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#mais on est arrivé à l'opposé
pustoyy · 8 months
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claudehenrion · 5 months
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Où avons-nous perdu les pédales ? ( II ): L'islam(isme).
Résumons : La société française s'effondre sous nos yeux, dans un vaste dévoiement injustifiable de forces obscurantistes qui disent trouver dans l'assassinat à coups de couteau un nouveau moyen pour régler tout conflit-dispute-désaccord-regard de travers. La volonté de mensonge de nos gouvernants ne peut escamoter le fait qu'il y a en moyenne 120 attaques au couteau par jour, en France métropolitaine (dont 2 ou 3, au maximum, seront connues). Dans notre recherche des causes réelles de ce drame quotidien, nous avons proposé hier une première piste de réflexion. En voici d'autres.
(2)- Le refus de voir arriver la ''reine'' de batailles –cette ''Uhm el-Herb'' dont rêve l'islam. Il s'agit de lagrande bataille finale entre l'islam, d'un côté... et tout le reste de l'humanité, de l'autre. Au cours d'une longue vie au cours de laquelle mes chemins se sont très souvent croisés avec ceux qu'emprunte l'islam –et, je dois le dire, le plus souvent dans l'harmonie, j'en parle souvent ici-- je n'ai jamais pu comprendre comment toute une tranche de soi-disant ''penseurs'' occidentaux avait pu être aussi aveugle avec ou sur tout ce qui touche à l'islam. C'est bien simple : tout semble se passer comme si ce seul mot éteignait toute intelligence –dans la mesure où ils en avaient une-- chez les intellectuels de gôche.
Le lien entre le sujet que nous survolons depuis 48 heures et ma colère actuelle devant le néant officiel, trouve sa source dans la double volonté, qui n'est plus à démontrer, qu'ont nos gouvernants de supprimer la France en tant que ce qu'elle a été et est encore un peu, et de prétendre faire ''vivre ensemble'' des communautés dont tous les référentiels sont non seulement à l'opposé les uns des autres, mais incompatibles. Et nos nuls-au-pouvoir, qui frôlent sans cesse dangereusement (pour nous plutôt que pour eux, qui se sont fabriqué une fausse impunité), la non-assistance à ''pays en danger'', ont fait le choix de privilégier sans vergogne tout nouvel entrant (NDLR : qu'on pourrait qualifier un tout petit peu de ''envahisseur'', tout de même, non ? Quand c'est si proche de la réalité et même revendiqué clairement, ce n'est plus une insulte de le dire !) au détriment de l'ancien occupant... qui est contraint par un système infâme mais violent de laisser peu à peu sa place.
L'aboulie (du grec a-voulia = indécision) chronique et savamment entretenue qui caractérise les ados prolongés auxquels, de manière inexplicable, nous avons demandé de nous guider (vers des futurs dont ils rêvent mais dont pas un seul n'est souhaitable, ne serait-ce que ''pour de rire''. Les rêves des enfants sont les cauchemars des adultes !) les rend strictement incapables de choisir entre une version américaine des choses, le ''open bar'' où chacun prend ce qu'il veut, à son libre choix, et l'auberge espagnole où chacun amène ce qu'il veut, selon ses goûts. Ils ont inventé une version soi-disant française, le ''ni... ni...'' où chacun serait libre de faire et dire n'importe quoi.
C'est dans ce cadre-qui-n'en-est-pas-un que nous ''importons'' des familles, des villages, voire des tribus entières, dont les cultures, les mœurs, les us et coutumes, les croyances et les motivations sont à l'exact opposé des nôtres... qu'ils rejettent et détestent en bloc. De cette ''confrontation'', dans laquelle un seul des protagonistes a la violence absolue dans son référentiel culturel, et dans laquelle l'autre est non seulement le point d'aboutissement de 20 siècles de ''civilités'' mais où il est accusé par système d'avoir tort par principe, puisqu'il est blanc, pas musulman, et seul vrai ''propriétaire des lieux'' de toute éternité... un seul va finir sous les coups de couteau. Et c'est lui qui sera l'accusé, le coupable n'ayant droit qu'à des excuses... ou à un diagnostic psychédélique...
A leur arrivée, on n'impose aux envahisseurs déclarés (car ils le sont et reconnaissent l'être, sans limite et sans pudeur, avec le culot de celui qui, se sentant protégé, veut imposer à l'autre sa manière de vivre), aucune obligation et aucun engagement. Et même, bien au contraire, quelques esprits malfaisants, qui n'ont rien compris, leur racontent, comme si c'était vrai, que le seul fait qu'ils soient totalement et rigoureusement incompatibles avec tout ce que nous sommes, croyons, pensons, voulons, désirons et aimerions... serait (je cite) : ''un enrichissement pour la France''... ce qu'ils comprennent très vite puisque c'est faux, contrairement à tout le reste, qu'ils rejettent en bloc puisque c'est vrai. Allez être étonnés, ensuite, quand toutes ces folies tournent en eau de boudin, et qu'il ne reste plus que les yeux pour pleurer et des marches blanches stériles et inutiles, pour... aucun résultat autre que la poursuite d'une invasion qui n'est pas ''militaire'', qui ne dit pas son nom (Wokisme ordonne !), mais n'en est pas moins ''de substitution'', à terme !
Les vrais responsables, politicards ou journaleux ancrés à gauche sans plus même s'en rendre compte ni savoir pourquoi, lancent leurs habituels anathèmes menteurs, leurs faux amalgames et leurs récupérations à la gomme contre, en vrac, les réseaux sociaux, la police, et la droite, qui, pour eux, ne peut être que ''extrême''... (NDLR – Lorsque Marion Maréchal ou Eric Zemmour disent être ''contre les coups de couteaux'', c'est de la récupération. En revanche, lorsque la pauvre Maman du pauvre petit Shems ed-dîn est contrainte par des islamistes de dire le contraire exact de tout ce qu'elle a hurlé, dans son désespoir, c'est de la démocratie... et des juges indignes font semblant de croire à ces tissus de bobards ! Et lorsque le Papa du pauvre petit Matisse croit refuser ''la récupération'' au (faux) prétexte que ''tous les musulmans ne sont pas etc...'', il la favorise, au seul profit des assassins de son fils, le pauvre : attendez la vraie confrontation et vous compterez les ''qui... ne sont pas'' sur les doigts d'une seule main ! Mais ce lavage de cerveaux est un autre sujet, dramatique aussi).
(3)- Autres responsables cachés de notre détresse, devenant sans espoir : le monde tel qu'il évolue semble ne vouloir se déplacer, dans tous les domaines, que dans le sens du ''pire'' pour le futur de l'humanité... Un exemple : la très progressiste Ursula von der Leyen (NDLR : ''der Leyen'' pouvant se traduire par ''dans la soie'', Napoléon en aurait sans doute tiré quelque savoureuse pique, comme celle décochée à Talleyrand : ''de... dans un bas de soie'' !), tient le courageux Victor Orban sous le coup d'une condamnation permanente, au prétexte qu'il a compris, lui, que la folie du moment, qui priorise et encourage le changement de sexe des ados, ne peut mener qu'à des tsunamis de suicides, de catastrophes et de drames irréversibles.
Les obscénités dites ''soclétales'' qui sont référencées, dans la doxa officielle, comme étant ''les valeurs de l'Europe'' (Quelle honte ! Pauvre Europe !), ne sont qu'un amas insensé de délires, tous mortels, qui ne visent, en gros, qu'à la promotion déjantée d'expérimentations vouées à l'échec, de perversions ou d'anomalies sexuelles, de pathologies mortelles pour l'avenir de ''nos enfants'' et de comportements répréhensibles au jour-le-jour et sans espoir quel qu'il soit, à terme. Ce sont, malheureusement, les dernières portes qui restent entr'ouvertes... alors que leur seule existence est largement plus dommageable que si elles étaient restées oubliées !
Il en va de même dans tous les domaines, mais il est interdit de le dire : les faux démocrates au pouvoir ont vite fait de transformer leurs contradicteurs en délinquants idéologiques et à les mettre au ban de leur lamentable univers, et je dois donc arrêter de dire la vérité, par crainte des représailles (NDLR... que j'ai fréquentées de près : ma fille Alexandra a eu le tort impardonnable d'avoir eu raison sur absolument tout ce qu'elle avait démontré scientifiquement. Il a fallu sa force de caractère pour transformer leur haine venimeuse en déroute piteuse...).
Mais malgré la violence que met ce troupeau de menteurs malfaisants pour tenter de faire croire à ses mensonges, chacun est encore libre de laisser filer sa pensée vers les drames infinis qui sont les seules portes qui nous restent encore ouvertes vers des futurs qui, tant qu'ils seront au pouvoir, n'en sont plus et ne peuvent en être... (à suivre).
H-Cl.
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bresilenfrancais · 29 days
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LE BRÉSIL A DEUX PROBLÈMES ET L'UN EST PIRE
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En 2014, la population brésilienne était dans une apathie totale face à la politique. Cependant, elle se réveille de sa longue hibernation apolitique, motivée par l'échec et la corruption du gouvernement du parti de gauche au pouvoir.
L'avènement des applications de médias sociaux comme Twitter, Facebook et WhatsApp a permis au citoyen moyen de s'informer sur le contenu politique, de diffuser de fausses nouvelles et d'organiser des manifestations contre le parti de gauche au pouvoir.
Après des décennies de gauche au pouvoir, la classe moyenne brésilienne a montré qu'elle en avait assez des politiques socialistes et de leurs conséquences économiques. C'était l'occasion idéale pour la naissance d'une nouvelle vague conservatrice victorieuse.
Malheureusement, ce nouveau mouvement conservateur est né avec certaines caractéristiques qui ont entraîné dans le futur de terribles conséquences : le sectarisme, l'amour des théories du complot et le culte de la personnalité.
En 2016, après de nombreuses manifestations avec des millions de personnes dans les rues, le peuple a pu destituer la présidente de gauche Dilma Roussef, et une fenêtre s'est ouverte vers une certaine élection conservatrice lors des élections présidentielles de 2018.
En 2018, cette droite très radicalisée a choisi comme candidat l’apologiste de la dictature et de la torture, Jair Bolsonaro. Sans expérience exécutive, Bolsonaro était le candidat le plus anti-gauche, et c’était ce qui importait le plus à ses électeurs qui détestaient la gauche.
Gagner des élections en disant simplement ce que les gens veulent, c'est une chose. Gouverner un pays complexe et continental comme le Brésil et obtenir de bons résultats, c'est une autre chose, très différente. Et Bolsonaro était l'opposé de ce dont le Brésil avait besoin.
Bolsonaro, élu avec plus de 10 millions de voix d'avance, est devenu l'homme politique le plus aimé de l'histoire du Brésil uniquement parce qu'il était le conservateur le plus radical, malgré tous ses défauts.
Lorsque la crise du Covid est arrivée sur le sol brésilien, c'était l'occasion idéale pour Bolsonaro de faire preuve de leadership, mais c'est au moment où le Brésil avait le plus besoin de leadership que Bolsonaro a montré à quel point il pouvait être mauvais et fou.
Au début, Bolsonaro refusait de croire à l’existence du Covid. Plus tard, il a déclaré que ce n’était pas si dangereux. Lorsque les gens ont commencé à mourir, il a déclaré qu’ils mouraient pour d’autres raisons.
Alors que les Brésiliens mouraient, Bolsonaro ne faisait preuve d'aucune empathie et plaisantait même sur la situation. Pour lui, les gens doivent continuer à travailler et les plus forts survivront tandis que les plus faibles périront, comme dans la nature.
Avant la pandémie de Covid-19, la popularité de Bolsonaro était énorme. En adoptant des politiques négationnistes et anti-vaccinales qui ont causé des décès, une partie de la classe moyenne, les femmes blanches instruites, s'est éloignée de son mouvement.
Bolsonaro avait deux problèmes à gérer. L’un était le Congrès, l’autre la Cour suprême. Il pouvait utiliser l’argent du budget pour acheter les consciences du Congrès. Mais il ne pouvait pas faire la même chose avec la Cour suprême.
Les militants de Bolsonaro ont commencé à intimider les juges de la Cour suprême pour les amener à se ranger du côté de Bolsonaro. Et cet acte a poussé la Cour suprême à contre-attaquer.
Sous la direction du juge Alexandre de Moraes, la Cour suprême a commencé à persécuter certains partisans de Bolsonaro, qui sont devenus prisonniers politiques alors qu'il était encore au pouvoir.
Il était très clair que Bolsonaro avait choisi un combat qu'il ne pouvait pas gagner contre Alexandre de Moraes, qui était capable de prendre n'importe quelle décision contraire à la loi pour montrer sa force.
Bolsonaro a perdu les élections et Alexandre de Moraes peut désormais le condamner à une peine de prison pour ses nombreux crimes. Le problème est qu'Alexandre est devenu trop puissant et censure trop de gens.
En ordonnant la censure des partisans de Bolsonaro sur Twitter, Elon Musk, défenseur de la liberté d’expression, a refusé d’obéir aux impositions autoritaires d’Alexandre. En représailles, Alexandre a ordonné la fin des opérations de Twitter au Brésil.
En conclusion, un débat fait actuellement rage au Brésil. Les multinationales peuvent-elles refuser d’obéir aux décisions des gouvernements souverains en invoquant la liberté d’expression comme justification ?
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lauragerlain77 · 6 months
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Le plan à 4 du métro
 Le plan à 4 du métro
(100% histoire vraie)
Je viens vous raconter une histoire totalement rocambolesque qui m'est arrivée il y a environ 13 ans, alors que je passais encore beaucoup de temps dans le métro parisien.
J'avais pour habitude de traîner deux fois par semaine dans un bar qui s'appelle le Pop In, dans le 11ème. 
Des groupes venaient jouer quasiment tous les soirs, et j'y ai découvert pas mal de pépites.
Là bas, j'y ai aussi baisé, dans la salle de concert, en plein show, quand tous les regards étaient tournés vers la scène. Mais ça, c'est une autre histoire...
Je me rendais donc là bas, nous étions en plein hiver (décidément j'adore l'hiver pour faire des rencontres!) et j'étais affublée d'un de mes fameux bonnets aplatisseur de cheveux (laissez tomber, truc de fille). Mais pourquoi je parle de ça me direz vous? 
Je regardais dans le vague au travers de la fenêtre de la rame, rêvassant à je ne sais quelle partie de baise à venir. Oui parce que mes motivations étaient claires: pourquoi je traînais seule dans un bar si ce n'était pour me faire baiser...?
Je n'ai pas eu besoin d'aller jusque là ce soir là ...
Sorti de nulle part, un type je dois dire assez original s'assit en face de moi et me sortit une des disquettes les plus drôles que j'ai jamais entendu:
"Salut! J'ai trente secondes pour te dire que je te trouve magnifique et que la vie est courte et que j'adore ton sourire! Je descends là et on ne se reverra sans doute jamais"
Comme il me plaisait et que son approche était hyper directe comme j'aime, je lui ai bien sur donné mon numéro en lui disant que je me rendais au Pop In.
Par sms, il me dit que ce n'était pas son coin, que c'était dommage.
Le temps de commander un verre là bas et le voila qui débarquait! Monsieur était joueur visiblement...
La première chose qu'il me dit était que j'étais beaucoup plus belle sans mon bonnet! 
J'ai beaucoup ri, sa remarque était tellement naturelle!
Nous prenions un verre à une table et je sentais déjà ses yeux me déshabiller.
Il était grand, brun, avec une barbe, et semblait tout froissé, tout abimé. J'appris plus tard qu'il était totalement défoncé, mais ça c'est encore une autre histoire.
L'excitation était montée très rapidement. Ce mec avait annulé sa soirée pour me rejoindre dans ce bar à l'opposé de là où il était censé aller; il avait déjà gagné.
Je n'ai jamais su son nom. Ou peut-être que si. Mais je l'ai oublié. Pourtant nous nous sommes revus après ça. Plusieurs fois. Mais il restera le mec du métro.
Parce que, bien sûr, il vivait près de chez moi! 
Mais nous ne sommes pas allés chez lui ce soir là. Il ne m'emmena pas très loin, chez deux amis à lui.
Mes souvenirs sont plutôt flous, comme un grand brouillard. J'avais bu plus que de raison.
J'étais très excitée, et je me foutais de savoir ce que je faisais là, chez ces types.
Je voulais juste écarter les cuisses et prendre du plaisir.
Assis tous les quatre sur un grand canapé, tout le monde avait l'air bien défoncé, qu'on se le dise.
Cette soirée allait partir totalement en couilles jusqu'au bout!
Le type du métro me collait comme pas possible, à m'embrasser dans le cou, à mettre ses mains partout sur moi.
Nous avons alors commencé à nous embrasser passionnément. Je grimpais sur lui. 
Comme à mon habitude, je ne portais rien sous ma robe. Je me frottais contre son sexe en érection pendant qu'il me caressait les fesses.
La température montant très vite, il voulu qu'on se mette à part.
Cétait sans compter sur mon mal de cœur dû à l'excès l'alcool: j'eus besoin de m'allonger.
J'avais chaud, j'avais la tête qui tournait. Il m'allongea sur un autre canapé (Oui. C'était la maison des canapés là bas).
Le haut de ma robe remontait pour laisser entrevoir une certaine partie de mon anatomie.
Les deux autres types que je ne saurais nommés s'approchèrent alors et s'assirent au niveau de mon bassin.
Ils passaient leur temps à s'échanger des regards affreusement lubriques.
L'un d'eux remonta un peu plus ma robe et se mit à me caresser très doucement.
D'abord la cuisse. Puis il remonta lentement et passa un doigt entre mes lèvres.
"Regarde comme elle est belle!" dit-il à son ami, qui avait déjà sorti son sexe de son pantalon.
Ils se léchaient les lèvres comme des animaux assoiffés, tout en me caressant chacun leur tour.
Ils prirent chacun une de mes jambes pour la mettre sur eux et pour m'écarter au maximum.
Ils passèrent tour à tour leurs doigts sur moi, puis en moi. Je n'en pouvais plus, j'avais trop de désir et je ne savais pas quoi en faire.
Le mec du métro leur murmura un truc à l'oreille, et ils se mirent alors à se masturber en me regardant. J'étais là, je ne faisais rien si ce n'est comater à moitié les cuisses écartées, et eux se branlaient en me regardant.
Ils s'étaient agenouillés entre mes jambes et aimaient chacun leur tour enfoncer leurs doigts en moi et écarter mes lèvres. Ils me regardaient gigoter dans tous les sens, ça leur suffisait. 
Tour à tour, ils se vidèrent sur mon bas ventre très rapidement. Quelle excitation! J'adorais ça
 Le mec du métro, visiblement heurté, s'interposa et m'attrapa violemment par le bras pour me lever de là. 
Dans la salle de bains, il me sortit un truc du genre "non, il n'y a que moi qui peut t'avoir"
Il me pencha sur le rebord du lavabo et remonta ma robe pour admirer mes fesses qu'il se mit à caresser puis à embrasser.
Il déboutonna son pantalon et me retourna pour que je le suce. Je m'exécutai...
Très vite, il me remonta à son niveau et me souleva contre le lavabo. Il s'enfonça en moi presque immédiatement.
Il était dur. Nous étions très excités tous les deux. J'aimais être un tel objet de désir que trois hommes bandaient pour moi en même temps.
Ses gestes étaient frénétiques, trop excité par ce qu'il venait de voir, il jouit en quelques mouvements.
Et je m'écroulais épuisée, entre fatigue, alcool et excitation.
Plus tard, ils me ramenèrent tous les trois à la gare de Villiers. Sur le chemin, le type du métro n'avait de cesse de garder sa main sur ma cuisse. Comme pour dire, celle là elle est à moi.
Arrivés à destination, nous sortîmes tous de la voiture, nous embrassant langoureusement pour nous dire aurevoir. Puis les deux autres types voulurent prendre mon numéro.
La soirée partit en bagarre générale quand le type du métro refusa que je le leur donne.
Coups de poing et engueulade totalement ridicules pour une affaire encore plus ridicule.
Heureusement, ils se calmèrent rapidement.
Je ne revis jamais ces deux types là.
Par contre, le type du métro et moi avons commencé à développer une relation un peu particulière...
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lpvez6 · 6 months
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Trop tard: la locomotive de l'IA fonce déjà vers un avenir gris
Pause dans la recherche ou pas, rien ne peut dorénavant arrêter la machine de l'IA. Elle est poussée par le marché et roule à une vitesse infernale vers...mais vers où au juste?
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D'aucuns la voient comme une menace existentielle pour l'humanité, Elon Musk le premier. D'autres la considèrent comme une merveille avec un potentiel illimité pour la sauver, cette même humanité. Qui dit vrai? Des nuances sont-elles possibles? Probablement.
Nous n'en sommes pas à notre première technologie émergente qui suscite les passions, craintes et autres questionnements. Rappelez-vous de l'imprimerie (personnellement, je ne m'en rappelle pas, à vrai dire), du premier Macintosh (il nous disait "Hello"!), de la bombe nucléaire. L'apocalypse nous guette depuis longtemps. Aujourd'hui ne fait pas exception.
Nous pouvons bien parler du remplacement des humains par des machines conscientes ou de l'omniprésence d'alliés robotisés qui faciliteront nos vies comme jamais. La réalité, enfin celle que j'entrevois, est que le meilleur et le pire ressortiront de l'IA, en fonction de qui l'utilisera et des buts recherchés. De nobles intentions suffisent rarement à prévenir les abus, par exemple en matière de développement d'armes. Parlez-en à Oppenheimer! À l'opposé, on peut facilement voir poindre à l'horizon des bénéfices ahurissants pour l'humain, tels que l'accès rapide à des vaccins ou à des remèdes pour une panoplie de maladies.
Faudrait-il peut-être s'arrêter un instant et réfléchir à l'essor de l'IA dans nos vies et, surtout, à la manière d'encadrer son développement? Une belle idée, mise de l'avant par des centaines d'experts, parmi lesquels Musk et Yoshua Bengio, l'un des pionniers dans le domaine. Ce dernier a même déclaré, afin de justifier une pause de six mois dans la recherche : « je ne crois pas que la société soit prête à faire face à cette puissance » (cité dans La Presse, 2023).
Certes, le besoin de réfléchir aux implications de l'IA est criant. D'un point de vue éthique, s'attarder à ses ramifications dans la vie humaine devrait être la base pour quiconque se questionne sur le genre de société que nous souhaitons bâtir pour les générations futures. Il en va de même pour à peu près toutes les technologies et systèmes que nous mettons en place. Malheureusement, cette réflexion est toujours reléguée au second plan, et elle demeurera un vœu pieux en ce qui concerne l'IA également, à mon avis.
Les forces du marché sont trop bien enracinées pour permettre un relâchement de ce côté. Il y a trop d'argent à faire, et trop d'entreprises assoiffées par cette manne que représente l'IA. Que certains gros joueurs acceptent une trêve ne fera que motiver davantage d'autres développeurs à se lancer dans l'aventure. Ainsi fonctionne la quête pour les brevets et les rares places disponibles aux premiers arrivés.
Que les gouvernements réagissent en légiférant sur des balises à adopter est souhaitable. Mais il est déjà trop tard pour freiner la locomotive de l'IA. Elle fonce à une vitesse exponentielle, vers un avenir ni noir ni blanc, mais fait de gris. Croisons-nous maintenant les doigts pour éviter les pires dérapes dont seul l'être humain est capable.
Sources:
Karim Benessaieh, « Musk, Bengio et un millier d'experts demandent une pause de six mois », La Presse, 29 mars 2023.
Big Think, « Is AI a species-level threat to humanity? ».
Vicky Desjardins, « La Leçon D'Oppenheimer: La Route Vers L'enfer Est Pavée De Bonnes Intentions », Systèmes de Sécurité Hitachi, 4 août 2023.
#ia
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marie-bradshaw · 11 months
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Orange c'est orange
Chers lecteurs,
Comme à mon habitude, je vous écris depuis le coeur de la tempête.
Tout le monde se souvient de Pierre, cet ex/ami/sauveteur en tout genre?
Alors que beaucoup criaient au manipulateur, je m'aperçois que vous aviez raison.
Défaut de fabrication de ma part peut-être, ou tendance à ne vouloir voir que le bon en l'être humain, je ne peux jamais penser que quelqu'un avec qui vous avez ce genre de lien peut en jouer volontairement.
Alors voici le dernier épisode de la saga qui mettra un point final à cette mascarade que j'étais visiblement la seule à ne pas voir pour ce qu'elle était.
Lundi midi, une fois arrivée à Toulouse pour quelques jours, il me propose une bière chez lui pour voir l'avancement de ses travaux.
"Je te reconfirme, pas sûre que j'ai fini ce que je dois faire" lui répondis-je
"Ok, je prévois de la tisane au cas où" rit-il.
Et je ne sais pas s'il parle de vraie tisane ou d'une bouteille de Pessac-Leognan, mon préféré, tellement on a eu l'occasion de rire du sujet.
"Ok good j'arrive" lui dis-je à 19h, sans pression, notre relation ayant enfin basculé sur une friendzone plutôt tranquille quoi qu'occasionnellement perturbante.
Notamment quand il cesse de me parler pendant 15 jours parce que j'ai refusé qu'il vienne me chercher à la clinique après une deuxième opération, en sachant qu'il était déjà venu à la première, et que cette position m'avait mis très mal à l'aise.
C'est vrai quoi, dans les moments les plus vulnérables de ta vie, qui aurait envie que la dernière personne pour qui tu as eu de vrais sentiments mais avec qui ça n'a pas marché se place toujours en "sauveur/se"?
Personne.
Mais il l'a fait. Continuellement.
A un point où non, je ne parvenais pas à m'ouvrir à qui que ce soit d'autre.
En crise de panique sur mon avenir, sur X ou Y chose, c'était la première personne que je pensais à appeler.
Ses mots, ses gestes, tout me laissait penser qu'il me connaissait "par coeur", qu'on se comprenait naturellement, sans avoir besoin de parler.
Et je me plantais. Lourdement.
Revenons donc à nos moutons.
Lundi 20h30, je gare Bobby, ma Harley, dans son allée et je toque à sa porte.
Quand il m'ouvre, il fait bon, presque chaud, et il me sourit en me disant qu'il a rallumé le chauffage spécialement pour moi parce qu'il sait que j'ai toujours froid.
Sympa sachant que c'est le genre de mec à vivre les fenêtres ouvertes en plein mois de décembre.
Mon regard se pose sur le plan de travail de la cuisine pendant qu'il me serre une Corona, ma bière préférée.
Sous mes yeux, je vois tout un chantier en cours, des petits toasts de Houmous, de guacamole, avec des petites tomates parsemées dessus.
Derrière, des aubergines au four.
Bref tout ce que j'aime, et l'opposé de sa diète habituelle.
"Mais t'as préparé tout ça sans savoir si j'allais venir?" je lui demande, étonnée
"Oui, je suis parti faire des courses toute à l'heure" me répond-il en me regardant droit dans les yeux
AH.
"Bon anniversaire Marie" rajoute-t-il en me prenant dans ses bras deux bonnes minutes.
Il me donne l'impression d'être son abri dans la tempête, justement.
Son lieu de paix.
Comme si de me serrer contre lui, d'un coup de baguette magique, ça allait tout guérir, tout solutionner.
Ok, déjà là me direz-vous, la frontière de la friendzone est bien bien borderline.
C'est pas fini.
Comme d'habitude, on se chamaille, on se chambre, on rit à gorges déployées de bêtises.
Je lui raconte ma soirée festival techno épouvantable de samedi, et il me dit "viens au Hellfest cette année, ça c'est notre ambiance".
On parle festivals, de mon expérience du Sziguet, et il me montre ses photos du Hellfest l'an dernier avec sa bande de gais lurons.
Jusque là ok, sauf qu'il me les montre en se collant à moi, qui suis assise sur la chaise haute de sa cuisine avec ma bière à la main.
Il est tellement près qu'on n'aurait pas pu faire passer de feuille de papier entre nous deux.
Je lui tapote le dos, et en même temps je m'interdis tout geste de vraie tendresse, "been there, done that".
On échange sur le dernier Expendables, on chahute, je ne sais plus ce qu'il me dit mais il se moque de ma capacité à me blesser sans rien faire avec un sourire en coin, et ça part en "bagarre" qui me fait atterrir sur son dos.
"Tu peux dire merci, je suis un koala plus léger de 10KG maintenant" lui dis-je en riant, agrippée à son cou.
Il me maintient en place, veille à ce que je ne glisse pas en calant ma jambe contre son flan, et enfourne les aubergines en même temps, avant de me reposer délicatement au sol.
Bon ça, à la limite, je le fais régulièrement avec mes meilleurs potes mecs sans qu'il y ait la moindre ambiguïté.
C'est mon côté "garçon manqué".
Mais ça demande quand même une certaine confiance et proximité.
"On se fait un film en mangeant?" je lui demande, épuisée de ma journée.
"Allez feu" me répond-t-il en m'installant sur le canapé avec un énorme plaid (ma passion les plaids).
Je n'ai pas très faim, en revanche, et je me dirige vers le frigo pour nous attraper deux autres bières.
"NOOOON, pas le frigo" crie-t-il.
AH *bis*
Dans ma tête, il a positionné quelque chose qui risque d'exploser par terre en ouvrant la porte, et connaissant ma délicatesse légendaire, il préfère s'en charger.
"Okok, fais-donc"
Il me tend les Corona, que je décapsule avec une invention géniale, un marteau de Thor aimanté et équipé d'un décapsuleur.
Je suis ébahie par ce truc et il me dit "c'est un petit artisan qui les fait, si tu l'aimes je t'en offrirai un pour ton anniversaire" me propose-t-il
"Trop cool merci!" lui répondis-je
C'est là que ça se gâte.
Posés là sous ce plaid incroyable, il m'ouvre ses bras et me sert fort contre lui, chimiquement parlant, ce genre d'étreinte déclenche la libération de plusieurs hormones qui font ralentir notre système nerveux et nous apaise.
A la façon dont il positionne ses bras autour de moi, le plus naturellement du monde, il me dit :"tout va bien se passer, je suis là, tu ne crains rien, tu peux te détendre" sans avoir besoin d'ouvrir la bouche.
Je me sens tellement détendue que je manque de m'endormir une ou deux fois.
D'un coup il se relève pour aller chercher la suite du repas, et je râle qu'il ait pété cette bulle qui paraissait intemporelle.
"Surpriseeee" s'écrit-il en ramenant deux tartelettes à la framboise, healthy jusqu'au bout, dont une abritant une bougie pour moi.
"Encore bon anniversaire" me dit-il tout content que je n'ai pas grillé ce qu'il cachait au frigo, en allumant ma bougie.
"Ok je fais un voeux dans ce cas, mais vraiment fallait pas, ça me touche que t'ai préparé tout ça pour moi alors que j'étais même pas sûre de passer" lui dis-je en fermant les yeux avant de souffler dessus, aussi concentrée qu'on puisse l'être.
"J'ai froid" je rajoute, morte de fatigue.
"Ah non j'ai rallumé le chauffage spécialement pour toi, t'as pas le droit d'avoir froid!" rit-il
Qui fait ça? Qui met autant d'attention pour quelqu'un pour qui on n'a pas de sentiments?
Réponse: personne.
Il me reprend dans ses bras pour me réchauffer et à ce moment précis, je ne me pose pas plus de questions.
C'est là que son téléphone sonne et qu'un coeur s'affiche à l'écran, il monte rapidement prendre ce coup de fil cinq minutes, et je me dis que ça doit être son fils en vacances avec sa mère, mais en même temps ça pourrait très bien être quelqu'un d'autre.
Quelqu'un qui ne serait pas sa cousine si vous me suivez bien.
En soit, on est amis, on ne se doit rien, mais le niveau d'attention qu'il déploie systématiquement pour moi, ses gestes, ses mots, ses regards, je n'imagine pas qu'on puisse faire ça à son "ex, même si notre idylle a duré à peu près aussi longtemps que cette banane qui traîne chez toi, en étant engagé ailleurs.
Ce serait trop malsain, trop manipulateur.
Mon estomac me dit "attention", et je reprends mes distances avant de filer en vitesse à la fin du film.
Il a senti le froid, mais décide de tout de même me reprendre dans ses bras pour me souhaiter une bonne nuit, et je remercie le ciel d'avoir un très épais manteau de moto avec toutes les protections nécessaires, qui auront servi pour la première fois ce soir là.
Sur la route, j'ai un sentiment étrange qui ne me lâche pas, comme après un rush de sucreries, une redescente assez violente.
Je me repasse le fil de la soirée en faisant vrombir mon moteur, et j'en arrive à la conclusion, qu'encore une fois, non ce n'était pas purement amical, et qu'il fait tout pour garder sa place de numéro 1.
"Pas cool" je songe, mais encore ici, je ne peux pas imaginer qu'il le fasse "exprès".
Alors mercredi, au déjeuner en ville prévu initialement depuis un moment, je prends mon courage à deux mains après lui avoir fait la surprise de lui ramener deux stylos Halloween à coups de poings pour qu'il s'amuse autant que moi avec son fils, et j'aborde le sujet:
"Merci pour tout ce que tu as fait pour moi sur cette soirée, c'était vraiment adorable, et ça me touche..." entamais-je
"C'est normal" me dit-il en souriant
"Mais... il faut que tu arrêtes de faire ce genre de choses." continuais-je en le voyant se décomposer petit à petit
"C'est trop. Ca sort du cadre de l'amitié. Je ne veux pas te perdre, mais comment veux-tu, même si ma vie sociale est à zéro en ce moment que je laisse sa chance à quelqu'un qui aurait envie d'apprendre à me connaître, quand tu es aussi présent à côté" je baisse les yeux un instant en lui déballant ma tirade, soulagée
"Tu as raison. Quand tu es partie lundi j'étais en vrac. Et oui, j'ai des sentiments pour toi. Non amicaux. Mais je pense que tu es trop bien pour moi, et nos situations respectives en ce moment font que c'est compliqué, je ne me vois pas te demander de m'attendre, et j'ai peur que tu vois mon côté Grizzly, que tu t'enfuis encore et que ça me tue" me répond-il, les larmes aux yeux.
L'émotion est palpable.
Je ne rêvais pas.
Tout ce temps passé à me demander comment quelqu'un pouvait faire/dire tout ça à quelqu'un d'autre sans rien éprouver, j'avais raison.
Et je ne sais pas ce qui est le pire.
Avoir raison, ou la suite de cette conversation.
"Mais... mais... pourquoi me dire ça maintenant quand je suis enfin en paix avec notre amitié? Et ce coup de fil, je pense que c'était ton fils, mais tu te rends compte de ce que ça m'a fait? De la brutalité du rappel à la réalité de cet appel, que oui, la soirée était parfaite, qu'on peut difficilement en demander plus dans la vie, ce genre de moments de joie et de quiétude avec quelqu'un qui nous voit et qui nous comprend dans notre globalité, mais, ça pourrait très bien ne pas l'être et que ça doit se passer comme ça. Toi et moi avec quelqu'un d'autre" lui dis-je
"Ce n'était pas mon fils" répond-il d'un ton penaud, qui voulait absolument tout dire
Je n'en croyais pas mes oreilles.
Organiser une soirée aux petits oignons pour son ex/amie proche afin de tout faire pour lui montrer toute l'attention qu'on lui porte, tout en étant engagé dans une relation suffisamment longue pour qu'un emoji coeur soit apposé à côté d'un prénom.
Je n'ai pratiquement plus décroché un mot du repas.
"Tu ne dis rien, je suis désolé d'avoir passé la moitié du repas sur mon telephone pour prendre mes places pour le Hellfest" dit-il, rouge de honte.
Je ne répondis pas, tout en le regardant fixement, abasourdie, et furieuse.
Une colère froide, qui vous trancherait n'importe quoi en deux deux.
"Vraiment je suis désolé, je ne pouvais pas prévoir que ca tomberait pendant notre déjeuner, dis quelque chose s'il te plait" rajouta-t-il.
"A quoi cela servirait-il de mettre des mots là-dessus?" lui répondis-je
"Mais justement c'est pire quand tu ne dis rien, je vois ta tête" continue-t-il, toujours persuadé que c'est cette action précise qui me met hors de moi.
"Ce n'est pas de cela qu'il s'agit" lui rétorquais-je d'un ton cinglant.
"Je vois..." dit-il en baissant les yeux.
A ce moment précis, c'est comme si j'avais mis une porte blindée de 30cm d'épaisseur entre nous.
Le genre incassable qu'on voit dans les films de cambriolage.
Atterrée, j'ai du mal à réaliser que pendant tout ce temps, ses actions aient pu être"calculées".
Qu'il cultivait les graines de l'attachement et du doute de mon côté, à toujours se placer comme mon sauveur quand j'étais le plus vulnérable, tout en construisant quelque chose avec quelqu'un.
J'ai encore un peu de mal à réaliser que j'avais raison depuis le départ, et qu'il ait pu me manquer de respect ainsi qu'à sa "moitié" à ce point là.
Pompom sur la Garonne comme on dit chez nous, la semi-déclaration du déjeuner suivi du "je ne peux pas te demander de m'attendre", qui atteint un rare niveau d'indécence et de viol de tout sens moral envers la pauvre fille qui compose la deuxième moitié de sa relation.
Comme si ça n'avait pas d'importance, un détail insignifiant, un accessoire.
Je peux vous dire qu'à sa place, même si les deux restent horribles et déclencheraient de ma part une rupture immédiate, je préfèrerais de loin que mon mec ait légèrement dérapé en soirée totalement alcoolisé, plutôt qu'il ait mis autant d'effort, consciemment, pour son "ex".
Sans parler de cet aveu de sentiments, on ne peut plus déplacé dans ce contexte.
Mon café, je te l'ai avalé cul-sec, à m'en brûler la langue, sautant de ma chaise pour aller payer l'addition.
Attristé, mais pas surpris, il me suivit de près et vint se placer devant moi pour régler.
"Hors de question" lui dis-je, du même ton tranchant et déterminé.
Tendant ma carte bleue à l'accueil, ce dernier geste symbolique de mon indépendance, voulait dire "regarde-moi bien sous toutes les coutures tant que tu le peux, je n'ai pas besoin de toi, et tu n'es pas prêt de reposer les yeux sur moi".
En sortant je me suis éloignée si rapidement que j'aurais pu en tomber, maladroite que je suis.
Je ne supportais plus de le regarder, lui que j'avais mis sur un pied d'estale, lui qui me faisait toujours me sentir chez moi, aimée, comprise, entendue, n'avait pas plus de valeurs morales que Sadam Hussein, et je venais de le réaliser.
Parce que pour se servir à ce point des gens, de leurs sentiments, on ne peut être que vide à l'intérieur, dépourvu de conscience.
Dans la rue, à quelques mètres de chez moi, au téléphone avec l'une de mes meilleures amies, aussi choquée que je l'étais, j'ai fondu en larmes.
Pas de le perdre, mais de savoir qu'en parfaite connaissance de cause, en ayant compris qui j'étais, ce que j'avais vécu, la difficulté avec laquelle je laisse approcher quelqu'un d'aussi près, mes valeurs, ma bienveillance, et le soi-disant attachement éprouvé de sa part, il avait pu sans aucune difficulté me manipuler des mois durant sous couvert d'une âme torturée.
Je n'ai toujours pas les mots justes pour décrire ce genre de comportement, abjecte.
Je me sens violée dans mon intimité, dépouillée de quelque chose de précieux, vidée, mise à sac.
Par un dernier message, je vide mon sac et lui dis clairement que ce qu'il a fait est impardonnable, que je ne l'aurais pas fait à mon pire ennemi, et que oui, effectivement, je suis trop bien pour lui.
Pour une seule raison: je ne ferais jamais de mal à quelqu'un intentionnellement, je prendrais d'abord en compte les sentiments des autres avant les miens dans ce genre de situation pour faire ce qui est "juste".
Dégoûtée, je vois qu'il est de nouveau parti voir mes story (on ne se suit pas sur Instagram), balance le morceau à Drew, mon frère de coeur.
"Donnes-moi son numéro" dit-il
Quelques instants plus tard, il me rappelle: "Je viens de lui laisser un message vocal, il ne s'approchera plus jamais de toi"
"Merci mec" lui répondis-je, le souffle coupé, avant de le bloquer de tout ce qui était bloquable.
La leçon de cette histoire?
Toujours se fier à son instinct.
Et si quelqu'un donne tous le signes du orange, ce n'est pas rouge, ce n'est pas vert, c'est bien orange. Même s'il vous affirme le contraire.
Est-ce que ça va me faire reculer dans ma coquille?
Non.
Ce serait lui donner raison.
Il obtiendrait ce qu'il veut, c'est à dire que je reste loin de quelqu'un qui pourrait me donner ce que je mérite, et recevoir tout ce que j'ai à apporter.
Quelle qu'elle soit, cette personne me verra exactement telle que je suis et aimera chaque facette de ma personnalité.
La force comme la fragilité.
Elle valorisera ma loyauté, et ne me donnera pas de raison de douter.
Je le sais, je le sens, quand on est aussi sûr que je le suis de ce que l'on veut de la vie, d'une relation, on le manifeste suffisamment fort pour l'attirer à soi et on met tout en place pour aller dans sa direction.
Contre vent et marée.
Pour moi ça passe majoritairement par un nouveau calme en matière de dating, un examen minutieux de qui se trouve en face de moi, de ses valeurs, de ses projets, de notre alchimie, et de ce qu'il perçoit de moi ou pas.
Si ça match, et que les actions suivent des deux côtés, cet investissement mutuel sur un "pourquoi pas essayer et voir ce que ça donne?" se suffit à lui-même.
Tant qu'il y'a de la vie, il y'a de l'espoir.
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photos-car · 1 year
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MG4 XPower 2024 - Nouveau modèle phare de la gamme primée MG4 EV
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La passionnante nouvelle MG4 XPOWER est la MG de série la plus puissante à ce jour et l'une des nouvelles voitures les plus attendues de 2023.
Voici arrivé la nouvelle MG4 XPower 2024. Aujourd'hui, MG dispose d'une gamme de produits relativement utilitaires prêts à renouer avec ses racines sportives. Sa MG4 électrique compacte sera bientôt complétée par une version beaucoup plus puissante baptisée XPower et dotée d'un énorme 435 ch. Le rapport qualité prix est inégalé.
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Alors que la marque MG s'apprête à fêter ses 100 ans en 2024 ! on dirait qu'il a retrouvé le goût du sport. Lors du précédent salon de l'automobile de Shanghai en avril, la société avait déjà dévoilé le Cyberstar ! un roadster inédit qui a ramené un style de carrosserie particulièrement important dans l'histoire de l'entreprise. Mais si vous voulez avoir la possibilité d'avoir un passager sur le siège arrière, ne la manquez pas. Pour eux, les constructeurs chinois et britanniques s'apprêtent à lancer une version très puissante de la compacte MG4. Il en a profité pour dénicher le label XPower qui étiquetait les supercars top secrètes au début des années 2000. Cette nouvelle version pour l'Europe disposera de deux moteurs électriques de 204 ch à l'avant et 245 ch à l'arrière. La transmission intégrale est donc installée pour faire bon usage des 435 chevaux et 600 Nm de couple nécessaires au total. Un prix super canon En théorie, ces chiffres sont suffisants pour battre les "concurrents" encore fidèles thermiquement. Renault Megane R.S. à la fin de sa carrière atteint une puissance maximale de 300 ch et 420 Nm. La nouvelle Honda Civic Type R revendique "un peu moins" de 329 chevaux. Elle bat même la redoutable Mercedes-AMG A45 S avec 421 chevaux. Grâce à la nouvelle fonction "Launch Control" ! la MG4 XPower devrait accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 3,8 secondes. Mieux que le Tesla Model 3 Long Range. D'autre part, le modèle haute performance du break américain affiche une accélération encore plus rapide de 3,3 secondes pour le même mouvement. Malgré la double électrification, ces deux voitures ne jouent de toute façon pas exactement le même terrain. Non seulement la MG est plus courte de 40 cm que la Tesla ? mais elle a également l'air et se sent moins chère. Les prix et l'autonomie ne seront officiellement annoncés que le 17 juillet ? date à laquelle les commandes commenceront à être passées. Or, selon les confrères d'Automoto de TF1 qui ont pu tester un prototype en avant-première sur le salon. Le XPower devrait s'affiché à 37 000 €, moins 5 000 € de bonus environnemental. La Model 3 Performance proposée au prix de 53 990 € et n'a donc pas droit à cette subvention de l'État. Suspension, direction et freinage améliorés Le châssis compact sportif a également subi quelques modifications par rapport à la voiture à propulsion arrière actuelle ? produisant jusqu'à 204 ch. MG a déclaré avoir renforcé la suspension de 25% en inspectant à la fois les barres anti-roulis et les ressorts ou amortisseurs. Il y a eu un réajustement de la direction et une augmentation du diamètre des disques de frein. La transmission intégrale peut également distribuer "intelligemment" le couple du moteur électrique aux quatre roues. Un blocage de différentiel électronique tente de compenser l'absence d'un véritable différentiel autobloquant. C'est toujours du MG4 de fabrication chinoise. L'événement présentera également un concept appelé EX4 ! inspiré du Metro 6R4 que MG utilisait dans le groupe B dans les années 1980. Le premier teaser laisse entendre qu'il s'agira d'une MG4 au look très luxueux. Tout à l'opposé du Xpower standard, il semble presque identique à la version de base. Source Découvrez tous les autres modèles MG Read the full article
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plumedepoete · 1 year
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Souvenirs à quatre pattes (suite) - Odile Stonham
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A l'opposé de Boule qui était noir comme l'aurait été une panthère, une chatte blanche comme la neige a vécu chez nous pendant quelques mois. Mon mari et moi avons fait sa connaissance alors que nous étions dans le jardin. Sans aucune crainte, elle s'est dirigée vers nous en miaulant. Pensant qu'elle avait sûrement faim, je lui ai apporté du lait dans un ramequin. Il a été lapé en quelques secondes ! Ne sachant pas comment elle s'appelait, nous l'avons nommée Mimi ! Jusqu'au jour où nous avons appris que son véritable nom était Ange. De même que nous avons découvert, un peu plus tard, qu'elle habitait dans la même rue que nous. Sachant cela, nous nous sommes mis en contact avec ses maîtres pour leur dire que leur animal était chez nous. Ces derniers ont été rassurés de savoir où se trouvait Mimi-Ange. Il se trouve que son maître connaissait notre fils aîné. Par conséquent, il n'était pas inquiet. Quelques jours après sa venue dans sa nouvelle maison, nous avons constaté que Mimi-Ange attendait des petits. Et ce qui devait arriver arriva : elle avait décidé que cela se ferait chez nous ! De notre côté, nous avions compris pourquoi la chatte voulait mettre bas chez nous : ses maîtres avaient de jeunes enfants et comme tous les mômes de leur âge, ils étaient assez turbulents. Mimi-Ange, en s'installant chez nous, serait plus au calme pour mettre au monde ses petits ! J'ai encore en mémoire quand cela s'est produit. C'était un matin et en ouvrant le rideau de la fenêtre de la cuisine, qu'est-ce que je vois ? Mimi-Ange qui cherchait à entrer dans la maison. C'est ce que j'ai fait. Tout de suite, elle s'est installée sous le canapé du salon et là, j'ai réalisé qu'elle avait des contractions. J'ai donc appelé mon mari pour savoir où l'installer. Ce serait à la cave où elle serait mieux pour mettre bas. Au fur et à mesure que le travail progressait, Mimi-Ange nous a fait comprendre qu'elle désirait notre présence jusqu'au bout. Nous l'avons réalisé quand, malgré les contractions, cette brave petite chatte remontait avec nous l'escalier de la cave en miaulant et en nous adressant ce message que j'ai écrit un peu plus haut... Ce que nous avons fait, complètement émus de voir combien la confiance était grande pour cet animal qui nous connaissait à peine ! Un peu plus tard, un autre événement aura lieu et qui nous laissera, là aussi, complètement stupéfaits ! Plus tard, alors que nous étions en train de boire un café dans la cuisine mais surtout pour nous remettre de nos émotions, mon mari et moi avons eu la surprise de voir Mimi-Ange entrer dans la pièce en miaulant vers nous avec insistance. Craignant qu'il était arrivé quelque chose à ses petits, nous nous sommes précipités vers l'escalier de la cave, la chatte sur nos talons ! Arrivés au sous-sol, nous avons été tout de suite soulagés : tout le monde se portait bien. Et c'est là que tous les deux nous avons compris : Mimi-Ange voulait tout simplement être avec nous et ses bébés ! Mon mari donc pris le carton où quelques instants plus tôt cette dernière avait mis bas et l'a installé sur la table basse du couloir. Puis, sous nos yeux sidérés, la maman a sauté dans le carton en question et s'est mise à s'occuper de ses petits ! Naturellement les maîtres de Mimi-Ange, ainsi que leurs enfants, ont été mis au courant du joyeux événement qui s'était passé sous notre toit.  Au début, ils venaient leur rendre visite et un jour, ils ont décidé que Mimi-Ange et sa petite famille seraient bien mieux chez eux, dans leur véritable maison. Et c'est ainsi qu'un jour le propriétaire de Mimi-Ange est venu chez nous avec une sorte de grande corbeille en osier. En peu de temps, les petits et leur maman ont été installés confortablement. Le monsieur a posé la corbeille sur son épaule gauche et après nous avoir salué a pris la direction de son domicile. Il était à pied et avec mon mari, ainsi que nos deux fils, nous l'avons suivi des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse de notre vue. Et là, nous nous sommes mis à rire tous les quatre car Mimi-Ange s'était redressée de son panier pour alors nous regarder ! Peut-être nous disait-elle au revoir mais nous n'étions pas dans sa tête. Si à cet instant nous l'avions su, nous aurions été là aussi, complètement éberlués... Read the full article
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Et hop, finie la journée de la glande, on retourne dans le roadtrip ! Au menu du jour : du vert. Beaaaaaucoup du vert.
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Mais d'abord, lever de soleil sur la plage ! Pas de nuages aujourd'hui (enfin, à ce moment là très spécifique de aujourd'hui), donc les couleurs de reverberaient quand même sacrément moins qu'hier, mais j'adore !
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Ensuite, je pars vers les Silver peaks pour une rando de quatre heures environ. En arrivant sur place, je n'ai pas méga confiance dans ce qui m'attend ... Le paysage est ravagé par les travaux.
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La rando partant à l'opposé, je tente quand même ma chance. La partie gauche de la boucle étant fermée par une palissade, je pars vers la droite. Je descends alors pendant une demi heure dans une forêt hivernale (spoiler alert : c'est mort), avant d'arriver dans une débauche de gadoue et de plantes digne de l'Asie.
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Ça empire après le passage d'une petite hutte, puisque le chemin passe en mode vertical pendant 250m de dénivelé, et que mes genoux menacent de ressortir par mes oreilles. Pour être honnête, je remets un peu mes choix de vie en question, à cet instant précis. D'autant plus que l'autre partie de la boucle étant fermée, il va falloir que je redescende par ce chemin particulièrement désagréable.
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Et puis soudain, un ange gardien apparaît ! Sous les traits d'un agent du département de conservation en gilet orange, armé de sa débroussailleuse, il m'explique que je suis un boulet, que le chemin n'est pas du tout bloqué, la palissade n'est pas une palissade, et que si j'avais daigné en approcher mon auguste séant, j'aurais vu que je pouvais passer au milieu. Lalala
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C'est donc de bien meilleure humeur que je continue mon parcours (adieu, chemin tout pourri !) pour sortir du couvert des arbres, et ... Pouaaaaaah
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L'accès au sommet de Pulpit Rock se fait sur les crêtes, où j'ai le droit à un très joli spectacle de verdure !
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Et une fois arrivée tout en haut, vue à 360 sur toute la zone, et les gros travaux ne gâchent rien !
Je décide donc de faire ma pause pique nique ici, à me battre contre le vent qui tente de me voler mon sandwich. La vue est trop belle pour céder 🥰 (au grand désarroi de mes mains, qui commencent à me détester d'ailleurs, il faut vraiment que j'achète cette crème hydratante)
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Je pars donc refermer la boucle (qui était en effet tout à fait ouverte), appréciant l'aspect esthétique du ciel d'orage, moins la promesse de fesses mouillées associée. Par un miracle quelconque, j'esquive totalement la pluie !
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Voilà, cette rando finit nettement mieux qu'elle n'a commencé quand même !
Et ensuite, courses à Dunedin (où je pense à acheter du savon, mais pas de la crème pour les mains, je me déteste un peu), et je pars me cacher sur la péninsule à l'est, suivant un chemin littoral très sympa! (Tellement littoral qu'en cas de tempête, les voitures doivent être dans la mer en fait, on n'est pas à plus de 2m des vagues !)
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NOTRE UNITÉ AVEC DIEU DÉPEND DU FAIT QUE L'ON SOIT D'ACCORD SUR QUI DIRIGE OU QUI COMMANDE NOTRE VIE PERSONNELLE.
Si tu penses que c'est à toi de te diriger, peut-être que l'histoire de l'humanité ne t'a pas encore convaincu que ce n'est pas une bonne idée de se conduire soi-même.
En effet, depuis que l'être humain dirige il n'y a que des problèmes partout. Non ?
Si tu as besoin de continuer de diriger ta vie personnelle pour t'en rendre compte par toi-même, pas de souci, cher ami(e).
Continue de diriger ta vie jusqu'à ce que tout en toi réalise que tu es insuffisant et que tu as besoin d'un sauveur, d'un guide, de ton créateur, etc. ...
En-tout-cas, on a tous besoin d'aide.
Et à chacun dans son cheminement personnel de découvrir qui peut véritablement l'aider.
Ayant été élevé dans la religion, on m'a appris beaucoup de choses, que j'ai constaté par la suite que mes dirigeants spirituels ne vivaient pas eux-mêmes ce qu'ils disaient, donc ils n'y croyaient pas, en réalité.
En effet, la preuve que l'on croit est le fait qu'on vive tout ce qu'on dit croire. Non ?
Ensuite, j'ai évolué dans ma foi conduit par mon créateur, je pense.
En effet, qui peut être sûr à 100% que c'est Dieu qui le guide ?
Es-tu Dieu pour le savoir ?
La compréhension ou les convictions humaines sont-elles fiables pour toi, cher ami(e) ?
Et j'ai réalisé que seul le créateur est le chemin, le guide, le sauveur que j'ai toujours recherché, sans le savoir.
POUR CEUX QUI COMME MOI SONT ARRIVÉS À LA CONVICTION PERSONNELLE ET INTIME QUE SEUL LE CRÉATEUR PEUT DIRIGER LEUR VIE PERSONNELLE.
Ici, je ne parle pas juste de le penser, mais je parle du fait que vous ne pouvez plus vivre sans votre intimité spirituelle et profonde avec votre créateur.
C'est comme une drogue.
Votre besoin d'intimité spirituel avec lui grandit au point que sans elle, vous ne considérez plus que vous vivez.
En effet, beaucoup ont des rites religieux, mais aucune intimité réelle et profonde avec Dieu.
Dieu pour eux, c'est la Bible, la religion, les dirigeants spirituels, les assemblées de croyants ou beaucoup d'autres choses extérieures à eux-mêmes.
Or, pour moi, Dieu est un avec moi, on est lié pour toujours, il est tout pour moi, je ne peux vivre sans lui, il est toute ma vie, je suis prêt à tout pour lui.
C'est mon meilleur ami, comme Jésus avant moi, je peux dire que Dieu et moi, on est de plus en plus un, car il me possède, je suis sa propriété.
J'ai renoncé à tout et je continue à renoncer à tout pour lui plaire.
Dieu est le chemin, c'est une façon de vivre qui consiste en vivre en permanence connecté à lui seul, pour ne faire que ce qu'il nous dit personnellement.
POUR CEUX QUI COMME MOI SONT ARRIVÉS À LA CONVICTION PERSONNELLE ET INTIME QUE SEUL LE CRÉATEUR PEUT DIRIGER LEUR VIE PERSONNELLE, UNE AUTRE FAÇON DE VIVRE S'OFFRE À VOUS QUI S'APPELLE "LA VIE PAR LA CONFIANCE TOTALE EN DIEU SEUL".
Autrement dit en langage religieux, la vie par la foi.
C'est une vie où l'on ne décide plus, car toute décision est déjà prise pour nous par notre créateur.
Car c'est Dieu votre chef absolu.
On ne se contente désormais que de suivre ce qu'il nous dit en permanence.
Le Seigneur Jésus-Christ a décrit cette manière de vivre, de cette façon :
Jean 5:19 TPT
Jésus dit : "Je vous dis la vérité éternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative. Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père.
Vivre par la foi, ou la confiance totale en Dieu, n'a rien à voir avec ce que nos religions nous ont appris.
Jésus multipliait les pains et nourrissait les foules, l'apôtre Paul à l'opposé, rassemblait les offrandes des fidèles des églises afin d'aider d'autres fidèles dans le besoin.
En réalité, l'apôtre Paul était très loin de ressembler à Christ et on ne voit pas chez lui la puissance qu'a manifesté le Seigneur en personne.
Jésus n'a jamais demandé des offrandes à personne de son vivant. Non ?
Jésus manifestait la toute-puissance divine et il veut non pas de simple religieux, mais des disciples accomplis qui lui ressemble véritablement.
Si ce n'est pas la vérité, pourquoi Jésus s'énervait quand ses disciples n'arrivaient pas à l'imiter.
Pensez-vous qu'aujourd'hui le Seigneur ne veut pas qu'on lui ressemble au point de manifester la toute-puissance divine ?
Jean 14:12 TPT
"Je vous dis cette vérité intemporelle : la personne qui me suit dans la foi, en croyant en moi, fera les mêmes miracles puissants que moi - et même des miracles plus grands encore, parce que je vais auprès de mon Père !
En étudiant la Bible, je ne vois pas en quoi les premiers apôtres ont réussi réellement à imiter le Seigneur.
On remarque clairement qu'ils considéraient qu'il y avait des chefs parmi eux.
Or, Jésus a dit clairement qu'il ne doit pas en être ainsi aux milieux de ses disciples.
Matthieu 20:25-28 TPT
Jésus, connaissant leurs pensées, les appela auprès de lui et leur dit : "Les rois et ceux qui détiennent une grande autorité dans ce monde exercent une domination oppressive sur leurs sujets, comme des tyrans. Mais ce n'est pas votre vocation. Vous allez diriger selon un tout autre modèle. Le plus grand d'entre vous vivra comme celui qui est appelé à servir les autres, car le plus grand honneur et la plus grande autorité sont réservés à celui qui a un cœur de serviteur. En effet, le Fils de l'homme lui-même n'est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en échange du salut d'une multitude.
Le contexte de ce passage biblique est que les disciples Jaques et Jean ont demandé à Jésus en utilisant leur mère, d'être placé aux plus hautes positions au côté du Seigneur dans son royaume éternel.
Or, Dieu ne pense pas à devenir le chef, car il n'a pas à se battre pour une position, car en réalité, il est un serviteur, et il est là pour aider.
Et la réponse de Christ révèle que le sujet d'être chef n'existe pas dans son royaume, car quand on fait tout par amour, la notion de chef disparaît.
L'amour nous rend un.
Quand on est un, on ne cherche plus à diriger car on est un.
On ne considère plus ses intérêts personnels.
On veut juste servir et aider.
ÊTRE CONSCIENT DE SOI ET DE SES BESOINS PERSONNELS EST LA BASE DE LA VIE BANALE ET NORMALE HUMAINE.
ÊTRE CONSCIENT DE DIEU ET DE SA VOLONTÉ SEUL, EST LA BASE DE LA VIE DU CHRIST.
C'est une vie d'abandon totale entre les mains du créateur que Dieu nous propose.
Et je réalise que personne ne désire, réellement cette vie de soumission complète à l'ÉTERNEL DIEU TOUT-PUISSANT.
Car ne plus rien décider par nous-mêmes est la vie à laquelle personne n'aspire.
C'est comme être prisonnier dans son propre corps.
Mais si tu réfléchis bien, cher ami(e), la vie de totale liberté à laquelle tu aspires, l'as-tu obtenu en vivant comme tu le fais ?
Toi qui aimes la liberté de faire tout ce que tu veux, ta liberté t'a telle rendu parfaitement heureux et épanoui aujourd'hui ?
Es-tu satisfait en permanence ?
Nages-tu dans le bonheur ?
Te diriger toi-même t'a-t-il conduit à devenir parfait en toute chose ?
CAR L'OBJECTIF N'EST PAS JUSTE DE VIVRE ET D'EXISTER COMME LA NATURE ET LES ANIMAUX, QUI LE FONT TRÈS BIEN, D'AILLEURS.
LE BUT EST DE DÉCOUVRIR LE POURQUOI DE NOTRE EXISTENCE.
LE BUT EST DE CONNAÎTRE PERSONNELLEMENT NOTRE CRÉATEUR ET D'AVOIR UNE TELLE RELATION PROFONDE AVEC LUI, QUE NOUS ACCOMPLISSIONS CE QU'IL A PRÉVU POUR NOUS, À L'EXEMPLE DU CHRIST.
C'est l'heure, selon moi, de se poser les bonnes questions.
En effet, trop d'entre nous ne sommes pas parfaitement heureux et nous restons ainsi, car nous ne connaissons pas une autre façon de vivre que celle qu'on a adoptée depuis des lustres.
Mais le Seigneur Jésus-Christ nous a appris une nouvelle façon de vivre qu'il a appelé "LA VIE ÉTERNELLE". Non ?
C'est une façon de vivre où l'on suit uniquement ce que l'ÉTERNEL DIEU TOUT-PUISSANT nous indique ou nous montre à faire.
Matthieu 4:4 TPT
Il répondit : "Les Écritures disent : Le pain seul ne rassasie pas, mais la vraie vie se trouve dans toute parole qui sort constamment de la bouche de Dieu.
En d'autres mots, la vraie vie se trouve dans toute parole vivante et fraîche qui vienne d'une relation spirituelle intime et profonde avec le créateur en personne.
La religion, la Bible, les assemblées de croyants, les dirigeants spirituels et tout ce que nous croyons n'ont rien à voir avec le créateur lui-même.
Lui seul peut se révéler à nous.
Rien ne peut en réalité donner accès à Dieu en personne, à moins qu'il ne le décide lui-même.
Arrêtons de penser que prier va faire que Dieu agisse.
Prier est surtout une façon de vivre de communion spirituelle intime et profonde avec Dieu.
Pourquoi on ne voit jamais Jésus prier pour ses besoins, selon vous ?
La Bible dit rechercher continuellement sa face.
La véritable prière est notre façon de vivre qui consiste à rechercher Dieu tout le temps dans son cœur ou son esprit.
Et le résultat de cela est une transformation divine en nous qui nous rend comme le Seigneur Jésus-Christ.
Car personne ne peut faire Dieu agir s'il ne le veut pas, car Dieu est souverain, et il ne fait que ce qu'il veut.
La Bible, dit très clairement que :
Notre Dieu est au ciel, Il fait tout ce qu'il veut. Psaume 115:3 LSG
Ce qui signifie que l'on ne peut demander en réalité que la volonté de Dieu au créateur, pas ce que l'on veut.
Maintenant sa volonté peut-être aussi de nous donner ce que l'on veut et désire.
Mais sinon, Dieu n'est au service de personne.
C'est donc nous qui devons plutôt nous soumettre à lui, et vivre ce qu'il a prévu. Non ?
Beaucoup pensent que c'est une vie d'esclavage ennuyante, et dénué d'intérêt que de suivre Dieu lui-même.
En effet, c'est l'image que la religion nous a dépeinte depuis toujours.
Mais quand vous voyez dans la Bible la vie du Christ, avez-vous l'impression qu'il s'ennuyait et qu'il était un religieux bloqué dans ses rites et pratiques religieuses ?
Jésus menait une vie où il était passionné par tout ce qu'il faisait et il était heureux au point de donner sa vie pour tous nous sauver.
L'AMOUR INCONDITIONNEL ET LE SACRIFICE POUR LE BIEN D'AUTRUI SONT L'EXPRESSION LA PLUS HAUTE DE BONHEUR.
Vivre conduit par le créateur, qui est l'amour personnifié, est l'objectif pour lequel on existe, en réalité. Non ?
À toi donc de découvrir par toi-même, la raison divine pour laquelle tu existes, cher ami(e), et de développer ta propre relation spirituelle intime et profonde avec l'Éternel Dieu Tout-Puissant.
Sinon tu es en train de passer à côté de l'essentiel.
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beatlesonline-blog · 2 years
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claudehenrion · 7 months
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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fallenrazziel · 3 years
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Les Chroniques de Livaï #509 ~ TREPAS, ME VOICI (juin 846) Helma Kerstin
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Les chevaux ne doivent pas s'arrêter ! Je ne parviens pas à comprendre comment ils arrivent à distancer ces monstres en traînant cette charrette, mais je sais que s'ils trébuchent, s'ils perdent un seul mètre de terrain, s'en est fini de nous !
Je claque les rênes sur les croupes luisantes de sueur et je vois leur encolure s'allonger encore dans l'effort. Quelles courageuses bêtes !... J'ai dû me dévouer pour tenir le rôle de conductrice car l'homme de Zella ne semble guère capable de faire grand chose à part se tordre les mains depuis plusieurs heures. Les explorateurs qui nous accompagnaient se sont éparpillés, et alors les titans sont tombés sur nous.
Je savais que je les reverrais mais je ne voulais pas penser à l'horreur - la même que ce jour-là - de me retrouver de nouveau à leur merci, face à leurs visages défigurés à jamais... Ils sont toujours si inhumains, si inexorables... Rien ne peut les arrêter ! Alors j'ai sauté sur le banc laissé vide par son précédent occupant - il a couru au loin en espérant leur échapper, l'idiot, mais il s'est fait vite rattraper - et j'ai laissé mon instinct me guider. Zella avait à peine commencé à pousser... Je l'ai laissée avec son homme mais j'ai bien peur qu'il soit trop terrifié par tout ce qui arrive pour l'aider.
Nous ne sommes plus que trois dans ce chariot. Les bonbonnes de gaz qui restent brinquebalent dans mon dos, mais je ne me soucie plus de garder le matériel en bon état. Tout ce que je veux c'est gagner le couvert des arbres en espérant qu'ils cacheront la vue de ces monstres et qu'ils iront voir ailleurs. Je n'y connais rien, en titans ! Je ne sais pas comment les semer, ni comment ils vont réagir, alors je fonce sans me retourner ! Les cris de Zella me percent le coeur mais je ne peux pas l'assister ! Si elle veut que son enfant ait une chance de vivre, je dois continuer !
Je porte mon regard sur ma droite, et aperçois des explorateurs se battant contre les géants. Je ne peux pas déterminer s'ils s'en sortent ou non... Un crissement métallique fait vibrer mes oreilles et un soldat se pose alors dans mon véhicule. Je claque de nouveau les rênes en gardant le cap et ne peut m'empêcher de vérifier de qui il s'agit. J'ai désespérément besoin de voir un visage familier. Je la reconnais ; c'est le médecin en chef du bataillon. Son équipe nous a accompagnés un bon bout de chemin. Apparemment, il y'en a qui sont encore en vie...
Elle change ses bonbonnes, mais je sens à ses gestes fébriles qu'elle va manquer de temps. Les titans sont derrière nous ! Il y'en a au moins cinq, si je compte bien... ! Pitié, aidez-nous, donnez-nous un peu de répit ! Comme si elle avait entendu mon appel silencieux, elle décolle de nouveau et se jette sur le visage du premier titan qui se présente. Je me force à me détourner pour regarder la route, en espérant à chaque foulée que les chevaux ne vont pas trébucher ou mourir de fatigue. J'aperçois des arbres, je crois. Ils ne sont plus si loin...
C'est alors que les cris mêlés de Zella et de son homme éclatent à mon oreille et je refuse de me retourner pour regarder. L'enfant est-il arrivé ? Ou notre dernière protectrice vient-elle de succomber ? Je n'en sais rien, je dois seulement aller tout droit ! Les arbres nous protègeront, j'en suis persuadée ! Nous devons juste les atteindre... Encore quelques mètres...
La charrette fait alors un bond formidable dans les airs et je sens mon corps partir en arrière, puis en avant, dans tous les sens, puis se briser douloureusement en retombant sur le sol, à quelques mètres du véhicule. Je... je me sens sonnée une minute, ma vision se brouille... Quand je reprends mes sens, je vois d'abord la cuisse d'un cheval, agitée de soubresauts, juste à côté de ma main écorchée. Une roue qui tourne dans le vide. Nous avons été renversés ?... Un titan a dû percuter l'arrière, ou abattre sa main dessus... Non... nous y étions presque !...
je tente de me relever et une brûlure à mon côté m'indique que je suis blessée. Pas assez pour ne pas ramper sur le sol. Comme par instinct, je me glisse sous la charrette en imaginant que cela va me cacher le temps de réfléchir. Je sais que ma situation est désespérée... mais une vision d'horreur me fait comprendre que je suis loin d'être la plus à plaindre.
Coincée sous une roue du chariot, Zella, le corps ensanglanté - le sang de la naissance mais aussi de la mort... - me fixe sans dire un mot. Elle n'est pas morte, ses lèvres bougent mais rien n'en sort. Je rampe vers elle et passe ma main sous sa tête poisseuse. La roue a écrasé en partie son ventre... il n'est plus qu'une bouillie sanglante de viscères... Je me retiens de vomir... Oh, par Sina...
En jetant un oeil au-delà de notre cachette, j'aperçois l'homme de Zella, traînant la jambe, cherchant à fuir les titans qui sont déjà après lui. Il y a tant de sadisme dans leur façon de le traquer, de le prendre, de le laisser tomber pour le reprendre à nouveau. Je ne l'entends pas hurler mais je sais qu'il le fait. Je cache les yeux de Zella pour qu'elle ne voit pas... Nous ne pouvons rien faire pour ce malheureux... Et je ne peux rien faire pour elle non plus...
Zella parvient à lever la main et à m'indiquer quelque chose, juste à côté d'elle. Je me penche sur elle en défiant ma répugnance et voit alors le petit corps violacé, immobile... Le cordon a été arraché... Comment peut-il encore vivre après cette chute ?! Mon coeur manque un battement... Quelque chose en moi remue follement et je fais le geste de saisir le bébé entre mes bras, indifférente à son apparence misérable et souffreteuse. Il est comme tous les nouveaux-nés... et son coeur bat, je le sens.
J'oublie un moment l'horreur où je me trouve et reviens des années en arrière, quand je tenais Gero de la même façon, mais dans une jolie chambre toute propre hormis les draps tachés et entourée de mes proches. Je me souviens de la joie, des larmes de soulagement, du sourire de mon mari... Il y avait des fleurs dans un vase juste à côté, je me souviens de leur parfum... Cette souffrance là menait au bonheur. Mais pour celui-ci...
Je le serre dans mes bras plus fort et il se met à pleurer ; puis j'étreins la main sans vie de Zella. Elle vient de partir... Peut-être les titans laisseront-ils son corps tranquille si elle ne respire plus... Je suis cernée par la mort ! Elle a une odeur particulière qui n'est pas celle du sang ou des tripes chaudes... Je ne peux la décrire, mais je sais que c'est elle. La panique me gagne. ll n'y a donc personne pour nous aider et donner à cette petite vie une chance de continuer encore un peu ?! Où sont les anges ?! Où est le caporal Livaï ?!
Je me traîne sur le sol à l'opposé des monstres qui me traquent et dont les mains tâtonnantes commencent déjà à se glisser sous le chariot... Elles n'épargnent pas Zella ; elles saisissent le cadavre disloqué de cette jeune fille qui a donné la vie sur un champ de mort, et il disparaît de ma vue. Je ne peux qu'entendre les sinistres bruits de mastication... Un bras tombe sur le sol dans une flaque de sang... Pourquoi ne puis-je me détourner de ce spectacle répugnant ?! Que quelqu'un vienne !
Mais je comprends que personne ne viendra. Toi et moi sommes les prochains. Tu sais, je crois qu'il n'y a pas d'anges finalement. Car s'ils existaient, ils viendraient au moins te sauver. J'ai sans doute commis des fautes, mais toi tu es innocent. Tu devrais vivre... Je ne peux pas te sauver...
Alors je me mets à le bercer, en lui chantonnant une comptine que je fredonnais à Gero quand il était tout petit. Il était persuadé qu'un monstre se cachait sous son lit et il remontait alors la couverture jusque sur son nez pour ne pas montrer sa peur. Mais ma comptine lui redonnait toujours le sourire...
Les monstres existent, Gero. Ils n'étaient pas sous ton lit, c'est tout. Et ta maman ne peut rien faire contre eux avec ses chansons...
Je ferme les yeux et laisse les larmes monter avec la mélodie qui me fend la poitrine. Le bébé semble apaisé, il se blottit contre mon sein, et cette sensation de plénitude familière mais lointaine m'envahit alors, tandis que je sens un doigt avide s'enrouler autour de nous...
Je vous en prie, ne réveillez pas mon petit, il dort si bien...
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yes-bernie-stuff · 3 years
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Dimanche 4 Juillet
Livre d'Ézéchiel 2,2-5.
En ces jours-là, l’esprit vint en moi et me fit tenir debout. J’écoutai celui qui me parlait.
Il me dit : « Fils d’homme, je t’envoie vers les fils d’Israël, vers une nation rebelle qui s’est révoltée contre moi. Jusqu’à ce jour, eux et leurs pères se sont soulevés contre moi.
Les fils ont le visage dur, et le cœur obstiné ; c’est à eux que je t’envoie. Tu leur diras : “Ainsi parle le Seigneur Dieu...”
Alors, qu’ils écoutent ou qu’ils n’écoutent pas – c’est une engeance de rebelles ! – ils sauront qu’il y a un prophète au milieu d’eux.
Psaume 123(122),1b-2ab.2cdef.3-4.
Vers toi j'ai les yeux levés,
vers toi qui es au ciel.
comme les yeux de l'esclave
vers la main de son maître.
Comme les yeux de la servante
vers la main de sa maîtresse,
nos yeux, levés vers le Seigneur notre Dieu,
attendent sa pitié.
Pitié pour nous, Seigneur, pitié pour nous :
notre âme est rassasiée de mépris.
C'en est trop, nous sommes rassasiés
du rire des satisfaits,
du mépris des orgueilleux !
Deuxième lettre de Paul Apôtre aux Corinthiens 12,7-10.
Frères,      les révélations que j’ai reçues sont tellement extraordinaires  que, pour m’empêcher de me surestimer,  j’ai reçu dans ma chair une écharde,  un envoyé de Satan qui est là pour me gifler,  pour empêcher que je me surestime.
Par trois fois, j’ai prié le Seigneur de l’écarter de moi.
Mais il m’a déclaré : « Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse. » C’est donc très volontiers que je mettrai plutôt ma fierté dans mes faiblesses, afin que la puissance du Christ fasse en moi sa demeure.
C’est pourquoi j’accepte de grand cœur pour le Christ les faiblesses, les insultes, les contraintes, les persécutions et les situations angoissantes. Car, lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort.
Évangile de Jésus-Christ selon Marc 6,1-6.
En ce temps-là,  Jésus se rendit dans son lieu d’origine, et ses disciples le suivirent.
Le jour du sabbat, il se mit à enseigner dans la synagogue. De nombreux auditeurs, frappés d’étonnement, disaient : « D’où cela lui vient-il ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée, et ces grands miracles qui se réalisent par ses mains ?
N’est-il pas le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon ? Ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ? » Et ils étaient profondément choqués à son sujet.
Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. »
Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle ; il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains.
Et il s’étonna de leur manque de foi. Jésus parcourait les villages d’alentour en enseignant.
 - © AELF, Paris
« D'où lui vient cette sagesse... ? N'est-il pas le fils du charpentier ? »
Chaque fois que je repense au grand mystère de la vie cachée et humble de Jésus pendant ses trente premières années, mon esprit est toujours plus confondu et les paroles me manquent. Ah ! c'est l'évidence même : en face d'une leçon si lumineuse, non seulement les jugements du monde mais aussi les jugements et la manière de penser de beaucoup d'ecclésiastiques paraissent complètement faux et se trouvent vraiment à l'opposé.
Pour ma part, j'avoue n'être pas encore arrivé à m'en faire une idée. Pour autant que je me connais, il me semble que je ne possède que l'apparence de l'humilité, mais son véritable esprit, cet « amour de l'effacement » de Jésus Christ à Nazareth, je ne le connais que de nom. Et dire que Jésus a passé trente années de vie cachée, et qu'il était Dieu, et qu'il était « la splendeur de la substance du Père » (He 1,3), et qu'il était venu pour sauver le monde, et qu'il a fait tout cela uniquement pour nous enseigner combien l'humilité est nécessaire et comment il faut la pratiquer ! Et moi, qui suis si grand pécheur et tellement misérable, je ne pense qu'à me complaire en moi-même, à me complaire en des succès qui me valent un peu d'honneur terrestre ; je ne peux pas concevoir même la pensée la plus sainte, sans que s'y glisse le souci de ma réputation auprès des autres... En fin de compte je ne sais m'accoutumer qu'avec un grand effort à cette idée du véritable effacement, tel que Jésus Christ l'a pratiqué et tel qu'il me l'enseigne.
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harritudur · 5 years
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one-shot + Adrienne De Lenverpré / Célestin Hennion + 1095 mots
(wow, ma seconde fic et... oui, j’en suis déjà là ! c’est à se demander que va être la troisième fic ? OKAY pour le contexte, ça se passe un an après la fin de la série, et nos deux héros ont l’habitude de bosser ensemble, très souvent hmmm :D)
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La première fois, c'était si facile et naturel que Célestin se demandait si cela était vraiment arrivé.
- Adrienne avait organisé un diner : une petit réception pour marquer son emménagement avec sa fille dans une nouvelle demeure, pour tourner définitivement la page Marc-Antoine. L'invitation fut une surprise. Célestin haïssait les mondanités, les ronds de jambes et conversations futiles de ce genre de soirées, et Adrienne le savait bien. Il soupira, prit sa plume, et répondit qu'il assisterait à ce diner avec plaisir.
- Le repas se déroula étonnement bien. Petit comité. Et visages familiers. Adrienne avait invité sa sœur Mathilde et son mari, ainsi que leur fille Alice qui -oh surprise- vint accompagné de son récent fiancé, Victor Minville. Les assiettes défilèrent avec apaisement, tous les convives assez éduqués pour éviter les sujets fâcheux-, et après deux heures de dîner, l’hôtesse aux cheveux de feu proposa un petit récital de piano.
- Il observa, fasciné, ses doigts dansant sur des touches ivoires et ébènes. Brahms devait avoir composé cette sonate pour elle, et uniquement elle. Il en était convaincu.
- Le son du piano était lointain dans cette nuit sans lune. Célestin mit une cigarette à sa bouche et tira une bouffée, la vapeur brulante envahissant ses poumons tandis que l'air frais d'octobre fouettait ses joues. “C'est ici que vous vous cachez?” Inutile de se tourner pour identifier cette voix -après leur périple en Suisse, Célestin pouvait maintenant distinguer même le rythme de ses pas. Il acquiesça d'un hochement de tête et Adrienne le rejoignit sans un mot. Malgré l'heure tardive, les rues de Paris restaient plein de vie, et un bruit distant de calèches et de rires perturba le silence. “Elle est belle, n'est-ce pas ?” Célestin la regarda, elle. Oui. Puis il réalisa et observa les alentours. La maison. Le jardin. La petite véranda. La terrasse sur laquelle ils se trouvaient. “Très belle, oui. Vous serez bien ici, votre fille et vous.” Une autre longue bouffée et il se retourna vers Adrienne avec ce sourire toujours un peu abattu mais toujours sincère. “Vous ne vouliez pas venir à ce diner ?” “Je ne suis pas friand des mondanités. Des grands diners. Vous, vous l'êtes. Moi… ce n'est pas mon monde.” Le regard d'Adrienne changea à ces mots, et il le remarqua. “Qu'y a-t-il ?” “Très bien… La prochaine fois, ce sera un dîner en comité plus restreint. Juste vous et moi ?” L'abattement disparu du sourire de l'officier. "Est-ce que cela vous choque qu'une femme vous invite à dîner ?" "Pas du tout." “M.Hennion, puis-je vous demander quelque chose ? De personnel ?” “Oh ne vous inquiétez pas, je ne suis pas difficile en ce qui concerne la nourriture.” Adrienne rit. “Non, je ne pensais pas à un question aussi personnelle.” Sa cigarette terminée, Célestin l'écrasa du bout de ses semelles noires et se tourna pour faire face à la jeune femme. “À quelle question pensiez-vous ?” “Quand était-ce la dernière fois que vous avez embrassé quelqu'un ?” Une telle curiosité l'aurait offusquée quelques mois auparavant, mais après ce qu'ils avaient traversé, honnêteté et franchise étaient devenus naturels entre eux. Célestin ouvrit la bouche, hésita et la referma. Puis : “Il y a trois nuits.” Aussitôt, l'opale clair des yeux d'Adrienne s'assombrit. Elle croisa les bras sur sa poitrine et son dos se redressa, un air soudain de fierté et de dédain. Presque vexée ou blessée. Jalouse. “…ah?” “Oui. C’était un rêve très agréable.” Et aussi vite qu'elles étaient apparus, la distance et la jalousie s'effacèrent. “Les rêves, ça ne compte pas.” “Oh, si ça compte Mme de Lenverprè. Mais si votre question se réfère uniquement à la réalité–” “S’il vous plait oui.” “–alors... il y a presque une douzaine d’années.” Une brise d’octobre se leva. Adrienne mit ses bras autour d’elle-même et, le remarquant, Célestin se rapprocha pour poser deux larges mains sur les épaule de la jeune femme. “Vous avez froid ? Vous tremblez.” “Non. Ce n’est pas à cause du froid… M.Hennion, puis-je vous demander autre chose ?” Il hocha de la tête. “Embrassez-moi.” Adrienne s'avança d’un pas. Il en fit un deuxième.
- Sa barbe était agréable sous ses doigts, à l'opposé de ce qu'elle imaginait. Adrienne avait déjà embrassé des hommes avec une barbe de quelques jours -Hugues notamment qui, pris dans l'écriture d'un article ou d'une enquête, oubliait de se raser- et elle avait toujours trouvait cette rugosité contre ses lèvres désagréable. Mais la barbe de Célestin était plus longue, un centimètre ou plus. Elle lui rappelait le léger duvet des oisillons dans la cage à oiseaux de Camille. Douce.
- Il n'était pas à l'initiative du baiser. Non pas parce qu'il n'en avait pas envie -au contraire- mais parce qu'il savait d'où elle venait, il connaissait ses douleurs d'un amour perdu et celles d'un mariage violent. Et Célestin ne voulait pas imposer quoique ce soit à Adrienne. Alors il la laissa faire, la laissa libre de s'enfuir si elle changeait d'avis. Mais elle ne s'enfuit pas. Son odorat fut le premier de ses sens à être assailli par sa présence, cerné par un parfum de lilas. Titillant. Entêtant. Puis la vue. Deux grands yeux du même bleu-opale qui submergea les rêves de Célestin il y a trois nuits.. Le touché. Le bout de ses doigts délicats sur sa peau, sur son cou, et la chaleur de ses paumes sur ses joues pour rapprocher son visage du sien. L’ouïe. Il eut un soupir quand leurs lèvres se rencontrèrent et, malgré de vains efforts, Célestin était incapable de savoir si le gémissement était le sien ou celui d'Adrienne. Le goût. Elle. Elle. Une saveur douce-amère. Liquoreuse et pimentée. Enivrante. Addictive.
- La nécessité de respirer commençait à se faire sentir, mais Adrienne l'ignora aisément, le besoin de le sentir lui plus fort. Ses lèvres. Sa langue. Ses mains -la droite soutenant avec tendresse l'arrière de son crâne tandis que la gauche s’agrippait avec force à sa taille pour la presser contre lui. Cette intensité qu'elle avait aperçu par bribe auparavant, cette puissance qu'il cachait derrière son allure austère et distante, elle la voulait. Toute entière. À bout de souffle, et avec regret, Adrienne sépara leurs lèvres pour respirer.
- Le silence à nouveau. Juste leurs souffles mêlés, et Célestin plaça une mèche indomptée de cheveux roux derrière son oreille. "J'accepte votre invitation à dîner en tête à tête." Sa voix rauque n'était qu'un murmure, mais le sourire d'Adrienne prouvait qu'elle l'avait très bien entendue. "J'arrête une date et je vous préviens." “...comme vous voulez.”
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yoonafrance · 4 years
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[FR-TRANS] Interview de YoonA pour le magazine L'Officiel édition printemps / été 2020.
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Vous avez essayé le style féminin et masculin pour le photoshoot d’aujourd’hui. Quel style avez-vous préférez ? Et pouvez-vous nous parler en particulier du look avec la perruque, j’ai vraiment trouvé que ça vous correspondait bien. 
N’est-ce pas? Pendant la discussion du concept des photos, on m’a demandé si je voulais bien mettre une perruque. J’ai trouvé que c’était une idée géniale, alors j’ai accepté. C’est vraiment amusant d’essayer quelque chose pour la première fois. Et lorsque je l’ai mise, j’ai vu “une nouvelle facette de moi que je ne connaissais pas” donc j’ai tout de suite su que c’était la bonne décision de faire ce shoot avec la perruque. J’ai également essayé deux tenues avec des styles différents. Comme je porte plus souvent des vêtement “féminin”, je pense que le style masculin est plus charmant. Mais quand je portais les tenues féminines, je me disais “ah, comme prévu ce style me va mieux”. Ainsi, je pense que ces deux concepts sont bons. Mais, j’ai toujours fait des concepts similaires donc j’espère que dans le futur j’essayerais quelque chose de différent.
Ça fait 13 ans que vous avez débuté. Y a t-il des moments que vous sentez que vous avez grandi par rapport à avant ?
Comment je ne trouvais pas que c’était fatigant de tournée toute la journée? Plus le temps passe, plus j’ai du “temps libre” *rires* et je deviens donc plus détendu. Pendant mes débuts, il y avait beaucoup de choses que je ne savais pas, tout était obscur et difficile. Mais maintenant, j’ai accumulé beaucoup d’expérience donc je sais ce qui me correspond le plus et je peux faire les choses encore mieux. Par exemple faire une séance photo comme à l’instant. J’exprime aussi beaucoup plus mes opinions et je propose des initiatives. Je pense que j’ai beaucoup mûri. 
Comment étiez-vous enfant ? Avez-vous montré des signes d’enfant star pendant cette époque et vous n’étiez pas effrayé d’être en face de plusieurs personnes ?
Je me souviens que j’adorais les spectacles de jeunes talents, je n'hésitais pas à y participer dès que j'en avais l'occasion. Je ne me sentais pas timide lorsque j’étais entourée de plusieurs personnes. Cependant, j'ai toujours été quelqu’un de prudent avec les autres, donc en y repensant, je n’ai aucune idée comment je suis arrivée jusque-là, je suis très surprise. Maintenant, en raison de mon travail, j'ai rencontré beaucoup de personnes, donc ma personnalité a évolué et je peux discuter confortablement avec des personnes que je rencontre pour la première fois. Pour moi, c'est un énorme changement.
Alors, vous avez passé votre audition comme ça ? La vidéo où vous chantez avec votre visage d’enfant a été un sujet populaire pendant un long moment.
Ma situation était comme le fameux scénario dû “j’accompagne un ami à une audition et je finis par être celle qui est prise” *rires* Mon ami m’a dit de participer et j’ai accepté avec l’idée “que même si je ne réussis pas, ça restera une bonne expérience”. Mais à la fin mon ami n’a pas été pris et moi si. Et à partir de là je suis devenu stagiaire pendant 5 ans jusqu’à mes débuts. Je n’ai jamais manqué un seul cours d’entrainement. En y repensant, je suppose que c'était quelque chose que j'aimais vraiment.
Vous avez fait vos débuts en tant que chanteuse et actrice à près en même temps. Jusqu'à maintenant, lesquels de vos travaux sont les plus mémorables pour vous?
Je pense en premier à mon projet qui a permis à beaucoup de personnes de me connaître et qui a été également mon premier rôle principal : “You Are My Destiny”. Bien que les gens de 10 à 20 ans aient pu me connaître lors des promotions avec les SNSD, les gens avec des âges supérieurs ne me connaissaient pas. Mais grâce à ce projet, j’ai pu recevoir de l'amour de tous les groupes d'âge. Mon premier film ‘Confidential Assignment’ et mon premier film où j’ai eu uns des rôles principaux ‘EXIT’ sont également des travaux précieux.
Votre premier film où vous tenez l’un des rôles principaux “EXIT” a été l’un des plus gros succès de l’année.
Ce film a en effet reçu beaucoup plus d’amour que ce que j’avais prévu. Si j’avais eu plus d’expérience dans le milieu des films, j’aurais su que plus de 9 millions de spectateurs est impressionnants mais je ne l’ai pas réalisé tout de suite. Mais plus je voyais le nombre de spectateurs, plus je devenais excité. Et je me suis demandé si je serais en mesure de revoir des si grands chiffres comme ceux de EXIT à l'avenir.Comme c’est un film d’action / catastrophe, j’ai dû faire beaucoup de scènes de course et mettre mon corps à rude épreuve, mais le résultat est tellement bon que ça en valait la peine. Comme j’ai fait l’expérience d’une catastrophe à travers le film, j’ai appris à comment gérer cette situation si elle devait arriver dans la réalité car les catastrophes sont des situations que tout le monde peut vivre.
De mon point de vue personnelle, je pense que le concept et votre rôle dans le drama “The K2″ sont vraiment marquant.  Avant il y avait une vague de rôle féminin très irréaliste qui était de “ne pas pleurer malgré comment tu te sens seule et triste”, mais Go Anna est complètement différente de ça.
Dans ‘The K2’, Anna est un rôle très complexe qui a vécu une vie cachée de solitude, ce fut un tout nouveau défi pour moi. L'endroit où nous avons filmé en dehors de la Corée était à Barcelone. En dehors des horaires de tournage, je me baladais dans la ville et j’y ai crée de merveilleux souvenirs. 
Ce n’est pas facile de “briser” une image déjà existante 
'ai réalisé que vouloir briser l'image ou le stéréotype que les gens ont de moi n'est pas quelque chose qui est faisable juste avec des mots. Avant, j'étais très attentive à ce que pensait le public de moi. J'examinais quelle sera la réaction du public si je jouais tel ou tel rôle. ‘The K2’ a été le premier projet que j’ai choisi sans prendre en compte ces facteurs. Et depuis, je suis beaucoup plus ouverte d’esprit et je veux montrer plus de côtés différents de moi en tant qu'actrice.
Y a-t-il des rôles que vous aimeriez essayez à l'avenir?
Je voulais essayer un rôle différent de ce que j’ai fait depuis le début. Les gens n’ont vu qu’une partie de moi, mais j’ai différentes facettes. Cependant, c’est très difficile de trouver le personnage parfait au bon moment, j’imagine que tous les acteurs et actrices partagent ce même sentiment.
Peux-tu en dire un peu plus sur vos projets pour cette année ?
J’ai un projet que j’aime beaucoup en cours mais je pense que c’est mieux de partager plus de détails quand tout sera plus sûr. Après tout, il y a tout le temps des changements de dernières minutes.
Avez-vous des projets en tant que chanteuse? L’album spécial “A Walk To Remember” que vous avez sorti l’année dernière était une très belle surprise pour vos fans. 
Je n’ai actuellement aucun projet en cours mais je désire toujours chanter. Et bien sûr, je vais continuer à faire de la musique pour exprimer ma gratitude envers mes fans. 
Les chansons dans votre album sont calmes avec des ballades folk et acoustiques, qui sont l'opposé des pistes des SNSD qui sont très énergique et optimiste. Vous avez toujours aimé ce genre de musique ?
J’écoute tous les types de musique. J’écoute souvent les chansons qui figurent dans les charts musicaux, qu’importe si c’est une piste très danse ou alors plus classique. Mon genre de musique favori change régulièrement aussi. D’ailleurs, pendant l’enregistrement de mon spécial album, j’ai écouté des chansons de genres très différents et ça m’a permis de m’inspirer beaucoup *rires*. Ma playlist musicale est principalement basée sur la météo ou mon humeur de la journée. Par exemple, il a plu hier, alors j’ai voulu écouter une chanson du film ‘About Time’ intitulée ‘II Mondo’. J’ai pensé à cette chanson car c’est la musique de fond pendant la scène du mariage ou il se met soudainement à pleuvoir et tout le monde cherche un abri. En ce moment, j’aime beaucoup écouter de vieilles chansons pop.  Il n'y a pas si longtemps, en conduisant, "In Dreams" de Roy Orbison était diffusé à la radio, et c'était tellement génial. En plus, elle correspondait à la météo et à l'atmosphère de ma journée, tout semblait s’emboîter parfaitement.
En parlant de vieilles chansons pop, ça me rappelle lorsque vous avez publié des photos prises avec un appareil photo à pellicule sur votre compte instagram. C’est très similaire avec vos préférences musicales. 
Il y a 6 mois, je suis allée à Paris pour mes vacances avec l’idée que je vais prendre mes photos avec un appareil à pellicule. Et bien malgré qu'il s'agisse d'un appareil photo jetable, le design de l'appareil photo était vraiment joli, et les photos étaient étonnamment très belles, j'étais vraiment contente. De nos jours, on peut voir directement nos photos mais avec les pellicules, il faut attendre qu”elles soient développées pour voir le résultat. J’apprécie vraiment ce temps d’attente et l’anticipation qui se crée avant que les photos soient développées. C’est une expérience très amusante !
Quand on parle de YoonA, c’est difficile de ne pas l’associer avec les SNSD. Que représentent les SNSD pour vous ?
Pour moi, elles seront toujours les personnes les plus spéciales et avec qui je suis le plus à l’aise. Nous avons passé notre dizaine et vingtaine ensemble et nous sommes plus proches les unes des autres que nos propres familles. En se regardant juste les yeux on sait ce que l’autre pense. Et nous restons régulièrement en contact. 
Vous faites des donations depuis 2010, et vous êtes devenue membre de la “Honoro Society’ en 2015. Que pouvez-vous nous dire au sujet de vos régulières donations ?
Quand j’avais environ 20 ans, j’ai commencé à faire des dons à travers un programme de donation en relais.  À partir de là, je donnais dès que j’en avais l’occasion. Le montant importe peu, le plus important c’est de partager. J’ai principalement été influencé par mes parents, qui me disaient souvent “Combien as-tu reçu ? Et combien d’argent vas-tu partager ? Il faut que tu le fasses pour être une meilleure personne”. Ce n’est pas facile de donner régulièrement mais je vais faire de mon mieux pour continuer à le faire.
Que faites-vous pour vous déstresser lorsque vous sentez exténuer mentalement ? Comme par exemple, des exercices ?
Bien que je fasse du pilate pour me détendre, je ne pense pas que ce soit suffisant *rires*. J’essaye aussi  de trouver des choses à faire à la maison pour ne pas ressentir de la fatigue. Parfois, je fais des gâteaux, je déplace mes meubles ou je vais faire un tour. Aujourd'hui, j'ai apporté des cookies fait maison pour le personnel. Dans le passé, je soulageais mon stress en rencontrant et en discutant avec des gens autour de moi, mais maintenant j’essaye de trouver des façons de soulager mon stress toute seule. Car peu importe à quel point je m'amuse quand je suis avec mes amis, il y a toujours un sentiment de vide quand je rentre chez moi. Je ne peux pas toujours dépendre des autres, donc je m'efforce de chercher des moyens de mieux gérer mon mood.
Qu’est-ce qui vous définit le mieux ?
Hmm, ma personnalité change toujours petit à petit, alors il y a des moments où je n’arrive même pas à me comprendre. Ce n’est pas le cas pour tout le monde ? Il y a beaucoup de personnes qui pensent que j’ai une personnalité positive, ce qui est souvent le cas mais parfois je ne le suis pas. Je pense que la fois où j’ai pu le plus montré mon réel moi était pendant l’émission “Hyori’s Homestay 2″. Les caméras tournaient h24, donc j’avais très peu de moment ou je pouvais me reposer. À travers cette émission, j’ai été surprise de voir tant de gens dire qu’ils m’ont vue d’une manière différente.
Comment te sens tu par rapport au fait de vieillir ?
Je n'ai pas peur de vieillir, au contraire, j'ai même hâte de me voir plus âgée. Dans des interviews on me demande comment je me vois dans 5/10 ans mais je ne pense pas être capable de voir aussi loin. À la place, je planifie chaque année d'être une quelqu'un de meilleur.
C’est cette façon positive de voir les choses qui vous a rendu la personne que vous êtes aujourd’hui. Quels sont vos plus beaux souvenirs?
J'en ai tellement. Mes tournées avec les SNSD, quand on a remporté le daesang, quand mon film où je joue le rôle principal a été diffusé dans les salles de cinéma, quand j'ai remporté le rookie award en tant qu'actrice...C'est sans fin. J’ai vraiment eu beaucoup de souvenirs heureux pendant ma vingtaine mais à présent que j’ai passé la trentaine, je me sens bien plus heureuse à cet age-là. J’ai ma philosophie qui est de “plutôt que d’essayer d’atteindre de grands objectifs, il vaut mieux en atteindre des plus petits et d’apprécier chaque petit moment de bonheur.”. Je pense que chaque jour avec des petits moments bonheurs sont importants, et en les cumulant, notre vie devient plus belle.
Crédits : Traduction chinoise par Limyoonabar & YOONYA  | Traduction anglaise : mystarmyangel | Traduction française : YoonA France
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