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#Beaux-Arts
uwmspeccoll · 11 months
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Decorative Sunday with Henry P. Kirby
These charming sketches are the work of New York architect Henry P. Kirby (1853 - 1915). Architectural Compositions contains fifty loose plates printed on Whatman paper and housed in a portfolio. It was published in Boston in 1892 by Bates, Kimball & Guild, publishers of one of the United State’s leading architectural journals of that time, The Architectural Review (Boston), not to be confused with the longer running Architectural Review still in publication out of London. 
Kirby would have been working as a draftsman for George B. Post at the time of publication, for whom he later worked as lead designer before striking out on his own. Some of the subject matter also evokes Kirby’s time in France, where he studied at the École des Beaux-Arts after training with his father, also an architect. Per the subtitle, some of the sketches were “made in connection with actual projects,” while many were “the result of study during leisure moments.” I found Kirby’s eye for the human elements in his sketches particularly endearing, from the foreground figures to details on the buildings themselves, like open widows and overgrown foliage, or what looks like a duvet cover hanging out to dry (first image above). 
For any music buffs reading, the final sketch includes some bars of "Très-jolie" from the opéra comique smash hit La Fille de Madame Angot. 
Our copy of Architectural Compositions was gifted to UWM by Gustav A. Elgeti in 1966. 
Find more Decorative Sunday posts here.
-Olivia, Special Collections Graduate Intern
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electronicsquid · 2 months
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Kansas City City Hall
(William Vandivert. 1938)
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domusinluna · 8 months
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Obsessed with these cards illustrated by Pierre Jacquot
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noosphe-re · 8 months
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Notation is not sketching, and its products are not "sketches". I avoid the word "sketch", detest the French equivalent, croquis. The words reek of Beaux-Arts aestheticizing ideology. "Sketch" suggests something that will be followed by a more elaborate version of the same, and then by schematic drawings, design development drawings and, likely, many forms of conventional representation. What I am doing here is thoughts on paper. The current state of technology still requires the hand. But I could imagine using emerging technologies or the movement of my eyes alone, providing thought could somehow materialize itself in front of the eyes.
Bernard Tschumi, Notations: Diagrams & Sequences
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meta-holott · 6 months
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1975 Paris, rue Bonaparte, Ecole des Beaux-Arts
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lisamarie-vee · 1 year
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burntpink · 1 year
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detail from Les Premières Funérailles, 1883 by Louis-Ernest Barrias
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musographes · 1 month
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Les muses non-consentantes
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Quand des cinéastes et comédiens d’âge mûr jettent leur dévolu sur des adolescentes rêvant de belles carrières par leur entremise, tout le monde ou presque parle à présent de domination et d’abus, et ces histoires emplissent les pages d’actualité. Mais pour les peintres et sculpteurs de l’ancien temps, qui parfois dépucelaient leurs modèles de 15 ans, voilà qu’on invoque plutôt la bohème et la frivolité. Cela mérite qu’on y regarde de plus près, non ?
Que diriez-vous de malmener sans attendre l’imagerie romantique des relations entre artistes et modèles ? Pour cela, rien de mieux que les aventures de Benvenuto Cellini, sculpteur et orfèvre florentin du XVIe siècle.  En résidence en France afin de répondre à une commande de François 1er, Cellini avait pris l’habitude de satisfaire ses besoins sexuels sur Catherine, une de ses servantes, 16 ans au compteur, une situation qui n’avait rien d’exceptionnel à cette époque. Comme le faisaient les artistes qui souhaitaient travailler le nu à partir d’un vrai modèle féminin et non à partir de plâtres et de gravures, notre sculpteur florentin utilisa cette servante comme modèle. Puis, prétendant qu’elle l’aurait trompé avec son assistant, il obligea ce dernier à la marier, ce qui constituait un déshonneur au vu de la condition sociale très basse de la modèle. Mais la modèle contre-attaqua en traînant Cellini devant les tribunaux, l’accusant de viol par sodomie, une procédure dont le sculpteur se sortit par le haut, sans doute grâce à ses commandes pour le roi François 1er. Catherine revint travailler à son atelier mais, excédé par son comportement, Cellini la tabassa. La force des coups la rendit inapte au travail de pose pendant deux semaines. Elle revint finalement poser, parce qu’il fallait bien gagner des sous, et ce fut dès lors une alternance de relations sexuelles et de violences, jusqu'à ce que Cellini la remplace par une autre de 15 ans, à qui il ne tarda pas à faire un enfant. Il avait alors 44 ans. Nous tenons ce récit de l’autobiographie que Cellini nous laissa, la seule du genre en l’occurrence. Étant donné que l’ouvrage n’est pas pauvre en rodomontades, il convient de considérer avec prudence ce compte-rendu. Cependant, celui-ci jette sur le sculpteur un jour suffisamment peu reluisant pour qu’on se laisse aller à le juger crédible dans ses grandes lignes.  Comme de bien entendu, il serait tout à fait exagéré de penser que les relations entre artistes et modèles à la Renaissance étaient généralement taillées sur le même patron, mais avouez que c’est une frappante entrée en matière pour notre sujet du jour, à savoir les relations charnelles dans le secret des ateliers ! Les relations charnelles présumées entre artistes et modèles sont un des piliers de leur mythologie, le récif saillant des préjugés que nulle entreprise historiographique sur les modèles ne peut esquiver. Ce présupposé qui sexualise les modèles prend appui sur l’idée que les artistes étaient majoritairement de sexe masculin (très vrai) et les modèles majoritairement de sexe féminin (plutôt faux). Les autres configurations de genre, par exemple artiste masculin face à modèle masculin, ont toujours moins intéressé... comme par hasard.
Durant l’époque moderne, il fut souvent interdit de travailler d’après des modèles féminines, d’où leur faible nombre, et de plus les sources sont bien maigres sur le sujet. Pour le XIXe, cette période où les modèles féminines se firent bien plus nombreuses et où l’image populaire du modèle vivant se cristallisa, les témoignages sont en revanche bien plus copieux, et ils nous disent qu’on trouvait chez les modèles féminines aussi bien de chastes femmes que des délurées, et que les modèles ne partageaient pas autant la couche des artistes que les bourgeois aimaient à s’en persuader. Ceci posé, il faut absolument considérer le contexte social. Toutes les modèles féminines étaient des filles de rien, qui pour certaines posaient depuis leur plus jeune âge. Pour beaucoup d’entre elles, c’était ça ou le trottoir (parfois les deux). De 15 à 25 ans, sachant qu’au-delà elles étaient vite considérées comme trop vieilles, elles posaient comme femmes adultes. Imaginez à présent ces jeunes filles souvent miséreuses, dominées socialement, culturellement et financièrement par ces messieurs artistes généralement issus de milieux aisés, et osez dire que la consommation charnelle qui pouvait en découler n’était affaire que de joie et de consentement... C’est là que les récents scandales de mœurs qui secouent le monde du spectacle aujourd'hui, parce qu’il offrent des réalités plus concrètes, peuvent aider à mieux appréhender ce que pouvait être la situation des dites "muses" d’autrefois, et à comprendre que les quelques poseuses "libérées" de la bohème de la butte Montmartre ou du Petit Montparnasse n’ont jamais constitué le maître étalon de la corporation des modèles.  Rappelons-nous cette phrase de Raniero Paulucci di Calboli en 1901 : "«Si la faible créature ne cède pas, trop souvent la porte de l’atelier lui reste fermée ! II faut qu’elle adopte bon gré mal gré la devise cynique de la femme: Le ciel nous fit pour consentir à tout.(...)"
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gwenael-houarno · 3 months
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2023. Croquis d’après modèles vivantes (Lizzie et Annie)
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saigon-song · 8 months
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TRẦN PHÚC DUYÊN CENTENARY RETROSPECTIVE
Sublime exposition au Quang San Art Museum de Hô-Chi-Minh-Ville. Peintre de la dernière promotion de l'Ecole des Beaux-Arts d'Indochine.
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empirearchives · 7 months
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The awarding of prizes to the winners of the first Brussels salon of 1811
By Elisabeth Marie Delatour
Known for her pastels and gouaches, the Brussels painter Elisabeth Marie Delatour (1750-1834) excels in the art of portraiture and miniature. With this work, she immortalizes the first award distribution organized in 1811 by the Society for the Encouragement of Fine Arts of Brussels. The ceremony is held in the large living room of Brussels City Hall, the current Gothic hall. Among the dignitaries represented are the prefect of the Dyle department (Brussels then part of the Napoleonic empire) and Duke Charles-Joseph d'Ursel, mayor of Brussels.
(Source)
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rabbitcruiser · 1 year
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Grand Central Terminal was opened in New York City on February 2, 1913.  
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sheltiechicago · 1 year
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Calvary
Surreal Paintings By Octavio Ocampo Who Play With Hidden Faces
With an incredible sense of detail, Mexican artist Octavio Ocampo (b. 1943) has mastered the art of creating paintings that awaken all of our senses. For this creative, art seems to be a family heritage; his relatives were all of the profession. This is why he became interested in it at a very young age and which led him to study at the Beaux-Arts where he specialized in learning illusionism.
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Forever Always
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Shiva
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Buddha
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hcdahlem · 10 months
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La Liseuse
Une belle rousse nue occupée à lire. Jean-Daniel Verhaeghe raconte comment le tableau de Jean-Jacques Henner prend vie pour Ferdinand, étudiant amoureux, et signe un conte teinté de mélancolie sur la force des arts et la puissance des rêves. Envoûtant.
En deux mots Quand Jeanne débarque à l’université, la belle rousse fait tourner bien des têtes. Mais c’est Ferdinand qui réussit à conquérir «La Liseuse», le surnom donné à la jeune fille qui ressemble au tableau de Jean-Jacques Henner. Ensemble, ils partent admirer la toile qui va s’immiscer dans leur vie. Et panser les blessures. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique La belle rousse et…
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charlesreeza · 2 years
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Clock -  Musée d'Orsay, Paris
photo by Charles Reeza
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georges-dufrenoy · 1 year
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Georges Dufrenoy (1870 - 1943)
"La Pieta"
1912 - Etude pour une fresque
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