Tumgik
#animaition
cailaventog · 4 months
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Star sheep!
I know im bad at animation pls bare with me, he a cutie!
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zubneo · 1 year
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Not me trying to explain their dynamic through memes
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mossybeebone · 1 year
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this is may be controversial but Ilike the new Vash design..........except the glasses, those were too cool to let go
give me back those fancy glasses
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tripfresh · 6 months
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astarionposting · 5 months
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🌒 II. [gifset/sfw] PROMISE ❥ Laufey
❝ I've done the math,
ㅤㅤthere's no solution,
ㅤㅤㅤwe'll never last;
ㅤㅤㅤㅤWhy can't I let go of this? ❞
ㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤㅤI. [photo set]
I AM OBSESSED WITH THE NEW ASTARION KISSING ANIMAITION I JUST WISH IT WAS FITTED FOR BODY TYPE 1 BETTER CAUSE E JUST KISS UR FOREHEAD... :(
AND THANK YOU FOR 900 FOLLOWERS WTFFF???
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This is actually crazy.. .like I didnt think id have this many people interested in what i post lol, but thank you for supporting me! it makes me very happy <3
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ltalaynareor · 2 months
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Baudouin IV de Jérusalem et Saladin
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"Baudouin sut voir en l'homme de trente-huit ans qui lui faisait face l'implacable détermination d'un être qui se disait l'élu de Dieu pour reprendre Jérusalem, mais il ressentit en lien un bouleversement de l'âme, percevant cette foi vive qui animait le musulman, cette douceur mystique profonde et sans exaltation aucune, le calme tranquille de celui qui parle à son Dieu, ne cesse de le chercher, ne voit jamais comblée sa soif de contempler, tout tendu vers le désir de sa Volonté. Saladin, lui, ne put contenir qu'à grande peine son émotion devant ce visage déformé où brûlait le regard intense de volonté farouche de celui qui ne plierait jamais. Face à cet être qu'il voyait bataille après bataille s'anéantir et se détruire un peu plus, une pensée vint l'assaillir, qui le fit tressaillir. J'aurais aimé l'avoir pour fils..."
Laurence Walbrou-Mercier, Baudouin IV de Jérusalem, " C'est pourquoi je ne faiblirai pas", 2008.
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wistfulcynic · 2 months
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement à un des hommes dans son tableau préféré. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble à l'autre. Ça donne l'impression d'être destiné.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa première visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui était, à tous les autres égards, bien peu mémorable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensées. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-même le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fierté de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unité, le fil de leur lien impossible de nier, palpable même depuis une peinture et à travers trois cents années. Il se souvient du désir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unité. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du manière dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
Même aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. Même pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnâtes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siècle de la National Gallery de Londres, un boulot de rêves pour lequel il a travaillé toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais… doucement triomphant, et pour la plupart à soi-même. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musée, savoir que c’est sa place, une place qu’il a méritée, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais été. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la première fois à Auckland il y a tant d’années, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallérie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent à nouveau ce désir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose très particulière dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme… il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarqué autrefois, évidemment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus âgé—du même âge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indéniable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiosité académique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcée ou entravée. Il se laisse pousser également ses très courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, même un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il découvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvée. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. Plutôt, les inconnus hochent la tête à son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent même de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence à faire des blagues exprès. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, débordant d’une exubérance naturelle enfin libérée et tellement ravi de se ressembler si parfaitement à l’homme du tableau, commence à tourner plus fréquemment envers l’autre. Cet homme que, même enfant, il a trouvé presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vêtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettés par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgänger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de même, et fréquemment. 
Malgré sa confiance en lui récemment trouvé, il n’existe toujours personne qui a jamais regardé Stede Bonnet comme ça. 
--
“Sacré tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se détourne de sa contemplation matinale du pirate vêtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi à Londres, même si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drôle,” reprend la voix. Elle est profonde et résonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande, j’ai vu ce tableau. J’y suis resté en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dû revenir m’emmener pratiquement à l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oublié ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-être que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche… vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bée. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le déclarer avec autorité c’est Stede. C’est lui, après tout, qui avait regardé ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme à son côté a la même taille, les mêmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupé. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu réel?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la différence. 
“Aussi réel que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” répond Stede, en la prenant. Un frisson électrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrémité de toute terminaison nerveuse qu’il possède. Il retient à peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musée. Fin, pas du musée entier, seulement l’aile du dix-huitième siècle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” répète Ed. 
Stede hoche la tête avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-Zélande. J’arrivais pas à me détourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oublié?” 
“Ne l’ai jamais oublié! Je l’ai acquis à la première occasion. Ce n’était qu’après que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse légèrement les épaules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson électrique s’intensifie. Il découvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la manière dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectés et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est à dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un à me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrête, happé par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relâchant la main de Stede, tout en entourant la mâchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arrière de sa tête et l'attirant plus près de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lèvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hésitant. Stede n'a jamais vraiment aimé embrasser ; il est peu expérimenté dans ce domaine et même moins enthousiaste, malgré ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intérieur ; ce picotement électrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penché sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gémissement impuissant qui attire un gémissement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout à fait inapproprié pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
Après, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tête avec un sourire fier et content. “J’étais sûr que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tête évidemment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-même. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” réplique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens déjeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a été remplacé par du champagne. “C’est où ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu… vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bée. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pétillent, de chaleur et affection et interêt et reconnaissance, et oui c’est enfin réel, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musée bien-aimé, devant son tableau le plus précieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la manière dont il a si longtemps rêvé mais n’aurait jamais pensé savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent à nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’être exprimée. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du début de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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noelcollection · 1 year
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With Halloween only a few days away, we fittingly conclude our Gothic series with a contemplation of those ghoulish creatures known as gargoyles. The word “gargoyle” derives from the Old French “gargoule” meaning “throat” and, strictly speaking, refers to the Gothic architectural detail that channels water away from the walls of buildings. Laon Cathedral, a thirteenth-century structure in Laon, France, is believed to have the earliest medieval gargoyles.
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Scholars have long debated whether the chimerical design of these waterspouts was meant to ward off or embody evil spirits…or neither. Regarding gargoyles, art historian Lester Burbank Bridaham advises “we must be wary of reading in too much meaning.” Whether to protect, frighten, or entertain, gargoyles and their related grotesques have captured the human imagination for centuries. 
John Henry Parker's Architectural Glossary (1845-1846)
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Engraved plate depicting various gargoyles found on English medieval buildings, ca. 1277-1480, from a mid-nineteenth century architectural glossary compiled by John Henry Parker. Wanting to see the Gothic Revival movement flourish, Parker also edited an edition of Thomas Rickman’s Gothic Architecture (1848) and published an Introduction to the Study of Gothic Architecture (1849).  
Victor Hugo's Notre-Dame de Paris (1888)
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Gargoyles loom large in this illustrated edition of Victor Hugo’s Notre-Dame de Paris, also known by the English title The Hunchback of Notre Dame. The Notre Dame gargoyles do not come to life as they do in the 1996 Disney animated film adaptation, but, in a romantic sense, Quasimodo bears a kinship with the gargoyles since both form integral parts of the famous Parisian cathedral. Quasimodo imbues Notre Dame (including her gargoyles) with life: “Il semblait qu’il s’echappât de lui  ... une émanation mystérieuse qui animait toutes les pierres de Notre-Dame…” Illustrations by Ernest Biéler and Felician Myrbach. 
L. Frank Baum's Dorothy and the Wizard in Oz (1908)
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In L. Frank Baum’s Dorothy and the Wizard in Oz, the Wizard, Dorothy, and the rest of their band of adventurers come across the Country of the Gargoyles (or “Gurgles” as Dorothy calls them). The gargoyles in the Ozian universe are sentient creatures who live in a world made entirely out of wood. The gargoyles themselves are also carved from wood and have magical wooden wings that give them the power of flight. In the course of battle with the Gargoyles, Dorothy’s cousin Zeb manages to capture the Gargoyle king and use him as a wooden club. Illustrations by John R. Neill. 
Images from:
Parker, John Henry. A Glossary of Terms used in Grecian, Roman, Italian, and Gothic Architecture. Oxford: John Henry Parker, 1845-1846. Catalog record: https://bit.ly/3SJyZPA
Hugo, Victor. Notre-Dame de Paris. Paris: C. Marpon et E. Flammarion, ca. 1888. Catalog record: https://bit.ly/3SBpwtO
Baum, L. Frank. Dorothy and the Wizard in Oz. Chicago: Reilly & Lee, 1908.
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ecrisettaistoi · 4 months
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Donjons et dragons
.
.
.
je ne fais plus ce rêve qui
m'obsédait,
que nous partagions,
qui nous animait.
Est-ce une pause, un coup d'arrêt,
la fin des haricots, voie sans issue, mur nu ?
Le songe désormais fugace,
occupant jadis tout l'espace,
se résume, se consume
comme du papier d'Arménie
en une brume de pensée
que le premier souffle disperse à volonté.
Misère de n'avoir plus
de point de perspective,
d'horizon lointain devant
agrandissant la vie.
Patience limitée
elle aussi.
Inspiration, expiration.
Non, pas fini.
Juste ajourné.
Allez.
.
.
.
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aurevoirmonty · 6 months
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"On ne peut pas comprendre l'engagement et la logique qui animait le combat d'Ungern-Sternberg, ce “dernier chevalier de l'Eurasie”, sinon dans l'optique anti-occidentaliste et anti-moderne de la Révolution Conservatrice et de la “Troisième Voie”. Le cas Ungern-Sternberg est une forme individuelle et paroxystique, une réalisation personnelle et héroïque, du projet révolutionnaire-conservateur. Ce n'est pas un hasard si la figure d'Ungern-Sternberg a attiré l'attention de Julius Evola et de René Guénon, avant d'être popularisée par Jean Mabire."
Alexandre Douguine
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Assise sur ma tombe, je me souviens de l'amertume de mes sourires... De la froideur du sol à chaque fois que je tombais... De la brûlure qui restait après que mon sang ait coulé... De la peur au ventre de souffrir le reste de ma vie... Du souffle glacé de la solitude... De l'amour qui mourait dans mon coeur... De mes pensées qui me torturaient sans relâche... Je suis prête pour l'oubli... Pour me terrer dans le silence pour l' éternité... Ma place a toujours été ici... Je peux enfin me libérer de ce fardeau... De mes souvenirs faussés par la douleur... Des abandons gravés dans ma chair... De la haine injectée dans mes veines... Dites leur que l'erreur est rectifiée... Que je suis assez forte pour céder à ma plus grande faiblesse... L'envie de disparaître... Le désespoir, cette unique présence trop fidèle... Je suivrais le messager jusqu'au bout du chemin... Vers mon sommeil éternel... Je fleurirais moi même ma tombe... Des roses imprégnées de toute ma sombre sensibilité... Qui ne faneront jamais... Aussi rouges que la passion qui m' animait autrefois...
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vixymix101 · 1 month
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Need to make an essay video talking about indigenous rep in animaited media, mostly to talk about why spirit is the best so far--
I specify animaited bc I don't watch a lot of live action stuff so-- can't rlly judge Indigenous rep in media PERIOD bc idk all of it lol
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the-milkyz · 3 months
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btw heres an xccddd meme animaition i did :p its great isnt it
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equipe · 2 years
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Astuces de pro : leçon 007
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Astuces de pro
Éviter le surmenage
Ce n'est pas tous les jours facile d'être un créateur de contenu. Il peut arriver de ressentir une pression telle, que, de fil en aiguille, vous risquez de perdre petit à petit cette étincelle créative qui vous animait. Alors, gardez à l'esprit une chose essentielle : vous avez créé un blog pour vous faire plaisir. Voici quelques astuces pour éviter de vous sentir submergé.
Publiez les billets suggérés par vos abonnés
Partez du principe que vos abonnés adorent votre travail. Et il est une chose que certains fans apprécient par ailleurs, c'est d'avoir l'opportunité de faire reconnaître leurs créations par d'autres créateurs. Alors, n'hésitez pas à publier sur votre blog du contenu suggéré par vos abonnés et qui aura su capter votre attention.
Utilisez la programmation et déconnectez-vous
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Créez un blog supplémentaire
Imaginer encore et toujours le même type de contenu en essayant de se renouveler peut s'avérer épuisant. En créant un blog supplémentaire dédié à un autre centre d'intérêt, cela vous offrira l'opportunité de vous relâcher et de vous inspirer à nouveau. Et qui sait, peut-être que vous trouverez ainsi des idées à réutiliser sur votre blog principal ?
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😎
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Ces jours-ci, je ressens l'envie et le besoin d'avoir quelqu'un avec qui parler au quotidien de tout et de rien. Sauf que je n'ai plus personne avec qui pouvoir faire ça. Je me demande donc si c'est moi qui ai finis par tout faire pour me retrouver seule après mettre rendue compte que j'étais celle qui animait toujours nos conversations et qui était toujours la plus, voir la seule, investie dans toutes mes relations ? Ou si ce sont juste eux qui sont partis lassés de moi... ?
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rusticpotatoes · 1 year
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ce soir j'ai été au bar à jeux avec des copains pour une soirée blindtest animés.
pourquoi j'ai pas aimé en quelques points :
- il y avait grave du monde
- on était dans un coin tout pété du bar à une toute petite table
- finalement ils nous ont collé notre table à une table avec un groupe de 4 personnes en nous disant ''vous serez avec eux''
- le gars finit par repasser en disant ''du coup vous êtes une ou deux équipe ?" frr tu te fous de moi ou quoi
- je connais aucun animé ou manga à part sasayeyo sasayeyo et j'ai RIEN trouvé
- le gars qui animait interrogeait que les gens qu'il aimait bien (je vous le donne en mille : des mecs, bien bruyants et beauf) et a dit des trucs limite limite (genre confondre sexe et genre, des petits clichés racistes sur les portugais, dire les ''lgbtq abcd mnop truc + là" et autre blagues beaufs)
- comme j'ai mes règles et que je tombais de fatigue, en un cocktail pouf, bourrée
pourquoi c'était quand même une soirée cool en quelques points :
- avant le bar à jeux, j'ai été à un festival de films voir des courts métrages (bien cool)
- j'ai bu boire une citronnade, du vib et un cocktail à l'amaretto
- les gens avec qui on était en équipe étaient trop gentils (et forts), on a fini par bien discuter tous ensemble
- j'ai mangé du mont d'or
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