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#jeunesse doree
houppellande · 2 years
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Incroyable suit, 1790s
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spockvarietyhour · 9 months
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Jeunesse Doree Radio Show: Three actresses from the soap opera written by Desprez, pseudonym of Laurette Larocque-Auger. Broadcast on Radio Canada in Montréal, the show featured Amanda Alarie and Denise Pelletier. 1949 [City of Montreal Archives]
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sardens · 1 year
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Gerald Leslie Brockhurst - Jeunesse Doree. 1942
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thejeunessedoree · 21 days
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The Jeunesse Doree
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besoindobscurite · 8 months
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Ogres - dès l'origine
Hauts plafonds, vastes couloirs, un lieu comme interdit. De grands appartements où l'on vit. Cette pierre qui nous baigne, notre refuge, la destination vaguement secrète, croupie sous les apparences, d'une bourgeoisie égarée, que des malheurs historiques ont commencé de frapper, il y a longtemps.
Là le sang vieillit et se dore, d'une substance que tous les héritiers partagent, et réclament : c'est le baume du pardon, d'avoir tant failli, de s'être peu éprouvé, d'avoir vécu trop installé sur le denier, même apte à reconduire ses effets.
L'enfant surgit comme une menace, un énième affront du monde à la condition gagnée, perpétuée, un être nu et abominable -comme ils l'ont tous été.
Mais que vienne la lampée de son sang qui s'ordonne, l'égale trahison, ce mépris sans tâche pour une vie peut-être plus dissolue, et alors tout est sauvé, tout se vernit, et l'alcool pesant du sang vieillissant commande une fête de toutes les heures, comme tuerie. C'est le palais d'été qui s'ouvre, là où le sang est rebattu, de gouttes de jeunesse qu'aucun ressentiment ne souille. La succession est prête, tout sera donné comme acquis, et avec force s'imposera cette pensée d'avoir tant voulu, que des gouffres résonnent encore, de tout ce qui dut y être jeté, pour l'aveugle comédie du sang.
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arutai · 4 years
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Jeunesse Doree (1934) by Gerard Leslie Brockhurst
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tolivealone · 4 years
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Je sais un nid charmant et tendre
Je sais un nid charmant et tendre Où niche l’oiseau bleu du cœur L’oiseau dont nul ne peut entendre Sans tressaillir, l’accent vainqueur 
Nid plein de grâces sans pareilles Qui, sous un rayon de gaieté Scintillent comme des abeilles Dans l’or des aurores d’été
Formé de fleurs fraîches écloses Œuvre admirable de l’amour Des perles, des feuilles de rosés Dessinent son riant contour
Écrin délicieux que dore La jeunesse en traits éclatants  D’où s’échappe, ailée et sonore La vive chanson du printemps 
D’où sort une divine haleine Comme d’un calice vermeil Qui livre aux souffles de la plaine Son sein tout baigné de soleil
Nid séducteur où rit l’ivresse Cachant ses secrètes ardeurs Comme une coupe enchanteresse Dont les bords sont voilés de fleurs
Plus mignon qu’un nid d’oiseau-mouche Plus frais qu’un cœur de rose-thé Ce nid ravissant…, c’est ta bouche Doux paradis de volupté
Où les désirs, ramiers fidèles Volent toujours inapaisés Et vont provoquer à coups d’ailes L’essaim palpitant des baisers 
_Théophile Gautier
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reveriesdechevet · 4 years
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Une poignée dans ma main,
J’attrape le vent chaud et je l’enferme dans ma poche
Prisonnier il laisse éclore le souvenir.
Frôle la robe à fleurs,
Frôle les genoux blanc nacré,
S’engouffre sans pudeur sous le tissu léger.
Je te regarde, tu ne te doutes de rien
Je me regarde en arrière et je bascule, éclatement rouge je marche, j’enfonce mon corps dans la chaleur épaisse du souvenir de ce temps-là.
Je marche maintenant au creux de ce qui ne sera plus
Il y a le blond des cheveux en masse, il y le blanc qui tape fort sur les volets à demi clos
Il y a les draps qui sèchent avec langueur et que personne ne veut affronter, il y a la jeunesse qui dort
Au soleil elle fait craqueler sa peau de lumière
Elle soulève un bras alangui « fais chaud comme dans un four bois » qu’elle dit
Four à bois danse entre les brindilles qui crépitent dans la mémoire
Four à désirs et four à peurs, il dore tout ce qui en dedans, il dore la tête, colore les yeux des vies
Que l’on a eues.
Photo tirée du site Flick.com
Photo : été
Photographe : Huard
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irresolu · 4 years
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OÙ FURENT-ELLES PRÉCIPITÉES Où furent-elles précipitées ces cataractes, Tant de baisers d’amants, que la pâle histoire Présente ensuite au pèlerin en signes vénéneux Sur le désert, comme un gant Qui, oublié, demande où est sa main ? Toi tu le sais, Corsaire ; Corsaire s’ébattant sur de tièdes récifs, Corps criant sous le corps qui les visite, Et ils ne pensent qu’à la caresse, Ils ne pensent qu’au désir, Comme un bloc de vie Lentement fondu par le froid de la mort. D’autres corps ignorent tout, Corsaire ; Laisse-les donc. Épanche, épanche-toi sur mes désirs, Pends-toi entre mes bras si jeunes, Et la vue brouillée, Avec l’ultime cri que pousseront mes lèvres, Amèrement je dirai comme je t’aime. * JE NE DISAIS MOT Je ne disais mot, Je n’approchais qu’un corps interrogateur, Car j’ignorais que le désir est une question Qui n’a pas de réponse, Une feuille qui n’a pas de branche, Un monde qui n’a pas de ciel. L’angoisse s’ouvre un chemin parmi les os, Remonte par les veines Jusqu’à s’ouvrir sur la peau, Fontaines de songe Devenues chair en une question retournée aux nuages. Un frôlement au passage, Un regard fugace parmi les ombres, Suffisent pour que le corps s’ouvre en deux, Avide d’accueillir en lui-même Un autre corps rêveur ; Moitié-moitié, rêve et rêve, chair et chair, Égaux en apparence, égaux en amour, égaux en désir. Même si ce n’est qu’un espoir, Car le désir est une question dont nul ne connaît la réponse. * SI L’HOMME POUVAIT DIRE Si l’homme pouvait dire ce qu’il aime, Si l’homme pouvait élever son amour au ciel Comme un nuage dans la lumière ; Si comme murs qui s’écroulent, Pour saluer la vérité dressée au milieu, Il pouvait détruire son corps, ne laissant que la vérité de son amour, Sa propre vérité, Qui ne s’appelle gloire, fortune, ni ambition, Mais amour ou désir, Je serais celui que j’imaginais ; Celui qui de sa langue, de ses yeux, de ses mains Proclame devant les hommes la vérité ignorée, La vérité de son véritable amour. Je ne connais d’autre liberté que celle d’être captif d’un être Dont je ne peux entendre le nom sans frisson ; Un être par qui j’oublie cette existence mesquine, Par qui jour et nuit sont pour moi ce qu’il voudra, Et corps et âme je flotte en son corps et son âme Comme des planches perdues que la mer engloutit ou élève Librement, avec la liberté de l’amour, L’unique liberté qui m’exalte, L’unique liberté pour quoi je meurs. Tu justifies mon existence : Si je ne te connais pas, je n’ai pas vécu ; Si je meurs sans te connaître, je ne meurs pas, car je n’ai pas vécu. * POUR CERTAINS, VIVRE Pour certains, vivre c’est marcher sur des vitres les pieds nus ; pour d’autres, vivre c’est regarder le soleil en face. La plage compte les jours et les heures pour chaque enfant qui meurt. Une fleur s’ouvre, une tour s’écroule. Tout est égal. J’ai tendu les bras ; il ne pleuvait pas. J’ai marché sur des vitres ; il n’y avait pas de soleil. J’ai regardé la lune ; il n’y avait pas de plage. Quelle importance ? Ton destin c’est de regarder les tours qui montent, les fleurs qui s’ouvrent, les enfants qui meurent ; à l’écart, comme carte dont le jeu est perdu. * QU’IMPORTE Qu’importe le soleil qui se couche ou se lève, La lune qui naît ou la lune qui meurt. Longtemps, toute ma vie, j’ai espéré te voir surgir d’entre les brumes monotones, Lumière inextinguible, prodige blond comme la flamme ; Maintenant que je t’ai vu j’ai mal, car à leur image Pour moi tu n’as pas été moins brillant, Moins éphémère ou moins inaccessible que le soleil et la lune alternés. Mais je sais ce que je dis si je te compare à eux, Car même brillant, éphémère, inaccessible, Ton souvenir, comme celui de chacun des deux astres, Suffit à illuminer, en ton absence, tout ce brouillard qui m’enveloppe. * JE T’AIME Je t’aime. Je te l’ai dit avec le vent, Jouant comme une bête sur le sable, Ou furieux comme un orgue de tempête ; Je te l’ai dit avec le soleil, Qui dore la jeunesse des corps nus, Sourit en toutes choses innocentes ; Je te l’ai dit avec les nuages, Fronts mélancoliques qui soutiennent le ciel, Tristesses fugitives ; Je te l’ai dit avec les plantes, Légères créatures transparentes Que couvre une rougeur subite ; Je te l’ai dit avec l’eau, Vie lumineuse voilant un fond obscur ; Je te l’ai dit avec la peur, Je te l’ai dit avec la joie, Avec l’ennui, avec les mots terribles. Mais cela ne me suffit pas : Par-delà la vie, Je veux te le dire avec la mort ; Par-delà l’amour, Je veux te le dire avec l’oubli. — Luis Cernuda, Les Plaisirs interdits (traduction de Jacques Ancet)
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houppellande · 2 years
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Incroyable et Merveilleuse -  Jean-Léon Huens
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feluz9 · 4 years
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Printemps
Victor Hugo
C'est la jeunesse et le matin. Vois donc, ô ma belle farouche, Partout des perles : dans le thym, Dans les roses, et dans ta bouche.
L'infini n'a rien d'effrayant ; L'azur sourit à la chaumière ; Et la terre est heureuse, ayant Confiance dans la lumière.
Quand le soir vient, le soir profond, Les fleurs se ferment sous les branches ; Ces petites âmes s'en vont Au fond de leurs alcôves blanches.
Elles s'endorment, et la nuit A beau tomber noire et glacée, Tout ce monde des fleurs qui luit Et qui ne vit que de rosée,
L'oeillet, le jasmin, le genêt, Le trèfle incarnat qu'avril dore, Est tranquille, car il connaît L'exactitude de l'aurore.
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monmalmesmots · 4 years
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Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux.
Comme le soleil fait serein ou pluvieux
L’azur dont il est l’âme et que sa clarté dore,
Tu peux m’emplir de brume ou m’inonder d’aurore.
Du haut de ta splendeur, si pure qu’en ses plis,
Tu sembles une femme enfermée en un lys,
Et qu’à d’autres moments, l’oeil qu’éblouit ton âme
Croit voir, en te voyant, un lys dans une femme.
Si tu m’as souri, Dieu! Tout mon être bondit!
Si, Madame, au milieu de tous, vous m’avez dit,
A haute voix: -Bonjour, Monsieur-, et bas: -Je t’aime!-
Si tu m’as caressé de ton regard suprême,
Je vis! je suis léger, je suis fier, je suis grand;
Ta prunelle m’éclaire en me transfigurant;
J’ai le reflet charmant des yeux dont tu m’accueilles;
Comme on sent dans un bois des ailes sous les feuilles,
On sent de la gaîté sous chacun de mes mots;
Je cours, je vais, je ris; plus d’ennuis, plus de maux;
Et je chante, et voilà sur mon front la jeunesse!
Mais que ton coeur injuste, un jour, me méconnaisse;
Qu’il me faille porter en moi, jusqu’à demain,
L’énigme de ta main retirée à ma main;
Qu’ai-je fait? Qu’avait-elle? Elle avait quelque chose.
Pourquoi, dans la rumeur du salon où l’on cause,
Personne n’entendant, me disait-elle vous?
Si je ne sais quel froid dans ton regard si doux
A passé comme passe au ciel une nuée,
Je sens mon âme en moi toute diminuée;
Je m’en vais, courbé, las, sombre comme un aïeul;
Il semble que sur moi, secouant son linceul,
Se soit soudain penché le noir vieillard Décembre;
Comme un loup dans son trou, je rentre dans ma chambre;
Le chagrin, âge et deuil, hélas! Ont le même air,
Assombrit chaque trait de mon visage amer,
Et m’y creuse une ride avec sa main pesante.
Joyeux, j’ai vingt-cinq ans; triste, j’en ai soixante.
Victor HUGO
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thejeunessedoree · 24 days
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The Jeunesse Doree
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jbgravereaux · 5 years
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JE T’AIME !,                          MARGUERITE BURNAT-PROVINS,                             Le Livre pour Toi
I                                                                                                                                                                                                                                                        Personne ne m’a appris ce mot. Je l’ai senti venir des profondeurs de ma chair, monter de mon sang à mes lèvres et s’envoler vers ta jeunesse et la force féconde qui est en toi.
Je l’ai entendu sortir de ta bouche avec ivresse. C’est un oiseau doré quis’est posé sur mes yeux, si doucement d’abord, et puis si lourdement quetout mon être en a chancelé.
Et je me suis abattue dans tes bras, tes grands bras où je me sensfragile et protégée.
La parole qui promet et qui livre, la parole sacrée jailli e de notre vieardente, planait sur nos têtes dans un clair rayon. Sylvius ! te souviens-tu ?
Alors j’ai vu passer l’Heure, l’Heure unique qui nous souriait et levait dans ses mains un caillou blanc.
Sur sa tunique, une à une, lentement les roses de son fronts’effeuillaient.
J’ai vu cela à travers mes paupières fermées, la joue appuyée contre ton cœur qui marque des secondes éblouissantes, comme un balancier de rubis.                                                                                                                                            II                                                                                                                                                                                                                                                            J’ai regardé ton corps debout, simple et altier comme un pilier d’ivoire, ambré comme un rayon de miel.                                                                                                                                                                                                                      Je l’ai regardé, les mains croisées sur mes genoux, sans l’effleurer, dans la contemplation fervente de sa splendeur, et je l’ai aimé avec mon âme plus passionnément.                                                                                                                                                                                                                                      Je me sens presque craintive, dominée par ce rythme qui chante à mes sens une mystérieuse musique ; je m’exalte silencieusement devant ce poème de grâce virile, d’élégance hautaine, de victorieuse jeunesse.                                                                                                                                 O Sylvius, dis-moi que tu me donnes toute ta beauté.                                                                                                                                                                        Dis-moi qu’elle est mienne, ta tête rayonnante imprégnée de soleil, dis-moi que tu m’abandonnes ta poitrine large où je m’étends pour sommeiller, tes hanches étroites et dures, tes genoux de marbre, tes bras qui pourraient m’écraser et tes mains si chères, où mon baiser lent se dépose au creux des paumes caressantes.                                                                                                                                 J’ai regardé tes lèvres fières qui plient sous les miennes, tes dents où mes dents se sont heurtées illuminent ton sourire, ta langue chaude m’endort, et quand je m’éveille de mon vertige, c’est pour revoir ton corps triomphant, altier comme un pilier d’ivoire, ambré connue un rayon de miel.                                                                                                                                                            III                                                                                                                                                                                                                                                      Cette nuit tu as pris ma tête entre tes doigts impérieux et tu disais, les dents serrées : Ne bouge pas.                                                                                                                                 Et je me suis abandonnée, le front cerclé par la couronne ardente qui se rétrécissait.                                                                                                                         Pourquoi n’as-tu pas enfoncé les ongles plus avant? Je n’aurais pas bougé et la douleur, venue de toi, serait entrée délicieusement dans ma chair.                                                                                                                               Ton désir jeune et délirant peut romore mes muscles, courber mes os, me faire râler d’angoisse, je suis ta chose, Sylvius, ne laisse rien de moi, puisque ma volonté s’en est allée à la dérive, dans l’eau attirante de tes yeux.                                                                                                                                 Et cette nuit, passive et nue, n’étais-je pas une reine sous la couronne vivante de tes doigts refermés.                                                                                                                                                                                                                            IV                                                                                                                                                                                                                                                      Pendant cette minute inoubliable où nous nous sommes aimés plus loin que la terre, plus haut que le ciel, dans un monde resplendissant j’ai connu toutes les amours.                                                                                                                                 Un feu surnaturel les a fondues dans mon cœur, comme en un creuset dévorant.                                                                                                                               J’ai été la mère, la sœur, l’amante; j’ai été ta chair, ton sang, ta pensée, ton âme emportée vers l’au delà, vaste et illuminé.                                                                                                                                 Ton front s’appuyait au mien ; qu’est-il venu de ta vie vers ma vie dans cet éclair de radieuse pureté?                                                                                                                               Dis-moi Sylvius, quel dieu puissant nous a prêté alors un moment de sa divinité.                                                                                                                                                                                                                                                    V                                                                                                                                                                                                                                                            Que mon âme murmure autour de ton âme comme une abeille autour d’un calice parfumé.                                                                                                                               Que mon amour coule dans ton cœur, comme à travers les menthes bleues, la source innocente qui vit au soleil.                                                                                                                               Que ma pensée soit une colombe blanche posée sur ta pensée.                                                                                                                                 Et que ta vie se referme sur ma vie, comme le cristal sur la goutte d’eau prisonnière qu’il garde depuis de milliers d’années.                                                                                                                                                                              VI                                                                                                                                                                                                                                                              Tu ne me diras pas : Non.                                                                                                                       Souviens-toi que j’ai baisé tes lèvres, afin qu’il ne leur échappe que des paroles de douceur.                                                                                                                                 Tu ne laisseras pas monter la colère dans tes yeux.                                                                                                                       Souviens-toi que j’ai baisé tes paupières, pour que ton regard soit une caresse sur le mien.                                                                                                                                 Tu ne lèveras pas le doigt qui me menace.                                                                                                                       Souviens-toi que j’ai baisé tes mains, afin qu’elles ne retiennent que des gestes de tendresse.                                                                                                                                 Tu ne t’éloigneras pas de moi.                                                                                                                       Souviens-toi que j’ai baisé tes pieds, pour qu’ils reviennent fidèles vers ma maison.                                                                                                                                 Tu fermeras ton cœur à l’amour d’autres femmes.                                                                                                                       Souviens-toi que j’ai baisé ton cœur à travers ta poitrine, afin qu’il soit à moi par delà le tombeau.                                                                                                                                                                                                                                      VII                                                                                                                                                                                                                                                            Je ne te dirai plus combien je t’aime, Sylvius, je ne sais plus.                                                                                                                                 Je poserai ma joue sur l’écorce du chêne, l’arbre de force et de fierté, je lui dirai : que ta feuille s’envole pour lui porter l’orgueil de mon amour.                                                                                                                                                            J’irai vers le bouleau délicat qui palpite, l’arbre rêveur comme un rayon de lune, je lui dirai : Que ta feuille s’envole jusqu’à celui qui a tout mon amour, pour lui en dire la douceur.                                                                                                                           J’irai vers l’alisier qui se dore en automne, l’arbre aux fruits précieux plus beaux que des bijoux, je lui dirai: que ta feuille s’envole, par elle il connaîtra l’ardeur de mon amour.                                                                                                                                                                                                                                              Tu feras un bouquet des frêles messagères et tu les laisseras se flétrir sur ton cœur.                                                                                                                             Qu’y a-t-il au fond des landes tristes à la fin du jour?                                                                                                                                 Le dernier rayon du couchant, droit comme un couteau d’or.                                                                                                                               Qu’y a-t-il sur les branches des chênes, quand l’ombre verse sa cendre fine sur les marais?                                                                                                                               Des poules noires qui vont dormir.                                                                                                                               Qu’y a-t-il vers les cabanes aux toits ondulés, dans le silence gris des brumes ?                                                                                                                               Des bergers hauts sur leurs échasses, de longs troupeaux qu’on n’entend pas.                                                                                                                                 Et dans mon cœur, si lourd de ton absence, qu’y a-t-il ?                                                                                                                               Toi, mon grand amour, toujours toi.                                                                                                                                  Marguerite Burnat-Provins | Temps du rêve                                              Page:Séché - Les Muses françaises, II, 1908.djvu/38 - Wikisource                                                                                                                                                        Satinea — JE T'AIME Personne ne m'a appris ce mot. Je l'ai...                  Marguerite Burnat-Provins - Babelio                                                                    “Le livre pour toi” de Marguerite Burnat-Provins - Le blog de cie artbooka                                                                                                                                Marguerite Burnat-Provins, Hélène Cadou - lieu commun : Marguerite Burnat-Provins (1872-1952) écrivaine et poète suisse de langue française était également peintre..."Le Livre pour toi", édité en 1909...
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Puy de Sancy and Mont Dore
I’m discovering more and more how revitalising it is to spend quality time in the company of people whose energy lifts you up. As someone who has social anxiety and other mental health issues, the feeling of being able to completely let go and just enjoy something is rare. Yet I cannot help but express how great the weekend was that I spent with friends staying in a youth hostel in Mont Dore.
We had been planning the weekend for about 2 weeks prior, led mainly by Christian, and although we had done as much planning as we could, the journey to Mont Dore was, as usual, complicated. So we ended up really winging it and relying on the help of bus drivers to guide us in the right direction. When we finally arrived in the small village of Mont Dore, it was almost 9pm and getting dark. We had to walk 4km to the hostel, which was made all the more difficult by the heavy bags we had taken with us, full of food to cook for our 2 night stay. If I remember correctly, we lugged our stuff up a wide road for what seemed like an hour until we reached the hostel at 9:30pm. People were getting a bit grouchy and we had agreed that the girls would cook for the first night. 
This was my first experience in a youth hostel and I have no complaints. The residents were all friendly, the staff were welcoming and the facilities were excellent. We managed to cook fajitas and Spanish tortilla maybe within 1 hour, and by that time everyone was starting to chill out and enjoy it. We cracked open some beers and sat down for a really entertaining evening including ping pong, baby foot and, of course, drinking games. I remember I made it to bed at 2:30am, and would be hiking up the Puy de Sancy the following day at 10am...
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ludivinevoiriot · 3 years
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JEUNESSE DOREE - Ludivine Voiriot, 2021
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