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#Ciel (module)
strangedark · 2 years
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Icons over the years, 2014~2018.
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lilias42 · 29 days
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La chassée devenue chasseuse
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J'enchaine vraiment en ce moment IRL alors, j'avais envie de dessiner un peu pour me vider la tête donc, voici une nouvelle version de Metaheta de dos avec plein de détour (juste un peu déçu qu'on ne voie pas les motifs autour de son oeil central dans son dos [mais ils se voient quand on grossit le dessin !]).
C'est une des Braves que j'aime le plus à cause de son histoire vis à vis des agarthans, son design qui est dur mais très satisfaisant une fois passé au noir, son caractère et sa force... même si j'en ai fait peut-être un peu trop pour cette dernière vu que... bah je sais même pas comment Némésis et Thalès ont pu réussir à la vaincre en fait 😅
Vu que la dame a 1 200 ans de sorcellerie à son actif, une force colossale, la capacité à moduler son corps comme elle le veut - que ce soit pour grandir, le tordre dans tous les sens ou changer d'apparence - et le contrôle comme elle le souhaite, voie sous tous les angles possibles grâce à ses yeux, se régénère très vite, lit dans les pensées des gens (vu qu'elle a développé ses sens et son corps, ça me semble dans la continuité qu'elle développe assez sa sorcellerie pour pouvoir voir et entendre les pensées des autres... et ce serait tout à fait son genre de lire de le faire pour repérer encore plus vite les agarthans)... ouais, arriver à la faire tomber est pratiquement impossible à ce stade, encore plus pour des agarthans vu que de base, si elle est aussi surentrainée, c'est justement pour les vaincre alors, elle connait tout leurs trucs et même armé de l'épée du Créateur, Némésis risque de ne pas faire long feu face à elle étant donné qu'il n'a ni son endurance, ni sa capacité de régénération ni d'adaptation. Encore, elle pourrait galérer contre des nabatéens qui pourrait la battre avec pas mal d'effort (même si je ne voie pas pourquoi elle s'en prendrait à eux, elle en a juste rien à cirer de ce qui se passe en-dehors de sa montagne et si on ne la menace pas), mais des agarthans... voilà quoi, elle les repoussait avant leur chute alors, avec les ressources bien diminuées, même pas la peine d'y penser. C'est elle qui va les éliminer, y a pas de débat là-dessus.
De base, je me disais qu'il l'épuisait en la forçant à combattre pendant des jours sans qu'elle puisse manger, boire ou dormir mais, il leur faudrait une véritable armée pour l'assaillir continuellement et à ce stade, je voie mal les agarthans avoir assez de ressources pour créer suffisamment d'automate ou recruter assez de gens pour ça... j'ai le même problème avec les autres sorciers vraiment anciens que son Lamine (avec son poison mortel en quelques secondes flottant dans l'air et sa capacité de régénération vraiment infinie vu qu'elle peut survivre à une décapitation et brûle moins vite qu'elle ne guérit), Kelon (idem, se régénère très vite, avec la difficulté en plus qu'il faut pouvoir l'attraper vu qu'il voie assez haut dans le ciel tout en étant ultra mobile avec ses ailes, avec ses éclairs qui peuvent toucher à assez longue distance) ou Pyrkaïa dans une moindre mesure vu qu'elle est une pointe plus jeune (bonne capacité de régénération et faut pouvoir attraper une véritable torche humaine) mais bref, à voir.
En plus, après tout ce qu'elle s'est pris dans les dents, les agarthans qui ont littéralement chassé son peuple pour s'amuser, voler les peaux des siens afin de s'infiltrer chez eux et faire encore plus de dégâts, tout ce qu'elle a enduré pour protéger sa cité, tout ce qu'elle a sacrifié pour son peuple, tout le travail pendant des siècles pour calmer sa paranoïa et qu'elle s'autorise un peu plus à vivre pour elle aussi et pas que comme une gardienne de sa cité... ouais, j'ai pas très envie de l'imaginer en train de perdre contre son pire ennemi, encore plus quelqu'un d'aussi arrogant et pourri que Thalès qui se prend pour un dieu, encore plus contre quelqu'un qu'il voyait comme une proie auparavant. Faudra bien un jour quand je me déciderais à faire son billet à elle mais bon, au rythme où je vais...
Alors, juste, vas-y reine, tu peux enfin en finir avec cette ordure qui a fait de la vie de ta cité un enfer, fait toi plaisir !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#goneril of the 10 elites#Metaheta Gonerile#Metaheta mérite de l'exploser cette pourriture !#C'est simple elle arrive à l'académie par voyage dans le temps raté elle défonce El et les agarthans qu'elle croise sans problème !#Pour Hubert El et Jéritza elle sent la magie agarthan autour d'eux idem pour Solon et Kronya#Elle risque même de prendre un grand plaisir à les défoncer vu qu'eux chassent les humains pour le plaisir...#... ou les utilise comme des cobayes d'expériences comme des animaux alors elle va leur faire ravaler leurs dents#alors si elle voie des humains alliés à des agarthans... ça va barder et ils vont prendre bien cher à coup de poings#même si elle épargnerait sans doute ses trois là... pas par pitié ou compassion juste parce qu'elle a lu dans les pensées de tout le monde#dont celle de Dimitri alors elle voie que c'est la personne dont Dimitri veut se venger alors elle ne lui volera pas sa vengeance#elle les gardera juste sous le coude le temps de s'occuper de tous les agarthans jusqu'à chez eux#même si elle pourrait épargner les civils qui ont été obligés de suivre comme elle l'a fait avec Pan dans le passé#même si elle serait du genre à le titiller sur le fait que sa tête est sans dessus dessous et qu'il consulter pour ses hallucinations#Elle n'a rien contre la vengeance mais elle sait aussi que c'est quelque chose qui peut te bouffer tout cru#alors quand c'est au point de voir des morts... ouais consulte gamin t'en a besoin#ce serait sa manière de mettre Dimitri en garde contre son envie de vengeance qui le rend aveugle à tout le reste quand il se perd#alors que des gens tiennent à lui et surtout ont besoin d'un roi compétent qui s'occupe de son peuple correctement#elle elle-même une personne très influente dans sa cité -peut-être née princesse - alors la protection de son peuple elle l'a dans le sang#-oui c'est la seule à être issue de l'aristocratie tous les autres sont plus au système D et des couches les plus basses de la société-#elle a le problème contraire d'Hilda elle ne s'arrête jamais que ce soit de travailler ou de construire pour son peuple
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the-goth-catte · 1 year
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•|• Goth Night @ Anti-Social Club •|• 10.13.2023
Oriana - Spooky Scary Skeletons Kokushoku Elegy - taiyoume Siouxsie and the Banshees - Spellbound Killing Joke - Eighties Christian Death - Deathwish Siouxsie and the Banshees - Cities in Dust :neoncross: Leather Strip - I Sit On Acid Anders Manga - When The Lights Go Down Minuit Machine - Sisters Switchblade Symphony - Gutter Glitter SITD - Suffering in Solitude VNV Nation - Retaliate Herzschlag - Fest der Liebe Das Ich - Destillat (VNV Nation Mix) Cruxshadows - Marilyn, My Bitterness Dismantled - Breed To Death (Psyclon Nine Remix) Faderhead - Tzdv God Module - Cross My Heart And One - Get You Closer Apoptygma Berzerk - Burnin’ Heretics Combichrist - Enjoy the Abuse Psyclon Nine - Divine Infekt Suicide Commando - Bind, Torture, Kill Freaky Mind - Downs and Downs (Iskin Mix) :neoncross: Assemblage 23 - Human Schaft - Thirsty Fly Ministry - Just One Fix Virgin Prunes - Baby Turns Blue My Life With the Thrill Kill Kult - After the Flesh :neoncross: Alien Sex Fiend - Ignore the Machine Scary Bitches - Lesbian Vampires from Outer Space 45 Grave - Riboflavin Inkubus Sukkubus - Belladonna & Aconite D’espairsRay - Devil’s Parade L’arc-en-ciel - Lost Heaven Dir En Grey - Obscure Hyde - On My Own Buck-Tick - Iconoclasm Skeletal Family - She Cries Alone
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les-portes-du-sud · 2 years
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A la Femme aimée
Renée Vivien
Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume,
Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain.
Ton corps se devinait, ondoiement incertain,
Plus souple que la vague et plus frais que l’écume.
Le soir d’été semblait un rêve oriental
De rose et de santal.
Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes
Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids.
Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts
En le souffle pâmé des angoisses suprêmes.
De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour
L’agonie et l’amour.
Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes
La douceur et l’effroi de ton premier baiser.
Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser
En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes
Parmi des flots de sons languissamment décrus,
Blonde, tu m’apparus.
Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible,
D’infini, je voulus moduler largement
Un hymne de magie et d’émerveillement.
Mais la strophe monta bégayante et pénible,
Reflet naïf, écho puéril, vol heurté,
Vers ta Divinité.
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ochoislas · 3 months
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LA TRISTEZA DE PAN
La alondra había lanzado al cielo sin ecos su último grito de amor. Ya las mieses recibían, cerrándose sobre el ave, el pensamiento final del día. Un rayo sesgo frisó todavía las espigas, remontó a la nube; lucíó perfectamente recto sobre el confín, y así cayó en el desconocido abismo.
Pan alzó sus ojos de astro por filo de las mieses. Éstos alumbraban la flauta apoyada en sus labios. Alumbraban la noche, las aristas de las espigas, y sus diez dedos fugaces sobre la caña que relucía.
¡Oh pecho donde suspiraba una sarta de granos de ámbar —¿o eran lunas ahiladas bajo una oscura nube?—, oh pecho velludo, tales ojos os alumbraban! ¡Alumbraban —¿o era un sueño?—, en el camafeo de ópalo que pendía del collar, la faz pálida y muerta de Diana!
Y yo, que soy el caviloso custodio del campo, ¿reconocí por sus cuernos gachos a Pan, que suspirando, miraba su aderezo? De súbito, con un mayor suspiro, derribó… derribó su nuca sobre las nocturnas mieses.
Y mecido por sus ondas, moduló la voz de su flauta que los dedos recorrían.
¡Oh! ¡A qué punto esclarece las mieses un canto extasiado! Pan alzó un dedo, sopló y moduló, y yo, turbado custodio del campo, vi, de su aliento y de los modulados sones, formarse blandamente la luna.
Rauda, se deslizó sobre el mar de espigas, la blanda luna, como una pompa, y luego escaló al fondo del cielo nocturno.
Y Pan, al fondo de las mieses lunares, se acodó.
Entonces desde un bosque cercano el ruiseñor cantó hacia esta luna llena tan bella, que, sobre los trinos ascendentes de su parva voz hallaba asiento, parecía inmóvil… más que una flor sobre el chorro de un surtidor.
Pan había enmudecido, dejándole campo abierto, sin cuidarse de su caña, y triste, recodado sobre la tierra, ponderaba, con un dedo tembloroso, su entera sarta de lunas muertas.
¿Pensaba en los dioses muertos? Largo suspiró. ¿Pensaba acaso en las labores que recomponía su flauta: en los ríos, la brisa, los bosques, la aurora, en toda la obra de los dioses muertos? ¿Soñaba con los infiernos que su caída extinguió? ¿Contemplaba su propia alma, su flauta flamígera, él, el dios vivo?
Vio que el camafeo de Diana lo ojeaba.
¡Y de repente, hacia la tierra, Pan lanzó, por siempre, el grito supremo del amor!
*
LA TRISTESSE DE PAN
L'alouette a jeté vers le ciel sans échos son dernier cri d'amour. Déjà les blés reçoivent, se fermant sur l'oiseau, la dernière pensée du jour. Un oblique rayon frôle encor les épis, remonte vers la nue; tout droit sur l'horizon il brille, et tombe ainsi dans l'abîme inconnu.
Pan a levé ses yeux d'étoile au ras des blés. Ils éclairent la flûte appuiyée à sa lèvre. Ils éclairent la nuit, les barbes des épis, et ses dix doigts fuyants sur le roseau qui luit.
Ô poitrine où soupire un collier de grains d'ambre (sont-ce des lunes rangées sous un nuage sombre?), ô poitrine velue, ces deux yeux vous éclairent ! Ils éclairent — est-ce un rêve ? — dans ce camée d'opale suspendu au collier, la face pâle et morte de Diane.
Et moi, pensif gardien du champ, ai-je reconnu Pan à ses cornes baissées, qui soupirant, regarde sa parure ? Soudain, pour un soupir plus grand, il a versé — il a versé sa nuque au ras des blés nocturnes.
Et bercé par leurs flots, il module la voix de sa flûte où vont ses doigts.
Oh ! comme un chant d'extase peut éclairer les blés ! Pan lève un doigt, souffle et module, et moi, troublé veilleur des champs, je vois, de son haleine et des sons modulés, se former doucement la lune.
Rapide, elle a glissé sur la mer des épis, la douce lune, comme une bulle, et puis elle est montée au fond du ciel nocturne.
Et Pan, au fond des blés lunaires, s'accouda.
Alors, d'un bois voisin, le rossignol chanta vers cette pleine lune si belle, qui, sur les trilles montants de sa petite voix, se soutient mieux, semble en repos — mieux qu'une fleur sur un jet d'eau.
Pan s'était tu, le laissant faire, inattentif à son roseau, et triste, accoudé sur la terre, il soupesait, d'un doigt tremblant, tout son collier de lunes mortes.
Songeait-il aux dieux morts ? il soupira longtemps. Songeait-il aux travaux que refaisait sa flûte: aux fleuves, à la brise, aux forêts, à l'aurore, à toute l'œuvre des dieux morts ? Révait-il aux Enfers éteints par leur chute ? Songeait-il à son âme, à sa flûte de flamme, lui, le dieu vivant ?
Il vit le regarder le camée de Diane.
Et soudain, vers la terre, Pan jeta, pour toujours, le cri suprême de l'amour !
Paul Fort
di-versión©ochoislas
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photos-car · 8 months
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pdj-france · 1 year
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Au petit matin du 27 juillet, le traqueur de rumeurs de Rockstar, Tez2, a rapporté que Rockstar avait soudainement mis à jour sa liste pour "Red Dead Redemption" sur son site. Cela inclut un nouveau logo époustouflant qui se lit comme suit : "Rockstar Games présente Red Dead Redemption". Les fans pensent déjà que cela signifie que Rockstar sort enfin un remasterisateur tant attendu du premier jeu, avec la désignation "Présents" signifiant peut-être que la société a de nouveau autorisé un développeur extérieur à gérer les tâches de remasterisation. Cela aurait du sens, car Rockstar est toujours en plein développement sur "Grand Theft Auto 6". La nouvelle mise à jour du site de Rockstar, en direct il y a une heure, a ajouté une nouvelle référence dans la liste des jeux. "Red Dead Redemption (Rockstar présente la version)" Nom de code : - RDR1RSP (RDR1 Remaster SP ?) Nouveau logo ci-dessous#reddeadredemption pic.twitter.com/MbzmnieMlo – Tez2 (@TezFunz2) 27 juillet 2023 Tez2 a également souligné que la mise à jour du site de Rockstar pourrait également laisser entendre que "Red Dead Redemption" pourrait arriver sur plus de plates-formes que jamais auparavant, bien qu'ils ne puissent pas le dire avec certitude. "C'est un drôle de moment pour le mettre à jour maintenant... Si ce n'est pas pour quelque chose de nouveau ?" écrit Tez2. De plus, Rockstar a inclus RDR1 dans la liste des évaluations des modules de site modernes. Le site RDR1 Original n'utilise pas ces modules. Suggérer une mise à jour du site. PS3, Xbox 360 et Switch ont été récemment ajoutés en tant que boutons de plate-forme (CTA) Vous trouverez ci-dessous un aperçu (non indicatif de la disponibilité de la plate-forme) https://t.co/iVYtJmEmxG pic.twitter.com/Vj2UVVEdo1 – Tez2 (@TezFunz2) 27 juillet 2023 Dans les réponses, l'esprit des fans tourbillonne déjà de possibilités. S'agira-t-il simplement d'un nouveau port ? Un remaster complet ? Peut-être un remake qui combine le gameplay de "Red Dead 1" avec la carte étendue et les graphismes réalistes de "Red Dead 2?" Il semble vraiment que le ciel soit la limite, étant donné à quel point chaque épisode de la série a été impressionnant jusqu'à présent. Si vous n'avez pas suivi de près la lenteur des mises à jour de "Red Dead", cela peut sembler que tout se passe si soudainement. Cependant, les fans attendent des nouvelles concernant un remake ou un remaster de "Red Dead Redemption" depuis quelques années, à ce stade.
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efrost · 1 year
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Floating Photovoltaics (FPV) Market Will Hit Big Revenues In Future | Biggest Opportunity Of 2022
Latest business intelligence report released on Global Floating Photovoltaics (FPV) Market, covers different industry elements and growth inclinations that helps in predicting market forecast. The report allows complete assessment of current and future scenario scaling top to bottom investigation about the market size, % share of key and emerging segment, major development, and technological advancements. Also, the statistical survey elaborates detailed commentary on changing market dynamics that includes market growth drivers, roadblocks and challenges, future opportunities, and influencing trends to better understand Floating Photovoltaics (FPV) market outlook. List of Key Players Profiled in the study includes market overview, business strategies, financials, Development activities, Market Share and SWOT analysis are Ocean Sun AS (Norway)
Yellow Tropus Pvt.Ltd (India)
HelioRec. (France)
Ciel & Terre International (France)
LS ELECTRIC Co., Ltd. (South Korea)
BayWa r.e. AG (Germany)
Waaree Energies Ltd. (India)
Adtech Systems (India)
SolOcean GmbH (Austria) Floating photovoltaics refers to an emerging technology in which a solar photovoltaic (PV) system is placed directly on top of a body of water, as opposed to on land or on building rooftops. It is mounted on a structure floating on a water body, typically a reservoir or a lake. This type of FPV floats on water and an embedded solar tracker follows the sun’s movement and places the solar panel to increase the time of exposure to sunlight and enhance the complete efficiency of the floating photovoltaic system. Key Market Trends: Increasing Adoption Of Clean And Green Energy Sources Such As Floating Photovoltaics Opportunities: Rise in Demand for Solar Energy Consumption and Installation Creating Numerous Opportunities for the Floating Photovoltaics Market Market Growth Drivers: Growing Need for Alternative to Traditional PV
Lack of Land Space Challenges: High cost of installation hindering Floating Photovoltaics Market The Global Floating Photovoltaics (FPV) Market segments and Market Data Break Down by Application (Commercial, Residential, Industrial), Components (Power Converters, Anchoring System, PV Modules, PV Inverter, Others), Photovoltaics Cell (Monocrystalline Silicon, Polycrystalline Silicon, Thin Film)
Presented By
AMA Research & Media LLP
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lakelandg · 2 years
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Duke Energy set to start floating solar array buildout in Florida
Duke Energy Florida has announced that its first floating solar array pilot will begin construction later this month in Polk County, central Florida. A floating solar array on an irrigation pond in Hyogo prefecture, Japan. Credit: Ciel & Terre International The almost 1MW floating solar array will feature more than 1,800 floating solar modules and occupy approximately 2 acres of water surface…
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strangedark · 2 years
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Witch Ciel, 11.13.17 — Witch Strange Dark and Ciel concept, 9.26.17
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kagaminemodules · 4 years
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“Ciel” by E-ri Comatsu
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aisunana · 4 years
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5/28/16
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hxneylavendxr · 2 years
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i always have the module set to ciel len in romeo & cinderella in project diva and i ended up with len in the center for romeo & cinderella in sekai just now cuz challenge show and it made me smile i looove to see my little guy
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elcoco005 · 2 years
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Did someone say light Pendranièvre smut 👀 ?
Pour le contexte : CD où Guenièvre a accompagné Arthur jusqu'au phare
Enjoy 💗
Un fol instant
Le phare trembla.
L’histoire de quelques secondes pas plus, ses pierres chancelèrent, la porte vibra et le bois grinça sous les lourdes secousses.
Les yeux maintenant ouverts, le regard d’Arthur se porta en haut du phare où le feu brûlait toujours ardemment dans le ciel oscillant entre une teinte émeraude et turquoise. Dehors il y avait des bourdonnements de voix et Arthur se demanda même si père et fils pêcheurs s’étaient enfin retrouvés.
Il tira sur le fin tissu qui lui servait de couverture pour la nuit et en recouvrit ses épaules, passa ses jambes hors du hamac, puis s’engagea prudemment vers la sortie
Par les fentes de la porte l’air glacial se faufilait à l’intérieur et celle-ci vibrait sous les bourrasques du vent marin. Arthur y posa sa main ornée d’une bague du passé. On ne pouvait plus s’y méprendre, les voix dehors étaient des rires d’enfants. Arthur laissa sa main glisser contre le bois sombre et pendant un terrifiant instant, ses doigts tremblèrent contre le loquet.
Il l’ouvrit.
Sur le ponton, l’air brûlait sa peau et engourdissait ses doigts cramponnés autour de sa couverture. Chaque respiration le frigorifiait de l’intérieur, le vent furieux balayait ses mèches de son visage et les vagues remuaient et s’écrasaient contre la pierre en de violents éclats.
Mais le ponton était vide, la mer se déchaînait sans aucun marin pour en subir ses foudres, pourtant les rires persistaient, fusaient et se mélangeaient. Les enfants riaient et criaient avec la mer.
Ils l’appelaient. Sa voix tremblante se perdait dans la bourrasque.
Arthur s’avança, appelant à son tour. Soudainement protecteur, soudainement père. La voix de Merlin s’éleva, puis celle d’Anton, rassurante et réconfortante, puis un rire familier s’éleva soudainement à son tour et Arthur frissonna en le reconnaissant. Il aurait pu la reconnaître entre mille cette voix chaude, pénétrante et rocailleuse qui l’avait inspiré, guidé et tant appris. César.
Ses pères. C’était tous les pères de sa vie qu’il entendait. Ceux qu’il avait eus, ceux qu’il avait perdu et celui qu’il avait été – en quelque sorte - pour son royaume pendant des années. Il frissonna, sa fine couverture ne servant plus contre les coups de fouets glacials des bourrasques.
Les vagues se déchaînaient et s’entrechoquaient à présent, elles prenaient des hauteurs monstrueuses. Arthur les regardait, effaré. Elles pourraient engloutir le phare. Le vent et l’eau s’y abattaient et à son sommet le feu continuait de brûler. Les rires se faisaient plus lointains. Arthur appela à nouveau, se détourna puis se retourna abruptement vers le phare quand une pensée effroyable l’envahit.
Guenièvre était encore à l’intérieur.
Il regarda alors les vagues qui se dressaient en riant, prises d’incontrôlables soubresauts comme si elles avaient entendu la meilleure blague de l’Empire celte. Leurs voix empruntaient mille et une modulations, tantôts rauques, tantôt cristallines, tantôt enfantines se masquant en des rires d’enfants pour mieux l’attirer, pour mieux l’attraper.
Elles prenaient une allure démonique.
Arthur se précipita vers la porte, mais avant qu’il ne puisse l’atteindre la mer les engloutit, le ponton, le phare et Guenièvre avec.
_______
Arthur manqua de les faire basculer du hamac en se redressant aussi violemment qu’il le fit et Guenièvre poussa un petit cri de surprise et s’accrocha à lui par réflexe.
Il prit lentement conscience d’où il se trouvait, des petites mains de Guenièvre agrippées à ses manches, du contraste entre sa peau blanche et le noir de sa tenue. Il frissonna alors que son corps essayait de se débarrasser des derniers vestiges de son rêve.
« Bon dieu, mais à quoi rêviez-vous ? » Guenièvre lui demanda une fois qu’ils furent tous les deux stables, « Ça fait dix minutes que je vous secoue comme une salade pour vous réveiller »
« …À rien. Dormez. » Il répondit lentement pour chasser la peur étreignant ses entrailles.
Il repoussait Guenièvre comme toujours. L’habitude était encrée chez lui comme un réflexe auquel on n’accorde aucune attention.
Guenièvre le scruta de ses yeux emplis de bienveillance et d’inquiétude et une colère sourde et inexplicable monta en lui. Il serra les dents, sachant que si il se laissait aller il allait commencer à lui crier dessus. Il ne supportait plus sa gentillesse ni son amour.
L’amour que Guenièvre lui portait était devenu une torture pour lui, il aurait préféré qu’elle réponde à ces années d’abus, d’insultes et d’humiliation avec de la haine, il savait gérer la haine. Celle de sa mère, celle de Mevanwi, celle de Lancelot. L’amour, en revanche, pas tellement.
De toute façon l’amour n’avait jamais été suffisant ni au bonheur ni à la paix d’esprit ni à quoi que ce soit. C’était une leçon qu’il avait apprise tôt et qu’il avait réapprise encore et encore tout au long de sa vie.
Il l’avait appris recroquevillé en boule dans un coin du dortoir dans un pays étranger, seul, perdu, souffrant, le pied rougi et le cœur meurtri, appelant, nuits après nuits, Anton, Merlin et Vivianne sans jamais que qui que ce soit ne lui réponde à part le silence.
Il l’avait réappris lorsqu’il s’éloignait des côtes mauritaniennes par la mer, l’odeur de Shedda chatouillant encore ses narines et le regard de Furadja gravé dans son esprit.
Il l’avait appris quand Aconia avait jeté sa robe à ses pieds.
Il l’avait appris quand le soleil se couchait dans le ciel ensanglanté de Rome et que le souvenir des poignets en sang de César et des derniers mots de Mani étaient encore frais.
Il l’avait appris quand Lancelot lui avait tourné le dos et quand il avait dû renoncer à Mevanwi.
L’amour, ce n’était jamais assez.
Mais sa femme à lui, elle ne se déterrait pas ni face à ses peurs ni face à ses secrets. Elle continuait de prendre soin de lui, de lui sourire, de le soutenir, de prendre ses mains dans les siennes, les porter à sa bouche et exhaler dessus pour les réchauffer du froid printanier des routes, le soir. Elle avait toujours été prête à lui donner cet amour dont il avait cruellement eu besoin, mais fidèle à son passé ça n’avait pas été assez pour Arthur
Elle n’avait même pas 20 ans quand elle s’était retrouvée avec le poids de cette alliance politique sur le dos. Elle avait des rêves plein les yeux et de la romance plein le cœur et oh comme il lui en avait voulu.
Il était rentré de Rome magané, abattu et furieux contre la Bretagne et tous ceux qui s’y trouvaient. Il en voulait au ciel et à la terre, aux dieux comme à lui-même.
Il en avait voulu à tous et à elle particulièrement. Comme si elle avait été responsable de ce mariage et de son malheur.
Il lui en avait injustement voulu et il lui avait fait payé.
Des larmes se mirent à dévaler ses joues avant qu’Arthur ne puisse les arrêter ou même s’en rendre compte.
« Venez-ici, » Guenièvre susurra et la tête d’Arthur tomba lourdement sur son épaule. Il ne méritait pas cette étreinte, il ne méritait pas cet amour et cette femme. Il ferma violemment les yeux alors que les flammes de sa culpabilité lui léchaient les entrailles. Un sanglot déchirant s’arracha de sa gorge et l’étreinte de Guenièvre se resserra.
Plus elle l’aimait et plus il avait mal.
« Vous n’êtes pas seul. » Guenièvre chuchota contre son oreille. « Je ne vous laisserai jamais seul. »
Une tristesse abominable déformait sa voix, comme si elle savait déjà que ce ne serait pas assez pour lui. Après tout c’est bien ce qu’il lui avait fait comprendre toutes ces années, qu’elle n’était pas assez, qu’elle n’était rien, qu’il ne l’aimait pas.
Alors pourquoi était-elle encore à ses côtés, pourquoi continuait-elle d’apporter le peu de lumière qui lui restait dans sa vie ?
Pourquoi elle lui restait aussi loyale alors que lui avait choisi de rester loyale à une autre avant même que leur union ne soit prononcée ?
Cette loyauté qu’il avait exigée de ses chevaliers, des chefs de clans, des seigneurs bretons, des paysans autant que des nobles, c’est elle qui la lui offrait véritablement.
Car Guenièvre n’était ni loyale au roi ni à l’élu des dieux mais bien à lui, Arthur.
C’était elle sa seule constante, la seule à ne jamais avoir voulu l’abandonner jusqu’à ce qu’il ne lui laisse plus le choix. Elle avait toujours été plus qu’assez, c’est lui qui avait tout foiré parce qu’il avait toujours eu besoin d’elle et qu’il n’avait jamais autant eu besoin d’elle, mais il avait trop longtemps laissé pourrir tout ce qui aurait pu éclore entre eux.
Il avait ruiné à lui seul tout ce qui aurait pu être beau, lumineux et coloré dans sa vie, dans leur vie à tous les deux.
« Pardon, pardon, pardon, pardon » il répétait comme un mantra contre son épaule entrecoupé par ses sanglots et c’était peut-être le rêve ou peut-être l’épuisement de ces derniers jours mais il n’arrivait à plus à se contenir.
Avec du recul, ce qui sortait de sa bouche ne devait pas être hyper sensé pour Guenièvre mais elle restait abominablement tendre avec lui, comme si elle était consciente de l’importance du moment.
Elle continuait de lui déverser cette tendresse et cet amour inconditionnel qu’il n’avait jamais appris à gérer.
« Ça n’a plus d’importance, pitié ne pleurez pas comme ça » elle disait, puis « ça me tord le ventre de vous voir comme ça, je vous en prie calmez-vous… » et « qu’est-ce que je peux faire, dites-moi ce que je peux faire » elle demandait ; mais Arthur avait juste envie d’hurler sa souffrance qui l’écorchait à vif.
Et complètement désemparée et paniquée, Guenièvre continuait :
« Je peux vous rendre heureux, si vous me donnez une chance. Je vous le jure, laissez-moi essayer, » elle murmurait, suppliait presque. « Je pourrais vous les faire, moi, ces enfants. »
Ces mots eurent l’effet escompté et tout s’arrêta.
Arthur releva lentement son visage rouge et essuya ses yeux boursouflés d’un revers de manche pour la dévisager.
« Ne…Ne dites pas des choses comme ça. »
« Quoi, vous croyez que je vous dis ça en l’air après avoir vu tout ce que ça représentait pour vous ? » Guenièvre s’agitait et il pouvait voir les premiers signes de colère dans son regard.
« Non, je sais que vous êtes sérieuse mais je vous répète : ne dites pas des choses comme ça » Arthur articula les derniers mots sans jamais la lâcher du regard. Il respirait fort et pouvait à nouveau sentir cette colère enfouie au fond de lui monter à la surface.
« Et pourquoi, parce qu’il n’y a que vous qui peut se sacrifier, c’est ça ? C’est vous le martyr et personne d’autre ? »
Ils se défiaient du regard dans ce petit hamac, plus proches qu’ils ne l’avaient jamais été et il avait presque oublié ces derniers jours cette capacité unique de Guenièvre à le faire sortir de ses gonds en moins de deux.
« Ça suffit. »
« Non ! » Elle gronda « je suis celle qui vous voit dépérir à petit feu depuis des années et en plus maintenant je dois regarder ça sans rien dire et sans rien faire ? Je vous emmerde. »
Et Arthur ne voulait pas entendre, n’était pas capable d’entendre cette vérité alors il ne trouva pas d’autre moyen pour la faire taire que de l’embrasser. Il fondit sur ses lèvres et les dévora, la dévora. Il était glouton maintenant qu’il se laissait aller à Guenièvre.
C’était son premier baiser et Arthur n’était pas tendre, pourtant les lèvres de Guenièvre se mouvaient contre les siennes magnifiquement et elle le tenait dans ses bras comme elle l’avait toujours fait, elle le protégeait et l’enlaçait. Elle lui tenait chaud. Guenièvre trembla un peu d’abord puis fut prise de frissons incontrôlés, ses respirations se coupaient et s’entrechoquaient, rappelant un peu à Arthur celles d’une personne qui suffoquerait. Une des mains d’Arthur s’agrippa à sa nuque blanche tandis que l’autre descendit lentement dans le creux de sa hanche. Guenièvre s’allongea, le tirant avec elle.
Le hamac tangua, ses filets les collant et les enserrant.
Leurs corps se découvraient enfin et dansaient parfaitement l’un contre l’autre. Les mains de Guenièvre s’enfouirent dans les boucles noires d’Arthur tandis que ses longues jambes remontèrent doucement le long des côtes d’Arthur, laissant sur leur chemin une étrange et agréable sensation de brûlure.
Une de ses mains toujours accrochée à la nuque de Guenièvre, il caressa de ses longs doigts la joue glacée de Guenièvre en un mouvement circulaire et cruellement tendre. Elle blottit sa joue contre sa peau et déposa une myriade de petits baisers humides contre sa paume. Elle releva son regard fiévreux pour se perdre dans la noirceur de ses yeux.
Les lèvres d’Arthur délaissèrent la bouche de Guenièvre pour se poser à la commissure de ses lèvres gonflées puis suivirent le contour de sa mâchoire et, dans le silence presque révérencieux entrecoupé par leurs soupirs et leurs respirations, Guenièvre n’émettait que des petits râles de bonheur.
Collé contre elle dans ce phare glacé, le corps d’Arthur le brûlait et le sexe d’Arthur, jusqu’à là oublié, remua paresseusement entre ses cuisses. Ses lèvres continuaient de descendre encore et encore jusqu’à ce qu’il embrasse le tissu humide recouvrant le creux entre ses deux seins. Là, il releva ses yeux vers elle et malmena ses lèvres, tiraillé, hésitant.
« Est-ce que…? » Il commença incertain comme il l’avait rarement été auparavant avec une femme. « Qu’est-ce que…Qu’est-ce que je peux avoir ? »
Il n’avait pas anticipé que sa voix sonnerait aussi fragile et tremblante en posant cette question et tenta de se racler la gorge, mais en dessous de lui Guenièvre lâcha ses boucles noires pour encadrer son visage de ses mains et plongea son regard noisette dans le sien plus sombre que le ciel des nuits d’hiver.
« Tout ce que vous voulez, vous le savez bien… » Elle soupira, inconsciente de la puissance de ses mots.
Arthur frissonna. Si elle était sa reine, il n’était plus qu’un autre de ses sujets obligé par serment de la servir comme elle l’exigeait et Arthur n’avait jamais voulu se soumettre à qui que ce soit autant qu’il voulait l’être à elle à cet instant précis.
Il s’arracha donc à sa tâche et scella à nouveau leurs bouches, impatient. Il n’entendait plus rien sauf ses gémissements, ne goûtait plus rien sauf ses lèvres, ne sentait plus rien sauf son odeur fruité. Tous ses sens ne criaient que Guenièvre, Guenièvre, Guenièvre et son sexe se réveilla abruptement, engorgé et douloureux, prêt pour elle, uniquement pour elle.
Et Arthur aurait aimé prendre le temps d’aller doucement avec elle, de lui faire découvrir les choses de l’amour correctement, adéquatement comme elle le mériterait mais leurs sexes se rencontrèrent brusquement dans un crépitement électrique qui se faufila dans chaque parcelle de leur corps. Il poussa un grondement rauque contre la bouche de Guenièvre au même moment où elle cria son nom.
Et le peu de contrôle qu’il avait réussi à maintenir jusqu’à présent s’évapora en quelques secondes seulement. Ils s’agitèrent l’un contre l’autre, recherchant plus de sensations, plus de frictions et les couches de vêtements qui les séparaient de la peau de l’autre devenaient simplement une torture. Tantôt leurs langues dansaient l’une contre elle, tantôt leurs dents se cognaient, il n’y avait plus rien de tendre, plus rien de doux il ne restait qu’une animalité incontrôlée.
Mais Guenièvre ne savait pas, elle ne pouvait pas savoir l’importance de ce qu’il était en train de faire, de ce qu’il était en train de laisser aller, de ce qu’il était en train de lui dire sans mots à cet instant et c’était tout bonnement inacceptable. Alors Arthur, les mains violemment agrippées aux cuisses de Guenièvre la redressa et l’assit sur lui tandis qu’elle entoura son cou de ses bras.
Il posa son front contre le sien et ferma les yeux, les mots qu’il voulait désespérément lui dire coincés dans sa gorge. Ils tournoyaient, s’épaississaient, l’étranglaient.
Mais Guenièvre saisit son menton, le forçant à ouvrir les yeux, le forçant à la regarder. Elle sifflait à travers ses dents et ses paupières papillonnaient mais son regard embrumé par le désir ne le quittait pas.
Ils se regardèrent alors silencieusement, continuant de remuer paresseusement leurs deux bassins ensembles. Leurs souffles se mélangeaient, leurs pensées se mêlaient.
« Dites-le moi. » Guenièvre murmura et les mots mourraient dans son souffle court et l’air était étouffant. « Dites-moi ce que vous voulez me dire. »
Arthur secoua lentement tête, ses yeux s’embuant de larmes. Il n’était plus capable d’aimer, il en avait perdu la capacité quelque part entre les côtes d’Afrique et celles d’Italie. Il ne pouvait pas, il ne pouvait pas, il ne pouvait plus…
…Mais il avait privé Guenièvre de tellement de choses au fil des années, s’il y avait une chose qu’il ne pouvait réellement plus faire c’était de laisser leur relation pourrir une nouvelle fois à cause de ses peurs et de ses secrets.
Il l’aimait, il était enfin prêt à l’aimer et elle méritait de savoir.
« Guenièvre… »
Des coups tambourinèrent à la porte et une voix résonna dans le phare.
« C’est vous qui avez demandé un guide ? »
Les deux amants se regardèrent, elle le souffle haché et la peau humide, lui les yeux larmoyants et les lèvres entrouvertes.
« C’est vous qui avez demandé un guide ? »
Est-ce qu'on peut faire tout ça dans un hamac ? Pas sûr.
Est-ce que ça m'arrête ? Clairement pas 😂
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amia25ji · 3 years
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you dont have to make it a gradient, you can just pick one! i happen to love all the colors in that little range equally, so im not too picky.
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i'm sorry for the lateness of these!! work really took over my life last month and i'm currently unable to get ps4 screenshots so i hope these are ok! :'3
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