Chapitre 7, partie 1 : Hoc signo vinces, dans lequel Anna flippe devant un symbole celtique (apparemment ?)
Partie 1.
(Je sais même pas pourquoi j'ai découpé en 2 parties au lieu de juste faire 2 chapitres. Et je sais même pas si le latin est juste.)
Une silhouette sombre traversa la nuit et se dirigea sur la pointe des pieds vers les escaliers, qu'elle monta avec l'élégance froide de la détermination. Elle gravit les marches menant à la tour des Serdaigle. L'aigle gardant le passage vers la salle commune et les dortoirs de cette maison somnolait, sa tête en pierre cachée sous son aile également en pierre. Sentant l'approche de la silhouette, qui était celle d'une jeune fille, il s'éveilla tout à fait et se redressa, prêt à demander le mot de passe et, tant qu'il y était, la raison de ce retour si tardif à la salle commune. Une main s'abattit délicatement sur son cou, qui se détacha soudainement de son corps. (Euuuuuuh elle l'effleure et ça tombe, ou c'est genre un effet de style ?) Sans bruit, la tête de l'aigle en pierre tomba au sol dans un feulement. Le mur pivota, et une porte apparut.
29 septembre 2022, 5 heures 28, dortoir des Serdaigle, PDV externe.
- Alors, Molenski ! Après toutes ces années, tu devrais savoir qu'il ne vaut mieux pas me faire attendre... Non ?
- N-non, mon Maître.
- Je ne me répèterais donc pas deux fois. Avez-vous la fille, Molenski ?
- La-la-la-laquelle ? questionna le disciple, tremblant de tous ses membres devant son Seigneur.
- LA SECONDE, BOUGRE D'IDIOT ! LA SECONDE ! (Comment il est censé savoir ? Wesh)
- Eh... Eh bien, mon Maître, disons que nous y... nous y travaillons.
- VOUS Y TRAVAILLEZ ?! Sans cette petite sotte, sottement nommée et tout aussi sottement douée, je ne peux rien ! (OK là on sait tous de qui il s'agit)
- Ce... Je... Nous sommes...
- "Nous" ?
Le Seigneur eut un petit rire cruel. (Le putain de cliché).
- Mais qui ça, "nous" ?
- G-Grace Ruewen, enfin Underwood, avec qui vous...
- Mais Grace Underwood n'a absolument rien à se reprocher. Elle a été parfaite. Par-faite. Et vous, Ignace Fulgor Molenski, (LE NOM NUL) quand donc allez-vous cesser cette double-vie ridicule, et renier votre vie de sale Sang-de-Bourbe ? (Hein ? Il est Né-Moldu ? Mais il fout quoi alors ?)
- C'est que j-je... Mon fils...
- Ta famille est ici. Ton fils nous rejoindra un jour ou l'autre, malgré son sang impur. (MAIS POURQUOI ??? FAUT SAVOIR, T'ES PURISTE OU PAS ???)
- Ou... i, il sera ravi de servir le nouveau Seigneur des Ténèbres, messager de... du...
L'homme avait visiblement oublié la suite, et baissa les yeux, le coeur battant, attendant une sanction. (MDR self-conscious bullshit)
- Le Seigneur Noir, Molenski. Le monde sorcier me connaîtra bientôt sous le nom du Seigneur Noir... (Il est trop gênant. Trop gênant. C'est ridicule.)
Le nez d'Aurélie heurta violemment le sol alors que la jeune fille tombait de son lit. Le sang commença à couler. Encore endormie, la Serdaigle tapota la table de nuit dans le noir à la recherche de sa baguette magique, qu'elle pointa à l'aveuglette vers son nez. (Genre elle s'est cassé le nez en tombant de son lit ?? quelle fragile)
- Episkey, murmura-t-elle, et la douleur et le saignement stoppèrent.
Lorsque ses yeux s'habituèrent à la lumière, elle put voir un billet, écrit sur un morceau de parchemin scolaire, et marqué de quelques mots dans une écriture pressée et serrée, aux lettres majestueuses.
Per inania regna.
Dans le royaume des ombres. (Euh tu parles latin Aurélie ??? Première nouvelle)
29 septembre 2022, 5 heures 32, dortoir des Gryffondor PDV externe.
Accoudé à la fenêtre, Oliver Ruewen observait les jeux de la brume autour des arbres lointains de la Forêt Interdite. (Mais faut dormir monsieur) Son souffle saccadé formait un écrin de vapeur sur la fenêtre, alors qu'il pressait dans sa main le parchemin qu'il avait aperçu au pied de son lit alors que, quelques instants plus tôt, rien ne s'y trouvait. Il ne dormait plus. (Pauvre choupinou) Il aurait aperçu, senti toute présence. Mais rien. Pourtant, quelqu'un était bien entré. Ce parchemin froissé par la pression de ses mains en était la preuve. Quelques mots écrits à la hâte, d'une écriture serrée et majestueuse :
Si vis pacem, para bellum.
Si tu veux la paix, prépare la guerre. (Hmmmmmmm ok ?)
29 septembre 2022, 9 heures 14, Grande Salle, PDV externe.
- Happy birthday to you ! Happy birthdau to you ! Happy birthday to you, Poema ! Happy birthday to you ! (Foutre de l'anglais alors qu'elles sont anglaises, bref.)
Alice, Amy, Diana, Estelle, Minna, et Aurélie se mirent à applaudir joyeusement. Exceptionnellement, les trois premières avaient enfreint le règlement pour venir s'asseoir à la table des Poufsouffle le temps de donner ses cadeaux à leur amie (Y'a vraiment un truc dans le canon qui indique que c'est interdit de se mélanger ? Si oui, c'est débile), qui fêtait ses dix-sept ans. C'était la deuxième de la bande à les avoir, après Estelle, née le 5 septembre. (J'avais toujours pas compris que, si tu ENTRES à Poudlard en ayant déjà 11 ans, tu as les 17 ans au cours de ta sixième année, et quand tu entres en septième année, tu les as déjà. Elles ont 18 ans là.)
- Mon cadeau en premier, décida Minna en lui tendant un petit paquet.
Il s'agissait d'un collier en or marqué du prénom de Poema. (EN OR ??? LA PUTAIN DE RICHE) Alice offrit à son amie une brosse magique qui pouvait boucler, lisser ou colorer les cheveux à la demande (orale) (trop bien), Amy un livre sur la baguettologie, Diana un oreiller avec une photo animée dessus, représentant les sept filles en train de rire et de se taquiner. Estelle lui fit cadeau d'un calendrier qui s'adaptait aux changements de dates - ainsi, plus besoin de le changer chaque année. (TROP BONNE IDEE PUTAIN J'ETAIS SI CREATIVE) Quant à Aurélie, elle offrit à Poema un coucou magique qui chantait des opéras. (Aurélie t'es nulle, t'es censée être sa meilleure amie mais tu lui files le pire cadeau.)
(Elle a trop d'ami.es, Poema.)
- Tu vas pouvoir faire usage de la magie comme tu en auras envie, maintenant ! soupira d'envie Aurélie.
- Ce sera plus pratique pour aider mon grand-père à la boutique de baguettes magiques ! s'enthousiasma Poema, ravie de tous ses cadeaux.
- Tu comptes reprendre la boutique quand tu auras passé tes ASPICs ? demanda Minna. (Ouais, genre, t'as pas d'autre projet d'avenir ??)
- Je crois, oui ! confirma la jeune Ollivander, un sourire aux lèvres.
2 octobre 2022, 13 heures 58, Grande Salle, PDV externe.
Aurélie était fière d'elle. Son premier cours de transplanage se déroulait, bah, comme sur des roulettes. Elle n'avait pas cogné Ruewen (qui parvenait déjà à transplaner entre des distances ahurissantes) (LA VIOLENCEEEEE), et ne s'était même pas désartibulée. Bon, elle n'avait pas transplané, mais ce n'était pas grave, et puis de toute façon, cela ne l'étonnait pas tant que ça. (OK, bien joué, je trouve ce passage drôle)
Elle ferma les yeux et se concentra à fond. Alors que son corps commençait petit à petit à s'effacer, Oliver Ruewen l'interpella :
- Alors Becker, on rame ?
Une douleur lancinante lui déchira aussitôt tout le corps, alors que, à cause de sa déconcentration soudaine, son bras seul transplana. (OMG JE M'Y ATTENDAIS PAS)
Elle sombra dans l'inconscience. (Trop tôt, j'aurais aimé l'entendre hurler un peu, Oliver paniquer, la soutenir...)
2 octobre 2022, 13 heures 58, Toilettes des garçons du troisième étage, PDV Karl Parrish.
Ce n'était pas moi. Je vous le jure. C'était Andy, mon frère jumeau, qui avait posé cette question à Oliver. Je lui avais pourtant jeté le regard spécial. Celui de "tu viens de dire ou de faire une grosse connerie, fais une blague ou excuse-toi très rapidement afin de te rattraper". Mais il ne m'avait pas vu, et voilà.
- Tu viens d'enterrer ta mère ou quoi ? Détends-toi un peu, tu vas finir par avoir des rides à trente ans... Ou même à dix-sept !
Depuis ce matin, notre ami affiche en effet une tête d'enterrement. Je veux dire, pire que d'habitude. Il ne l'avouerai pour rien au monde, mais je suis certain qu'il s'en veut d'avoir précipité Aurélie Becker à l'infirmerie. Bon, elle appelle Pomfresh par son prénom depuis le temps, mais bon.
Un sacré numéro, Becker. Mais Oliver aussi dans son genre. Voilà qu'il nous boude. Un sacré gamin.
- Bon, Oliver, Andy est désolé, c'est bon, ouvre, on n'a jamais réussi les Alomora, nous ! Et puis s'enfermer dans les chiottes ! Franchement !
Un silence. Mon frère et moi échangeons un regard. Puis un cliquetis se fait entendre, et la porte s'ouvre. Oliver nous lance un regard noir, puis soupire.
- Alohomora, bande de Scroutts, vous savez, le sortilège qu'on apprend en première année. (Popopooo) Et vous savez faire un Patronus... C'est vraiment à n'y rien comprendre.
- Bah... En fait, on a réussi une fois à faire un Patronus, c'était en cours de DCFM en cinquième année... précisai-je. C'est quoi, déjà, le tien ?
- Je ne sais plus, avoua mon jumeau.
- Pareil.
- Un scorpion, Karl, et une araignée pour toi Andy. Sinon, votre deuxième prénom est Hunter et vos baguettes respectives sont en... Demandez à l'autre perruche de Poufsouffle.
- Campbell ?
- Ollivander, débile ! (Ils sont tous trop cons.)
Il rit un peu, et passa sa main dans ses cheveux (tic nerveux). (VOUS AVEZ COMPRIS ??? OLIVER SE PASSE SOUVENT LA MAIN DANS LES CHEVEUX CAR C'EST UN TIC NERVEUX ET C'EST CHARMANT 😊 !)
- Bon, on devrait peut-être passer à l'infirmerie, proposa Andy en mettant les mains dans ses poches.
- Pourquoi ? interroge Oliver, l'air ahuri.
- Bah, pour voir Aurélie.
- Aurélie ? AH, Becker vous voulez dire ! (Gênant) Allez-y, mais moi, je ne m'abaisserais pas à son niveau ! (Mec c'est à cause de toi qu'elle est à l'infirmerie, quel connard putain !)
- Quel niveau ? Celui du minimum d'empathie pour quelqu'un qui a perdu un bras à cause de toi ? m'écriai-je. (Mais t'as raison Karl, je te stan)
Oliver nous regarda, hébété. J'attrapai mon frère par le coude et le tire vers moi.
- Si tu ne demandes pas UNE SEULE FOIS de ses nouvelles, tu ne la mérites même pas comme ennemie, ta Becker !
- Hey, ça veut dire quoi, ça ?! Ce n'est pas "ma" Becker ! Et... Mais... J'ai dit quoi, là ?! Pourquoi m'agresses-tu ? (Ben parce que t'es un connard !!)
Je ne comprenais pas sa haine pour Aurélie Becker. C'est vrai, quoi, c'était une fille drôle, intelligente, aussi chiante que lui. (ENFIN quelqu'un parle de façon sensée ! Merci, Karl !!) De plus, toute cette histoire nous avait mis en retard pour le cours de Défense Contre les Forces du Mal. Ou alors pour celui de potions ? Oliver déteste que l'on arrive en retard à un cours, détestait (concordance des temps who ?) ne pas avoir vingt sur vingt, déteste qu'on ne fasse pas deux interros sur chaque chapitre, déteste le bruit alors qu'il apprenait ses leçons, détestait ne pas réussir une sortilège (heureusement, cela ne lui arrive que très rarement), déteste qu'on le qualifie d'ennuyeux (euh...), déteste le chahut en cours ("chut ! chut ! J'essaie d'écouter"), déteste quand quelqu'un ne fait pas l'inversion sujet-verbe quand il pose une question (mdr là j'avoue il va loin), déteste TELLEMENT de choses qu'il est assurément très difficile de toutes les énumérer. Il n'avait honnêtement pas besoin de s'encombrer d'une énième source de haine, à moins qu'il ne soit réellement masochiste. (Accurate description. He's annoying as fuck.)
Je crois que mon frère et moi ne comprenons pas ce qui se trame dans le monde magique en cet instant, peut-être à cause (grâce à ?) nos origines moldues, mais aussi parce que nous n'avons jamais connu la peur, le regret, la mort, la tristesse. (VOS CAMARADES NON PLUS !!! ILS SONT TOUS NES EN 2003-2004 !!! VOLDEMORT ÉTAIT MORT DEPUIS 5-6 ANS !) Notre vie est somme toute assez banale : nous sommes nés, de parents normaux (un peu excentriques, ceci expliquant cela), dans un hôpital moldu normal... Ensuite, nous avons reçu une lettre anormale, nous entraînant dans un monde extraordinaire paraissant presque insondable, dans lequel nous devions nous battre pour nous y faire une place et prouver notre valeur, alors que le dernier des idiots est placé sur un piédestal car son sang est, attention, "pur". Waouuuuh. (Mais encore une fois, ça m'énerve le peu de worldbuilding. Au pire j'aurais pu modifier leurs dates de naissance et les placer pendant la 2ème guerre ? Ou juste... plus proche de sa fin ? Parce que 25 ans plus tard, qu'il n'y ait aucune évolution, bon. Je suis plus optimiste que ça.)
Je jette un dernier regard à Oliver, qui rassemble ses affaires de cours, alors qu'Andy et moi partons sans l'attendre (oui, nous sommes d'immondes personnes). (ça me fait rire) Il me tuerait s'il m'entendait dire ça, mais Becker et lui se ressemblent bien plus qu'ils ne le pensent. (D'accord mais d'où toi tu connais bien Aurélie ??)
2 octobre 2022, 13 heures 58, Couloirs de Poudlard, PDV externe.
Oliver dut ranger ses affaires à une vitesse incroyablement lente pour se faire distancer par ses amis jumeaux. Lorsqu'il fut sûr que ceux-ci étaient partis en DCFM, il empoigna son sac et prit la direction de l'infirmerie. Il ne savait pas pourquoi, peut-être voulait-il prouver à lui-même qu'il n'était pas le monstre d'égoïsme que lui avait décrit Karl - en tout cas, lui l'avait ressenti comme ça. Pour lui, l'égoïsme était un terrible défaut, celui que sa mère lui avait transmis. Grace lui disait, enfant, que chacun avait un défaut fatal. (COUCOU PERCY JACKSON) Même les plus grands héros comme Harry Potter. Tout comme chaque "méchant" (pour parler simplement) avait une qualité. Même un semblant de qualité. Ce qui était sûr, c'est qu'aucun n'était empathique. Ni même généreux. Oliver esquissa un sourire sombre à cette idée. Il imaginait peu Deathly Hallow faire des dons à des associations contre la famine. (Personne l'a jamais vu donc... si ça se trouve...)
Le Gryffondor descendit les escaliers en courant (il ne voulait pas arriver démesurément en retard à son cours de DCFM). Soudain, ceux-ci se mirent à s'agiter et Oliver dévala les marches... sur les fesses. Sonné, il se releva et continua de courir, plus lentement cette fois. Il fut stoppé net par une voix moqueuse provenant du haut de l'escalier.
- Alors Ruewen, on court après quoi ? Le courage ? Ha ha ! (Ha ha... shut the fuck up)
Le concerné fit volte-face, très surpris. Aurélie Becker se tenait en haut des marches, dans une position qui aurait pu être qualifiée de tout sauf de royale. (Pourquoi est-ce-qu'il y aurait besoin de la qualifier de royale ?) Appuyée nonchalemment sur la rampe horizontale, la jeune Serdaigle sirotait un jus de pomme, simplement habillée de vêtements moldus, jean et T-shirt dans des tons de bleu-vert. (SHE'S NOT LIKE OTHER GIRLS) Oliver contre-attaqua :
- Qu'as-tu fait de ton uniforme ?
Aurélie haussa les épaules, pointa sa baguette sur sa brique de jus de pomme, à présent manifestement vide, et prononça la formule du Sortilège de Disparition. (MAIS ELLE POLLUE LA CONNASSE)
- Evanesco.
La brique disparut, et la jeune fille tâta le vide du bout des doigts. Sa main rencontra une surface dure ; la brique n'avait pas totalement disparu. Aurélie rejeta le sort, sans plus de résultat. Oliver roula des yeux et aperçut une poubelle, non loin de la Serdaigle, qui avait suivi son regard.
- J'avais la flemme, dit-elle en haussant les épaules.
- La flemme de faire trois pas pour jeter ton truc ? C'est toi que j'aimerais faire disparaître, affirma Oliver. (LA VIOLENCE)
Il gravit les marches et jeta le sort, qui fonctionna. Aurélie applaudit ironiquement.
- Une nouvelle prestation de magie réussie pour le petit génie ! le félicita-t-elle ironiquement avec sa voix de commentatrice.
- C'est clair qu'à part te moquer, tu ne peux pas faire grand-chose de tes dix doigts, convint Ruewen.
Ses parents (JE... JE... RELIS-TOI ?????) glissèrent sur Aurélie, contrairement à d'habitude. Oliver, curieux, posa la question qui lui brûlait les lèvres :
- Qu'est-ce-qu'il t'ont fait, à l'infirmerie ? T'avais perdu en bras pas plus tard que ce matin. (ca s'appelle la magie, c'est un concept un peu dingue, attends je vais t'expliquer.)
Aurélie lui adressa un geste grossieur, un sourire narquois aux lèvres. (Un geste grossieur lol)
- Apparemment, tes doigts vont bien, eux.
- A merveille. Dis donc, petit génie, on te surestime, hein. Tu n'as pas lu les dizaines de livres de milliers de pages parlant des Phénix, à la bibliothèque ?
- Oh, vraiment ? Tu connais donc ce mot ?
Aurélie leva le doigt, qu'Oliver empoigna. MAIS TU FAIS QUOI LÀ, MEC ???? Ohlala je le reconnais pas du tout, c'est pas mon personnage ça.
- Lâche-moi immédiatement, ordonna la jeune fille en se raidissant.
Il ne se le fit pas dire deux fois. Aurélie regarda sa main d'un air dégoûté, secoua la tête et se l'essuya à son tee-shirt. (Quelle gamine)
- Les larmes du Phénix, Ruewen, les larmes du Phénix. Franchement, tu me déçois, je te pensais plus cultivé - c'est tout ce qu'il te reste. (Hein ? Genre si elle était pas Née-Animagus Phénix elle aurait perdu son bras ? Ca n'a pas de sens, c'est pas grâce à elle, c'est grâce à l'infirmière hein !)
- En gros, tu t'es chialé dessus. Je le savais, que tu pouvais pleurer sur commande.
- Idiot ! l'insulta Aurélie en se mettant à descendre l'escalier. Bien sûr que oui ! Ce n'est pas un secret.
- Super. Et tu peux faire quoi d'autre encore ? demanda Oliver, presque curieux.
- Va te faire.
- D'accord, c'est où ? (Mais putain... les dialogues de CP...)
- Dans ta salle commune, enseveli sous des piles de livres, à draguer Cheyenne White, rétorqua Aurélie, amusée. Ah, Gryffondor. La maison des nobles héros. (Mais quoi... mais d'où... mais d'où il drague qui que ce soit... ? Et je... C'est amené comme ça sans aucune scène commune à Oliver et Cheyenne... C'est juste nul et ça montre qu'il traite les femmes comme des objets... non... #NotMyOliver)
Oliver ignora la pique à grand-peine.
- Toujours pas en cours ?
- Oh, ça va ! J'y allais !
- T'y allais en traînassant dans les couloirs en buvant du jus de pomme ? (hey daddy)
- PARFAITEMENT ! s'enflamma Aurélie. Je ne sais vraiment pas ce qui me retient de te jeter un sort !
- Sûrement pas ton bon coeur ! Bon, pousse-toi, contrairement à une certaine personne, appuya Oliver avec une pointe d'énervement dans la voix, je ne sèche pas les cours, MOI. (Mais il est insupportable... Putain t'étais censé lui rendre visite, sur ta propre initiative, parce que tu l'as ENVOYEE A L'INFIRMERIE et tu l'agresses ?? Salopard. #NotMyOliver)
- Hey, ça veut dire quoi, ça ?! Tu te fous de moi ? Et l'autre jour, tu faisais quoi, tu étais en cours peut-être ? Non, tu étais en train de pleurer ta maman, misérablement assis par terre près de la salle de potions ! Quel dommage que je n'aie pas pris mon appareil photo, regretta la jeune fille en croisant les bras, ramassant son sac à dos. (Mais ils sont tous les deux méchants... sans raison... sur le moment ils ont de bonnes intentions mais ensuite ils s'insultent comme une seconde nature... En vrai, c'est fait exprès, c'était la 1ère version d'Auréliver : une haine pas vraiment justifiée, deux persos immatures émotionnellement, qui apprennent à être matures ensemble. Et y'a encore de ça dans la version 2, mais la haine est justifiée, par des personnalités incompatibles, qui deviennent compatibles avec le temps.)
Cette allusion fit monter la colère en Oliver, qui dut se contenir pour ne pas la provoquer en duel. (Vas-y, ce sera sans doute plus intéressant à lire et à écrire que vos joutes verbales d'enfants de 5 ans.) Il la fusilla du regard, remonta son sac sur l'autre épaule et partit dans la direction de la salle de Défense Contre les Forces du Mal. Il vit que Becker le suivait, et se rappela (en maudissant toutes les forces de l'Univers et de l'Emploi du Temps Maléfique) qu'il avait à présent deux cours de suite avec les Serdaigle. Il soupira. Il était en retard. (Ben oui, imbécile.)
~
Le cours de Défense Contre les Forces du Mal portait sur les Epouventards. (AVEC UN A !! EPOUVANTARDS PUTAIN ! Comme l'épouvante !)
- Mais, monsieur, avait fait remarquer Lilas Ames dans toute sa splendeur de fayote indiscrète, c'est un cours pour les cinquième année !
- Erreur, Miss Ames, la contredit le professeur Card en rajustant le col de sa chemise. C'est bel et bien un cours de septième année, qu'en général les professeurs enseignent en cinquième ou sixième année. Mais cela reste de votre niveau. (SOUS-ENTENDU VOUS ÊTES NULS) Je me trompe ?
- Je... Non, professeur, dit Lilas avec une mine piteuse qui amusa Aurélie, encore plus lorsque Josh Card invita la jeune brune à se lever et à combattre le premier Epouvantard. (Ah, là je l'ai écrit juste !)
(Tout pour le plot.)
Aurélie s'interrogea sur la forme du sien. La plus grande peur de Lilas se révélait être... Ne pas avoir que des Optimaux à ses ASPICS. (Coucou Hermione) Cela n'apprenait rien de plus à la jeune fille, mais cela la divertissait. Evidemment, son ennemie de Serdaigle réussit le sortilège, métamorphosant sa lettre mentionnant ses résultats aux ASPICS en pluie de fleurs. Le professeur Card ajouta dix points à Serdaigle, puis se retourna vers Alice, assise aux côtés de Diana.
- Miss Dumbledore ? interrogea-t-il. A vous.
- Euh...
La peur d'Alice restait floue pour Aurélie, qui ne la décoda que grâce aux effluves d'émotions qui lui parvenaient. Alice craignait pour la vie de ses parents adoptifs, Moldus. Il y avait de cela deux ans, son véritable père, Alexis Dumbledore, avait fait une chose abominable. Les parents adoptifs d'Alice avaient perdu la mémoire à cause de lui, et il avait obtenu la garde exclusive de sa fille biologique, qu'il avait effacé des souvenirs de John et Lena Stewart. (Le problème, c'est que j'ai intégré tous les personnages avec leurs histoires très riches et chargées dans un univers où il y a déjà un gros plot – enfin, apparemment. Donc ça marche pas. Je peux pas juste balancer une énormité comme ça en mode « ouais c'est ça le background d'Alice, ce personnage secondaire inutile. » Aurélie, attristée, ne percuta même pas lorsque le professeur Card prononça son nom. Mike Ames, son voisin, lui donna un petit coup de coude.
- Hein ? Quoi ? Moi ? Oh non ! Pas moi ! Professeur, pas moi ! Pas tout de suite ! Pas... (PAS APRES TOUT CE QUE TU AS FAIT)
Les protestations de la jeune Serdaigle n'eurent aucun effet. Certes, tous les élèves présents, qu'ils soient de Gryffondor ou de Serdaigle, allaient passer, mais se retrouver face à sa plus grande peur dans la minute qui allait suivre n'enchantait pas Aurélie plus que cela. (Merci Captain Obvious) Elle empoigna sa baguette, pensa trop tard qu'elle aurait pu prétendre l'avoir oubliée au dortoir, et s'avança, crispée. Le professeur Card fit sauter les serrures d'une malle. Elle inspira à fond.
Tout d'abord, elle ne vit rien. Puis, des bribes de sons se mirent à s'échapper de la malle, des rires, il semblait. Puis, des volutes de fumées de différentes couleurs vinrent entourer Aurélie. C'était ça, sa plus grande peur ? Plutôt cool, songeait-elle. Elle eut brusquement envie de rire. Ou de pleurer. Ou de se mettre en colère, ou de...
Une grande souffrance la cueillit, et la jeune fille fit de son mieux pour ne pas se courber en deux sous son effet dévastateur. Les bribes de sons lui semblèrent tout à coup assoudissantes, et les couleurs vives des volutes de fumée aveuglantes. Elle sentit le sang pulser à ses tempes, et s'écroula sous le poids de la douleur.
Aurélie comprit.
Les rubans de fumée, avec leurs airs inoffensifs, étaient sa plus grande peur. Les émotions. (C'est original !)
Un voile noir assombrit sa vue, mais elle distuigua (se relire... je vais arrêter de le dire) tout de même une porte qui s'ouvrait et une silhouette féminine se jetant entre elle et son Epouventard - la douleur cessa d'un coup.
Anna Becker (OHHHHH MAIS J'ADORE LA ANNA DE CETTE VERSION EN FAIT ! Elle défend vraiment sa fille ! Elle a juste du mal à communiquer avec elle !) leva sa baguette magique tandis que l'Epouventard prenait la forme d'un symbole assez étrange. Un cercle entrecrois d'ovales à intervalles plutôt réguliers, formant un triangle. La couleur de ce symbole était indéfinie, passant du rouge sang au blanc licorne, en passant par une couleur émeraude ou saphir. Il avait des allures vaguement celtiques. (Euh... C'est pas le cadavre de sa fille, sa plus grande peur ?? C'est un... symbole ?? Désolée mais ça respecte pas le concept d'Epouvantard, ce n'est pas censé être symbolique. C'est censé te glacer le sang direct, la créature se nourrit de la peur.) Anna ne parut pas s'en étonner et prononça la formule :
- Riddikulus !
Le symbole devint une sorte de smiley, qui exécuta une petite danse avant d'exploser dans un nuage d'étincelles multicolores. On aurait dit un Birthday-Smiley, les smileys magiques pour les anniversaires. A moins que ce ne soit réellement un Birthday-Smiley. (Euh... Ceci n'est pas un Birthday Smiley ? #Magritte)
Anna adressa au professeur Card un regard plein de reproches, jeta une liasse de papiers (sûrement la raison de sa présence ici) (BIG BRAIN) sur son bureau et partit sans adresser une parole ou un regard à quiconque, et surtout pas à sa fille. Laquelle haussa les épaules et se releva, un peu sonnée. Son coeur battait à tout rompre et elle avait senti ses forces l'abandonner. Elle retourna néanmoins à sa place avec son habituelle démarche joyeuse. (Aurélie va chez un psy c'est pas sain de tout réprimer comme ça)
Le professeur Card se rengorgea.
- Je vois dois des excuses, Miss Becker, cela... N'était jamais arrivé auparavant. Un Epouventard non corporel, j'entends. Pouvez-vous nous dire ce que c'était ? (Elle est SPECIALE okay ??? NOT LIKE OTHER PEOPLE)
La gorge serrée, Aurélie secoua la tête.
- Je suppose qu'il n'y a plus de volontaire, à présent... devina Josh Card, les sourcils froncés, en jetant un coup d'oeil à sa liste. Bon, au tour des Gryffondor... Miss Adcock ?
Les élèves échangèrent des regards contrits. Ciara Adcock, en septième année à Gryffondor, était l'une des victimes de l'attaque des Ardents d'il y a quatre jours. Le professeur Card rougit de son erreur, et barra le nom de la jeune fille sur sa liste en bafouillant de vagues excuses à la classe. (Ouch. Bonne scène. Courte mais efficace, permet de rappeler qu'il y a eu un drame mais que la vie doit continuer.) Puis, il ferma les yeux et laissa son stylo décider de l'élève qui serait le suivant à passer. Le stylo indiqua le dernier nom de la liste. Le professeur de DCFM ouvrit les yeux.
- Sarah Ryan.
Personne ne répondit.
- Sarah Ryan est absente, monsieur, indiqua Lilas Ames sur son horripilant ton de petite fille trop gâtée. Elle est à l'infirmerie, elle a la grippe. (LE COVID)
- Décidément... soupira Card, et Lilas soupira aussi - espérait-elle vraiment recevoir des points pour sa maison pour une information aussi... peu scolaire ?
Il remonta son stylo d'un cran, et récita le nom précédent celui de Sarah.
- Oliver Ruewen ? appela Josh. Il est là, au moins, lui ? s'assura-t-il ensuite avec inquiétude.
Le Gryffondor, blême, hocha la tête et se leva. Il ne savait que trop bien la forme qu'allait prendre son Epouvantard... Il essaya de penser à quelque chose qui le ferait rire. Le professeur Card ouvrit une autre malle, et la Marque des Ténèbres s'en échappa. Oliver prit une grande inspiration et s'écria :
- Riddikulus !
Le symbole de l'Ombre se métamorphosa en... Becker, vomissant des insultes à l'égard du jeune homme, des pots de miel à la place des pieds. Toute la classe éclata de rire, sauf Aurélie, bien entendu. (C'est une bonne scène aussi. Pas trop dramatique, sans trop de détails inutiles. Et ça envoie un bon message, que malgré tout Aurélie représente une force positive dans sa vie, qui le permet, métaphoriquement, de combattre ses peurs. Disons que c'est quelque chose que je garde dans le canon la version actuelle !)
~
Une main serrée autour d'une baguette menaçait un jeune garçon. Il avait des cheveux blond cendré couverts de poussière et des yeux vert foncé emplis de panique mais aussi d'une détermination froide. (Je lis beaucoup trop de choses dans les yeux des gens.)
- Alors comme ça, tu es le fils Molenski. Quel est ton prénom ?
Le jeune homme, qui devait avoir dans les treize ans, resta muet.
- Ton prénom, je te demande ton prénom, reprit la voix masculine avec une pointe d'impatience.
Pas de réponse. Un éclair rouge sang stria l'air, et le garçon se plia en deux de douleur. Le Sortilège Doloris en informulé fait davantage mal que quand est dit à haute voix.
- Lethan, finit-il par balbutier. Lethan Molenski. (Son père voulait l'appeler Ethan mais genre il a mal articulé.)
- Enchanté, Lethan, grinça l'homme. Je connais ton nom. Mais connais-tu le mien ?
- Je... Non.
- Grave erreur, estima la voix. (Ben en même temps je sais pas, présente-toi ?? Les mages noirs sont si arrogants.)
Le Seigneur Noir jouait avec sa baguette magique.
- Ton père ne t'a-t-il donc pas parlé de moi ?
Lethan jeta un coup d'oeil à son père, raide comme un balai, le visage blême.
- Non, avoua le jeune garçon. (« Salut garçon, tu sais, je suis un Mangemort. Tu sais pas ce que c'est ? Normal, ça fait 25 ans que Voldemort est mort, tout ça est complètement anachronique mais bon, c'est l'autrice qui a voulu ça. »)
- Sais-tu... Ce que tu viens faire ici, Lethan ?
- Mourir, supposa le nommé amèrement. (Moi aux partiels be like)
Un rire sardonique retentit.
- Mourir ?! répéta le Seigneur Noir. Molenski, entendez-vous cela. Mourir ! Quelle bien piètre réputation ai-je... A l'aube de mon règne... Cependant, si tu ne coopères pas, il y a un risque... Mais tu vas coopérer, n'est-ce-pas ?
- Règne ? répéta Lethan, tremblant, sans néanmoins répondre à la question du mage noir.
- Tu as bien entendu, Sang-de-Bourbe.
- Je suis de Sang-Mêlé ! s'indigna Lethan. Et je ne vois vraiment pas le rapport entre moi et votre règne ! Je vous servirai quand les gens achèteront des Scroutts à pétard de compagnie ! (Je parle trop de Scroutts à pétard dans cette histoire.)
- Ils le feront, affirma brutalement Deathly Hallow - car c'était lui ! Si je le leur ordonne, ils le feront. (MEC REDESCENDS, PERSONNE TE CONNAIT ! LA SEULE CHOSE DE GRAND MECHANT QUE T'AS FAITE C'EST ENVOYER DES ARDENTS A POUDLARD)
Lethan croisa les bras d'un air buté.
- Mon père a été assez bête pour vous sacrifier sa famille, mais la bêtise n'est pas héréditaire. Je refuse.
- Tu refuses ! Bien, bien... Mais ton papa ne t'a simplement pas averti d'une chose : TU N'AS PAS LE CHOIX !
Son cri résonna dans la salle vide de vie et de sens, comme creuse. Lethan se tourna vers son père, fixa la baguette que le Seigneur Noir manipulait à présent d'un air malveillant, et inspira comme si c'était sa dernière bouffée d'air. (Le foreshadowing clair comme de l'eau de roche... ça se voit à 30 km qu'il va crever le petit) Puis il secoua la tête.
Une femme se leva, avançant d'une démarche féline, telle une lionne marchant vers sa proie. Elle attrapa le menton de Lethan, et lui susurra d'une voix doucereuse :
- Tu sais ce que ça signifie, n'est-ce-pas.
Lethan hocha la tête vivement. Grace, troublée qu'il soutienne ainsi son regard, abaissa son bras. (Elle est troublée par pas grand-chose hein.)
- Allez, dit-il. Rendez-vous service. Il n'y a qu'à prononcer la formule. Je ne vous en voudrais pas, si il n'y a que ça qui vous intéresse (avec la quête de pouvoir, j'entends). Tuez-moi. (MAIS JE... T'as pas... t'as pas envie de vivre ?? ça va ?? Lethan Molenski était suicidaire en fait.)
- Non ! Non... hurlait Ignace Molenski, mais Grace le fit taire d'un Sortilège de Mutisme. (Horrible)
Le fils Molenski répondit à la question que se posaient son père et la Mangemorte en silence.
- Je ne veux pas condamner ma future famille, expliqua-t-il sur un ton presque enfantin. Je ne veux pas faire des choses horribles comme tuer quelqu'un si je peux l'éviter. (Quelle future famille... t'as treize ans...)
Ce furent ses dernières paroles. (Ouais ok mais genre s'il avait eu 17-18 ans ça aurait été plus impactful, là c'est juste un gamin con.)
Aurélie Becker s'éveilla en sursaut, et se cogna à sa lampe de chevet. La lumière de la lune fit scintiller un message, posé sur sa table de nuit. La jeune fille reconnut immédiatement l'écriture qui le parcourait comme étant celle de la nuit dernière. Ecrite d'une étonnante encre émeraude, comme celle des lettres officielles de Poudlard. Aurélie se frotta les yeux, prit le papier en main et le dirigea vers le rai de lumière blanche de façon à pouvoir le lire.
Hoc signo vinces.
La jeune Serdaigle se félicita d'avoir fréquenté une école primaire enseignant le latin. (AH OKKK) Elle parvint non sans peine à déchiffrer le message. Il signifiait : "Tu vaincras par ce signe".
Aurélie, intriguée, retourna le parchemin. Au dos y était dessiné l'étrange symbole de la veille. L'Epouvantard de sa mère. (AHHHAAA NICE ! Enfin un peu de plot !)
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