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#câprier
jeanfrancoisrey · 3 months
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Câprier (Capparis spinosa L.)
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philoursmars · 2 months
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Mi-juillet, mon ami breton Christian est venu me visiter à Marseille.
La Friche de l'Escalette (autrefois usine de plomb), un lieu étonnant où se mêlent la nature du Parc National des Calanques, un site "archéologique" du XXe s et des œuvres d'artistes contemporains ou de street art...
Ici, des délicates fleurs blanches de Câprier, des Buplèvres jaune-vert et une Argiope (?...à vérifier)
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Cest quoi ça ??? une fleur de câprier
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wachsurfer2018 · 1 year
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mi planta de alcaparras = mon câprier = my caper plant = minha alcaparra = meine Kapernpflanze = la mia pianta di cappero
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oenodyssee · 1 year
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Atteignant l’épicentre
Chez Blandine et Pierre Jéquier / Mas Foulaquier / Pic Saint-Loup / 14 hectares
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1.  Souviens-toi : tout a commencé ici ; dans un parfum de mélisse.
2.  Souviens-toi : tu avais déjà tenté un prototype.
3.  Souviens-toi : c’était en 2019, ou peut-être en 2015, ou peut-être bien avant.
4.  Souvenez-vous : vous avez-dit : « Orphée se souvient »
5.  Souvenez-vous : ce nuage de sylvandres, son équipage papilionacé, il vous suivra jusqu’au Rhodope.
6.  Souvenez-vous : vous, chœur des maigres, chœur des gras, vous, Nathalie, Zora, Delphine, Françoise, Blandine, Eva, Rosalie, Eric, Pierre, Ivan, Philippe, Lutz, vous avez pris la parole et elle s’est dépliée ; vous vous êtes levés, vous avez pris l’espace, vous l’avez dévisagé et il s’est assis parmi vous.
7.  Souviens-moi : sous le grand micocoulier, dans l’anse du canyon ou endormi sur une peau d’animal – cuve numéro 3.
8.  Souviens-moi : oh ! la course nocturne dans la garrigue ; le silence alors, son poids sur nos épaules – non humaines ; lune pleine de décembre.
9.  Souviens-moi : trente-deux mois de gestation, douze étiquettes, deux fois divin.
10.  Souvenez-nous : les naissances et les deuils.
11.  Souvenez-nous : l’incendie et la pandémie.
12.  Souvenez-nous : l’invention des outils et celle de l’instrument.
13.  Souvenons-tu : 69 kilomètres, comptés cette fois, pour arriver à l’heure.
14.  Souvenons-tu : le thyrse et le château et les oreilles de Théodore, 5 ans.
15.  Souvenons-tu : le retour de la meneuse parmi les siennes, le jeu des lyres taillées –  en Guyot croisé.
16.  Souvient-la : métaphorminx un instant repamprée, regrappée, replantée.
17.  Souvient-le : nageur nageant parmi les carpes, le câprier en fleur.
18.  Souvient-la : mise de Violetta 2022 ; cent fois la treizième lune, signée au-dessus.
19.  Souvient-le : verticale de L’Orphée, vertigineux forage, billet retour de la fauvette africaine.
20.  Souviennent-le : vin vin déclencheur.
21.  Souviennent-la : vingt-vingt ! Vingt-dix-huit ! Vingt-seize ! Vingt-quatorze ! Vingt-douze ! Vingt-zéro-six !
22.  Souviennent-les : millénaires forés sous la braise ; érosion déclive d’un océan érigé en iris, en genet.
23.  Souviennent-les : ce que ces années ont appris des sentiers persistants.
24.  Souviennent-les : la fin de l’Œnodyssée était initialement prévue ici ; ici où tout est commencement.
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didierleclair · 3 months
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UNE ODEUR COUPABLE
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Le roman de Philippe Claudel, L’archipel du chien, Stock, 2018 est d’actualité. Il est question de migrants clandestins et d’odeur coupable. L’histoire est simple et les scènes sont construites avec dextérité.
On est sur une île dont les contours géographiques donnent l’apparence d’un chien tous crocs dehors. Il y a les notables : docteur, maire, instituteur, curé et deux hommes à tout faire, des pêcheurs. L’île est dominée par un volcan, le Brau, qui est toussoteux et rappelle son existence tous les jours aux paysans et pêcheurs qui tentent de l’ignorer. Il y va de grognements, de quelques secousses mais pas d’éruption.
L’île ne produit rien de substantiel. On y cultive seulement des vignes, des oliveraies, des vergers de câpriers. Cela dit, le maire et le docteur travaillent sur un projet de complexe hôtelier. Ils comptent sur les eaux thermiques des lieux pour attirer les touristes et redonner vie à un lieu qui est à l’agonie. En effet, les jeunes de l’archipel du chien quittent dès l’âge adulte pour chercher du travail sur le continent et ne reviennent jamais.
Cet archipel qui pourrait être français, espagnol ou autre est le théâtre d’un drame contemporain. Trois corps d’Africains échouent sur la plage de ce lieu presque en dehors du temps. Que faire ? L’institutrice à la retraite qui promenait son chien sur la plage décide d’appeler le maire pour qu’il décide de la suite.
Philippe Claudel noue une intrigue ressemblant quelque peu à un roman policier sans en être un. Certes, il y a mort d’hommes mais la cause semble en tout apparence la noyade. Le maire et ses comparses se mettent d’accord d’enterrer en cachette les « nègres » pour utiliser le terme du curé afin d’éviter de nuire au projet de complexe hôtelier.
La seule voix discordante est celle de l’instituteur. Il réclame la venue de policiers et d’un juge pour mener une enquête et aller au bout de cette affaire. Contrarié, le maire déclare être l’autorité capable de décider du sort de ces Noirs. Son ami, le docteur, a conclu après un examen rapide des corps, qu’il n’y a aucun signe de mort suspecte : les Africains ont été des victimes de la mer.
On enfouit les trois corps dans un des trous brûlants proches du volcan sans autre forme de procès. L’auteur, avec patience et ténacité, nous révèle la connivence des notables à faire disparaître cet événement fâcheux de leur vie quotidienne. Il n’y a que l’instituteur mû par une conscience morale inflexible qui va exprimer sa désapprobation.
Il finit par causer des soucis au maire qui se demande comment l’empêcher de fouiner. Puis, Philippe Claudel met en scène un commissaire. Qui le fait venir ? Personne ne sait vraiment. Il est là, c’est l’essentiel.
L’homme boit beaucoup sans montrer de défaillances dans son raisonnement. Il sort des photos satellitaires révélant des images compromettantes. On y voit les notables de l’île en train de jeter, avec l’aide des pêcheurs, les trois corps des Africains dans un orifice volcanique.
Le maire se sent cerné comme un animal sur le point d’être piégé. L’instituteur, par contre, se réjouit de la venue d’un commissaire et annonce au maire qu’il compte faire un compte rendu détaillé de ce qu’il sait sur l’affaire des Africains.
Entretemps, une odeur pestilentielle envahit toute la communauté. Les corps pourrissants réclament justice et convoquent les charognards affamés autour du cratère où ils sont lâchés dans les méandres de la terre.
Pour empêcher de faire sortir la vérité au grand jour, le maire fomente une affaire de pédophilie contre l’instituteur qui cause de grands remous. Le commissaire va confronter l’instituteur à la suite de ces accusations. L’accusé, enfermé dans une pièce, perd rapidement le contrôle de la situation au point de ne plus savoir se défendre et prouver son innocence.
C’est ici que Philippe Claudel décide de détricoter son histoire. Il nous apprend que le commissaire n’en est pas un, juste un envoyé des investisseurs hôteliers inquiets de la façon dont le maire a enterré les Africains. Il n’y aura donc aucune accusation formelle contre les notables.
Ensuite, le maire et le docteur décident de libérer l’instituteur en prétextant une erreur dans les accusations de pédophilie. Mais l’instituteur est mort dans la pièce qui lui servait de cellule de détention, asphyxié au monoxyde de carbone. S’est-il tué ou a-t-il bloqué sa fenêtre pour ne plus entendre les cris de haine des paysans mobilisés contre lui ? Il n’y a aucune réponse à ce sujet.
L’auteur écrit ensuite : « Il fallut quelques jours pour qu’on parvienne à recommencer à faire semblant. À tenter de reprendre le cours ordinaire des choses. Chacun refit les gestes qu’il savait faire. On échangea des propos sans importance. On ne reparla plus de l’Instituteur, même si on y pensait sans cesse (…) »
Désormais, une malédiction s’est abattue sur l’archipel. Les marins reviennent bredouilles après dix jours de pêche, le docteur se déplace désormais avec un mouchoir sous le nez à cause de l’odeur nauséabonde des cadavres qu’il sent pour toujours et le maire a vieilli du jour au lendemain n’ayant plus que la peau sur les os.
Dans ce récit, tous les innocents meurent : les trois Africains et l’instituteur. Quant aux coupables, ils macèrent dans une eau saumâtre de culpabilité morale.
Les personnages mercantiles, racistes et pleutres sont condamnés à humer leur lâcheté comme l’odeur rance d’un péché jamais expié.
Philippe Claudel ne se fait ni juge, ni complice. Il renvoie chaque personnage à sa conscience, même ceux qui n’en ont aucune.
La disparition du faux commissaire est un tour de passe-passe qui permet d’éviter de rendre des comptes à la justice. C’est le seul incident fâcheux de l’histoire. Certains lecteurs auraient préféré qu’un vrai juge d’instruction se saisisse de l’affaire.
Philippe Claudel nous avertit dès le début du livre : « Je suis le gêneur. Je suis celui à qui rien n’échappe. Je vois tout. Je sais tout. Mais je ne suis rien et j’entends bien le rester. Ni homme ni femme. Je suis la voix, simplement. C’est de l’ombre que je vous dirai l’histoire. »
Un narrateur dans l’ombre raconte les crimes impunis des temps modernes. Il ne peut se résoudre à condamner ses concitoyens. Après tout, il vit probablement dans l’archipel. Il est possible que l’instituteur fut le sien, que le docteur l’ait vu grandir.
Ce récit est beau et réaliste, la plume est élégante, précise. Nous avons droit à un faux commissaire, un instituteur juste, un curé raciste, un docteur lâche et un maire affairiste. Philippe Claudel aurait pu inverser les rôles. Ce sont des humains, c’est tout.
Pour Philippe Claudel, la prison est l’archipel en forme de chien, tous crocs dehors.
Didier Leclair, écrivain.
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lapalettedejean · 10 months
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Fleur de câprier.
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vangoghs-other-ear · 4 years
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Days of Thermidor
l’épeautre (m)- hulled wheat July 19th
le bouillon-blanc- mullien July 20th
le melon- melon July 21st
l’ivraie (f)- rye grass July 22nd
le belier- ram July 23rd
la prêle- horsetail fern July 24th
l’armoise- mugwort, sagebrush July 25th
le carthame- safflower July 26th
la mûre- blackberry July 27th
l’arrosoir (m)- watering can July 28th
le panic- witchgrass July 29th
la salicorne- glasswort July 30th
l’abricot (m)- apricot July 31st
le basilic- basil August 1st
la brebis- ewe August 2nd
la guimauve- marsh-mallow (plant) August 3rd
le lin- flax August 4th
l’amande- almond August 5th
la gentaine- gentain August 6th
une écluse- lock (the thing for moving ships through canals) August 7th
la carline- carline thistle August 8th
le câprier- caper bush August 9th
la lentille- lentil August 10th
l’aunée (f)- elecampane August 11th
la loutre- otter August 12th
le mytre- myrtle August 13th
le colza- canola August 14th
le lupin- lupin August 15th
le coton- cotton August 16th
le moulin- windmill August 17th
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portail-de-provence · 3 years
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Aux Câpres : Un beurre provençal ? Le beurre noir .
Aux Câpres : Un beurre provençal ? Le beurre noir .
Condiment très utilisé dans la cuisine méridionale, la câpre assaisonne les mayonnaises, les salades, les viandes et les poissons. La câpre a été introduite en Provence par les colons grecs. C’est à partir du VIè siècle que la France se lance dans la culture du câprier : Ce condiment est produit à partir de boutons floraux issus du câprier commun ou ovale.  Le câprier pousse depuis toujours à…
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Un visiteur penché sur l’étiquette du câprier : « Ha mais les carpes c’est des fruits ou des poissons ? » ... voilà à quoi sert un sentier botanique... se poser des questions ! #sentierbotanique #abbayesaintandre #botanique #caparisspinosa #caprier #naturephotography #naturelovers #mediterranee #jardinmediterraneen (à Abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon) https://www.instagram.com/p/CSMjmtmsBUF/?utm_medium=tumblr
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bleufee-blog · 6 years
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Des câpres ramassées et en cours de préparation
Ce condiment important dans la cuisine de la Méditerranée- j’adore l’aile de raie en sauce tomate aux câpres- est en fait la fleur en bouton d’un arbuste épineux, le câprier. il pousse un peu partout le long des murets au bord des vignes.
Sitôt ramassées, je les ai mises dans le sel (poids égal Câpres/sel) pour une semaine avant de les préparer au vinaigre.
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philoursmars · 1 year
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille. Les étonnantes ruines de l’ancienne usine de l’Escalette, dans le Parc National des Calanques. Des pins d’Alep et un petit câprier et, en bordure, un ancien blockhaus de la la 2ème guerre mondiale. Au loin, le petit port rond.
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tolupas · 7 years
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κάππαρη Câprier
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philoursmars · 4 years
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Marseille. Les ruines de l’usine de plomb de l’Escalette, à l’entrée du parc National des Calanques.
Deux fleurs de câprier encadrant un datura...
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philoursmars · 3 years
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Bon, à défaut de muguet... des fleurs blanches pour un 1er mai !
-  Pau, Parc Beaumont : Perce-neige (2021)
-  Cassel, Jardin du Mont des Récollets : Aconits (2020)
-  Marseille, L'Escalette : Câprier (2020)
-  Marseille, L'Escalette : Datura (2020)
- Douai, bords de Scarpe : Perce-neige (2021)
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philoursmars · 7 years
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Il fait froid et il pleut... Alors petit retour à cet été, à Marseille... J’ai eu l’occasion de visiter la friche de l’Escalette, ancienne usine de plomb, désormais parc d’expo d’architecture (sur les photos, on voit la ''Futuro House''  de  M.Suuronen (et son intérieur) et la ''Bulle'' de B.Maneval .
Les lieux sont étonnants et transforment ces lieux encore pollués en un lieu archéologique semblable à un temple, envahi par les pins, les câpriers, la garrigue... 
En voici la première partie....
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