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#Je Suis Une île
senorboombastic · 5 months
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'Celebrate' - Listen to the ninth episode of ’60 Minutes or less’, the new podcast from Birthday Cake For Breakfast – featuring HALO MAUD!
Words: Andy Hughes Bonjour! For the ninth episode of ’60 Minutes or less’ – the new podcast from Birthday Cake For Breakfast – it’s an honour to welcome our first European guest! If we were still in the EU we would have ticked this off the list two episodes in, but since we fucked that when the UK voted to leave the EU, we look to France and our European friends with an interview with HALO…
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maviedeneuneu · 2 years
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Big news que je vous ai pas dit : fin septembre je suis repartie à Majorque !!!!! (En vacances) (pour l'instant haha)
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kerubimcrepin · 7 months
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20th Anniversary Map, with commentary by Kerubim Crepin and Joris Jurgen
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The frustrating thing about this map, is that nobody who got it has decided to scan or transcribe it, for documentation's sake. So I had to complete this list of all the commentary using tweets and unboxing videos.
But, at the very least, we now have documentation of what this thing actually says.
Joris and Kerubim's text is colour-coded for your convenience, and this post includes both the French transcription, and English translations.
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La carte du Monde des Douzes. par Joris Jurgen et Papycha
The map of the World of Twelve. by Joris Jurgen and Papycha
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ASTRUB:
J: Chez Papycha ♡ / Papycha's home ♡
J: Les Araknes, c'est dégueu-monstrueu! / Arachnees are icky-creepy !
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J: Je pari que la tour du Xélor fou est par ici. / I bet the Mad Xelor's tower is here.
K: Perdu, mon Jojo ! / You lost the bet, my Jojo!
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SUFOKIA:
J: de lourds secrets sont enfouis dans ses profondeurs... / dark secrets lay buried deep within this place...
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ILE DE MINOTOROR / MINOTOROR ISLAND:
K: Croyez-le ou non, le Minotoror est terriblement chou... / Believe it or not, but the Minotoror is awfully cute...
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FOIRE DU TROOL / TROOL FAIR:
K: Ma meilleure partie de pêche aux koin-koins ! / My best quaquack fishing experience ever!
J: Lorko -> 🚶‍♂️
(personal note: i have no fucking idea what a Lorko is.)
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ILE D'OTOMAÏ / OTOMAÏ ISLAND:
J: contacter en cas de besoin 👍 / contact him should the need arise 👍
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BONTA:
J: Là où j'ai taqiné la boufballe avec le giga gran Khan Karkass!! / Here I playd boufball with the supa-duper cool Khan Karkass !!
(personal note: This means that Kerubim and Joris started work on this map while still living in Astrub, but kept working even after the movie. Cute.)
(personal note: A French person who helped me decipher this part, said that Joris makes quite a lot of spelling mistakes here. I'm sure there are more that I didn't catch in other parts of the post. He's very wonderful, very cute.)
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ÎLE DE MOON / MOON ISLAND:
J: autochtones sympas. ne pas rester pour le dîner. / nice locals. don't stay for dinner.
K: Bashy, mon pote d'enfance, semait la terreur aux ces flots ! / Bashy, my childhood friend, sowed terror among these waves!
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ILE DE NOWEL / KWISMAS ISLAND:
J: Les cadeau sont mortels! (vraiment!) / The gifts are deadly ! (really !)
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FRIGOST:
J: Bienvenu chez le Yech'ti! / Welcome to Yech'ti's !
K: Passe-lui le bonjour de ma part ! / Say hello to him for me!
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PANDALA:
J: commander de la chichala à zato / order chichala from zato
(Personal note: this suggests Joris might be just as heavy of a drinker as Kerubim. Or at least into very intense drinks, similarly to Keke. He's so real for this.)
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ÎLE DES WABBITS / WABBIT ISLAND:
J: éviter le wa... / avoid the wa...
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J: L'île de La Likrone... Par là d'apré la légende. / The Unikron Island... This way, acording to the legend.
K: T'es à l'ouest, mon Jojo ! / It's to the west, my Jojo!
(Personal note: Joris wrote "d'aprés" with a mistake. I'll try to translate his little mistakes, if I notice them, or can come up with a way to do that.)
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K: Le réceptacle des Dofus / The Dofus Receptacle
X Traverser le pont / Cross the bridge X Parler au chaman / Talk to the shaman X Boire un coup / Have a drink
(personal note: this is a reference to the quest "The Dofus Receptacle". The bridge referenced here is the bridge to Pandala.)
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K: Je suis sûr qu'Indie a pris ce bateau ... / I'm sure it's Indie, who's on that boat...
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VULKANIA:
K: Contre Grozilla, je me suis dépensé sans compter ! / I gave it my all, while fighting Grozilla!
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Dessinée à l'ancre de Kralamour. / Drawn using Kralove eenk.
Propriété de Joris © / Property of Joris ©
Ne pa toucher / Dont touch
(Surtou si vous vous apelé Lilotte) / (Espeshaly if you're name is Lilotte)
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olympic-paris · 1 month
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cet été je suis allé dans une île paradisiaque, l'eau y était d'une si belle couleur que j'en ai rapporté pour la mettre dans ma baignoire
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papillondusublime · 7 days
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Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.
J’étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m’ont laissé descendre où je voulais.
Dans les clapotements furieux des marées, Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N’ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.
La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots Qu’on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l’oeil niais des falots !
Plus douce qu’aux enfants la chair des pommes sures, L’eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin.
Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d’astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ;
Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l’alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l’amour !
Je sais les cieux crevant en éclairs, et les trombes Et les ressacs et les courants : je sais le soir, L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir !
J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques, Illuminant de longs figements violets, Pareils à des acteurs de drames très antiques Les flots roulant au loin leurs frissons de volets !
J’ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baisers montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l’éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
J’ai suivi, des mois pleins, pareille aux vacheries Hystériques, la houle à l’assaut des récifs, Sans songer que les pieds lumineux des Maries Pussent forcer le mufle aux Océans poussifs !
J’ai heurté, savez-vous, d’incroyables Florides Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux D’hommes ! Des arcs-en-ciel tendus comme des brides Sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux !
J’ai vu fermenter les marais énormes, nasses Où pourrit dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant !
Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums !
J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. – Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d’ineffables vents m’ont ailé par instants.
Parfois, martyr lassé des pôles et des zones, La mer dont le sanglot faisait mon roulis doux Montait vers moi ses fleurs d’ombre aux ventouses jaunes Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux…
Presque île, ballottant sur mes bords les querelles Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. Et je voguais, lorsqu’à travers mes liens frêles Des noyés descendaient dormir, à reculons !
Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Jeté par l’ouragan dans l’éther sans oiseau, Moi dont les Monitors et les voiliers des Hanses N’auraient pas repêché la carcasse ivre d’eau ;
Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d’azur ;
Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ;
Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Fileur éternel des immobilités bleues, Je regrette l’Europe aux anciens parapets !
J’ai vu des archipels sidéraux ! et des îles Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : – Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t’exiles, Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer : L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer !
Si je désire une eau d’Europe, c’est la flache Noire et froide où vers le crépuscule embaumé Un enfant accroupi plein de tristesse, lâche Un bateau frêle comme un papillon de mai.
Je ne puis plus, baigné de vos langueurs, ô lames, Enlever leur sillage aux porteurs de cotons, Ni traverser l’orgueil des drapeaux et des flammes, Ni nager sous les yeux horribles des pontons.
-Le bateau ivre, Arthur Rimbaud
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jeanchrisosme · 1 year
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Tu sais ce qui était beau ?… C’est que tout avec toi devenait une histoire, une parenthèse. Chaque instant se transformait en précieux souvenir, à accrocher la nuit au plafond de mes rêves. J’ai tant ri de te regarder rire que je te laissais être ce distributeur d’oubli cher à un très célèbre Humaniste, pour n’être qu’ici… pour n’être que dans l’instant que tu savais remplir, comme si tu connaissais les secrets de l’infini. Ce qui était beau, c’était ton regard incrusté de milliers d’étoiles lorsque tu me regardais… J’avais tout à coup la sensation d’être un phare, une île perdue sur laquelle tu avais envie de t’éveiller dans les premiers rayons de ta beauté. Depuis toi, je comprends les peintres, les écrivains et les poètes… ceux qui sculptent la pierre à la force de leur tendresse, pour faire renaître et graver la magie de tout ce qu’il est impossible d’oublier. Je comprends que cette force d’Amour puisse transcender un être, au point de vouloir remercier le ciel… la source de ce qui réinvente les mondes à chaque seconde… cet univers si vaste, souvent bien trop grand sur lequel on danse, comme des équilibristes filants sur l’existence. C’est beau quand tu es là pour habiter le temps, quand tes cheveux ondulent au gré du vent même les jours où il enrage… Tes paupières battent toujours comme les ailes de ces papillons blancs quand tu me regarde… C’est simple, le monde tout autour de nous s’efface et je suis comme un môme de te voir rayonner comme ça. Je m’abandonne, je me donne le droit de vivre et de profiter de toute cette magie qui ne se rattrape jamais… Mon cœur reste suspendu, allumé de toutes ses couleurs. Depuis Nous, j’ai appris à me laisse envahir de complétude… de ces bonheurs simples qui sont de loin les meilleurs. La vie me laisse ces images qui me reviennent en cascade. Je souris tous les jours devant mon café et jusque dans la glace… parce que je ne peux plus me voiler la face, je Sais. Dès la première seconde, je me suis senti appelé… je t’ai reconnu alors que je ne t’avais jamais vue. C’est mon âme qui s’est mise à t’aimer avant moi, alors que je n’avais rien demandé… Tu sais ce qui est beau… C’est que je sais aujourd’hui ce que c’est d’aimer pour rendre libre et ne rien vouloir posséder. Je veux te voir toujours comme aujourd’hui… radieuse comme à la lueur de ces bougies quand on se dit ce que nous sommes seuls à comprendre. Alors même si un jour le destin venait à nous séparer… je serai toujours le plus heureux des hommes… simplement parce que je sais déjà que ce sera Toi jusqu’à ma dernière seconde.
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transrencontre · 2 months
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Un peu de fun rapide et sans engagement avec une transgenre de Melun 77000
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Je l'avoue, je ne cherche rien de sérieux. Que du plaisir avec cette rencontre. On s'amuse et on se dit au revoir. J'ai besoin de ce genre de relation en ce moment. Je suis une transgenre en début de transition et je vis sur Melun en Seine-et-Marne en Île-de-France.
Discuter avec Nadine
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philoursmars · 2 months
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Avant de passer les photos de la visite de mon copain Christian il y a 15 jours, voici, plus récentes, quelques photos des compétitions de nautisme ayant lieu à Marseille pour les Jeux Olympiques.
Ici les épreuves du 1er et du 3 août, dériveurs et kite (je crois ? Je suis loin d'être un spécialiste)
Sur la 6, on voit ici les îles du Frioul en arrière-plan, plus précisément l'île de Pomègues et ses anciens forts militaires.
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aisakalegacy · 1 month
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⚠️ CW : pensée colonialiste ⚠️
Printemps 1924, Hylewood, Canada (5/14)
Jules a ce quelque chose d’impressionnant qui fait que personne n’ose lui faire des reproches, ou s’opposer à lui d’aucune manière. Il n’est pas violent, il ne l’a jamais été, ni avec moi ni avec les enfants. Il a cette force d’esprit qui fait que les gens l’admirent, parce qu’il faut de la force d’esprit pour résister à des ours du Pôle Nord, faire la guerre et en revenir, et survivre dans le désert. Mais cette même force d’esprit qui est sa plus grande qualité, c’est également ce qui le rend inaccessible à la discussion. On ne négocie pas avec Jules LeBris. Il peut être très brute dans sa manière de parler (je suppose que c’est nécessaire quand on fréquente des hommes qui ont des modes de vie claniques, qui ne respectent que la loi du plus fort), et je sais qu’il veut ce qu’il y a de mieux pour nos enfants, mais je ne suis pas sûre que la manière dont il s’y prend est la meilleure… Il a bien conscience que son mode de vie n’est pas tenable pour nos enfants, et je ne crois pas qu’il souhaite que nos fils deviennent comme lui. Il aimerait en faire des Auguste Le Bris : des self-made mans forcenés de travail, qui ont tout appris par la pratique. Mais le monde change… Le monde d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celui de l’enfance de son père, et il le saurait, s’il avait été là ces trente dernières années…
[Transcription] Jules LeBris : Tu fais tes devoirs ? Agathon LeBris : Non, je suis en train de faire des arrangements sur une partition. J’ai pu me procurer Rhapsody In Blue de Monsieur Gerswhin, et… Jules LeBris : Tu n’as pas autre chose à faire ? Il serait peut-être temps que tu commences à réfléchir sérieusement à ton avenir. C’est bien joli, la musique, mais ce n’est pas ça qui va te nourrir. Jules LeBris : Tes sœurs vont partir quand elles se marieront. Lucien va hériter de la maison. Toi, par contre, quand tu deviendras adulte, tu seras démuni si tu n’as pas un vrai métier. Jules LeBris : Tu ne vas pas pouvoir rester un parasite qui vit aux crochets de son frère. Concentre ton énergie sur quelque chose de plus sérieux. Tu n’as pas l’expérience de la vraie vie, tu ne te rends pas compte, mais le monde est rude en dehors de cette île. Je dis ça pour ton bien, Agathon. Agathon LeBris : … Oui, Papa.
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selidren · 21 days
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
4/10
Vous vivez sur une petite île. Moi je vis dans un petit village. Alors je pense que vous comprenez que c'est difficile de rencontrer grand monde de l'extérieur. Moi, je ne sors pas beaucoup. J'ai du travail et des responsabilités. Alors quand j'ai rencontré Jean, je pensais que c'était inespéré. Il était engagé comme saisonnier à l'automne dernier pour les vendanges, et comme il travaille bien, j'ai convaincu mon oncle Adelphe que ce serait une bonne idée de l'engager comme ouvrier à part entière. Nous nous voyons en cachette, avec la complicité de mes soeurs. Mon frère était au courant aussi bien sur, car il n'y a personne d'autre à qui je fasse plus confiance. Il se peut aussi que j'en ai touché un mot à mon cousin Ange, qui porte plutôt bien son prénom.
Antoine et Ange passent une grande partie de leur temps à Paris, et il s'y rencontrent parfois. Mon frère est étudiant et mon cousin est un hédoniste qui fréquente des salles de bal d'un genre qui ferait dresser les cheveux de ma grand-mère sur sa tête. Il m'écrit assez souvent ce qui se passe dans ses soirées, et je suis aussi fascinée qu'intimidée par les audaces qu'il se permet. Avez-vous entendu parler du Corydon de Gide ? Disons que Ange est de ceux dont parlent ces essais. Il a tant fait scandale qu'on vient juste de le publier. J'ai l'air d'une écolière maladroite quand j'écris ces lignes plutôt que d'aller à l'essentiel. Je me suis idiote, mais on ne sait jamais, des fois que Maman, ou pire Grand-Mère, lise par dessus mon épaule, mieux vaut que j'écrive en tournant autour du pot.
Transcription :
Jean « On discute pas mal avec les gars. Il y en a du village, mais aussi d’autres qui viennent des alentours comme moi. Et on se raconte des histoires, des anecdotes. Les locaux aiment bien bomber le torse en racontant les histoires du cru, les personnages locaux hauts en couleur, les grands événements qu’ils ont connu ou qu’ils tiennent de leurs parents. Ta famille est partout là-dedans. Rien que ta grand-mère... »
Arsinoé « Oh non pitié, je l’ai bien assez sur le dos pour que toi, plus que les autres finisse par m’en parler ! »
Jean « Oui je sais mais… Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut pas échapper à ta famille, elle est partout ici. »
Arsinoé « Oui, j’avais compris. Alors dis-moi ce que tu veux que je fasse. »
Jean « Pardon ? »
Arsinoé « Je n’aime pas te voir aussi mal à l’aise. On se voit déjà si peux, et c’est dommage que l’on gâche tout. Déjà, je pense qu’on devrait arrêter de se cacher. Viens avec moi tout à l’heure et je te présenterai mes parents. Oncle Adelphe fera peut-être les gros yeux, mais il ne dira rien. »
Jean « Tu plaisante ? La vieille… enfin ta grand-mère, me fait mille fois plus peur !  Tout le monde sait qu’elle a des plans pour sa petite-fille adorée. »
Arsinoé « Bon sang. Pourquoi suis-je toujours la dernière mise au courant ?"
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iranondeaira · 4 months
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Les yeux bleus de Pandora ont été allumés par le sourire de Corto.
- D ' où venez-vous, Corto ?
De toutes les mers du monde...
- Je voulais dire... où êtes-vous né.
- Je sais, Pandora, je sais ce que tu voulais dire, mais je pense que ça n'a pas beaucoup d'importance... Quoi qu'il en soit, je vais te dire que je suis né sur une petite île méditerranée, une île qui est loin d'ici et s'appelle Malte. Je suis né là par hasard, ma mère était une gitane de Gibraltar et mon père, un marin anglais venant de Tintagel, à Cornouailles.
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quemajoiedemeure · 1 year
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Je suis seul dans une maison à la campagne depuis trois jours, je mange des courgettes et des tomates qui ont poussé dans le jardin j'ai l'impression de vivre en auto suffisance sur une île déserte (j'ai hâte de rentrer pour ne faire absolument rien, comme ici, mais chez moi)
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carraways-son · 2 months
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Jeudi
Journée floue, puis soirée sous une lune poursuivie d'oiseaux. Un rien d'incertitude me fait encore tanguer, même s'il semble que mes amours pourront bien se lancer après-demain dans leur interminable voyage depuis Kyôto jusqu’ici, via Osaka, Singapour et Munich. Je suis frappé de constater que chaque déplacement est systématiquement menacé, chaque projet contrarié jusqu'à la dernière minute. C'est épuisant. Je les attends, à cœur ouvert, et trompe mon impatience en listant des expositions à voir, des monuments à visiter, des livres, musiques ou films à découvrir ensemble… jusqu’à l’instant où s’impose à nouveau ce constat lumineux de Michel Houellebecq (in « La Tentation d’une île ») : Mais qui songe encore à l’art quand le bonheur est possible ?
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empiredesimparte · 1 year
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Napoléon V: Funny, they've even installed a throne room for me here! Charlotte (teasing): You'll have to leave your duties for two weeks, Your Majesty
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Charlotte: It's just you and me Napoléon V: I'll try to remember that : "We're alone, just the two of us, without the butler and …"
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Charlotte: Louis… Napoléon V: Sorry, I'll shut up Charlotte: Come here
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Charlotte: I have a surprise for you Napoléon V: Tell me Charlotte: Let's settle down first, I'm dead tired
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Napoléon V: Do you need anything else? Charlotte: No, it's perfect, I've got everything I need
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Napoléon V: So, what's this all about? Charlotte: Louis… It's a bit abrupt but… I'm expecting our child
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Napoléon V: That's wonderful, darling Charlotte (relieved): I'm so happy Napoléon V: Me too. Are you sure you're not apprehensive? What did the doctor say? Who did you tell? Charlotte: Louis, I've been discreet, don't worry Napoléon V: I'm simply curious, sorry
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Napoléon V (mischievous): Let's hope no one tries to understand the chronology of events Charlotte: I think many will understand, but it'll be too late to argue, darling Napoléon V: You're right. It's not important
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⚜ Le Cabinet Noir | Honeymoon at Bora-Bora, 1 Messidor An 230
Beginning ▬ Previous ▬ Next
The young couple arrived in the evening at their honeymoon destination, Bora-Bora in French Polynesia. The Emperor had reserved a small island and his villa to impress his young wife. After a meal with a chef, Napoléon V and Charlotte rested alone for the first time since Compiègne. Charlotte took advantage of the calm to tell her husband that she was pregnant.
⚜ Traduction française
Le jeune couple est arrivé au soir à sa destination de lune de miel, Bora-Bora en Polynésie française. L'Empereur a réservé une petite île et sa villa pour impressionner sa jeune épouse. Après un repas auprès d'un chef restaurateur, Napoléon V et Charlotte se reposent pour la première fois seuls depuis Compiègne. Charlotte profite de ce calme pour annoncer à Napoléon V qu'elle est enceinte.
Napoléon V : C'est drôle, ils m'ont même installé une salle du trône! Charlotte (taquine) : Il va falloir délaisser vos fonctions pendant deux semaines, Votre Majesté.
Charlotte : Nous ne sommes qu'entre nous Napoléon V : Je vais tâcher de m'en souvenir. Nous sommes seuls, tout les deux, sans le majordome et nos domestiques, ni...
Charlotte : Louis... Napoléon V : Désolé, je me tais Charlotte : Viens là
Charlotte : J'ai une surprise pour toi Napoléon V : Dis moi tout Charlotte : Installons nous d'abord, je suis morte de fatigue
Napoléon V : Te faut-il autre chose? Charlotte : Non c'est parfait, j'ai tout ce qu'il me faut
Napoléon V : Alors, de quoi s'agit-il ? Charlotte : Louis... C'est un peu abrupt mais... J'attends notre enfant
Napoléon V : C'est merveilleux, chérie Charlotte : Je suis si heureuse Napoléon V : Moi aussi Napoléon V : Tu es sûre que tu n'appréhendes pas ? Qu'a dit le docteur ? A qui en as-tu parlé ? Charlotte : Louis, dois-je subir un interrogatoire ? J'ai été discrète, ne t'en fais pas Napoléon V : Je suis simplement trop curieux, désolé
Napoléon V : J'espère que personne ne se doutera de rien Charlotte : A mon avis nombreux comprendront, mais trop tard pour être un débat, chéri Napoléon V : Tu as raison. Ce n'est pas important
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kiuntisss · 8 months
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Ce week-end je suis allée à la MAILLERIE ( à Villeneuve d’asq ) pour le playground market avec mon ami James (jamesb_art sur insta, allez le suivre). C’était trop cool ! On a évidemment acheté des truc (dont du pâté). Mais question art, j’ai acheté 2 illustrations :
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La première, celle de Roubaix comme île volante, a été réalisé par art_chitecture_leriche (toujours sur insta). Outre le fait que j’habite Roubaix (et c’est super cool comme ville faut pas croire) le détail de l’illu m’a envoûté. Partout où l’on pose les yeux il y a quelque chose à voir ! C’est aussi le cas de la deuxième illustration. Et je dois dire que le côté steampunk / the mortal engines m’a aussi fait craquer…
La deuxième illustration a été réalisé part mygrilabd (insta toujours). C’est une étudiante de l’académie brassard Delcourt, une école de bd ! J’ai trouvé son talent impressionnant ! Cette illu est numérique, mais il y avait aussi l’original à l’encre de Chine qui était incroyable !
Bref j’étais ravie d’aller à la maillerie, qui plus est en bonne compagnie :)
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mmepastel · 10 days
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J’ai fini hier le dernier roman d’Alice Zeniter, et le premier que je lis d’elle. Oui, c’est incompréhensible mais je n’ai toujours pas lu L’art de perdre.
En revanche, j’avais été éblouie par son spectacle Je suis une fille sans histoire, écrit et joué par elle-même.
Pour synthétiser grossièrement, on pourrait dire qu’Alice Zeniter est une femme extraordinairement intelligente, un peu comme Zadie Smith à mes yeux. Où qu’elle soit, où qu’elle regarde, elle apporte un éclairage inhabituel, très personnel et lumineux. C’est presque intimidant.
Là, j’ai été très contente de la lire sur le sujet de la Nouvelle-Calédonie car je savais à peine où ça se trouvait et méconnaissais totalement l’histoire de ce territoire outre-mer ; elle s’amuse d’ailleurs au début de cette ignorance plus ou moins généralisée des métropolitains sur cette île si lointaine à laquelle on peine à rattacher une figure célèbre, une géographie… malgré les remous assez actuels.
Mais Alice Zeniter c’est une bosseuse, et le récit des origines, ça la passionne. Alors elle s’est largement documentée, et elle y est allée. Sur le Caillou.
Elle en revient avec ce récit assez copieux et foisonnant, qui dès le titre, annonce vouloir secouer le lyrisme habituel de la conquête des territoires ; en effet, on a du mal à trouver les vrais héros de cette histoire de colonisation, puisqu’au fond, il s’agit bien de cela.
En la lisant, j’ai appris une foule de choses. J’ai pleinement mesuré le racisme auquel les Kanaks ont été confrontés, auquel sans doute ils doivent toujours être renvoyés ; l’idée de l’autrice c’est en effet, que même auprès des bagnards d’ailleurs, eux-mêmes colonisés (par exemple les algériens envoyés là-bas plutôt qu’en Guyane où l’on meurt trop vite), ils ont subi du rejet, comme s’ils étaient la lie de l’humanité… terrible…
Mais, malgré les coups audacieux du récit, les surprises et les inventions de l’autrice, j’ai trouvé que le roman se faisait un peu « manger » par la dimension historique et politique. J’ai eu un peu de peine à me passionner pour Tass, le personnage a priori principal. Je pense que la part politique et historique l’emportent, un peu sur le dos du romanesque, voire même du style. Un peu comme si elle était partie dans tous les sens, un peu comme si son esprit brillant et fourmillant d’idées (et de visions) avait eu du mal à tout « digérer » à travers la fiction en quelque sorte. Je ne sais pas si je suis très claire, ni très juste. C’est une impression. J’ai été décontenancée, au fond, ce qui n’est jamais mauvais en soi… mais je crois que j’aurais voulu plus ressentir les choses plutôt que de les comprendre. Oui. Ça c’est assez proche de mon ressenti. Bref, je continue d’être éblouie par son esprit, sa vivacité, son culot, j’ai une immense estime pour ce qui jaillit de son cerveau, mais je ne crois pas que c’est un livre qui ait éveillé beaucoup de sentiments en moi. Un peu comme le dernier Zadie Smith. CQFD.
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