#éveil de Soi

[energiologue]

LE MOMENT PRÉSENT EST LE SEUL MOMENT QUI EXISTE

. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . L’éveil de l’humanité, votre réveil personnel, est l’entrée dans cet état où règne la paix parfaite dans le domaine divin de l’amour qui est tout ce qui existe. Dans cet état, tout ce qui n’est pas en alignement complet avec l’amour est dissous parce rien de cela n’est réel, et seul ce qui est réel existe. Ce qui est réel…

[dandanjean]

La vie possible

Nous sommes là, sur le chemin. On rêve de vivre la Vie, on vit de rêves. Et nous reconnaissons les rêves qui émanent des songes de la lecture, des voyages, des amours et des travaux. Et nous pouvons prendre pleinement conscience de la vie qui nous fait créer qui nous fait réaliser qu’ultimement il n’y a pas que les mauvais rêves qu’ultimement il n’y a pas que les bons éveils, tout…

[chantalradiesthesie]

Quelle matière choisir pour le pendule ?

[amourrencontreseduction]

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[lemondecelesteetspirituel]

L’échec n’existe pas

Nous avons tous fait face un jour à des échecs dans notre vie. Que cela soit à l’école, au travail, dans notre vie sociale, dans notre vie de famille… Et généralement, quand cela nous arrive, nous avons tendance dans la plupart des cas, de baisser les bras.

Mais ce que vous devez savoir, c’est que l’échec n’existe pas.

C’est la nature humaine qui a nommé ce qualificatif « échec » lorsque nous n’arrivons pas à atteindre l’objectif qui nous a été fixé. Ce sont les croyances limitantes rattachées à un sentiment de peur qui nous font penser que nous n’y arriverons pas. C’est nous qui donnons de la valeur à cet échec, alors que cela ne devrait pas nous toucher plus que ça.

Vous avez tout à fait le droit de tomber, d’être imparfait, de vivre les expériences que la vie vous offre à votre rythme. Après tout, tous ses apprentissages sont là pour vous aider à grandir et évoluer.

Personne n’a le droit de vous juger parce que vous n’arrivez pas réussir du premier coup. Le principal, au bout du compte, c’est d’avancer et d’obtenir le résultat que vous désirez. Même si pour cela, cela doit prendre du temps.

C’est simplement à vous de faire la part de choses et de comprendre que votre échec n’en est pas un, mais que vous avez simplement besoin de plus de temps pour assimiler cet apprentissage.

Cessez d’avoir peur, cessez de croire que vous n’êtes pas assez intelligent, cessez de croire que parce que vous n’avez pas atteint votre objectif que personne ne vous aimera, cessez simplement de ne pas croire en vous.

Vous n’êtes pas arrivée du premier coup, ce n’est pas grave. Relevez simplement vos manches et recommencez. Ce n’est juste qu’un simple petit incident de parcours. Vous avez toute la vie pour réussir et vous n’avez de compte à rendre à personne.

Je ne dis pas que vous ne serez pas triste, frustré ou déçu. Cela fait partie de la nature humaine et vous avez tout à fait le droit de l’être. Mais cela ne doit pas vous empêcher d’avancer. La vie est un apprentissage et il faut parfois plus de temps pour assimiler un apprentissage.

Et si cela ne fonctionne toujours pas, alors prenez le problème sous un autre angle. Il y a tellement de possibilités d’apprendre. Il faut simplement trouver la bonne manière pour arriver à son objectif.

C’est vous seul qui savez quel est le moyen ou la meilleure solution pour vous aider à atteindre cet objectif. Votre âme vous connait et sait comment vous pouvez arriver à votre but. Écoutez un peu plus votre petite voix intérieure.

Vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Oublier toutes ces croyances limitantes qui vous empêchent d’avancer. Oublier la peur de ne pas réussir.

Vous êtes capable de surmonter tous les problèmes que vous traversez et passer au-dessus des obstacles.

N’oublier pas, l’échec n’existe pas.

Vous avez juste besoin de plus de temps pour avancer.

Mais au bout du compte, vous y arriverez.

[e642]

Pour de vrai, je suis fatiguée. Je me sens comme une pomme qu'on aurait pressé pour avoir le jus: ridée, déshydratée, fanée. Beaucoup de choses m'inquiètent, me chagrinent, me laissent profondément seule. Je ne m'y retrouve pas dans cette réalité. Ce n'est pas la mienne. Je me sens loin, à des années lumière de la vie que j'ai, de la personne que je suis. J'ai du mal à écrire des lignes solides, qui racontent quelque chose de nouveau. Tous les 365 jours et quelques, je fais le désolant constat que je m'essouffle, tant dans mes réflexions, que dans mes actions. J'arrête peu à peu de vivre et de luter, j'accepte seulement. Je suis à la fenêtre de mon existence, et comme un orage capricieux, j'attends que ça passe. Que l'air se fasse moins lourd, que l'espace se fasse moins exigu, que le temps se fasse moins lent. Rien ne change, et tout change à la fois. Ma réponse aux changements c'est de ne pas m'y adapter. Peut-être par faiblesse, peut-être par lassitude. Bloquée dans un jour sans fin, sans saison, sans sourire, sans légèreté. Chaque infime détail m'angoisse, humidifie mes yeux. Je ne pensais pas que tout pouvait être complexe. Que je ne trouverais plus les ressources d'avoir un lieu où je me sens bien, de côtoyer des gens qui me stimulent, de faire des choses qui me maintiennent en éveil. On me demande ce qui ne va pas, en soi, rien, tout va bien, mais je n'y arrive pas. Je fais pour faire. J'existe parce qu'il faut. Je parle le moins possible. Je dis plus rien quasiment. Je suis d'un ennui. Je m'ennuie moi même. Une misérable coquille vide, c'est ce que j'ai le regret d'être. L'absurdité de mon existence me grignote. Ça ne me fait plus rire. Je traîne mon corps comme on trainerait un poids, toutefois, la seule envie que j'ai, c'est de le lester.

[cassiopeapoetry]

Le Grand Chêne Blanc

Dans un vaste champ, paisible et lumineux,

Un grand chêne s'élève majestueux,

Son tronc robuste défiant tous les vents,

Symbole de sagesse, ancré dans le temps.

Isolé, il se dresse avec dignité,

Emblème de force et de ténacité,

Blessé par les tempêtes et les défis,

Il affronte les épreuves, sans répits.

Ses branches tordues s'étirent vers le ciel,

Recherchant la lumière, un nouvel éveil,

Dans l'ombre qu'il projette, une vie cachée,

Secrets enfouis, trésors dissimulés.

À fil des saisons, il change, se transforme,

En hiver, dénudé, il prend d’autres formes,

Au printemps, il bourgeonne de renouveau,

Il célèbre la vie, un nouveau tableau.

En été, son beau feuillage verdoyant,

Protégeant des rayons du soleil ardent,

En automne, ses feuilles dansent et tombent,

Témoignant de la beauté de chaque tombe.

Dans la solitude, il capte un doux écho,

Des âmes cherchant un sens dans le chaos,

Car malgré les toutes douleurs qui l’étreignent,

Il reste debout, une leçon qui règne.

Et ainsi, dans le silence de son être,

L'Arbre solitaire nous guide à renaître,

En trouvant la force au plus profond de soi,

Suivre notre chemin, malgré les émois.

#Cassiopeapoetry

[elodieamet]

LE GÉNIE !

Peinture sur bois, paillettes, colliers, cheveux syntéhtiques / 248x138x6 cm

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NOUS AVONS TOUS UN GÉNIE À L’INTÉRIEUR DE NOUS !

Il s’active, comme le génie de la lampe d’Aladdin, par le biais de la parole et plus précisément de la VERBALISATION (qui désigne la parole action, la parole affirmation) en ligne directe avec notre besoin intérieur. C’est aussi le Bouddha en nous car c’est le plein potentiel qui se réalise quand tu entres dans ton vide (vide = plein.) Sur le plan plus scientifique (lol xptdr) il est tout enroulé et compressé dans les gènes et ne demande qu’à sortir, à se déployer (passer du potentiel dormant à l'effectif) 

Il n’y a que ta voix à toi qui peut faire sortir ton génie à toi. Quand c’est la voix d’un autre sur toi, ce n’est pas un génie qui agit mais un mécanisme qui se réactive. 

Le génie en nous est cette puissance de réalisation dans la matière avec L’ÉNERGIE (le feu, c’est pour ça que j’ai repris les couleurs communistes du rouge et jaune qui incarnent bien cette notion d'action) et la confiance /légèreté (incarnées par le sourire), à la fois de nos besoins physiques et de nos besoins subtiles, soit de manière instannée et directe, soit plus sur le long terme. 

Pour que le génie déploie toute sa puissance, il est nécessaire de connaître le coeur de sa nécessité. En effet, il y a une gradation dans l’intensité de nos besoins et seul ce qui est absolument nécessaire peut se réaliser car seul ce qui est nécessaire est RÉEL et donc réalisable !

Un rêve, un désir, un souhait son trop flous et vaporeux et plus galère à réaliser. Quand par exemple tu as une envie ou un désir, demande toi quel est le besoin dans cette envie  Ainsi, pour que le génie s’active en toi et réalise ton désir (je prends l’exemple d’un dessert), tu formuleras :

J’AI BESOIN DE SENTIR MES SENS GUSTATIFS EN ÉVEIL AU TRAVERS DE LA FRAISE CHANTILLY QUI RAVIVE MON ENFANT INTERIEUR ET ME FAIT SENTIR VIVANTE.

Classification des niveaux d’intensité pour faire sortir le génie : 

NIVEAU 1 : JE RÊVE DE….

NIVEAU 2 : J’ESPÈRE QUE…

NIVEAU 3 : J’AI ENVIE DE…

NIVEAU 4 : JE VEUX QUE…

NIVEAU 5 : J’AI BESOIN DE…

Pour que le message soit parfaitement reçu par le génie, il faut être à la fois émetteur et récepteur. Le mieux est donc de s’enregistrer entrain de se dire à soi-même : J’AI BESOIN DE puis de s’écouter avant de dormir. Le génie intérieur va alors recevoir le message au court de la nuit sans que le mental réflexif ne le récupère et ne le juge comme irréalisable et va pouvoir commencer tranquillement son tarvail en dévérouillant l'inconscient et en préparant le mental à réaliser le truc.

[aurevoirmonty]

"Se sentir laissé à soi-même, sans aide, sans échappatoire, revêtu de sa seule force ou de sa seule faiblesse, sans personne à qui parler ; grimper de rocher en rocher, de prise en prise, de crête en crête, inexorablement, pendant des heures ; éprouver la sensation enivrante de l’altitude et du danger imminent ; obéir et commander durement à soi-même, et avoir ensuite le sentiment d’une indicible libération, de la solitude solaire et du silence, lorsque la cime est atteinte, l’épuisement vaincu, et que se révèlent des horizons vertigineux de plusieurs centaines de kilomètres : quand “tout est plus bas que nous”, il y a là la possibilité effective d’une catharsis, d’un éveil, de la renaissance de quelque chose de transcendant."

Julius Evola, Méditations du haut des cimes (1974)

[energiologue]

Justice Universelle

. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . L’activité inhabituelle que les volontaires accueilleront et trouveront énergisante sera déroutante et effrayante pour les peuples de la Terre. Au fur et à mesure que les vérités apparaîtront dans les mois à venir, les éveillés et les non-éveillés devront être stabilisés. Non seulement vous avez la force de l’esprit, du…

[dandanjean]

À chacun sa voie

Il n’est pas toujours facile d’être respectueux de nos capacités. Nous sommes dans un environnement de compétition, il faut comprendre vite, tout savoir, être performant. Pourtant, on perd la perspective que le fait d’ignorer une chose et d’en prendre conscience nous permette de développer une connaissance et parfois même un savoir. Il y a tant de choses à découvrir, à apprendre, il y a tant de…

[claudehenrion]

Le temps qu'il fait... ou qu'il fera, un jour...

Pour me faire pardonner les éditos trop sérieux de ces jours derniers et pour oublier que la mairie de Paris et l'Elysée, pour une fois en paix, projettent de nous refaire subir, de nouveau, à l'occasion de la grande fête du sport qui s'annonce depuis Marseille, les insupportables et inutiles tracas ''covidesques'' et ''confinés'' –peut être même en pire--... je me suis passionné pour voir si je pouvais optimiser les prévisions météorologiques des prochains mois. (Petit rappel : en mathématique, optimiser une fonction signifie ''la ramener à zéro''...).

Très vite, j'ai pu tester la valeur éternelle du célèbre aphorisme du très regretté Pierre Dac : ''La prévision est difficile, surtout lorsqu'elle concerne l'avenir'', en tombant (et vraiment … de tout mon haut !) sur les prévisions à 3 mois de Météo-France et de la Chaîne Météo qui, tenez-vous bien, annonçent que ''un scénario plus chaud que la normale est le plus probable pour la France, dans la période considérée''. Fort heureusement, une précision suit : ''Ces tendances ne signifient toutefois pas que les températures seront supérieures aux normales, car elles (les prévisions, je suppose ?) ne permettent pas de prévoir le détail de la météorologie''. (NB : Ouf ! Je commençais à m'inquiéter !). Bon... ''Dont acte'', comme disent ceux qui n'ont rien à dire !

Mis en éveil par cette brillante entrée sans matière, j'ai voulu savoir à quoi il faut nous attendre, côté ''précipitations''. Et là, c'est nettement plus net. Enfin... si on veut : selon Météo-France, ''aucun scénario n'est privilégié sur la France comme sur la majeure partie de la France (je jure que je n'invente rien !) pour les 3 prochains mois.... même sil se pourrait que les mois de mai et de juin s'avèrent plus secs que le mois d'avril, mais ce scénario reste à être confirmé dans les semaines qui viennent''. Il n'empêche : sans l'aide des ponctionnaires qui glandent à nos frais à Météo-France (car comment désigner autrement un tel foutage de gueules ?), jamais je n'aurais pu imaginer que l'été puisse être plus ou moins frais que l'été ou moins frais –ou plus !-- que le printemps ! Le célèbre proverbe ''en avril, ne te découvre pas d'un fil'' va-t-il devoir s'énoncer, désormais, ''en juin, ne te découvre pas d'un string '' ?

Quant on pense aux containers entiers de bobards que les menteurs professionnels du Giec ont osé répandre sous nos pas et sur nos chemins, affirmant sans l'ombre d'une hésitation des énormités comme ''si la température relevée du 11 au 16 mars se poursuivait telle quelle pendant 28 ans, 6 mois et 4 jours, la température du Globe pourrait augmenter de 0,004 degrés, et les Maldives seraient englouties''. Et le plus fort, c'est que plein de gens y croyaient... (NDLR : Profitons de cette ironie pour rétablir une vérité : c'est avant-hier qu'une découverte formidable a éclaté sur nos écrans : non seulement le niveau des océans monte régulièrement aux Maldives... mais la surface totale de ces îles s'accroît parallèlement et tout aussi régulièrement ! Merci, mon Dieu, de ridiculiser les cons, sans attendre ! On a tout de même de bons moments, de temps en temps !

Quoi qu'il en soit, j'espère vous avoir fourni toute l'information actuellement disponible sur ce sujet brûlant entre tous : ''Comment et quand fuir Paris avant le tsunami des QR codes et le raz-de-marées des ''Autorisations dérogatoires'' pour pouvoir rentrer chez soi, le soir... Couac il en soit (je sais, je l'ai déjà faite... Mais je l'aime bien !), un résultat ne fait pas de doute : en matière de pluie, de temps-qu'il-fait, de crachin, de giboulées et d'arrosage, Météo-France maîtrise parfaitement l'art... de ne pas se mouiller ! (Un détail très ''perso'', si vous me permettez : comme tous les ans depuis 1969, moi, j'espère être bien au calme sur ma colline, à Mougins, où je penserai à vous. Souvent, intensément, et amicalement).

H-Cl.

[christophe76460]

Vous connaissez probablement la fable de Jean de la Fontaine intitulé “le lion et le rat” qui raconte l’histoire d’un rat qui délivre un lion de son piège. La morale de cette fable se trouve au début de celle-ci (2ème vers) : “On a souvent besoin d’un plus petit que soi”.

Eh bien ! Dieu se sert de bestioles bien plus petites qu’un rat pour accomplir des délivrances bien plus grandes que celle d’un lion.

* * *

Le petit papillon

Il y a plus d’un siècle et demi, Frank, un vieux mécanicien de locomotive à vapeur, racontait le fait suivant :

« Je conduisais le train sur la ligne Chicago-New York, avec l’aide du chauffeur Jim Walker. Nous sommes partis à 1 heure du matin et l'arrivée à destination était prévue à 6 heures. Il faisait un temps épouvantable : il pleuvait à verse, le vent soufflait avec violence, et la nuit devenait de plus en plus opaque. Toute mon attention demeurait en éveil pour repérer les signaux que je ne discernais qu’au dernier moment. Le brouillard était si dense que les phares de la locomotive n’arrivaient pas à le percer. Il semblait que nous allions foncer contre un mur. J’étais oppressé et je priais pour implorer la protection divine.

Tout à coup, dans le brouillard, je vis l’ombre d’une femme, vêtue d’un ample manteau noir. Elle faisait de grands signes avec les bras, puis brusquement elle disparut dans la nuit. Jim, occupé à la chaudière, n’avait rien vu. Quand il vit mon visage, il s’effraya :

– Qu’as-tu, Frank ? On dirait que tu as vu la mort !

Je fus incapable de lui répondre.

Je savais que nous étions proches de la fameuse cascade de Rock Creek, un des beaux sites du parcours, et là, un pont de 200 mètres franchissait le précipice. Je ne disais toujours rien lorsque Jim poussa un cri d’épouvante. La femme en noir était de nouveau devant le train et nous faisait signe d’arrêter. Presque malgré moi, j’actionnai les freins, et le convoi stoppa un peu plus loin. Les voyageurs se mirent aux fenêtres, quelques-uns vinrent aux nouvelles. Ce n’est qu’au chef du train que je pus raconter ce que nous avions vu.

– Un fantôme ! dit-il d’un ton furieux, vous êtes complètement fous. Enfin, allons voir pour vous tranquilliser ; prenez une lanterne et nous irons jusqu’au pont.

A peine avions-nous fait quelques pas qu’un spectacle terrifiant s’offrit à nos yeux. Au-dessus du vide, les rails tordus pendaient au milieu des poutres cassées et des troncs d’arbres arrachés. La cascade, enflée par la pluie diluvienne, passait par-dessus pour se perdre dans l’abîme.

Nous regardions ce désastre sans mot dire, conscients que, si notre train n’avait pas été arrêté providentiellement, il aurait été précipité dans le ravin.

Alors que je mentionnais une fois de plus cette femme que j’avais vue agitant les bras, le chef de train s’écria :

– Elle est là !

En effet, on pouvait voir une ombre qui s’agitait dans le brouillard. Un voyageur se mit à rire :

– Regardez, voilà votre fantôme !

Et il montrait un petit papillon qui voletait à l’intérieur d’un des phares. Quand il passait devant le réflecteur, son ombre agrandie était projetée contre le mur de brume, et le mouvement de ses ailes donnait l’apparence de signaux.

Cela fit rire certains voyageurs. Pour moi, ce n’était pas le hasard qui avait introduit cet insecte dans le phare. Dieu avait répondu à ma prière. Il peut utiliser même un petit insecte pour protéger la vie des hommes.

Nous pouvons dire ainsi avec assurance : Toutes choses (même un petit papillon) travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu (Romains 8 v.28) »

* * *

Quand une araignée se met au travail

Dans le petit village de Stambourne, au sud-est de l’Angleterre, le presbytère était habité, en 1662, par le pieux pasteur Henri Havers.

Comme beaucoup de ses confrères, il fut contraint d’abandonner son home. Pourtant il n’en continuait pas moins à prêcher l’Évangile de Jésus Christ, en temps et hors de temps. Cette vie errante l’exposait à de graves dangers, mais le Maître qu’il servait lui fit voir maintes fois de merveilleuses délivrances.

Un matin, ses voisins vinrent l’avertir qu’un groupe de dragons* était à sa recherche. Il n’avait plus le temps de seller son cheval et de fuir. Le seul endroit qui pouvait lui servir de refuge était une vieille dépendance de la ferme ; il s’y blottit dans le four vide.

A peine s’y trouvait-il qu’une araignée monta après lui jusqu’à l’ouverture béante et y tissa sa toile gracieuse. Il ne put s’empêcher de l’admirer. Bientôt elle obstrua complètement l’ouverture avec les fils serrés de sa toile.

Henri Havers entendit alors des voix et des pas qui se rapprochaient ; les soldats arrivaient. Ils cherchèrent de tous côtés. Passant devant le four l’un d’eux s’écria : « En tous cas, nous n’avons pas besoin de chercher ici ! Le coquin n’aurait pas pu y entrer sans briser cette toile d’araignée ».

Et ils partirent ne se doutant pas de l’extraordinaire protection que Dieu avait accordée à son serviteur.

* dragons : soldats se déplaçant à cheval mais combattant à pied.

* * *

La mouche

Nous sommes au 18ème siècle. Alors que John Wesley prêchait à Dublin, un certain personnage de la ville, très opposé à ces prédications, mais grand amateur de musique religieuse, résolut d'assister à l'une de ses réunions, seulement pour entendre les cantiques accompagnant la prédication. Décidé de ne rien écouter d'autre que la musique, il se bouchait les oreilles pendant toute la durée des intervalles entre les chants.

Mais Dieu a tous les moyens pour atteindre une conscience !

Pendant que notre homme se bouchait fermement les oreilles, une mouche vint se poser sur sa figure. La démangeaison devint intolérable au point qu'il souleva la main pour chasser l'insupportable bestiole. Ce fut assez pour qu'il entendit John Wesley citer à cet instant précis ces mots, répétés cinq fois dans les Évangiles :

« Quiconque a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »

Cloué par la surprise, il continua d'écouter et sa conscience fut atteinte par les paroles de la Bible. Elle ne lui laissa plus de repos. Et il suivit toutes les prédications de John Wesley jusqu'à ce qu'il trouvât enfin le repos en recevant Jésus comme Sauveur.

Oui, Dieu se sert même d'une mouche pour amener quelqu'un, même le plus endurci, à croire en Jésus !

* * *

Nota : Cette dernière histoire est tirée du calendrier “5 PAINS ET 2 POISSONS”

Celui qui a nourrit à satiété 5 000 hommes (sans compter les femmes et les enfants) avec 5 pains et 2 poissons (Matthieu 14 v.16 à 21), ne peut-il pas faire de grandes choses avec des petites, ne seraient-ce qu’avec des simples bestioles ?

www.la-verite-sure.fr/page632.html

[amourrencontreseduction]

Éveillez votre intimité : Un guide vers la sexualité sacrée

La sexualité, bien plus qu’un simple acte physique, est une porte ouverte vers une connexion profonde, une découverte de soi et un éveil spirituel. C’est dans cet esprit que s’inscrit la sexualité sacrée, une approche ancestrale qui connaît un regain d’intérêt dans notre monde moderne. Qu’est-ce que la sexualité sacrée ? La sexualité sacrée transcende l’aspect purement physique de la sexualité.…

[virgibelli]

Soins des fascias: toucher & mouvement (approche somato-psychique pour l’humain)

SÉANCE DE SOINS POUR L’HUMAIN Une séance dure environ 1h30. C’est un éveil sensoriel du mouvement interne des fascias par le toucher et le mouvement. Cette approche d’introspection sensorielle permet de se connecter à soi en profondeur pour se retrouver, s’apaiser, gérer le stress physique et émotionnel. – Un suivi avec un projet personnel s’effectue sur 3 à 5 séances: 80€ / séance – Pour une…