Tumgik
#la vie est difficile
rexycrazy · 2 years
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I needed to speak with someone about this
someone that I know wont judge me or critize what I am about to do 
Why does chasing your dreams sometimes can be so easy and after statrt to get harder and harder?
Why do we have to do what we are supposed to 
I do not want to be selfish but I knwo if i am not 
I will regret it always
Why before was easier to take risks and start the adventure life 
I ve always dream of 
Why making decisions about your won life have to envolve all the people around you 
I do not know how my mom will react to this cause she has been the person who have support my dreams since day 1 no matter what
but now with the current  her current life situation I just dont know
I think i will stay if she ask me to but I know I will blame her my whole life or at least the time I will be staying 
Why all this weight have to  be on my shoulders?
Why I am so scared to take the right decision for myself but the worng one for everyone else 
Maybe I sohould just stop thinking what everyone else will think about me if I decided to leave 
But I am afraid as well to take the worng decision, but well life is about wrong decisions right?
I just need to follow my heart and decided what is what I want to do 
And I will
Adn stick with the consequences of my acts
Wish me Luck
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code-lab · 4 months
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Plugin Persona en bêta !
C'est dans les larmes, la sueur et le sang que je vous annonce enfin la sortie du générateur de fiche : Persona ✨
Persona est un plugin pour les sujets de gestion de personnage (fiche de présentation, fiche de lien, scénarios, …). Il remplace les codes de mise en page à copier/coller dans un sujet par un formulaire à la création et à l’édition d’un sujet.
Essayez le plugin
Documentation
Phase de bêta
Pourquoi en bêta ?
Et bien parce que c'est un sacré morceau et qu'il a besoin encore de faire ses preuves dans différents forum et dans les mains de plusieurs personnes pour qu'on soit sûr de sa solidité.
Qui peut tester la bêta ?
Tout le monde ! Mais, il est vivement conseillé de l'essayer sur des forums tests ou sur des catégories de test sur vos forums. Vous pouvez par exemple essayer d'adapter vos fiches actuelles avec le plugin et demander à vos membres de reproduire leur fiche. Si le plugin rencontre un succès, vous pourrez alors faire la transition.
N'hésitez pas à me faire vos retours et me transmettre ceux de vos membres !
Est-il difficile à installer ?
L'installation de base est très simple. Elle se déroule en trois étapes mais elle demande d'installer du code un peu partout (template, CSS, javascript). Si vous n'avez jamais ouvert un panneau d'administration d'un forum, ce n'est peut-être pas le meilleur code avec lequel commencer.
C'est l'édition du plugin (pour créer vos propres mise en page etc) qui peut s'avérer plus poussé. En réalité, c'est beaucoup de manipulation HTML avec notions qui seront peut-être nouvelles pour beaucoup.
Ne vous laissez pas impressionner par la taille du tutoriel !
La première partie suffit à réussir à installer le plugin et le faire fonctionner. La suite est à but explicatif et elle parcours toutes les possibilités qui s'offrent à vous avec ce plugin (promis ça vaut le coup).
Un énorme merci aux membres du serveur La Piscine qui ont participé à l'élaboration de ce plugin ces derniers mois 🙏 et un merci tout particulier à Poumon et Christa Lostmindy ❤
Ca a été un projet hyper passionnant mais extrêmement prenant. J'espère sincèrement qu'il deviendra aussi ""game changer"" que le Blank Theme parce que je suis convaincue qu'il peut grandement améliorer notre confort de vie de rpgiste 👏
Je me rends disponible pour tout ceux qui souhaiterai l'essayer, sur leur forum test ou sur leur forum, afin de les aider à installer le plugin et le faire découvrir à leur membre !
Enjoy !
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Clôture
Je fais peu à peu le deuil de la vie que j’ai essayé de vivre. Je croyais qu’il était possible de sortir de soi-même pour devenir une autre, je croyais que mille autres filles étaient cachées sous ma peau, et que je pouvais les incarner une à une. J’ai la capacité de me dissocier très fortement de mes émotions et de mes désirs propres, ce qui a rendu cette errance identitaire plus facile que si j’étais stable et ancrée.
Je voulais rejoindre l’agitation du monde. Avoir beaucoup d’amis, être socialement acceptée, suivre les tendances et la mode, sortir, boire, aller à des concerts. Les concerts ont toujours été difficiles : les sons longs et prolongés me font peur, j’ai peur de perdre l’audition. Je tentais de me convaincre que c’était irrationnel. En mars, j’ai eu un mini trauma sonore et je n’ai pas pu ignorer plus longtemps le fait que mes sensations étaient valides. Je dissociais de plus en plus. Je ne voulais pas écouter mon corps, mon intuition, mon anxiété. À trop l’ignorer, l'anxiété sociale est devenue prépondérante et marcher dans la rue devenait impossible.
Je suis passée à mi-temps au travail et depuis je vais un peu mieux. Ce changement de rythme m’a permis de réaliser que je suis fondamentalement lente, et très sensible à tout changement de rythme. Je ne pense pas vivre sur la même temporalité que les autres. J’ai besoin de plages de temps extrêmement longues où « je ne fais rien » - c’est ce que je dis aux autres. Mais en réalité, je contemple, je réfléchis, je poétise et j’imagine. C’est le temps qu’il me faut pour me recharger. Je déteste que l’on me presse. Je déteste faire vite. Ça me rend très en colère. Je déteste la colère.
Je fais marche arrière. Je suis très triste. J’ai testé la vie des autres et je n’y arrive pas. Travailler à temps plein, sortir, vivre vite, le bruit, la foule : je n’y arrive pas. C’était intense, c’était fort, c’était drôle, c’était beau, c’était une illusion. J’ai repris mes livres. J’ai recommencé à écrire. J'ai abandonné instagram. Je continue la randonnée, et même ça, je le fais plus lentement : je regarde les plantes, je note, je prends des photos. Je fais tout plus lentement. Je fais tout à mon rythme. Et c’est mieux. La colère n’a pas disparu. Je crois qu’elle ne disparaîtra plus jamais. Elle restera là en souvenir de ces 5 ans passés à tricher, à croire que j’étais une autre personne. J’étais une adolescente qui ne s’énervait jamais, qui ne détestait jamais personne. Je suis une adulte qui a du mal à gérer sa colère et ne supporte plus les gens dans le bus. Mais je vais déjà mieux. Je suis sereine et je prie. Dimanche dernier, j’ai marché seize kilomètres pour aller à la messe dans mon lieu préféré, alors que je n’avais pas communié depuis dix ans, et il s’est passé une chose magnifique. Je ne crois pas que je l’écrirai ici. C’est une histoire de foi et les histoires de foi sont très intimes.
Je ne sais pas encore précisément quelle direction prendront ces prochains mois. J’ai très peur de redevenir triste. J’ai entendu une émission l’autre jour à la radio où un psychiatre disait qu’autrefois, quand il y avait des dépressions saisonnières, on envoyait les femmes, c’étaient souvent des femmes, faire des cures à la mer. On les autorisait à mettre leur vie sur pause et à se reconnecter à la nature. J’aimerais avoir ce temps. C’est pareil pour les cycles, je rêverais d’une société qui autorise les congés menstruels. Bref. Je crois que même si je suis lente par rapport aux autres, la société va beaucoup trop vite, pour tout le monde, et qu’on a perdu le lien à son corps et à la nature, et que ça amplifie tout symptôme. Les femmes dépressives qui partaient faire des cures à la mer ne revenaient pas guéries de leurs dépressions : mais au moins, elles avaient le temps d’accueillir la maladie, le temps de composer avec. Je voudrais le temps de pouvoir composer avec mes dépressions. Je ne voudrais plus avoir à me forcer à être vive, belle, douce ou bienveillante, quand je voudrais seulement m’enfouir six pieds sous terre. Je voudrais avoir le temps d'accueillir ma tristesse.
J’irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique. Ce que j’ai vécu, je ne le vivrai probablement plus jamais. C’était beau, mais c’était mauvais. C’était comme nourrir le chien avec les aliments du chat : le chien adore, mais à long terme, sa santé se dégrade. Ce n’est pas la plus belle des comparaisons. Mais voilà. Je ne peux plus me nourrir du bruit, ni de la foule, ni de la course à la réussite. J’ai besoin de me nourrir du ciel, des arbres et de la poésie. J'irai à mon rythme. Cette décision me rend nostalgique, mais d'une nostalgie qui se rapproche de la résignation. Je sais intimement que c'est la bonne décision.
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coovieilledentelle · 2 months
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« Mûrir, c’est comprendre et supposer que parfois on se trompe et qu’il est difficile de revenir en arrière.
Dans la vraie vie, il n’y a pas de bouton d’annulation, mais vous pouvez toujours, toujours, en tirer des leçons et commencer à faire les choses mieux ou différemment. Cela en vaut vraiment la peine, c'est toujours possible. Et ça s'appelle grandir."
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thebusylilbee · 20 days
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"Chère Gisèle Pelicot, vous êtes entrée dans nos vies comme au tribunal d’Avignon, par la grande porte. [...] Le jour de l’ouverture du procès de vos violeurs a aussi été celui de l’officialisation de votre divorce. [Une meute] vous attend dans la salle d’audience : celle des 50 hommes qui sont jugés pour viol en réunion. Il y en aurait des dizaines d’autres qu’on n’a pas pu identifier. Vous faites face. Rien ne vous préparait à être dans cette salle d’audience. Un des accusés est arrivé en retard parce que, dit-il, il devait accompagner son fils à l’école pour la rentrée. Je me suis demandé qui avait accompagné vos petits-enfants, qui faisaient, eux aussi, leur rentrée scolaire. Je sais que vous avez pensé à eux à ce moment précis.
Réalité difficile à accepter
Vous les voyez tous pour la première fois sauf ce voisin que vous croisiez parfois dans la vie d’avant, celle qui ne reviendra jamais, celle de la maison du Vaucluse et de l’ignorance préservée. Vous les regardez. Ils regardent leurs pieds. Ils n’avaient jamais vu vos yeux, Jean, Didier, Jean-Luc, Romain, Redouan, Cédric, Grégory, Karim, Jean-Marc, Philippe, Quentin, Nicolas, Vincent, Patrick, Paul et les autres… On ploie sous la longueur de la liste et la banalité des profils. Les trois quarts d’entre eux ne reconnaissent pas les viols, comme tous ceux qui font les gros titres de l’actualité, les PPDA, Nicolas Hulot, Salim Berrada, Gérard Miller, Olivier Duhamel, Benoît Jacquot, Jacques Doillon, Gérard Depardieu…
Leurs arguments sont toujours les mêmes. Ils font tourner l’infect disque rayé du mensonge complaisant. Ils n’ont pas compris ce qu’ils faisaient. Ils sont sûrs d’être, eux aussi, des types bien, pas des monstres, même quand on leur montre les vidéos des crimes. Ils sont pompier, journaliste, étudiant, chauffeur routier, gardien de prison, infirmier, retraité, conseiller municipal, nos amis, nos amants, nos pères, nos frères. Une réalité difficile à accepter.
Un seul s’est adressé à vous pour vous présenter des excuses. Leur défense est un échantillon chimiquement pur de la violence patriarcale et des masques derrière lesquels elle s’abrite pour prospérer. « Le patriarcat est dans la maison ce que le fascisme est dans le monde », écrivait Virginia Woolf dans Trois guinées (1938).
Certains évoquent le poncif éculé de la pulsion, d’autres la frustration sexuelle due à l’absence prolongée d’une compagne officielle. Il y a celui qui trouve « bizarre » d’avoir fait ça. On trouve aussi des traces de « libertinage incompris ». Il y a celui qui ose l’ahurissant « viol involontaire ».
« Consentement par délégation »
Puisque vous étiez comateuse, il est difficile de prétendre que vous étiez partante. Difficile, mais quelques-uns tentent quand même le « j’ai pu croire qu’elle faisait semblant de dormir ». Les plus audacieux essayent le « consentement par délégation » ; le mari était d’accord, « il fait ce qu’il veut avec sa femme ». Une femme est soumise à son compagnon. L’ordre immémorial de la hiérarchie masculine est respecté.
Ce qui est certain, c’est qu’ils ont tous bandé à l’idée de pénétrer un corps inerte. Le viol et l’ordinaire de la sexualité semblent avoir beaucoup de points communs dans leur esprit. Ils ont bien le droit. Ils ont le pouvoir de le faire. Ils n’allaient pas passer à côté d’un viol gratuit près de chez eux. Ils ont été biberonnés à la haine des femmes, au mépris qui s’excite de l’impuissance de l’autre. Le sexisme féroce transpire de leur discours. La pornographie violente dont certains collectionnaient les images les plus répugnantes y est sans doute pour quelque chose. La domination absolue les a fait jouir. Ils ne voient pas le problème. Même au tribunal. Même devant vous.
Ils font ce que font la plupart des hommes accusés : ils se victimisent et rajoutent une couche de mépris sur celle qu’ils ont déjà humiliée. Ils sont tombés dans un traquenard. On les a piégés. Vous êtes restée là, à les écouter sans ciller, droite sur le ring. Vous décrivez désormais votre vie comme un combat de boxe. Le combat est déloyal. L’adversaire a les armes du terrorisme patriarcal. Que vous soyez à terre ou debout, cassée ou le poing levé, votre droiture fait craqueler la carapace d’impunité qui les a longtemps protégés.
Ce n’est pas seulement vous, Gisèle, qu’ils ont traitée comme une chose. Ils nous disent, à toutes, notre insignifiance. Votre force nous rend la nôtre. Merci pour ce cadeau immense.
Hélène Devynck, journaliste et autrice d’Impunité, (Seuil, 2022)"
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prosedumonde · 19 days
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La fin est un monologue. Les fins sont souvent des monologues. Même quand plusieurs personnes se parlent, le signe de la fin est qu’elles ne s’écoutent plus, elles croisent des monologues. Dialoguer est un art difficile. Dialoguer réellement, c’est-à-dire accueillir la parole de l’autre en acceptant la possibilité qu’elle nous bouleverse, ou qu’elle modifie notre propre parole, ne se produit presque jamais dans une vie.
Éric Pessan, Ma Tempête
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coolvieilledentelle · 7 months
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Elle est mon bonheur, la lumière qui illumine mes journées les plus sombres. Elle est le sourire qui éclaire mon visage, la chaleur qui réchauffe mon cœur.
Avec elle, je suis complet, je suis entier. Chaque moment passé à ses côtés est un cadeau, une bénédiction que je chéris plus que tout au monde.
Elle est mon refuge, mon havre de paix dans un monde turbulent. Elle est mon rocher, ma force, mon soutien dans les moments difficiles.
Je suis tellement reconnaissant de l'avoir dans ma vie, de pouvoir partager mes joies et mes peines avec elle. Elle est tout ce que j'ai toujours cherché, tout ce que j'ai toujours voulu.
Elle est mon bonheur....
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chifourmi · 1 month
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Franchement je sais plus trop où j'en suis. J'ai des pensées trop tristes envers le musicien. Il me prend déjà pour acquise j'ai l'impression et j'ai horreur de ça. J'ai l'impression que les sentiments ne peuvent pas se développer dans ces conditions là. J'ai l'impression que c'est allé trop vite. La phase passionnelle du début a à peine duré. Je déteste comment il ose s'énerver devant moi pour des bêtes trucs alors qu'il faisait des efforts pour ne pas montrer ses côtés là de lui au début. Je déteste comme il s'en fout de fumer devant moi maintenant alors qu'au début il me disait qu'il ne voulait absolument pas fumer devant moi. Je déteste comme il paraît insensible parfois. Quand il est fâché sur moi, il me parle comme si j'étais personne pour lui, comme si j'étais une inconnue. D'un ton tellement froid, même quand ma voix tremble parce que j'ai trop du mal quand on se fâche contre moi. Et dire que je ne voulais pas être en couple à la base. J'aurais peut-être dû rester sur cette idée là. Et en même temps je sais que c'est difficile d'être en couple, c'est impossible que ce soit tout rose. Mais je ne sais pas si ça vaut la peine que je me batte. J'ai envie de pleurer tellement fort. J'ai juste besoin qu'il me rassure, qu'il me montre + que je l'intéresse. Je sais pas si c'est encore ma peur de l'abandon qui parle. Le nombre de fois où je me suis éloignée des gens pour ne pas que ce soit eux qui me jettent.
J'en ai marre d'être paumée absolument tout le temps pour absolument tous les niveaux de ma vie. Comment les gens font pour savoir ce qu'ils veulent? J'en ai tellement marre d'être instable comme ça c'est vraiment invivable j'en peux plus
(25/08/2024)
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clhook · 7 days
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Ces derniers temps je pense beaucoup à ma meilleure amie d'enfance et d'adolescence avec qui j'ai plus trop de contact parce qu'elle sera pas à mon mariage et ça me travaille beaucoup, pas parce que j'aurais aimé l'inviter mais plutôt par nostalgie de la relation qu'on avait petites, quand on pensait à l'avenir on était persuadées qu'on vivrait dans la même ville je serais bibliothécaire et elle fleuriste (ça ça s'est bien réalisé pour le coup mdr) et on serait témoin au mariage l'une de l'autre et on serait marraine des enfants de l'autre mais ça s'est pas passé comme ça je suis partie et elle est restée là où on a grandi, on voulait plus les mêmes choses de la vie et surtout j'ai commencé à assumer de vouloir des trucs qu'elle ne voulait pas alors qu'avant je m'écrasais pour faire comme elle. Je pense pas que la relation était spécialement toxique mais en tout cas très déséquilibrée elle était la meneuse extravertie jolie etc et moi la suiveuse réservée un peu cheum lol je pense que ça la flattait d'avoir toujours quelqu'un avec elle qui la rendait encore mieux par comparaison. Moi je disais rien parce que j'avais trop peur d'être seule mais maintenant j'ai ma vie ma maison mon keum mon travail et je suis loin donc on s'est pas quittées en mauvais termes mais juste on s'est éloignées et maintenant se suivre sur instagram c'est le seul aperçu de la vie de l'autre qu'on a. Bref tout ça pour dire que je rumine beaucoup sur le fait de vivre mon mariage sans elle tout en étant sûre que j'ai pas envie qu'elle soit là non plus c'est difficile à appréhender mais j'étais trkl dans mon coin avec mes pensées sauf que ma mère m'a dit hier qu'elle avait laissé une lettre pour moi chez mes parents et ça m'a mis dans un état d'angoisse pas possible parce que j'ai peur de lire cette lettre et d'être assaillie de sentiments pas sains pour moi ou être obligée de reprendre contact (parce que j'ai clairement pas envie, je suis très bien maintenant avec seulement la nostalgie de ce qu'on avait) et en même temps ne pas la lire me rendrait foldingue parce que je suis la meuf la plus curieuse de la terre bref je sais pas quoi penser de cette histoire 🤪🤪🤪 oui vous avez lu jusque là pour cette conclusion je suis bien désolée pour vous
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lisaalmeida · 19 days
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La vie n’est qu’une épreuve
Choisissez ce qui est le mieux pour vous
Le chemin peut être difficile la route très longue
Mais les personnes aux bons cœur seront toujours récompensées ...
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alicedusstuff · 2 months
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English version here ^^
envie d'écrire un peu aujourd'hui, donc...un peu d'écriture.
Lost soul au.(french)
« Laissez-moi une minute…»
Macaque posa doucement ses yeux sur la fourrure rousse ternie de Wukong. Elle avait perdu de son éclat après qu’il a terminé son voyage et soit rentré à la montagne de fleur et de fruit. Macaque avait pensé que ce changement de couleur passerait au lavage ; mais cela n’a jamais été le cas. La fourrure gardait cette teinte de soleil sur le point de s’éteindre. Macaque éloigna son regard de la fourrure pour porter son attention sur l’ensemble du singe de pierre, assis dans l’herbe. Il laissait les petits singes le toiletter sans faire le moindre geste. Parfois, un petit demandait pour de l’attention, et Wukong le prenait dans ses bras avec un petit sourire. Les petits singes à la fourrure sombre avait appris à rester loin du roi, car les voir faisait pleurer le roi à chaque fois. Et avec la tristesse du roi, venait la mélancolie du peuple de la montagne de fleur et de fruit.
– Toujours en train de te lamenter ?
Demande Macaque, en sachant parfaitement que Wukong ne l’entendrait pas. Il ne l’a jamais entendu. Plus depuis qu’il était mort. Macaque reste perdu dans ses pensées au souvenir de sa propre mort. Il ne lui restait plus rien que des bribes de ce qui constituait son ultime dispute avec le roi singe. Il était courant pour Macaque et Wukong de se battre. C’était une habitude qui avait souvent été teinté de colère et de rancœur depuis que Wukong était parti en voyage avec ses amis pèlerins. Macaque ne supportait tout simplement pas cette distance. Et aucun d’eux n’était réellement bon avec les mots ; où avec le fait de parler de leurs sentiments. Alors l’éloignement a tout simplement rempli de colère le cœur de chacun. Tout ce dont Macaque se souvient était grâce au souvenir des sons du futur qu’il avait entendu lorsqu’il avait rencontré Wukong. Ses oreilles l’avaient prévenu qu’il mourrait de la main de Wukong. Et il l’a ignoré.
Macaque se souvient encore de ses propres cris comme si son assassinat s’était passé la veille. Il se souvient de combien il était devenu difficile de crier, mais qu’il avait forcé sur sa gorge meurtrie, car il était terrifié, et qu’il pensait que si Wukong entendait à quel point il avait peur, peut-être que cela mettrait fin à leur énième combat. Wukong et Macaque s’arrêtaient toujours quand ils se rendaient compte ; non ; quand ils savaient, que leur ami n’était plus capable de tenir leurs petites guéguerres. Sauf qu’il ne s’agissait pas d’une petite dispute normale. Macaque le savait parfaitement. Mais il a espéré. Et c’est cela qui l’a tué. Tout comme c’était cela qui l’avait fait rester aux côtés du jeune roi imprudent.
Macaque ne mentirait pas en disant qu’il était désolé pour ce qu’il avait fait. Si on lui avait donné une seconde chance ; il aurait fait exactement la même chose. Il n’était pas désolé pour ce qu’il avait fait. Il aurait agi différemment à la fin, peut-être, il aurait essayé de mettre fin à cette dispute plus tôt, peut-être. Mais il n’aurait rien changé aux choix qu’il avait fait. Les six oreilles de Macaque se déployèrent une seconde fois aujourd’hui, et il écouta sa propre voix dire ses adieux à Wukong. Le roi ne l’entendrait certainement pas. Il était impossible que ce soit le cas dans cette situation. Cela voulait sans doute dire que les envoyés des dieux des enfers viendraient bientôt récupérer Macaque.
-Il semblerait que l’on va bientôt se quitter Wukong.
Le singe de pierre resta imperturbable à cette nouvelle. Macaque avait pris l’habitude de parler dans le vide. Alors il ne s’en soucia pas.
-Je ne sais pas quand est-ce qu’ils viendront me prendre. Mais je suppose que ce sera dans peu de temps. De ce que j’entends, cela n’a pas l’air si loin dans le futur.
Toujours aucune réponse.
– Hey… Je sais que cela fait un moment que je ne t’ai plus demandé de trouver un moyen de me ramener à la vie. Mais je pense que si tu dois avoir une illumination vis-à-vis du fait de ramener les morts, c’est maintenant.
Le roi singe regarda au loin, les yeux perdus dans le vide. Il joua un peu avec la fourrure d’un des petits singes avant de sursauter légèrement lorsque le petit lui fila entre les doigts, pour rejoindre ses parents. Wukong regarda la scène du couple qui tenait fermement leur petit. Le roi détourna le regard. Macaque pouvait entendre leur cœur se mettre à battre plus vite. Il jeta un œil à ce qu’avait pu voir Wukong, et sentit son propre cœur se briser. Il aurait aimé pouvoir faire un câlin à Wukong lui aussi. Depuis quand n’ont-ils plus eu de câlin ? De vrais câlins. Il se souvient qu’il avait souvent repoussé le singe par mesquineries, lorsque ce dernier revenait occasionnellement à la montagne. Oh ; comme il regrettait cela. S’il avait su que son dernier câlin lui serait donné juste avant sa mort ; il aurait mis sa colère de côté, et aurait laissé Wukong le câliner autant que le roi le souhaitait.
– Tu es un véritable idiot Wukong…
Le singe de pierre sembla réagir à son nom, et regarda un peu autour de lui. Macaque ignora le geste. Il ne se faisait plus de faux espoirs. Il y avait des moments comme ça où il pensait que Wukong l’entendait. Mais il avait compris depuis longtemps qu’il ne s’agissait que de brefs instants étranges où Wukong semblait avoir un sixième sens concernant Macaque.
– Si tu arrêtais de te plaindre un instant, et réfléchissait, tu pourrais peut-être me ramener !
Toujours pas de réponses de Wukong. Le singe de pierre cessa de regarder autour de lui. Il semblerait qu’il n’a pas trouvé ce qui l’avait premièrement sorti de son était végétatif.
– Tu as toujours été si obsédé par le fait de mourir. Tu as cherché par tous les moyens à vaincre la mort. Tu peux bien… je ne sais pas, venir me chercher n’est-ce pas ?
L’absence de réponse pousse Macaque à baisser les bras. Cette fois encore, Wukong n’allait pas sortir de son état étrange. Serait ce le regret ? Où le deuil ? Macaque n’était pas sûr. À vrai dire, il se serait juré que Wukong l’oublierait au bout d’une semaine grand maximum avant de passer à une autre aventure palpitante, où, peut importe ce qui l’attirait de l’autre côté de la montagne de fleurs et de fruits qu’ils considéraient tous les deux comme leur maison.
– Peu importe…
Macaque décida de prendre place aux côtés de Wukong. Il fit mine de poser son épaule contre celle de Wukong. Il savait parfaitement que s’il se laissait vraiment s’accouder contre Wukong, il passerait à travers lui. Alors, il resta stable, et posa sa main contre celle de Wukong. Comme prévu, sa main passa au travers de cette de Wukong. Macaque ne s’en préoccupa pas. Il fit de son mieux pour imaginer qu’il était physique. Il essaya de se rappeler la chaleur de la peau de Wukong contre la sienne.
Babum…
Il essaya de se souvenir combien il était bon de se laisser se reposer sur l’épaule de son ami sans penser à rien.
Babum…
Il enfonça sa tête contre son écharpe. Unique souvenir qu’il lui restait de Wukong dans sa mort. La seule chose qui gardait encore cette impression qu’une part de Wukong était avec lui. Macaque laissa ses oreilles siffler en entendant son propre cœur battre à mille à l’heure. Cela faisait tellement mal. Il avait envie de pleurer. Il n’avait pas envie de faire semblant d’être contre Wukong. Il le voulait. Il le voulait si avidement. Il voulait ressentir sa chaleur, poser son oreille contre sa poitrine, et entendre le cœur de son ami se mettre à battre follement au contact peu familier qu’initierait Macaque. Il avait envie que Wukong le serre contre lui de toutes ses forces ; et il avait envie de dormir à ses côtés en sachant que Wukong allait encore l’écraser dans son sommeil, parce que Wukong finissait toujours par trop bouger dans son sommeil.
– Putain, Wukong…
­-Désolé Macaque…
Et cette fois encore, Macaque l’ignora. Car il savait que ces excuses n’étaient pas vraiment pour lui. Après tout. Wukong ne savait pas qu’il était là. Le singe de pierre se parlait juste à lui-même pour essayer de calmer sa conscience pour l’erreur qu’il avait faite.
¤¤¤
« Tu es un véritable idiot Wukong. »
Le singe de pierre sursaute et sort de ses pensées pour regarder autour de lui. Il avait entendu la voix de Macaque. Il cherche un moment autour de lui avant de se rendre compte qu’il s’agissait seulement d’une voix dans sa tête. C’était arrivé souvent ces derniers temps. Quand il était perdu si fort dans ses pensées qu’il avait l’impression de ne plus exister ; il y avait la voix de Macaque qui le sortait du néant pour le gronder ou lui dire quoi faire. C’était une torture douloureuse que Wukong n’avait pas encore complètement assimilé. Petit à petit Wukong se calme, et retourne à ses pensées. Il rejoua en boucle la scène de la mort de Macaque dans sa tête. Il ne voulait pas l’oublier. Il ne voulait rien oublier de Macaque. C’était encore horriblement trop frais dans son esprit. Son cœur qui s’emballait sous la colère, la douleur de la couronne contre son crâne, qui semblait attiser les flammes de sa rage, puis, sa perte de contrôle. Macaque et lui se sont battus, comme très souvent récemment. Et Wukong ne s’expliquerait pas pourquoi il avait réagi aussi violemment. C’était stupide. Complètement insensé. Peut-être était-ce à cause des mots cinglants de Macaque ; où en avait-il eu tout simplement marre de leurs disputes constantes, et cela l’avait fait péter un câble. Mais tel était que cela l’avait mené à sortir de son état, complètement essoufflé, la colère disparaissant petit à petit ; et le corps de Macaque devant lui. Wukong se rappelle trop douloureusement ne pas avoir immédiatement paniqué. Il a regardé l’œil de Macaque se vider de vie pendant de longues secondes avant de comprendre ce qu’il se passait et prier pour que Macaque ne parte pas. Wukong jura. Il avait perdu de si précieuses secondes. Si seulement il avait agi plus vite. Il aurait pu emmener Macaque à son maître plus tôt, et ce dernier aurait certainement pu le sauver. S’il avait…s’il…
Il fit soudainement plus froid sur sa gauche. C’était certainement une impression. Cela faisait longtemps qu’il était au soleil, immobile. Peut-être que cela jouait ? Il ne savait pas. Il savait juste que soudainement, il se sentit mieux. Il ressentit quelque chose de familier. Il repensa à Macaque. S’il était là. Il serait certainement en train de lui raconter une histoire ; où quelque chose qu’il ne comprenait pas complètement. Peut-être qu’il lui lancerait des piques ? Wukong resta pensif. Il imagina quelque chose de plus simple. Quelque chose qu’il aimerait. Il aimerait que Macaque soit encore à ses côtés. Lui et le singe de l’ombre assis sur l’herbe, au soleil. Ce serait bien. Vraiment bien.
Le cœur de Wukong était douloureux à cette pensée. Mais qu’importe. C’était mieux que lorsqu’il était vide. Il préférait savoir qu’il ressentait encore quelque chose à la pensée de Macaque plutôt que de rester douloureusement vide comme il le faisait si souvent ces derniers temps. Si seulement il n’avait pas été aussi stupide… Si seulement il avait été moins impulsif. Il…
­-Désolé Macaque.
Murmura Wukong en espérant que Macaque lui pardonne. Mais c’était impossible. Macaque lui en voulait certainement. Wukong ne lui en voudrait même pas. Pourquoi pardonnerait-il l’ami qui l’avait tué ? Pouvait-il même encore être considéré comme un ami ? Les amis ne se tuent pas n’est-ce pas ? Il était certainement le pire ami du monde. Nous vivrons heureux pour toujours mon cul ! Wukong n’avait pas été capable de tenir la seule promesse qu’il voulait vraiment réaliser avec lui. Le singe de pierre serra le poing sur l’herbe sous ses doigts. S’il avait rendu Macaque immortel et l’avait fait officiellement roi de la montagne à ses côtés, Macaque n’aurait peut-être pas été si en colère. Le singe de l’ombre était quelqu’un qui s’inquiétait vraiment pour la montagne. Nul doute que si Wukong l’avait fait roi, il se serrait préoccupé de leur peuple comme personne. Peut-être alors qu’il aurait été trop occupé pour penser à ce pathétique ami qu’était Wukong, et qu’ils auraient échappé à ce scénario lamentable. Il y a tant de suppositions ; et si peu de réponses. Wukong ferma les yeux dans un soupir. Macaque lui manquait tellement.
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olympic-paris · 15 days
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saga: Soumission & Domination 267
GP de France (suite)
Dimanche
Réveil difficile ! Je traine et suis le dernier à passer sous la douche ! J'enfile à toute vitesse un café très serré et engouffre un froissant tout en me faisant enfiler... ma combi par PH et Franck. Samir et Ammed nous accompagnent et, non pas dans leur tenues habituelles : short cuir moulant, mais en jeans et polos.
Notre groupe navigue le long du circuit et, en block, envahi, entre les différentes courses, les " magasins ". Après 2/3 bières, les essayages sont chauds ! Nous faisons le spectacle alors qu'avec PH, Franck, Phil et Luc, combis sur les hanches malgré le temps plus que moyen, nous nous retrouvons torses nus pour enfiler chacun une bonne demi douzaine de t-shirts. Les deux vendeurs sont tendus le temps que Marc les assure qu'ils ne risquent rien. Nous faisons les mannequins puis quelques minutes plus tard nous achetons toutes les pièces que nous avons essayées. Ils ne sont pas déçus !
Dans une autre " boutique ", c'est Cédric, Louis et Kamal qui font le show. Ils nous imitent et nous kiffons bien leur manège. Les vendeurs sont plus cools et en rajoutent. Faut dire qu'un bel attroupement s'est constitué devant. Ils nous font même une ristourne sur le total. En 9 t-shirt j'en laissais quand même pour plus de 350€ ! Plus tard dans l'après midi, C'est PH qui attire mon attention sur Kamal bloqué devant l'étal d'un marchand de cuirs. Son regard s'est fixé sur un blouson noir assez " mauvais garçon ". Je le vois instinctivement tâter ses poches puis ses épaules tomber. Il n'a pas encore intégré sa nouvelle situation chez moi et l'augmentation du pouvoir d'achat que cela entraine. Je passe mon bras sur son épaule et lui demande si c'est celui là qu'il veut. Il est surpris et balbutie qu'il est trop cher. C'est sûr que c'est pas sur le circuit qu'on fait les meilleures affaires. Sans le lâcher, j'attire l'attention d'un des deux jeunes vendeurs et lui demande le blouson dans la bonne taille. PH a le temps de convaincre Kamal d'accepter le cadeau avant qu'il ne revienne avec deux exemplaires. C'est le plus petit qui lui va. Je comprends, alors que le vendeur fini de l'aider à l'enfiler, pourquoi il avait kiffé ce modèle. Une lanière en Y passe entre ses jambes et une fois clipsée devant, évite que le dos soit dénudé quand il se couchera sur une moto comme mon premier véritable blouson que Marc m'avait acheté. Sans compter que ça fait ressortir son paquet avec évidence ! Le vendeur le remarque et sans façon caresse la bosse mise en avant puis recule près de moi pour nous laisser admirer. Il me glisse à l'oreille que j'ai là un beau p'tit mâle bien craquant. Je rigole et passe le bras autour du cou de PH et lui dis que c'est celui là mon mec, l'autre c'est un petit ami en apprentissage des choses de la vie. Le vendeur se démonte pas et me demande alors s'il peut lui aussi apporter sa pierre à l'édifice. Kamal qui nous a entendus, intervient alors et lui demande carrément ce que cela lui rapportera. Le vendeur me regarde un peu surpris. Je lui dis qu'ils n'ont qu'à s'arranger ensemble mais qu'en tout état de cause ce sera sous kpote. Ils s'isolent derrières deux portant au fond du stand.  Bien que discrets, il est évident que ça baise au fond du stand ! L'autre vendeur a bien du mal à se concentrer sur les autres clients. Il fiat quand même en sorte qu'ils ne s'enfoncent pas trop et les devance quand ils veulent voir un article du fond. Nous l'aidons en bloquant l'autre allée. Quand le vendeur ne peut retenir son " enthousiasme " lorsqu'il jouit, PH et moi en noyons l'expression par une quinte de toux.
Lors du passage en caisse, Kamal me dira qu'il avait négocié sa rondelle contre 20% du blouson. Le vendeur me le confirme et m'assure que c'était pas volé bien qu'il ne lui ait pas appris grand-chose ! Trop content, Kamal garde son nouveau cuir sur le dos et nous rejoignons les autres.
Il se fait bousculer, moquer alors qu'il parade entre nous. Comme Cédric et Louis le trouvent génial, Eric me demande où je l'ai acheté et nous rebroussons chemin. Le vendeur qui nous voit revenir s'avance vers nous interrogatif. Eric pousse alors Cédric et Louis devant nous et lui demande le même blouson pour ces deux là. Après discussion, ils l'auront avec 10% de remise mais sans intermède sexuel !
Nous prenons quand même le temps de regarder les courses. L'ambiance est chaude même si elle est très différente de celle des 24h moto. Personne ne fait de remarque sur nos façons de nous tenir (correctes quand même : bras autour du cou ou dans les reins).
Pas pressés, nous trainons sur le circuit alors que la masse des spectateurs en part. Nous sommes attablés devant des bières quand nous sommes abordés par 4 mecs d'environ 20/25ans qui nous demandent si nous restons sur place ce soir encore. Réponse positive de Marc. On discute des courses puis d'où nous sommes. Eux sont de Bordeaux. Y'en a un pour nous demande comment on a fait pour rester aussi " frais ". Marc leur dis que nous avons loué un gîte à deux pas d'ici. Ils n'en avaient pas eu l'idée et le regrettent vu le confort limité du couchage sous tente ! Celui qui me semble le plus jeune nous demande si nous serions suffisamment cool pour leur permettre de se laver chez nous. Eric nous regarde tous avant de leur faire remarquer que s'ils n'ont pas peur de se faire violer, c'est tout à fait possible. Celui qui nous avait posé la question l'assure que vu la brochette de beaux mecs que nous faisons, ils seraient " cons " de ne pas profiter de ça aussi. Au moins ça le mérite d'être clair ! La conversation devient tout de suite plus " amicale " et, finalement, nous décidons de rentrer au gîte. Allez savoir pourquoi un tel empressement.
Avec PH je les accompagne à leur tente. Nous comprenons mieux. Deux petites tentes deux places entourées de 2 ZX10R de 2012 et 2 R1 de la même année. Ph rigole devant les motos et explique qu'ils ne pouvaient plus me plaire avec ces modèles là. Ils font vite leurs sacs. Je leur dis de démonter aussi leurs tentes à moins qu'ils ne veuillent vraiment passer une nuit de plus dans l'humidité. PH ajoute que nous leur ferons une petite place sur les 20m² de lits du gîte. Ils ne relèvent pas mais plient aussitôt le reste du matériel.
Ils nous suivent jusqu'à nos propres motos. Ils admirent les nouveaux modèles et je leur dis de nous suivre. 10 mn plus tard nous les béquillons au milieu des autres.
Ils sont quand même surpris par l'ambiance. Les combi sont toutes accrochées et tout le monde déambule en slip ou shorty et même jock pour Cédric et Kamal. Marc leur dit de se mettre à l'aise et PH et moi montrons l'exemple en quittant nos combis. Ils quittent leurs cuirs. Effectivement les douches ne seront pas du luxe. J'emmène un couple avec moi et PH l'autre jusqu'aux salles de bain. Je suis le premier à les voir à poil. Plus que corrects ! Musclés suffisamment même si moins que moi, peu poilu et bien entretenus (torses et aisselles rasés, couilles idem et pubis tondu). Ils sont ravis des installations et se font tout beaux, je fais de même.
Propres et changés nous rejoignons le séjour. Les mecs remercient Eric et Marc alors que nous attaquons l'apéro. Ce dernier leur demande, en nous montrant tous, si la variété des mecs leurs convient. Y'en a deux qui rougissent grave alors que les deux autres éclatent de rire.  L'apéro s'éternise quand Kamal et Cédric attaquent les deux plus " mâles " de nos invités. Faut dire que depuis quelque temps déjà, ça bandait dur dans les slips ! C'est le signal de départ pour la dernière touze du WE. Marc attrape le plus jeune de nos invités et l'invite à se pencher sur son cas ou plutôt sur sa bite. Nous n'avons pas fait le mauvais choix. Ils sont chauds comme la braise et il ne faut pas longtemps pour qu'ils se retrouvent à poil comme nous tous.
Je ne laisse pas passer mon tour et m'octroi d'autorité, avec PH, le jeune que j'avais accompagné à la douche. Sa langue se bat bien avec la mienne et il me laisse pousser mes doigts dans son cul. PH m'aide bien en lui faisant une pipe dont je connais personnellement l'efficacité ! Quand je sens une langue contre mes doigts, je jette un oeil. C'est Louis que nous a envoyé Franck. Mes doigts remontent sur ses pecs et alors que je joue avec, j'ai le plaisir de l'entendre gémir.
Quand Louis me dis qu'il lui semble prêt, PH m'encapuchonne et je me glisse derrière notre invité pour l'honoré comme il faut. Avec moins de circonvolutions, je l'encule grave ! Bon et même Très Bon ! Un anneau bien serré entre deux fesses musclées je ne connais rien de mieux. PH installe Louis sous notre invité et profite de son cul. J'explore les capacités de ce nouveau trou. Il me prend bien en entier (mais je ne fait que 20 aussi !). Sa muqueuse colle bien à ma bite et sa rondelle me comprime bien. J'aime surtout quand il la serre avant que je ressorte mon gland totalement. Il apprécie quand je force pour entrer de nouveau et laisse échapper des grognements significatifs. Rythme de croisière, mes mains ancrées sur ses hanches, je jette un coup d'oeil autour de nous. J'aperçois 3 autres regroupements, chacun autour d'un des autres invités. Les gémissements vont bon train et dénotent des enculades efficaces. Avec PH nous échangeons nos " culs ". Dans le mouvement, notre invité prend l'initiative de se mettre en 69 avec Louis, ce dernier tout content de se faire pomper à son tour. C'est en se regardant dans les yeux avec PH que nous jutons après une bonne série de pénétrations profondes et parfois brutales. En dessous de nous, je vois qu'ils se sont bien recouverts avec leurs spermes respectifs.
Nous nous décollons les uns des autres. Deux autres " amalgames " se sont déliés aussi. Il ne reste que celui d'Eric et Marc avec le deuxième " jeune " du quatuor. Ce dernier semble inquiet à l'idée de laisser l'énorme bite noire lui perforer l'anneau. Nous nous approchons tous. Son mec lui dit qu'il n'aura pas l'occasion de rencontrer souvent un matériel pareil et qu'il devrait en profiter. Cédric se place devant lui et se laisse monter par Eric pour lui prouver que c'est possible. Kamal s'insinue et lui mange la rondelle pour la préparer alors que Phil ouvre son flacon de poppers pour aider.
Eric sort de Cédric et se kpote. Le p'tit mec est poussé à sur le dos, les jambes à la verticale et son mec se charge de le gazer au poppers. Tous, autour, nous l'encourageons. Son mec lui parle à l'oreille et le détend alors qu'Eric le défonce lentement mais sûrement. L'enculé halète, snif et pleure en même temps. Mon enculé ouvre de grands yeux devant l'exploit de son copain. Je lui glisse de bien regarder car après dîner c'est sûr que ce sera son tour. Il me regarde interloqué. Je lui dis qu'à par Marc, tous les autres se le sont déjà pris dans le cul et que nous n'en sommes pas morts. En attendant, son pote commence à prendre son pied. Sous nos encouragements et surtout sous l'effet du glissement du gland d'Eric contre sa prostate, il explose littéralement et c'est un véritable geyser qui sort de sa queue. Chaque coup de rein d'Eric propulse le jet un peu plus haut. Il sort pour ajouter son sperme et le pauvre mec se retrouve recouvert de grandes traines blanches.
Bousculades sous les douches. Les 4 invités ne sont pas les derniers dans la mêlée. Nous retournons à poil dans le séjour pour chercher nos sous vêtements. Ils sont surpris de la complicité qui règne entre nous tous. Ils le sont aussi par le diner que samir et Ammed ont rapidement mis en place. Nous discutons de tout et de rien. Ils nous remercient encore pour l'ébergement. Ils sont tous les 4 étudiants en médecine à Bordeaux. Les deux plus âgés sont en en 6ème année alors que les deux plus jeunes finissent leur 2ème (ils n'ont que 19ans). Ils sont en coupe depuis deux ans seulement quand ils les avaient repérés/attrapés parmi les autres. Les jeunes nous disent que c'est grâce à eux (les plus vieux) qu'ils ont eu leur première année du premier coup. A bordeaux, ils vivent tous les 4 ensembles en colocation. L'un des plus vieux nous invite à venir les voir quand nous voudrons mais hors période d'exams. Marc leur dit que de toutes les manières c'est aussi le cas de tous les jeunes présents.
Ils sont vraiment sympas et avec PH nous sommes très partants pour les revoir. Marc nous dis que nous aurions qu'à trouver un gite sur le bassin d'Arcachon début juillet. Ça nous ferait une pause sur la route de l'Espagne.
Lors du couchage, nouvelle surprise pour nos invités quand ils voient la chambre " baisodrome " que nous avions organisé.
Je glisse à celui que j'avais bien défoncé qu'il allait maintenant tester les dimensions hors normes d'Eric. Ce sera chose faite, non sans difficultés, quelque une heure plus tard, avec les encouragements de tous les autres, dont son mec !
Le lundi matin, après avoir remis en état le gîte, nous roulons ensemble jusqu'à Angers où nos routes se séparent.
Jardinier
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ernestinee · 6 months
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Quand Félix est décédé, mon ficus lyrata a perdu une bonne partie de ses feuilles. C'est difficile de ne pas y voir de lien parce qu'il perdait généralement une ou deux feuilles par an, plutôt vers novembre et là il a perdu 15 feuilles en mai. Bon ce n'est sans doute pas lié mais ça reste bizarre. Quand Oreo et Muffin sont arrivés remettre un peu de vie dans la maison, il a recommencé à faire des feuilles. Ce ficus a plus de 20 ans, il m'a suivie partout, dans mon appart d'étudiante (omg bien plus de 20 ans du coup!), dans mon premier appart avec mon conjoint, et dans cette maison où nous sommes depuis 16 ans.
ET LÀ IL A TROIS BÉBÉS FEUILLES EN MÊME TEMPS PETIT CHOU 💚💚💚🌱😍
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fredomotophoto · 5 months
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Nous quittons le continent pour rejoindre l'Ile de Ouessant... Ouessant se trouve droit devant nous à environs 25km, à droite du nez de l'avion, c'est l'Aber Ildut que nous longeons.
We leave the continent to reach the Island of Ouessant… Ouessant is located straight ahead of us at around 25km, to the right of the nose of the plane, it is the Aber Ildut that we are following.
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l'Ile de Ouessant vu du ciel depuis l'ouest à bord du WT9 Dynamic. Le continent est au fond de la photo (quasiment invisible) C'est la première fois de ma vie que je voyais Ouessant d'aussi près. J'avais déjà vu Ouessant une fois auparavant mais de plus haut. Là, j'ai carrément posé les pieds dessus, ça a été une expérience amusante pour un café qui en aura valu la peine. J'avais envie d'y faire une photo sur cette Ile, en plus d'y boire un café. Ca fera l'objet d'une publication à venir.
the Island of Ouessant seen from the sky from the west aboard the WT9 Dynamic. The continent is in the background of the photo (almost invisible) It’s the first time in my life that I’ve seen Ouessant so close. I had seen Ouessant once before but from higher up. There, I actually set foot on it, it was a fun experience for a coffee that was worth it. I wanted to take a photo on this island, in addition to drinking coffee there. This will be the subject of a future publication.
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Posé à Ouessant... L'atterrissage s'est bien passé mais je n'en avais aucun doute, j'ai un excellent pilote et l'avion, un WT9 Dynamic, est vraiment très confortable. Je me rappel que pour repartir, le décollage à bien failli tourner court. Un gros goéland avait décidé de prendre la piste pour un terrain de jeu et de s'y poser devant nous... Mais une fois lancé pour décoller, il nous était difficile de faire une manœuvre d'évitement ou même de freiner pour attendre qu'il comprenne. Il a eu chaud mais nous avons pu continuer notre prise d'élan et décoller (non sans avoir eu chaud aussi)
Landed in Ouessant… The landing went well but I had no doubts, I have an excellent pilot and the plane, a WT9 Dynamic, is really very comfortable. I remember that to leave, the takeoff almost came to an end. A big gull had decided to take the track as a playground and land there in front of us… But once launched to take off, it was difficult for us to make an evasive maneuver or even brake to wait for him to understand. He was hot but we were able to continue our momentum and take off (not without being hot too)
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Photos par : Frédéric Poirier
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coovieilledentelle · 5 months
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La solitude ça ne m’impressionne pas du tout. Au contraire. J’aime bien ça, ça ressemble à la vie réelle. Quand l’instant est grave, important ou difficile, on est toujours seule, toujours.
Olivier de Kersauson
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swgzl · 4 months
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MIDNIGHT RAIN
Mon dernier projet que j'ai codé pour Midnight Rain et son staff bordeldedebo & ebm1994. Les images sont de ebm1994.
contexte :
8h48. Ses yeux se ferment alors qu’elle lutte contre le sommeil. Nuit difficile, rêves agités. Elle sait qu’elle n’arrivera pas poser son badge sur cette maudite machine à 9 heures pile, lorsqu’elle passera les portes de son travail. Son manager va lui faire remarquer. Elle va s’excuser, s’installer à son bureau, allumer son ordinateur, répondre aux demandes des clients. Tout ça, elle le fera en faisant semblant d’en avoir quelque chose à faire puis elle restera quelques minutes supplémentaires pour se faire bien voir. Enfin, elle décidera par rentrer chez elle, se posera devant la télévision à la recherche d’une série capable de lui faire oublier son quotidien en se demandant comment a-t-elle réussi à se coincer dans cette vie si monotone.
8h49. Il y a lui, coincé debout entre deux inconnu⸱e⸱s habillé⸱e⸱s en tailleurs, alors qu’il tente tant bien que mal de tenir debout grâce à la barre du métro. Il a promis à son petit-ami qu’il ne rentrera pas trop tard, avant 23h à tout casser. Et le voilà à se mélanger à la population aux regards bien trop sérieux, alors qu’il veut continuer à se déchaîner sur les musiques de Dua Lipa. Qu’est-ce qu’il ne les envie pas, celleux-là autour de lui. Pourtant, sa famille lui dit souvent qu’il devrait songer à se poser, trouver un emploi stable au lieu de vagabonder, de festoyer. Lui aussi, il aime parfois s’imaginer une autre vie, à la place des personnes, ces personnes en tailleurs, qui l’entourent dans ce métro. Est-ce qu’un jour il s’ennuiera, comme elleux dans sa vie ?
Mais les deux n’ont pas le temps d’y réfléchir alors que la trame de métro s’arrête brutalement. Il se retrouve projeter contre la barre, elle se cogne la tête contre la vitre. Une panne, paraît-il. Lui souffle, car il n’a pas besoin de cela maintenant. Elle, presque amusée, esquisse un sourire. Au moins, elle aura quelque chose d'inhabituel à raconter à ses collègues. Et si c’était le karma… ou le destin tout simplement ?
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