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#la beauté de cette scène >>>>>>>>>
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Ribambelle 📷 @sebastien_blomme 🇫🇷 J'ai souvent tendance à prendre de la distance avec mes sujets photographiques. Mais parfois, il faut se rapprocher pour capter la beauté d'une scène. Ici, mon oeil a été attiré par cette ligne de gouttes en train de voyager sur un pétale de fritillaire 😊 🇬🇧 I often tend to take distance from my photographic subjects. But sometimes you have to get closer to capture the beauty of a scene. Here, my eye was caught by this line of drops traveling on a fritillary petal 😊 https://ift.tt/FYUfP2H
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esmerald-stuff · 6 months
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bonjour bonjour ♡ je poste ce petit message pour quelque chose que je ne fais que trop rarement, la publicité d'un pré-lien sur live by the sun, mais extrêmement attendue par la superbe @manderleystuff et moi-même. ♡
tw : prostitution, abandon forcé d'un enfant, famille dysfonctionnelle. (pl sombre, complexe mais beaucoup d'amour à la clef)
en quelques mots ;;
à mon plus beau marasme.
(f) dahlia - ce rouge sur mon corps
belle, belle, comme l'éternelle tristesse au regard de braise, l'envoutante fleur noire, dahlia (prénom au choix) attire les plus fous des marins. ils s'échouent près d'elle autant que sa vie à elle est un échec. le sang bafoué qui coule dans ses veines, dont seuls les abîmes se souviennent. les années défilent et se moquent, cruelles, de son imperfection désillusion. silhouette chancelante teinte la mélancolie, résilience faites de toutes les épreuves traversées. l'existence sous les coups de lucifer, bercée près des ombres et loin de la lumière. dahlia danseuse funeste, remonte sur la scène encore et encore pour jouer de ce tragique ballet. dix-huit années qui claquent, et un petit être vient déjà au monde. un bébé, saul, son premier garçon, mais elle manque de tout, dahlia. alors, lui aussi, manquera de tout. le corps beauté qu'elle échange contre les billets, juste assez pour se payer un loyer, se nourrir et nourrir son bébé. elle n'avait rien, dahlia, alors les années défilent et elle continue, la seule chose qu'elle sait faire, au fond. gamin grandit et encaisse difficilement, les passages de ces hommes aux regards lubriques. puis en vient un autre, un homme amour, un différent, relation de quelques temps, elle est la maitresse. et alors elle tombe enceinte, une seconde fois. petite poupée, cette fois, petite princesse, elsie. elle ne grandira pas dans ce foyer crasse, sous le joug des hommes de passage. bébé lui est arraché des bras à peine née, le père l'emmènera loin de dahlia, l'élèvera avec sa femme, bébé volé....
( son enfance et son passé sont libres d'interprétation, quant à son état d'esprit aujourd'hui et son futur, il en est de même ♡)
pour en savoir plus c'est par ici !
et pour toutes questions, nous sommes là aussi ♡ merci merci merci d'avoir pris le temps de le lire. ♡
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multiprises · 2 years
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Cherished, The English, 1.06
Hugo Blick (D), Hugo Blick (S), 10/11/22
Je demeure confondu par la beauté de cette mini-série, par la qualité de son écriture, de sa mise scène et surtout de son interprétation. J’étais déjà fan d’Emily Blunt, mais là elle est rentrée dans une nouvelle dimension. Quant à Chaske Spencer, c’est tout simple, j’ai ressenti la même émotion que naguère lorsque je découvris Wes Studi dans le film de Mann.
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abdou-lorenzo · 1 year
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Pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence qui nous entraîne. J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire injustice aux autres ; je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes et rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige..................💕✨✨
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Molière, la tirade dite de l’inconstance, Dom Juan, acte I, scène 2
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rapha-reads · 1 year
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Allô, y a t'il des lecteurs de Fred Vargas dans le coin ?
Hello, anybody reading Fred Vargas?
Non parce que je viens de finir d'une traite le tout nouveau Adamsberg, Sur La Dalle, et j'ai vraiment envie de parler de notre commissaire, de Louis, Violette, toute la bande, de cette nouvelle enquête tarabiscotée et brillante...
No, cuz, I just finished binge-reading the whole new Adamsberg, and I really want to talk about our police chief, Louis, Violette, and the whole Brigade, and this new convoluted and brilliant investigation...
Et aussi demander à la populace pourquoi il n'y a pas plus de fic Adamsberg/Veyrenc. Je suis sérieuse, 2 fics seulement sur AO3, j'ai recherché sur le web et rien d'autre, alors que le potentiel de ce ship, s'il-vous-plaît !
And also wanna ask the crowd why there's not more Adamsberg/Veyrenc works! Seriously, only 2 fics on AO3, and I went searching on the web, nothing more, even though this ship has so much potential!
Et d'ailleurs pour ceux qui ont lu Sur la dalle [I don't think it has been translated in English yet, so I'm not translating this part, but if you're interested in my thoughts on Adamsberg/Veyrenc, send me an ask] , on en parle, de l'immense naturel de Jean-Baptiste pour admirer paisiblement ses collègues hommes ? Comme dans chaque bouquin depuis son arrivée, pas mal de passages sur la beauté de Veyrenc (Jean-Bapt ton crush is showing), et là, le nombre de réflexions qu'il se fait sur le commissaire Matthieu... De l'autre côté, le Matthieu en question est en pâmoison devant Adamsberg aussi, faut le dire. C'était fascinant.
Et dans ce dernier volume, pas de spoilers, mais le seul perso qui soit systématiquement sur la même longueur d'ondes que Adamsberg est Veyrenc. Il n'y a pas un seul moment où il est dubitatif, ou critique, non, au contraire. Ils n'ont définitivement pas assez de "scènes" rien qu'eux deux, mais chacune de leurs conversations en solo ou de leurs interactions devant le reste des personnages les présentent comme étant totalement synchronisés et évoquent leur très longue histoire commune. J'aurais tellement aimé que Vargas nous donne plus d'interactions entre eux deux. Il y a deux passages en particulier qui m'ont rendu folle, le passage du taureau et le passage du "film d'Adamsberg", ceux qui ont lu le livre sauront de quoi je parle.
Bref. Six ans d'attente avant le prochain tome de nouveau ? Je sens que je vais craquer et finir par écrire mes propres "chapitres manquants"... Alleeeez les gars, qu'on remplisse ce tag un peu, à vos stylos et vos claviers ! Je suis sûre que beaucoup d'entre vous peuvent être inspirés.
Anyway. Six more years before the next book again? I feel like I'm going to snap and end up writing my own missing scenes... C'mon guys, let's fill up that tag! I'm sure so many of you could be super inspired.
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havaforever · 2 months
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LET'S GET LOST - Ce biopic très stylé en noir et blanc, n'échappe hélas pas aux apories du genre : dès qu'il n'est plus question de musique, ça devient ennuyeux. Et ça l'est bien souvent.
Weber n'arrive pas à tenir sur le sujet. Il privilégie les petites histoires relativement à la grande, celle de la légende. A laisser la parole aussi longuement aux familles, et particulièrement aux ex-femmes, le film glisse dans l'aigreur et le ressentiment. Chet et sa trompette disparaissent du film, et ce ne sont que chamailleries qui restent sur l'avant de la scène.
Concrètement, Let's get lost se scinde en deux temps. La première partie introduit le programme du film, résumé par le seul titre, littéralement traduit par "Laissons nous perdre". Plus que de décrire la vie de Chet Baker et d'esquisser son parcours professionnelle, les premières bobines saisissent l'essence de l'homme par le biais de ses musiques et des photographies sur lesquelles il apparaît.
Sur fond de jazz avec Gerry Mulligan ou de solo doux voix-trompette, rien n'est réellement relaté des anecdotes biographiques de Baker, mais tout est exprimé des formes de son art. Pour réussir à dresser l'image informelle du talent si singulier de Baker, Webber mêle dans un imbroglio d'images, de sons et de musiques et différents objets évoquant le musicien. C'est un labyrinthe lyrique qui nous perd dans l'identité confuse du trompettiste.
La seconde partie du film, qui apparaît indistinctement, prend une voie plus linéaire, et fait appel à davantage de témoignages. Tant et plus qu'on en arrive évidemment aux règlements de compte : à la lutte des familles pour la gloire de Baker. Ce second temps qui opte pour le compte rendu anecdotique des aléas de la vie de Baker, calfeutre progressivement la belle poésie introductive.
NOTE 13/20 - Film stylisé qui s'acharne à percer le mystère, dont il épouse les ombres, de cette beauté brisée qui s'enfonce dans la nuit.
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adri-atique · 8 months
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Tout livre devrait être lu au minimum deux fois. Certain livre demandent à être lu minimum deux fois. Parmi ces derniers, on y trouve Le maitre des illusions de l’auteure américaine Donna Tartt. Faisant usage de sa grande maitrise des mots, Tartt nous dépeint une histoire mouvementée mettant en scène l’étude des classiques grecques et la poursuite de l’esthétique académique à travers un narrateur témoin-sujet qui reviens sur son passé. A une première vue, le livre est tout simplement Richard, jeune homme de 28 ans fortement dépressif, qui nous raconte son année au collège Hampdenau Vermont. Plus le lecteur continue, plus on se rend compte qu’il s’agit en fait d’un aveu, la révélation d’un meurtre rester dans l’ombre depuis neuf ans., et plus on comprend l’état d’âme du narrateur.
« Nous n'aimons pas le reconnaître, mais l'idée de perdre contrôle est quelque chose qui fascine plus que tout, ou presque, les gens aussi contrôlés que nous le sommes. »
À ma première lecture, je me retrouvai dans la peau de Richard à 19 ans, fraichement débarqué dans une nouvelle école. Ayant moi-même vécu cette étape quelques fois dans ma vie, je fus capable de rapidement m’attacher au personnage et de m’immerger dans les descriptions imagées du Vermont. J’ai découvert avec lui les membres du groupe d’étudiants exclusif et leurs personnalités. J’ai tué et j’ai vécu le stress de cacher un meurtre avec ces derniers. J’ai levé les nombreuses couches de secrets gardés par les étudiants et j’ai vécu leur dissolution. La première lecture m’est resté dans la tête, trottant parmi mes idées durant des mois. Ses moments singuliers hantaient mes nuits au point qu’au début je restais éveiller le temps de faire et refaire le point sur les évènements connus, mais par la faute du narrateur et son obsession pour le pittoresque des événements, il y a autant d’inconnu qu’il y a de mauvaises décisions au travers des pages. Je devais le lire à nouveau, ou jamais je ne retrouverai le repos.
« La beauté est rarement douce ou consolatrice. Plutôt le contraire. La véritable beauté est toujours très inquiétante. »
La deuxième lecture révèle beaucoup de chose. Si lors de la première lecture j’étais Richard à 19 ans, je me suis retrouvée plus vielle de neuf ans lors de la seconde. Sachant déjà le dénouement, je découvrais de nouveaux détails qui laissaient présager les futurs événements. Ayant le contexte nécessaire, je remarquais les symbolismes présents dans le texte, que ce soient les fleurs déposées sur le seuil de la fenêtre ou bien les actions en arrière-plan. Cette seconde lecture a donné repos à mon pauvre cerveau malmener par le génie de Donna Tartt.  Je planifie le relire au moins une troisième fois, histoire de trouver encore plus de détails.
« Est-ce que quelque chose comme la “fêlure fatale”, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d’une vie, existe hors de la littérature ? Je croyais que non. Maintenant je pense que oui. Et je crois que voici la mienne : une avidité morbide du pittoresque à tout prix. À moi. L’histoire d’une de mes folies. »
Le maitre des illusions est un livre truffé de citations, de référence à la Grèce antique et totalement obsédée par la beauté, un livre parfait pour s’éduquer à travers maintes références (trouver les sources originales est en soi une aventure passionnante, je peux vous le dire.) Décrit comme étant une aventure de détective inversé, plusieurs lecteurs l’ont interprété plus comme étant une critique de la recherche de l’esthétique et comment faire ses choix pour le pittoresque sans penser aux conséquences peut mener à la perte d’un individu tel qu’il est. Un livre parfait pour les amoureux de la beauté académique.
À noter que j’ai originalement lu ce livre en Anglais, j’ai traduit les citations ainsi que le titre pour les besoins d’un texte uniforme. Toute impression m’es venu du texte original en anglais.
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galerymod · 2 months
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Au nom des athlètes », “Au nom de tous les juges” ou “Au nom de tous les entraîneurs et officiels”. Nous nous engageons à participer à ces Jeux olympiques et à respecter les règles dans un esprit de fair-play, d'inclusion et d'égalité. Ensemble, nous sommes solidaires et nous nous engageons pour un sport sans dopage, sans tricherie, sans aucune forme de discrimination. Nous le faisons pour l'honneur de nos équipes, dans le respect des principes fondamentaux de l'esprit olympique et pour rendre le monde meilleur grâce au sport ».
Serment olympique
Promesse de respecter le fair-play/l'esprit d'équité
L'essentiel aux Jeux Olympiques n'est pas de gagner mais de participer ; l'essentiel dans la vie n'est pas de conquérir mais de bien se battre.
Pierre de Coubertin
Nous aimons l'idée d'Olympic. Toutes les nations cohabitent pacifiquement dans le village olympique et s'affrontent pour déterminer les meilleurs.
Tout est basé sur le respect et le fair-play.
Quelle bonne idée !
Cette cérémonie d'ouverture n'aura pas plu à tout le monde dans le monde, car elle était une affirmation de la diversité, de la liberté et de l'égalité, une affirmation des valeurs de l'Europe, une mise en scène ambitieuse de la diversité associée à la beauté de Paris.
Même la pluie n'a pas réussi à briser l'enthousiasme !
Une invitation unique, grandiose et européenne à l'humanité à reconnaître que la diversité peut créer de grandes choses.
mod
Pas de critique aujourd'hui, juste de l'étonnement
‘In the name of the athletes’, ‘In the name of all judges’ or ‘In the name of all coaches and officials. We pledge to take part in these Olympic Games and to respect and abide by the rules in a spirit of fair play, inclusion and equality. Together we stand in solidarity and commit to a sport without doping, without cheating, without any form of discrimination. We do this for the honour of our teams, in respect of the fundamental principles of the Olympic spirit and to make the world a better place through sport."
Olympic Oath
Promise to observe the concept of fair play/fairness
The most important thing in the Olympic Games is not winning but taking part; the essential thing in life is not conquering but fighting well.
Pierre de Coubertin
We love the idea of Olympic all nations live peacefully together in the Olympic village and compete to be the best.
Everything is based on respect and fair play.
What a great idea!
This opening ceremony will not have pleased everyone in the world because it was a commitment to diversity, freedom and equality, a commitment to the values of Europe, a sophisticated staging of diversity combined with the beauty of Paris.
Even the rain couldn't dampen the enthusiasm!
Unique, magnificent and European, an invitation to humanity to recognise that diversity can create great things.
mod
No criticism today, just amazement
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shakeskp · 3 months
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Des nouvelles de l'écriture
Un "petit" mois ! 27 571 mots. Pour la majorité, ça a été la fin de la deuxième partie des Voies \o/ En fonction de mon degré d'impulsivité, il est possible que je commence la mise en ligne vendredi... Mais ce serait plus raisonnable d'attendre encore un peu.
J'ai fini aussi le one-shot Obikin bête ! Il fait 8 500 mots. C'est peut-être lui que je vais poster vendredi prochain, il est corrigé et tout. Je pensais le garder pour mon anniversaire mi juillet, à la base, mais @trinitrine m'a plus ou moins défiée d'écrire du mpreg et ça m'amuserait, je crois, de faire ma crise de la quarantaine en cochant ce trope-là :D (j'ai une idée et quelques centaines de mots, ce serait court, mais après il faut que je surmonte mon sentiment d'embarras idiot. D'un autre côté j'ai réussi avec l'omégaverse, y'a pas de raison !)
J'ai repris ma seconde Hanahaki Genshin, et j'aimerais réussir à la finir cette semaine, dans l'idée de la publier pour mon anniversaire elle aussi ✨
Enfin, j'ai pris des notes et écrit quelques scène des Voies 3... J'avais dit qu'il y avait une troisième partie ? 😬 C'est juste un bonus, un "dix ans après" pour discuter de l'avenir des jumeaux, et dans des proportions bien plus raisonnables.
Si vous êtes toujours là, un petit bout de la fic bête, pour avoir une idée du sujet :
[Anakin] n’était pas affamé, alors il décida de fouiller dans la bibliothèque de Padmé à la recherche d’une distraction. Elle cachait toujours des hololivres d’aventures entre deux codes juridiques. Un instinct inattendu lui fit fouiller l’étagère du bas ; en d’autres circonstances il aurait cru à un encouragement de la Force, mais en quoi son choix de lecture récréative méritait une telle attention ? Pourtant, il fut surpris lorsqu’il commença à sortir l’holoroman et qu'il tomba sur Obi-Wan. Ou plutôt : la tête d’Obi-Wan en couverture. Curieux de savoir de quel genre d’ouvrage il pouvait bien s’agir (une biographie non autorisée ? Un ouvrage d’étude sur les Jedi ?), il le sortit complètement.
La première chose qui l’interpella fut que ce n’était pas tout à fait Obi-Wan. On avait effacé le grain de beauté sur son front et celui ornant sa pommette droite. Ses taches de rousseur étaient plus prononcées, la forme de sa bouche légèrement différente. Pourtant on ne doutait pas qu’il s’agissait de lui, malgré le bleu uniforme imposé par le format hololivre. 
La seconde chose qui l’interpella fut sa tête à lui. Là encore, il y avait eu un vague effort pour changer les choses, il portait une barbe de trois jours et sa cicatrice balafrait ses lèvres plutôt que son arcade sourcilière.
Tous deux étaient dos à dos et faisaient une tête de six pieds de long, « Anakin » regardant le lecteur comme s’il était à deux doigts de le tuer, « Obi-Wan » la tête levée vers le ciel d’un air tragique. Au-dessus d’eux, un Aethersprite Delta-7B bizarrement moins détaillé que les taches de rousseur de pseudo-Obi-Wan ; entre eux, deux silhouettes les représentant, en plein duel. Les poignées des sabres étaient, elles, aussi excessivement détaillées que lesdites taches de rousseur. Dans l’ensemble, il y avait tout juste assez de changements pour sauver l’artiste en cas de procès. Si le juge était très biaisé en faveur de l’artiste.
Le titre ? L’Éveil de la Destinée, premier tome de la série Cœurs de Kyber, par Der'pink'es Shaguikin.
Avec une curiosité morbide, Anakin tapa sur l’écran pour lire le résumé.
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krisis-krinein · 1 year
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"Le langage a cette faculté de dénier, d’oublier, de dissocier le réel : écrite, la merde ne sent pas ; Sade peut en inonder ses partenaires, nous n’en recevons aucune effluve, seul le signe abstrait d’un désagrément. Tel apparaît le libertinage : un fait de langage. Sade oppose foncièrement le langage au réel, ou plus exactement se place sous la seul instance du “réel de langage” […]. Le “réel” et le livre sont coupés : aucune obligation ne les lie : un auteur peut parler infiniment de son œuvre, il n’est jamais tenu de la garantir."
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"Éden, Éden, Éden est un texte libre […]. Guyotat produit […] un élément nouveau […] ; cet élément est une phrase : substance de la parole qui a la spécialité d’une étoffe, d’une nourriture, phrase unique qui ne finit pas, dont la beauté ne vient pas de son « report » (le réel à quoi elle est supposée renvoyer), mais de son souffle, coupé, répété, comme s’il s’agissait pour l’auteur de nous représenter, non des scènes imagées, mais la scène du langage, en sorte que le modèle de cette nouvelle mimésis n’est plus l’aventure d’un héros, mais l’aventure même du signifiant : ce qu’il lui advient."
Roland Barthes.
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studiop8-blog · 4 months
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La ville endormie, un spectacle apaisant
Intimité familiale Fin
GIOVANNI ARSENE KUATE TAKAM 22007100
À travers les carreaux de ma fenêtre, les rideaux blancs délicatement rabattus sur le côté, un spectacle d'une sérénité à couper le souffle s'offre à moi. Il est 00h15 la ville semble s'être lovée dans un cocon de quiétude, prête à savourer quelques heures de repos bien mérité.
Dehors, les lumières tamisées des lampadaires projettent une lueur chaleureuse et rassurante sur les rues désertes. Leurs éclats dorés se reflètent sur les carrosseries des voitures sagement garées de part et d'autre de l'avenue, créant un ballet d'ombres et de lumières d'une beauté hypnotique.
Les grands arbres qui bordent la chaussée se dressent tels des sentinelles immobiles, leurs silhouettes se découpant avec grâce sur la toile de fond d'un ciel d'encre. Chaque branche, chaque feuille semble suspendue dans le temps, figée dans une attente respectueuse du sommeil de la ville.
Un calme presque surnaturel règne sur ces lieux habituellement animés, comme si le tumulte de la journée avait cédé la place à une trêve salvatrice. Plus un bruit, si ce n'est le doux murmure du vent caressant les feuillages, une mélodie apaisante berçant les rêves des habitants.
C'est un moment précieux, une parenthèse enchantée où le monde semble ralentir sa course effrénée. Un instant où l'on peut laisser son esprit vagabonder, se délester du poids des soucis quotidiens et simplement se laisser porter par la beauté de cette scène nocturne.
Derrière ces carreaux, je me sens privilégié d'avoir un tel spectacle sous les yeux, un rappel constant que même dans l'agitation de la vie urbaine, il existe encore des moments de grâce et de sérénité à savourer pleinement.
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davidheulin · 5 months
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À l'aube de ce mois de Mai radieux, la nature s'éveille lentement sous la caresse des premiers rayons de soleil. La rosée, telle une fine dentelle argentée, pare délicatement chaque pétale et chaque feuille d'un manteau scintillant. C'est un moment magique où la fraîcheur matinale se mêle à la chaleur naissante du jour, créant une atmosphère empreinte de douceur et de poésie. En tant que photographe amateur, je saisis avec émerveillement cette scène éphémère, où la lumière joue avec les reflets et où les couleurs se parent de nuances délicates. Chaque clic de l'obturateur capture un instant fugace, figeant pour l'éternité la beauté éphémère de ce réveil printanier. À travers ces clichés, je partage avec vous l'émerveillement devant la simplicité et la splendeur de la nature, offrant ainsi un instant de contemplation et de gratitude pour les merveilles qui nous entourent.
#nature #jardin #fleurs #canon #normandie #normandy #garden
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jules-and-company · 6 months
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bon. alors. trois fois ulysse experience :
- y’avait FRANÇOISE GILLARD et GILLES DAVID à côté de oim, sûrement venus voir les copains. gillard m’a parlé. bon c’était pour me dire qu’il fallait que je me décale parce que je m’étais gouré d’une place mais a win is a win
- y’avait (je crois) claudine galea derrière moi
- le décor est si petit mais si beau. un écran vidéo très long et très haut derrière pour faire une aesthetic ; un crâne gigantesque de cheval (de troie, tmtc) qui est le point central de la mise en scène qui représente successivement la mort, la caverne de calypso, un flan de falaise à ithaque
- les costumes sont MAGNIFIQUES mais genre VRAIMENT. la robe d’hécube mon DIEU la robe de calypso mon DIEU. et les costumes d’ulysse qui gardent cette constante bleu/militaire et autre côté résille blanche (filet de marin ?) qui se déchire avec le temps
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- parlons d’hécube d’ailleurs. seigneur jésus le TALENT de clotilde de bayser. sa puissance tragique. on dit d’elle qu’elle a été transformée en chienne ; le contrôle qu’elle a sur sa respiration pour la faire pareille à celle d’un clebs ; ses hurlements de chien qui se transforment en hurlements humains. ses cris de douleur je les ai ressentis jusque dans ma moelle épinière d’accord
- sefa yeboah je le connaissais pas du tout mais FUCK il joue bien le bougre
- le choeur unikanti c’est le nirvana auditif j’ai jamais entendu une harmonie aussi parfaite
- séphora pondi quelle REINE quelle BEAUTÉ quel TALENT
- baptiste chabauty non plus je connaissais pas mais ce garçon a un très grand potentiel. il joue également du tambour ce qui est skill que je respecte
- marie oppert (qui fait aussi du chant lyrique, première nouvelle) mais qui est si DOUÉE mon dieu
- un apparté sur génovèse (c’est quand même à 50% pour lui que j’y allais) : lui qui arrive en jumpscare sonore au fond de la traverse, je me suis craqué la nuque en tournant la tête presque à 180 la seconde où je l’ai entendu (dois-je préciser qu’il faisait également un narrateur ? bien que je sois sûr que denis podalydès ait aussi fait un bout de la narration). son costume de base un peu dracula (col haut) bleu mais absolument magnifique. CE MEC EST PASSÉ À GENRE. TROIS MÈTRES DE MOI. sa voix préenregistrée était aussi celle de ses regrets GOD FUCK. lui en résille blanche à trois mètres de moi. à un moment il a gueulé en italien je crois que j’ai black out from sheer horniness. j’ai aussi vu génovèse se mettre à genoux puis en position de suppliant devant une femme là je crois que l’AVC est venu. et lui aussi qui a pleuré pendant presque toute son apparition et qui avait les yeux ROUGES de larmes pendant les trois saluts. BORDEL DE MERDE LE TALENT DE CET HOMME. SA PUISSANCE DE JEU. SA BEAUTÉ. genre ils m’ont tous ému mais lui il m’a fait chialer c’est absolument pas mon acteur préféré pour rien. philinte walked so that ulysse could run. FUUUUUUUUUUUUCK
- j’oubliais de dire que comme j’étais au cinquième rang avec les deux comédiens à côté, TOUS les ACTEURS m’ont regardé 45% du temps dans mon ÂME
bref ce fut une joie would not hesitate to do it again
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fullnft-fr · 6 months
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Tableau d'une jolie ville ensoleillée
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Tableau d'une jolie ville ensoleillée
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Découvrez la beauté ensoleillée capturée dans ce tableau évoquant une ville pittoresque baignée de lumière. Plongez dans une scène urbaine animée où les rayons chauds du soleil illuminent les rues pavées et les façades colorées. Avec ses détails saisissants et son atmosphère chaleureuse, ce tableau transporte instantanément le spectateur dans un monde de sérénité et de tranquillité. Laissez-vous séduire par cette représentation artistique d’une ville baignée de lumière, où chaque détail respire la vie et la joie. Un ajout parfait à toute collection, ce tableau éclatant apportera une touche d’éclat et de charme à n’importe quel espace.
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claudehenrion · 9 months
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Noël 2023
Depuis que ce blog existe (le 15 novembre 2013), nous avons toujours, à cette époque de l'année, célébré Noël, sans nous arrêter à ou sur une année particulière : l'important, c'était Noël en tant que immense Fête planétaire et éternelle, à la fois exaltation de la naissance, de l'enfance, de la maternité pour tous les humains, et de la pérennité de la race humaine ''tirée'' en avant par ce qui lui est arrivé de plus beau, de plus prometteur, de plus libérateur : sa foi chrétienne, pour ceux qui ont la chance de croire. Cette année, en revanche, c'est ''Noël 2023'' qui est à la fête : personne ne peut jurer qu'il y aura un Noël 2024... ou un de ses suivants immédiats, et sous quelle forme.
En ces temps de deuil ''tous azimuts'' où le Beau, l'Eternel, le Vrai et le Bon (pour l'humanité) semblent avoir temporairement cédé le pas au Laid, au Faux, au consommable et au vénal-revendicatif-mensonger-haîneux... il semble urgentissime de rétablir les ''fondamentaux'' (qu'on appelle aussi : les vérités premières) pour que nos contemporains redeviennent conscients de ce qu'ils risquent de perdre... et qu'ils ont, hélas, déjà commencé à perdre pour de bon... En ce temps de l'Avent, je viens de terminer ma crèche provençale, tout un petit peuple de ''santouns'' qui sont tellement jolis qu'ils ont fini par attirer l'attention (qui ne peut être que haineuse) de spécialistes de la déconstruction qui n'ont, dans leur ligne de mire, que de la laideur, qu'un faux égalitarisme et que des sentiments vulgaires, qu'ils ont bien du mal à déguiser sous des oripeaux trompeurs.
Dans un monde qui n'est menacé sérieusement que par l'islam --les autres menaces étant le fait de pays (Chine, Russie, Corée du nord, Turquie, Azerbaïdjan, et quelques autres), qui dépendent de dirigeants hystériques ou de vengeances historiques--- la haine pour les chrétiens atteint de plus en plus souvent des sommets inacceptables (d'autant plus ''moches'' que des meneurs-menteurs éhontés baptisent ces horreurs ''de l'islamophobie'', ce qui est à la fois un mensonge pour les émetteurs et une double peine pour les récepteurs de ces vilenies...). Je vous invite à une escapade poétique, devenue si rare, en dehors des sphères privées...
Dans ce monde que nous avons –par notre passivité et notre ''je-m'en-fichisme''-- permis à des mauvais dirigeants sans foi ni loi d'ériger contre nous, une simple crèche provençale est un moment de beauté, de grâce et de douceur dans un monde de brutalité et de violence, où les destructeurs, les ravageurs, les progressistes, les menteurs et les soi-disant-libres-soi-disant penseurs (ce sont souvent les mêmes !) et les djihadistes, sont remplacés par des personnages traditionnels de la Provence, les santons (santoun = petit saint, en provençal), s'inspirant de scènes de la vie locale telle qu'elle était au XVIII ème siècle. D'abord ''crèches d'Eglises'', on les trouve en Provence au début du XIV ème siècle, dans le sillage de la Contre-réforme, importées d’Italie par les Oratoriens (très attachés à la dévotion à la Sainte Enfance). Partie visible de notre patrimoine, elles constituent une partie invisible de notre salut, et c'est pourquoi les destructeurs les haïssent si fort et les pourchassent de leur haine. Je vous propose d'en faire, cette année, le symbole de notre lutte vitale contre la forme dépravée de l'actuel obscurantisme athéiste.
Les crèches domestiques n'ont fait leur apparition qu'à la fin du XVIII ème siècle sous la forme de niches ou de boites vitrées présentant la nativité entourée de saints personnages, la ''chapelle''. Ce n’est qu’à la révolution et a cause de l'interdiction de toute pratique religieuse que cette chapelle évoluera en crèche domestique telle que nous la connaissons, principalement grâce à l’invention par Jean-Louis Lagnel (1764-1822) du santon d’argile crue, moulé en série, qui est toujours utilisé par les santonniers actuels, même s'ils utilisent l'argile cuite plus résistante. Cette crèche domestique est donc un symbole et un vecteur de Liberté contre l'absolutisme de ceux qui se disent ''tolérants'', qu'ils soient laïcs, progressistes ou, pire encore, ''libres'' (sic !) et ''penseurs'' (re-sic !) et elle va, comme telle, se répandre peu à peu en Provence, et de là un peu partout en France et hors de France... au pont de susciter les foudres et la haine confite (en un ou deux mots ?) des ennemis de la liberté.
Cette crèche provençale est, en fait, le fruit d'un itinéraire unique, ''mêlant au fil du temps le profane au religieux''... comme le dit joliment Marcel Carbonel, prestigieux santonnier provençal. Les jolis santons évoquent des personnages typiques ou célèbres du folklore des pays d'Oc, ou représentent les petits métiers du temps : le berger et ses moutons, le meunier, le boulanger, le rémouleur, le pêcheur, la lavandière, la poissonnière, le chasseur, le ramoneur et lou Conse (= le Consul, le Maire), l'ange Boufarèu (qui souffle dans sa trompette pour prévenir les bergers), l'arlésienne, l'aveugle et son fils, le tambourinaire, le boumian et la boumiane (les bohémiens) et lou ravi (accent tonique fort sur le ''a'', s'il vous plaît !) et tout un peuple de gens pauvres, qui apportent ce qu'ils on trouvé chez eux pour aider ''lou Pitchoun'' (= le tout-petit) : qui une bercelonnette, qui de la nourriture, des œufs ou une poule, et qui, bien sûr, un agneau...
La tradition veut que chaque année, la crèche soit mise en place peu avant Noël pour n'être défaite qu'au début février, à la Chandeleur. Chacune se singularise par le choix de ses santons, des accessoires utilisés, des représentations des maisons villageoises et par la variété de la végétation choisie (mousse, lichen, houx, branches de pin, etc.). Pour harmoniser la crèche et simuler la perspective, des santons de différentes tailles sont utilisés. Les plus grands sont placés sur le devant, ce sont traditionnellement le berger et son troupeau, ensuite rejoints par les rois mages. Les santons dits ''puces'' sont mis dans le fond de la crèche, pour figurer le lointain.
Au début du XIX ème siècle, dès après le Concordat de 1802, les crèches traditionnelles avaient retrouvé leur place dans les villes, et la commune de Paris les a souvent mis à l'honneur dans divers lieux de la capitale, en particulier sur le parvis de la Place de l'Hôtel de Ville avant que l'espace vert bordé de voies de circulation qui existait naguère devant la façade du bâtiment ne devienne la place goudronnée actuelle. Autres temps, autres mœurs ! Pourtant, c'est à cette riche page de notre roman national qu'une poignée de destructeurs idiots, qui font le jeu de l'islam –qui les égorgera les tout premiers comme ennemis de Dieu ou d'Allah-- suivis, encouragés et soutenus dans cette tâche (qui est une tache) par des juges dénués de toute... jugeote et par des maires qui mériteraient bien de se voir attribuer leur titre en provençal, --car ce sont de vrais... ''conses''-- tournent le dos à tout ce qui constitue notre seule chance de nous sortir un jour de la m...fange dans laquelle ils rêvent de nous voir enterrer notre civilisation.
Le pire –leur rêve, notre cauchemar-- n'étant jamais la seule issue, il n'est jamais inévitable. Vous verrez : les santons, ces ''petits saints'' vont réussir à nous sauver de l'absolutisme de la ''bien-pensance'' et du ''politiquement correct'' (sic, encore !) –mais pas sans notre aide active, bien sûr. Il est temps de se réveiller, de ''se mouiller'' et de se ''bouger''. Alors... Un très ''JOYEUX NOEL''.
H-Cl.
PS : Avec cet ''éditorial'' se clôt pour nous l'année 2023, ''annus horribilis'' s'il en fut, pour moi. Nous nous retrouverons le 9 janvier 2024 au matin, si Dieu le veut, prêts pour de nouvelles aventures, de nouveaux partages, de nouvelles analyses, de nouveaux clins d'oeil. D'ici-là, je vous souhaite de jolies vacances, un très joyeux Noël et un bon début d'année... Et je nous souhaite à tous que, pendant cette ''trêve des confiseurs'', tous les malfaisants, les mal-pensants, les destructeurs et les progressistes (ce sont les mêmes !) qui polluent nos palais nationaux, nous laissent un peu respirer librement, c'est-à-dire sans eux ! Au lieu de ne penser qu'à ''ce qui pourrait faire ou pas le jeu du RN'' –ce qui semble être la seule préoccupation de tous nos ''conses'', à quelque niveau que soit leur siège (de plus en plus souvent... percé, hélas pour nous !)-- n'ayons pas peur de chanter en chœur ces jolis mots, que ces anachroniques croient démodés : '' JOYEUX NOËL ''...
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pauline-lewis · 9 months
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Showtime, folks (ou le bilan 2023)
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Le 20 décembre j’ai eu 37 ans et j’ai revu All that jazz de Bob Fosse. J’ai instauré une tradition à cette date depuis que j’ai emménagé à Brest : je fais une pile de pancakes et on s’installe devant la télé pour voir une comédie musicale. Le jour se lève doucement, les chats s’allongent sur nos jambes, je reçois quelques messages et je laisse le temps se déployer doucement. Cette année, donc, je me suis réveillée avec Bob Fosse, avec ce film que j’ai aimé encore plus fort en le revoyant. C’est un film sur la névrose, un film sur la mort, un film sur les relations bizarres et belles, un film sur un homme qui sait qu’il est naze et qui continue de l’être. Un film pour vieillir, en somme.
Un film pour la nouvelle année aussi, car on sait qu’encore une fois on se lèvera, on se regardera dans la glace et on se dira Showtime, folks Parce qu’on saura qu’on est reparti·es pour un tour.
Cette année je n’avais pas envie de faire mon bilan traditionnel sur Tailspin parce que je ne peux pas faire sens du chaos — mais j’aime bien mettre mes tops quelque part alors je voulais les coller ici. Je me suis rendue compte que chaque année j’écrivais qu’il était difficile de tirer un bilan d’une année (tant les réussites et les échecs personnels ont de moins en moins de sens à mes yeux) alors peut-être qu’il faut simplement arrêter d’essayer.
En 2023 j’ai tout simplement continué, j’ai écrit des choses que j’aimais et d’autres que je n’aimais pas, j’ai râlé souvent et j’ai hurlé parfois, j’ai marché dans la rue avec d’autres gens sans obtenir gain de cause (et il a fallu, chaque jour, chercher la recette contre le découragement), j’ai donné mes premiers ateliers d’écriture sans savoir si je le faisais correctement, j’ai préparé la suite, je me suis souvent demandé pourquoi, comment, dans quel but et je n’ai pas toujours trouvé de réponse. J’ai pleuré dans la rue en écoutant The fall of Mr Fifths, j’ai eu des conversations difficiles, je me suis inquiétée pour mes proches, j’ai attendu, j’ai espéré, j’ai mangé un donut à la banane avant la séance de All the beauty and the bloodshed sous la pluie brestoise, j’ai pensé à une scène de The Fabelmans si fort que je croyais l’avoir inventée, j’ai écouté Sufjan Stevens, je me suis cassé la voix au karaoké, j’ai vu Rufus Wainwright chanter Montauk et j’ai hurlé quand j’ai reconnu les premières notes de The crying of lot G au concert de Yo La Tengo (quel instant de joie je ressens quand ils sortent un titre improbable — et adoré — de leur catalogue). J’ai essayé de changer. Parfois ça n’a pas marché et parfois j’ai senti que j’arrivais à faire bouger légèrement ce qui semblait pourtant indéboulonnable en moi, alors j’ai continué. J’ai pleuré 72 fois en regardant This is Us, j’ai lu la rentrée littéraire dans l’herbe fraîche du début d’été, j’ai parfois parcouru et reparcouru les mêmes phrases en me demandant de quelle matière elles étaient faites, j’ai vu des auras se développer sous mes yeux, j’ai demandé à la psy quand est-ce qu’enfin on arrête d’angoisser (jamais, semble-t-il). Je me suis enthousiasmée, parfois toute seule, parfois avec d'autres. J’ai brodé pendant des heures, foiré mon enchaînement de claquettes, vu la mer, bu des thés. Je me suis réjouie des choses les plus minuscules et j’en ai parfois tiré une certaine fierté. J’ai décidé de beaucoup réduire les réseaux sociaux et en mettant 150 outils en place, j’ai à peu près réussi.
Et souvent le matin devant la glace je me suis dit Showtime folks Avec un sourire un peu forcé
Et sur ce, voilà quelques tops, avec un peu de retard et dans des ordres aléatoires !
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Les plus beaux films découverts en 2023
The Fabelmans de Steven Spielberg Anatomie d’une chute de Justine Triet Les feuilles mortes d’Aki Kaurismäki Toute la beauté et le sang versé de Laura Poitras Retour à Séoul de Davy Chou Aftersun de Charlotte Wells The Bigamist d’Ida Lupino It should happen to you de George Cukor Save the tiger de John G. Avildsen L’envol de Pietro Marcello This property is condemned de Sydney Pollack Hairspray d’Adamn Shankman Aprile de Nanni Moretti La forme de l’eau de Guillermo del Toro Killers of the Flower Moon de Martin Scorsese
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Mes livres préférés parmi ceux que j'ai lus en 2023
Corps vivantes de Julie Delporte (éditions Pow Pow) Madones et putains de Nine Antico (éditions Dupuis) Des femmes et du style d’Azélie Fayole (éditions Divergences) Checkout 19 de Claire-Louise Bennett (ed. Jonathan Cape) Le livre d’un été de Tove Jansson (éditions Le livre de poche, trad. Jeanne Gauffin) Alison de Lizzy Stewart (éditions Serpent’s Tail) Anna partout de Chloé Ronsin Le Mat (éditions Scribes) Cavaler seule de Kathryn Scanlan (éditions La Croisée, trad. Laetitia Devaux) La version de Debora Levyh (éditions Allia) Ironopolis de Glen James Brown (éditions du Typhon, trad. Claire Charrier) L’invincible été de Liliana de Cristina Rivera Garza (éditions Globe, traduction Lise Belperron) Tout le monde n’a pas la chance d’aimer la carpe farcie d’Elise Goldberg (éditions Verdier) Triste tigre de Neige Sinno (éditions P.O.L) Monica de Daniel Clowes (éditions Fantagraphics)
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Quelques séries aimées en 2023
This is us Beef (saison 1) Succession (saison 4) Shrinking (saison 1) Fleishman is in trouble (saison 1) Starstruck (saison 3) Party Down (saison 3) Extraordinary (saison 1) Somebody somewhere (saison 2) Fosse/Verdon (saison 1)
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Mes disques pref
Yo La Tengo – This Stupid World Chiens de Faïence – Déjà bien Sufjan Stevens – Javelin Blonde Redhead – Sit Down for Dinner Wilco – Cousin Sonny & the Sunsets – Self Awareness Through Macrame Julien Ledru – Mellotone Valley Cat Power – Cat Power sings Dylan Lana Del Rey – Did you know that there’s a tunnel under Ocean Blvd Colin Newman – Commercial Suicide (1986) Fever Ray – Radical Romantics
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