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#fulvio bernasconi
radioarte · 2 years
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trashopedia · 7 years
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Ledevoir Interview with Fulvio and Evelyne 
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brochunews · 7 years
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IXIONComm: #FulvioBernasconi @EvelyneBrochu en promotion pour le film #Miséricorde à l'affiche 2 juin @cinema_leclap @CinemaBeaubien !
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adherantnerdhi · 7 years
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#Repost @fulviobernasconi (@get_repost) ・・・ Evelyne Brochu, on fait la promo pour la sortie de Miséricorde au Québec 😍 @evelyne_brochu
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Il cinema del Piemonte arriva in sala con Anteprima MOVIE TELLERS
Dal 3 maggio al 22 giugno in 17 comuni piemontesi, le 20 serate della rassegna Anteprima MOVIE TELLERS portano sul grande schermo 4 documentari e 19 cortometraggi frutto della recente produzione regionale; una programmazione arricchita da ospiti in sala (i registi Erik Bernasconi, Daniele Gaglianone e Paola Piacenza; il produttore Fulvio Nebbia e i giornalisti … Leggi tutto L'articolo Il... Per il contenuto completo visitate il sito https://ift.tt/IC0XOPt
da Quotidiano Piemontese - Home Page https://ift.tt/M1G9qWz via Adriano Montanaro - Alessandria
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filmistreview · 7 years
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Fate is something that none of us can avoid, however hard we try. But, in the end what matters is our acceptance of things and coming to peace with things as they are. That is a way of salvation, is what this slow paced drama Miséricorde tells us. Plot moves nice and steadily and towards the inevitable. Something you will like to flow on with. Nice direction by Swiss Director Fulvio Bernasconi.
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nezoid · 7 years
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ENTREVUE AVEC EVELYNE BROCHU JE REVIENDRAI À MONTRÉAL…
ANDRÉ DUCHESNE LA PRESSE
À Saint-Henri, le 22 mai, l’intérieur du Bar de Courcelle baigne dans la pénombre et la musique country. Une douce lumière naturelle de fin d’après-midi se faufile par les fenêtres donnant sur l’ouest. L’entrevue est en cours depuis une demi-heure lorsque les premières notes du vieux tube Country Roads de John Denver résonnent.
« J’adore cette chanson », s’interrompt la comédienne Evelyne Brochu. Elle balance doucement les épaules, emportée par la mélodie. Sourire aux lèvres, elle chante les paroles du refrain : « Country roads/Take me home/To the place/I belong. »
Exception faite de la référence à la ruralité, les mots de Denver épousent la tangente que prend la carrière d’Evelyne Brochu ces jours-ci. Car après avoir passé plusieurs mois par année à l’étranger, la comédienne de 33 ans est revenue vers son phare, son port d’attache, son cher Montréal, là où ses prochains projets, notamment au théâtre et à la chanson, s’articuleront.
« Je suis une grande amoureuse de Montréal. Plus je m’en éloigne, plus je me rends compte qu’il n’y a rien d’autre que cette ville, sourit-elle. Je pense en être une bonne ambassadrice. J’en parle beaucoup à mes collègues quand je travaille ailleurs et je leur donne envie de venir. »
Ailleurs, c’est notamment Budapest et Toronto, où, au cours des trois dernières années, elle a séjourné pour les tournages des séries canadiennes-anglaises XCompany et Orphan Black.
Entre ces allées et venues, elle a passé du temps à Montréal pour tourner la série Trop, en Abitibi-Témiscamingue pour le film Miséricorde, en plus de faire un saut à Bruxelles pour un autre projet de film, Le passé devant nous. On connaît le succès critique et public qu’a eu Trop ce printemps. Arrivent maintenant, à quatre semaines d’intervalle au cinéma, les longs métrages Miséricorde de Fulvio Bernasconi et Le passé devant nous de Nathalie Teirlinck.
La différence entre les deux personnages ne pourrait être plus grande. Dans Miséricorde, Evelyne Brochu est Mary Ann, une « truckeuse » en jeans et chemise à carreaux, sacrant, jouant les dures. Dans Le passé devant nous, elle est Alice, escorte de luxe, féminine, délicate. Comme leur enveloppe externe, les âmes des deux femmes sont aux antipodes. Mère de deux enfants, Mary Ann est prête à tout pour protéger la vie de ses marmots et le peu qu’elle possède. Mère d’un garçon, Alice est prête à tout pour être dépouillée du moindre bien, de la moindre attache.
« Mary Ann est une terrienne, une mère. Alors qu’Alice, c’est l’air ; on dirait qu’elle cherche à s’évaporer, dit la comédienne, généreuse en entrevue. Par contre, leur rapport au travail est peut-être similaire. Elles font des jobs qui, pour moi, constituent des sortes de fuite. »
Si, chez les camionneurs, la fuite s’illustre facilement (prendre la route), on la détecte moins chez l’escorte. Evelyne Brochu la voit dans le contrôle qu’Alice exerce sur ses clients qu’elle séduit et garde à distance tout à la fois. « Même si elle se trouve dans un lieu extrêmement vulnérable, c’est celui où elle est dans le contrôle. Car les autres, ses clients, sont dans le désir. Pas elle ! »
RETOUR AU THÉÂTRE Au cours des prochains mois, Evelyne Brochu sera liée à des projets montréalais, dont celui, après une pause de quatre ans, d’un retour sur les planches qu’elle souhaitait ardemment. En mars et avril 2018, elle incarnera Nastasia Philippovna dans L’idiot, d’après le roman de Fiodor Dostoïevski, monté au TNM.
Un retour aux sources pour elle qui, en 2006 au Conservatoire d’art dramatique de Montréal, avait joué dans Le songe de l’Oncle du même auteur.
« Dostoïevski propose un univers que j’aime. Il est le seul à montrer l’être humain ainsi. C’est tellement fondamental. Ses personnages sont paradoxaux, à la fois laids et beaux, comme nous le sommes tous. Il y a quelque chose d’un peu sale dans sa façon de raconter les choses. Et puis, Nastasia Philippovna est un des plus beaux personnages féminins de la littérature mondiale. Comme elle n’a rien à perdre, tout lui est permis ! »
— Evelyne Brochu
Hormis une présence dans une soirée-bénéfice, ce sera sa première pièce au mythique TNM. Y jouer est un genre de consécration face à laquelle elle se dit « terrifiée et excitée ». Mais elle se sait très bien entourée avec le texte adapté par Étienne Lepage, la mise en scène de Catherine Vidal et une distribution tout étoile qui compte, entre autres Paul Ahmarani, Macha Limonchik, Paul Savoie et Francis Ducharme. « Juste du monde puissant », conclut-elle.
UN PREMIER ALBUM Avec l’auteur-compositeur-interprète Félix Dyotte, un ami depuis leurs études au cégep de Saint-Laurent, elle travaille aussi sur la conception d’un album.
« Ça fait longtemps que nous faisons de la musique ensemble. On a quatre chansons et un démo. Nous sommes en discussions avec des maisons de disques. Pour moi, la musique, c’est de l’interprétation, mais sans personnage. C’est quelque chose qui reste près de moi, mais avec un plus grand dénuement. »
Un premier clip, C’est l’été, a été tourné en façade d’une maison du Plateau Mont-Royal que la comédienne a toujours trouvée belle. « J’ai cogné à la porte et demandé à la propriétaire si, en échange d’une bouteille de mousseux, elle nous laissait tourner le clip, raconte la comédienne. La dame a dit oui. »
Cogner chez une inconnue de la ville pour lui dire qu’on aime sa maison et qu’on voudrait y tourner un clip. Voilà une autre démonstration d’amour pour sa ville. « Almost heaven », comme disait John Denver…
Miséricorde prend l’affiche le 2 juin.
Le passé devant nous prend l’affiche le 30 juin.
EVELYNE BROCHU SUR… LE THÉÂTRE « Au théâtre, on travaille une pièce pratiquement un an à l’avance. Ça donne l’occasion d’y rêver et de permettre aux choses de se déposer dans ton corps, dans tes os. Ce temps-là, je l’aime. Ça permet d’élargir quelque chose dans ton métier et d’être encore plus fort lorsqu’on revient à des choses [plus rapides] comme le cinéma et la télé. »
EVELYNE BROCHU SUR… LE FILM LE PASSÉ DEVANT NOUS « Mon plus beau projet de cinéma. Il y avait quelque chose de l’ordre du sacré à faire ce film. On faisait du ci-né-ma. Nous étions une très petite équipe et on savait qu’on faisait un film important avec une cinéaste visionnaire. »
EVELYNE BROCHU SUR… LA SÉRIE TROP « J’en suis ravie ! Ce fut une bouffée d’oxygène, de lumière après avoir joué dans beaucoup de dramatiques. Lorsque Louise Archambault [coréalisatrice avec Chloé Robichaud] m’a fait lire le scénario, j’ai eu le goût de faire ce personnage lumineux d’Isabelle et de jouer dans une comédie. J’aime les défis et je n’en avais jamais fait. On aborde aussi des thèmes importants en comédie. Dans Trop, on parle de solidarité, de sororité, de la force du nombre pour passer à travers une épreuve. Cette comédie n’est pas vide de thématiques difficiles. »
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MARTINO PICCOLO LUPO
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MARTINO PICCOLO LUPO
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Video presentazione del progetto (e del libro) “Martino Piccolo Lupo” di Gionata Bernasconi. Uno strumento per le scuole, le famiglie e le associazioni per parlare di Autismo con maggiore serenità.
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italianaradio · 5 years
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Locarno 2019: presentato il programma
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Locarno 2019: presentato il programma
Locarno 2019: presentato il programma
Locarno 2019: presentato il programma
Durante la conferenza stampa di oggi, giovedì 18 luglio a Milano, è stato annunciato il programma ufficiale della 72esima edizione del Locarno Film Festival, sotto la nuova Direzione artistica di Lili Hinstin. Annunciati anche il Leopard Club Award a Hilary Swank, il Vision Award Ticinomoda a Claire Atherton, il Premio Utopia a enrico ghezzi e il Premio Cinema Ticino a Fulvio Bernasconi.
Il Leopard Club Award della 72esima edizione del Locarno Film Festival va a una grande interprete della vita. Attrice e donna tenace, capace di accogliere la sfida di un copione a prescindere che sia sul set o nella realtà, sarà Hilary Swank la grande ospite della notte di venerdì 9 agosto, quando in Piazza Grande le sarà assegnato il Leopard Club Award. Autrice di prove d’attore indimenticabili, plasmate su un fisico capace di scolpire la psiche, Hilary Swank sa rapportarsi a sceneggiature che raccontano vite in salita e tematiche fragili su cui poggia il peso di intere esistenze. L’omaggio di Locarno a Hilary Swank sarà accompagnato dalla proiezione di Boys Don’t Cry di Kimberly Peirce (1999) e Million Dollar Baby di Clint Eastwood (2004), i due film che le hanno valso l’Oscar come miglior attrice protagonista. Il pubblico del Festival, inoltre, avrà la possibilità di incontrare l’attrice sabato 10 agosto.
Annunciate anche le giurie ufficiali e l’omaggio a Bruno Ganz, per cui sarà presente Petros Markaris, sceneggiatore del film Mia aioniótita kai mia méra (Eternity and a Day, 1998).
Saranno inoltre presenti a Locarno, fra gli altri:
Mathieu Amalric, Claire Atherton, Jeanne Balibar, Emmanuelle Béart, Ramzy Bedia, Fulvio Bernasconi, BI Gan, BONG Joon-ho, Catherine Breillat, Earl Cave, Kiddy Citny, Pedro Costa, Denis Côté, Pierre Deladonchamps, Anaïs Demoustier, Alice Diop, Valérie Donzelli, Ginevra Elkann, Jimmie Fails, Koji Fukada, enrico ghezzi, Joseph Gordon-Levitt, Arthur Jafa, Asif Kapadia, Marthe Keller, Ulrich Köhler, Komplizen Film’s producers: Maren Ade, Jonas Dornbach e Janine Jackowski; Kiyoshi Kurosawa, Petros Markaris, Fredi M. Murer, João Nicolau, Euzhan Palcy, Nahuel Pérez Biscayart, Francis Reusser, Alba Rohrwacher, Riccardo Scamarcio, Angela Schanelec, SONG Kang-Ho, Samir, Hilary Swank, Joe Talbot, Béla Tarr, Greg Tate, Carice van Houten, John Waters, Yolande Zauberman.
Cinefilos.it – Da chi il cinema lo ama.
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Chiara Guida
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trashopedia · 7 years
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brochunews · 7 years
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fulviobernasconi: Evelyne Brochu, on fait la promo pour la sortie de Miséricorde au Québec
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adherantnerdhi · 7 years
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brochunews · 7 years
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«Miséricorde»: délit de fuite
Dans le paysage cinématographique suisse, Fulvio Bernasconi fait figure d’exception. Né à Lugano, il a fait ses études en cinéma à Genève, où il vit toujours, ce qui ne l’empêche pas de tourner en Suisse romande, en Suisse allemande et en Suisse italienne. Qu’il se retrouve à la barre d’un film tourné au Québec, où un Suisse (le Belge Jonathan Zaccaï) découvre les rapports conflictuels entre les communautés blanche et autochtone, n’a presque rien de surprenant.
« Ayant tourné des documentaires dans des conditions difficiles, comme au Liberia ou au Zimbabwe quand c’était fermé, j’ai une certaine capacité de pénétration dans les communautés lointaines, confie le réalisateur de passage à Montréal. Je ne veux pas mentir, j’ai bien senti qu’il y avait une méfiance entre les Blancs et les Amérindiens. Peut-être que le fait d’être Européens nous a aidés parce que nous ne partageons pas ce passé tragique. Je ne sais pas si la neutralité helvétique y est pour quelque chose, mais durant le tournage, nous avons pu créer des liens. L’expérience du film a été heureuse. »
Respect des traditions
Écrit avec Antoine Jaccoud (L’enfant d’en haut d’Ursula Meier), Miséricorde se penche sur les répercussions, au sein de la communauté de Lac-Simon, de la mort d’un adolescent autochtone happé par un camion. Alors qu’il s’apprêtait à regagner la Suisse, Thomas (Zaccaï), policier au passé trouble, rebrousse chemin et promet à la mère du jeune garçon (Marie-Hélène Bélanger) de retrouver le chauffard. Suivant la tradition autochtone, l’adolescent ne pourra être enterré que lorsque le chauffard demandera pardon. L’oncle du défunt (Marco Collin) viendra alors en aide au policier pour trouver le camionneur.
« En faisant des recherches, on a découvert que les autochtones avaient une incarnation assez belle du pardon. Lorsque quelqu’un leur demande pardon d’une manière sincère, ils n’ont pas le choix de le donner. C’est dans leur culture, mais c’est aussi une nécessité. Autrefois, pour un peuple nomade, il n’y avait pas de prison. Soit on excluait quelqu’un de la communauté, soit on lui pardonnait. Je trouve que c’est un aspect très positif de leur culture et c’est ce qu’on avait envie de dire avec Miséricorde », explique Fulvio Bernasconi.
Croisements culturels
Bien que son nom apparaisse tôt au générique, le personnage qu’incarne Évelyne Brochu n’arrive qu’à mi-chemin du récit. Fille d’une immigrante allemande (Marthe Keller), Mary-Ann élève seule ses deux enfants. À l’instar de Thomas, c’est un être tourmenté. « Ce qui m’attirait beaucoup, c’est l’immense guerre intérieure que vit chaque personnage », affirme l’actrice, dont l’interprétation dans Inch’Allah d’Anaïs Barbeau-Lavalette lui a valu ce rôle.
À propos de la réalité dépeinte dans Miséricorde, Évelyne Brochu n’a que de bons mots à propos du cinéaste et du scénariste : « Le film est à l’image de Fulvio, doux, tendre, humble. Il a fait ce film avec grâce et délicatesse, comme ses films précédents où il traitait de thèmes durs. Ce n’est pas du tout le regard européen colonisateur sur la réalité autochtone, sur la pourvoirie, sur le camionnage. Antoine Jaccoud est capable de cibler des choses très fines. C’est un amateur du Québec, où il est venu plusieurs fois. Il est vraiment allé à la rencontre des réalités qu’il décrit. Je n’aurais pas participé à un projet où cette rencontre entre Blancs et autochtones n’aurait pas été abordée avec respect et délicatesse. »
Ayant choisi les paysages de l’Abitibi pour illustrer les conflits intérieurs du personnage central, Fulvio Bernasconi ne cache pas s’être inspiré du cinéma américain pour illustrer cette quête du pardon. « Ce paysage-là, qui est dur, rude et même blessé par ces énormes mines, semblait idéal pour tourner ce film-là. C’est clair que, pour un Européen qui tourne dans ces grands paysages, il y a une petite référence aux westerns. Personnellement, je trouve qu’il y a des liens thématiques et narratifs avec ce type de films ; il y a un homme seul qui poursuit la justice, confronté à la nature, aux autres. Je dois avouer que j’ai regardé La prisonnièredu désert de John Ford avec John Wayne. »
« Il y a aussi des références au road movie, mais ce n’est jamais maniéré, elles servent toujours la quête du personnage principal, qui chasse un coupable afin de chasser le coupable en lui. Ces grandes routes-là, ce sont aussi les routes pour aller vers soi et s’éloigner de soi. Et les prises de vue de ces routes illustrent la dureté de ce que les personnages vivent, de ce qui les habite », conclut Évelyne Brochu.
source
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adherantnerdhi · 8 years
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#Miséricorde directed by Fulvio Bernasconi written by Antoine Jaccoud will be premiered Montreal on 18h, Feb 27 Via Québec Cinéma https://twitter.com/Qc_Cinema/status/829004800217972737 Evelyne Brochu talking to miséricorde co-star Jonathan Zaccai
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trashopedia · 8 years
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EBro be like: STFU already Fulvz plz
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adherantnerdhi · 8 years
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«Miséricorde» ou la longue route de la rédemption  «慈悲» 一場漫長的救贖之旅 Evelyne Brochu Miséricorde, de Fulvio Bernasconi (Suisse, France, Québec, 2016), avec Jonathan Zaccaï, Evelyne Brochu, Daniel Gadouas, Charlie Arcouette, Marco Colin, Isabelle Caillat, 1h30.
Le chauffard qui a écrasé le gosse n’est pas celui qu’on croyait. Du camion funèbre émerge Mary-Ann (Evelyne Brochu), une jeune femme qui s’épuise à faire bouillir la marmite. Elle a deux enfants, un mari absent (prison? cimetière?) après des flambées de violence domestiques. Le road movie se conclut sur une cérémonie funèbre, dans laquelle joue une vraie chamane. Sobre et très émouvante, rappelant le rituel funéraire qui conclut «Jindabyne, Australie», cette scène de rédemption et de réconciliation interethnique approche avec respect les mystères impénétrables de l’âme indienne – et de la mort.
碾死了孩子的司機,並不是我們相信的。 Mary-Ann (Evelyne Brochu 飾演)出現在葬禮上面,因為自己的疲倦已經到了沸點。她有兩個小孩,在一場家庭暴力後,一位缺席的丈夫(服刑、過世?)。這部電影最後在葬禮當中結束,一場薩滿巫術儀式在其中舉行。非常清醒又動人,讓人聯想起澳洲電影《浮屍的風景》當中的澳洲原住民吸菸的悼念儀式葬禮儀式,這場在族群之間的救贖與和解,指向了不可靠近的北美印地安人們,那些有關靈魂及死亡的秘密。
The driver who crushed the kid is not the one we thought. From the funeral truck emerges Mary-Ann (Evelyne Brochu), a young woman who exhausts herself to boil the pot. She has two children, an absent husband (prison? Cemetery?) After outbreaks of domestic violence. The road movie concludes with a funeral ceremony in which a real shaman plays. Sober and very moving, recalling the funeral ritual that concludes ''Jindabyne, Australia'', this scene of interethnic redemption and reconciliation approaches the impenetrable mysteries of the Indian soul - and death.
https://www.facebook.com/EvelyneBrochu.inChinese/posts/1885753758322622 https://www.letemps.ch/culture/2017/01/17/misericorde-longue-route-redemption Jindabyne, Australie指的是澳洲原住民的一種吸菸的悼念儀式 Merci à @dark-delphine https://twitter.com/CloneClubAUS/status/822671659123343360
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