de ma fierté quand j’arrivais à n’utiliser qu’une seule allumette, sans la casser ni la souffler. Et même si ce son est éloigné de moi, je ressens, ou j’imagine ressentir, l’odeur qui s’en dégageait.
3°) Peut mieux faire… » (10 minutes) : Appréciation à discuter ! On dira comment on reçoit cette façon de juger.
Appréciation qui n’engage que son destinataire et jamais son auteur, le « Peut mieux faire » est une infamie solaire, une sorte de gifle donnée à distance à des élèves dont on ne sait pas exactement quoi penser. Sont-ils « bons » ? « Mauvais ? » Peuvent-ils vraiment mieux faire, et qu’est-ce que « mieux faire » ? L’enseignant qui n’en sait rien du tout se dédouane à bon compte, et lâche ces trois mots parce qu’il n’a le courage ni de féliciter ni de blâmer, mais il renvoie aux parents du destinataire la charge de lui faire la leçon, alors que lui-même n’y est pas parvenu. C’est d’une lâcheté inacceptable, plus encore quand elle est aggravée par sa suite presque automatique : « Peut mieux faire, s’il le veut. » Combien d’enfants a-t-on découragés ainsi ?
4°) Écriture longue (15-20 minutes) : Transposition par changement de point de vue. On commencera par un premier récit à deux ou trois personnages, puis un deuxième récit avec le point de vue d’un de ces personnages, et ainsi de suite. Une action sera au cœur du récit : un geste incivil, ou une violence en public.
Sur la Place de la Liberté, ce mardi ensoleillé, c’était la réunion des « punks à chiens » et de leurs amis, avec les ingrédients habituels de leurs attroupements : aboiements, jets de cannettes, gestes expressifs et bras qui se lèvent en fonction du niveau sonore. Et une claque a retenti, brutale et sèche, suivie d’abord d’un silence immédiat et d’une empoignade. Trois individus se roulaient au sol, les chiens s’écartaient peureusement, et les rares passants faisaient de même, en observant la scène du coin de l’œil : surtout, pas d’intervention, on ne se mêle pas de ce genre d’incidents. Les cris des combattants étaient bas et étouffés, tout concentrés qu’ils étaient sur leur bagarre. Et cela s’est arrêté très vite. Tous debout, en petits groupes, ils montraient le silence embarrassé d’une troupe qui s’est donnée en spectacle, qui a vu dégénérer une discussion à laquelle tous ne participaient pas, l’inquiétude d’être au centre des regards. Et puis un grand gaillard est monté sur un des bancs de béton et a commencé à en interpeller un autre, prenant à témoin tous les autres et les chiens. Je vous avais dit qu’il ne faut pas lui parler de clopes ! Il veut arrêter et il a du mal. Alors si toi, Georges, gros malin, tu lui mets ton briquet sous le nez, il croit que tu te paies sa tête. Il ne faut pas t’étonner s’il t’en a filé une bonne. Tu sais bien qu’il a du réflexe, même le matin, et qu’il aime bien frotter. Ledit Georges, qui se palpait la mâchoire, bafouillait des explications à deux de ses comparses en meilleur état que lui, et qui le soutenaient après l’avoir relevé. Ce n’était pas une affaire de clopes ! Le petit Marcel s’était trop approché à son goût, et il puait tellement de la gueule qu’il avait voulu le repousser, lui faire comprendre de garder ses distances, quoi. Oui, il tenait son briquet à la main. Oui le briquet était allumé. Et alors ? Il n’allait pas lui foutre le feu ? C’était juste pour le tenir à distance, pas pour lui en proposer une ! L’auteur du premier coup, Marcel à la main leste, s’était retranché derrière un banc, avait rapproché de lui ses chiens et son sac à dos, et ronchonnait. Moi je fume si je veux, j’arrête quand je veux, c’est pas les autres qui vont me dire ce que je fais. Pourquoi il raconte ça, l’autre ? Il veut me défendre ? De quel droit ? Je n’ai pas besoin de lui comme défenseur ! Le Georges je l’ai tapé parce qu’il allait marcher sur la patte de mon chien. Il faisait l’intéressant avec son nouveau briquet, il se tortillait en se rapprochant avec son rire bête et ses vieilles blagues. Et vous savez ce qu’il m’a dit, cet enfoiré ? Tu viens danser, ma belle ? Moi, quand on me dit ça, je cogne. Tout le monde le saura maintenant.
5°) Code postal. Oui, mais encore ? Deux minutes de laisser-aller...
Chérie de mon cœur, donne deux euros au facteur. … Je vais fermer cette enveloppe et la confier au Hasard majuscule, comme une bouteille à la mer. Tu ne vas pas me croire ? J’ai oublié ton code postal… Bien sûr, je vais indiquer ton nom et ton prénom, le nom de ta rue aussi, mais j’ai perdu le numéro. Tu vois dans quel état tu me mets quand je pense à toi ? Le nom du village, c’est bon, le département aussi. Je vais donc laisser l’administration des Postes se débrouiller. Et ils sont très forts, tu le sais puisque tu me lis. Et je vais dessiner plein de petits cœurs rouges sur l’enveloppe, autour de ton nom, je vais coller deux timbres au lieu d’un seul. Joyeux anniversaire ! Je t’embrasse. Bernard. PS. Si j’ai bien calculé et le facteur est bon, tu dois trouver cette carte au jour exact
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yes-bernie-stuff · 5 months
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◀ 14 MAI ▶ La Bonne Semence
Honore ton père et ta mère, afin que tes jours soient prolongés sur la terre que l’Éternel, ton Dieu, te donne. Exode 20 : 12
Écoute ton père qui t’a engendré, et ne méprise pas ta mère quand elle aura vieilli. Proverbes 23 : 22
Éphésiens 6
6 Enfants, obéissez à vos parents, selon le Seigneur, car cela est juste.
2 Honore ton père et ta mère (c'est le premier commandement avec une promesse),
3 afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre.
Honore tes parents
Les quatre premiers commandements traitent de nos relations avec Dieu, les six derniers, de nos relations mutuelles. Le cinquième commandement traite des relations parents-enfants. La famille est la structure sociale la plus importante de la société. C’est le cadre dans lequel un père et une mère transmettent la vie et apportent à chaque enfant les soins affectifs et matériels qui lui permettront de grandir. C’est aussi là que sont transmises les valeurs morales et spirituelles. Aimé, l’enfant apprend à aimer à son tour, à vivre avec les autres, à partager. En retour de tous les soins reçus, Dieu commande à l’enfant d’honorer ses parents, c’est-à-dire de les estimer dignes d’amour, de respect, de soins. Plus les relations parents-enfants auront été harmonieuses, plus il sera facile pour l’enfant d’honorer ses parents. Cela n’exclut pas que des désaccords entre générations puissent surgir, mais ils seront surmontés dans le respect mutuel. Hélas, nous assistons au déclin de ces relations familiales, conséquence d’un déclin moral et spirituel. Les jeunes enfants bafouent trop souvent l’autorité parentale, et les enfants adultes n’honorent pas tous leurs parents. De plus en plus de parents vieillissent et meurent dans la solitude. Des voix s’en émeuvent et dénoncent cette dérive. Dans notre société en perte de repères, en rejet de l’autorité, ce cinquième commandement, le seul accompagné d’une promesse, est d’une pressante actualité (Éphésiens 6 : 1-3). C’est bien là un commandement pour notre temps ! - Lire plus ici :
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deepthinker-society · 6 months
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Franchise. Desproges a dit : "On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui". Je pose la question similaire propre à la franchise : "Peut-on tout dire, mais pas avec n'importe qui" ? C'est qu'il y a des sujets sensibles. Des sujets que certains ne veulent pas entendre. Ne veulent pas connaître. Ne veulent pas discuter. Des sujets sur lesquels on se crée un avis sans vouloir jamais en changer. Des sujets qui nous tiennent à cœur ou qui nous blessent. Des sujets à controverse. Des sujets... Mais même dire que certains sujets sont sensibles peut être lui-même sensible. Pourquoi ces sujets sont sensibles ? Et en quoi le sont-ils ? La sensibilité est un mot pas mal trouvé. Ces sujets, quand ils sont évoqués, touchent directement nos émotions. Ils nous font réagir, non plus forcément sur le plan de la raison, mais sur le plan des émotions. Ils nous impactent, nous émeuvent, nous braquent même parfois. Bref, ils ne nous laissent pas indifférents. Est-ce que cela veut dire qu'il ne faut pas en parler pour autant ? Ce ne sont pourtant que des mots. Mais les mots impactent. Revenons à la franchise. Avec une phrase toute simple : "tu es gros". Cette phrase serait dite à quelqu'un dont effectivement la corpulence dépasse le seuil standard régulièrement admis (une histoire de normes, mais passons les détails). A priori, la phrase est vraie. La personne est grosse. Et donc ? Dire à quelqu'un de gros qu'il est gros pose-t-il problème ? La franchise est-elle problématique ? Ça dépend. Factuellement, c'est exact. Mais ne prendre cette phrase que pour ce qu'elle est sans prendre en compte le contexte n'est pas forcément souhaitable. Si la personne a une relation difficile avec son poids, lui rappeler n'est pas la meilleure chose à faire. Cette phrase aussi est particulière. Dire à quelqu'un qu'il est gros n'est pas souvent neutre. Cela sous-entend plus d'une fois un jugement négatif. Même si ce n'est pas le cas de tous, on ne peut pas sortir une phrase comme celle-ci sans considérer dans quel cas elle est sortie habituellement. On peut être franc, oui. On peut. Tout dépend ce qu'on cherche à obtenir à travers notre franchise. #franchise #sensibilité #contexte #direleschoses
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cinecritik · 7 months
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Malgré une mise en scène sans surprise, on est emporté par cette poignante page de l’histoire de l’Europe. Tous les acteurs nous émeuvent car semblent habités par un objectif à la fois humble et héroïque. Avec #Unevie, vous avez rendez-vous avec l’espoir. http://cinecritik.com
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claudehenrion · 9 months
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Adieu, 2023 !
Une coutume bien ancrée veut que, chaque 31 décembre, la presse propose une espèce de ‘’revue’’ rétrospective des événements qui ont ou qui auraient –car les critères ne sont pas spécifiés– marqué l'année écoulée. Mais si on revisite ce petit jeu sur plusieurs années, on se rend compte qu'une année a vite fait de ressembler à une autre… Et comme il semble difficile que les événements se reproduisent, force est de déduire que ce sont les critères retenus qui créent cette impression de “déjà vu” : ''L'année A-1'' fut terrible. Unis, nous rendrons l'année A plus citoyenne (alternatives : plus démocratique, sociale, républicaine, etc..)''
Une année “normale” peut se résumer comme une succession de violences, de guerres (le plus souvent localisées), de conflits, de misères, de deuils, de catastrophes naturelles, de la disparition de gens plus ou moins célèbres, et de crises de toute sorte : politiques, civiles, financières, et depuis peu guerrières, migratoires et sanitaires… le tout étant émaillé, tout de même, de quelques bonnes nouvelles… dont la Presse en règle générale, parle très peu : personne ne s'intéresse aux trains qui arrivent à l'heure, aux avions qui ne s'écrasent pas ou aux étés où température, ensoleillement et hygrométrie se répartissent en sensations ‘’de rêve’’ pour les juillettistes, les aoûtiens… et les '' -bi'' et les ''trans''.
Même des événements exceptionnels ou d'une gravité extrême (le mur de Berlin, l'effondrement des Twin Towers de New York ou celui de la flèche de Notre-Dame, le Brexit, l'assassinat de Kennedy ou le tsunami de Thaïlande, pour en citer quelques uns) arrivent à s'inscrire dans cette logique répétitive : comme il y en a toujours au moins un chaque année, on tend à s'habituer et “ça” s'ajoute à notre liste de grands machins inoubliables. Dans le fond, ce dont on se rappelle, ce n'est pas tant “la chose” en elle-même que “ce que l'on faisait soi-même, à ce moment-là” ! Ecoutez les récits des témoins : Le tsunami de 2004 ? Je revenais de la plage quand…. La mort de Kennedy ? J'ai appelé ma fille, et je… Les Twin-Towers ? J'allais au supermarché en voiture, et… La mort de son Père ? Je rentrais dans sa chambre lorsque… Un événement réputé extérieur n'existerait-il donc qu'à travers, pour, dans et par “je” ?
Les souvenirs que laisse une année sont le plus souvent ressentis et vécus comme des saillies notables sur un continuum, comme un ''arrêt sur image'' dans un foisonnement… Des politiciens mentent, des princes se marient ( ou divorcent, ou décèdent), des guerriers (ou des drones, maintenant…) s'affrontent, là-bas, pendant qu'ici, des bandes et des gangs défigurent les rues de quartiers ruinés, enfoncés dans une peur latente de chaque instant… Sans cesse, des images –dont l'une remplace l'autre– de tremblements de terre, de tornades ou d'éruptions (en Indonésie ou en Islande) nous émeuvent un instant… mais rien de tout cela ne nous donne le moindre renseignement sur la vie quotidienne des hommes (sauf ceux qui sont directement frappés : quelques poignées !), sur les choses drôles, sur les sourires des enfants, sur les mariages heureux, sur les ‘’lotos-du-siècle’’, sur les joies et les peines de nos semblables et contemporains…
Au moment précis où j'écris ce “Billet” –ou lorsque vous le lisez– des milliers de gens sont en train de naître, mourir, chanter, rire, pleurer, bosser, avoir faim, être fatigués, boire un café… faire l'amour... ou une sieste bien méritée… en tout cas, rien qui pourra laisser une trace durable dans le Grand Livre du souvenir des hommes. La seule chose que nous puissions faire (à part “prier”, ce qui est réservé au tout petit nombre de ceux qui ont la chance d'espérer parce qu'ils croient, ou de croire parce qu'ils espèrent), c'est de souhaiter qu'aucune catastrophe majeure ne soit en cours juste là, qu'aucun cataclysme ne ravage des contrées lointaines, qu'aucune célébrité-que-j'aime ne soit en train de rendre son dernier soupir. En cet instant si court, des millions d'hommes prennent leur petit déjeuner, d'autres millions se préparent à s'endormir… et tous changeront de rôle dans quelques heures, pendant que des centaines tentent de se hisser dans des esquifs de (mauvaise) fortune pour fuir ce qu'ils vont trouver : la misère. Qui, dans ces rôles, est “en train d'écrire l'Histoire” ?
Et par dessus tout ces bruissements, ces brouhahas, ces joies et ces peines, le covid dont nos irresponsables n'arrivent pas à se guérir : ils l'ont inventé, fabriqué de toutes pièces, gonflé comme une outre, puis comme un Zeppelin, ils l'ont imposé au monde –qui n'en voulait pas et n'en avait pas besoin. Ce cavalier de l'Apocalypse pour les uns, qui est un moyen de pouvoir et de coercition pour d'autres, une source de terreur pour ceux qui les croient, une gerbe de profits pour quelques uns (selon Bloomberg, la fortune cumulée des 10 personnes les plus riches a augmenté cette année de 402 Mds$ –vous avez bien lu : ce ''402'' est bien ''en milliards de dollars''!), et la faillite, pour d'autres, un saturateur d'hôpitaux pour les soignants épuisés, un “bouche-trous” somptueux pour les journalistes ivres de bonheur de nous montrer à chaque “JT” des preuves de notre culpabilité ontologique d'hommes blancs… est ou sont tout autant d'outils de division des peuples pour les politicards (soi-disant au nom de leur rapprochement...) : c'est si grisant de fabriquer des sujets de discorde dans les familles et entre les générations, de dresser les uns contre les autres, d'ostraciser ceux qui ont le culot de ne pas applaudir la doxa du jour : ''Scrongneugneu ! J'veux voir qu'une seule tête’’ (chacun met sa satisfaction où il peut ! Demandez à notre Pape ce qu'il en pense !)… Nihil novi sub sole : René Girard l'avait compris : un désaccord devient vite un antagonisme, puis une antipathie, puis une inimitié.. qui entraîne la violence puis le besoin d'un bouc émissaire !
Quel souvenir laissera 2023 ? Cela dépendra, évidemment et comme toujours, de ’‘qui écrira l'Histoire”. Cependant, il est à craindre que 2023 ne reste pas comme un très bon millésime dans la mémoire profonde de l'Humanité. On peut même parier que les jugements qui seront portés sur nos grands événements du moment –tous factices, tous fabriqués, tous gonflés d'air comme des ballons de baudruche –ce qu'ils sont, exactement comme l'a été le soi-disant ''covid''--, porteront sur la guerre russo-ukrainienne, artificielle mais très laide, sur la mauvaise gestion de la situation au Moyen-Orient (tout aussi artificielle, et exactement aussi laide), et sur l'irréparable absurdité de la totalité des décisions qui les ont accompagnées, du blocus, ici, à l'aveuglement, là... et au retournement de veste, là-bas... Pour bien marquer vers qui portaient (ou pas...) leurs faveurs, nos nuls-au-pouvoir ont pris le risque de foutre en l'air l'économie du monde qui ne marchait pas si mal que ça, mais qui était fragile et qui n'avait pas besoin d'un blocus injustifié et inutile et d'un déversement permanent, absurde et gigantesque de sommes... dont ceux qui les distribuaient sans compter n'avaient pas le premier kopek – le toutpour sauver un régime qui n'avait aucun intérêt et peu de chances de l'être...
Je prends le pari que l'Histoire ne sera pas tendre avec les mensonges, les énormités soutenues sans se troubler par nos gouvernants (le ''porte-mensonges'' de notre gouvernement le tout premier, mais ses co-ministres pas très loin derrière... ), les affirmations sans fondement, les décisions perverses et intrinsèquement mauvaises, la violence (niée, mais réelle !), la contrainte (réelle, mais niée !) et le rabotage ininterrompu de nos libertés, en berne depuis Hollande, le tout sous couvert (Oh ! Le gros mensonge !) de ''justice sociale'' (sic ! Mais où ont-ils été chercher ce gros mot ?), de fausses affirmations soi-disant scientifiques, d'arguments qui hurlent leur mauvaise foi et de mesures inutiles qui rendent invivable le quotidien de bien des humains –et le nôtre, hélas ! Je crains pour eux –et je me réjouis pour la masse des ''braves gens'' que le jugement de l'Histoire ne soit pas tendre. Et ce ne sera que justice !
Mais comme je ne serai plus de ce monde depuis longtemps, le risque que je prends en pariant est très limité, et franchement, les jugements de l'Histoire, même celle qui mérite parfois un “H” majuscule, m'importent peu, avec l'âge ! En revanche, je ne prends pas un grand risque en souhaitant à chacun d'entre vous et du plus profond de mon cœur, une très Bonne, une heureuse Année 2024 !
H-Cl.
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suis-nous · 1 year
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tedoylavida · 1 year
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À réorganiser
mniprésent son ventre face barre noir
ce qui n’est pas oblitéré comme si appartenait pas
Fils parle pas, juste une photo, où est enterré ?
une seule image du fils, et aucune vidéo de toute cette histoire
personnalité Lina ? Devine avec images, entre lignes commenter images
Histoire célèbre et pas bien traité
Pas à mesure célébrité comme si devait s’en contenter
Portrait de femme d’un événement et parle société
Mère lien fils et le monde entier a regardé, marque histoire, certaine origine,
Lina médina c’est aussi l’histoire d’un silence qui dure, celui de ne pas révéler le nom du père, fils incestueux donc, pas forcément
elle a eu deuxième enfant parti mexique, sûrement encore en vie
histoire relation avec un fils,
Lina Marcela Medina de Jurado
retracer le voyage de son villa au pérou à pied
c’st histoire femme prise dans mailles histoire, et pourrait choisir taire ou donner a parole mais non rajouter la vérité, au moins, pas forcément déformée mais partielle
décider écrire vérité et un peu personnalité trouve personne a vécu cela
sais pas que va trouver, de quoi parle, maitre rendre justice certain faits avérés
et disposition personne intéresse à sa vie document le plus complet possible pour imaginer et comprendre
restituer trajectoire au bord de mourir
réseaux rapports faits légendes s’ébrouent émeuvent surprirent, font buzz, raconte fait rapporte même fait en quelques lignes parfoiss 1 page sans jamais avoir sa parole à elle ni s’empêcher ni s’interdire de rien, sur les réseaux les faits appartiennent à tous du moment que vous les découvrez, en droit de les partager, droit à savoir et droit à divulguer
elle est un symbole
youtubeur anonye internaute
geste couvrir son corps nu, sa pudeur,
lina médina 6000 mention sur instagram et dessin
Pensée :
Face à la prolifération, à cette célébrité un peu malheureuse, bien que ça n’en fait pas forcément une victime à tout jamais, il ne faut pas imaginer de bons sentiments, simplement essayer de réunir toutes les interviews, toutes les fois où elle s’est exprimée, raconter sa vie, s’y intéresser, ce sera toujours mieux qu’une légende intrigante sur Facebook.
Aussi, Lina sera bientôt décédée, elle a 89 ans. Peut-être sera-t-elle enterrée proche de son fils. Peut-être que les nombreux posts ne se rendent pas compte qu’elle est vivante, qu’il y a une personne derrière, qu’on ramène toujours à ses cinq ans. Elle fait partie du livre des records, son record année après année ne peut être détrôné.
Pourquoi ce photomontage où l'on cache les yeux, la dernière barrière de l’intime ? Préserver son intégrité, comme si les yeux étaient la dernière barrière qui empêcheraient de la reconnaître ? Une barre aussi en bas parfois, de couleurs différentes, rouges ou noirs, décrire les comportements des internautes. Le geste de venir altérer à partir de la photographie nue les seins et le sexe, voire les yeux.
Faire un livre-somme. Prélude à un documentaire ?
La maternité est ce qui fait que l’espèce continue, notre espèce continue et d’ailleurs déclenche ses guerres, détruit l’autre nature, oublie, oublie, et continue d’exercer sa domination sur la terre, l’air et l’eau qui ne répondent pas, et ne demandaient qu’à continuer de couler. La maternité fait recommencer le monde, si demain, toutes les femmes étaient soudainement fertiles
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christophe76460 · 1 year
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La situation des enfants à Madagascar est dramatique. Les statistiques parues en 2018, sous le couvert de l’UNICEF, concernant les indicateurs multiples des conditions des enfants en situation de péril à Madagascar, nous laissent sans voix ! Vous pouvez les consulter au travers de ce lien.
Si de tels chiffres nous émeuvent, et nous laissent sans voix, ils ne nous laissent pas sans engagement.
L’association « 2400 sourires » nous fait part de son projet ; elle compte sur nos prières, et notre soutien, pour qu’en 24 jours le budget prévisionnel soit atteint, comme l’indique la présentation suivante : https://unverredeau.com/2400-sourires/
« Il n’y a rien de plus beau qu’un sourire d’enfant, ne laissons pas la rue l’effacer !
Pour briser le cercle vicieux de la pauvreté et de la violence, ces enfants ont besoin d’être protégés et d’être aimés, ils ont besoin d’éducation et d’une formation professionnelle, ils ont besoin de soins et de nourriture… C’est ce que chaque enfant mérite et ce que le village des sourires va leur apporter.
Sur un terrain de 9 hectares à l’extérieur de la ville, l’association construit un village qui accueillera 40 enfants d’ici fin 2023 avec un objectif d’atteindre 250 enfants à terme. C’est certes une goutte d’eau comparée au plus de 20’000 enfants des rues que compte la capitale (ils n’étaient que 2 400 au début du projet en 2018).
Mais,
Chaque enfant sorti de la rue est une victoire !
Chaque enfant qui reçoit une éducation est un espoir !
Chaque enfant qui est aimé, aimera tel un devoir ! »
Vous pourrez, sur le lien, voir la progression des entrées au jour le jour.
Merci à la fondation « Un Verre d’eau », qui porte cet élan de générosité pour ces enfants.
« Seigneur, toi qui as dit : « laissez venir à moi les petits enfants », et qui as prié pour eux ; comme tu l’as fait, nous voulons prier pour ces enfants des rues de Madagascar. Nous prions pour que l’association qui va les prendre en charge puisse réaliser la première tranche de travaux.
Que des milliers de donateurs s’engagent pour aimer et sauver ces enfants, au nom de Jésus, amen ! »
Avec amour,
Paul
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epopoiia-leblog · 2 years
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Un monde d'images
Elles nous émeuvent, elles nous inspirent. Elles nous perturbent, elles nous intriguent. Elles nous provoquent, elles nous effraient. Elles nous subliment, elles nous abîment.
Elles sont partout, envahissantes et envoûtantes.
Dans les journaux, les magazines, les couvertures des livres et les BD, gloire au papier.
Sur nos téléphones et nos tablettes, nos ordinateurs et ces bons vieux téléviseurs, tous les écrans en sont friands.
À l’intérieur, à l’extérieur. Sur nos propres murs comme dans la rue.
Elles sont partout. En noir et blanc ou en couleurs, vivantes et immortelles, nous nourrissant quotidiennement. Délices pour nos yeux, comment ne pas en devenir gourmand.e.s ?
Mais si innocentes soient-elles, gare aux dangers qu’elles amènent.
Obnubilé.e.s par tant d'images, en oublierait-on le monde réel ?
Société d’images, oui, mais monde de chair. Notre corps, lui, n’est pas éternel.
Oserait-on conclure en encensant la beauté intérieure ?
Aussi naïve soit cette idée, nous n’en pensons pas moins. Car contrairement à ce qu’en dit le proverbe, une image ne vaut pas toujours mille mots…
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yes-bernie-stuff · 1 year
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◀ 14 MAI ▶ La Bonne Semence
Honore ton père et ta mère, afin que tes jours soient prolongés sur la terre que l’Éternel, ton Dieu, te donne. Exode 20 : 12
Écoute ton père qui t’a engendré, et ne méprise pas ta mère quand elle aura vieilli. Proverbes 23 : 22
Honore tes parents
Les quatre premiers commandements traitent de nos relations avec Dieu, les six derniers, de nos relations mutuelles. Le cinquième commandement traite des relations parents-enfants. La famille est la structure sociale la plus importante de la société. C’est le cadre dans lequel un père et une mère transmettent la vie et apportent à chaque enfant les soins affectifs et matériels qui lui permettront de grandir. C’est aussi là que sont transmises les valeurs morales et spirituelles. Aimé, l’enfant apprend à aimer à son tour, à vivre avec les autres, à partager. En retour de tous les soins reçus, Dieu commande à l’enfant d’honorer ses parents, c’est-à-dire de les estimer dignes d’amour, de respect, de soins. Plus les relations parents-enfants auront été harmonieuses, plus il sera facile pour l’enfant d’honorer ses parents. Cela n’exclut pas que des désaccords entre générations puissent surgir, mais ils seront surmontés dans le respect mutuel. Hélas, nous assistons au déclin de ces relations familiales, conséquence d’un déclin moral et spirituel. Les jeunes enfants bafouent trop souvent l’autorité parentale, et les enfants adultes n’honorent pas tous leurs parents. De plus en plus de parents vieillissent et meurent dans la solitude. Des voix s’en émeuvent et dénoncent cette dérive. Dans notre société en perte de repères, en rejet de l’autorité, ce cinquième commandement, le seul accompagné d’une promesse, est d’une pressante actualité (Éphésiens 6 : 1-3). C’est bien là un commandement pour notre temps !
- Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=1
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parisaimelart · 2 years
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Photographe et activiste visuel.le sud-africain.e, Zanele Muholi utilise son appareil photo pour dénoncer les injustices dont la communauté noire LGBTQIA+ (lesbienne, gay, bisexuel.le, transgenre, queer, intersexe, asexuel.le +) fait l’objet en Afrique. Jusqu’au 21 mai 2023, la Maison Européenne de la Photographie ellui consacre sa première rétrospective française. Les clichés présentées dynamitent avec force les idées reçues au premier rang desquels celui de l’homosexualité « non-africaine », croyance faisant de cette orientation sexuelle une importation coloniale. L’oppression des homosexuels se manifeste par une violence fondée sur le genre. Dans les townships d’Afrique du sud, des viols « correctifs » sont commis à l’encontre des personnes LGBTQIA+. Les photos heurtent et émeuvent. Muholi capture des gestes de tendresse, baumes apaisants sur les blessures des victimes de crimes de haine. Les visages sont graves et poignants. La douleur et la défiance affleurent sur les tirages. Muholi documente une histoire collective pour briser l’isolement de chacun. Iel bâtit un sanctuaire où les gens peuvent se connecter et guérir ensemble. L’apartheid est en arrière-plan du travail de Muholi. Ses représentations de la femme noire, accessoirisée avec des objets domestiques, prêteraient à sourire si elles ne dénonçaient pas l’intolérance, la discrimination et l’exploitation des femmes. On ne sort pas indemne de la MEP. Vous cherchez votre prochaine exposition ? Abonnez-vous à mon compte Instagram paris_aimelart @mep.paris @muholizanele @lgbt @paris_aimelart @paris @timeoutparis @quefaireaparis @paris.explore @paris_art_com @artaparis @paris_culture @expositionparis.info @paris_love_street @parismusees #maisoneuropeennedelaphotographie #ExpoMuholi #zanelemuholi #photographie #photographienoiretblanc #lgbt #ArtExhibition #ParisMuseum #SortirAParis #parisaimelart #paris_aimelart #parisexpos #parisexposition #exposparis #paris #exposition #parismusees #parisculturel #quefaireaparis #artparis #parisart #parisjetaime #parislife #parissecret #parisianlife #culture #expo (à Maison Européenne de la Photographie) https://www.instagram.com/p/CoNVxTHIvup/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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