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#fêlures
hcdahlem · 5 months
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Comme si de rien n'était
On retrouve Barbara Abel au meilleur de sa forme. Dans ce thriller qui démarre par la découverte d'une femme assassinée avec violence, elle explore les liens entre les différents protagonistes ce cette affaire bien mystérieuse.
    En deux mots Madame Moreau a été retrouvée morte dans son lit, la tête fracassée par un gros galet. Pour les voisins, c’est la stupéfaction, car les Moreau étaient une famille sans problèmes. C’est en fouillant le passé des protagonistes que l’on va découvrir les clés de ce drame. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Un féminicide qui cache bien des secrets On retrouve Barbara Abel au…
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coolvieilledentelle · 10 months
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Il n'est pas de beauté sans fêlure. Georges Bataille
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vhscorp · 9 months
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Nous avons tous des blessures au cœur, des fêlures, des secrets, qu’on conserve, enfouis tout au fond de nous, à jamais…
V. H. SCORP
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orageusealizarine · 9 months
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tu es l'âme sidérale
qui m’embrasse à la Nuit
moi fille du Soleil et de l’Éternité
en mon sein la lumière
. définitive
empoignée par tes doigts
. si obscurs
. dans mes visions
le regain musical
des révolutions célestes
tu es le corps qui me détourne de mes raisons
glorieuses
. voluptés
j'erre d'être libérée dans l'espace
. à l'agonie
. dans l'abandon du ciel
tu m’éperds
. incandescente
promenade dans les enfers
. de la joie
j'oublie mon axe
. et ma fêlure
éloignée du soleil
. je suis (éternelle)
. lumière
. dans ton vide sidéral
tes mains toujours
. plus sombres
d’être baisées
. mes lèvres brûlent
. et mes rayons - étoiles à la dérive
j'achoppe
. à ton obscurité
j'ai creusé plus de joies sensibles
. dans la Nuit
que sous les soleils
. calcinés
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abridurif · 1 month
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Plus encore que les hommes, plus que les feddayin au combat, les femmes palestiniennes paraissaient assez fortes pour soutenir la résistance et accepter la nouveauté d’une révolution. Elles avaient déjà désobéi aux coutumes : regard direct soutenant le regard des hommes, refus du voile, cheveux visibles quelque fois complètement nus, voix sans fêlure. La plus courte et la plus prosaïque de leur démarche était le fragment d’une avancée très sûre vers un ordre nouveau, donc inconnu d’elles, mais où elles pressentaient pour elles-mêmes la libération comme un bain et pour les hommes une fierté lumineuse. Elles étaient prêtes à devenir à la fois l’épouse et la mère des héros comme elles l’étaient déjà de leurs hommes. Dans les bois d’Ajloun, les feddayin rêvaient peut-être de filles, il semble plutôt que chacun dessinât sur lui-même ou modelât par ses gestes – une fille collée contre lui, d’où cette grâce et cette force – avec leurs rires amusés – des feddayin en armes. Nous n’étions pas seulement dans l’orée d’une pré-révolution mais dans une indistincte sensualité. Un givre raidissant chaque geste lui donnait sa douceur. Jean Genet, « Quatre heures à Chatila », in L’Ennemi déclaré, Gallimard, 1991
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lisaalmeida · 5 months
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Usure des coeurs
On se fait la cour, on se fiance,
On se marie, on nage dans le bonheur.
De petites fêlures apparaissent .
On les néglige.
Elles grandissent, puis se stabilisent.
On vit avec.
Un jour, un heurt stupide dévoile la fissure irréparable.
On se met d'accord pour la cacher. On la bouche n'importe comment.
Les contemporains qui semblaient indestructibles, s'évanouissent, un par un, dix par dix.
On se retrouve tous deux, séparés et proches.
On se fait souffrir pour se sentir encore vivre.
On se serre un peu pour avoir moins froid.
Trop tard. L'un des deux lâche la rampe.
L'autre reste là, vacant, désaffecté, remâchant ses torts et fabriquant ses remords.
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grain-de-rien · 1 year
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Misérable dans la détresse (2/2)
Le calme Règne à présent. Les tremblements Irrépressibles de son corps Ont cessé.
Son visage Inerte, creux, S'enfonce dans l'ombre. Son regard Inexpressif erre dans le vide, Les yeux Brulés par une peine abrasive. Des lames Plein la gorge, Des aveux Dans la salive, Des paroles Au bord des lèvres Il admet peu à peu cette fêlure soudaine, Le fracas retentissant De son reflet brisé.
Grain de Rien, 2023
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jamie-007 · 8 months
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Douce soirée ⭐ ⭐ ⭐ 💕
De ces moments heureux,
Ne reste que l'errance.
Instants de désaveu,
Sans aucune importance.
De courage en fêlures,
Et un corps en latence,
Dans ma fragile armure,
Éperdue, impatiente.
Un éclat qui poudroie,
Mon cœur en transition,
De l'envers à l'endroit,
Chenille vers papillon.
En oubliant mes doutes,
Légère et souriante,
Je reprendrai la route,
Libre de cette renaissance.
JM ♥️
Très belle soirée ✨✨✨
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lafilledanslalune · 2 months
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Mais moi je sais ce que je veux, je te veux toi.
Et je veux que tu me veuilles en retour, moi et uniquement moi.
Et ne veux pas en douter, je veux être sûr, ressentir que tu ne veux que moi, car si je suis bien sur d’une chose c’est que je ne veux que toi.
Alors je veux que tu me choisisses, avec mes doutes et mes projets, mes fêlures et mes regrets.
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adri-atique · 8 months
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Tout livre devrait être lu au minimum deux fois. Certain livre demandent à être lu minimum deux fois. Parmi ces derniers, on y trouve Le maitre des illusions de l’auteure américaine Donna Tartt. Faisant usage de sa grande maitrise des mots, Tartt nous dépeint une histoire mouvementée mettant en scène l’étude des classiques grecques et la poursuite de l’esthétique académique à travers un narrateur témoin-sujet qui reviens sur son passé. A une première vue, le livre est tout simplement Richard, jeune homme de 28 ans fortement dépressif, qui nous raconte son année au collège Hampdenau Vermont. Plus le lecteur continue, plus on se rend compte qu’il s’agit en fait d’un aveu, la révélation d’un meurtre rester dans l’ombre depuis neuf ans., et plus on comprend l’état d’âme du narrateur.
« Nous n'aimons pas le reconnaître, mais l'idée de perdre contrôle est quelque chose qui fascine plus que tout, ou presque, les gens aussi contrôlés que nous le sommes. »
À ma première lecture, je me retrouvai dans la peau de Richard à 19 ans, fraichement débarqué dans une nouvelle école. Ayant moi-même vécu cette étape quelques fois dans ma vie, je fus capable de rapidement m’attacher au personnage et de m’immerger dans les descriptions imagées du Vermont. J’ai découvert avec lui les membres du groupe d’étudiants exclusif et leurs personnalités. J’ai tué et j’ai vécu le stress de cacher un meurtre avec ces derniers. J’ai levé les nombreuses couches de secrets gardés par les étudiants et j’ai vécu leur dissolution. La première lecture m’est resté dans la tête, trottant parmi mes idées durant des mois. Ses moments singuliers hantaient mes nuits au point qu’au début je restais éveiller le temps de faire et refaire le point sur les évènements connus, mais par la faute du narrateur et son obsession pour le pittoresque des événements, il y a autant d’inconnu qu’il y a de mauvaises décisions au travers des pages. Je devais le lire à nouveau, ou jamais je ne retrouverai le repos.
« La beauté est rarement douce ou consolatrice. Plutôt le contraire. La véritable beauté est toujours très inquiétante. »
La deuxième lecture révèle beaucoup de chose. Si lors de la première lecture j’étais Richard à 19 ans, je me suis retrouvée plus vielle de neuf ans lors de la seconde. Sachant déjà le dénouement, je découvrais de nouveaux détails qui laissaient présager les futurs événements. Ayant le contexte nécessaire, je remarquais les symbolismes présents dans le texte, que ce soient les fleurs déposées sur le seuil de la fenêtre ou bien les actions en arrière-plan. Cette seconde lecture a donné repos à mon pauvre cerveau malmener par le génie de Donna Tartt.  Je planifie le relire au moins une troisième fois, histoire de trouver encore plus de détails.
« Est-ce que quelque chose comme la “fêlure fatale”, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d’une vie, existe hors de la littérature ? Je croyais que non. Maintenant je pense que oui. Et je crois que voici la mienne : une avidité morbide du pittoresque à tout prix. À moi. L’histoire d’une de mes folies. »
Le maitre des illusions est un livre truffé de citations, de référence à la Grèce antique et totalement obsédée par la beauté, un livre parfait pour s’éduquer à travers maintes références (trouver les sources originales est en soi une aventure passionnante, je peux vous le dire.) Décrit comme étant une aventure de détective inversé, plusieurs lecteurs l’ont interprété plus comme étant une critique de la recherche de l’esthétique et comment faire ses choix pour le pittoresque sans penser aux conséquences peut mener à la perte d’un individu tel qu’il est. Un livre parfait pour les amoureux de la beauté académique.
À noter que j’ai originalement lu ce livre en Anglais, j’ai traduit les citations ainsi que le titre pour les besoins d’un texte uniforme. Toute impression m’es venu du texte original en anglais.
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hcdahlem · 1 year
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L’été en poche (37): Les fêlures
L’été en poche se poursuit avec Barbara Abel. Après une double tentative de suicide, la romancière décrit les dégâts que va provoquer le doute qui ronge les protagonistes, tous sûrs de détenir la vérité sur ce drame. #BarbaraAbel #editionspocket
En deux mots Garance découvre sa sœur Roxane et son conjoint Martin inanimés dans leur lit après une tentative de suicide. Les secours parviendront à la sauver et constateront le décès de Martin. Pour Odile, sa belle-mère, Roxane est coupable. Et si la police conclut à un non-lieu après l’autopsie, le poison du doute s’est instillé et n’a pas fini de faire des dégâts. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Si…
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L'été s'en est allé au delà de l'horizon Reste l'attente et le délicieux frisson Du souvenir de son ardente brûlure Faut-il, faute au temps où rien ne perdure Accepter en silence cette fêlure imposée ! Que la mémoire sait nous faire aimer.... Dans la mélancolie et le silence du repli sur soi.... Il reviendra..il revient toujours à vous.. à moi.
-Charlotte-
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vhscorp · 2 years
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Ce sont aussi nos failles, nos faiblesses, nos fêlures, nos blessures, nos cicatrices, nos manques, nos douleurs et nos démons intérieurs qui font notre unicité et notre personnalité...
V. H. SCORP
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abridurif · 3 months
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Respecter la fêlure, et permettre au commun d’exister, c’est sans doute l’ouvrage le plus difficile que les hommes se sont/pourraient se donner. Fernand Deligny, L’Arachnéen et autres textes, , 2008
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aurevoirmonty · 1 year
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« J'aurais dû aller voir Gen Paul ! J'ai descendu la rue du Lavoir un an avant sa mort sans oser frapper à sa porte. Jeune puceau torve ! Je le savais en déchet de fêlures, les hanches fracturées, le moignon douloureux, pharaon ivre aux torgnoles faciles, toute la légende con !… De toute façon j'aurais eu trop de mal aussi à ne pas lui parler de Céline. J'ai bien fait de ne pas me pointer. Rappelez-vous cette photo de 1942 où l'on voit Gen Paul souffler un mot à Céline, regardez bien la tête du Cuirassier, son masque de petit garçon admiratif que je ne lui ai jamais vu ailleurs, très exactement semblable en cela au regard que porte Parker sur Monk dans une autre photo célèbre, et soyez persuadé avec moi que Gen Paul fut pour Céline, comme Henry de Groux le fut pour Léon Bloy, sa plus grande amitié et l'une de ses plus grandes souffrances. C'est Caliban qui déchire Prospero, pas Ariel.»
Zigzags, 1986, Marc-Edouard Nabe
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lorienn-art · 1 year
Photo
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FR [Kintsugi] Heyy ! Voici la dernière illustration sur laquelle j'ai (ENCORE) passé beaucoup trop d'heures 😂 J'ai été inspirée par l'art japonais du kintsugi, consistant en réparer la poterie brisée en mettant en valeur les fêlures avec de la poudre d'or plutôt que de les dissimuler J'ai ajouté à quelques endroits des touches d'aquarelle brillante mais cela ne se voit malheureusement pas sur la version scannée.. J'espère que cette peinture vous plaira autant qu'à moi 💖 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ EN [Kintsugi] Heyy! Here is the latest illustration on which I spent (AGAIN) wayyy too many hours 😂 I've been inspired by the art of kintsugi, a method to repair broken potteries by stressing out the cracks with gold powder rather than masking them I added to some parts a bit of shimmering watercolour paints but it doesn't show very well on the scanned version... I hope you'll like this piece as much as I do 💖
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