Tumgik
#critique de livre
laplumedemaureen · 8 months
Text
Book Review : The Serpent & The Wings of Night - Carissa Broadbent
ONE OF THE BEST BOOKS I'VE READ IN A WHILE
Soul-Crushing. Mind-Blowing. Heart-Breaking. Gut-Wrenching.
I could go on for a while. This was Sarah J Maas meets The Hunger Games in a dark vampire world. But better than all that. It had everything. Also the MC is like 23 so it was perfect for me : not too teenage but not quite yet adult either. Exactly what I look for in books right now.
The vibes ? Awesome. If you're slightly tired of vampire stories and romances, this one won't disappoint. It's dark, in a desert-like world, it has magic and awful gods, murder everywhere. Romance is hella present, but it's not the whole plot.
Because the plot has deadly trials, intricate political themes, unlearning what you've been taught in your childhood, injustice, and so much more. It's finely woven, so much so that you only understand the whole puzzle by the last pages.
Tumblr media
And as for the romance... wow. Talk about fucking slow-burn and tension building. The chemistry between these two is unbelievable. ALSO there's a healthy yet complicated father-daughter bond that's just... <3
And the ending, well... it broke my soul into a million tiny pieces, and still left me craving for more. You know the kind of book where you put it down feeling like your chest has been ripped out, and you're both glad and sad about it ? Like how can you go back to living your life after that ? That's this kind of book. I can't wait to read the next one, but i also dread it for my poor little heart.
Well done, Carissa, well done.
What about you ? Have you read this book ? (please i need someone to yell with me about it)
8 notes · View notes
fabiencardbook · 2 years
Text
Connaissez vous la saponificatrice ?
Leonarda Cianciulli, née le 18 avril 1894 à Montella et décédée à Pouzzoles le 15 octobre 1970 est une diseuse de bonne aventure, tueuse en série et cannibale Italienne, connue sous le pseudonyme de la Saponificatrice de Correggio (en italien : la Saponificatrice di Correggio)1. Leonarda a assassiné trois femmes à Correggio entre 1939 et 1940, et a transformé leurs corps en savon et gâteaux.
En 1939, Leonarda Cianciulli apprend que son fils aîné Giuseppe est incorporé à l'armée italienne. Giuseppe est son fils préféré et pour le protéger, Leonarda se met en tête de pratiquer des sacrifices humains1,2..
Les victimes de Leonarda Cianciulli sont Faustina Setti, Francesca Soavi et Virginia Cacioppo2, venues chez elle pour diverse raisons. La première parce qu'on lui lui avoir trouvé un mari à Pula. La deuxième c'est parce qu'on lui aurait trouvé un poste au collège féminin de Plaisance et la dernière une ex soprano aurait trouvé un poste de secrétaire d'ipresario à Florence impresario . Elle découpe les corps en neuf morceaux et récupère le sang dans une bassine. Leurs dépouilles sont transformées en savon à l'aide de sept kilos de soude caustique et quant au sang, elle le mélange avec de la farine, du sucre, du chocolat, des œufs et du lait pour en faire des gâteaux qu'elle sert aux femmes qui lui rendent visite. Elle prétendra que les gâteaux faits à partir du sang de Virgina Cacioppo sont les meilleurs1,2.
Leonarda Cianciulli est suspectée par la belle-sœur de sa dernière victime Virginia Cacioppo, qui rapporte ces craintes auprès du poste de police de Reggio d'Émilie qui ouvre une enquête et arrête très vite Leonarda Cianciulli qui avoue en détail ses trois meurtres
Dans un entretien pour la revue Positif, Max von Sydow, évoquant sa carrière d'acteur en Italie, parle du film Black Journal de Mauro Bolognini qui s'inspire de cette affaire en ces termes : « J'ai fait un film avec Bolognini qui était presque une comédie. L'histoire vraie d'une femme qui, pendant la guerre, avait tué ses copines pour recycler les cadavres en savons ou en gâteaux. Ce petit trafic lui avait permis de survivre. Prise par la police, elle a accusé son fils. Il a passé la guerre en prison... ce qui lui a permis d'échapper à la guerre et peut-être à la mort. »
En 1946, Leonarda Cianciulli est jugée et condamnée à trente ans de prison dont trois dans un asile psychiatrique. Elle meurt dans la prison de Pouzzoles le 15 octobre 1970. Un certain nombre de preuves dont la bassine ayant servi à faire fondre ses victimes, sont gardées dans le musée criminel de Rome.
Dans son ouvrage tuez moi. Mais ne me haissez pas Yolande Egyed s'inspire de cette femme, vous pouvez retrouver son ouvrage :
https://www.amazon.fr/Tuez-moi-mais-ha%C3%AFssez-pas/dp/B0B28D4KWD?ref_=d6k_applink_bb_dls&dplnkId=13376170-ab95-4ee0-bec5-0bc1a1c5ae5f
#tueur #serialkiller #seriallectrice #kdpeoplegallery #amazonprime #amazon #kindlebooks
Tumblr media
4 notes · View notes
Text
Créer une carapace , qui te montre heureuse mais si tu grattes un peu tu decouvriras des secrets si noire.
C'est ça la vie
#moments #belgique #₺ #blogs #vlogs #livreacoeurouvert
2 notes · View notes
valienka · 2 months
Text
svetla et helea
Tumblr media
Svetla et Helea surplombent les lacs du royaume des Mille Eaux - #midjourney #fotor
www.leseptiemepeuple.fr
0 notes
copurrnicus · 3 months
Text
4/5 ⭐ Critique : King Kong Théorie de Virginie Despentes
Note : Ce texte a été rédigé en mars de 2023 pour un travail universitaire.
Même pour ceux qui ne sont pas fans de l'écriture brutale de Virginie Despentes, l'essai King Kong Théorie est remarquable. Publié en 2006, Despentes a osé s'y exprimer de manière audacieuse. Cependant, ce n'est pas celui qui choque le plus, puisque six ans plus tôt, elle adaptait au cinéma son premier roman, Baise-moi, qui a été classé X quelques jours après sa sortie. En d'autres termes, ceux qui connaissent Virginie Despentes savent qu'elle a pour spécialité de faire du bruit.
King Kong Théorie peut se classifier comme un manifeste, mais surtout comme un cri du cœur. Il se compose de sept essais qui se concentrent sur différents thèmes, bien qu'ils soient tous liés à la question du rôle des femmes dans la société, permettant ainsi une lecture fluide. Despentes pense que les choses sont pires que ce que nous voulons reconnaître, et nous parle ensuite de l'inadéquation du féminisme populaire pour aborder et corriger les inégalités et les failles du système. Il s'agit donc d'une théorie corrective, audacieuse et énergique, guidée par l'expérience personnelle de l'autrice, à savoir les abus et le travail sexuels.
Despentes commence par commenter que la réalité de la relation homme-femme est directement liée au conditionnement des deux parties par notre société fondamentalement patriarcale, et ce dès l'enfance. Ainsi, l'homme doit être viril et dominer la femme, qui ne connaît d'autre posture que la soumission. Par conséquent, celles qui essaient d'agir différemment, comme les femmes qui veulent être libres, prennent le risque d'être violées et, si cela se produit, elles doivent prouver qu'elles n'étaient pas d'accord. Ainsi, le viol finit par être perçu par la société, majoritairement par les femmes, comme un mal inévitable lié à la virilité masculine.
Les essais qui ont retenu le plus mon attention sont ceux où elle parle de la prostitution et de la pornographie, surtout parce que l'autrice fait partie d'un groupe de féministes qui défend ouvertement ces sujets. Despentes soutient qu'il est hypocrite, voire absurde, de dire que la pornographie augmente le nombre d'abus, puisque ce n'est pas quelque chose de récent. Même si je comprends ce qu'elle veut dire, il semble tout de même imprudent de ne pas reconnaître les effets néfastes de la prostitution et de la pornographie. Je ne peux voir la pornographie que comme un outil machiste pour asservir les femmes et commercialiser leurs corps - après tout, cette industrie est majoritairement faite pour et par les hommes. Il semble que Despentes oublie toute construction sociologique, s'étonnant ainsi de sa condamnation (ou censure). De fait, la pornographie, avec sa violence et sa transformation d'une femme en objet, représente l'éducation (irréaliste) de nombreux jeunes.
Malgré cela, Despentes parle de ces sujets comme d'un moyen de libération sexuelle pour les femmes, ce qui provoque des remous - la société refuse d'admettre que les femmes peuvent avoir des relations sexuelles justement parce qu'elles le souhaitent. C'est une observation judicieuse qui m'a fait réfléchir. En effet, on pourra dire qu'il serait aussi imprudent de ne pas reconnaître les désirs féminins. Je dirais que c'est un reflet de notre société et de sa notion d'une « femme idéale ». Mais qu'est-ce que cela veut dire, au juste ? La construction de la notion de « virginité » - que l'autrice ne mentionne pas mais qui, je crois, étaye sa théorie - est un objet patriarcal d'oppression du corps des femmes : un instrument de domination masculine. On parle de celui qui « prend la virginité » d'une femme comme de quelqu'un qui détient le pouvoir d'être le premier à avoir enlevé sa pureté à une femme. C'est donc pour cela que les femmes peuvent ne pas être respectées dans ces métiers (ou d'autres, évidemment) : elles sont impures et ont plusieurs relations sexuelles. Ainsi, l'autrice souligne l'importance de laisser les femmes s'exprimer sexuellement et de laisser tomber l'idée que ces femmes sont de « pauvres petites », des « victimes », comme beaucoup les considèrent. Elle donne son propre exemple, tout comme d'autres femmes qu'elle a connues. C'était très intéressant à lire, bien que j'aie du mal à me distancier de cette théorie, compte tenu des histoires d'abus que nous connaissons.
On a du mal à croire que ce manifeste date d'une décennie, étant donné qu'il se répercute de nos jours. Le machisme et le sexisme restent violemment ancrés dans notre société, il est donc inévitable de se demander quand cela changera. Despentes parvient à saisir la colère féminine d'une manière encore plus particulière, grâce à son écriture crue. L'autrice refuse les normes auxquelles nous sommes habitués, ce qui est merveilleux. C'est pourquoi une consommation littéraire sans Despentes me semble presque inimaginable. Son audace est dangereusement contagieuse, pleine d'idées folles, mais avec des fonds de vérité. C'est la magie de Virginie Despentes, à l'origine de sa plume.
1 note · View note
Photo
Tumblr media
(via La faiseuse d'anges - Sandrine Destombes) - Lecture terminée le 21/09/2022
1 note · View note
parmes-yeux · 2 years
Text
Premier chapitre: Je lis le livre mais je l'écoute aussi, j'ai trouvé le livre audio. premier. J'ai adoré la dédicace du livre. deuxièmement, je n'ai pas lu le petit prince depuis l'école primaire et je suis ravi maintenant que je le lis pour la deuxième fois et en français mais le livre est triste pour moi grand personne, quand j'ai lu pour la première fois, je n'ai pas compris à quel point il est triste pour un enfant qui ne le comprend pas et qui se fait dire qu'il doit changer ce qu'il aime.
1 note · View note
d-bovet · 2 years
Text
If you like thrillers , I recommend you this one:
« I’m Pilgrim » from Terry Hayes !!!
More than nine hundred pages with a no stop suspens !!!!!
French version by « livre de poche »
Tumblr media
0 notes
ashoo-post · 2 years
Text
Les Limites, Tome 1 : Explorer les limites
D'habitude, j'aime bien ces type de lecture, mais là, j'ai pas accrochée.
C'est bien dommage.
1 note · View note
michaelrenzoamani · 2 years
Text
La machine à explorer le temps de HG Wells
Tumblr media
Ce livre est le roman original de science-fiction sur le voyage dans le temps. C'est l'histoire d'un scientifique anglais de l'ère victorienne à la fin des années 1800, un inventeur qui crée une machine à remonter le temps dans son laboratoire et il l'utilise pour explorer l'avenir afin de voir ce que réserve ce dernier à l'humanité et à la terre.
Le voyageur du temps se retrouve dans un jardin en l'an 802701. Il a observé d'étranges bâtiments, beaux, mais abandonnés, des jardins luxuriants et de petits êtres doux et insouciants appelés Élois qui agissent comme des enfants et sont très effrayés par l'obscurité. Il sauve une Éloi nommé Weena de la noyade qui se dévoue alors à lui. La nuit, il rencontre d'étranges créatures ressemblant à des humains appelées Morlocks, une race de créatures souterraines. Parce qu'ils vivent dans l'obscurité, ils sont tous blancs avec des yeux rouges.
Quelles sont ces étranges créatures ? Pourquoi les Élois sont-ils si indifférents à ce qui les entoure, voire aux disparitions régulières de certains d'entre eux ? Le voyageur temporel démêlera les fils de ce mystère et élucidera la vérité macabre derrière ce monde apparemment idyllique.
Ce roman de science-fiction de H.G. Wells est reconnu pour avoir popularisé la notion de voyage dans le temps, qui consiste à voyager intentionnellement et délibérément en avant ou en arrière dans l'axe du temps à l'aide d'un véhicule.
Dans ce roman, H.G. Wells s'interroge sur la condition humaine et sur ce que l'avenir peut réserver à l'humanité. Il est remarquable que ce roman ait été écrit il y a si longtemps, mais qu'il ait toujours une touche contemporaine.
La Machine à explorer le temps est considérée, à notre époque, comme une critique des inégalités de classe à l'époque de Wells. C'est une œuvre d'histoire future et d'évolution spéculative.
Le livre est disponible sur Amazon :  https://www.amazon.fr/dp/B09YX92FBN
0 notes
laplumedemaureen · 9 months
Text
Book Review : The Cruel Prince - Holly Black
You're only reading this series now ?!
Well... yes. I'm late. I know. Lmao. Better late than never.
Anyway, I heard a loooot about this series before reading it. Praise comparing it to Leigh Bardugo, Cassandra Clare and Sarah J Maas -> aka, all my favorite authors. So I was very confident picking up this book. I expected it to become my new favorite, my latest obsession.
It was not the case. Hear me out, I did like it. But not as much as I expected to. Allow me to explain. The novel is divided in two parts, Book 1 and Book 2. Book 1 lasts for more than half the actual thing. It's all about lore, worldbuilding, getting to know the characters etc. And I just... couldn't get lost in this world. I suppose little folk and faeries aren't necessarily for me. It was nice-ish, but just too much description and lore at once for my taste.
Tumblr media
And the whole plot is basically low-stakes teenage drama and I just couldn't find myself caring about what would happen next. You can definitely tell there's underlying politics and scheming about to come. You can feel it has a lot of potential but... it's just not fully developed. So I was a bit disappointed.
BUT THEN.
You get to the end of Book 1. AND. HERE. IT. IS. There's politics, there's intrigue, there's plot, drama and tension all at once, and it finally starts to feel like the stakes are higher than ever and we're about to get real action and find out what this OC is capable of.
And Book 2 is just awesome. I really liked it and read it super quickly. I do want to read the next book and I did enjoy this one, I just wished the first part was shorter and the second longer.
What about you ? Have you read this series ?
8 notes · View notes
fabiencardbook · 2 years
Text
Vendre son livre sur amazon ce classe 27 eme de sa catégorie , en appliquant les grands principe de mon ouvrage .
Le ciblage , la data , la réflexion , évaluer son lectorat et d'autres choses précise que vous retrouverais dans mon ouvrage . J'ai écrit cet ouvrage pour explique en détails comment j'ai vendu touts mes inventions , j'ai appliqué la même méthode sur les livrs et il y a des résultats probant. En ce classant 27 eme de sa catégorie en moins de 15 jours .
https://amzn.to/3zQVpbM
#marketing #livre #auteur #vendre #amazon #business #book #vinted #communication #bookstagram #lecture #appartement #kindle #entrepreneur #immobilier #ebook #france #instabook #litterature #maison #paris #livrestagram #marketingdigital #instalivre #acheter #love #instagood #booklover #louer #branding
0 notes
lerefugedeluza · 6 months
Text
youtube
Vlog de lecture, n'hésitez pas à regarder si vous aimez les livres et/ou la culture coréenne ! Et comme toujours, merci pour vos retours, vos j'aimes et vos partages ♡ Bisous !
14 notes · View notes
valienka · 2 months
Text
les reines de la nuit
1 note · View note
louisa-a · 5 months
Text
Ep.71 🍽️ François Simon "La cuisine, c'est le don. On a envie qu'il y ait du sentiment."
François Simon, le critique gastronomique le plus célèbre de France. J’ai découvert tardivement sa voix envoûtante, ses mots, son œuvre, grâce à Instagram où il publie chaque jour ses découvertes. Il était temps de parler des lieux où on donne rendez-vous pour un 1er date : un café, qui peut mener à un restaurant et qui sait ensuite ? Quel endroit choisir ? Et quelle place à l’intérieur du lieu ?…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
laetistardust · 7 months
Text
Voici l'histoire du dernier des hommes qui parlait la langue des serpents, de sa sœur qui tomba amoureuse d’un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, d’une paysanne qui rêvait d’un loup-garou, d’un vieil homme qui chassait les vents, d’une salamandre qui volait dans les airs, d’australopithèques qui élevaient des poux géants, d’un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons épouvantés par tout ce qui précède... Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d’un souffle inspiré des sagas scandinaves, un roman à l’humour et à l’imagination délirants. (Booknode)
Folklore, contes et croyances s'entremêlent et, parfois, s'entrechoquent dans ce roman hors du commun. Dans cette Estonie réinventée, Leemet notre protagoniste, se trouve à la frontière entre tradition et modernité. Les hommes quittent un à un la forêt, se convertissent au christianisme et oublient la langue des serpents. Entre ceux qui se cramponnent à des coutumes insensées et ceux qui se précipitent aveuglément dans un nouveau mode de vie, Leemet peine à trouver sa place.
Je découvrais ici l'imaginaire de Kivirähk. Je l'avoue, je craignais un peu d'y trouver un monde qui me serait inaccessible, moi qui en sais bien peu sur le folklore scandinave. Au final, je m'inquiétais pour rien. L'auteur nous invite avec plaisir dans son univers merveilleux, accessible à tous et terriblement captivant. Il s'interroge sur le progrès et les valeurs ancestrales sans prendre parti. Au contraire, il démontre les bons et mauvais côtés de chacun, laissant à son protagoniste - et à ses lecteurs - le soin de faire le tri.
J'ai adoré découvrir ce monde fantastique et ces personnages hauts en couleurs. C'était le premier Kivirähk que je lisais, mais certainement pas le dernier.
Note finale : 5/5
instagram
0 notes