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#consulter un voyant
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Pour quelles raisons les personnes consultent-elles les voyants ?
Le recours à la voyance est un phénomène qui a traversé les siècles et reste toujours aussi présent aujourd’hui. Les raisons poussant les individus à consulter des voyants sont diverses, qu’il s’agisse de curiosité, d’un besoin de réconfort ou encore du désir d’être guidé dans leur vie. Dans cet article, nous explorerons les différentes causes qui expliquent ce choix. Pour comprendre les…
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clairvoyanceetheree · 3 months
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Qui connait un bon voyant -Medium marabout paul ekundayo
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maitreahokpe · 10 months
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retour-affectif-24h · 2 years
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maitremaraboutkpomevo · 4 months
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Marabout puissant paiement après résultat, Kpomevo
Marabout sérieux paiement après résultat : Comment savoir si un marabout sérieux . Nous sommes des personnes empathiques qui mettons tout notre cœur dans le travail. Nous sommes altruistes et aimons aider les autres. Nous avons la capacité de donner tout, même par le biais de notre spiritualité. Un marabout sérieux paiement après résultat est souvent seul et sa priorité ne sera pas l’argent mais…
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Magie blanche pour reprendre l'etre aimé aussi tot - regagner de mon ex. La relation est terminée, mais vous voulez toujours faire revenir l’être aimé en 24h ? Ce sont les types spécifiques de sorts d’amour que vous recherchez
Magie blanche pour reprendre l’etre aimé aussi tot – regagner de mon ex. La relation est terminée, mais vous voulez toujours faire revenir l’être aimé en 24h ? Ce sont les types spécifiques de sorts d’amour que vous recherchez : un rituel pour faire revenir l’être aimé en 24h! Avant d’aller plus loin, on aimerait souligner que ces rituels ne devraient pas être pris à la légère. Les relations se…
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francepittoresque · 8 months
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HISTOIRE/ACTU | Augmentation de l’indemnité parlementaire, ou l’indécence politique dénoncée en 1926 ➽ http://bit.ly/Augmentation-Indemnite-Parlementaire Début 1926, cependant que les députés envisagent de s’octroyer, sans consulter un peuple auquel ils doivent leurs avantages, une augmentation de leur indemnité de 50%, le journaliste Louis Latzarus déplore que la politique soit un métier, et vitupère contre les membres d’une Chambre ne voyant plus les intérêts de la France qu’à travers les intérêts parlementaires de leur parti
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manue-ringo · 4 months
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L'antidote partie 3
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Mulder hocha la tête en signe d'approbation. Le médecin injecta le sérum dans le bras de son amie. Les secondes s’écoulèrent, interminables. Puis, lentement, les paupières de la jeune femme s’agitèrent. Ses yeux s’ouvrirent, cherchant un point de repère. Elle fixa Mulder, et un sourire faible étira ses lèvres.
Salut… Murmura-t-elle.
Il prit sa main, les larmes aux yeux.
Tout va bien, Andréa. Tu vas t’en sortir. Dit-il pris d'émotions.
Le docteur Frost observait la scène, satisfait. L’antidote semblait fonctionner. Il contrôla avec attention, ses signes vitaux à l'aide des moniteurs. Tout était normal. Le docteur Frost n'en revenait pas. Cette guérison miracle le laissa sans voix. Jamais encore, il n'avait assisté à une telle chose dans toute sa carrière. Il se reprit avant de les laisser un peu seuls.
Mulder serra la main de la jeune femme, déterminé. Ils avaient survécu à bien des épreuves, et ils étaient prêts à en affronter d’autres. Leur combat n’était pas terminé. Ils devaient rester sur leurs gardes, prêts à affronter l’inconnu. Un soupçon d'espoir renaissait. Parker était vivante, et c’était tout ce qui importait.
L’agent Scully, alertée par les événements, arriva en hâte à l’hôpital. Son visage était marqué par l’inquiétude, et elle se précipita vers la chambre de son amie. Mulder était là, à son chevet, il se leva à son approche.
Tout va bien Scully, elle est hors d'atteinte. Dit-il d'une voix grave et assurée.
Ne me dis pas que… Ça a marché ? Bon sang Mulder, je n'arrive pas à le croire. Dit-elle abasourdi dans un murmure.
Parker tenta de décrypter leur conversation en vain. Elle reprit fébrilement :
Hé vous deux. Vous pouvez me dire ce qu'il se passe ? Je ne comprends rien.
Mulder et Scully prirent le temps de lui expliquer toute la situation. Après avoir fini leur récit, Parker marqua une longue pause avant de reprendre d'une mine très pâle :
Attendez une minute. Vous êtes en train de me dire que ce putain de sérum m'a sauvé la vie ? Comment saviez-vous que ça marcherait ?
Mulder croisa brièvement son regard puis répondit, quelque peu hésitant :
Je… À vrai dire, je n'en avais aucune idée. Seulement, au vu de l'urgence de situation, je devais prendre une décision rapidement. C'était ce sérum ou ta vie, alors je n'ai pas hésité.
Parker était furieuse. Ses yeux lançaient des éclairs en direction de Mulder, qui se tenait là, le visage tendu. Les mots qu’elle avait entendus résonnaient encore dans sa tête, comme un écho de colère et de frustration.
Mais pour qui tu te prends ? Tu n'avais pas le droit de prendre cette décision seul ! Imagine ce qu'il aurait pu se passer dans le cas contraire ?
Mulder baissa la tête, conscient de la gravité de ses actes. Il avait agi par désespoir, par amour pour elle, mais il savait que cela ne justifiait pas tout.
Andréa je… Commença-t-il, mais elle ne lui laissa pas terminer.
Ne me parle pas ! Gronda-t-elle. Tu n’es pas au-dessus des règles, Mulder.
Voyant la tournure des choses, Scully tenta d'intervenir en gardant un air calme et assuré :
S'il vous plaît tous les deux ! Calmez-vous ! Andréa écoute moi. Mulder n'a pas agi seul dans cette histoire. Contrairement à ce que tu pourrais penser, Mulder a pris soin de consulter le docteur Frost avant d'agir. Ton état était alarmant, ton traitement ne suffisait plus, il fallait faire quelque chose. Et si ce n'était pas ce sérum qui t'emportait, ça aurait pu être cette thérapie et tu le sais. Que tu le veuilles ou non, il était hors de question de ne rien tenter pour te sauver alors ils ont fait ce qu'ils devaient faire. Tu es là aujourd'hui et c'est tout ce qui compte.
Parker n'eut pas la force d'insister sur le sujet. Elle fit la moue avant de se recoucher dans son lit.
Le docteur Frost les avait rejoints un peu plus tard dans la journée afin de faire le point avec eux sur l'état de santé général de leur amie.
Il faut que vous sachiez qu'après cette rude expérience, votre amie pourrait potentiellement faire face à une variété de séquelles dues à l'implant et au traitement expérimental qu'elle a subi.
Oui, j'imagine. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Demanda Scully d'une mine inquiète.
En temps normal, il est possible qu'elle éprouve des difficultés de coordination motrice, car les dommages causés à son système nerveux peuvent affecter sa capacité à contrôler ses mouvements avec précision. Des troubles de la mémoire pourraient également survenir, allant d'une légère perte de mémoire à court terme à des lacunes plus significatives liées à des événements antérieurs à son traitement. Des symptômes neurologiques comme des maux de tête persistants, des vertiges ou une sensibilité accrue à la lumière et au bruit pourraient être présents. Ces symptômes pourraient diminuer avec le temps, mais il est aussi possible qu'ils deviennent chroniques si les zones du cerveau affectées ne se rétablissent pas complètement. Elle pourrait aussi ressentir des changements d'humeur ou des épisodes de dépression en raison du stress émotionnel lié à son expérience traumatisante et à la lutte pour sa survie.
Et sur le plan physiologique ? Demanda Scully d'une petite voix trahissant son stress évident.
Et bien, elle pourrait développer un trouble de stress post-traumatique, caractérisé par des flash-back, des cauchemars et une anxiété sévère. Ces réactions sont courantes chez les individus ayant vécu des expériences extrêmement stressantes ou menaçantes pour leur vie. Il est également possible qu'elle manifeste une certaine paranoïa ou méfiance, surtout envers les procédures médicales ou les traitements futurs, étant donné les effets indésirables qu'elle a subis. Déclara le docteur Frost.
Les deux agents échangèrent à plusieurs reprises des regards contrariés au vu de ce qu'ils entendaient.
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I’ve seen on Tumblr that Camille wanted to marry Lucile’s mother, Annette Bosdeveix. Do you know what the source is for that and is there anything else we know about Camille and Annette’s relationship? Thank you!
We actually know quite a bit about the relationship between Camille and Annette. Not long ago, eight letters from the former to the latter written between the years 1784 - 1790 were published for everyone to read. I won’t translate them in their entirety here though, both because I think this would get way too long if I did, and because I sometimes honestly can’t fully make out what Camille is trying to say.
Camille and Annette’s first meeting dates back to the spring 1783, when the former is a 23 year old law student and the latter a 32 year old mother of two, married since 15 years back. Camille first spots Annette walking in the Luxembourg garden with her daughters, Lucile (13 years old) and Adèle (9 years old). He describes this meeting in the following verse, dedicated to ”Mme D, who always goes for a walk with her two demoiselles” and published in the l’Almanach littéraire in 1784 and the Affiches du Beauvaisis in 1785:
Everyone stops and says: ”how beautiful she is!” As for me, I’ve never seen her. But that doesn’t stop me from asking: ”is she a goddess or a mortal?” How can I hold myself back, seeing so many attractions, And two doves following her.
(Chacun s’arrête, et se dit, ”qu’elle est belle!” Pour moi, je ne la vis jamais . Sans demander: est-elle ou déesse ou mortelle? Pouvais-je m’y réprendre, en voyant tant d’attraits, Et deux colombes auprès d’elle.)
Camille eventually approaches Annette and the two start talking about poetry and Camille’s literary projets. Annette consults him to meet one M. Neveu, and even fixes and interview between the two. From a letter Camille writes her on July 10 1784 (the first of those recently published) we do however learn that he wants their relationship to go deeper than that:
It was doing you justice to believe that a musician presented to me by your hand could not fail to be preferred to all the ini [sic]. […]My job was to get acquainted with Madame Duplessis, and instead of taking me into her apartment, I was taken to the house of a musician. You will agree, Madame, that this is perfidy. Besides, it is up to you that tomorrow my work will be in the hands of Mr. Neveu, and since it costs you so little to procure it for him, if this little costs you still too much, I will see that you want me to renounce for ever sweeter hopes, and I will confine myself to admiring you from afar in the alleys of the Luxembourg.
The letter does however also make it clear that Camille only sees their relationship as platonic:
That among the authors, you choose the one whose poetry dates only from your walks in the Luxembourg and the day he saw you there, it is a very natural thing and I do not understand your excessive delicacy towards a young man who, for fifteen months, has given you such multiplied proofs that platonic love is not a chimera.
So no, the idea that Camille sought to marry Lucile’s mother would appear to be false. It can also be added that Annette wasn’t the only woman he wrote love verses to around this period, evidently a big interest of his. To a lady present for the divorce trial of one Maître Gerbier, Camille adressed the following verse:
De milles qualités nature te dota; Sexe charmante, sexe si tendre; Par un seul don le ciel nous consola. Il nous fit les plus forts; ce bien ce qu’il nous laissa, C’est le plaisir de te défendre.
In July 1783 he also assured one demoiselles de Compiègne that ”I owe the majority of verses I’ve written this year to you, it’s you who have inspired me.” The same year, the Journal de Paris published a poem he wrote for one Mme de Courve, and the year after that Camille published a similar verse adressed to Mme de La Lande in l’Almanach littéraire.
In 1786 Camille, sad over Annette having parted for her country house at Bourg-la-Reine for the summer, wrote her the following verse:
Me voilà donc après trois ans Toujours à la premiere page Du plus ennuyeux des romans; On m’eût fait languir moins longtemps Si j’avais été plus volage. Je le disais, et cependant, Pour vous voir encore un instant Je volais sur votre passage; Et quand vous fuyiez de ces lieux  Les pleurs qui coulaient de mes yeux Soutanient bien mal ce langage  Ce n’est point cette majesté Et cette taille de déesse Et cette grâce enchanteresse Et ces beaux yeux, quand la tendresse En adohcissait la fierté Que je vais regretter sans cesse. Mais que j’aime à vous voir sur le déclin du jour, Sous un ombrage solitaire À vos enfants souriant tour à tour  Insensible au charme de plaire, Insensible aux plaisirs qu’offre l’amour, Ne goûter que ceux d’être mère Ah! Lorsque l’encens le plus duox  Sur la terrasse vous appelle, Pourquoi vous éloigner de vingt cercles jaloux? D[uplessis], est-ce, dites-nous, Crainte d’alarmer un époux? Est-ce honte d’être la plus belle ? C’était ces regards si touchants,  Ce son de voux si doux, cette mélancolie, Ces fleurs que vous jetait Julie; C’était ces deux boutons naissants  Près d’une rose épanouie, Qui m’ont conduit à vos genoux Et m’auraient fait trouver si doux  De passer près de vous ma vie. Il vous eût peu coûté de captiver mon cœur Vous voir est plus que posséder une autre, Et je pensais que faire mon bonheur Ce serait ajouter au vôtre.
One year later he asked Annette and her husband Claude if one day, when his financial situation had improved, he could marry their oldest daughter, a request that was rejected. Camille did however not give up so easily, in March the same year he wrote a letter to Claude refuting all of his charges as to why the idea was a bad one. When that didn’t bear any fruit he instead tried to influence Annette, which gives us the following letter from December 5 1787:
[…] Judge if the noise of this carriage pleases me, when it warns me that you are driving your daughter into the world where she is going to find so many admirers. Thus will all my dreams vanish. Do I dare, however, Madame, to remind you of what you told me, that you would put no ambition in the choice of son-in-law, and that my profession seemed to you quite honest and quite noble. This is what inspired me with some confidence. Must you take away from me today a hope so dear to the attachment that I have nurtured for so many years to come out of my heart with hope! […] I beg you, Madame, do not read this letter to your husband, with whom I would still pass for a madman, it is to you that I am writing it, to you who do not return my letters to me and that I I never left, without leaving your presence, if not full of contentment, at least full of patience. Shall I not have the pleasure of conversing with you at least sometimes? […] I found verses printed and maimed in provincial notices which I had addressed to you; I take the liberty of sending them to you and of renewing my homage to you. Will you do nothing for your poet?
On March 4 1788 he once again writes to Annette to inform her about his first real success as a lawyer, hoping that might persuade her to hand over her daugther:
[…] Once you have read my memoir, and compared it with the feeble consultation of Me Fournel who nevertheless enjoys such a great reputation, I dare to imagiene, Madame, that you will forgive me for having also hoped for some consideration; and that you will forgive me for having nourished another much more cherished hope, remembering that M. Duplessis, a year before yesterday, did not even demand that I should become a famous lawyer in order to obtain Mademoiselle Duplessis. Now this hope is weakening every day, I see that everyone has the same eyes for your daughter as I do, it seems to that in every moment someone comes to ask for her hand. I am waiting for my justificatory memorandum which will finally fix my fate and make access to you either open or closed forever. The encouragement that has sustained me most in this work to which I have sacrificed all my business has been the hope of presenting it to you. Is it possible, Madame, that when the image of happiness that I find with you detaches me from all societies and makes them bland and unbearable, you never tire of pushing me away from yours, which would take the place of the whole universe?
But twelve days later we find another letter from Camille, where we learn that Annette had once again responded with disapproval and even asked him to stop vistiting her house:
What harm have I done you for you to treat me so harshly? And how could a letter which I wrote only to persuade you offend you and draw such a bitter response from me? I don't want it to be your fault if I conceived a mad passion, but don't we owe anything to those who are made to suffer even without our fault? Could you not make me understand in a less mortifying way, that there was madness in my pursuit, that the disproportion of fortunes (which I only knew about yesterday) was an insurmountable obstacle; you would have seemed to pity me, and I could not have complained of you, on the contrary, I would have thanked you for the care you took to prevent a disastrous passion, I would have believed myself well treated; for you know better than anyone that it takes very little to make me believe it. Sometimes you have really put my self-esteem to severe trials! One does not die of spite, if so I would have already have died a thousand times. But all it would take is a glance, half a smile, to bring me back. Even today, at this moment, all my self-love is incurable! I am trying to reconcile the harshness of what you have just written to me, with the very different speech that you gave me, and I am trying to interpret it favorably. It seems to me that the remedy you employ is either too violent or too little. It's up to you to make yourself lovable anywhere other than at my place. Is it just a defence? Or is it not also a permission? Forbidden to make myself friendly in your eyes at your place, permission to make myself friendly, if possible, in the Luxembourg. This is what it means to be a lawyer. […] This leads me to believe that your answer does not carry a permanent banishment, that was what you repeated for me in the Luxembourg, not at the moment, and besides, it's still a letter that I received from you, which is something. You see Madame that I am laughing and crying at the same time. Thank you, one more word from you. Or, treat me so harshly that you force me to hate you and even your demoiselles; or, if your feelings have not changed since the conversation I had the honor of obtaining from you in the Luxembourg, refuse me permission to come to your house now, so as to give me the hope of one day obtaining it.
After this, it would appear the two cut contacts for a while. In a letter dated October 27 1788 to his best friend from school Pierre Jean André Grasset, Camille spoke disapprovingly of the whole family, even accusing Annette of wanting to seduce him:
I always continued to chase the same hare, the mother lured me into the house, the father promised me his daughter, gave me his word of honour; the girl made me think she wanted me; a few days later came a terrible storm which threw me far from the door, farther than ever. […] I could not imagine that by courting the girl I had pleased the mother, and that she wanted to take a chance on me; I could not trust the rascal of a servant who went home to me to invite me to take lodgings in the apartment next to theirs, that the girl was flirtatious, that it was was the mother who liked me, that I would succeed. Today the scales have fallen from my eyes; but then I thought they wanted to test me, a new promise to give her to me, a new rupture.
Camille and Annette picked up contacts again in 1790, with Camille sometimes even being invited into the apartment again. Camille was once again hoping to be able to marry Lucile, and this time he started using the contacts he’d gained as a journalist to impress her parents. On April 15 he writes ”It was M. Linguet I showed you this morning through my window,” and two weeks later he told her that Mirabeau and Emmery were coming to visit their country house at Bourg-la-Reine together with him. Annette was however still hesitant, causing Camille to grow desperate:
(April 14 1790) If you knew what trap has been laid for me, you would have compassion for me. I can clearly see that I am no happier in friendships than I am with love… It is not that I believed for a moment in calumnies; it is thus so, I said to myself, that they slandered me to Madame Duplessis, it is by these artifices that they closed their door to me. However, I was only asked to suspend my judgment, I was to have some clarification this morning for which I would be grateful. I went to look for it and saw only a gross conspiracy against my happiness. I don't know who to trust in the world anymore. Madame, you have sometimes shown interest in me, have pity on my situation; I no longer dare to come to your house, three times I have been refused entry, but deign to give me a moment's interview to unravel this riddle for you, and don't think that I could ever believe that Mademoiselle Lucile and M. Duplessis deceived me so cruelly. Virtue and sensibility have a physiognomy that art does not counterfeit. I distrust all men now, but something tells me that my trust would not be betrayed if I place it in you without reserve. […]This number which belonged to you, since you had it made for me in such a short time, you had the cruelty to send it back to me without wanting to read it.
(April 15 1790) Your note would be an answer to my letter, if it was to alarm you that I had asked you for an interview. I read there this answer: of such kind as the calumnies of which you speak, they are so devoid of verisimilitude that it is impossible for them to shake my security, and yet it is useless to grant you the interview that you ask for. But, Madame, it was for me that I requested this interview. It is for me alone that I beg you to have compassion. After seven years of the most constant and most unfortunate passion, at least leave me the sweetness of thinking that the beauty I loved was worthy of being so idolized, that I only have myself to blame, and not nature, which has not made me the one who was to touch her heart. I can no longer be happy, but to be less miserable I need someone to convince me that I was not used as a toy... […] Madame, you have given me marks of interest which I oppose in the bottom of my heart to all these thoughts which sometimes arise there, according to which you amuse yourself by tormenting my life. Add this new brand of benevolence. Grant me an interview, I beg you. Despite all the harm you have done me, I believe that Mademoiselle Lucile's heart is modeled after yours; I think they are both excellent. You don't want to remember that day when you promised me the hand of your dear daughter, or when you assured me that you could dispose of her heart. Why did you promise me what was not in your power? For what? […] What have I done that could have made me be refused three times at your door? If only you knew how much these refusals humiliate me, drive me to despair. I felt terrible last Saturday night. I implore you, Madame, to at least grant me an extraordinary interview today.
(May 10 1790) […] Did you notice how Mademoiselle Lucile sent me away cruelly yesterday? But you must always admire her more and more and she must be allowed to have a little pride. I really hope that now at least, I have no more new talents to discover in her, if she has any that I still don't know about, please hide them from me. I kiss your hands; for Mademoiselle Lucile there is no way to kiss hers even with gloves on. However, Madame, you are so much loved. What hurt you yesterday has hurt your celestial Lucile so much that if you wanted to take my interests to heart, I would hope for everything. Forget what she forbade you.
But on December 11 Annette and Claude finally agreed to let Camille marry Lucile (I’ve not been able to discover he exact reasons for their change of heart), and as can be seen through the following letterCamille sent his father the same day, Annette was happy with the decision:
This charming Lucile, whom I have talked to you so much about, whom I have loved for the past eight years, at last her parents give her to me and she does not refuse me. Her mother just came to tell me the news, crying of joy. […] When her mother told me a moment ago, she brought me to her room; I threw myself on Lucile’s lap; surprised at hearing her laugh I open my eyes, hers were in no better state than mine, she was all in tears, she was even crying profusely and yet she was still laughing. I have never seen such a delightful spectacle, and I would not have imagined that nature and sensibility could unite these two contrasts to such an extent.
Eightteen days later Annette and the rest of the family attended the couple’s wedding.
After Camille had gotten his Lucile, no more letters from him to Annette are conserved. We do however know through several other pieces that they remained close afterwards regardless. After their marriage, Camille and Lucile moved to 1 Rue de Théatre Francais (today 22 Rue de l’Odéon), just a two minute walk from Lucile’s childhood home on 22 Rue de Condé. From the diary Lucile kept 1792-1793 we see that Annette was a frequent visitor to the house. Annette also got to know some of Camille’s collegues, such as Danton, who Lucile asks her to give her news about in a letter dated February 16 1792, Fréron, who nicknamed her Melpomène and came to visit their country house, and Robespierre, who she might have planned to marry off her second daughter to. When Annette’s husband was arrested as suspect in January 1794, Camille protested against it both at the Convention and in the Vieux Cordelier.
Once Camille himself was arrested, Annette was reportedly in despair. In his third and final prison letterto Lucile, Camille reports the following:
Last evening my heart broke when I saw your mother in the garden. A mechanical movement threw me on my knees against the bars; I clasped my hands as if imploring her pity, she who moans, I am sure of it, in your bosom. Yesterday I saw her pain, in her handkerchief and her veil which she lowered, unable to bear this spectacle. When you come, let her sit a little closer with you, so that I can see you better.
Camille thought about Annette too, in the same letter he reports about this dream he’s just had:
Heaven took pity on me. Only a moment ago, I saw you in a dream, I embraced you in turn, you, Horace and Daronne (nickname for Annette) who was at our house. […] Farewell Lucile, my Lucile! My dear Lucile! Farewell Horace, Annette, Adèle, farewell my father!
After the death of Camille and Lucile, Annette worked together with Camille’s old friends and collegues Brune, Duplain, Panis and Fréron to get back Camille and Lucile’s confiscated effects and make sure their son Horace, who she adopted, got a good education. She evidently didn’t blame Camille for her daughter’s death, as she in 1800, when writing to Lucien Bonaparte to ask for the disbursement of the pension for Horace, voted through four years earlier by the Conseil de Cinq-Cents, said that his father was ”Camille-Desmoulins, this hero of republican humanity.”
That it was a glorified image of his father Annette provided her grandson with is also proven through a letter Horace wrote in 1822 to the editor Barrière, claiming that his father had never written anything called l’Histoire des Brissotins, in reality a pamphlet essential in the purge of the girondins…
Sources for everything that doesn’t have a link to it: Camille et Lucile Desmoulins: un rêve de république (2019)
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Bienvenue chez Les Warren… Un couple diablement controversé
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 Bienvenue chez les Warren « chasseurs de fantômes ». Ed se présente comme étant démonologue autodidacte, safemme quant à elle, se dit médium et claire-voyante, capable de communiquer avec les esprits. Le couple n’a jamaisdemandé d’honoraires pour leur travail. Néanmoins, leurs publications, leurs conférences ainsi que les consultations surdes films relatant leurs expériences paranormales leur a apporté un franc succès financier[1].
 Il existe un certain nombre d’articles et d’ouvrages retraçant le parcours professionnel des Warren ; la plupartd’entre eux sont élogieux et ne remettent pas en question la sincérité et l’honnêteté du couple ceci en ce qui concernecertains faits qu’ils relatent et qui seront repris au cinéma, notamment dans Amityville et The Conjuring. Notons quel’activité du couple Warren, à ma connaissance, n’a jamais été le sujet d’étude sérieuse mis à part, peut-être, l’article surlequel je me suis basée pour écrire cette chronique. En effet, les faits qui y sont relatés semblent beaucoup plus objectifsque le reste de la bibliographie qui leur est consacrée. L’un des principaux « problèmes » à souligner est le fait que laplupart des ouvrages ont été écrits par des proches des Warren, Gérald Brittle, par exemple. De ce fait, les propos sontsouvent élogieux et ne remettent rien en question, ni la vie « pieuse » des Warren ni la véracité des expériencesparanormales du couple.
Il en est de même pour les ouvrages publiés de manière plus tardive, comme c’est le cas pour Les dossiers Warren 1 et 2écrits par Marie Alsina, « blogueuse réputée » dans le monde francophone. Je pense qu’un bouledogue français, enadmettant qu’il puisse écrire, aurait une syntaxe et un style bien plus léger et agréable. En outre, à l’instar des «biographes » précédents, elle dépeint Ed et Lorraine Warren comme étant un couple « pieux », volant au secours des genspar pure bonté d’âme. À aucun moment, elle ne sous-entend que les faits rapportés par les Warren aient pu être exagérésvoire manipulés.
Néanmoins, les journalistes Kim Masters et Ashley Cullins travaillant pour The Hollywood Reporter[2] ont écrit un articleintitulé :  War Over « The Conjuring » : The Disturbing Claims Behind A Billion-dollar Franchise. Il s’agit sans doute del’un des articles les plus pertinents qui aient été écrits à ce sujet. De ce fait, à défaut de pouvoir effectuer une rechercheacadémique, par manque de sources et de ressources fiables, je proposerai ici, de retranscrire l’article dans les grandeslignes. Je me baserai également sur d’autres articles critiques majoritairement américains et anglais…
Les films “basés sur des faits réels… »
 Les spécialistes en marketing ont souvent trouvé pertinent et vendeur d’indiquer que le film d’horreur que l’ons’apprête à visionner est, soi-disant, « basé sur des faits réels ». Toutefois, il n’existe ni loi ni règle explicite réglementantl’usage de ce terme. De ce fait, les cinéastes sont absolument libres d’exagérer les faits prétendument « vrais » sansrisquer quoique ce soit. Il y a eu, dans le passé, des contestations en ce qui concerne certains faits dits «réels » rapportésdans les films tels que The Hurricane de Norman Jewison et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow mais les tribunaux ontfait preuve d’indulgence. Remarquons tout de même que ces deux derniers films relatent davantage de « faits réels » queThe Conjuring. En considérant tous les faits surnaturels contenus dans les scénarios de cette série de films, il était évident,pour les réalisateurs et la production, que les spectateurs n’interprèteraient pas l’histoire au premier degré. Quoiqu’il ensoit, tant les crédules que les sceptiques se sont rués sur The Conjuring permettant à Warner d’engendrer un bénéfice d’1.2milliard de dollars. Ces profits ont été à la source d’une longue série de conflits et de controverses à propos des histoiresdu couple Warren.
Le couple Warren au cinéma versus dans la réalité…
 Le premier film The Conjuring, tourné au début des années 70, relate l’histoire d’une famille vivant dans uneferme du Rhode Island. Cette bâtisse serait hantée par l’esprit d’une sorcière. Ed et Lorraine, interprétés respectivementpar Patrick Wilson et Vera Farmiga, interviennent alors afin de libérer l’endroit de l’esprit maléfique. Le scénario n’est pasdénué de romantisme puisqu’à un moment donné Lorraine s’adresse à Ed en lui demandant : « Vous souvenez-vous de ceque m’avez dit lors de la nuit de noce ?» et à Ed de lui répondre : «  Vous avez dit que Dieu nous a réunis pour une raison.» Toutefois, comme nous l’avons souligné auparavant, leur couple n’était ni pieux ni idyllique puisqu’Ed entretenait une «relation » avec une fille de 15 ans et, d’après ce que l’on sait, Lorraine ne s’y est jamais opposée.
Penney…
 Ed Warren était âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il rencontre, pour la première fois, son amante de 15 ans sacadette… Au début des années 60, le couple Warren ne gagnait pas encore des milles et des cents. De ce fait, Ed s’étaitfait embaucher en tant que chauffeur de bus à Monroe (Conneticut) alors que Penney était une lycéenne de la villevoisine. Les deux ont alors entamé une « relation amoureuse ». En 1963, elle emménageait chez le couple… En novembre2014, Penney aurait fait une déclaration évoquant ses souvenirs ; au début, elle dormait dans une chambre située en facede celle du couple. Quelques temps plus tard, un appartement fut construit pour elle, au-dessus de la maison des Warren.Elle partage ses souvenirs en racontant : « Une nuit, il dormait en bas (…) Une nuit, il dormait en haut[3]. »
 Or, même en 1963, une adolescente n’emménageait pas chez un couple sans se faire remarquer. Par ailleurs, levoisinage a dénoncé cette situation graveleuse et indécente. Et surprise…Penney (pas Ed !)[4] a été arrêtée par la policelocale. Selon sa déclaration de 2014, elle a passé une nuit dans la prison de North End à Bridgeport alors que les policierstentaient de la persuader de signer le procès-verbal rapportant l’affaire. Etant donné qu’elle refusait de coopérer, elle a dû,sur ordre du tribunal, se présenter à un bureau pour jeunes délinquants. (Alors qu’Ed n’est pas du tout inquiété…)[5]Penney aurait dit à plusieurs reprises qu’Ed était l’amour de sa vie. De son côté, le couple Warren la présentait tantôtcomme une nièce tantôt comme une pauvre fille recueillie par charité…
 En mai 1978, alors que Penney âgée d’une trentaine d’années tombe enceinte d’Ed. En 2014, elle confessera queLorraine l’a persuadée (forcée ?)[6] d’avorter puisque la naissance d’un bébé pourrait créer rumeurs et scandale au sein del’opinion publique et ainsi ruiner la carrière des Warren. Lorraine, en tant que « fervente catholique » aurait dit à Penney :« le vrai dieu, c’est l’argent [7]». Dans un enregistrement obtenu par The Hollywood Reporter, Penney raconte non sansémotion : « Ils voulaient que je dise à tout le monde que quelqu’un était entré dans mon appartement et m’avait violée, etque je n’avais aucunement l’intention de tomber enceinte. J’avais tellement peur. Je ne savais pas quoi faire, mais j’aiavorté. Le soir, lorsqu’ils sont venus me chercher à l’hôpital, ils sont sortis, m’ont fait la leçon et m’ont laisséetranquille[8]. » Elle a également affirmé qu’Ed pouvait être violent envers Lorraine. Un jour, il l’a frappée si fort qu’elleen a perdu connaissance. D’autres fois, il la giflait pour la faire taire : « Certains soir, je pensais qu’ils allaients’entretuer[9]. »
Néanmoins, Lorraine Warren semble vouloir empêcher que certains aspects sordides et embarrassants de sa vie de couplesoient exposés sur grand écran. Son contrat avec New Line (consultant) comprend des clauses inhabituelles. En effet, lesfilms The Conjuring ne devaient montrer qu’une image positive du couple. Toutes allusions concernant une relationextraconjugale ou une sexualité déviante devaient être exclues du scénario. L’avocate Jill Smith affirme qu’elle n’avaitjamais établi de telles clauses auparavant bien que certaines personnes cédant leurs droits d’auteur restreignent la libertéde représentation. Elle aurait effectué des transactions afin de restreindre de manière drastique certains aspects del’histoire apparaissant comme étant odieux puisqu’ils ne sont aucunement pertinents à la compréhension de l’histoire.Selon elle, le public n’est pas censé être au courant de tels agissements.
En 2013, peu après le lancement du dernier film, le producteur Tony de Rosa-Grund, a envoyé un courriel à la direction deWarners et de New line afin de les informer que l’histoire des Warren avait été fortement enjolivée. Il a déclaré dans soncourriel qu’une femme proche des Warren avait été : « mortifiée quant au portrait inexact de la relation entre Ed etLorraine Warren[10]. »
Nous ne savons pas comment la production a réagi à ces allégations mais ce que l’on sait de manière certaine se trouvedans le fait que l’on a continué à dépeindre les Warren comme étant un couple heureux, pieux et conventionnel. Warners’est refusé à tout commentaire. Ed Warren est décédé en 2006, et l’avocat de Lorraine Warren, Gary Barkin, affirmequ’elle n’a jamais été au courant de rien et que par. Le fait de son âge avancé, 90 ans, elle se trouve dans l’incapacité derépondre à ces allégations. Notons que les avocats des Warren ont souligné qu’il s’agissait d’une vendetta liée à unebataille juridique : Derosa-Grund a affirmé qu’il a été injustement exclu des suites et des retombées que le film a suscité,et plus particulièrement de profits financiers.
De Rosa-Grund écrit : « Ed était un pédophile, un prédateur sexuel et un mari violent[11]. » Lorraine Warren a, en touteconnaissance de cause, couvert ses agissements pendant 40 ans. Selon lui, ils n’ont fait que de mentir au public. Contretoute attente, le scénario de The Conjuring 2, sorti en 2016, ne fait qu’amplifier l’image pieuse et idyllique du coupleWarren. Les experts juridiques affirment que Warners et New Line n’ont pas grand-chose à se reprocher en permettant unereprésentation autant romancée du couple. D’après eux, à la fin de chaque film, Warners inclut un avertissement : « Lesdialogues, ainsi que certains personnages et évènements contenus dans le film relèvent de la fiction[12]».
L’avocat Lincoln Bandlow, spécialisé dans le domaine de la production cinématographique, déclare : « Le film est moinsagréable si les chasseurs de fantômes sont une bande de connards que personne n’aime. Il faut que vos protagonistessoient sympathiques[13]. » Il poursuit en précisant que ces films ne racontent que des histoires de spectres et, de ce fait,ils ne sont pas strictement historiques. La procureure Lisa Callif, conseillère des producteurs indépendants, convient quele problème est davantage une question de relations publiques que de droit. Les cinéastes pourraient facilementargumenter que la version hollywoodienne ne reflète pas la réalité et se justifier en déclarant vouloir s’en tenir à la version« heureuse. »
Quant à Penney, aujourd’hui âgée de 70 ans, il semble qu’elle n’ait jamais reçu un seul centime de la recette des films,bien qu’elle y ait participé à plusieurs reprises. Elle ressent une grande rancœur envers Lorraine mais garde de bonssentiments à l’égard d’Ed. Par ailleurs, ils sont restés en bons termes jusqu’à sa mort, en 2006. Néanmoins, de manièreparadoxale, elle semble davantage en vouloir à Lorraine de ne pas l’avoir aidée à sortir de cette situation aliénante : «Etant plus âgée, je ne comprends pas pourquoi Lorraine m’a laissée vivre avec eux dans cette maison[14]. » D’autres fois,je m’interroge : « Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi ai-je bousillé ma vie ainsi ? Parfois, je mets en colère en pensant àquel point l’on m’a privée de beaucoup de choses[15]. »
Derrière les phénomènes paranormaux…
 En 1990, Ed a prétendu avoir capturé la « dame blanche » sur une bande magnétique. Ce fantôme hanterait lecimetière Union à Easton, dans le Conneticut. En réalité, il s’agissait de Penney qui s’était fabriqué une robe avec desfeuilles blanches… Son but était évidemment d’aider Ed à maintenir sa réputation de « chasseur de fantôme ». Bien quel’article ne s’attarde pas sur cet aspect, il paraît évident que le couple Warren ait amplifié voire inventé les phénomènesparanormaux bien avant que les réalisateurs de films d’horreur n’entrent en scène.
En réalité, il n’existe que peu de sources soulignant l’exagération des « évènements paranormaux. » évoqués par lecouple. Quelques revues cinématographiques et journalistiques l’ont fait, c’est le cas par exemple de la revue HorreurQuébec. En effet, l’article Le procès du démon : l’histoire derrière « The Conjuring : The devil made me do it[16]»,souligne le fait que le couple semble avoir profité de la maladie mentale de certaines personnes en faisant croire qu’ils’agissait d’une possession démoniaque. En effet, dans The Conjuring 3, il est question d’un meurtre commis sousemprise démoniaque. Gérald Brittle[17], sous la direction à peine dissimulée de Lorraine, prétend retracer la « véritable »histoire de cette famille dans son livre The Devil in Conneticut. Suite à sa republication en 2006, une partie de la familleen question a porté plainte pour « diffamation », « détresse émotionnelle infligée intentionnellement et violation de leurdroit à la vie privée.[18]» Sans surprise, Gérald Brittle et les Warren ont maintenu leur version des faits précisant que si lefils de la famille avait été possédé, c’était uniquement par la faute de la mère et de la fille qui avaient côtoyé une sectesataniste…Rien que ça ![19]
En outre, une enquête menée par la New England Skeptical Society en 1997, a conclu que le couple Warren était, dans lemeilleur des cas, « des conteurs d’histoires de fantômes vides de sens et, au pire de dangereux fraudeurs[20]. »
[1] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [2] Magazine américain consacré à l’industrie du cinéma. [3] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [4] Commentaire personnel [5]Commentaire personnel [6] Hypothèse personnelle [7] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [8] Ibid. [9] Ibid. [10] Ibid. [11] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [12] Ibid. [13] Ibid. [14] Ibid. [15] Ibid. [16] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [17] Gérald Brittle est, en quelque sorte, le biographe attitré des Warren. [18] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [19] Ibid. [20] https://the-line-up.com/ed-and-lorraine-warren#
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selidren · 1 year
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Printemps 1906 - Champs-les-Sims
14/19
A dire vrai, la bonne humeur de Grand-Mère est antérieure à notre retour. Alors que nous étions en Egypte, elle s'est un jour agacé de s'ennuyer à l'hôtel. Elle s'est alors rendue dans un souk non loin de là où vont parfois s'encanailler les voyageurs européens en mal de fantaisies orientales. Elle y a payé une consultation chez une voyante, même si je ne sais dans quel but. Sans doute cela a-t-il à voir avec l'avenir matrimoniale de Cousine Blandine ou des enfants de votre soeur Jeanne.
Transcription :
Rhabba : Bien le bonjour bonne Madame, qu'est-ce que Rhabba peut faire pour vous ?
Eugénie : Vous parlez bien le français pour une égyptienne.
Rhabba : Mon père est algérien, je le parle depuis ma plus tendre enfance.
Eugénie : Fort bien. Je m'adresse donc à la bonne personne.
Rhabba : Il n'y a pas mieux que Rhabba dans toute la ville du Caire Madame. Que désirez vous ? Je lis les cartes de tarot et dans les boules de cristal. Je pratique également l'oniromancie et l'astrologie. Sous peu, votre avenir n'aura plus de secrets pour vous.
Eugénie : Je suis une vieille femme, mon avenir ne m'intéresse pas.
Rhabba : Celui de vos proches alors. Ne désirez-vous pas savoir si vos petites-filles feront de bons mariages ?
Eugénie : Vous pourriez me dire cela ?
Rhabba : Bien entendu. Je pourrai même vous révéler combien d'enfants elles auront et combien d'entre eux seront des fils.
Eugénie : Et bien, tout cela est très tentant, mais je ne suis pas venue pour cela.
Rhabba : Intéressant. La plupart de mes clients veulent connaître leur avenir.
Eugénie : Je ne suis pas n'importe quelle cliente. Je vous paierai bien si vous pouvez entrer en contact avec les morts. Il y a une chose dont je veux avoir le coeur net.
Rhabba : Bien sûr Madame. Rhabba peut invoquer l'esprit des morts, et cela dans le moindre danger. A qui voulez-vous parler ? Votre père ? Votre mère peut-être ?
Eugénie : Mon mari en réalité. Il nous a quitté il y a fort longtemps.
Rhabba : Bien évidemment. Il vous faudra juste répondre à quelques questions si voulez que je vous convoque votre époux.
Eugénie : Fort bien. Je vous écoute.
Rhabba : Votre mari était-il un homme ambitieux ?
Eugénie : Pour sûr, il ne souhaitait rien tant que devenir un homme riche et important.
Rhabba : Vous avez fait un mariage d'amour n'est-ce pas ?
Eugénie : Oh ! Comment le savez vous?
Rhabba : Etait-il un homme aux traits avenants et aux cheveux clairs ?
Eugénie : Exact ! Vous êtes douée Madame !
Rhabba : A-t-il connu une fin tragique ?
Eugénie : D'une certaine façon c'est le cas.
Rhabba : Je crois que j'ai ce qu'il me faut. Pour invoquer l'esprit de votre mari, je pense qu'il est judicieux de commencer par la boule de cristal. Elle fournit une résonnance idéale pour les brumes spirituelles produites par les manes des défunts. De plus, chacun sait que le verre est un matériau sacré, à même de convoquer les âmes du Paradis.
Eugénie : Et celles de l'Enfer ?
Rhabba : Bien entendu. Il me faut à présent commencer mes incantations.
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christophe76460 · 11 months
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Il ne se trouvera au milieu de toi… ni devin… ni chercheur de présages… ni magicien, ni sorcier, ni personne qui consulte les esprits… ni personne qui interroge les morts ; car quiconque fait cela est en abomination à l’Éternel. Deutéronome 18. 10-12
À prendre au sérieux
Un retraité habitait une maison de la banlieue parisienne. Respecté dans son voisinage, il était connu comme chrétien, et parlait volontiers de son Dieu et de Jésus son Sauveur. Un jour, il était occupé à repeindre la barrière de son jardin, quand un de ses voisins lui dit :
⦁ – Hier nous avons passé la soirée avec des amis passionnés d’occultisme. Incroyable… Ils faisaient tourner les tables ! Plusieurs fois, ils nous ont dit qu’ils avaient su à l’avance ce qui allait leur arriver. Oh, je sais que vous n’êtes pas d’accord avec ces pratiques, et au fond, je suis comme vous et je n’y crois pas non plus.
⦁ – En ce qui me concerne, j’y crois tout à fait, contrairement à ce que vous pensez. Mais ce que je crois aussi, parce que Dieu me le dit clairement dans la Bible, c’est que ces pratiques-là sont diaboliques, et qu’il faut absolument les fuir. Elles mettent ceux qui s’y livrent en contact avec les démons.
Aujourd’hui de nombreuses personnes se fient aux horoscopes, consultent les voyants ou autres “médiums”. Toutes les formes d’occultisme, la magie, le spiritisme, etc. reviennent à rechercher un contact avec les puissances sataniques et à se placer sous l’influence impure des ténèbres. C’est faire le choix de ce qui est abominable pour Dieu, c’est un péché.
En contraste avec les puissances des ténèbres qui enchaînent les pensées des hommes, tournons-nous vers Jésus, qui nous dit : “Moi, je suis la lumière du monde” (Jean 8. 12). Il a la puissance de faire passer des ténèbres à la lumière ceux qui se confient en lui.
➡ Mardi 31 octobre 2023
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Bonjour. Je suis heureuse de vous adresser ces quelques mots d'espoir et d'encouragement en cette période difficile. En tant que voyante, j'ai pu voir combien la vie est pleine de surprises, de belles surprises que nous pouvons découvrir si nous restons ouverts et confiants.
Je crois fermement que chaque épreuve que nous traversons est une occasion pour nous de grandir et de nous renforcer. La voyance me l'a souvent montré. Cela peut sembler difficile à croire lorsque nous sommes au cœur de la tourmente, mais c'est souvent lorsque nous sommes confrontés à des défis que nous trouvons en nous la force de surmonter les obstacles et de nous élever.
Si vous vous sentez perdu(e) ou incertain(e) face à une situation difficile, je peux vous aider en vous proposant une consultation de voyance par téléphone. Je suis là pour vous écouter, vous conseiller et vous guider dans votre chemin de vie. Je vous attends au 0892 22 20 22.
Je suis convaincue que vous avez toutes les ressources nécessaires pour surmonter les obstacles et pour vivre une vie épanouissante et heureuse. N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en savoir plus. Je suis disponible, en consultation de voyance par téléphone, pour vous accompagner dans votre parcours et pour vous offrir des perspectives positives et inspirantes.
Sachez que vous n'êtes pas seul(e) dans votre quête de sens et de vérité. Nous sommes tous ici pour nous aider les uns les autres et pour nous soutenir mutuellement dans notre chemin de vie. Gardez toujours espoir et confiance en vous-même et en votre capacité à surmonter les défis de la vie.
Je vous envoie mes meilleures pensées et mes plus sincères encouragement.
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animavoyance · 2 years
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Bienvenue sur Anima Voyance
Bienvenue sur Anima Voyance, la voyance qui parle du cœur à l'âme. La voyance est une pratique qui consiste à utiliser des dons de perception extrasensorielle pour aider les gens à obtenir des réponses à des questions sur leur vie personnelle, professionnelle ou sentimentale. Les personnes qui cherchent de l'aide auprès d'un voyant peuvent se sentir perdues, incertaines ou stressées à cause de situations difficiles qu'elles traversent. c'est peut-être votre cas en ce moment-même.
La voyance peut vous aider à retrouver un certain bien-être et confiance en l'avenir en apportant des réponses à des questions qui peuvent causer de l'anxiété ou de l'inquiétude. Par exemple, si quelqu'un se demande si son mariage va durer ou si son entreprise va réussir, une consultation de voyance peut lui apporter des éléments de réponse rassurants ou des conseils.
De plus, la voyance peut aider à clarifier les situations qui peuvent être source de confusion ou de malentendus. Elle peut permettre de comprendre les motivations des autres et les raisons des événements qui se produisent dans sa vie. Cela peut aider à se sentir plus en paix avec soi-même et avec les autres, et à mieux comprendre les choix à faire pour son avenir.
Il est important de noter que la voyance peut offrir un nouvel éclairage sur les situations qui causent de la souffrance ou de l'inquiétude, et aider à prendre des décisions plus éclairées. Il est également important de choisir un voyant compétent et de ne pas se fier aux premières informations reçues, mais de les mettre en perspective avec sa propre vie.
Chaque personne a la capacité de créer son propre avenir, la voyance est révélateur de la responsabilité et des conséquences de ses propres choix. Elle offre donc une grande prise de conscience qui permet d'apporter les changements nécessaires ou à l'inverse de poursuivre dans la bonne direction vers une vie plus épanouissante.
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