#Les Musiciens du Louvre

[musicwithoutborders]

Jean-Philippe Rameau / Les Musiciens du Louvre, Les Boréades / Act IV - Gavottes pour les Heures et les Zéphirs I Une symphonie imaginaire, 2005

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Cecilia Bartoli OPERA PROHIBITA

Mark Minkowski Les Musiciens du Louvre

[joaquimblog]

LICEU 2022/2023: ALCINA (Kožená, Morley, Bonitatibus, DeShong, Contaldo, Rosen, Gancedo; Les Musiciens du Louvre-Minkowski)

Les Musiciens du Louvre, Marc Minkovski, Magdalena Kožená, Anna Bonitatibus, Elisabeth DeShong, Erin Morley, Mercedes Gancedo, Alex Rosen i Valerio Contaldo. Alcina Gran Teatre del Liceu 17 de febrer de 2023. Foto IFL Passar de la sorollosa Rambla, galdosament i grollerament carnavalesca, al món sonor de les subtileses handelianes d’Alcina, és tota una experiència gratificant i benefactora. És un…

[lesser-known-composers]

Jean-Baptiste Stuck (c.1680-1755) - Héraclite et Démocrite (Cantata for two voices and orchestra) - Air: "Plus légère qu'un zéphyr" (Héraclite) ·

Thierry Felix · Les Musiciens du Louvre · Marc Minkowski

[alain-keler]

Lundi 29 mai 2023.

Il fait beau à Paris, déjà chaud, 26 degrés à l’ombre, l’été s’annonce instable, d’après Météo Contact, un site que je viens de découvrir.

« Dans la continuité du printemps, l'été pourrait voir l'anticyclone trop en retrait pour protéger la France durablement des intrusions instables. La plupart des modélisations numériques étudiées par Météo-Contact penchent en tout cas pour ce scénario. En résulterait un été 2023 plutôt instable. Les périodes de beau temps incontestablement présentes, ne devraient pas s'éterniser trop longtemps et la menace d'averses orageuses semblerait rapidement intervenir. La partie sud de la France semblerait plus exposée à ces évolutions orageuses récurrentes avec probablement des excédents pluviométriques conséquents aux abords des reliefs, à l'image des Pyrénées, des Alpes ou encore du Massif Central. Ce scénario instable laisse à penser que malgré un risque de canicule potentiellement important, les fortes chaleurs ne seraient pas aussi fréquentes que lors de l'été 2022 »*.

Ce lundi de pentecôte est idéal pour la marche, du IXème au bord de Seine.

Des musiciens se préparent place du Palais Royal, des murs de miroirs cachent le chantier des nouveaux locaux de la Fondation Cartier, sur le site de l’ancien Louvre des antiquaires. Je passe, ils restent.

* https://www.meteocontact.fr/actualite/quelle-est-la-tendance-meteo-pour-l-ete-2023-31580

[thedaysofdisorder]

Rameau - Les Boréades - Entrée de Polymnie Les Musiciens du Louvre - Marc Minkowski

[ondessiderales]

Léonard de Vinci et la Mona-Lisation du monde

« Léonard de Vinci, né le 14 avril 1452 du calendrier actuel à Vinci (Toscane) et mort le 2 mai 1519 à Amboise (Touraine), est un peintre polymathe toscan, simultanément artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, sculpteur, peintre, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, philosophe et écrivain.

Léonard de Vinci fait partie des artistes de son époque dit « polymathes » : il maîtrise plusieurs disciplines comme la sculpture, le dessin, la musique et la peinture qu'il place au sommet des arts. Léonard se lance dans une minutieuse étude de la nature et de l'expression humaine : une image doit représenter la personne, mais aussi les intentions de son esprit. Il fournit sur ses tableaux un minutieux travail de retouches et de corrections à l'aide de techniques propres à la peinture à l'huile, d'où l'existence de tableaux inachevés et ses échecs dans la peinture de fresques. Ses études sont reprises dans les innombrables dessins de ses carnets : dessiner est, pour cet inlassable graphomane, un véritable moyen de réflexion. Il consigne ses observations, ses plans et ses caricatures qu'il utilise au besoin d'un travail d'ingénierie ou pour la confection d'un tableau. »

« Si Léonard de Vinci est surtout connu pour sa peinture, il se définit aussi comme ingénieur, architecte et scientifique. Les connaissances initialement utiles à la peinture deviennent pour lui une fin en soi. Ses centres d'intérêt sont très nombreux : optique, géologie, botanique, hydrodynamique, architecture, astronomie, acoustique, physiologie et anatomie.

Il n'a toutefois ni l'éducation ni les méthodes de recherche d'un scientifique. Pourtant, son absence de formation universitaire le libère de l'académisme de son temps : se revendiquant un « homme sans lettres », il prône la praxis et l'analogie. Cependant, avec l'aide de quelques hommes de science, il se lance dans la rédaction de traités scientifiques, plus didactiques et structurés et souvent accompagnés de dessins explicatifs. Sa recherche de l'automatisme s'oppose à la notion du travail en tant que ciment des relations sociales.

Léonard de Vinci est souvent décrit comme le symbole de l'esprit universel de la Renaissance, l’uomo universale ou un génie scientifique. Mais il semble que Léonard lui-même exalte son art afin de gagner la confiance de ses commanditaires et la liberté d'effectuer ses recherches. De plus, les biographes du XVIe siècle écrivent des récits fort dithyrambiques de la vie du maître alors principalement connu pour ses peintures. Seules la transcription du Codex Atlanticus et la découverte de plus de 6 000 feuillets de ses notes et traités à la fin du XVIIIe siècle mettent en valeur les recherches de Léonard. Les historiens des XIXe et XXe siècles perçoivent alors en lui une sorte de génie ou de prophète de l'ingénierie. Au XXIe siècle, cette image reste encore très présente dans l'imaginaire populaire, et la grande qualité de son art graphique, tant scientifique que pictural, reste encore incontestée par les plus grands historiens ou critiques d'art et de nombreux livres, films, musées et expositions lui sont consacrés. »

« La Joconde, ou Portrait de Mona Lisa, est un tableau de Léonard de Vinci qui représente un portrait mi-corps, probablement celui de la Florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l'huile sur panneau de bois de peuplier de 77 × 53 cm est exposée au musée du Louvre à Paris. La Joconde est l'un des rares tableaux attribués de façon certaine à Léonard de Vinci.

La Joconde est devenue un tableau éminemment célèbre car, depuis sa réalisation, nombre d'artistes l'ont pris comme référence. À l'époque romantique, les artistes ont été fascinés par ce tableau et ont contribué à développer le mythe qui l'entoure, en faisant de ce tableau l’une des œuvres d'art les plus célèbres du monde, si ce n'est la plus célèbre : elle est en tout cas considérée comme l'une des représentations d'un visage féminin les plus célèbres au monde. Au XXIe siècle, elle est devenue l'objet d'art le plus visité au monde, devant le diamant Hope, avec 20 000 visiteurs qui viennent l'admirer et la photographier quotidiennement. »

« En automne 2004, le Centre de recherche et de restauration des musées de France est missionné par le musée du Louvre pour soumettre le tableau à une série d'examens de laboratoire avant qu'il ne soit placé dans un nouveau caisson climatisé. Les études emploient de l'émissiographie et de la réflectographie infrarouge, de l’analyse par micro-fluorescence X et un scanner laser sophistiqué, en couleurs et en trois dimensions mis au point par le CNRC d'Ottawa. Ces analyses ont permis de découvrir des détails jamais observés auparavant car masqués par les couches de peinture et de vernis : un réseau caractéristique de craquelures orientées en fonction des contraintes exercées par le cadre rainuré inséré par le peintre ; l’existence possible d’un dessin préparatoire réalisé sur un gesso puis d'une ébauche au pinceau ; l'ensemble de l'habit de Mona Lisa totalement enveloppé d'un « guarnello », voile de gaze fin et transparent normalement porté à l'époque par les femmes enceintes ou venant d'accoucher, ce qui expliquerait son sourire maternel de femme enceinte et la commande du tableau pour fêter sa maternité. Cousu à la robe à l'emplacement de l'encolure brodée, ce voile est roulé sur l'épaule alors que les historiens d'art y voyaient une écharpe. »

« Le sourire de La Joconde est le sourire que présente la jeune femme dont le tableau de Léonard de Vinci appelé Portrait de Mona Lisa ou La Joconde est le portrait. Cette caractéristique constitue un détail extrêmement commenté de cette huile célèbre, Giorgio Vasari mentionnant déjà dans ses Vies « un si plaisant sourire, que c'était œuvre à voir plus divine qu'humaine ». Présentant selon la critique et l'historien de l'art un caractère énigmatique, il apparaît comme suspendu, prêt à s'éteindre : quand on le fixe directement, il semble disparaître pour réapparaître, par la vision périphérique, lorsque la vue se porte sur d'autres parties du visage. Le jeu des ombres accentue l'ambiguïté que produit le sourire.

Le principe même de réaliser un portrait d'une personne qui sourit est inventé avec La Joconde, si l'on fait exception de L'Homme qui rit, par Antonello de Messine. Aussi son sourire est la caractéristique principale à l'origine de la popularité du tableau qui s'accroît au milieu du XIXe siècle. Des poètes romantiques comme Théophile Gautier, des peintres comme Théodore Chassériau ou des écrivains du marquis de Sade à Jules Michelet font de Mona Lisa l'archétype de la femme fatale en décrivant son sourire énigmatique et la mélancolie qui s'en dégage. La Joconde fait même figure de revendication mythique pour Walter Pater lorsqu'il en réalise une longue description dans son essai La Renaissance. »

[elmartillosinmetre]

Un salto adelante de quince años

[Representantes de las instituciones y de los patrocinadores durante el acto de presentación de la temporada 24-25 del Maestranza / JUAN CARLOS VÁZQUEZ]

En torno al mito con nombre de mujer, Javier Menéndez presenta la mejor de sus programaciones

Habría acaso que remontarse a la 2008/09, con Pedro Halffter, para encontrar una temporada lírica y de conciertos tan brillante y poderosa como la que se ha presentado en el Maestranza, e incluso me atrevería a decir que esta supera de forma clara a aquella. Entonces acababan de terminar las obras de ampliación del coliseo y era una época de vacas gordas. Pronto nos golpearía la crisis y el teatro fue cayendo poco a poco en la irrelevancia. Llegó hace cinco años Javier Menéndez y le tocó lidiar con la pandemia. Ya el año en curso su proyecto empezó a despegar, pero es este cuando la propuesta resulta en verdad excitante.

[La soprano Anna Netrebko debuta en Sevilla / OLGA RUBIO-DALMAU]

Menéndez y su equipo han aprovechado los ciento cincuenta años pasados desde el estreno de Carmen de Bizet (marzo de 1875) para proyectar una temporada en torno al mito y las figuras femeninas, que pasarán por el teatro no sólo como personajes (Turandot, Ariadna, Ifigenia, María Padilla, Cenicienta, la propia Carmen), sino como intérpretes, con nombres de un indiscutible peso en la escena internacional: Sondra Radvanovsky, que repite recital en el teatro, esta vez en compañía del gran tenor Piotr Beczala, que también pasó por el Maestranza en solitario; Anna Netrebko, nunca antes en Sevilla; Elīna Garanča, que ya estuvo en un recital, pero ahora vuelve para poner voz en escena a Carmen, uno de sus papeles fetiche; Yuja Wang, que estuvo en un recital solístico y ahora vuelve con orquesta (la Mahler Chamber, para hacer Ravel y la Jazz Suite de Alexander Tsfasman); Martha Argerich, en su debut sevillano, que se producirá –crucemos los dedos– a los 83 años (programada para la Expo’92, canceló aquel concierto y nunca más vino).

Desde el punto de vista del repertorio, la ópera trae excelentes noticias: dos títulos extraordinarios y muy populares como apertura y cierre (Turandot, Carmen) y entre medias otras dos obras que se apetecen mucho: Ariadna en Naxos de Strauss, nunca antes en el teatro, y ya era hora de volver a Strauss, ausente de las tablas maestrantes desde la Salome de 2005; e Ifigenia en Táuride de Gluck, un compositor que jamás ha pasado por el teatro en versión escénica (la OBS hizo hace años una versión de concierto de Orfeo ed Euridice). Además habrá versiones de concierto de El murciélago de Johann Strauss, que ofrecerá Marc Minkowski al frente de sus Musiciens du Louvre y también es novedad absoluta en el teatro, y de María Padilla, un título del último Donizetti (1841) de ambientación sevillana, que es poco comprensible que hubiera estado ausente de la programación (y ya es pena que no se haga en versión escénica). La zarzuela de este año es de las más populares y una obra maestra absoluta del género chico, La verbena de la paloma, en la reciente y exitosa producción del Teatro de la Zarzuela madrileño. Hay además dos óperas de cámara en la Sala Manuel García: I tre gobbi, una de las óperas de salón de Manuel García que quedaban por programar; y A solas con Marilyn (en torno a Marilyn Monroe, por incidir en el mito femenino), ópera de David del Puerto que se estrenará en un par de meses en Madrid. La programación lírica se completa con recitales: además del de Radvanovsky-Beczala y el de Netrebko, habrá otros dos: Marina Monzó (con el guitarrista Pablo Sainz-Villegas) e Ismael Jordi.

[La pianista Martha Argerich tocará por primera vez en Sevilla a sus 83 años / D.S.]

Estupenda noticia es que se mantenga el ciclo Gran Selección, que además del concierto de la Mahler Chamber con Yuja Wang y las habituales colaboraciones con la Orquesta de la Fundación Barenboim-Said y con la OJA (esta vez dirigida por una leyenda del sinfonismo internacional, Christoph Eschenbach) ofrece la oportunidad de escuchar a otras dos grandes orquestas, la Philharmonia, con Javier Perianes de solista, y la de la Gewandhaus de Leipizg, que vendrá de la mano de su titular Andris Nelsons y con la soprano Christiane Karg para una 4ª de Mahler. En el apartado pianístico, estamos igualmente de enhorabuena, pues hacía tiempo que no se renovaba el plantel de solistas que visitaban el teatro, y esa renovación se hace ahora a lo grande: al debut de Argerich se unirá el de una de las grandes estrellas del universo clásico de nuestros días, el ruso Daniil Trifonov. Unas Vísperas de Monteverdi por I Gemelli, el gran conjunto del tenor suizo-chileno Emiliano González Toro, y la Pasión seg��n san Juan de Bach por los Barrocos de Friburgo y Vox Luminis se presentan en colaboración con el Femás. El resto de la programación (danza, cámara, Cita en Maestranza) apunta también a la excelencia. Ahora sólo falta que responda el público y que los posibles nuevos patrocinadores se den por enterados.

[Diario de Sevilla. 25-05-2024]

[s12023artnum]

L’impact du numérique dans la culture artistique !

A l’heure actuelle, l’utilisation des outils numériques fait partie de notre quotidien avec l’utilisation des téléphones, des ordinateurs, ou encore d’Internet. Cela affecte notre perception ainsi que nos interactions avec le monde, et l’environnement qui nous entoure.

L’utilisation du numérique dans des lieux culturels !

Depuis quelques années, le numérique prend de plus en plus de place au sein des institutions culturelles (musées, château, théâtre…) avec le mapping, les podcasts, la réalité augmentée ou encore les visites virtuelles. Par exemple, le musée du Louvres à Paris met à disposition 5 visites virtuelles pour découvrir les salles, les galeries et l’architecture à travers des thématiques précises.

Mapping (fresque lumineuse) : projection de vidéos directement dans le lieu dans lequel l’évènement se déroule, en jouant sur le son et la lumière.

Podcasts : conversation entre plusieurs personnes spécialistes sur un même sujet.

Réalité augmentée : superposition des informations digitales aux objets du monde réel pour former une expérience 3D, en permettant aux utilisateurs d’interagir avec le monde physique et digital.

Cette utilisation du numérique permet-elle l’accès pour tout le monde ?

Les musées, les châteaux et tous les lieux culturels se trouvent la plupart du temps dans les grandes villes, où sont regroupées au même endroit ne permettant pas d’y avoir accès. Or cette utilisation permet de dépasser les entraves liées aux déplacements, à la programmation et aux lieux des offres, pour permettre à tout le monde d’y avoir accès. C’est un vecteur de diffusion et d’enrichissement de ces offres culturelles à travers le monde puisqu’on peut se situer n’importe où dans le monde, on peut y avoir accès grâce aux visites virtuelles, ou encore à la numérisation des œuvres.

Cette numérisation modifie notre expérience culturelle, non seulement du point de vue de l’accès, de la production mais aussi de la diffusion de la culture, conditionnées aux nouvelles technologies. Cela permet de garder une trace des peintures, des sculptures, et de l’architecture, pour le futur mais aussi pour prévenir d’une potentielle dégradation et disparition.

Quels dispositifs l’Etat met-il en place ?

Pour répondre à cette demande, le ministère de la culture française a mis en place un projet, qui propose l’accès à un musée numérique ou d’autres outils tel que FabLab, espace scénique, ou des postes de réalité virtuelles. Ce projet se nomme Micro-Folies.

FabLab : atelier mettant à la disposition du public des outils de fabrication d’objets assistées par un ordinateur.

Espace scénique : zone de jeu réservée aux différents interprètes, acteurs, chanteurs, danseurs ou musiciens pour la représentation d’un spectacle.

Mon expérience.

J’ai participé à une exposition Micro-Folies à Evry-Courcouronnes (dans l’Essonne).

J’ai eu à disposition des outils numériques tels que des tablettes, qui me permettaient d’en apprendre plus sur les œuvres qui m’intéressaient. Cet outil a rendu plus attrayant la découverte d’œuvre mis à disposition par leurs collaborateurs (Centre Pompidou, Musée du Louvres, ou encore, le château de Versailles…). Mais ce lieu était aussi équipé de machine (Imprimante 3D), et de brodeuse numérique, qui nous permet de développer notre créativité. On y trouve un espace de réalité virtuelle avec la présence de borne ayant des contenus immersifs à 360° comme des documentaires, spectacles…  

Avantages et Inconvénients du numérique

Avantages :

-moins de déchets

-partage des œuvres

-développement de la notoriété des artistes

-toucher tous les publics avec les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, X…) : les réseaux sociaux sont utilisés par toutes les générations, que ce soient des personnes âgées ou des adolescents. Cela permet d’agrandir et de diversifier son public.

-accès à l’art depuis chez soi avec les visites virtuelles, les podcasts, ou encore la représentation 3D de certaines œuvres.

-permet la création d’art

Inconvénients :

-le plagiat : la duplication ou la copie de son œuvre sans consentement

-le droit d’auteur : vente d’une réplique de son œuvre

-ne représente pas forcément la réalité : par exemple l’œuvre de Pablo PICASSO avec Guernica, où l’on ne se rend pas forcément compte de sa taille, il y a une différence entre une observation grâce à une visite virtuelle ou une représentation 3D et une observation face à cette œuvre en visite réelle.

-NFT et métaverse

-commentaires négatifs sur les réseaux sociaux : il est plus facile de critiquer ce que l’on observe sur les réseaux que dans la vraie vie.

Source texte :

https://blog.artsper.com/fr/la-minute-arty/analyse-dun-chef-doeuvre-guernica-de-picasso/

https://evrycourcouronnes.fr/le-programme-bi-mensuel-de-la-micro-folie-est-la/

https://www.liberation.fr/france/2020/08/06/la-micro-folie-deploie-la-culture-dans-les-quartiers-populaires_1796185/

https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Innovation-numerique/Prendre-en-compte-les-usages-et-les-publics/Le-numerique-au-service-de-la-democratie-culturelle#:~:text=Le%20num%C3%A9rique%20constitue%20un%20puissant,la%20g%C3%A9ographie%20des%20offres%20culturelles.

https://evrycourcouronnes.fr/a-vivre/vivre-mieux-ensemble/vie-locale-et-culture/micro-folie/

https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Innovation-numerique/Faciliter-l-acces-aux-donnees-et-aux-contenus-culturels#:~:text=La%20num%C3%A9risation%20des%20%C5%93uvres%20et%20des%20contenus%20constitue,d%E2%80%99autant%20la%20connaissance%20et%20la%20diffusion%20des%20%C5%93uvres.

Source image :

https://blog.artsper.com/fr/la-minute-arty/analyse-dun-chef-doeuvre-guernica-de-picasso/

https://www.liberation.fr/france/2020/08/06/la-micro-folie-deploie-la-culture-dans-les-quartiers-populaires_1796185/

https://www.lejournaldesarts.fr/patrimoine/le-louvre-virtuel-plebiscite-par-plus-de-10-millions-de-visites-en-71-jours-149430

https://vr.visit.zone/mbaa-dole/

Charline POUILLON

[sonyclasica]

KAMMERORCHESTER BASEL Y NURIA RIAL

COLONNA, PERTI, POLLAROLO, TORELLI: CONCERTOS AND CANATAS

Este Dream Team de la música barroca presenta un álbum de maravillosas piezas italianas poco frecuentes, muchas de las cuales son grabaciones en primicia mundial. A la venta el 22 de septiembre.

Consíguelo AQUÍ

Con su álbum de 2017 Bolonia 1666, la Kammerorchester de Basilea, bajo la dirección de Julia Schröder, embarcó al oyente en un viaje musical al que posiblemente fuera el centro musical más importante de Italia en el siglo XVII y le descubrió obras excepcionales. Fundada en 1666, la Accademia Filarmonica di Bologna, una de las academias de música más antiguas de Italia, influyó en la vida musical de la época mucho más allá de las fronteras de Italia.

Resulta aún más sorprendente que, a excepción de algunos compositores como Giuseppe Torelli o Giacomo Antonio Perti, la mayoría de ellos hayan caído en el olvido. Para esta segunda grabación centrada en la escuela boloñesa, la orquesta se centra más en la música vocal de la época. Les acompaña la fantástica soprano catalana Nuria Rial. Las piezas vocales están todas conectadas por su contenido, ya que los textos utilizan repetidamente imágenes y metáforas "aéreas": pensamientos ansiosos de un amante atormentado que no encuentra la paz, como movido por el viento (el aria "Pensieri vaganti" de Colonna), o de ángeles que descienden del cielo para salvar a la gente (en la cantata "Vieni pur con i tuoi vezzi" de Perti), o del aura que se respira en los lugares sagrados (el motete "Aurae sacrae amati ardores" de Pollarolo). Las piezas para soprano solista se yuxtaponen a fragmentos de los Concerti grossi op. 8 de Giuseppe Torelli, nacido en Venecia pero residente en Bolonia desde 1684, donde hizo carrera como compositor. 

Nuria Rial estudió canto y piano en su Cataluña natal y fue miembro de la clase de Kurt Widmer en la Academia de Música de Basilea. Ha actuado en los principales festivales de música de Europa y colabora con directores como Ivan Fischer, Sir John Eliot Gardiner, Paul Goodwin, Trevor Pinnock, Howard Griffiths, Gustav Leonhardt, René Jacobs, Thomas Hengelbrock, Laurence Cummings, Neville Marriner y Teodor Currentzis, así como con notables conjuntos, como Concerto Köln, The English Concert, Kammerorchester Basel, Collegium 1704, Il Giardino Armonico, Les Musiciens du Louvre, Elbipolis Barockorchester, Le Cetra Basel, L'Arpeggiata y Festival Lucerne Strings. Participó en importantes producciones operísticas en muchos de los teatros de ópera más prestigiosos de Europa. Nuria Rial, apasionada de la música de cámara, colabora con conjuntos como "il pomo d'oro", "Café Zimmermann" o el "Nash Ensemble". En sus programas de recital canta repertorio francés y español, pero también canciones alemanas. Sus grabaciones para Deutsche Harmonia Mundi son muy elogiadas en todo el mundo y han recibido varios premios. Su grabación de música barroca española, "Muera Cupido", con Accademia del Piacere fue nominada para los Premios Opus Klassik 2020. Para más información sobre la artista: www.nuriarial.com 

La Kammerorchster Basel es una de las principales orquestas de cámara y actúa regularmente en los festivales y salas de conciertos más importantes, como la Elbphilharmonie de Hamburgo, el Théâtre des Champs-Élysées de París o el Theater an der Wien. Fundada en 1984, la orquesta presenta su amplio repertorio de música barroca en interpretaciones históricas, música clásica en interpretaciones históricamente documentadas y música contemporánea en unas 80 actuaciones al año. Para más información sobre el artista: www.kammerorchesterbasel.ch

[333mots]

Un Amour masqué

"Les figures sont inspirées d'un détail du dessin de Charles Le Brun, "Le réveil de la terre", exécuté en vue de la décoration d'une des voussures de la Galerie d'Apollon (Musée du Louvre)."

[boyiwakwambvukuta]

I got the #lyrics for "Messe de Minuit, H. 9: Sanctus - Benedictus" by Eric Huchet feat. Marc Minkowski, Les Musiciens du Louvre, Patrick Henckens, Choeur des Musiciens du Louvre-Grenoble & Russell Smythe on Musixmatch https://www.musixmatch.com/lyrics/Eric-Huchet-feat-Marc-Minkowski-Les-Musiciens-du-Louvre-Patrick-Henckens-Choeur-des-Musiciens-du-Louvre-Grenoble-Russell-Smythe/Messe-de-Minuit-H-9-Sanctus-Benedictus?utm_source=application&utm_campaign=api&utm_medium=musixmatch-android%3A552993462

[mmelamarquisedemerteuil]

Bonjour mes chers suiveurs,

Aujourd’hui je suis allée au Louvre voir l’exposition sur les splendeurs des oasis d'Ouzbékistan. On y voyait un merveilleux mélange de tapisseries carmin, de lampes cuivrées, de casques mongols et de plantes médicinales utilisées dans la chirurgie arabe.  On y trouvait également des répliques de yourtes ouzbèkes ainsi que de splendides ossements de féroces guerriers morts au combat.

J'étais ensuite conviée à une soirée pyjama à Versailles. J’y ai retrouvé M. le Duc de F. et le Comte de P. qu’on ne voyait plus beaucoup depuis les aventures de leurs femmes avec M Valmont. La musique y était excellente : ce quatuor de platines est fantastique. La nourriture était fabuleuse, tout particulièrement les entremets. Il y avait du caviar russe, du saumon norvégien,… Je compte bien organiser une petite fête chez moi mais je pense revoir les musiciens conviés ainsi que le traiteur qui me paraissent incompétents.

[lesser-known-composers]

Jean- Baptiste Stuck (1680-1755). Héraclite et Démocrite. Pleurez, pleurez mes tristes yeux

Jennifer Smith, soprano. Les Musiciens du Louvre. Marc Minkowski.

[uel2022]

LE DIGITAL : LE SUCCESSEUR DE L’ART TRADITIONNEL ?

Pensez-vous que l’art digital remplacera-t-il l’art traditionnel ?

Avec l’expansion du numérique où l’art digital est de plus en plus produit et diffusé sur internet, il n'est alors pas étonnant que cette forme d’art numérique et les techniques pour en créer deviennent de plus en plus populaires et fréquentes.

Ne vous demandiez vous pas ce que cela signifie pour l'art traditionnel ? L'art numérique remplacera-t-il l'art traditionnel ?

Dès l’apparition de l’ère du numérique avec les premiers ordinateurs, différents programmes numériques et réseaux. Beaucoup d’artistes se sont lancés dans ce nouveau domaine qui auparavant n’avait jamais été exploré ce qui a développé un nouveau genre artistique appelé « l’art numérique ».

EN QUOI CONSISTE L’ART NUMÉRIQUE ?

Pour créer de l’art digital, la combinaison du savoir Humain et l’intelligence de l’ordinateur est nécessaire et fondamentale. Le résultat de ce mélange entraîne alors un produit dont nous appelons aujourd’hui « l’art numérique ». Évidement celui-ci possède plusieurs sous-catégories tel que :

L’ART GÉNÉRATIF :

Cela se base sur des algorithmes qui, préprogrammée, peuvent générer des œuvres de manière autonome.

Exemples d’œuvres :

This person does not exist : générateur de visage aléatoire par une intelligence artificielle. (comme le nom l’indique, les visages présentés n’ont jamais existés)

GauGAN : générateur de paysage réalisé à partir d’un simple brouillon (les paysages présentés n’existent pas réellement)

L’ART INTERACTIF :

A l’inverse de l’art traditionnel où les spectateurs nécessitent d’employer une activité mentale (réflexion de l’œuvre), l’art interactif quant à lui nécessite une activité physique afin d’interagir avec l’œuvre en question (agis sur un ou plusieurs de nos 5 sens).

Exemples d’œuvres :

Le musée national de Singapour : musée interactif progressif et stimulant appelant aux spectateurs à interagir avec les projections diffusées sur tous les murs de l’exposition à travers des jeux de lumières, de sons, de senteurs avec une narration d’histoires immersives

Le cinéma 4DX : siège mouvant avec des effets sensoriels

Les installations interactives sont généralement informatiques et utilisent des capteurs.

LE NET-ART :

Ce sont des créations interactives conçues par / pour et avec le réseau Internet. Cette forme d’art est généralement disponible pour tous (en tout cas pour tous ceux qui ont un accès à internet).

Exemples d’œuvres :

Musée virtuel : Pouvant être utilisé par des casques réalités virtuelles, téléphones, ordinateurs et tous autres appareils électroniques. En France, plusieurs musées sont désormais disponibles virtuellement, notamment le musée du Louvre, d’Orsay, de Grévin, de l’Orangerie ou du quai Branly ainsi que d’autres musées emblématiques du monde entier.

Revues électroniques : ebook, lire en ligne, webtoon et bien d’autres sont des revues / romans accessible par le net.

L’ART ROBOTIQUE :

Cela consiste à des installations de robots ou d’autres technologies automatiques.

Exemples d’œuvres :

Can’t help myself : sun yuan et peng yu ont programmé le robot à maintenir la peinture rouge pouvant représenter le sang dans une zone prédéterminée si celui-ci dépasse cette limite, un capteur sera déclenché, actionnant alors le robot à continuellement répéter le même geste.

Le film Sayonara : Koji Fukada a réalisé pour la première fois dans l’histoire du cinéma, un film, qui à pour l’un de ses acteurs un robot.

L’ÉVOLUTION DE L’ART, DE NOUVELLES TECHNIQUES ÉMERGENT :

A l’image de l’art général chaque domaine à ses spécialités et ses propres façons de faire ; un peintre avec sa peinture, un musicien avec son instrument, un réalisateur avec sa caméra ou bien un sculpteur avec son argile. L'art numérique s'appuie quant à lui sur des logiciels.

Comme dans tous les autres domaines, l’art n’échappe pas à l’évolution, il serait au contraire très surprenant de voir que l’intelligence artificielle n’a aucune influence sur ce dernier.

C’est pour cela que nous pouvons retrouver désormais des programmes qui sont capables d’écrire des poèmes, de composer de la musique ou encore de peindre des tableaux.

MAIS QUELS SONT LES AVANTAGES ET LES INCONVÉNIENTS DE L’ART DIGITAL ?

AVANTAGES :

Une chose est sure, l’art digital est bien plus pratique que l’art traditionnel mais cela ne veut pas forcément dire qu’il est plus simple à réaliser.

En effet, même si l’art numérique nécessite un minimum de connaissance sur l’art en général, que ce soit la mise en forme d’un dessin et de la colorisation ou bien la compréhension du solfège, la réalisation de celui-ci est nettement plus décontractée car si par mégarde vous faites des erreurs vous pourrez toujours les corriger. Certes avec l’art traditionnel vous pourrez également corriger mais vous devrez peut-être recommencer depuis le début si vous faites des erreurs majeures qui auront un impact direct avec votre œuvre. De nos jours, comme la majorité des personnes utilisent internet, l'art numérique est le principal moyen de toucher davantage le public :

plus économique que les supports traditionnelles (peintures, instruments, outils…)

plus facile de partager et d'être découvert sur le Net (réseaux sociaux, autres plateformes...)

plus efficace à transporter que les supports traditionnels (ordinateur contre des feuilles A1...)

plus d’interactions avec une communauté qui a les mêmes passions que vous (forums)

INCONVÉNIENTS :

L'art digital est omniprésent de nos jours, que ce soit dans les :

jeux vidéos, ( genshin impact avec les splash art )

le cinéma, ( avatar avec la motion capture ou Sword Art Online avec l’animation 2D )

les couvertures de livres, ( shades of magic edition Lumen avec une illustration graphiques )

les bandes dessinées, ( les aventures de tintin edition casterman )

le textile, ( flocage sur textile )

la musique ( remix de son )

les couvertures d'albums ou de magazines ( photoshop )

et bien plus encore... Je pense cependant que la plupart des personnes apprécient plus le travail traditionnel que l'art numérique pour le moment car pour eux, cette forme d’art est plus concrète, plus «réelle».

L’ART NUMÉRIQUE VA-T-IL PRENDRE LE PAS SUR L’ART TRADITIONNEL ? Selon moi, l'art traditionnel ne sera pas remplacé par l'art numérique malgré le fait que cette technique est maintenant utilisée dans de nombreuses professions. Tout comme la peinture acrylique n'a pas complètement remplacé la peinture à l'huile, de même, le numérique ne remplacera jamais complètement le traditionnel. il y aura toujours un marché pour les œuvres d'art uniques, créées par des artistes traditionnels, en particulier dans le monde des beaux-arts : L'art traditionnel est trop important dans l'histoire pour être remplacé.

De plus, l'œuvre originale traditionnelle qui est produite physiquement, ne peut pas être copiée et vendue partout dans le monde. Évidement des reproductions peuvent être réalisées mais cela n’égalera jamais l’originale car elle ne sera pas exactement la même. Alors qu’avec l’art digitale, il n’y a pas de pièce originale unique, toutes les copies sont des originales vues qu’elles renferment EXACTEMENT les mêmes informations (mêmes traits, mêmes couleurs, mêmes erreurs…)

Pour ces raisons, je suis convaincu que l'art traditionnel ne sera jamais complètement remplacé par l'art informatique, même s’il est moins cher et plus accessible à tous.

Merci beaucoup d'avoir pris le temps de lire mon article, je vous souhaite une bonne année 2023, passez une bonne journée !

PANTAKUL Panipak L2LEA

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