#Sophia Garder

[kalyria1674-blog]

Claymore : Quelques Réflexions 2

Je remarque que Teresa est la première dans l'oeuvre a avoir sous-entendu que l'Organisation était derrière la création des Yôma... je me demande si, elle aussi, enquêtait sur eux avant Miria ?

C'est assez étrange car je ne la vois pas vraiment faire ça. Teresa avant de rencontrer Claire, semblait plutôt apathique par rapport à son destin - sans doute comme mesure de protection - et n'a jamais montrer une énergie et/ou une volonté de changer les choses à grande échelle comme Miria.

Changer son destin, oui. Celui des autres... pas vraiment.

Quand on y pense, il était évident dès le départ que Pieta était une mission suicide pour purger les rangs. Et par-là, je veux dire que, lors de leur première chasse à l'éveillé, Hélène nous explique que les équipes sont toujours constituée de guerrière avec des chiffres entre 10 et 30 qui sont guidées par un numéro unique. Des chiffres plus élevés sont considérés comme rarissimes.

Or, lorsque Miria fait l'appel pour les équipes, on apprend que sur les 24 guerrières envoyées, 10 ont des chiffres plus élevés que la limite - soit près de la moitié des forces ! - et seulement 7 - capitaines inclues - avaient des chiffres entre 10 et 20, soit la procédure normale.

Rien qu'avec cette scène, il est donc possible de comprendre que l'Organisation a rompue avec ses propres codes et a envoyée une majorité de guerrières de faible niveau contre un Abyssal et son armée... avec le résultat qu'on connaît.

C'est la première fois que je lis le manga de A à Z en lecture approfondie, jusqu'ici, je reprenais uniquement après Pieta. Du coup, je ne remarque que maintenant que cette oeuvre est pleine de scène qui sous-entendent des moments sexuels assez trash... tout en parvenant à garder une certaine dimension féministe vis-à-vis de son traitement des protagonistes féminines. Par contre, le traitement des hommes est encore pire que je ne le pensais.

J'avais déjà souligné la façon sexiste dont Isley était dépeint et la façon dont cela avait déteint sur Raki dans un précédent post. Mais, dès le premier combat contre un éveillé masculin, Hélène les compare immédiatement à des assoiffés de sexe sur la seule base de leur sexe. Et ça recommence ensuite avec Dauf, le prochain rencontré, qui est écrit avec une obsession pour le déshabillage de ses adversaires et dont les larmes de douleur sont décrites comme pathétiques. J'adore Claymore mais je pense que c'est l'une des choses qui me dérangent le plus à son sujet.

Je viens de m'en rendre compte mais l'Organisation a toujours si gravement sous-estimée la force de Teresa que s'en est risible ! Je veux dire, penser qu'Irène, Sophia, Noëlle et Priscilla suffirait est une bonne démonstration, bien qu'au vu de la façon dont la dernière s'est avéré, cela peut être excusé. Mais croire Teresa sur parole au sujet de Rosemarie et sa soi-disante incapacité à survivre face à un Abyssal ? Considérer que Priscilla, qui a vaincu Teresa, est tout au plus du niveau d'un Abyssal ? Déclarer Alicia comme étant de facto la ''plus puissante numéro 1 à avoir jamais exister'' sur la seule base d'un éveil maîtrisé ?

A n'en pas douter, l'Organisation n'a jamais vraiment su à qui ils avaient à faire. Et c'est hilarant car on ne peut pas dire que Teresa se cachait ou autre... elle était juste si puissante que l'Organisation ne pouvait pas lui opposer de défi suffisamment valable pour la forcer à libérer son véritable pouvoir et le mesurer en conséquence.

Hm... je viens de revisionner ''l'antre de la sorcière'' (oui, encore !) et j'ai été interpeller par une chose qu'à dite Riful. Elle semblait surprise de constater qu'en dépassant sa limite volontairement, le gain de puissance et de vitesse était plus grand.

Et, vous savez ce que ça me rappelle, sans doute à cause de la conversation récente entre l'Abyssal et Claire ? Isley.

On dit de lui qu'il est le plus puissant des trois Abyssaux - il est au moins confirmé qu'il surpasse Luciela - mais aucune explication n'est jamais fournie sur la raison malgré qu'il soit explicitement déclaré que les générations suivantes de guerrières sont devenues de plus en plus forte. Ce qui aurait donc dû créer des éveillés plus puissants sauf rares exceptions.

C'est pourquoi je pense que la particularité d'Isley, c'est que son éveil était volontaire et non contraint. Même si ce n'est que l'hypothèse de Chronos, ce serait du jamais vu jusqu'ici et pourrait expliquer l'écart de puissance entre lui et les autres Abyssaux.

Parce que, ce que le manga nous a montrer assez tôt, c'est qu'il semble y avoir une différence dans le Yôki lorsque l'éveil est volontaire. Plus précisément, le genre de différence que Galatea pourrait relever chez Deneve après la chasse à l'éveillé masculin.

Comme c'est Galatea et qu'elle est exceptionnelle, je ne sais pas à quel point cette différence est visible mais il semblerait que cette différence entre un éveil volontaire et contraint ait été présente assez tôt dans l'oeuvre bien que jamais réellement exploitée.

Dans mon dernier post, je disais que Claire ne correspondait pas à l'héroïne de shonen typique.

Parce qu'elle n'a pas de but autour duquel organiser durablement sa vie. Elle ne recherche pas la compagnie des autres - même si elle l'apprécie - ou a trouver un sens à sa vie. Elle veut se venger et fera tout pour y parvenir. Et si elle meurt en court de route, après s'être prouvé à elle-même qu'elle n'était plus aussi impuissante qu'à l'époque, c'est peut-être pour le mieux. Claire est tourner vers son passé - plutôt qu'un avenir hypothétique - mais celui-ci ne lui donne pas vraiment de force autre qu'un mépris drastique d'elle-même et de la valeur de sa vie.

Bien sûr, elle est forte d'une façon que peu de gens peuvent imiter... mais ce n'est pas la force - mental - qui correspond à son projet de vengeance et de mort. Ce qui est la raison pour laquelle elle doit compter sur les autres pour progresser. Une protagoniste qui se veut solitaire mais qui finit par se battre en usant du bras d'Irène, de la technique de Flora et du style de Rafaela... intéressant.

En fait, ironiquement, celle qui correspond le mieux à l'archétype de l'héroïne serait Priscilla avant son éveil. Une jeune fille voulant faire ''le bien'', ''protéger tout le monde'' et ''se battre à la loyale''. Une guerrière inexpérimentée avec un immense pouvoir caché. Une fille dont le passé tragique s'avère en fait tout aussi central - si ce n'est plus - que celui de Claire.

... C'est presque comme si Priscilla était une sorte de reflet miroir de ce que Claire aurait dû être dans le parfait petit manga shonen aux codes typiques. Et que Teresa se soit ouvertement moquée d'elle pour cela est très amusant, comme si l'auteur en profitait pour s'exprimer à ce sujet.

[larryland]

REVIEW: "Brighton Beach Memoirs" at Oldcastle

REVIEW: “Brighton Beach Memoirs” at Oldcastle

[bullesetplumes]

30 jours pour écrire, jour 4, le coeur s'emballe

Je pousse un long soupir, tout en opinant du chef à la dernière remarque de mon hôte. Revenu de campagne quelques semaines auparavant, j’avais été jusque-là laissé avec moi-même, prétextant de devoir retrouver mes marques à la capitale avant de pouvoir profiter de mes amis.

Leur patience était venue à bout plus rapidement que je ne l’aurai cru, et je fus invité à un repas chez l’un de mes anciens camarades d’études, devenu professeur à l’université ; et dont plusieurs papiers étaient parus dans l’une des plus prestigieuses revue scientifique du pays. Je ne réussis pas à me dérober cette fois-ci et me présentait, comme il est bon de le faire, avec un petit peu d’avance à son appartement.

Dans la petite foule des convives, je reconnais plusieurs visages : Oswald, un camarade devenu instituteur, et Sophia, dont j’avais été jadis le tuteur, alors qu’elle entrait en première année de médecine et moi, finissait mon cursus. Les deux autres visages me sont inconnus, mais de leur manière de se présenter, j’en conclus que c’est moi qui les ai oubliés.

J’avise Manfred que j’avais espéré quelque chose de plus discret, en plus petit comité. Il rit de ce qu’il pense un blague, m’affirmant qu’il avait fourni des efforts pour ne pas inviter moitié de la capitale pour mon retour. C’est ce qui avait valu mon soupir.

Depuis mon retour, je n’avais vu personne. Je me contentai de vivre simplement, profitant de ma retraite prématurée pour savourer la vie mondaine qui m’avait toujours échappée. La seule visite que j’avais acceptée était Adélaïde, une camarade avec qui j’entretiens une relation intime, et cela, bien avant mon départ. Pourtant, même elle n’était pas parvenue à me faire parler de la dernière campagne à laquelle j’avais pris part. Je craignais que cette soirée ne soit qu’un piège pour parvenir à me faire parler.

Le repas fut léger, et agréable ; pourtant, je ne souhaite que partir, rentrer chez moi. D’anciens camarades, ils étaient devenus des inconnus. Tandis que je vivais aux frontières, dans les territoires occupés par le royaume, ils avaient chacun construit une carrière. Je pourrais être pris pour quelqu’un de jaloux, mais ce n’est pas cela : eux et moi avons pris des directions différentes, et pour le temps d’un café, il se pourrait que je prenne plaisir de les côtoyer. Le temps d’un repas, pourtant, je fini par manquer de conversation, moi qui ne connais que le lointain et la guerre. Je suis ravi d’apprendre que Sophia s’est mariée, et que Monsieur est celui qui garde les enfants, d’apprendre que Marie et Arthur sont deux collègues de Manfred, que je ne connais pas.

Pourtant, malgré ma lassitude grandissante, j’accepte de me joindre à eux encore pour quelques instants, le temps de prendre un whisky dans le petit salon de l’appartement. Voilà des années que je n’ai pas eu autre chose que du brandy à boire.

« Alors, dis-nous. » commence Manfred, sans préambule, à peine assis sur le fauteuil. Les modes de la ville n’ont donc pas changé pendant ma longue absence, et les petits salons servent toujours de confessoires entre contemporains. La différence, ceci étant, vient du fait que ce qui est dit dans les salons se retrouvent généralement partagés dans toute la ville au bout de quelques jours seulement.

« Il n’y a rien à dire de plus que les journaux ont parlé. » déclarai-je, sachant pertinemment que cela ne suffira pas. L’ensemble des regards sont tournés vers moi, tâchant de voir transparaitre sur mon visage le moindre signe d’hésitation.

« C’est bien cela le problème ! » commente Sophia, « Les journaux ont été bien avare en détail, impossible d’avoir le moindre détail. » J’avais appris, durant la soirée, que Sophia était devenue médecin à son tour, puis avait quitter le corps médical pour fonder sa propre clinique privée. C’est là qu’elle y rencontra Marcus, son mari, un des médecins recrutés.

« Il faudra attendre la fin de la guerre, alors. » Le mot assène un coup dur à mes quatre tortionnaires. Il est évident qu’ils n’ont pas l’habitude de l’entendre. On évite volontiers le mot guerre, au profit de campagne, ou d’évènements, voire de conflit.

« Allons, mon ami, tu as bien quelque chose que tu puisses nous dire ! » Leur insistance me mit mal à l’aise. Adélaïde avait tenté la même chose, mais s’était vite rétractée en voyant que je ne dirai rien. Sans nul doute, je n’allais pas pouvoir attendre la même compassion ce soir. Je tâchais de garder mon sourire et mon calme, tandis que je sentais mon cœur s’emballer, de colère, de peur également.

« Rien de bien intéressant, je ne le crains ; je n’étais pas sur le front, et me contentait de recoudre les plaies et de soigner les blessés que l’on m’envoyait. » Ma réponse, une nouvelle fois, ne fut pas suffisante, et je dû continuer. « J’occupais un hôpital de fortune, à l’arrière. Il ne s’y passait rien de bien particulier, outre que les malades étaient tous soldats. Quelques rebelles parvinrent à nous atteindre, mais ils ne pouvaient rien faire quant à la présence de nos défenses sur place. De plus, on respecte les hôpitaux par là-bas ; chacun sait que nous autres, médecins, avons choisi de servir la vie plutôt que la mort.»

Le mensonge était si bien rodé, que mes camarades ne doutèrent pas de ce que j’expliquai. Rare étaient les détails donnés, et imaginer une mairie de campagne déguisée en hôpital eu assez de goût pour que je sois relâché de ma peine. On me remercia, et je fus libre de partir. Ils ne remarquèrent pas, je pense, ni mon poing qui se serra, ni les palpitations m’habitant.

Dans les rues sombres, je marche sans presser le pas, m’allume une cigarette. Mon cœur ne ralentit pas, et je commence à sentir monter en moi l’angoisse. Cette soirée avait duré plus longtemps que prévu, et les questions avaient duré pendant plus de la moitié de mon séjour dans le riche appartement.

Du coin de l’oreille, j’entends le sifflement d’une bombe, et tandis que je lève la tête, je ne vois rien. Simplement mon imagination. J’écrase ma cigarette terminée et remarque que, marchant sans m’en apercevoir, j’avais atteint l’appartement d’Adelaïde. Levant la tête, je remarque la lumière de son appartement, allumée. Je ne saurai dire, moi qui veux retrouver mon chez moi, pourquoi je sonne au bas de son immeuble. Elle ne dort pas, et malgré la surprise, m’ouvre la porte. En montant les marches, je me dis que je peux faire demi-tour, qu’elle comprendrait sans poser de question.

Pourtant, l’instant suivant, je me tiens dans ses bras, le cœur battant une chamade rare. Dans la chaleur de son corps, mes peurs s’envolent. Je comprends au bout d’un instant que les larmes ont commencé à rouler sur mes joues sans que je ne le veuille. Je ne comprends pas ce qu’elle me dit, mais sa voix calme mes pensées, qui tourbillonnent. Elle m’installe sur son canapé, où nous avons déjà partagé tant de choses. Ses mains enserrent les miennes, et je retrouve un peu de tranquillité. Elle me dit de ne jamais m’avoir vu ainsi, que je l’inquiète, ce n’est pas mon genre de sortir après la tombée du jour. J’explique, le repas, et les questions sans fin. Je regarde ce visage d’ange qui m’observe en silence, le poids du monde qui effondre mes épaules, lasses des mensonges.

« Nous sommes arrivés à la frontière au début de l’automne, et les premiers ordres furent donnés… »

La nuit durant, je racontais toute l’histoire à mon amante, qui écouta sans broncher, et dont j’entends encore le cœur qui s’emballe.

[toutsophisabelle]

#1: C’est moi!

JE ME PRÉSENTE.

Je m’appelle Sophia et j’ai quatorze ans.

Mon anniversaire est le douze novembre.

Je suis petite, je mesure 1, 58 mètre. J’ai les cheveux courts bruns foncés et les yeux marron.

Je m’intéresse au dessin et le maquillage. Je ne m’ennuie jamais de la musique.

JE SUIS TRINIDADIENNE.

J’habite à Trinité et Tobago dans un grand quartier, appelé Valsayn. Il y a beaucoup de grandes maisons et beaucoup sont assez vieux.

Il y a un parc dans chaque rue, et ils ont des lumières pour Noël chaque année.

On s'impatiente avec les embouteillages, mais on s’amuse bien à rencontrer des gens.

J’AI UNE SŒUR QUI S’APPELLE SONYA.

Elle a onze ans et assiste à l’école avec moi.

On ne se bat pas beaucoup mais si nous nous battons, nous résolvons le problème rapidement. On peut dire que je m’entends bien avec elle.

Elle est ma meilleure amie— même quand je suis agaçante et qu’elle se moque de moi.

On se voit grandir et j’aime ça!

JE SUIS ÉTUDIANTE ET J’AIME FAIRE DE L’ART.

J’étudie les sciences, la géographie, les mathématiques supplémentaires, et bien sûr, le français.

Je fais des accessoires et des sculptures et peins mes ongles.

J’AI DEUX CHIENS.

Mon chien s’appelle Everest, elle est grande et blanche.

Le chien de ma sœr s’appelle Neige. Il est très petit et tout noir.

Ils se disputent souvent à cause de leur différence de taille.

JE SUIS TRÈS CALME ET ORGANISÉ.

J’aime garder la paix et rester en contact avec le présent.

Je m'aime pour mon esprit de résolution de problèmes.

J’aime prendre des notes et garder mon travail ordonné.

[reseau-actu]

L’arrestation de Carola Rackete, capitaine du navire de l’ONG Sea-Watch, a suscité une vive émotion en Europe. Jean-Thomas Lesueur, de l’Institut Thomas More, rappelle que la politique de Matteo Salvini est pourtant majoritairement soutenue par les Italiens.

Jean-Thomas Lesueur est délégué général de l’Institut Thomas More.

FIGAROVOX.- Carola Rackete, capitaine du navire humanitaire Sea Watch, avait été arrêtée par la police italienne après avoir forcé le blocus mis en place par Matteo Salvini. Certains voient en elle une héroïne. Est-ce un sentiment partagé par la plupart des Italiens? Les ONG sont soupçonnées de faciliter l’immigration, parfois par idéologie…

Jean-Thomas LESUEUR.- Les unes après les autres, les enquêtes montrent que, dans leur majorité, les Italiens soutiennent la politique migratoire du gouvernement. Sur un ton désolé, l’institut statistique européen Eurostat a été obligé de constater, dans son Eurobaromètre du printemps 2018, que «l’attitude de l’Italie à l’égard de l’immigration est plus négative que la plupart de ses voisins». Par exemple, 74 % des Italiens y considèrent que l’immigration entraîne des taux de criminalité plus élevés, 58 % que les immigrés occupent des emplois «d’origine autochtone», 62 % qu’ils constituent un fardeau pour le système de protection sociale: des chiffres systématiquement supérieurs à la moyenne de l’Union européenne.

Dans une note interne, l’agence européenne Frontex accusait les ONG d’avoir contribué à entretenir les flux d’immigrés clandestins.

Dès lors, il est logique que six Italiens sur dix suivent Matteo Salvini, contre trois sur dix qui soutiennent Carola Rackete (sondage Tecné pour Quarta Repubblica, 2 juillet 2019). En Italie, les ONG no border n’ont pas bonne presse dans la population. D’abord, parce qu’elles sont pour la plupart étrangères (SOS Méditerranée, qui avait affrété l’Aquarius, est basée en France et Sea Watch est allemande) et que les Italiens trouvent qu’elles pourraient aller mener leurs actions ailleurs. Ensuite, parce que Matteo Salvini les a explicitement pointées du doigt dès son arrivée au pouvoir en juin 2018. Elles sont un peu son «meilleur ennemi»… avec Emmanuel Macron!

Cela dit, il a des arguments et n’est pas le seul à les mettre en cause. Rappelons que dans une note interne de décembre 2016, dévoilée par le Financial Times, l’agence européenne Frontex accusait les ONG d’avoir contribué à entretenir les flux d’immigrés clandestins et, dans certains cas, de collusion avec les passeurs libyens. Ces associations ont démenti avec force mais un petit fait prouve que Frontex n’était sans doute pas loin de la vérité: courant 2016, la baisse observée par les bâtiments qui croisaient en mer dans le cadre de l’opération Sophia du nombre d’appels de détresse a coïncidé avec l’augmentation du nombre des bateaux affrétés par les ONG dans la zone…

Pourquoi Matteo Salvini a-t-il mis en place le blocus? Dans un rapport publié en mai dernier, l’Institut Thomas More alertait sur les carences de l’Union européenne au niveau de la surveillance de ses frontières extérieures…

Que cela plaise ou non aux partisans de l’immigration sans limites, il faut d’abord rappeler que ce que vous appelez un «blocus» et qui est en fait le droit élémentaire pour un pays souverain de contrôler sa frontière et de dire qui entre et qui n’entre pas, cela marche: le nombre d’immigrés clandestins arrivés en Italie par la mer a chuté de 80 % entre 2017 et 2018, passant de 120 000 à 23 000 personnes. Ce résultat n’est pas imputable qu’à Matteo Salvini, il l’est aussi au gouvernement de Paolo Gentiloni, issu du Parti démocrate, qui avait signé en février 2017 un mémorandum d’entente avec la Libye.

Plus globalement, la crise de 2015-2016 aura au moins obligé les dirigeants européens à ouvrir les yeux sur la nécessité de «garder la frontière». Il ne peut y avoir d’ensemble politique constitué sans frontières. C’est vrai pour les nations, ça l’est aussi pour l’Union européenne - même si sa nature politique indéterminée complique les choses. Et l’état d’esprit a tout de même évolué: par exemple, le Conseil européen du 28 juin 2018 affirmait la nécessité de limiter «les arrivées de migrants par un contrôle renforcé des frontières extérieures» et d’accélérer «les retours des migrants en situation irrégulière».

Il faut responsabiliser les pays situés à la frontière extérieure de l’Union.

Dans le rapport que nous avons publié, nous avons montré que, sur la base de ce consensus, il était possible de renforcer le contrôle et la surveillance des frontières extérieures en mutualisant les moyens à l’échelon européen mais en laissant les États membres agir souverainement sur leur frontière. Par exemple, nous pensons que la création d’un corps de dix mille garde-frontières et de garde-côtes au sein de l’agence Frontex n’est pas la bonne réponse car il ne faut pas centraliser et «communautariser» cette question. Nous avons plutôt proposé la création d’un fonds financier abondé par l’ensemble des États membres, qui manifeste ainsi la solidarité européenne et qui permet de financer l’embauche et l’équipement de garde-frontières par les pays qui constituent la frontière extérieure de l’UE (au premier rang desquels la Grèce, l’Italie et l’Espagne). Il faut responsabiliser ces pays et leur donner les moyens d’agir. On le leur doit et ce serait un message positif qu’on leur enverrait.

La gestion des flux migratoires et de l’octroi du droit d’asile doit-elle selon vous être exclusivement laissée aux États-membres? Ou l’Union a un rôle à jouer?

Favorables à une Union toujours plus intégrée, certains, comme la Commission européenne ou Emmanuel Macron, souhaitent une «communautarisation» accrue des politiques migratoires. C’est une mauvaise idée pour trois raisons au moins.

La première est que la problématique migratoire, en ce qu’elle touche la question identitaire particulièrement sensible en Europe, réclame d’être traitée à l’échelon «politique» par excellence, celui des États-nations. La deuxième, directement liée à la première, est que la sensibilité du sujet pour les populations européennes exige que les responsables qui pilotent ces politiques soient facilement identifiables par le citoyen. Le fameux «déficit démocratique» de l’UE interdit qu’un tel transfert de compétences soit envisagé. La troisième raison est qu’il est permis de s’interroger sur l’efficacité sur le terrain d’une méga-agence, Frontex, certes refondée en 2016 et dotée de moyens humains et financiers accrus, mais qui demeure une entité composite (27 nationalités et 24 langues), à la lourdeur logistique et administrative forcément pesante.

Le règlement de Dublin est l’une des principales pommes de discorde de la question migratoire en Europe.

L’objectif doit plutôt être de faire renaître la solidarité entre États membres en respectant leur souveraineté et en les sensibilisant à leur intérêt commun. Il faut donc concentrer l’Union dans les domaines sur lesquels elle apporte une authentique valeur ajoutée - avec les bons moyens d’action: mutualiser les moyens, comme je viens de le dire, pour aider les pays de première ligne à mieux contrôler leurs frontières ; mettre sa masse critique au service de la conclusion d’accords avec certains États tiers par lesquels transitent les migrants (sur le modèle de l’accord UE-Turquie de mars 2016) et d’accords de réadmission (comme c’est le cas actuellement avec la Tunisie) ; élargir et améliorer l’usage du règlement Eurodac (qui permet de savoir si un demandeur d’asile a déjà formé une demande dans un autre État) ; adopter une liste commune de «pays tiers sûrs» et de «pays d’origine sûrs».

Dans son bras de fer avec l’Union européenne, Matteo Salvini menace de ne pas respecter le système de Dublin, qui prévoit que le premier État membre où une demande d’asile est déposée est compétent pour instruire la demande. Est-il en droit de le faire? Quelles seraient les conséquences?

Le règlement de Dublin est l’une des principales pommes de discorde de la question migratoire en Europe. Matteo Salvini sait que sa menace porte parce qu’elle inquiète les autres États membres, que le règlement avantage. Pourquoi? Schématiquement, parce qu’il permet à la France par exemple de reconduire en Italie un débouté du droit d’asile, si celui-ci a d’abord déposé une demande là-bas. Mécaniquement, cela fait que les pays qui sont en «première ligne» (Italie mais aussi Grèce et Espagne) se retrouvent à devoir gérer ces demandeurs d’asile que les pays qui sont en «deuxième ligne» sont trop heureux de renvoyer. Cela crée une situation qui est objectivement inégale.

Pour autant, et c’est certes plus facile à dire quand on est français que quand on est italien, la solution n’est pas dans l’abandon du règlement car le désordre qui en résulterait ne ferait qu’ajouter à la confusion de la question migratoire en Europe, multiplierait les comportements de forum shopping de la part des demandeurs d’asile (qui est le vrai problème de fond) et se heurterait à une opposition frontale de l’écrasante majorité des États membres.

L’objectif doit être de limiter au maximum l’errance des demandeurs d’asile à travers l’Europe. Ce problème pourrait être assez largement résolu par la subordination du traitement d’une demande à un placement en centre de rétention du demandeur d’asile. Le problème est que Matteo Salvini ne veut pas de cette solution, alors que la Commission européenne a proposé que les coûts en infrastructures et en personnels de ces centres soient pris en charge par l’Union européenne…

[yourhuge]

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[info-vapotage]

LE VAPOTAGE N’EST PAS SANS RISQUE

                                             Sophia-M. Jourdain 

“Les jeunes vapoteurs ont trois fois plus de risques de développer une dépendance à la cigarette plus tard contrairement aux non vapoteurs” d’après Natasha Carvalho.

Photo : Le Flagrant Délit 

Québec, 6 décembre 2021 - Tu es une personne fumeuse et tu as l’intention d’arrêter de fumer en utilisant un dispositif de vapotage? Tu es non fumeur et tu souhaites essayer la cigarette électronique? Attention, tu pourrais développer des maladies pulmonaires sérieuses, des maladies du coeur ou, encore, faire un AVC! 

Selon une étude américaine menée par le médecin et professeur à l’Université du Kansas Mohinder Vindhyal, “le taux de crises cardiaques était supérieur de 34% chez les vapoteurs, comparé aux non-vapoteurs, en corrigeant par les facteurs de risque de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle, du cholestérol, de la tension artérielle et de l’historique de tabagisme (Agence France-Presse, 2019 : En ligne)”. En ce qui concerne les maladies artérielles, le taux s’élevait de 25% et de 55% pour la dépression et l’anxiété (Ibid.). 

Par ailleurs, la nicotine que l’on retrouve dans les cigarettes électroniques est généralement responsable des symptômes de dépendance. “Le taux de nicotine contenu dans une fiole de liquide peut aussi être beaucoup plus élevé que dans un paquet de cigarettes, accélérant la dépendance” confirme Natasha Carvalho, intervenante en dépendance jeunesse au Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (Journal Accès, 2021 : En ligne). Les compagnies sollicitent les individus au moyen de saveurs de desserts et de fruits pour dissimuler les effets néfastes de ces cartouches liquides. Ces arômes séduisent principalement les jeunes consommateurs. De fait, les jeunes vapoteurs ont trois fois plus de risques de développer une dépendance à la cigarette plus tard contrairement aux non vapoteurs (Ibid.). D’après Guillaume Jean, médecin résident en cardiologie à l’IUCPQ : Hôpital Laval, “si on veut que le vapotage soit efficace pour la cessation tabagique, on devrait enlever les saveurs pour rendre cela moins agréable à consommer”. 

“ Le plus dur n’est pas la dépendance physique, mais plus souvent la dépendance psychologique liée à la cigarette et le mode de vie qui l’entoure. Oui ça va satisfaire ton besoin physique de nicotine, mais tu vas garder les mêmes habitudes. Si tes amis vont fumer à la pause-café, tu vas les accompagner avec ta vapoteuse. C’est donc un effet pervers, puisque tu peux vapoter à peu près n’importe où” (Jean, Interview). 

Le liquide contenu dans les dispositifs de vapotage est composé d’une variété d’ingrédients comme la nicotine, le propylène glycol, la glycérine végétale et des arômes (Association pulmonaire du Canada, 2020 : En ligne). La majorité de ces substances sont présumées fiables à absorber mais, une fois le liquide chauffé, il s’en dégage différentes substances chimiques par lesquelles l’inhalation est néfaste pour la santé. 

Sur la photo : un dispositif de vapotage. 

Photo : iStock

Bien que plusieurs études aient démontré que le vapotage est moins nocif que le tabagisme, l’utilisation de ce dispositif demeure néanmoins dommageable pour la santé. Pour ceux qui désirent arrêter de fumer, le Dr Jean suggère Nicorette, les timbres Nicoderm et certains médicaments. Au contraire, pour les gens qui ne fument pas, celui-ci ne conseille pas la vapoteuse en raison des problèmes de santé sur le plus long terme. 

“C’est comme si tu commençais à manger des nicorettes, mais tu n’as jamais fumé de ta vie. Tu te mets des saletés dans le corps pareil!” (Jean, Interview)

[agatha322]

Veste Hiver Femme Soldes

Elle a également réussi à garder son maquillage simple et avec cela juste-got-de-lit les cheveux ondulés. Non ce n'est pas beverly hills l'ancienne série. Quand il s'agit de célébrités femelles élégant, qui mieux que sa première fonction Parka Homme Soldes sjp a assisté à CHAMILIA En Solde - Charm CHAMILIA Argent 925/1000-Charm CHAMILIA Argent 925/1000 Blanc perle anneau mars Cristal de Swarovski bleu clair prorsum spring summer 2017 Fashion show qui a eu lieu au cours de la London Fashion Week en septembre dernier 21. SKAGEN En Promotion - MontrèsKAGEN Acier-MontrèsKAGEN Femme, boîtier rond et Bracelet Acier inoxydable gris, Cadran Cristal, Quartz Afficher reste my fave avec sexy, floral Sophia Loren's look-a-aime envahir la piste. Il pourrait être le chaud soleil de Californie ou peut-être la 'Don't care attitude' qui vient avec un tel événement cool. Celebs, modèles, musiciens du monde entier mélanger à la plus chic que jamais. N'importe comment vous regardez, mais faire tourner les têtes. Voici quelques photos de Coachella 2017 fashion style. 2017 devient un choc des styles. De toute façon en lui fournissant ou pas J'aime à regarder et donner une critique d'oeil à certains. Gigi hadid canalisé sa 1970 stargigi rock hadid à Coachella Manteau Long Soldes. Mariah Carey à son hôtel à Londres, le 10 décembre 2017mariah a semblé grand dans son cropped veste en cuir et fourrure haut de cuisse. Nous avons choisi quatre couleurs et trois délicieux classiques vous pouvez porter n'importe quand, n'importe où. Les collants de seuils doivent avoir la Manteau Automne mode de l'hiver 2017. L'honneur d'être l'objet de la première fonction de célébrité ici sur votre prochain jacket va à nul autre que l'incroyable Sarah Jessica Parker. suis filmer sur place son nouveau clip à centre-ville de Los Angeles, Californie, mars 24, 2017 depuis la veste était fait sur mesure pour vous. Et pour ceux qui sont un peu consciente. Cette veste possède également quelques autres Agatha Pas Cher - Bague SCRIPT détails chic, comme le zip poches aux sangles à boucle deux fois sur le côté.

www.manteauxpascher.com/

[soustensions]

After- Une belle aventure

Sous_Tensions est un projet de réalisation d’un jeu vidéo du master MAPI-MAJE, de l’École Polytech’Nice-Sophia. La production s’étend du 9 octobre au 28 février, avec possibilité de porter le jeu au-delà du cadre du master. C’est un projet étudiant, cela veut dire que par défaut, il n’y aucune question d’argent. Le groupe travaille par la seule force de la motivation et l’envie de bien faire. Cela vaut mieux : le jeu sera présenté au Festival International des Jeux à Cannes, en février 2018. Sur ce Tumblr, nous avons décidé d’essayer d’entretenir un blog de développement. Régulièrement, vous pourrez donc retrouver notre avancée, avec nos soucis et nos bonnes surprises, des ressentis, des anecdotes. Bien que nous ayons notre petite idée, on ne sait pas encore exactement à quoi ce blog va ressembler. Puisque nous fonctionnons en méthodes agiles, notre production est divisée en phase de deux semaines ; toutes les deux semaines (à peu près) à partir du 30 octobre, vous pourrez donc retrouver un billet pour savoir l’avancement du projet. Derrière cette volonté, un moyen de communication bien sûr mais l’envie d’avoir une transparence de développement et de prise de recul. Inspiré par Unexcepted (dWarf) ou Compulsion Games (We Happy Few) , nous voulons tenter l’expérience pour voir ce que cela apportera au niveau étudiant. N’hésitez pas à nous faire des retours dessus. Voici maintenant, pôle par pôle, l’avancement du projet:

Alban (Management) :

Ça y est, nous y sommes. Le dernier billet de dev-blog de la 1° vraie équipe du projet Sous_Tensions. Malgré toutes mes précautions, on n’y a pas échappé ; une période de crunch de quelques jours a été nécessaire pour boucler à temps. Notamment sur les graphismes où on a dû sortir les derniers jokers alors que toutes nos solutions ont tourné au vinaigre, l’une après l’autre. L’équilibrage aussi a été revu plusieurs fois ainsi que tous les petits coups de polish que je tenais à avoir pour la démo. Ça a été plus usant pour certains que pour d’autres mais finalement, ça y est, tout était prêt pour le Festival International des Jeux 2018, du vendredi 23 au dimanche 25 février.

Et quel festival ! Même si j’avais mal anticipé la moyenne d’âge des visiteurs, on compte environ une centaine de personnes qui sont passés sur notre stand sur trois jours. Je suis très content de cette fréquentation. Surtout que tous les retours étaient intéressants, de nombreuses personnes ont été touchés par notre jeu. Nous avons aussi des témoignages de gens ayant eu des difficultés dans leur travail et notre message les a frappé en plein cœur. Pour couronner le tout, on a aussi remarqué que le jeu était joué uniquement pour ses qualités ludiques. Tous ces facteurs nous font dire que nous avons pleinement rempli nos objectifs et vous n’avez pas idée comment cela me rend heureux. Le seul regret a été que des doublages ont été réclamés. C’était prévu y a encore 3 semaines mais finalement le temps nous a manqué.

Maintenant, quid du futur ? Je suis heureux de vous dire que oui, l’aventure Sous_Tensions va continuer. Simplement, Chloé et moi, les fondateurs du projet, allons prendre le temps qu’il faut. On va essayer, d’une manière ou d’une autre, de garder le contact avec vous, car croyez-moi, vous voulez être là quand Sous_Tensions deviendra un jeu complet.

Pour l’heure, je ne saurais que trop vous conseiller de nous suivre sur Facebook et Twitter. On vous laisse aussi avec le second trailer. Un vlog sur notre présence au FIJ sera aussi disponnible dans le mois de mai ! Il est cependant l’heure pour nous de partir en stage alors je vous laisse avec le lien de mon portfolio et vous dit à bientôt !

Ciao bye-bye !

Chloé (Ergonomie, Animation) :

Dernière ligne droite dans laquelle j’ai dû me mettre à l’animation. Nous n’avions pas de personnage animé car la personne qui devait s’en occuper nous a finalement lâché à quelques jours de la présentation au festival. J’ai donc retroussé mes manches et j’ai fait des assets graphiques manquants et le personnage.

J’ai également mis en place le questionnaire distribué à chaque fin de session de joueur. Nous avons eu un peu de mal mais finalement nous sommes arrivés à finir le jeu à temps. Je suis très contente de ce FIJ car nous avions un bon emplacement et malgré le temps peu favorable ; beaucoup de personnes sont passés sur le stand durant ces trois jours. Un peu plus de 75 personnes ont testé notre jeu. Nous avons pu avoir des retours très positifs et même des demandes d’aller avec plus loin avec le jeu au-delà du FIJ. Cela m’a fait très plaisir car certaines personnes avaient vécu en quelques sorte l’histoire du personnage principal et s’identifiait à lui. Nous espérons pouvoir continuer ce projet après notre master et qu’il soit aussi bien accueillis qu’au FIJ.

Nicolas (Programmation) :

Cette dernière période de développement avant le Festival des Jeux de Cannes s’est placée sous la bannière du perfectionnement.

J’ai tout d’abord mis en place, au sein du jeu, le modèle et les animations finales du personnage principal, Théo. Parmi celles-ci, on retrouve notamment une animation de marche, de course, d’accroupissement, de marche accroupie, de saut et d’escalade d’échelle, toutes coordonnées pour se déclencher au moment adéquat selon les actions du joueur.

Toujours dans le domaine de l’animation, j’ai également ajouté au monstre une animation de sa tête et de ses membres.

Par la suite, j’ai également participé à une grande phase d’intégration d’assets retravaillés pour le festival, que ce soit au niveau des interfaces utilisateurs, des écrans de préventions et d’informations, ou encore des effets sonores et thèmes musicaux.

Ensuite, face aux retours que l’équipe a pu recueillir des différents playtests pre-festival, j’ai mis en place avec le game designer et son assistant, l’équilibrage ajusté des différents facteurs qui composent le jeu, tels que la durée du sprint, l’impact des choix au sein des dialogues sur la santé mentale, la vitesse du monstre, etc…

Toujours suite à ces retours, j’ai été amené à retravailler certains autres points afin d’optimiser au maximum l’expérience que nous voulions proposer à nos joueurs.

À cet effet, j’ai modifié l’utilisation de certaines mécaniques telles que les touches servant à vérifier les contrôles du jeu ou accéder au calepin, la navigation au sein du calepin, le déclenchement du sprint, etc.

Il a fallu de même intensifier les feedbacks visuels et sonores des actions commises par le joueur et ajuster la poursuite du monstre visuellement.

Enfin, outre ces notions de debug et d’optimisation de l’expérience, j’ai fini par réunir les différents niveaux que nous possédions dans un ordre précis qui constituera le déroulement de la démo présentée au Festival des Jeux de Cannes.

Cela a impliqué un travail sur plusieurs points : la mise en place des fins conditionnelles (en fonction de la santé mentale restante à Théo en fin de jeu et des décisions qu’il a prise dans son enquête), le réglage des liaisons entre les différents écrans d’informations et les niveaux de jeux et enfin le conditionnement de l’entrée / sortie des niveaux et du déclenchement des événements en fonction de la progression actuelle du joueur dans l’aventure.

Portfolio : http://nicolasgoliard.com/

Caroline (Quest Design, Asset 2D) :

La semaine avant le FIJ, j’ai terminé mon travail. J’ai fait les quelques assets 2D que l’équipe m’a demandé, comme les deux formes du monstre, des plots, des caisses, des barrières, des néons… C’était relativement tranquille.

Le FIJ a pour moi été une expérience intéressante. J’ai peut-être été un peu trop timide envers les gens qui s’intéressaient au stand du Master, mais sur la fin, j’allais naturellement renseigner les personnes qui étaient potentiellement intéressées pour venir s’inscrire dès la rentrée prochaine, notamment un groupe d’étudiants Toulousains. Nous étions bien placés et il faut dire que comme nous nous entendions tous, premières comme deuxièmes années, l’ambiance était agréable.

Ce que je peux retenir du projet Sous_Tensions, c’est d’abord la possibilité pour moi d’avoir essayé et adopté un nouvel outil (la tablette graphique). J’ai encore BEAUCOUP de travail à effectuer pour me perfectionner mais c’est déjà bien parti. Enfin, il faut dire que l’équipe avec laquelle j’ai travaillé a été vraiment super. Alban et Chloé étaient à l’écoute de nos problèmes mais aussi de nos idées, ils ont bien géré le projet au niveau des sprints et il n’était pas désagréable de travailler avec eux. Avec le reste de l’équipe, soit les petites mains, tout s’est bien passé également. Il y avait une bonne entente générale et c’est surtout ce que j’ai pu retenir de cette expérience.

Pour la suite, j’espère que mon projet sera accepté à la Creative Academy comme l’a été Sous_Tensions en son temps. J’espère être une bonne chef de projet/Scrum master et j’espère surtout trouver un stage… !

Portfolio : https://gilicaroline.weebly.com

Maxime (Level Design, Quest Design) :

Le dernier sprint, aussi intense fut-il, a été une super expérience. Ok avec le dev on a passé quelques nuits à intégrer et implémenter les éléments que l’on recevait pour boucler le jeu. Mais le résultat en valait la chandelle. Aucun bug critique n’est venu entacher l’expérience des joueurs.

Lors du FIJ on a pu voir les réactions des joueurs et leur façon de jouer et ainsi voir si la conception de notre jeu et l’aide apportée in game au joueur ont été efficaces. Avec pour la journée du samedi le nombre assez incroyable de 0 joueur ayant réussi à finir le jeu, on peut se dire qu’on a peut-être été un peu trop exigeant sur les phases de plateformer.

Malgré cela pour un serious game, j’ai l’impression que la plupart des gens ont tout de même pris du plaisir à y jouer et découvrir l’histoire que nous leur avons racontée.

Sinon concernant cette première expérience au FIJ à titre personnel, c’était super intéressant de voir pleins de personnes jouer au jeu sur lequel on travaille depuis plus de 5 mois. Je reste encore assez étonné de voir la diversité des profils qui sont venus jouer.

À l’année prochaine pour de nouvelles aventures. Disons-le aussi, c’était bien cool de bosser avec cette équipe.

Ps : On pense à tous les jeunes que nous avons recalés car le jeu était trop mature pour eux 😊

Robin (Quest Design, Sound Design) :

Pour cette dernière ligne droite, la quasi-totalité de mon travail a été porté sur le son. Prospection de SFX libres de droit, mixage de ceux-ci ou création de toute pièce via mon logiciel de MAO.

Encore des tâches intéressantes à accomplir donc et dont les résultats ont, selon moi, rempli leur office de manière suffisamment convaincante ingame.

L’expérience du FIJ m’a permis de me détacher du jeu et d’adopter le point de vue du tout venant vidéoludique, étude comportementale du joueur par rapport au gameplay mis à part, l’approche du bloc narratif conséquent a été variable selon les types de joueurs. Certains qui cherchaient l’action ne lisaient pas et repartaient déçus du « trop plein de texte », d’autres lisaient et étaient assez souvent ravis de l’expérience.

J’en conclue donc sans grand étonnement que c’est un genre qui ne fera pas l’unanimité. Mais ce n’est en soi que peu important, nous avons reçu beaucoup de retours positifs quant à l’écriture et à la légitimité des situations qui créent le lien avec le burn out. En effet, Chloé et Alban m’ont rapporté des témoignages de victimes de burn out ayant essayé le jeu, l’ayant trouvé « utile ». Ce qui contribua à m’emplir de fierté vis-à-vis de notre équipe et de notre travail sur ce semi-serious Game.

Antonin (Communication, Quest Design) :

C’est le bout du tunnel que l’on aperçoit. Tout doit être prêt pour le FIJ, on passe la seconde et on fonce ! Au final tout s’est très bien passé, beaucoup de monde est passé tester le jeu et la majorité des retours que l’on a eu était plus qu’encourageants !

Pour ce qui est de la communication vous aurez surement remarqué qu’un petit trailer final du jeu avait fait son apparition. Pour les curieux vous pouvez le regarder ci-dessous sur la chaîne YouTube de notre Master (y’a aussi les trailers des autres projets ;) ) :

https://www.youtube.com/watch?v=Gkwo9n7eOcU&feature=youtu.be

Sinon tout n’est pas totalement fini pour moi ; j’ai bossé sur un vlog (le même dont parlait Alban dans sa partie) pour vous partager notre expérience. Vous pourrez y voir nos bouilles et surtout notre beau stand avec plein de gens dedans !

Pour conclure Sous_Tensions était vraiment une belle expérience, on m’y a laissé y faire ce que j’aime et rien que pour ça merci ! Avant de partir hiberner pendant un bon moi pour récupérer je vous rappel que les différentes pages ci dessous n’attendent que vous :

Facebook : https://www.facebook.com/Sous-Tensions-133920257357106/

Twitter : https://twitter.com/sous_tensions?lang=fr

C’est la fin du dernier billet de dev-blog. Comme l’a dit Antonin, on ne saurait que trop vous conseillé de nous suivre sur Facebook et Twitter. On rappelle aussi, à toute fin utile, notre adresse e-mail sous.tensions@outlook.fr. Le projet vivra alors restez connecté !

À bientôt !

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Chaussures De Ski

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[clifford-powell]

Trouver Une Porte Interieure Que Vous Devez Connaitre Avant De Choisir

Table of Contents

3 Faits Simple Pour Explorer Une Porte Interieure Qui Démontrent Un Gain

Une Vision Sans Biais de Comparer Une Porte Interieure

Le Buzz Sur Utiliser Une Porte Interieure

Recevoir Une Porte Interieure - Fondamentaux A Savoir

Le Guide Supreme Pour Utiliser Une Porte Interieure

L'une des options les plus importantes, le panneau de fibres d'épaisseur de l'outil, ou MDF, est une option à prix modéré pour la majorité des maisons. C'est une porte en bois artisanale, ce qui suggère qu'elle ne se déforme pas comme le bois, mais elle se sent vraiment et lui ressemble. La porte est très facile à repeindre et ne présente aucun type de motif de grain.

Le Premier Principe de Comprendre Une Porte Interieure

Ceux-ci sont en produit composite façonné ou en contreplaqué, mais au lieu d'être solides avec tous les moyens, l'intérieur est creux. La porte est plus légère, mais permet également à plus de bruit de la traverser. Néanmoins, ces portes sont commodément installées et ont également tendance à être courantes pour les choix budgétaires bas de gamme.

Un peu diverses, les portes à âme pleine sont développées comme une âme creuse. Cependant, ils sont pleins d'un type de mélange de fibres de bois. Ils ne sont pas faits de bois solide, mais plutôt d'un produit de remplissage d'ingénierie. Cela ajoute beaucoup plus de sécurité audio et de contrôle du niveau de température, mais a tendance à maintenir les dépenses un peu plus que la porte en bois solide.

Des Indicateurs Sur Choisir Une Porte Interieure Que Vous Devez Connaitre

Il est possible d'acquérir des portes totalement vitrées, parfois appelées portes sans cadre. Néanmoins, ils ont souvent tendance à être beaucoup plus difficiles à installer. Le métal et le verre ou le bois ainsi que les mélanges de verre sont fréquemment facilement disponibles et ont également tendance à permettre plus d'attrait ainsi qu'une circulation de la lumière via l'emplacement. Idéal à l'intérieur, il peut s'agir de portes très modernes pour les bureaux ou les tanières.

Quoi Comprendre Explorer Une Porte Interieure

En particulier, la performance est un élément oublié de la sélection d'une porte. Bien sûr, vous pouvez vous contenter de pratiquement n'importe quel type de porte, lorsque vous utilisez une porte plusieurs fois par jour, faire l'effort d'en choisir une qui offre l'expérience idéale vaut bien l'investissement financier. De plus, ce n'est pas seulement le droit ici et maintenant que vous devez prendre en considération.

Hissan ainsi que l'appartement ou le condo de Sophia à Brooklyn Bien que la vie à aire ouverte soit devenue la norme, de nombreuses résidences ont encore besoin de quelques portes ici et là pour offrir une intimité personnelle et définir des espaces. Et même si vous n'auriez pas pu vraiment y réfléchir, il y a beaucoup de choses à considérer lors du choix des portes intérieures. Continuez à lire pour une présentation approfondie des bonnes préoccupations à poser, du matériel et des alternatives, ainsi que des prix associés aux entrées intérieures.

Les portes intérieures comportent un score de «classe de transmission audio» (STC), qui détermine le niveau de perte sonore - Porte intérieure. Plus le nombre est élevé, meilleure est la barrière audio. Votre solution vous aidera à resserrer le type de produits que vous prenez en considération, car seuls certains types peuvent être décolorés (voir ci-dessous). Si vous vous préparez à peindre, vous pouvez choisir parmi la gamme complète d'options. Les dalles sont moins chères. Les styles plus simples ont tendance à être moins coûteux (pensez à une dalle minimale par rapport à des panneaux multiples ornés) quand tout le reste est égal. Les coûts des portes intérieures vont de 25 $ à 1000 $ ou même plus, de sorte que le fait d'avoir un plan budgétaire cible resserrera certainement votre zone à une collection de sélections plus réalisable.

Le Plus Important Principe de Trouver Une Porte Interieure

Dans l'ordre approximatif des dépenses du moins cher au plus cher, les portes peuvent être à âme creuse, à âme solide, en bois massif ou en métal. Dans la sélection à la fois du noyau creux et du noyau plein, il existe des choix moulés ou MDF. Noyau creux: Cela indique que l'intérieur de la porte est chargé avec un déflecteur en carton ou un autre produit tout aussi léger.

Ils ne sont pas optimaux pour la sécurité incendie, et sont facilement entaillés mais parfaits pour les applications de qualité peinture. Commence à 25 $. Noyau massif: Ces portes sont en bois composite à l'intérieur, avec un placage de bois à l'extérieur. Les composites sont incroyablement denses, et pour cette raison, plus grands qu'une porte en bois massif. Transfert audio à haute densité, ce qui en fait un excellent choix pour les salles de bain et les chambres à coucher.

   D'autres qualités remarquables sont leur durabilité et leur résistance aux intempéries. Les portes à âme pleine peuvent être repeintes ou ternies. Commence à 50 $, mais les normes autour de 200 $. Moulé: Ces portes sont créées à partir de résultats en fibre de verre ou en bois qui ont été formés pour ressembler à une porte en bois. Ils peuvent être à noyau creux ou plein.

Varie de 20 $ à 150 $. MDF: Le panneau de fibres d'épaisseur de l'outil est un élément en bois artisanal. Habituellement considérées comme meilleures que les portes moulées, elles sont en outre beaucoup plus lourdes, obstruent mieux le son et sont également disponibles en âme creuse ou pleine. En outre bon pour la peinture, mais pas approprié pour la décoloration. Commence à 30 $. Bois massif: ce type de porte est entièrement fabriqué à partir de bois entièrement naturel.

Savoir En 5 Minutes Comment Utiliser Une Porte Interieure

Le pin, par exemple, est un acajou léger par rapport à l'acajou qui est vraiment lourd et donc une option d'insonorisation. Ils ont tendance à être le choix le plus coûteux et peuvent également être beaucoup plus ajustables. Ils sont extrêmement sensibles aux modifications de l'environnement. Le bois solide est commodément peint, décoloré ou laissé tel quel pour un aspect beaucoup plus rustique.

Acier: Les portes en métal sont rares pour l'intérieur, mais très populaires. Normalement, ils ont tendance à être en acier et en verre, et créent également une sensation industrielle ou de type loft pour diviser un bureau ou un espace de collection. Ils sont l'option la plus lourde et peuvent même nécessiter un renforcement pour s'assurer que le cadre environnant peut résister au poids.

Le métal peut être peint. Commence à 100 $, mais peut atteindre des milliers de dollars. De nombreuses configurations atteignent divers objectifs: certaines portes peuvent mettre en valeur une pièce tandis que d'autres diminuent l'attention sur un endroit inconfortable. Vous pouvez le garder basique avec un facteur d'accès solitaire ou augmenter pour une apparence beaucoup plus significative.

Gardez à l'esprit que, pour garder les chemins dégagés, les portes doivent être fermées dans les couloirs. Cette représentation utile vous dit ce qui est quoi (cela peut être un peu déroutant!). Les portes doubles sont à battant central ou coulissantes. Choisissez la conception et la fonction Vous pouvez également envisager des entrées doubles, généralement appelées portes françaises, qui ont des panneaux de verre sur toute leur taille, une excellente option pour relier 2 zones que vous voudrez peut-être ouvrir les unes aux autres.

Le Journal Magasiner Une Porte Interieure

Les plis en deux (également appelés pliage) sont généralement utilisés pour les armoires, mais les versions en verre peuvent également être utilisées pour ouvrir un espace de vie autant que l'extérieur. Vous pouvez également choisir ceux qui sont à persiennes, ce qui permet à l'air et à un peu de lumière de voyager à travers ses lattes. De plus, même si ce n'est pas souvent vu dans les maisons de la ville de New York, il n'y a aucun facteur que vous ne pourriez pas avoir une porte hollandaise dans votre cuisine! Bien que ces alternatives plus rares ne soient certainement pas aussi efficaces pour bloquer le transfert du son, elles ajouteront absolument encore plus de caractère qu'une porte solitaire typique.

Le plus mince est de 1 3/8 pouces, après cela 1 1/2, 1 5/8, avec le plus épais 1 3/4 pouces. Ils vont de 28 à 32 pouces de large, ainsi que généralement 80 pouces d'élévation. Les ouvertures de garde-robe peuvent mesurer seulement 78 pouces de hauteur, elles seront donc généralement largement proposées. Si vous avez déjà une structure en place, vous devrez vous assurer que votre nouvelle dalle correspond aux mesures existantes.

Découvrez d'autres moyens de maintenir le bruit à distance dans votre maison. Ici, Deniz et Ramon ont décidé d'insonoriser leurs sols et leurs surfaces murales. Sweeten sélectionne les professionnels généralistes les plus efficaces pour correspondre au domaine, au budget, à la gamme et au style de chaque tâche. Adhérez aux concepts d'amélioration et de motivation et également lorsque vous vous préparez à rénover.

[seneweb]

Elle a recu un coup fatal de son grand-frère jaloux

Rédigé par leral.net le Vendredi 11 Septembre 2020 à 18:00 | | 0 commentaire(s)|

Sophia Thiam se rappelle de sa tenue sexy pour se rendre à une soirée. Seulement, son frère très jaloux, la voyant descendre les escaliers de la maison, la gronde et lui envoie un objet dur sur le dos.

Alors qu’il s’agissait d’une mise en scène pour voir son comportement. Mais, il n’a rien compris.

Ainsi, l’actrice demande aux frères, maris et autres prétendants à garder leurs calmes et sang-froid pour éviter d’occasionner un drame.

Crédit: Lien source

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source https://seneweb.fr/elle-a-recu-un-coup-fatal-de-son-grand-frere-jaloux/

[larryland]

by Gail M. Burns

The minute that Sarah Corey makes her entrance as Neil Simon’s indomitable matriarch, Kate Jerome, Oldcastle Theatre Company‘s production of Brighton Beach Memoirs you know who’s in charge here. This is Corey’s second Oldcastle turn as Kate, having played an older iteration in Broadway Bound in 2017, and for those of us lucky enough to have seen both productions, it is like coming home. Even if your mother wasn’t Kate, Kate is your mother for the two and a half hours you will spend with her.

  Brighton Beach Memoirs is the first in Simon’s trilogy of plays about the Jerome Family. It is September of 1937, and Eugene (D. J. Gleason), our narrator, is 15, while his brother Stanley (Anthony Ingargiola) is 18, just out of high school and into the work force. Their father Jack (Eli Ganias) is a garment cutter for a manufacturer of ladies’ raincoats, who also takes on other odd jobs to support his family in the Great Depression. Their mother Kate is a homemaker, and for the past three years their home has also included Kate’s widowed sister, Blanche Morton (Sophia Garder), and Blanche’s two daughters, Nora (Kate Kenney), 16, and Laurie (Kristen Herink), 13.

  The family owns a three bedroom house in the Brighton Beach section of Brooklyn. They are Polish and Jewish and they worry daily about family back home as Hitler advances through Europe. Everyone scrimps and save and true poverty is always kept just at bay, but at heart the Jeromes are proud that they can manage on what they do have.

  All of that managing falls on solidly on Kate’s shoulders. In addition to corralling four teenagers, she is the emotional prop for her depressed sister and the physical shield for her over-stressed and ailing husband.

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Corey’s performance is absolutely solid and immediately appealing. She gets this woman, her considerable strengths and her failings. Simon has crafted the character with tremendous love, and Corey channels it beautifully.

  Gleason’s Eugene is bursting with the sexual and physical energy with which a boy of that age is possessed, and his antics provide most of the comic relief in what is otherwise quite a sober family drama. I often have a hard time with adults playing children, and I felt that a bit with Herink’s Laurie, but Gleason had me completely convinced that he was still in high school and torn between his love for baseball and ice cream, and his new found frenzy for the female form.

  Ingargiola brings a warmth and genuineness to the role. His Stanley is a terrific Big Brother and a loving son, even though he is also just barely an adult and subject to the failings of his age. Ganias’ Jack connects well with the rest of his family – even his sister-in-law – providing a strong father figure even as he struggles to stay healthy enough to fulfill his bread-winning role.

  Garder’s face is just a mask of tragedy as the bereaved Blanche, a woman who invested her whole self into her marriage only to be left rudderless at its sudden demise. But like her sister Kate, she is devoted to her children, even though she lacks the strength of her convictions to guide them towards adulthood. I felt Kenney was miscast as Nora. She didn’t look like she could be Garder’s daughter or Herink’s sister, and she looked to mature to pass as 16.

  At a time when we are hearing a lot of rhetoric about who is “an American” with various unflattering stereotypes being pinned to different ethnic groups, it is hard to hear Kate’s disgust and anger at the Irish family who lives across the street and their son who hopes to date her sister. Earlier in the 20th century discrimination was strong against both the Irish and the Italian, and to a lesser extent the German, immigrants to New York City. It is interesting that Kate, who understands so clearly what discrimination has done to her ancestors, cannot understand that she is perpetuating an identical violence against another ethnic group.

  Richard Howe’s manages to pack an awful lot of distinct rooms into the Oldcastle performance space, creating the cheek-by-jowl intimacy that the two families sharing one home must feel. Stith and his actors are careful to use each doorway at the appropriate time for the appropriate purpose, so you soon catch on to the condensed floorplan of the house. Ursula McCarty’s costumes are good, but they veer heavily towards purple, particularly in the second act, which is puzzling.

  Like Tennessee Williams’ A Glass Menagerie, Brighton Beach Memoirs is a memory play, a family seen through the eyes of the son. While it is generally accepted as a semi-autobiographical work, there aren’t actually many direct parallels to Neil Simon’s own family. He said himself that the Jeromes were “the family I wished I’d had instead of the family I did have.” So we can’t look at them as direct representation of the Simons, but it is clear that Simon loved the Jeromes like family. Oldcastle loves them too, and it is wonderful that they have brought them back to Bennington in this strong and proud production,

  Brighton Beach Memoirs by Neil Simon, directed by Nathan Stith, runs July 12-28, 2019, at the Oldcastle Theatre Company, 331 Main Street in Bennington, VT. Set design by Richard Howe; lighting design by David V. Groupé; sound design by Cory Wheat; and costume design by Ursula McCarty. Stage Manager Liz Raymond. CAST: Sarah Corey as Kate, D. J. Gleason as Eugene, Anthony J. Ingargiola as Stanley, Eli Ganias as Jack., Sophia Garder as Blanche, Kate Kenney as Nora, and Kristen Herink as Laurie. The show runs two and a half hours with one intermission. For tickets and more information visit http://oldcastletheatre.org/ or call 802-447-0564.

  REVIEW: “Brighton Beach Memoirs” at Oldcastle by Gail M. Burns The minute that Sarah Corey makes her entrance as Neil Simon’s indomitable matriarch, Kate Jerome, …

[uel2019s1]

Êtes-vous un robot ?

Les intelligences artificielles tel que les chatbots ,les robots et les assistants vocaux se nourrissent des données personnelles afin de se développer et imiter l’intelligence humaine. Elles sont dotées d’un apprentissage automatique, qui leurs permettent d’exécuter des performances en apprenant avec des données personnelles. Nos données collectées sur internet, sur nos réseaux sociaux , des captcha , et de nos téléphones leurs sont transmises afin qu’elles puissent exécuter des tâches comme des êtres humains.

La distinction entre l’humain et l’intelligence artificielle à cause de la collecte de données personnelles  ne devient-elle pas difficile à faire ?

Cette distinction devient de plus en plus confus face aux nouvelles technologies d’intelligences artificielles comme les chtabots qui sont des logiciels de robots qui dialoguent avec un consommateur. Ils sont nourris d’algorithme de conversations ou des phrases automatisées qui leur permettent de répondre aux questions du consommateur. Ils peuvent aussi être doté d’un logiciel de traitement de langage naturel ou posséder des capacités d’apprentissage. Lorsque nous parlons avec des conseillers sur internet nous ne savons pas réellement  si ce sont des intelligences artificielles ou des humains.

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/05/25/l-intelligence-artificielle-alphago-bat-une-nouvelle-fois-le-champion-du-monde-de-go_5133716_4408996.html

Alpha GO est un programme informatique qui est capable de jouer au jeu de go et qui a battu en le meilleur des joueurs. Des données de parties jouées par des professionnelles lui ont permis d’apprendre et d’imiter le raisonnement des joueurs. Son algorithme lui permet de chercher les combinaisons différentes en peu de temps. Il possède aussi une techniques d'apprentissage automatique lui permettant de s’entraîner avec des ordinateurs, des humains ou avec lui-même. Cette victoire a causé de nombreux doutes chez les spectateurs se demandant si ce n’était pas un humain qui jouait à la place du programme informatique.  

Les intelligences artificielles sont de plus en plus créés de façon à nous ressembler physiquement ou à pouvoir dialoguer avec nous comme  des êtres humains à part entière. Cette envie de les rendre de plus en plus « humain » rend la distinction de plus en plus mince.

https://www.youtube.com/watch?v=S5t6K9iwcdw

En 2017, le  Robot Sophia  a eu la nationalité saoudienne. Elle a l’apparence physique d’une femme, et est capable de dialoguer ainsi que de dessiner. 

https://www.parismatch.com/Actu/Insolite/Un-Chinois-s-est-marie-avec-son-robot-humanoide-1225544

Un Chinois a décidé de se marié avec une femme robot capable d’identifier des personnes et des caractères chinois en 2017.  

  https://www.youtube.com/watch?v=ld9m8Xrpko0

Dans un épisode de Black Mirror, bientôt de retour, Martha essaie un service expérimental qui exploite les données enregistrées sur internet sur des personnes décédées pour continuer à échanger avec eux. Elle entretient des échanges par messages avec une intelligence artificielle imitant Ash son défunt copain. Suite à une chute de son téléphone dans l’eau qui l’empêche de parler au Ash virtuel elle essaie un service expérimental qui consiste à créer un clone de Ash. Le clone a les mêmes caractéristiques physique et les mêmes souvenirs que Ash. Mais Martha finit par être gêné par son comportement différent du vrai Ash car le clone ne dispose pas de libre arbitre et se conforme exactement aux ordres donnés. De plus  il ne mange pas, ne dort pas et ne respire pas. Martha finit par l’emmener près d'une falaise et lui demande de sauter. Alors qu'il est sur le point de s'exécuter, Martha lui signale qu’un vrai  humain comme Ash n'aurait jamais fait ça sans résister. Le clone imite donc un sentiments de tristesse et la supplie de ne pas lui faire ça.

Dans cette épisode l’intelligence artificielle a pu imiter Ash grâce aux données collectées et à l’envie qu’avait  Martha de lui faire ressembler le plus possible à Ash. Il en vient à avoir les mêmes souvenirs, les mêmes caractéristiques physiques. Il a la capacité d’imiter un sentiment d’amour pour Martha, et un sentiment de tristesse pour ne pas sauter de la falaise. Cette distinction entre humain et robot a peut-être été compliqué à faire pour Martha car celle-ci décide de le garder dans son grenier et vient le rendre visite de temps en temps avec sa fille.

La distinction entre humain et intelligence artificielle est de plus en plus difficile à faire car leurs capacités leurs permettent d’imiter nos comportements et nos raisonnements et les progrès technologiques leurs permettent de nous ressembler physiquement. Néanmoins leurs capacités sont limitées car elles reposent sur nos données et ne disposent pas de raisonnement ni de volonté propre ce qui les différencie de nous. 

https://www.lci.fr/high-tech/intelligence-artificielle-villani-macron-ces-domaines-ou-les-machines-robots-surpassent-deja-les-humains-2077631.html

Les intelligences artificielles ont été créés non pas dans le but de nous remplacer mais d’améliorer des capacités humaines, mais nous pouvons demander si le développement des leurs capacités ne permettront-il pas de nous surpasser. Nous pouvons le voir avec l’Alpha GO qui a battu le meilleur des joueurs de go ou en mai 2016 une machine a réalisé une opération de chirurgie de manière autonome. 

ZANSY MARIE L2 DROIT

[payetafac-blog]

“T'es gourmande toi ! Et en plus tu es blonde!”

Université Nice Sophia Antipolis - Mon prof de physique lorsque je demandais si l'intervenant présent nous garder une ou deux heures. 

[sophiehebert-blog]

Pourquoi la mer est-elle salée ?

Ce blog a désormais un parrain : Baptiste E. Il est sans doute l’élève le plus original que j’ai jamais eu. Personnalité subtile, discrète et drôle, avec une pointe d’entêtement mutin. Il est aujourd’hui en seconde générale. Je l’ai toujours imaginé “grantécrivain” dans un futur proche - même si ce n’est pas du tout son ambition première. Baptiste a donc accepté de me livrer, au fil de l’eau, quelques textes écrits durant ses “années collège”. Voici sa première rédaction - il était alors en sixième, détail qui a son importance quand vous lirez la suite - mettant en scène, rien que cela, tous ses professeurs dans un bateau à partir du sujet suivant : “vous rédigerez un conte merveilleux répondant à cette question : Pourquoi la mer est-elle salée ?”

Il était une fois un vieux loup de mer du nom de Richard Mc Grigou, qui n’a aucun rapport avec l’histoire, mais qui puait le poisson avarié.

Il était encore une fois, ne vous déplaise, un fier navire baptisé “David Niépce”, dont les blanches voiles triangulaires avaient été rénovées suite à une violente tempête qui coûta cher à la propriétaire et capitaine du bateau, la redoutable Sophia Herbert. Dès son plus jeune âge, elle découvrit une réelle affection pour les pantalons rouges, et elle gardait d’ailleurs ses toutes premières  culottes aux longues jambes (définition du dictionnaire Larousse 2005) dans sa garde-robe, faute de sa petite taille.

L’équipage du “David Niépce” était composé d’une soixantaine de personnes, toutes figuratives, sauf trois d’entre elles : le célèbre mathématicien québécois Kalvin Desmilieux, qui donna son nom au tout aussi célèbre et ennuyeux théorème, le peintre narcoleptique Théo Dort, connu pour avoir développé une technique permettant de peindre en dormant, et bien sûr l’inévitable, l’inconnu mécanicien Thierry Grégoire, et, pour finir, le plus égoïste et avare de l’équipage, le quartier-maître du navire, Simmon Simon.

Il faut également savoir que Desmilieux était réputé pour être le seul homme à avoir réussi le fabuleux exploit de se saler le cerveau à l’âge de 8 ans, après s’être ouvert la tête suite à une mauvaise chute, lorsqu’il jouait à la course avec sa tortue Gaugau.

Un beau jour, qui s’avéra finalement très laid si vous avez le courage de lire la suite de l’histoire, où la capitaine portait un pantalon rouge, où le ciel était sombre et le soleil jaune, bien qu’il était caché par les nuages, une tempête se déclara dans l’Océan Pacifique, où naviguait justement le “David Niépce”. Sophia, dont la dyslexie se percevait même à travers ses dialogues, prononça ces mots : “Puté’con ! V’la-t-y dond qu’reviens la tempaite ! va encore falloir calmer les mauviettes !”, puis elle cracha par terre et tua une poule qui passait par là. Théo Dort était alors dans sa cabine, dans l’espace inférieur du navire, à poursuivre son portrait du capitaine, qui avait aimablement posé pour lui dans une position sensuelle, le jour où il commença le tableau. Le mathématicien était également dans ses quartiers, à calculer le pourcentage de bananes qu’il avait ingurgité depuis sa naissance, quant au mécanicien, il donnait des conseils au peintre, car les mécaniciens n’existaient pas encore sur les navires à cette époque. Simon était tout simplement en train de recompter son précieux argent.

Vers 10 heures du soir, dans la nuit plus noire que du chocolat noir, le vent soufflai de plus en plus et la pluie commençai à commencer. Puis elle fut de plus en plus forte, et l’équipage dut écoper 1 pour éviter que le navire ne sombre dans les profondeurs des profondeurs de l’eau foncée du Pacifique (quelle belle phrase !).

L’équipage était horrifié par l’eau qui progressait dans la cale. Les marins les plus courageux, comme Aloïs et Phidias, tentèrent de garder leur sang froid au milieu des mauviettes paniquées, mais il cédèrent eux aussi à la panique.

Il était vers 2 heures du matin quand Kalvin se rendit compte qu’il avait fait une erreur de calcul (Je vous laisserai un petit calcul à la fin) sur une de ses feuilles de papier jaunâtres, ce qui entraîna un de sa part un dialogue tout à fait honorable et spirituel : “Caribou ! Caribou ! Qouô ? Moûo ? J’a fait une arreur dans l’calcul ? Moûo ?! Y’a rien d’pire qu’a puisse pour arriver, ça !”. Il sortit alors de sa cabine et constata les dégâts causés par la tempête, et c’est alors que madame Hébert se rendit compte que je ne m’étais pas trop embêté en utilisant un point de vue général, ce qui me facilite la vie mais gâche le suspense, quoi que cette phrase fera rager de nombreux lecteurs, tout le monde courait dans tous les sens, les bras levés. Les moins courageux, comme Aloïs et Phidias, avaient sombré dans la folie, et, pendant  qu’ils chantaient des chansons paillardes parodiées en chansons religieuses, et non l’inverse (ce qui donna “Je t’enfonce ma… parole divine”), d’autres criaient “C’est la fin du monde ! On va tous crever !” en s’embrassant, se croyant dans un film romantique homosexuel. Kalvin sentit la rage monter en lui, ce qui fit exploser son cerveau.

Et, comme Sophia pleurait, que Théo bavait en dormant, et qu’un certain nombre de marins fous urinaient un peu partout dans l’eau, le mélange des larmes, de la bave, de l’urine et de l’eau fit une réaction chimique aussi improbable qu’un second bing bang, et causa la multiplication des minuscules morceaux de cervelle du mathématicien, ce qui fit exploser le bateau à son tour. Alors, à votre avis, pourquoi la mer est-elle salée aujourd’hui ?

[Baptiste E., en 6E, si ma mémoire ne flanche pas trop, à l’époque]