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#invasion de la yougoslavie
carbone14 · 4 months
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Chars français Hotchkiss H39 aux couleurs allemandes en forêt – Invasion de la Yougoslavie – Campagne des Balkans – Yougoslavie – 1941
Photographe : Heber
©Bundesarchiv - Bild 101I-169-0916-19
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alain-keler · 2 years
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Journal du jeudi 26 janvier 2023.
Vents d’Est : avril 1993-Avril 1999.
Les minorités dans l’ex-monde communiste d’Europe de l’est  après la chute de l’empire soviétique. Je vais dans ce journal vous présenter dans le désordre des photos de ce travail initié en 1993 et terminé en 1999,  prix Eugene Smith à New York en 1997.
 Le rideau de fer tombe. Les minorités se révoltent pour récupérer une partie de leur histoire étouffée pendant le communisme.
 En Albanie, la minorité religieuse catholique avait été opprimée pondant la période communiste jusqu’à la chute du régime début 1991. Je me rends en Albanie, principalement dans la région du lac Shkodër, au nord, fief des catholiques. Les églises avaient été transformées en salles de sport. Des religieux italiens étaient restés, des messes illégales avaient lieu dans des maisons, des prêtres furent emprisonnés.
 La visite prochaine du Pape Jean-Paul II allait être le prétexte pour me rendre dans le pays qui fut le plus isolé et secret du monde communiste et débuter le travail sur les minorités.
Enver Hoxha fit construire 170000 bunkers de la fin de la deuxième guerre mondiale jusqu’à sa mort en 1985 de peur d’une invasion militaire. On les voit partout dans le pays, comme des champignons figés par le temps, temps qui s’était arrêté pendant  le régime communiste.
Hoxha est violemment hostile envers le gouvernement communiste plus modéré de Josip Broz Tito en République fédérative socialiste de Yougoslavie, l'accusant de maintenir « une attitude anti-marxiste et chauvine envers notre Parti, notre État et notre peuple. » Il soutient que Tito a l'intention de conquérir l'Albanie afin d'en faire la septième république de Yougoslavie et condamne le traitement yougoslave des Albanais du Kosovo, prétendant que « les chefs yougoslaves  poursuivent une politique d'extermination. *»
Pour le photographe, ces verrues, abandonnées à la chute du régime, sont un prétexte photographique pour montrer jusqu’où un dirigeant politique paranoïaque, non content de prendre en otage son peuple au profit de quelques uns, privilégiés dans un régime qui se voulait égalitaire, mais aveuglé par un fanatisme que l’on retrouve aujourd’hui dans de plus en plus de pays. Pour le bien du peuple, ces dirigeants n’hésitent pas à le sacrifier. Ce sont les régimes totalitaires.  
* Source https://fr.wikipedia.org/wiki/Bunkers_d%27Albanie
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basilepessoart · 2 months
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Silvia,
En cas d'indépendance tu prévois quoi pour nous et les autres dans notre cas ?
Tu prévois je pense le catalan comme langue d'échange obligatoire... Ok, il n'y aura PAS d'indépendance, je t'ai expliqué pourquoi (opération suicide, et autres raisons). Mais imagine la situation. Je te rappelle encore une fois la difficulté extrême de connaître suffisamment une langue pour avoir un niveau d'échange autre que celui entre blaireaux.
Je te rappelle que c'est enfant que l'on apprend vraiment une langue. Quoi que tu veuilles à ce sujet, nous serions des citoyens de seconde zone - encore pire qu'avant. Et, non, je n'atteindrai jamais un niveau de catalan suffisant pour m'exprimer de façon fructueuse. Anne non plus.
Je connais un Français qui parle très bien catalan. Je sais pas comment il fait. Je suis meilleur, comme tu le sais, que quasiment n'importe qui en langues. Pourtant... Fais le test à Barcelone. Parle 30 minutes avec des étrangers, et estime leur niveau de catalan. On fera ça ensemble si tu veux, mais commence avant, tu vas voir.
Concentre-toi sur la reprise de L'ESPAGNE aux collabos. Travaille comme je te l'ai déjà dit avec nous et VOX. Respecte les "Castillans" et tu verras que quasiment plus aucun ne détestera aucun Catalan - ce, évidemment, après un long travail de déradicalisation des haters indeps, dont tu as le mode d'emploi dans un de mes textes à ce sujet d'il y a environ deux mois. C'est aussi simple que ça...mais super compliqué vu le niveau de haine indep. Je le répète encore une fois, la haine indep catalane est de celles qui font les guerres civiles, comme en ex-Yougoslavie. Tu ne t'en rendais pas compte et ne t'en rends pas encore tout à fait compte car tu penses ton combat juste.
Or, que veux-tu ? 1. Vivre en paix > Remigration massive des envahisseurs, punition des collabos 2. Que la culture catalane, dont la langue, soient respectés. C'est déjà le cas, et bien largement. Mais en admettant que cela ne soit pas le cas (!!!!), je t'ai dit et te redis que nous travaillons et travaillerons au développement culturel catalan.
___ Parle en catalan comme tu veux. Dans ta mairie, dans les autres instances officielles où tu peux le faire, dans les médias où tu peux le faire. N'impose plus rien. Prends exemple sur le mag. Aucune propagande raciale, religieuse, sexuelle, sauf qu'au début j'ai écrit pour le mag une 15aine de textes et poèmes sur les invasions etc. La philosophie d'ouverture, de respect et d'amour de la beauté est passée. Sans aucune propagande. Fais pareil avec la langue et la culture catalane en général. Ecoute-moi et tu verras que t'obtiendras ce que t'avais pas pensé obtenir avec ton passage en force. BP.
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vicnormansstuff · 3 years
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"Est-ce que la propagande marche vraiment ?"
1/ Pourquoi est-ce que tu protestes avec autant d'indignation sur l'Ukraine aujourd'hui, alors que tu t'es soigneusement tu hier sur l'Ex Yougoslavie ? Qu'est-ce qui fait et explique que pour les premiers tes larmes coulent abondamment, alors que pour les seconds tes yeux sont restés un peu trop secs ?
2/ Pourquoi est-ce que tu utilises le terme bien choisi "invasion" par la Russie, mais tu emploies le mot bien appris "intervention" lorsqu'il s'agit des Etats Unis, pour la Lybie, la Syrie, etc ?
3/ Pourquoi soudain tu demandes à ce qu'on fasse juger le criminel Poutine dans un tribunal international, alors que tu n'y as jamais songé pour BUSH le pacifiste (IRAK, 1.200.000 morts), CLINTON le droit de l'hommiste (Ex Yougoslavie 220.000 morts), OBAMA l'humaniste (Lybie : 30.000 morts, Syrie : 225.000 morts) ?
4/ Pourquoi tu trouves acceptable, responsable et acquieses la censure de #RussiaToday & #sputniks (organe d'Etat Russe) mais tu ne l'exiges pas réciproquement pour #FoxNews et #CNN (organe d'Etat Américain) et leur "weapons of mass destruction" ?
5/ Pourquoi tu décèles immédiatement la propagande des autres pays (Russie, Etats Unis, Turquie, Chine,...), sur lesquels tu ne peux absolument rien, mais tu détournes si facilement le regard sur nos médias français, possédés à 90% par des intérêts privés étroitement liés au Pouvoir politique, donc ni indépendants, ni impartiaux et encore moins "éthique" ?
6/ Pourquoi, toi qui vante notre "Etat de Droit", notre "République", notre sainte "Démocratie", celle qui lutte contre les injustices et les discriminations, tu ne vois pas que nous avons sombré dans un Etat répressif aux relens autoritaire assumé, qui désormais s'autorise "d'exclure, bannir, interdire et censurer" tous athlètes, artistes, intellectuels russes de manières indiscriminées ? (Si tu ne comprends toujours pas, remplace le mot "Russe" par "Juifs", "Noirs", "Arabes", "Handicapés", "Tsiganes"... )
7/ Pourquoi en définitive, tu crois si fermement ce que tu crois sans vouloir entendre ce que tu sais déjà ?
8/ Pourquoi tu penses que la philosophie des sages est "l'art de la paix" quand nos illustres philosophes français : "B.H.L, Enthoven & co", n'ont eu cesse de promouvoir les déstabilisations, ingérences, guerres et aujourd'hui le rapport de force militaire ?
Et ce depuis au moins 25 ans !
9/ Pourquoi est-ce que ton empathie, tes larmes et ta légitime compassion se posent toujours et systématiquement là où les maîtres t'orientent, mais jamais où ce sentiment intime, personnel, alignés à tes propres expériences, te rend libre de penser par toi même ?
10 / En définitive, pourquoi es-tu devenu le prisonnier d'une machine de guerre historique qui a toujours prétendu construire cette paix légendaire ?
Alors, à cette énigme déjà résolue : "est-ce que la propagande marche ?", j'te répondrai humblement qu'elle court au même rythme vertigineux que ta chute effrénée.
PS : Les armes de destruction massive n'étaient pas en Irak, elles étaient à 20H, tous les soirs, sur ton écran de télé.
Gérard Boyadjian
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a-room-of-my-own · 3 years
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Re l'Allemagne : ce que j'ai pu lire de l'article que tu as posté est effectivement consternant, surtout pour le général, après c'est quand même un pays qui a été démilitarisé, de manière +/- consentie, pdt des années. C'est pas étonnant qu'ils soient à la ramasse. Idem pour Poutine. Il est dans une logique impérialiste mais il faut se rappeler de comment les ressources russes se faisaient dépouiller par les occidentaux à la chute de l'URSS. Bcp de russes s'en souviennent d'où leur hostilité.
Il a été démilitarisé oui, mais si j'ai bien compris ça s'est accentué récemment avec des coupes budgétaires, un peu comme chez nous depuis 10-15 ans. Démilitarisé ça veut un peu tout dire, tout dépend de à quoi est affectée ton armée, la taille de ton armée de réserve, l'état de tes infrastructures, de tes équipements. Par exemple au coeur de l'épidémie de COVID, on aurait eu besoin d'une armée capable d'organiser et d'installer des hôpitaux mobiles, des structures de prise en charge des malades, de tests etc ... On a dû bloquer le pays entier pendant des mois pour quelques milliers de malades, maintenant imagine qu'une bombe tombe sur une ville et que tu aies de milliers de blessés. L'armée n'a ni le personnel, ni l'infrastructure, ni l'équipement pour y faire quoique ce soit. Pas plus que tout simplement maintenir l'ordre (ce n'est pas son rôle normalement, mais imaginons une distribution de nourriture ou de médicaments, il faut éviter la panique ou les bagarres) et je ne parle même pas de défendre le pays.
La France est bien équipée sur le plan dissuasif, oui on a de quoi faire péter la planète plusieurs fois, mais au sol, avec une invasion à terre comme ce qui est en train de se passer en Ukraine, on est dans le même état que les Allemands, on serait incapables de se défendre seuls. On a beaucoup compté sur la dissuasion, je suppose parce que personne ne pouvait imaginer un retour de la guerre "classique" en Europe depuis la fin de la guerre de Yougoslavie, et encore moins avec de grandes puissances.
Quant à la Russie, les ressources se sont beaucoup faite piller par les oligarques qui sont les meilleurs soutiens de Poutine. C'est aussi eux que les sanction économiques visent et eux qui pourraient le faire tomber s'ils sentent que leurs intérêts sont menacés. Il faut voir que la Russie n'a jamais eu son Nuremberg, et que les anciens cadres du régime soviétiques ont pu sans problème se recaser au sein du pouvoir actuel, ou à la tête des grandes entreprises nationales, sur lesquelles le Kremlin a complètement la main.
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claudehenrion · 3 years
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L'échec du succès... - ( I ) : Plus rien ne va...
  Ce Blog est né le 13 novembre 2013, en plein cauchemar ''hollandais'', et le titre du ''billet'' n°1 était : ''Mais où est donc passée la France ?'', déjà.  Sept ans plus tard, toutes les prévisions ''mauvaises'' se sont réalisées (contre... très peu des ''favorables'') et quelques ''idées-force'' se sont imposées. La première concerne le succès de notre civilisation occidentale, dite judéo-chrétienne : ayant dépassé les frontières ‘’normales’’  de l'influence de nos trois ‘’patries’’ d'origine, Athènes, Rome et Jérusalem, cette civilisation a offert au monde des victoires que jamais une autre n'avait imaginées. Gavés, nous ne voyons même plus que chacune est un miracle.
La seconde de ces idées-force, comme en contre-point à la précédente, est que des dangers inquiétants, qui sont autant de défis, sont apparus ces dernières années. (1)- la perte de notre ''raison d'être'' : des mots imprécis, mal ou pas définis, prennent la place des réalités, des faits, et... des hommes. L'Occident, au sens large, n'a plus ni but ni raison d'être, ce qui constitue une authentique rupture dans l'Histoire de l'Humanité. (2)- la science est devenue ‘’perverse’’  (du latin ''pervertor'' : se retourner contre soi) et devient une ennemie dont nous découvrons qu'il faut se méfier (bricolages génétiques, transhumanisme, folies abortives et péri-natales, errements dits ''sociétaux'', allers-retours autour du coronavirus --toujours légaux, mais parfois criminels quand même-- et, plus récemment, médicastres qui se voient en vedettes de la télévision... (3)- le mode de pensée qui est dit à tort ''politiquement correct'', méchante corruption de feue la pensée ''de gauche'' (qui a démontré le mal qu'elle pouvait causer à l'humanité, pour si peu d’apports positifs durables), qui ne peut être qu'incorrecte. Du constat de ces idées-force vient le titre de ces 3 billets, ''l'échec du succès'' : le plus beau succès de l'Histoire de l'Humanité est en train de se déliter en un échec majeur, par notre faute...
En outre, last but not least, il faut ajouter à cette liste d ''idées-force'' l'évolution récente, néfaste et agressive, d'un Islam dévoyé qui prétend retrouver ses racines et son histoire : la machine de guerre sale qu'est devenue ce ''holisme'' serait ''le seul Islam authentique''. Ses meneurs doivent à cette formulation un succès que rien ne vient apparemment ralentir pour le moment : il a comme anesthésié toute volonté chez les pseudo ''élites'' qui sont actuellement aux commandes du monde et de notre pays, plutôt plus mal loti que les autres sur ce point. (NDLR : cette menace, qui semble dirigée en priorité contre nos pays de civilisation chrétienne, est en fait un élément déstabilisateur pour le reste du monde, des ouïgours en Chine aux pakistanais en Inde, des Rohingyas en Birmanie à tous les voisins de la Turquie, en passant par les peuples qui formaient feue la Yougoslavie titiste).
Quelles qu'en soient les causes, vraies (l'islamisme) ou artificielles (comme le sont l'européisme béat, déjà mort, ou le soi-disant ''macronisme'' --qui l'est plus encore, puisqu'il n'existe pas), nous sommes entrés dans une ''zone d'ombre'' où personne n'avait prévu d'aller. Cette situation est tellement nouvelle que, n'ayant pas encore compris toute l'étendue des dégâts et nous retrouvant en état de sidération, nous cherchons à l'apprivoiser alors qu'elle est, de toute évidence, sans espoir et sans solution, dans sa logique à elle --à laquelle pourtant nous nous soumettons, stupidement. Crises à rebondissements multiples, querelles intestines, absence totale de vision des lendemains, un continent divisé contre lui-même par une invasion ''contre nature'', et une mode perverse dont les sectateurs se prétendent ''corrects'', quant ils ne sont que des baratinocrates... et, last but not least, cette pandémie si mal réglée... il y a vraiment de quoi se faire du mouron !
Nous rappelons souvent, ici, que le danger est partout, immense, omniprésent, vicieux... En face de lui, les peuples européens, dès qu'on les laisse libres de dire ce qu'ils pensent (hors de la tutelle de politiciens dépassés et de médias qui sont, sans oser l'admettre, nostalgiques du stalinisme ou du maoïsme et qui refusent de voir le jour en plein midi), s'écartent des chemins balisés de la pensée clonée et suivent dans l'instant des chemins aussitôt qualifiés de  ''populistes'' par des chiens de garde incapables de se rendre compte que ce mot qu'ils voulaient péjorant est devenu un compliment pour tous ceux --une majorité-- qui rejettent ''le système'', mot-valise qui englobe la totalité des idées à la mode, qui sont toutes mortifères.
Car il existe un paradoxe qui semble jusqu'ici inexplicable, dans le système de pensée duquel nos ''Lumières'' actuelles, décidément très éteintes, n'arrivent pas à s'extraire : il est vrai, comme nous le disons souvent, que notre civilisation a atteint un degré de qualité, de raffinement, de succès dans tous les domaines qui satisfait les besoins quasi-éternels de l'humanité, presque trop, et souvent avant même que ces besoins ne soient ressentis, ce qui est un comble ! Ne craignons pas de le répéter : aucun âge avant nous n'avait eu l'intuition que de telles merveilles existeraient un jour. Mieux, on l’a dit : personne n'aurait cru tout ça possible.
Et pourtant, malgré ou à cause de ces immenses succès... non seulement le monde va très mal mais le pire est à craindre ! La vérité, et elle est terrible, est que plus rien ne marche comme il faudrait : tout le monde est malheureux, râle, se plaint, revendique... Et surtout : plus personne ne comprend quoi que ce soit aux mouvements du monde, ni à ce qui se passe autour de nous. Le fossé entre les dirigeants et les dirigés est devenu un gouffre et les remèdes proposés sont perçus comme autant de catastrophes surajoutées... Sous le prétexte de guérir tout ou partie de ces maux, les administrations multiplient les contrôles tatillons, les contraintes humiliantes et l'emmerdement maximum pour les malheureux contribuables auxquels les ''big brothers'' en poste ont réussi à faire croire qu'il n'existe pas de solutions alternatives. Qui dira l'immensité du mal qu'a causé Mitterrand avec son honteux ''on a tout essayé'' (NDLR : ''tout, sauf ce qui aurait pu marcher'' !) qui a fait perdre toute crédibilité à la parole publique. Alors... se révolter, pour quoi ? Pour ''guère mieux'', ou pour ''encore pire'', comme les pauvres ''gilets jaunes''? L'exemple récent de l' ''anti-gestion'' du covid, à peine croyable, donne à redouter que nos ''responsables irresponsables'' soient capables de tout... sauf de ce qui est bien, souhaitable, efficace, et ''bon pour la France''...
Ce qui est très surprenant, c'est que des explications à cette situation (dont tout le monde admet qu'elle ne pourra pas ''durer aussi longtemps que les impôts'') existent, mais que, comme toujours, un bon diagnostic était LA condition préalable à l'invention de solutions. Et là... tous les responsables sont aux abonnés absents, comme s'ils étaient ''confinés''. Question : ''Comment avons-nous pu en arriver à un tel point de rupture ?''. Essayons de passer en revue les vraies causes de la succession de drames qui nous menacent (en réalité : nous empoisonnent déjà !). Et d'abord (on retrouve-là ma ‘’fixette’’, mon idée-fixe du ''retour sur images'' !) y a-t-il eu des précédents dans l'Histoire de France, d'Europe, du monde... (à suivre).
H-Cl.
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samzoupa · 2 years
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Via Triangle Rouge
« EST-CE QUE LA PROPAGANDE MARCHE VRAIMENT ? »
1/ Pourquoi est-ce que tu protestes avec autant d'indignation sur l'Ukraine aujourd'hui, alors que tu t'es soigneusement tu hier sur l'Ex Yougoslavie ? Qu'est-ce qui fait et explique que pour les premiers tes larmes coulent abondamment, alors que pour les seconds tes yeux sont restés un peu trop secs ?
2/ Pourquoi est-ce que tu utilises le terme bien choisi "invasion" par la Russie, mais tu emploies le mot bien appris "intervention" lorsqu'il s'agit des Etats Unis, pour la Lybie, la Syrie, etc ?
3/ Pourquoi soudain tu demandes à ce qu'on fasse juger le criminel Poutine dans un tribunal international, alors que tu n'y as jamais songé pour BUSH le pacifiste (IRAK, 1.200.000 morts), CLINTON le droit de l'hommiste (Ex Yougoslavie 220.000 morts), OBAMA l'humaniste (Lybie : 30.000 morts, Syrie : 225.000 morts) ?
4/ Pourquoi tu trouves acceptable, responsable et acquiesces la censure de #RussiaToday & #sputniks (organe d'Etat Russe) mais tu ne l'exiges pas réciproquement pour #FoxNews et #CNN (organe d'Etat Américain) et leur "weapons of mass destruction" ?
5/ Pourquoi tu décèles immédiatement la propagande des autres pays (Russie, Etats Unis, Turquie, Chine,...), sur lesquels tu ne peux absolument rien, mais tu détournes si facilement le regard sur nos médias français, possédés à 90% par des intérêts privés étroitement liés au Pouvoir politique, donc ni indépendants, ni impartiaux et encore moins "éthique" ?
6/ Pourquoi, toi qui vante notre "Etat de Droit", notre "République", notre sainte "Démocratie", celle qui lutte contre les injustices et les discriminations, tu ne vois pas que nous avons sombré dans un Etat répressif aux relens autoritaires assumés, qui désormais s'autorise "d'exclure, bannir, interdire et censurer" tous athlètes, artistes, intellectuels russes de manières indiscriminées ? (Si tu ne comprends toujours pas, remplace le mot "Russe" par "Juifs", "Noirs", "Arabes", "Handicapés", "Tsiganes"... )
7/ Pourquoi en définitive, tu crois si fermement ce que tu crois sans vouloir entendre ce que tu sais déjà ?
8/ Pourquoi tu penses que la philosophie des sages est "l'art de la paix" quand nos illustres philosophes français : "B.H.L, Enthoven & co", n'ont eu cesse de promouvoir les déstabilisations, ingérences, guerres et aujourd'hui le rapport de force militaire ?
Et ce depuis au moins 25 ans !
9/ Pourquoi est-ce que ton empathie, tes larmes et ta légitime compassion se posent toujours et systématiquement là où les maîtres t'orientent, mais jamais où ce sentiment intime, personnel, aligné à tes propres expériences, te rend libre de penser par toi même ?
10 / En définitive, pourquoi es-tu devenu le prisonnier d'une machine de guerre historique qui a toujours prétendu construire cette paix légendaire ?
Alors, à cette énigme déjà résolue : "est-ce que la propagande marche ?", j'te répondrais humblement qu'elle court au même rythme vertigineux que ta chute effrénée.
PS : Les armes de destruction massive n'étaient pas en Irak, elles étaient à 20H, tous les soirs, sur ton écran de télé. »
Gérard Boyadjian - mars 2022
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editions-mariquita · 6 years
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L’impérialisme des USA en Amérique latine
Particularités de l’impérialisme des USA en Amérique latine
Voir l’impérialisme comme un phénomène général, c’est perdre de vue son modus operandi dans un contexte plus précis et pertinent. L’exercice du pouvoir impérialiste révèle une stratégie commune, mais ses motivations, ses instruments, ses objectifs et son engagement varient selon la nature du pouvoir impérialiste et du pays visé.
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Le Venezuela, la cible actuelle du président étasunien Donald Trump, constitue un cas illustrant les « particularités » de la politique impérialiste. Nous allons maintenant décrire le contexte, les techniques et les répercussions de la prise du pouvoir impérial.
Contexte historique
Les USA ont une longue histoire d’interventionnisme au Venezuela, principalement pour prendre le contrôle de ses richesses pétrolières. Dans les années 1950, Washington a soutenu une dictature militaire, dirigée par Perez Jimenez, jusqu’à ce qu’il soit renversé par une grande alliance formée des socialistes révolutionnaires, des nationalistes et des sociaux démocrates. Washington ne pouvait intervenir et ne l’a pas fait. Il s’est mis plutôt du côté de l’action démocratique (AD), de centre-gauche, et des partis du Comité d’organisation politique électorale indépendante (COPEI), de centre-droit, qui ont alors déclaré la guerre à la gauche radicale. Au fil du temps, les USA ont retrouvé leur hégémonie jusqu’à ce que l’économie entre en crise dans les années 1990, entraînant des soulèvements populaires et des massacres par l’État.
Les USA ne sont pas intervenus au départ, car ils croyaient pouvoir coopter Hugo Chavez, parce qu’il n’était pas affilié à la gauche. De plus, les USA étaient engagés militairement dans les Balkans (Yougoslavie) et au Moyen-Orient et se préparaient à faire la guerre à l’Irak et à d’autres pays nationalistes qui s’opposaient à Israël et qui soutenaient la Palestine.
Sous le prétexte d’une menace terroriste mondiale, Washington a exigé la subordination à sa déclaration de « guerre mondiale contre le terrorisme ».
Le président Chavez ne s’y est pas plié, en déclarant qu’on « ne combat pas le terrorisme par le terrorisme ». Les USA ont conclu que la déclaration d’indépendance de Chavez était une menace à l’hégémonie étasunienne en Amérique latine et ailleurs. Washington a alors décidé de renverser le président élu Chavez, avant même qu’il ne nationalise l’industrie pétrolière que les USA possédaient.
En avril 2002, les USA ont organisé un coup d’État militaire et économique qui a été défait en 48 heures par un soulèvement populaire appuyé par une partie de l’armée. Une seconde tentative de renverser le président Chavez a été mise en branle par des dirigeants de groupes pétroliers au moyen d’un lock-out. Elle a été défaite par les travailleurs du pétrole et les exportateurs de l’étranger. La révolution nationale-populiste de Chavez a alors procédé à la nationalisation des sociétés pétrolières qui avaient soutenu le « lock-out ».
L’échec des coups d’État a amené Washington à adopter temporairement une stratégie électorale largement financée par l’intermédiaire de fondations et d’ONG qu’il contrôlait. Les défaites électorales répétées ont conduit Washington à se tourner vers des boycotts électoraux et des campagnes de propagande visant à rendre illégitime le succès électoral du président Chavez.
Les efforts ratés de Washington pour restaurer le pouvoir impérialiste se sont retournés contre lui. Chavez a augmenté son soutien électoral, étendu le contrôle de l’État sur le pétrole et les autres ressources et radicalisé sa base populaire. En outre, les politiques anti-impérialistes de Chavez recevaient de plus en plus l’appui d’autres gouvernements et mouvements partout en Amérique latine et le président augmentait son influence et ses liens dans les Caraïbes en fournissant du pétrole subventionné.
Les commentateurs attribuaient la popularité massive et l’influence du président Chavez à son charisme, mais les circonstances objectives propres à l’Amérique latine ont été décisives. La défaite de l’intervention impérialiste par le président Chavez peut être attribuée à cinq causes :
L’engagement intense des USA dans de nombreuses guerres prolongées simultanées au Moyen-Orient, en Asie du Sud et en Afrique du Nord occupait Washington. De plus, les engagements militaires des USA envers Israël empêchaient les USA de se concentrer sur le Venezuela.
Les sanctions des USA ont été imposées pendant la flambée des prix des matières premières entre 2003 et 2011, à un moment où le Venezuela possédait les ressources économiques nécessaires pour financer les programmes sociaux au pays et neutraliser les boycotts locaux par les élites alliées des USA.
Le Venezuela a tiré avantage des crises du néolibéralisme des années 1990 à 2001, qui ont favorisé la montée des gouvernements populaires nationalistes de centre gauche dans toute la région, notamment en Argentine, au Brésil, en Équateur, en Bolivie et au Honduras. En outre, les régimes « centristes » au Pérou et au Chili restaient neutres. Le Venezuela et ses alliés ont aussi veillé à ce que les USA ne contrôlent pas les organisations régionales.
En tant qu’ancien officier de l’armée, le président Chavez s’est assuré la loyauté des militaires, contrecarrant ainsi les complots de coup d’État fomentés par les USA.
La crise financière mondiale de 2008-2009 a forcé les USA a dépenser plusieurs milliers de milliards de dollars pour renflouer les banques. La crise économique et la reprise partielle ont raffermi la position du Trésor et relativement affaibli l’influence du Pentagone.
Autrement dit, les politiques et les objectifs stratégiques impérialistes étaient toujours là, mais la capacité des USA à poursuivre leurs conquêtes était limitée par des conditions objectives.
Circonstances favorables aux interventions impérialistes
Plus récemment, les circonstances ont tourné à l’avantage de l’impérialisme. Elles reposent sur quatre causes :
La fin de la flambée des prix des matières premières a affaibli les économies des alliés de centre gauche du Venezuela et entraîné la montée de régimes clientélistes dirigés par l’extrême droite étasunienne, ainsi qu’une recrudescence des activités des opposants soutenus par les USA visant à renverser le président Maduro qui venait d’être élu.
L’incapacité à diversifier les exportations, les marchés, les systèmes financiers et de distribution pendant la période d’expansion a entraîné une baisse de la consommation et de la production, qui a permis à l’impérialisme d’obtenir des votes, en particulier des classes moyenne et moyenne inférieure, des consommateurs, des employés, des commerçants, des professionnels et des gens d’affaires.
Le Pentagone a transféré son centre d’attention militaire du Moyen-Orient à l’Amérique latine, en faveur des principaux régimes clés parmi ses clients militaires et politiques, à savoir le Brésil, l’Argentine, l’Équateur, le Pérou et le Chili.
L’intervention politique de Washington dans les processus électoraux en Amérique latine a ouvert la porte à l’exploitation économique des ressources et au recrutement d’alliés militaires pour isoler et encercler le Venezuela nationaliste et populiste.
Les conditions extérieures objectives ont favorisé la quête de domination impériale par Washington. La configuration du pouvoir oligarchique national a renforcé la dynamique favorisant une intervention impériale, sa domination politique et son contrôle de l’industrie pétrolière.
La baisse des recettes pétrolières du Venezuela, la mobilisation par l’élite de sa base électorale et le sabotage systématique de la production et de la distribution ont eu un effet multiplicateur. Les médias de masse et la droite autoproclamée ont soutenu un coup d’État de l’extrême-droite étasunienne en manipulant la rhétorique démocratique et humanitaire.
Washington a augmenté les sanctions économiques pour affamer les partisans chavistes à faible revenu et a mobilisé ses clients européens et latino-américains pour qu’ils exigent la soumission du Venezuela, tout en planifiant un coup d’État militaire sanglant.
L’étape finale du coup d’État militaire planifié et organisé par les USA repose sur trois conditions :
une division au sein de l’armée pour fournir au Pentagone et aux planificateurs du coup d’État une « tête de pont » et un prétexte à une invasion « humanitaire » des USA;
un leadership politique « conciliant » qui poursuit le dialogue politique avec des adversaires qui se préparent à la guerre;
le gel de tous les avoirs du Venezuela à l’étranger et la fermeture de tous les marchés auxquels le Venezuela continue de dépendre.
Conclusion
L’impérialisme est un aspect central du capitalisme mondial des USA. Mais il ne peut atteindre ses objectifs par les moyens souhaités au moment où et de la façon dont il le souhaite. Les revirements mondiaux et les changements de régime modifiant la corrélation des forces peuvent contrecarrer et retarder le succès de l’impérialisme
Les coups d’État peuvent être défaits et convertis en réformes radicales. Les ambitions impérialistes peuvent être contrecarrées par des politiques économiques fructueuses et des alliances stratégiques.
L’Amérique latine a connu bien des coups d’État impérialistes et des interventions militaires. Mais elle est aussi capable de forger des alliances régionales, internationales et fondées sur les classes sociales.
Contrairement à d’autres régions que les impérialistes ont dans leur mire, l’Amérique latine est un terrain fertile à la lutte des classes anti-impérialiste. Les cycles économiques entraînent l’ascension et le déclin des classes sociales et, par conséquent, la progression et le recul du pouvoir impérialiste.
L’intervention des USA au Venezuela est la plus longue guerre de ce siècle (18 ans), dont la durée dépasse celles menées en Afghanistan et en Irak. Le conflit illustre aussi comment les USA se fient à leurs clients régionaux et à leurs alliés à l’étranger pour soutenir les prises de pouvoir impérialistes.
Les coups d’État sont fréquents certes, mais leurs conséquences sont imprévisibles, car les clients sont faibles et les régimes sont en proie à des soulèvements populaires.
Les coups d’État des USA contre des régimes populaires entraînent des massacres sanglants et ne parviennent pas à assurer une consolidation générale à long terme.
Ce sont là les « particularités » des coups d’État en Amérique latine.
James Petras
Article original en anglais :
Peculiarities of US Imperialism in Latin America, le 30 janvier 2019
Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca
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Soldats SS sur le territoire de la Serbie – Invasion de la Yougoslavie – Campagne des Balkans – Yougoslavie – Avril 1941
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Invasion de la Yougoslavie (Guerre d’avril) par les forces de l'Axe, ici les troupes italiennes – Avril 1941
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samzoupa · 2 years
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Via Triangle Rouge
« EST-CE QUE LA PROPAGANDE MARCHE VRAIMENT ? »
1/ Pourquoi est-ce que tu protestes avec autant d'indignation sur l'Ukraine aujourd'hui, alors que tu t'es soigneusement tu hier sur l'Ex Yougoslavie ? Qu'est-ce qui fait et explique que pour les premiers tes larmes coulent abondamment, alors que pour les seconds tes yeux sont restés un peu trop secs ?
2/ Pourquoi est-ce que tu utilises le terme bien choisi "invasion" par la Russie, mais tu emploies le mot bien appris "intervention" lorsqu'il s'agit des Etats Unis, pour la Lybie, la Syrie, etc ?
3/ Pourquoi soudain tu demandes à ce qu'on fasse juger le criminel Poutine dans un tribunal international, alors que tu n'y as jamais songé pour BUSH le pacifiste (IRAK, 1.200.000 morts), CLINTON le droit de l'hommiste (Ex Yougoslavie 220.000 morts), OBAMA l'humaniste (Lybie : 30.000 morts, Syrie : 225.000 morts) ?
4/ Pourquoi tu trouves acceptable, responsable et acquiesces la censure de #RussiaToday & #sputniks (organe d'Etat Russe) mais tu ne l'exiges pas réciproquement pour #FoxNews et #CNN (organe d'Etat Américain) et leur "weapons of mass destruction" ?
5/ Pourquoi tu décèles immédiatement la propagande des autres pays (Russie, Etats Unis, Turquie, Chine,...), sur lesquels tu ne peux absolument rien, mais tu détournes si facilement le regard sur nos médias français, possédés à 90% par des intérêts privés étroitement liés au Pouvoir politique, donc ni indépendants, ni impartiaux et encore moins "éthique" ?
6/ Pourquoi, toi qui vante notre "Etat de Droit", notre "République", notre sainte "Démocratie", celle qui lutte contre les injustices et les discriminations, tu ne vois pas que nous avons sombré dans un Etat répressif aux relens autoritaires assumés, qui désormais s'autorise "d'exclure, bannir, interdire et censurer" tous athlètes, artistes, intellectuels russes de manières indiscriminées ? (Si tu ne comprends toujours pas, remplace le mot "Russe" par "Juifs", "Noirs", "Arabes", "Handicapés", "Tsiganes"... )
7/ Pourquoi en définitive, tu crois si fermement ce que tu crois sans vouloir entendre ce que tu sais déjà ?
8/ Pourquoi tu penses que la philosophie des sages est "l'art de la paix" quand nos illustres philosophes français : "B.H.L, Enthoven & co", n'ont eu cesse de promouvoir les déstabilisations, ingérences, guerres et aujourd'hui le rapport de force militaire ?
Et ce depuis au moins 25 ans !
9/ Pourquoi est-ce que ton empathie, tes larmes et ta légitime compassion se posent toujours et systématiquement là où les maîtres t'orientent, mais jamais où ce sentiment intime, personnel, aligné à tes propres expériences, te rend libre de penser par toi même ?
10 / En définitive, pourquoi es-tu devenu le prisonnier d'une machine de guerre historique qui a toujours prétendu construire cette paix légendaire ?
Alors, à cette énigme déjà résolue : "est-ce que la propagande marche ?", j'te répondrais humblement qu'elle court au même rythme vertigineux que ta chute effrénée.
PS : Les armes de destruction massive n'étaient pas en Irak, elles étaient à 20H, tous les soirs, sur ton écran de télé. »
Gérard Boyadjian - mars 2022
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