Tumgik
#assumé
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Qui est Marguerite Stern, la féministe poursuivie par SOS Racisme ?
À la sortie de son audition, Marguerite Stern a assumé ses propos. « Je suis parfaitement à l’aise avec les propos que j’ai tenus ce jour-là et je les maintiens. Par Jean Kast Nous avons besoin de VOUS pour poursuivre notre combat face à la dictature de la pensée unique.Cliquer ICI pour nous soutenir Qui est Marguerite Stern, la féministe poursuivie par SOS Racisme ? La révolution dévore ses…
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superiorkenshi · 2 years
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[SPOILER HOUSE OF DRAGON]
Voir la plus part des gens mettre en avant la scène où daemon s'agenouille devant Rhaenyra et ignorer la scène où il l'étrangle est assez démonstratif de leur tendance à excuser le ship incestueux car c'était mignon et maintenant ignorer tout signe de toxicité car vous avez pas sur voir les Red flag moins évident qu'un étranglement direct
Genre j'ai rien contre shiper des truc toxique mon otp c'est Hannibal/Will dont le principe est essayer de tuer l'autre mais j'assume que c'est toxique moi 💀
Bref voir les gens partir en couille et shiper que de l'inceste en mode hypocrite "l'inceste c'est mal mais eux ça va" me termine
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en vrai lets be honest c'était quoi la raison derrière la mort de Doug dans le final, plot wise
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jade-curtiss · 1 year
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Moi bonhomme de whatever avec top fille comme meilleure amie. Personne comprend pourquoi on date jamais. Un autre dude trans se pointe, essaye de la dater, pis chu comme "duuuuuude ok withdraw, no shade, mais comme t'as tu déjà jasé avec ses parents, comme ma mère c'est something, mais l'autre madame pour avoir prit le thé avec ben...comme même moi j'étais comme...ish..les tites madames fascho hein?"
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empiredesimparte · 5 months
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°3 | Belgisim, 15 Thermidor An 230
During the Europesim summit, Napoleon V tried to create a dialogue between the leaders of the Empire of Pierreland (Emperor David) and the Union of Iona (Queen Viviana II). This initiative proved to be of little avail.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Durant le sommet d'Europesim, Napoléon V tente de créer un dialogue entre les dirigeants de l'empire de Pierreland (l'empereur David) et de l'Union d'Iona (la reine Viviana II). Cette initiative ne s'avère que peu fructueuse : les tensions sont désormais fortes entre les pays européensims.
(Napoléon) Ce ne sera pas agréable, mais il va falloir que vous trouviez un terrain d'entente
(David) Je suis d'accord. Nous sommes tous des adultes responsables ici, et... pour être franc, certaines vérités ne devront pas quitter cette pièce, pas encore
(Eloise) Je ne crois pas que mes enfants soient un sujet d'État pertinent qui relève de la politique européennesim, du moins avant la majorité. N'est-ce pas David ? De parent à parent (Napoléon) S'il vous plaît...
(David) Quand j'ai reçu votre lettre... Je craignais que mon fils ne soit pas assez mâture pour assumer sa paternité. J'ai consulté Katalina, qui n'est pas d'accord et veut que Louis soit partie intégrante de la vie de Lenerd. À cause de ce désaccord, j'ai demandé à mes deux fils aînés et conseillers d'État... (Eloise) Vous considérez que votre petit-fils est une affaire d'état ? Comme ces deux-là qui ne sont pas vos fils ? Pardon ?!
(David) Ils sont mes fils. Felipe par le sang et Edmund par la loi. Et oui, mon petit-fils est devenu une affaire d'État ! Le père n'a pas été informé du fait que vous soyez enceinte ! (Eloise) Comme s'il ne savait pas compter jusqu'à 9...
(Napoléon) David, Lenerd devrait être reconnu par votre empire... Sinon mon filleul va...
(David) Nom de Dieu, j'essaye d'admettre mes fautes-
(Napoléon) S'il vous plaît, du calme. Repoussons ce rendez-vous...
(Eloise) Je n'ai pas besoin ni ne veut de son argent. Ni même du soutien, à moins que Louis en soit l'instigateur
(David) Eloise, je vous prie de bien vouloir croire que tout le soutien et l'argent que je vous ferai parvenir sera une attention de Louis
(Eloise) Le même Louis que vous maintenez dans l'ignorance ? Non, merci. (David) Pour le moment. Je ne pense pas que Louis devrait-
(Eloise) Vous, vous vous, VOUS. Il s'agit de mon bébé. De son bébé. Pourquoi pensez-vous que vous pouvez l'éloigner de son fils ?
(David) Le garçon n'a que 19 ans. Il ne peut pas gérer ça !
(Eloise) À 19 ans j'aurais assumé les conséquences de mes putains d'actions
(David) Donne-nous 10 ans, à Katalina et moi. Il sera alors élevé comme un prince de Pierreland avec tous les droits qu'ils lui reviennent et je le reconnaîtrai comme mon petit fils. Je dirai au public la vérité
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vhscorp · 6 months
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L’amour, ce n’est pas seulement un sentiment, c’est aussi un choix assumé, et appréhender le monde avec amour, c’est commencer à le sauver…
V. H. SCORP
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frenchfatadmirer · 7 months
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Je crois que ce qui me pose le plus de problèmes (à titre personnel, pas de kink shaming) avec le death feedism, c'est que je vois le feedism comme une pulsion de vie. Un élan de joie. Certes, il pousse presque inévitablement à l'excès, mais l'excès n'est pas forcément un saut vers l'abîme.
Le feedism, c'est la gourmandise. Je fais ce post en français parce que malheureusement l'anglais n'a pas d'équivalent précis pour ce joli mot. La gourmandise, c'est le plaisir jouisseur de la bonne chère, sans le travers de l'avidité. C'est une tentation mutine, un pas de côté un peu osé. C'est le frisson galvanisant d'un pantalon dans lequel on ne rentre plus, l'exaltation de nouvelles vergetures. C'est une accumulation de petits riens, une transgression délectable, d'autant plus que pour le commun des mortels elle est complètement décorrélée de la puissance sexuelle qu'elle représente pour ses adeptes.
Et puis c'est le goût pour le goût, le plaisir assumé pour la nourriture. La réunion des plaisirs de la chair et de la chère, leur intrication profonde. Manger d'abord pour manger, savourer, se donner le temps et la liberté de s'adonner à un plaisir décrié par la culture du régime. Mais aussi manger pour grossir, grossir pour grossir. Accepter de prendre plus de place. S'étendre. Ici l'anglais est plus pratique : combien de jeux de mots sur l'ambiguïté de "personal growth". Et bien sûr, manger et grossir pour assouvir un désir sexuel, profond, inconnu, primitif, comme imprimé en nous-mêmes, dans notre propre préhistoire : une préhistoire intime, psycho-sexuelle, personnelle, qui varie selon chacun de nous, mais aussi un besoin à la fois si simple et si entier qu'il paraît provenir des prémices de l'espèce humaine elle-même : survivre par l'alimentation et la reproduction de l'espèce. Choisir la fertilité, le plein, le rond. La synthèse étrange et pourtant si logique qu'opère notre fétichisme entre la sexualité et la nourriture rappellent que dans l'Antiquité gréco-romaine, les plaisirs n'étaient pas partitionnés comme ils le sont aujourd'hui. On parle souvent du fait qu'il n'y avait pas d'homosexualité dans la Grèce et la Rome antique, malgré la quantité de comportements que l'on qualifierait aujourd'hui d'homosexuels. C'est tout simplement parce que le concept de sexualité n'existait pas : ce plaisir n'était pas distinct des autres. Le feedism, c'est en quelque sorte la refondation fétichiste de l'idéal hédoniste. Le syncrétisme des tordus qui s'invite au symposion.
C'est une perte de contrôle revendiquée, parfois un manifeste : mais je préfère quand elle reste une force de vie, un cri de liberté qui enjoint à faire fi des convenances, des injonctions à la fois à la mesure, à la minceur et à la productivité, pour revendiquer un droit au plaisir qui sort de la morale de notre époque qui instaure un contrôle des corps à l'aune de l'exigence de rentabilité, plutôt que quand le feedism devient l'allégorie de l'hubris humain, où la gourmandise pécheresse atteindrait des sommets qui se trouveraient punis dans la maladie ou la mort.
Ce ne sont que des vues personnelles ; je sais bien que les gens qui choisissent le death feedism ne sont pas responsables de la couleur plus sombre que prennent leurs désirs, même si le feedism fait parfois des rares fétichismes à se vivre presque systématiquement comme un mode de vie.
Sur ce, continuez tous à vous gaver, ça vous va bien ;)
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ekman · 10 months
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La naïveté des gardiens des institutions, autrement dit les médias mainstream de la bienpensance assumée, fait peine à voir. Alors que les assassinats de Français se multiplient et s’accélèrent, alors que les barbares affichent impunément leur haine raciale et revendiquent leur violence sur fond d’islam et d’ethnicité, les proprets sur plateaux nous parlent “de faire société”, “de promouvoir la laïcité”, “de comprendre la nécessaire mutation”. Tout cela les pieds dans le sang d’un gamin de 16 ans, Français, blanc, de souche.
On dira bien ce que l’on voudra. On fera les discours que l’on pourra. Ça ne change rien aux détails du cliché pris à l’instant de la chute de Thomas, le torse percé par une lame. Cette photo nous montre une France qui commence à se chier dessus, mais qui refuse encore le constat et combat toujours la réaction, conspuant les courageux, engeôlant les volontaires. Une France qui continuerait d’aller acheter son rôti du dimanche chez son petit boucher, de manger ses fromages qui puent en se moquant du cousin du Loiret, de railler le voisin qui s’est acheté une voiture pour la frime. Une France qui penserait que le travail est un moyen de se hisser, que l’honnêteté paie toujours, que l’on doit respecter Monsieur le maire et obéir à la police. Une France d’Épinal qui est morte depuis longtemps déjà, entamée par Mac Donald et Drucker, remplacée par KFC et Hanounah, effacée par Doner Kebab et Yassine Belattar.
Pauvres Français ! Que je vous plains d’être devenus ces poireaux mous qui rasez les murs taggés des cités arabophones. Pendant toutes ces décennies de bruit et d’odeurs, on vous a répété que votre colère s’appelait du racisme. Ceux-là même qui avaient acté cette catastrophe grandissante vous ont fracassé, accablé, conspué. Seuls quelques rares résistants ont gardé le doigt collé sur la sonnette, mais la plupart de ceux-là, aussi, ont fini par apprendre par cœur les mots du frontispice de la démocratie : “Übereinstimmung macht Wählbarkeit”... la conformité rend éligible.
S’avance l’ombre du conflit que tout le monde subodorre, mais que personne ne veut voir. “Avant que” et “pourvu que” ouvrent maintenant toutes les phrases des politiqueux cravatés et des observateurs autorisés. Ils avancent à reculons vers l’échafaud de l’Histoire qui a déjà aiguisé sa plume et ouvert son grand cahier couvert de sang.
Thomas se meurt, Thomas est mort. la France non plus.
J.-M. M.
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Nouveau récit de mon chemin vers le Candaulisme...
Un autre souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
toujours sur la route de l’Espagne...
Avant même de vous narrer la suite et la fin de la soirée avec Bob et ses amies, je voudrais devancer une étape qui n’est pas directement « mon Candaulisme » mais plutôt je pense, vous pourrez me dire ce que vous en pensez, celui des autres...
Il existe aussi et quand on est comme moi sensible et amoureux de cette pratique, de cette philosophie, on peut le voir partout et il est tout aussi important de le faire vivre, de le remarquer et d’être capable de le voir...
Aussi, nous avions prévu avec Ana, après cette nuit de folie passée avec Bob et ses amies, de faire une halte sur la route de nos vacances qui devaient nous mener en destination finale à Grenade en Espagne.
Mon amie, professeure d’Espagnol voulait absolument visiter l’Alhambra et mieux cerner les impacts de la culture Arabe en Espagne ainsi que connaître la culture Andalouse.
Moi, je suivais..., intéressé et curieux d’à peu près tout...et surtout si amoureux d’elle et de tout ce qu’elle me permettait de découvrir, avec elle, sur moi, sur les autres, sur le monde, sur le sexe...
Bref autant de choses que dans un couple « classique » il n’est peut-être pas possible d’appréhender tout autant... ?
Depuis notre Normandie natale, le chemin était long et les étapes nécessaires.
Ainsi, Toulouse, Perpignan, maintenant Tarragone, Madrid et enfin Grenade...
Cinq étapes, 1700 kilomètres environ, me semblaient tout à fait correct surtout que nous étions en vacances...
Aussi, après Perpignan, ce fut Tarragone.
Ana avait aussi choisi cet endroit car en bord de mer, nous aimions la mer elle comme moi,  et avait-elle lu beaucoup d'articles intéressants concernant Tarragone. De nombreux vestiges Romains à voir, une culture de la fête (et même un Musée de la Fête) dont notamment la réalisation festive de ces pyramides humaines, plutôt des châteaux humains (tradition commune aussi avec l’Italie et essentiellement Catalane) nommé « Castelles ».
Elle voulait voir ce spectacle en réel et pourquoi pas tenter d’y participer... ?
La route fut tranquille et agréable même si la chaleur présente de ce milieu d’été nous rendait assez nonchalants l’un et l’autre et que les effets de la soirée de la veille dans cette cahute de la SNSM avec Bob et ses amies se faisaient manifestement sentir.
Ana, comme très souvent et presque toujours, surtout dès qu’il faisait plus de trente degrés, était vêtue d’une très légère et courte robe d’été qui lui allait à merveille et lui rendait moins pénible le voyage...
Nue en dessous ou plutôt sans dessous bien évidemment !
C’était notre code commun de l’été...Et , elle comme moi y veillions!!
Pieds nus et cheveux défaits, elle était superbe.
Souvent aussi, elle posait ses pieds sur le tableau de bord et je ne manquais pas d’admirer ces jambes oblongues et parfaites...
Quelques fois le tissu glissait aux confins de ses cuisses et c’était réellement un bonheur et un spectacle que de la voir ainsi...
La vitesse étant limitée à 120 kilomètres heures sur les autoroutes d’Espagne, je conduisais sans aucun stress tout en m’amusant du fait que lorsqu’Ana se positionnait comme cela et parfois même s’endormait, les camionneurs que je doublais, perchés dans leurs cabines, manquaient rarement de klaxonner, ravis de la vue que la situation pouvait leur offrir un instant en passant...
Cela réveillait immanquablement Ana, qui parfois râlait d’avoir été réveillée mais aussi me l’avoua-t-elle, parce qu’elle n’avait pas pu elle aussi profiter et jouer de l’instant et de ses incroyables et érotiques attraits.
Elle aimait réellement être le centre de l’attention et son côté exhibitionniste avéré et assumé la titillait souvent et ne me déplaisait nullement pour notre plus grand bonheur et notre complicité.
De la pointe de ses pieds au sommet de sa chevelure brune c’était une bombe sexuelle...
Un bouquet d’amour...
Une convocation perpétuelle aux agapes sensuelles et sexuelles...
Chaque parcelle de sa peau était une publicité érotique et une invitation aux pensées lubriques...Je n'avais jamais rencontré d'amis qui ne me l'ai avoué ou plus ou moins fait savoir: "Waaoooua , ta copine...!"
Pour les autres, leurs yeux et leurs comportements suffisaient à eux seuls...
À eux seuls, ses seins galbés et libres dans cette robe légère étaient une invitation à toutes les pensées diaboliques...
Alors, vous pensez, ses jambes bronzées et dénudées, sa chatte lisse juste surmontée d’un triangle soigneusement entretenu, sans parler de son cul rebondi à souhait qu’elle dévoilait parfois dans ces moments-là à ces camionneurs, stakhanovistes du bitume rarement bien considérés et rétribués, étaient un pur instant suspendu, un incroyable « butin », une chance impensable, un vrai ticket de loterie au regard des milliers d’autres personnes, femmes et hommes, que pouvaient croiser ces galériens de la route au quotidien si routinier et très certainement rengaine ...
Souvent quand je les doublais, elle faisait semblant de se pencher pour rechercher quelque chose sur la banquette arrière, assurant un flottement savant et pensé de sa robe jouant avec l’air des vitres ouvertes sur et dans sa raie marquée de son entre-fesses...
Cela n’en laissait, croyez-moi aucun indifférent!
Moi le premier... ! J'adorais tellement bander...Comme tout homme me direz-vous mais peut être encore plus depuis que je me savais Candauliste.
L’adresse de ses mains (parfois elle invitait également la mienne) titillant son écrin d’amour était réellement à voir et à admirer...
Bref , oui, elle savait jouer de ses charmes et de ses envies pour rendre fous les hommes (parfois les femmes...On venait réellement de le constater avec Clara et Laura , les amies de Bob le soir d’avant...Je vous raconterai...).
-«  Le prochain routier qu’on dépasse, tu me dis et tu me réveille avant...Je vais le faire bander crois-moi...Il va payer pour les autres qui m’ont réveillée...Je vais le rendre fou...Tu resteras à sa hauteur, tant pis si ça râle derrière, et je lui ferais un striptease et le coup de la femme exhib...T’inquiète...Tu te régaleras aussi mon chéri... ! »
Je ne pouvais en douter un instant d’autant qu’on avait déjà joué à ce jeu un jour en Bretagne et que le conducteur du camion avait réellement faillit avoir un accident tant il ne faisait plus assez attention à la route, ce con !
                -« Ok, promis , Bébé...! Promis dis-je en riant... »
Quelques hectomètres suffirent et j’avoue qu’elle sut y faire...
Le routier n’arrêta pas, une fois qu’on l’eut dépassé, lentement dépassé sur plusieurs kilomètres, de klaxonner, de faire des appels de phares, de mettre son clignotant pour nous indiquer qu’il voulait s’arrêter...
Mes doigts enserrés dans son con bien ouvert, humides et si délicieusement chaud, je ne pouvais de toutes manières pas m’arrêter...
Ce n’était d’ailleurs pas notre volonté ni celle d’Ana qui s’était doucement et tendrement repliée sur mes doigts encore enfouis en elle...J’étais au Anges...Elle se rendormit...
Il nous restait une centaine de kilomètres avant d’arriver à Tarragone...
Nous avions réservé un airbnb en centre-ville, il y avait un parking à proximité et c’est juste à côté de la Cathédrale, sur la place où avait lieu généralement les fêtes.
Notre hôtesse était une femme d’une soixantaine d’années magnifiquement conservée (elle devait réellement avoir été belle dans sa prime jeunesse).
Elle nous aida à nous installer, nous fit l’article des plus belles choses à voir, nous conseilla quelques restaurant situés juste à côté et d’aller regarder le spectacle de la lune sur les flots ou sur le port situé juste au bout des ramblas... :
                - « Ce soir c’est pleine lune, la lune bleue, nous indiqua-t-elle dans un français quasi parfait...Elle avait été par le passé pendant quelques années conseillère économique au sein de l’Ambassade d’Espagne à Paris, ville qui me manque parfois, nous avoua-t-elle... ».
Elle avait hérité et investit dans sa ville natale de Tarragone et était revenue y vivre avec son mari la retraite arrivée depuis trois ans maintenant.
Son mari était un ancien agriculteur des environs, vivait encore à la campagne voisine le jour et venait la rejoindre chaque soir au coucher.
Elle était réellement charmante et nous indiqua de ne pas hésiter à l’appeler si on avait un quelconque besoin.
« Même dans la nuit..., ici on ne se couche pas très tôt, on aime la fête et les gens...Dommage, la fête des Castells n’a lieu qu’en octobre cette année, il faudra revenir...et il n’y a pas de répétition sur la place...La nuit sera tranquille...Vous pourrez vraiment vous reposer si vous partez demain pour Madrid. Bonne nuit ! »
Nous étions installés dans un appartement situé au deuxième étage d’un vieil immeuble du début du siècle avec une avancée sur colonne constituant en dessous un passage sous voute.
L’appartement avait été refait à neuf à l’arrivée de Consuella, c’était son prénom, et était parfait.
En face du large espace constituant la place de la Cathédrale, un petit immeuble de même taille que le notre mais de style différent semblait inoccupé ou du moins très tranquille et sans vis à vis...
Ce serait parfait, il faisait encore chaud en cette longue soirée d’été et l’air de la mer voisine pourrait sans nul doute nous apporter un peu de fraîcheur dans la nuit. Nous pourrions sans problème dormir les fenêtres ouvertes...
Ana se précipita sous la douche en rigolant, me jetant un « Prem’s » hilare...
Elle était déjà entièrement nue.
Sa vitesse à se dénuder et à être aussi à l’aise m’avaient toujours sidéré...Il faut dire qu’elle était tellement belle et naturelle. Son éducation, contrairement à la mienne y avait sûrement beaucoup participé : ses parents professeurs étaient depuis toujours naturistes convaincus et passaient leurs étés sur les plages et les camps naturistes d’alors...J’appris par eux qu’il y avait même des campings et autres installations naturistes certifiées au-dessus géographique de Montauban..., ce qui pour moi était une impossibilité physiologique tant je craignais le froid... !
Pour autant Ana et ses frères avaient été bercés par ce mode de vie et ce rapport au corps qui je l’avoue m’avait interpellé puis plutôt convaincu...
Il n’en reste pas moins que Montauban fut et est toujours pour moi, même en nos nouvelles périodes de réchauffement climatique, une limite géographique , du coup peut-être psychologique,  infranchissable.
Je rangeais nos affaires et ouvrais la fenêtre de l’appartement.
J’avais également envie et besoin d’un bonne douche et je rejoignis rapidement Ana...
Quelques baisers humides plus tard, elle sortit et m’attendit assisse engoncée dans une grande serviette moelleuse sur le rebord de la fenêtre.
Elle me proposa de nous habiller rapidement et de descendre manger dans un des restaurants indiqués par Consuella :
                « Une bonne nuit de repos ne nous fera pas de mal mon amour me dit-elle, j’ai envie d’être cool ce soir...Pas toi ? « 
Ce qui en langage de Ana signifiait, on mange on se couche tôt, on se câline et on se repose...
Le programme m’allait bien, même si de la voir se préparer et s’habiller devant moi et me demander quelle robe lui allait le mieux après en avoir essayé quatre ou cinq, sans compter quelles chaussures, un bracelet de cheville ou pas, ... entrainait toujours pour moi et en moi un sentiment Candauliste émergent et irrépressible...
Je me serais bien jeté sur elle pour lui faire l’amour, là, maintenant, mais elle m’échappait déjà en se tournant et regagnant la salle de bain.
Elle opta pour une robe courte, droite et fendue sur le côté, style « Romaine » qui lui allait magnifiquement et ajouta ce coup-ci sans me demander, un bracelet manchette du plus bel effet sur sa beau bronzée et son bras si parfaitement dessiné.
Je pensais en l’admirant qu’elle aurait été parfaite pour une soirée Romaine et mon esprit plus que coquin se projeta même jusqu’à l’orgie...
Était-ce le passé de Tarragone, ancienne ville Romaine d’importance qui me jouait des tours ou était-ce seulement ma lubricité entretenue par notre après-midi routier et la chaleur de ce début de soirée qui emportait mon imagination ?
La conscience ou l’inconscience d’Ana de par ses jeux aussi imprévus que constants et mes propres tourments érotiques incessants devant son irradiante et sensuelle beauté me poussaient dans les retranchements du Candaulisme, je m’en apercevais de plus en plus : je l’admirais, j’étais fou d’elle, je voulais la partager, l’offrir, la montrer aux autres, à toutes et à tous combien elle était belle, désirée et désirable, ardente...
Secrètement et subitement je l’imaginais ici, jadis, Déesse ou Princesse dans son palais, offrant sa magnificence, sa présence et jusqu’à son corps à ses plus beaux serviteurs, soldats ou esclaves musclés et vainqueurs, choisis par elle et son Maître (moi ?) comme juste et inespérée récompense des exploits réalisés dans les Arènes, au quotidien à son service ou sur les champs héroïques des batailles...Peut-être même Candaule lui-même m'inspirait-il du lointain de son huitième siècle avant J-C...
Le tout serait de ne pas en mourir!
C’était aussi ma vision du Candaulisme et un bonheur que je ressentais que de la voir se préparer et s’habiller pour aller en soirée...
Plus tard, j’en fis même avec elle un rituel incontournable de nos pratiques Candaulistes, surtout et encore plus quand la soirée ou son rendez-vous devaient se tenir hors de ma présence...
J’avoue que ce sont des instants magiques permettant tellement la plongée vers l’imaginaire constituant la jouissance des protagonistes, en tout cas des Candaulistes avérés.
S’imaginer les émotions suscitées et ressenties par son élégance, sa beauté, sa prestance, ses vêtements, ses parfums, ses bijoux, ses onguents, sa lingerie... mais aussi l’instant où elle apparaîtrait aux yeux incrédules de son ou ses amants, se ferait désirer , admirer, défaire de ses parures choisies ou d’en être défaite par un ou des amants attentifs et rendus fous de désirs... ;
son retour près de moi, avec le pouvoir de me faire languir de ses récits et de son corps ; 
me jeter aux yeux, aux mains, à l’esprit, la ou les différences, les effets sur sa libido, sur sa magnificence, sur son charisme, entre son départ et son retour au plus près de moi...;
être attentif aux  « griffures », parfois aux "déchirures" sur ses habits ou en son âme de sa soirée.. ;
le bonheur de la voir belle et parfaite ; le plaisir de la voir revenir heureuse épanouie, comblée, confidente et partageuse dans l’attente et l’impatience de pouvoir tout aussi rapidement repartir... ;
être fier et si amoureux d’elle et de ce qu’elle m’ offre, a offert ou va offrir aux autres;
avoir ce délicieux pincement inarrêtable et si puissant dans le ventre en la voyant partir, exacerbé si puissamment tout au long de son absence avec cette impatience de la délivrance, cette inquiétude et cette douceur envahissant le corps et l’esprit quand elle vous revient...
Et pour elle la certitude d’être, si ce n’est la plus belle, la certitude de se sentir Reine et conquérante du monde...
Oui, tout cela me traversa en quelques secondes l’esprit et serait, maintenant je le savais depuis l’avoir rencontrée et parcouru ce chemin de quelques mois ensemble, à jamais en moi...
Le dîner en ville fut rapide et léger et visiblement Ana était impatiente de regagner notre gîte.
Je ne lui en tenais pas grief même si tout était propice en cette soirée à Tarragone à l’abandon sensuel des corps et des esprits, j'en étais à la fois convaincu et un peu "déçu"... Je le ressentais au plus profond de moi, comme si une « vie antérieur » me gagnait et énivrait mon esprit de souvenirs indéfinissables...
Etranges mais agréables instants même si j’aurais aimé en profiter plus longuement.
J’étais également fatigué et, rires, Ana savait toujours être convaincante...
Sa main dans la mienne quasi en permanence, ses baisers aussi soudains que fréquents, sa tendresse et ses sourires me faisaient toujours craquer ! Ils furent nombreux ce soir-là à me faire craquer...!
C’est néanmoins à la nuit que nous fûmes de retour à l’appartement de Consuela.
C’était un soir de pleine lune comme nous l'avait dit Consuela et même de lune exceptionnelle. L'éclairage de la cathédrale et des bâtiments l’entourant était magique...C’était réellement d’une beauté irréelle...Ce phénomène était appelé « lune bleue » et c’était magnifique.
Nous restâmes ainsi quelques instants à nous câliner avec Ana admirant ce phénomène et ses effets...
Ana était réellement fatiguée, m’embrassa longuement et langoureusement et parti se coucher dans le lit situé face à la fenêtre.
Je restais un peu, fasciné par le spectacle et les beautés de l’instant...
J’étais nu, nous nous étions déshabillés instinctivement comme nous aimions le faire aussi chez nous dès en rentrant.
Je pensais prendre une nouvelle douche et je croyais qu’Ana en ferait de même avant d’aller s’étendre de sa lascive beauté sur le grand lit de l’appartement loué pour la nuit.
Elle était réellement ivre de fatigue et s’était étendue en n’ayant pas la force d’aller jusqu’à la salle de bain pour me semblait-il, s’endormir rapidement...
Néanmoins, qu’elle ne fut pas ma surprise d’entendre sa douce voix quelques instants plus tard m’enjoignant à ne plus bouger d’où j’étais...
J’étais toujours devant la fenêtre, d’abord assis puis debout et légèrement de côté...
                -«  Waaaouaaou...Tu es trop beau chéri...Ne bouges plus , m’intima-t-elle...La lune derrière toi et en face de moi te dessines comme une ombre chinoise et rends ton corps incroyable...Hummm , j’aime tellement...Je peux voir les contours de ton corps et aussi ton sexe qui en devient incroyablement attirant...Tu sais que j’aime ton sexe chéri...Tu ne l’as jamais fait devant moi mais je pourrais te demander de te masturber...j’en ai souvent rêvé tu sais...mais trop souvent impatiente de te prendre en main et en bouche je n’en ai jamais eu l’occasion je crois...Non ?
Je l’ai fait avec quelques-uns de mes premiers amours de jeunesse, mais pas avec toi chéri...Tu pourrais le faire ? J’aimais trop les voir se toucher eux-mêmes et surtout quand ils partaient...Ce n’est pas toujours beau un homme qui se branle, rarement même, mais voir leur sexe quand il délivre sa puissance au travers sa jouissance est quelque chose d’assez unique...J’aime le ressentir dans ma main ou au fond de la gorge, mais j’aime aussi le voir...et là , toi, en ombre chinoise ...hummmm je me caresse en même temps si tu veux savoir...et tu m’excites tellement ! Chéri...S’il te plait...Fais-moi plaisir... »
Demandé comme ça, mes idées lubriques encore et toujours présentes, la situation particulière, ma libido, l’envie de faire plaisir à Ana...
Pourquoi lui refuser même si je préférais de loin le plaisir partagé au plaisir solitaire
Pour autant, le plaisir serait sans nul doute partagé ; même de loin et je connaissais les effets de sa propre masturbation dont elle m’avait, elle, offert maintes fois le si délicieux et sensuel spectacle ; chez Ana...
Ca la rendait généralement assez folle, humide et ouverte à bien d’autres aventures...
Aussi, commençais-je à me caresser...
Mon pieu se tendait rapidement comme assez souvent et j’abusais même en m’imprimant consciemment un rythme lent et appuyé...
Ma main restait ainsi assez longuement en bas de ma verge tendue à l’extrême accentuant généreusement sa dimension et son corps arqué...
Oui je bandais fort, très fort même de me "livrer" ainsi...!
C'est quelque part ce que je demandais à Ana , en tant que Candauliste, de s'offrir, de se livrer...Aussi le retour et le partage ne me semblaient anormal, loin de là...!
Ana visiblement m’accompagnait, je l’entendais au rythme de son souffle et ses commentaires m’encourageais réellement à lui donner un maximum bien qu’indirect plaisir....
Nous allions jouir ainsi...
Il en était certain... !
L’inarrêtable et inévitable arriva et nous partagions nos jouissances, tant cérébrales que physiques ...
Ce fut réellement agréable...
Je décidais d’aller enfin prendre ma douche.
Ana m’arrêta au passage pour me remercier tout en saisissant mon sexe encore durci par l’intensité de l’instant.
Je lui offris les derniers abandons de mes liqueurs...
C’était ça aussi le Candaulisme que ce partage, même à distance, du plaisir des demandes et des émotions...
Elle en imprégna délicatement ses doigts en m’assurant d’un : « Merci mon amour...Tu étais vraiment superbe...j’ai trop aimé...il faudra qu’on recommence un jour » ..., et portant ceux-ci à sa bouche pour en goûter toute la saveur qu’elle appréciait particulièrement puis me prit bouche, de sa bouche gourmande, chaude et sensuelle, venant ainsi me gratifier d’une incroyable et savante remise en condition...
Je durcis instantanément de nouveau... !
Oubliant la douche, je me jetais sur elle et en cuillère la pénétrais tout à la fois virilement et tendrement, m’installant au plus profond de son si douillet et accueillant cocon d’amour...
Nous nous endormîmes pleinement heureux et amoureux jusqu’au petit matin...
Elle fût la première à s’éveiller et se lova tendrement dans mes bras...
                - « Mon chéri...Il ne nous faut pas trop traîner tu sais ce matin...On doit régler la dame pour la nuit. Je lui ai dis vers 10 heures. Et nous avons encore pas mal de route pour aller à Madrid. »
J’étais si bien et j’émergeais si doucement de mes rêves et des douces caresses d’Ana...
                 « Ok... Prems à la douche !" me « vengeant ainsi de notre arrivée hier soir...
Ajoutant tout aussitôt que comme ça j’aurais le temps de descendre acheter quelques « dulces » pour accompagner notre petit déjeuner...
« Ok, fit-elle, c’est toujours toi qui diriges tout de toute façon, osa-t-elle me dire tout en riant aux éclats... »
A cet instant précis, je suis sûr qu’elle devait se remémorer la fin de soirée d’hier cette « chienne » que j’aimais à la folie...
Le petit déjeuner avalé, le ménage refait, las draps ôtés et mis en boule sur le palier, c’est tout ce que Consuela nous avait demandé, nous descendîmes la voir pour la régler de la nuit passée en son bel appartement.
Son immeuble était situé juste en face de celui où nous avions passé la nuit. La Cathédrale était toujours aussi belle et majestueuse et il faisait déjà chaud...
Ana s’était paré d’une combi short en Jeans et à bretelle du plus bel effet...
J’adorais apercevoir, voir les courbes de ses seins si peu retenus, parfois même sortant, par ces bretelles larges mais capricieuses.
Comme elle ne portait pas de sous-vêtements, c’était adorable et vraiment sexy...
Surtout quant à l’aulne de la sortie d’un de ses seins de cet écrin, elle le remettait alors innocemment en place tout en le « grondant » affectueusement ...
C’était si incroyablement et redoutablement sexy et sexe pour ceux qui pouvaient en être témoins...
Rires, cela arrivait souvent !
Ana frappait à la porte...
Consuela apparut élégamment, belle et digne comme elle nous était apparue la veille en nous accueillant.
                « Oh...mes amours...vous êtes déjà levés... ! Pas trop fatigués ? Pour moi aussi la nuit a été courte mais je n’ai pas la route comme vous à faire nous dit-elle. Tout s’est bien passé ? Merci beaucoup et infiniment ! »
Ana lui indiqua qu’on avait suivi ses consignes à la lettre et lui tendit l’argent qu’on lui devait.
                -« Non, non...C’est gratuit, pas besoin, repoussant doucement la main d’Ana qui lui tendait l’argent dû »
                -« Non fit Ana...Comment ça, on ne vous a pas payée en arrivant hier soir...On vous les doit... ! »
                -« Non lui répondit Consuela, je vous offre la nuit, c’est gratuit pour vous... »
Ce faisant, en repoussant le bras d’Ana, elle fit involontairement sortir un sein de dessous la bretelle du combi short de ma compagne ...
                -« Oh, pardon, je suis navrée...Quoique, vous êtes si beaux tous les deux...L’appartement est gratuit pour vous...Vous m’avez, vous nous avez tellement donné hier soir, mon mari vous embrasse et insiste pour ne pas vous faire payer la nuit...Oui, vous ne pouvez pas comprendre...Vous nous avez donné tellement sans réellement le savoir que le prix d’une nuit dans un appartement...Tellement plus, insista-t-elle ! »
                -« Comment ça dit Ana ? Je ne comprends pas...On ne vous a rien donné...On ne vous a pas vus...Hein Chéri, qu’est-ce qu’on a donné à Consuela...dit-elle tout en saisissant délicatement son sein et en le replaçant.
                -« Ca ? ça justement...Oui, ça, enfin pas tout à fait ça mais quelque chose de tout aussi beau et peut-être même plus encore que vous ne pouvez l’imaginer... »
J’avoue que le rouge commença à pourprer mon visage et que je commençais à comprendre
                -« Euh...Dis-je...Vous pensez ce à quoi je pense.... ? » ayant compris avec retard ce qui avait pu se passer...Oh, pardon...Désolé si on vous a choqué... »
                -«  Choquée?...Consuela partit dans un rire très sonore qui enjoua Ana bien qu’elle ne comprenait pas la situation ...Non, vraiment pas choquée, ni mon mari d’ailleurs...Cela nous a rappelé bien des souvenirs...Je vous ai dit que j’étais restée en poste longtemps à Paris et que la vie y était réellement fascinante et , comment dire, plus légère à l’époque qu’ici en Espagne... Nous adorions aller avec mon mari au Moulin Rouge, au Crazy Horse, au Lido et fit-elle en baissant la voix et regardant tout autour d’elle, nous adorions fréquenter les clubs libertins qui commençaient à ouvrir à Pigalle d’abord puis un peu partout et même en banlieue... Oui, nous avons eu une riche, très riche vie sexuelle avec José mon mari et depuis notre retour ici, on en avait presque oublié toute la saveur...
Elle agitait si délicieusement et adroitement son éventail pour ne pas elle aussi rougir que cela en était touchant...
Votre spectacle à vous, très cher « Daniel ? » était de toute beauté...Merci, mille merci. Surtout que mon mari s’inquiétant que je ne sois pas couchée alors que j’admirais ce que vous offriez à mes yeux et à la place de la Cathédrale est venu me rejoindre sur le balcon d’où je vous voyais admirablement bien avec toute l’intensité de cette lune bleue, vous et votre engin dressé à merveille. Brutalement, il m’a sauvagement honorée pendant toute la durée de votre show...Ce fut délicieux...Je m’étais caressée avant seule, comme je l’imagine votre dame a dû le faire en vous regardant j'en suis sûre et j’étais prête à tous les assauts et à toutes les folies...Il y a bien longtemps que nous n’avions ainsi joui tous les deux ensembles. Confidence, je vous ai même mentalement sucé et dégusté pendant que mon mari me labourait. Oui, merci, mille merci...Aussi, non vous ne nous devez rien... Croyez-moi... On aurait payé des fortunes pour s’offrir la vue d’un tel spectacle à Paris et José ne pensait même plus pouvoir me faire l’amour sans cette pilule couleur de lune qu’on nomme le viagra... Là en quelques instants il a bandé comme à ses quarante ans et m’a défoncée contre la rambarde qui en gémissait même bien plus que moi...Oh, Dieu (elle tourna ses yeux vers la Cathédrale...) Dieu que c’était beau et bon... ! Merci...
Allez, partez maintenant, vous avez de la route »
Ana venait de comprendre tandis que Consuela déposait un doux et tendre baiser sur son front et en prenant, la coquine, à pleine mains les magnifiques seins de ma compagne pour les masser délicatement et en faire rugir la pointe...
-« Tu as tellement de charme...J’étais bisexuelle et j’ai eu une aventure torride avec une danseuse du Crazy pendant de longue années...Il y a si longtemps et c'était si bon...José nous accompagnait et regardait ... Il aimait le bougre...J’aimerais avoir vingt ans aujourd’hui, je serais parie avec toi, avec vous en disant à José que j’allais revenir et que je lui raconterai tout comme à l’époque...Je partais deux ou trois jours, deux ou trois nuits surtout et revenais toujours vers José qui était comblé...Je vois qu’a quelques années de différences vous vivez les mêmes délire et la même philosophie de la vie...Soyez heureux mes amours...Soyez heureux...Nous l’avons été et aujourd’hui, cette nuit, vous nous avez fait revivre l’espace d’un si délicieux instant tout ce bonheur...Mille merci ! Longue et belle vie à vous » ;
Nous nous mîmes en route assez incrédules mais tellement satisfaits, fiers et incrédules.
Ça aussi c’était du pur Candaulisme et quand je repense à ces instants j’en comprends encore mieux l’intensité du partage.
Même et surtout sans contact, sans parler, défiant même le temps , de Candaule en passant par Consuela et José jusqu'à nous...
Sans presque nous voir, nous connaitre, nous avions su partager notre amour et nos pratiques pour aller jusqu’à les faire renaître chez un couple qui nous avait lui aussi indirectement ouvert les chemins vers les plaisirs et l’amour tendre, gratuit et sincère du partage...
Dieu que c’était beau ! J'en ai encore aujourd'hui des frissons et des pensées émues...
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alltoowell-rp · 12 days
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✧.* prélien recherchés ✧.*
(lien du prélien)
Pour mon premier post je vais parler du prélien que je recherche sur @smalltalksrp c'est le crush d'à côté pour un trope from neighbour to lovers et single parent x nanny avec ma petite August.
August, c'est la petite française qui a débarqué en début d'année pour travailler chez ses voisins et Jude, il apprécie quand sa fille va jouer dans la maison d'à côté. Iel sait qu'August s'occupe bien des deux petits de la famille voisine, et il a entièrement confiance quand sa fille est en compagnie d'August. Puis, un jour, il a eu besoin d'elle. Il a eu besoin du petit soleil qui anime le quartier par son sourire, parce qu'il avait une garde exceptionnelle à la caserne et personne n'était disponible pour garder la petite alors iel s'est excusé.e et lui a demandé si elle était disponible pour faire du baby sitting. August a accepté et puis l'air a changé, un peu. August s'est prit à daydream d'une possible relation avec Jude. Même si ce serait bizarre, même si ce n'est pas bien. Mais peut-être que l'amour peut se trouver next door?
J'ai volontairement non-genré le prélien pour que vous en fassiez ce que vous voulez, une femme ou un homme. August a assumé sa bisexualité depuis le lycée donc que ton personnage peut être soit un homme, soit une femme. Mais tu trouveras plus de détails sur Jude dans le prélien sur le forum.
Le forum est méga chouette et on est bien dessus alors n'hésite pas à venir y faire un tour!
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transrencontre · 2 months
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En finir avec le célibat, transgenre féminine de Soissons 02200
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Ma beauté et ma f.minité ne sont pas à prouver. Je suis une trans auto assumée, et ce depuis des années ! Je suis douce, adorable, sans pour autant être passée sous le bistouri. J'ai mes raisons. je suis originaire de Reims, mais ma vie professionnelle me force à bouger ici. Je galère à tisser des liens réels. Encore plus avec les hommes de la ville. Si tu es célibataire, viens lire un peu plus sur moi.
Discuter avec Sonia
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superiorkenshi · 1 year
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Je suis trop une mauvaise influence pour ma mère elle lisait je l'ai convaincu de continuer sa série à la place
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Dans son entretien avec les lecteurs du Parisien, publié mardi 4 janvier, le président de la République n'a pas seulement assumé son "envie" "d'emmerder les Français". Il a aussi estimé que les personnes non vaccinées étaient "irresponsables". "Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen"
Et qu'ont dit alors les écolos, les socialistes, les communistes, les droits-de-l'hommiste, les Cohn-Bendit, Hollande, Melanchon etc.. ? Rien, Nada ! Que dalle ! Ils ont fermé leur gueule parce qu'ils étaient d'accord avec le macron..
Alors aujourd'hui, le 30 juin, le 7 juillet, votre Nouveau Front Populaire, votre front républicain, mettez-vous le où je pense et bien profondément !
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harriet-de-g · 5 months
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Jeux paralympiques : le prix de la diversité.
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[Vous pouvez retrouver cet article sous forme de brochure sous le lien suivant en pleine page, ou en cahier]
Alors que les Jeux Olympiques s’apprêtent à gâcher l’été de milliers de personnes, je me suis dit qu’il pourrait être intéressant de revenir sur une facette dont on parle beaucoup moins : les Jeux Paralympiques. En effet, il est assez simple de trouver des critiques sur le modèle en général, mais assez peu sur les implications pour les personnes handicapées, qu’elles soient ou non athlètes. Si l’on en croit les discours officiels, les Jeux Paralympiques sont une véritable aubaine pour les handiEs. On se félicite de la construction de logements ou de services publics aux normes, sans trop interroger le fait qu’il ait fallu attendre jusque-là.
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Extrait du twitter de Fadila Khattabi, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées.
En termes de visibilité, c’est aussi LE moment de l’année où l’habituel paysage audiovisuel donne la place à plus de diversité, notamment pour le de handicap. Malgré toutes ces bonnes nouvelles, les Jeux Paralympiques, comme son équivalent à gros budget, sont une plaie. Ce texte est un rapide tour d’horizon des critiques qu’on peut y adresser.
Contexte
Les Jeux ont été remis au goût du jour en France, dans un contexte impérialiste qui teinte encore ses valeurs aujourd’hui. La vision de sa version moderne est directement basée sur une idéologie raciste et colonialiste. Son créateur, le baron Pierre de Coubertin, y voyait un moyen de démontrer la supériorité de la race blanche et de « discipliner les indigènes ». Par la suite, et pendant plus de 40 ans, les figures majeures du comité olympiques ont partagé très ouvertement des idées similaires, antisémitisme1, franquisme2, impérialisme assumé... Pour cette raison, ainsi que d’autres, évoquées plus loin, des voix se sont élevées pour critiquer et s’opposer à la tenue des Jeux, avant d’être vivement réprimées.
Partout où sont passés les Jeux olympiques et Paralympiques, on observe la même tendance. Les villes hôtes accélèrent leur développement économique au détriment des habitantEs les plus précaires. Destruction de favelas à Rio en 2016, expulsions des Roms à Athènes en 2004, des sans-abris à Londres en 2012, relogements forcés à Beijing en 20083, le schéma se répète. Les travailleurs sans-papiers, nombreux sur les sites de construction, subissent aussi les abus d’un système qui ne leur permettent aucun droits ou sécurités. Depuis des mois, on observe le même processus s’enclencher à Paris et à Marseille, avec l’accélération des expulsions de logements et un « nettoyage » des quartiers où se déroulent les épreuves. Dans les faits, cela implique l’usage plus fréquent des forces policières, des systèmes de surveillance et de contrôle de la circulation des habitantEs. Ces actes sont une menace pour toustes, mais d’autant plus pour les personnes déviantes et psychiatrisées, que les pratiques autoritaires de ce type touchent plus durement.
L’expérience montre que les conséquences de ces bouleversements s’étendent bien après l’événement. L’expulsion des pauvres et des indésirables se fait en même temps qu’une accélération de la gentrification. La spéculation grandissante entraîne une augmentation des loyers, qui poussent les locaux à déserter « leur » ville au profit des touristes.
Sans surprise, les personnes handicapées, vivant en majorité sous le seuil de pauvreté, sont parmi les groupes les plus touchés. Pourtant, si l’on en croit les communications gouvernementales, elles seraient les premières à bénéficier de la modernisation des espaces, peu importe qu’elles ne puissent plus se permettre d’y vivre. La mise en accessibilité devient cet argument massue devant quiconque ose dénoncer l’impact négatif des chantiers olympiques. Car au-delà de l’influence sur les humainEs, les infrastructures (parfois temporaires) détruisent aussi des écosystèmes et sont facteurs de pollutions.
Un corps digne est un corps d’athlète.
Après ce rapide tour d’horizon sur le coût de cette manifestation sportive, il est temps de revenir au cœur du sujet. Les Jeux Paralympiques sont nés dans les années soixante sous l’impulsion d’un neurologue en charge de patients vétérans. Pour reprendre ses termes, l’idée était de redonner aux paraplégiques leur dignité, sous entendue que celle-ci aurait disparu avec leur capacité à marcher. La citation est lisible sur le site des JO aujourd’hui, sans une once de critique ou de nuance. À croire que les handiEs n’auraient droit au respect que s’iels remportent des trophées.
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Capture d’écran issue de la page «l’histoire des Jeux Paralympiques», du site officiel de JO2024; février2024, [modifiée depuis]
Pendant longtemps, les Jeux Paralympiques ont concerné exclusivement les personnes en fauteuils, avant d’intégrer une plus grande diversité dans les profils. L’idée qu’il existe une frontière bien définie entre handicapéEs et valides ne fait sens qu’en théorie. Un système d’évaluation est donc nécessaire pour créer la distinction. Les athlètes handicapéEs doivent passer par des examens longs et fastidieux4 pour prouver et mesurer leurs incapacités. Laissées à la discrétion des médecins, les catégories dans lesquelles les athlètes peuvent participer dépendent d’un classement relativement opaque, même pour les premierEs concernéEs. CertainEs ont par exemple vu l’intégralité de leur carrière remise en cause après une évaluation trop positive5... À l’inverse, des athlètes se sont retrouvés face à des adversaires contre lesquelles iels n’avaient aucune chance, compte tenu des disparités physiques. C’est un peu comme si mettre en compétition des personnes avec des diversités corporelles aussi vastes était une idée vouée à l’échec. Puis il y a les entre-deux, trop handicapéEs pour concourir avec les valides, trop valides pour les Jeux Paralympiques. Les déficiences intellectuelles par exemple, ont été admises, puis exclut avant d’être réintégrées dans les Jeux Para.
Sans connaître ce contexte, on pourrait être tentéEs de célébrer la formidable visibilité pour les communautés handicapées. Celle-ci ne concerne en réalité que certains handicaps, à certains degrés, selon les variations des jurés. La communauté sourde par exemple, est exclue des Jeux olympiques qui leur est rendue inaccessible, mais ne répond pas aux critères des Jeux Paralympiques.
Tristement, cet événement reste l’un des rares à montrer le handicap à une large échelle et forge l’imaginaire collectif. Si aujourd’hui encore, la majorité des gens pense qu’un handicap « se voit » forcément, c’est parce c’est l’image vendue, notamment au moment des Jeux. Cette idée est à l’origine de nombreux comportements discriminants envers des personnes constamment obligées de prouver leur handicap dans leur quotidien, faute de correspondre au stéréotype.
La fête à l’inspiration porn,
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Les Jeux para participent aussi à entretenir un narratif sur le handicap : la nécessité de le dépasser. Si pour des athlètes encadréEs et aux moyens financiers illimités ça signifie aller rafler des médailles, qu’est ce que ça veut dire pour l’handiE lambda ? Devoir s’épuiser à tenter de vivre dans un monde qui vous exclut en permanence? Sans exiger la moindre adaptation ? En tout cas, c’est une réponse bien pratique pour éviter tout remise en cause. Si les écoles, transports, ou lieu de soin sont inaccessibles, il suffit de dépasser son handicap ! Ça fait des jolies histoires émouvantes en plus de maintenir le statu quo. Les obstacles imposées par une société inadaptée sont réduits à une tragédie individuelle que la ténacité et le courage permettent de surmonter.
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Les expériences de vie des athlètes les plus visibilisées sont loin du quotidien de la majorité des personnes handicapées, ce qui ne serait pas un problème si iels ne jouaient pas constamment le rôle de représentantEs. Les manifestations sportives tiennent à leur image « apolitique » qui les cantonne à des messages individualistes et souvent vides de sens à l’épreuve du réel. Les Jeux Paralympiques et les athlètes sont avant tout des sources d’inspirations prouvant que tout est possible, puisque même les handicapéEs y parviennent.
Toute la communication des Jeux para repose sur la célébration de l’exceptionnel, du hors du commun. Paradoxalement, on insistera continuellement sur le fait que ce sont des athlètes «comme les autres» qui méritent les même traitements que leur homologues valides Dans un contexte normalisé, c’est bien la capacité à imiter (voire surpasser) les actions des valides qui est encensée. Un dépassement souvent rendu possible par des technologies auxquelles la plupart des gens n’auront jamais accès (orthèses dernier cri, fauteuil de compétition, infrastructures adaptées...).
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Le sport posséderait le pouvoir d’effacer toutes les différences, de régler une fois pour toutes la question de l’inclusion dans la célébration de la performance. Cette fête ne concerne pourtant pas les handiEs coincées dans des institutions médicales ou psychiatriques qui n’auront jamais accès à ces espaces. Tant pis aussi, pour les handiEs qui ne peuvent (ou ne veulent) pas faire de sport. Celleux-là, la majorité donc, n’aura qu’à se contenter en guise de reconnaissance de la pitié qu’elle provoque. Dans un contexte où la pression sur le système de protection des malades s’intensifie (remise en cause des remboursements de frais de santé, difficultés à obtenir des aides, à faire valoir leurs droits), il n’est pas neutre de toujours valoriser les mêmes modèles.
Les Jeux Paralympiques ne créent pas une meilleure acceptation de l’autre dans la société. Ils participent au contraire à normaliser l’idée que les personnes handicapées sont une sous catégorie d’humainEs, « dignes » uniquement lorsque qu’iels accomplissent des exploits.
Hors jeu
En valorisant certains corps au détriment d’autres, les Jeux participent à créer une norme, qui influence bien au-delà de la durée de l’événement. Ici, j’ai particulièrement développé la question des corps handicapés, mais c’est également le cas pour les corps non blancs et/ou qui ne correspondent pas aux normes genrées. Cette normalisation passe par des processus souvent humiliants comme les tests de féminité obligatoires pour les personnes jugées trop masculines par leurs adversaires. Elle passe aussi dans la parole des commentateurices sportifs, qui s’attachent à donner leur avis sur le physique des athlètes (en particulier femme). À noter qu’à ce stade les personnes trans ne font même pas partie de la conversation.
Les Jeux olympiques contribuent à l’exploitation, l’exclusion et l’expropriation des populations les plus marginalisées. Parmi elles, on compte les communautés citées plus haut, souvent condamnées à la précarité du fait de discriminations constantes. Présenter cet événement comme une démonstration d’inclusivité est un mensonge, et une justification hypocrite de plus à la souffrance que génère la tenue des Jeux pour les locaux forcés d’y participer (économiquement, spatialement...). Les Jeux olympiques ne sont pas une trêve internationale dédiée à la célébration du sport, mais un miroir grossissant sur tout ce qui ne fonctionne pas dans cette société. Quant à l’accessibilité, elle ne devrait pas être la caution de l’affaiblissement d’écosystème et de la gentrification des lieux de vie, dont nous sommes ensuite excluEs.
Par ailleurs, rappel que notre dignité ne se juge pas à nos exploits. Notre fierté handie peut reposer sur autre chose que notre capacité à imiter les personnes valides. La compétition entre les êtres, la recherche de la performance à tout prix, le culte de la force sont exactement la raison pour laquelle le handicap est perçu de facto comme une faiblesse. le fantasme de l’inclusion dans un monde régit par ces principes ne peut être qu’hypocrite. Le concept en lui-même repose sur l’idée d’une population «autre» qui faut inclure dans la norme. Nous restons l’autre, dans nos catégories et nos espaces à part. C’est le message des Jeux paralympiques qui font parti du problème, pas de la solution.
L’estropiéE attendrissant ou lea championNEs « hors normes » ne sont pas nos seules options. Il existe des alternatives, bien plus joyeuse à explorer, que celles basées sur des normes éditées contre nous.
Comme Avery Brundage, antisémite et raciste notoire, qui occupera la présidence pendant plus de vingt ans.
Des idées portées par Juan Antonio Samaranch, resté lui aussi 20ans à la présidence,
Voir le rapport « mega-events, olympic games et housing rights, opportunities for the olympic movement and others » ainsi que la brochure, déplacer les pauvres pour les Jeux. sur Saccage 2024.
Voir « Pourquoi on s’oppose aussi Jeux Paralympiques » écrit pas Objectif Autonomie en 2022.
à l’exemple du nageur brésilien Andre Brasil
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pommunist · 6 months
Note
Chère Pommunist,
Merci pour ta patience, ta nuance et ta gentillesse à toutes épreuves. J'espère que tu prends soin de toi car même si les gens ne t'envoient pas de haine, ce type de situation peut devenir rapidement épuisant.
Je tiens à t'informer que dans un climat grandissant de mauvaise fois assumée et d'une incapacité à lire inquiétante du beau site qu'est tumblr – où il est toujours de bon goût de poster "si j'ai bien compris, le syndicat veut que Q MEURT 😨" plutôt que de relire les phrases lentement et avec le doigt qui suit la ligne – je résiste à l'envie terrible de laisser un message passif agressif d'explications en anon en ton honneur.
En effet, alors que je tapais un long message sarcastique et un peu méchant dans mes notes pour l'effacer ensuite comme j'en ai maintenant l'habitude (ça permet d'extérioriser...), m'est venue l'idée saugrenue que peut-être, sans doute, ça ne ferait pas trop de mal de poster ce message dans les asks d'une personne particulièrement obtuse... et je me suis dit que Pommunist, rayon de soleil de tumblr, symbole de patience à toute épreuve et de gentillesse sans faille dans l'adversité, n'approuverait pas. On a tous des moments de faiblesse je suppose, mais je suis contente de ne pas avoir suivi le mien, et c'est grâce à toi que ça a été possible.
(Je continue d'être aigrie cela dit. Mais aigrie selon les principes pommunistiens de respect et de tolérance.)
Bref continue comme ça, t'es incroyable, j'en deviendrait presque parasociale (/j)
(Mais entre nous........ parfois ce message ultra sarcastique dans les notes du téléphone démange les doigts........ je sais pas comment tu fais pour garder ton calme tout le temps mais j'admire........ Mais plus sérieusement, continue d'être quelqu'un de super (autant que possible, tu reste humaine !!), parce que je trouve ça vraiment cool que ta gentillesse m'ait inspirée moi et peut-être d'autres à ne pas écouter la petite voix dans la tête qui donne envie d'être méchant parfois. Dans une situation déjà tendue ça n'aiderait à rien mais parfois j'ai envie de m'énerver quand même. Bref, long message mais voilà, je t'envoie beaucoup de force et d'amour, prends soin de toi !!)
Franchement j’ai fait la paix avec le fait que certaines personnes ne savent juste pas lire quand j’ai vu un tweet qui répondait à la trad qu’on a fait de l’interview de léa en demandant quand s’etait passée l’interview (c’est literallement dans la première phrase du doc, tout en haut, écrite en gras 🫡). Et je pense que y’a beaucoup de gens qui sont tellement attachés à Q ou au serveur qu’ils vont inconsciemment chercher la moindre petite bête dans les discours d’en face pour les discréditer et se dire que tout va bien se passer, force à eux mdrrrr
Et vraiment c’est pas l’envie qui me manque des fois de passer en mode full français vnr full gilet jauné ambiance bien on brûle des poubelles dans la rue mais bon déjà qu’on galère à faire passer le message si on garde pas calme ça serait encore pire mdr
Mon astuce c’est juste de ronchonner en parlant à mes chats pour rester zen (ils captent rien ils doivent penser que je leur exprime mon amour et good for them franchement)
En tous cas trop doux ton message, merci beaucoup et plein d’amour en retour !!! Par contre, attends, t’as dit parasoQUOI ?????
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/jjjjj
Je rigole dsl ça fait trop longtemps que j’avais cette image sans pouvoir l’utiliser car j’ai le malheur d’avoir la chance de pas recevoir de haine en anon 😔✊✊
Et on oublie pas que les valeurs pommunistiennes sont certes le respect et la tolérance mais aussi les droits des travailleurs, la grève, la RÉVOLUTION DRAAAAA (now playing l’internationale)
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