#hereditaryfilm

[eigaandhollywood]

Happy 49th birthday to Toni Collette

[homicidalhomemaker]

Thanks so much to @midsommarmovie for sending me this wonderful package! It came with a beautiful #flowercrown made with fresh flowers, tea towels, drinking glasses, fresh lemons, vodka, a mini pie plate, and recipes for #HarganMeatPies and a vodka/chamomile/lemonade cocktail! I went ahead and prepared the recipe for the #MeatPies but used @beyondmeat crumbles in place of the ground beef. With shredded potatoes, onions, and delicious spices, this made a wonderful dinner! Also included was the #bluray and #dvd digital combo of #Midsommar, which will be available October 8th! This was such a fantastic surprise...thank you!!! . . . #ariaster #midsommarmovie #midsommarfilm #hereditaryfilm #hereditarymovie #pressdrop #moviepress #moviepromo #horrorfans #horrorfilm #horrormovie #horrorrecipe #horrorcooking #horrorbaking #horrorfood #horrorcook #horrorchef #homicidalhomemaker #thehomicidalhomemaker https://www.instagram.com/p/B3Q219PhQ-J/?igshid=auyd9wzlipar

[twoheadedty]

i love ari aster and alex wolff very very much- here’s some king paimon for you <3 @alexwolffofficial ———————————————— #hereditary #alexwolff #paimon #kingpaimon #petergraham #peterhereditary #hereditaryfilm #ariaster #art #colorpencils #prismacolor #sketchbook #hereditaryfanart #fanart #pencilsketch https://www.instagram.com/p/CD4Q9xMAg3N/?igshid=iu8sxtwo21oi

[ieatmovies]

HEREDITARY (2018) Le phénomène du moment, c’est HEREDITARY: ce premier film du réalisateur Ari Aster est-il toutefois à la hauteur de sa réputation? La réponse est OUI, en dépit de l’argument le moins valable et pourtant le plus répandu: la trouille. HEREDITARY effraie, certes, quand il n’excelle pas dans le domaine: aux antipodes d’un found-footage blindé de jumpscares, le long-métrage impose le respect quant à son approche à la fois esthétique et ambiante de son histoire. C’est bien un “film d’horreur”, mais pas seulement: le premier acte de HEREDITARY va nous familiariser avec les Graham, commençant doucement mais surement par des drames, qui vont s’intensifier pour devenir de vraies blessures, Ari Aster va glisser, après la mort d’un des membres -la seconde-, vers le fantastique. Lugubre, sombre, HEREDITARY se dévoile, avec un soin de l’angle de vue -et encore une fois de l’ambiance- qu’un THE WITCH (2015) n’aurait pas renié, par exemple: et sans atteindre les pics de stress de MOTHER! (2017), le film nous offre rien de moins que ses lettres de noblesse à l’Angoisse. Au-delà de la perte d’un être cher, la famille Graham va découvrir le sombre héritage de sa matriarche, inquiétant de par les activités étranges qui vont avoir lieu dans leur vie: HEREDITARY est un exemple de maîtrise, alliant narration et visuel, qui nous cloue sur notre siège. Sans être forcément empathiques, les personnages sont pourtant très développés, grâce à un acting général très concerné -Toni Collette, la mère, est incroyable dans son interprétation, grosse performance, et l’”ancien” Gabriel Byrne plus que convaincant dans son rôle-: de plus, l’agencement des étages émotionnels est impeccable, allant crescendo jusqu’à son final mystique et morbide. En repensant à HEREDITARY, on réalise qu’il comporte quelques séquence tout juste cultes, identifiant le film dans une originalité à laquelle on ne s’attendait pas: un plan de la maison en plein jour, un claquement de doigts qui fait office de transition sur le même plan, mais de nuit; ou alors une immolation inattendue, un accident routier violent, ou pire -ce cadavre décapité qui flotte dans le jardin! Et ne parlons pas de la possédée qui se cogne la tête contre la trappe du grenier, littéralement agenouillée... sur le plafond. Le mastering son de HEREDITARY est également à retenir, à l’image de ce claquement de langue -un rapport avec un des personnages importants- survenant au moment opportun, nous donnant l’alerte d’un danger inexplicable. Piochant là où il faut avec ses thématiques -deuil, somnambulisme, spiritisme, liens familiaux-, HEREDITARY est presque “Kubrickien” -imaginez si il avait fait POLTERGEIST (1982), non pas par similarité mais par sa forme “de luxe”: plus de deux heures auxquelles on n’a rien à reprocher, tant le film est intéressant techniquement qu’artistiquement parlant. Un long-métrage fantastique “réaliste”, poids lourd 2018 de la catégorie “angoisse”, nous dévorant de son ombre et révélant les flammes infernales une fois happés par se couleurs chatoyantes. Très puissant, et qui donne envie d’être revu au plus vite. ALL IN THE FAMILY /20