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#nostalgie de la lumière
dix-mille-avenues · 2 years
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AUCUN DANGER
Maintenant qu’il n’y a aucun danger dans le métro qui me déplace vers d’autres lignes à Gare de l’Est jamais vers des planètes mais j’ai déjà mon aventure sur un strapontin à faire défiler les images sur mon téléphone et j’ai pris trois photos depuis que je suis rentrée à Paris depuis deux mois est-ce peu ou beaucoup cela fait 0,05 photo par jour Le porte-monnaie égaré puis retrouvé de Juliette sur la pelouse du parc de la Villette quand nous étions fatiguées toujours réglées aux heures des nuits du Canada
Le ticket de la contravention reçue dans un wagon car ne pas avoir vu le contrôleur à temps pour lui dire que j’étais dans le train d’avant coûte 190 euros mais je n’aurais pas pu le trouver j’ai même oublié de le chercher absorbée que j’étais dans un film avec des constellations
Le photogramme après Vierzon un peu avant l’amende quand les rayons du soleil éblouissaient deux lignes de sous-titres sur mon écran
me rappellent ce moment où l’on croit qu’on cesse d’être un enfant
Maintenant qu’il y a mon arrêt Ménilmontant rue des Bluets je pense à toutes les photos que j’ai prises chaque jour au Québec face aux photos d’ici que je ne prends pas dans l’un de ces moments où je crois ne plus pouvoir m’étonner
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CHÂTAIGNES RÔTIES AU BEURRE, ROMARIN ET MIEL
Il y a une sorte de nostalgie qui s'installe quand arrive l'automne. La lumière devient plus subtile et les jours raccourcissent. 
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L'heure de philosophie...
Ceci reste un hymne à la joie. Où se niche la joie ?
Lorsque j'étais étudiante, j'ai beaucoup travaillé sur la question des soins palliatifs. La mort m'obsédait tellement qu'il fallait que j'aille la voir de plus près. Il fallait que je me rende là où tout se passe, dans l'antichambre du départ, dans les confins de l'autre monde. Je m'attendais à observer la nostalgie, la peine, le désespoir, le dépérissement qui ôte toute forme de répit. Ce ne fut pas le cas. Alors évidemment, il serait absurde de dire que les centres de soins palliatifs sont des lieux "réjouissants", pour autant, j'ai été surprise de constater qu'il y régnait une certaine forme de paix, une véritable sérénité, une douceur de l'accomplissement. Il y avait souvent des situations à résoudre, des douleurs à soulager, des mots à formuler, mais il demeurait malgré tout, une joie palpable. Celle qui est capable de reconnaître sans trembler "C'etait bien".
Et voilà ce qui m'intéresse au plus profond de moi, c'est d'observer cette joie glissée dans les interstices. Cette joie qui n'est pas gaieté, qui n'est pas plaisir, qui n'est pas facilité, mais qui est la satisfaction sincère d'être à sa juste place, de sentir son âme s'élever. J'ai déjà ressenti la puissance de cette joie, dans les moments lourds de sens, dans des embrassades de rupture, dans la solennité du devoir.
La joie, au contraire du bonheur et du divertissement n'esquive pas le réel, n'ignore rien de la cruauté des choses. Ni optimiste ni pessimiste, elle invite à voir le monde tel qu'il est, à ressentir des frissons parce-qu'on aura été au bon endroit. Je crois qu'aujourd'hui, j'avais envie de partager cette idée-là. De la rappeler à tous ceux qui aujourd'hui, ont quelque chose d'aide à réaliser, à tous ceux qui se disent que la vie des autres est plus facile, j'aimerais leur murmurer que la joie surgit dans des lieux curieux, dans des recoins sombres, dans des discussions pénibles, dans des décisions dures à prendre. Elle jaillit sur les seuils des portes, quand le respect s'impose plus que la violence.
Où se niche nos joies ? Dans le rayon de lumière, les jours de pluie. Je vous souhaite de sentir ces palpitations là.
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iranondeaira · 1 year
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Je ne laisserai pas entrer le vieux !
C'est la réponse admirée et non génétique que Clint Eastwood a donné au chanteur country Toby Keith, quand on lui a demandé quel était son secret pour rester actif et brillant à son âge.
Quand je me lève tous les jours je ne laisse pas entrer le vieux. Mon secret est le même depuis 1959 : occupez-vous. Je ne laisse jamais le vieil homme entrer dans la maison. J'ai dû le traîner dehors parce que le gars était déjà confortablement installé, me donnant des coups de pied constamment, ne laissant aucune place à autre chose que la nostalgie. Tu dois rester actif, vivant, heureux, fort, capable.
C'est en nous, dans notre intelligence, attitude et mentalité. Nous sommes jeunes avec l'indépendance. Il faut apprendre à se battre pour ne pas laisser entrer le "vieux. "
Ce vieux qui nous attend, debout fatigué au bord de la route pour nous décourager.
Je ne laisse pas entrer le vieil esprit, le critique, l'hostile, les jaloux, l'être qui persécute notre passé nous lier avec des plaintes et des angoisses lointaines, des traumatismes revus ou des vagues de douleur.
Il faut tourner le dos au vieux bavardage, plein de colère et de plaintes, sans courage, qui se renie que la vieillesse peut être créative, déterminée, pleine de lumière et de protection.
Vieillir peut être agréable, et même amusant, si vous savez utiliser le temps, si vous êtes satisfait de ce que vous avez réalisé et si vous continuez à avoir l'illusion, ajoute Clint Eastwood, une légende qui a dix nominations aux Oscars, dont il a gagné quatre statues. Tous après avoir dépassé le seuil des soixante. Ça s'appelle "ne pas laisser le vieil homme entrer dans la maison. "
Ces mots ont frappé le chanteur country Toby Keith si profondément qu'il l'a inspiré à écrire la chanson « Don't let the old main in " (Ne laissez pas entrer le vieil homme), dédié au légendaire acteur.
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sous-france · 8 months
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Sous France : Mémoire d'un quartier populaire
Mon cheminement photographique a débuté par des captures du quotidien dans un quartier populaire de France, celui de mon enfance, la Plaine d'Ozon : des scènes de vie, des sourires d'habitants, des enfants qui jouent, des bâtiments témoins d'une époque révolue. Chaque cliché est imprégné de souvenirs, teinté de nostalgie. Depuis les années 90, j'ai évolué dans le milieu associatif et l'éducation populaire, aux côtés de militants engagés contre le racisme et l'extrémisme. La photographie est ainsi devenue mon vecteur d'engagement, un moyen d'exprimer mon adhésion à ces combats. C'est à travers ma passion pour la photographie que j'ai trouvé une voix, une manière d'exprimer souvent l'inexprimable. Je n'ai jamais cherché à être un porte-parole, mais simplement à donner voix à mes convictions à travers mes images. Parfois, ma démarche a été mal comprise … Néanmoins, l'une de mes plus grandes fiertés reste la présence d'une de mes photos dans un manuel scolaire d'histoire géographie d'un collège. C'est très honorifique de savoir que cette photo permet de sensibiliser des collégiens à la lutte contre le racisme. Au cœur de mon travail, je mets aussi en lumière une jeunesse vibrante, multiculturelle, invitant chacun à s'élever, à respecter autrui, à valoriser ses talents. Après plus de 15 ans derrière l'objectif, je réalise que je suis devenu le témoin d'une histoire, celle d'un quartier en mouvement, en évolution. Ma passion demeure intacte, et j'espère continuer à contribuer à la mémoire collective de mon quartier, à sensibiliser, à inciter à l'action. Chaque image est une pierre apportée à l'édifice d'une société plus juste, plus inclusive.
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
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alioversus · 2 months
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Non Uccidere il Pesce d'Oro
Julien Ash & Antonella Eye Porcelluzzi | Mahorka | 2024
1. Fin août, tard le soir, dans une zone balnéaire pas que jolie, qui bientôt se dépeuplera. Elle en a un grand souvenir d’autrefois, et d’autrement. Le temps transforme tout. Voilà. C'est la pleine lune. Sentiments contradictoires. Ou tout simplement l'un qui aimait plus que l'autre, ou plutôt l'une en l'occurrence. Retenir ou laisser partir, sempiternelle question. Retenir et soumettre, se rendre minable… Ou laisser partir — et mourir de tristesse sur une plage sale, couverte de cadavres de 8.6 et de 1664. 
2. Heureusement, elle pouvait compter sur l’anesthésie du clubbing, l’illusion de la résilience, l’hypertrophie de l’ego, sage, autonome, conquérant… Des projecteurs dansaient au-dessus d’eux qui dansaient, tantôt fous dans la lumière, tantôt dévastés dans la pénombre. Une sensualité trouble pour dernier filet. Le contact de deux ou trois corps inconnus. Et dans l’inconscient déjà le germe du regret futur. Les lieux de fête sont des lieux de blues. C’est dans ce genre d’endroit que vomissait Gainsbourg quand il oubliait de porter son masque. Miroirs et rasoirs dans les couloirs, les toilettes… Mieux vaudrait peut-être faire couler le sang. Plutôt flinguer son flair est le choix dominant. 
3. Dans l’enfance, dans son pays d’origine, les matinées étaient tendres, pétillantes, à peine perturbées par une brise ensoleillée. La vie n’était pas plus facile, mais avec le recul, on lui trouverait des côtés candides, sincères, authentiques… C’est parce que les gens de là-bas sont souvent morts à présent. Et parce que l’enfant qu’elle y était est morte également, d’une certaine façon. Elle y retournera un jour — pour y renaître encore une fois. 
4. Elle fait partie de ceux qui ont un sens décalé de la chronologie. Son passé et son présent se réinventent constamment, en fonction de sa qualité de conscience ; et il n'y a jamais de travestissement. Tu vas voir. Tu vas entendre. Cela ne sera pas logique, mais cela aura le poids de l’évidence. Cela résonne depuis un lointain trauma. Scie circulaire et ouroboros. Éros et Thanatos. Yin et Yang. Cela a le ton du reproche et celui de la proposition franche. Cela prendra le temps qu’il faut. Suspension, vibration : harmoniques… Ce qui reste dans le cœur et le cerveau, bien après qu’a cessé la parole. Et voici bientôt que s’ouvre un passage. Le coulissement obscur des grandes portes métalliques — d’un paradis ? Patience encore. Ça y est, les anges trinquent, incontinents : une ola de coupes dressées, hémoglobine dyonisiaque — en l’honneur de leurs faiseuses persécutées. Puis dans un grincement de plomb et d’airain, la nuit de l’Autre se recroqueville sur eux. 
5. Il existe une sonate au clair de lune, et nous voulons faire tout l’inverse, ou presque : une bourrée au soleil noir. Le moment n’est-il pas venu de faire basculer l’essence dans la structure, dans la sculpture — comme un poisson dans l’or ? Le moment de déverser l’Étoile condensée sur tous les réseaux ? Leur binaire pourrait devenir ternaire par notre seule volonté. Mais hélas, par derrière, au point limite de pénétration de l’interface, cette satanée nostalgie qui affleure… Comme un vinyle qui craque. Il nous faudrait être plusieurs. Mais comment éviter le délitement de ce qui se sépare ? Comment ne pas tuer le Poisson que l’on veut voir nager dans un métal en fusion ?
6. Révélé, un secret perd tout son pouvoir. L’important n’est pas ce qui est caché, ce qui est tu en soi, l’important n’est pas la clef du mystère, l’important est le souci de garder quelque chose, de le préserver, de le chérir — douloureusement. De la famille jusqu’à Dieu… Plutôt le silence qu’une lumière aveuglante. La blessure se chuchote, l’initiation se murmure, l’humilité se scande. 
7. La faute était nécessaire, c’est elle qui a permis de sauver son monde. Au petit matin, comme un second printemps, la liberté s'est mêlée aux scintillements de la Méditerranée. Sur le port, les pêcheurs installent leur marché. Elle sourit à la puissance qui la dépasse, physiquement et intellectuellement, mais qui la propulse vers la vie, de tout son cœur rassuré. Rinçage des pavés à l’eau claire. Odeur de marée. Aux mâts inébranlables ne flottent plus que des voiles de mariée.
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lisaalmeida · 9 months
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Je parle au vent,
peut-être qu'il m'écoutera plus que toi ...
et c'est peut-être le seul moyen de vous joindre.
Ça m'emmènera où personne ne pourra me trouver,
Je lance ...
pour vous rejoindre.
Mon âme te cherche ...
Pouvez-vous comprendre qui je suis?
Je ne veux pas te donner d'indices,
Je sais que nous nous (re) retrouverons sous un grand chêne,
une nuit où les étoiles chanteront et descendront pour toucher nos visages,
neige chaude.
Et nous serons Noël.
Les nuages.
la pluie,
feu
mer et lumière.
Nous serons ce que nous sommes déjà et qui nous étions.
Compréhension et complicité parfaite.
Je cherche de la nourriture dans mes yeux,
vous trouverez une partie de vous-même,
une partie de nous qui n'a jamais disparu,
maintenu en vie par l'ardeur qui a alimenté nos sens,
par les mots chuchotés la nuit,
des rêves de deux amoureux fous
par rationalité réduite au silence,
de nos cœurs qui s'élançaient dans le train de la vie.
Et nous nous prendrons par la main.
Nous entrelacerons nos doigts.
Nous tisserons des émotions,
loin de tout "si",
le "mais",
et le "qui sait".
Loin de toutes nos peurs,
loin de mon "pourquoi" et de mon "bien".
Loin ...
être le plus beau cadeau à jeter,
pour (re) avoir cette partie de moi que je vous ai laissée avec un grand arc devant une porte fermée.
Je ne veux plus être présence dans le besoin.
Je veux t'embrasser aux quatre coins du monde.
Pour toi,
essence de l'amour et non de la possession,
l'odeur de la bruyère dans notre jardin,
la douce nostalgie des caresses avait,
le long baiser dès que tu te réveilles.
Je serai le câlin qui te protégera,
le bras qui vous soutiendra.
Et tout ça
seulement
écoute
un coup de vent
et un sourire dans le vent ...
.....
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tournesolaire · 16 days
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Ce matin c'était un de ces matins comme avant, quand j'étais petite et que je me préparais pour aller à l'école
Il pleuvait dehors et il faisait sombre et frais dans la maison, j'avais les cheveux en pagaille
J'étais la seule réveillée, maman dormait encore
Je suis allée dans la cuisine, j'ai allumé la lumière encore à moitié assoupie et pour la première fois depuis des années je me suis préparé un chocolat chaud
J'entendais les gouttes de pluie contre la gouttière
J'ai pris des céréales, des carrés au chocolat comme il y a longtemps et j'ai même fait trempette hehe
C'était un matin calme et j'ai trouvé un sens de réconfort dans cette nostalgie des matins oubliés
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.
il faudra un jour se souvenir du passé
le lire comme on lit un retour de fleur
une extension d’un roman
rencontrer à nouveau ce qui n’est plus
pour passer enfin à l’oubli
parmi les cris des enfants qui s’amusent
là dans le paysage reconstruit de notre mémoire
passer pour repasser encore
passer pour s’apaiser sans fin        
la nostalgie est un jardin qui se dilue dans la lumière qui se lève
.
© Pierre Cressant
(samedi 29 avril 2023)
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manamihanako · 4 months
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TXT - DEJA VU [VOSTFR]
Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.
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Artiste : TXT
Chanson : DÉJÀ VU
————————————————————————
Oui, j'ai fui d'innombrables fois
Par simple peur
Te laissant attendre à la ligne de départ
Le langage morse résonne au milieu des décombres
Une vieille promesse, promesse
Sans comprendre la raison de mes larmes, mon anemoia*
Toi et moi, sous la promesse étoilée
Devant nos couronnes poussiéreuses
Encore une fois, comme le rêve gravé dans mon âme
Sois mon éternité, dis mon nom
Je me souviens de la réponse que j'ai enfin trouvée
Mon avenir, c'est toi
Prononce mon nom
Je te serrerai fort dans mes bras, comme promis le premier jour
Comme du déjà-vu
Tu as un air de déjà-vu
Dis-le
Dis-le
Dis-le, dis-le encore plus fort
Dans cette pluie ardente qui me brûle
Au cours de ce voyage long et éternel
La tristesse que nous avons partagée est ma clarté
Elle réside dans tes larmes
Oh, même lorsque je m'écroule, tu es tout ce dont j'ai besoin
Au milieu de toutes les ruines, notre lieu de promesse
Le pays du repos, le retour de l'éternité
Tu es celle qui m'a attendu
Je me souviens de la réponse que j'ai enfin trouvée
Mon avenir, c'est toi
Prononce mon nom
Je te serrerai fort dans mes bras, comme promis le premier jour
Comme du déjà-vu
Tu as un air de déjà-vu
Dis-le
Dis-le
Dis-le, dis-le encore plus fort
Je te le promets, encore et encore
Tu es mon avenir (c'est toi)
Sous le voile de lumière
Je te serrerai fort, toi qui rayonnes comme une mariée
Comme du déjà-vu
Tu as un air de déjà-vu
Dis-le
Dis-le
Dis-le, dis-le encore plus fort
Notes de traduction :
- "Anemoia" est un terme inventé par John Koenig dans son dictionnaire "The Dictionary of Obscure Sorrows" (Dictionnaire des peines obscures). Il décrit un sentiment de nostalgie pour une époque que l'on n'a jamais connue. Il s'agit essentiellement de la sensation d'être nostalgique d'une époque ou d'une période de l'histoire que l'on n'a pas vécue.
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esther-nvr · 6 months
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Référence commentées
Joaquin Sorolla
Ce peintre était connu pour ses œuvres lumineuses et vibrantes qui capturaient la vie quotidienne en Espagne à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Il excellait dans la représentation de la lumière, utilisant des couleurs vives et des effets de lumière pour créer des toiles éclatantes. Outre ses compétences artistiques, Sorolla était également un homme très engagé socialement. Il a utilisé son art pour sensibiliser aux problèmes sociaux de son époque, notamment en peignant des scènes de la vie quotidienne des pêcheurs, des ouvriers et des enfants défavorisés. Son engagement et sa vision de la famille reflétés à travers ses oeuvres, sont une source d'inspiration pour mes propres créations. 
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Frida Kahlo
Frida Kahlo est une artiste mexicaine du XXe siècle, célèbre pour ses autoportraits émotionnels et introspectifs. Son œuvre explore la douleur physique et émotionnelle, l'identité, le genre et la culture mexicaine. Elle a utilisé la peinture comme moyen d'exprimer son vécu, marqué par un accident traumatisant, une relation tumultueuse avec Diego Rivera et un engagement politique. Ses tableaux, riches en symboles, sont aujourd'hui reconnus mondialement, faisant d'elle une figure féministe emblématique de l'art. En tant que femme, la puissance de ses œuvres m'a inculqué une vision plus impactante de l'art.
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Willy Ronis
Willy Ronis était un photographe français renommé, reconnu pour ses contributions significatives à la photographie humaniste. Né à Paris, son travail a capturé la vie quotidienne et les scènes de rue, mettant en lumière la beauté de l'existence ordinaire. C'est à travers son livre "ce jour là" que j'ai découverts Willy Ronni, c'est avec son oeuvre que ma passion pour l'argentique fût révélée. Ses photographies, empreintes de sensibilité sociale, reflètent son engagement envers les valeurs humanistes et son intérêt pour la condition humaine. Ronis est particulièrement célèbre pour ses images intemporelles de Paris et pour avoir documenté la vie des travailleurs et des familles. 
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Tishk Barzanji
Tishk Barzanji est un artiste visuel et illustrateur basé à Londres, connu pour son travail artistique contemporain. Originaire du Kurdistan irakien, Barzanji a fui la région en raison de conflits armés pour finalement s'installer au Royaume-Uni. Son art se caractérise par des paysages urbains surréalistes et des compositions abstraites, souvent dominées par des teintes pastel et des formes géométriques. Barzanji explore des thèmes tels que la nostalgie, la mémoire et l'étrangeté à travers ses créations, qui ont été exposées dans plusieurs galeries et ont attiré l'attention pour leur esthétique distinctive et leur narration visuelle intrigante. Le parcours de cet artiste me touche particulièrement, il arrive à exprimer son histoire d'une façon poétique. 
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Iris van herpen
Iris van Herpen est une créatrice de mode néerlandaise renommée, née en 1984. Elle est reconnue pour son approche avant-gardiste et innovante de la mode, explorant les intersections entre la technologie, la science et l'art. Ses créations sont souvent caractérisées par des techniques de coupe complexes, des matériaux futuristes et des formes sculpturales uniques. Van Herpen a collaboré avec des scientifiques, des architectes et des artistes pour repousser les limites de la mode contemporaine. Je trouve sa façon de travailler avec les volumes et l'espace l'espace très intéressante. J’ai énormément apprécié son exposition sculpting the scene MAD (musée des arts décoratifs) cela m’a permis d’apprendre d’avantage sur sa manière de travailler ses créations ainsi que de comprendre sa vison du monde. Elle a fondé sa propre maison de couture, Iris van Herpen, en 2007, et ses collections ont été présentées lors de défilés de mode internationaux, suscitant l'admiration pour son approche visionnaire de la création de vêtements.
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Daniel Roseberry
Daniel Roseberry est un designer de mode américain, surtout connu pour son rôle de directeur artistique de la maison de couture Schiaparelli. Né en 1986, il a été nommé à ce poste en 2019, apportant une vision moderne et innovante à la maison de couture fondée par Elsa Schiaparelli. Roseberry a gagné en reconnaissance pour ses créations audacieuses, combinant l'héritage surréaliste de Schiaparelli avec des éléments contemporains. C'est ce que j'apprécie dans ses créations, souvent caractérisées par des détails excentriques et des formes inattendues. Il arrive à créer des pièces qui se démarquent dans le monde de la haute couture. Daniel Roseberry a ainsi contribué à insuffler une nouvelle vie et une nouvelle énergie à la maison de couture emblématique.
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Wes Anderson
Wes Anderson est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 1er mai 1969. Il est connu pour son style cinématographique distinctif et sa mise en scène visuellement captivante. Son travail est souvent caractérisé par des décors minutieusement conçus, des couleurs vives, des dialogues stylisés, une utilisation distinctive de la musique et une distribution récurrente d'acteurs tels que Bill Murray, Owen Wilson, et Jason Schwartzman. Les films de Wes Anderson sont souvent considérés comme des œuvres d'art visuelles, et il a reçu de nombreuses nominations et récompenses pour son influence unique dans l'industrie cinématographique. Son travail est remarquable et très pointilleux, tout est dans le détail et je trouve cela très important. Selon moi le détail est ce qui permet à une oeuvre d'apporter plus d'intention.
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gai2024 · 7 months
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
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Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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vii-illu · 1 year
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Vii, Recycler mes lunettes roses, 2023, wood, fabric, acrylic paint, disposable water bottles, LED light, installation.
Vii, Recycler mes lunettes roses, 2023, bois, tissus, acrylique, bouteille d’eau jetable, lumière DEL, installation.
Ma pratique artistique, centrée sur la nostalgie et la mémoire, s’attache aux enjeux de justice sociale et environnementale. Recycler mes lunettes roses change l’échelle du jouet lumineux Lite-Brite™, que j’avais lorsque j’étais enfant. Ses gros pions étant désormais faits de bouteilles d’eau jetables colorées, symboles de la catastrophe climatique imminente et d’un changement de comportement nécessaire, l’objet interactif représente l’innocence et l’insouciance qui est la nôtre face à la réalité des problématiques actuelles. Il en résulte un jouet mélangeant deux imaginaires contradictoires : l’univers ludique de l’enfance et celui de la responsabilité individuelle face à la crise environnementale. Dans ce contexte d’anxiété grandissante, vous êtes invitée-e-s à suspendre le temps et la réalité en jouant avec la sculpture, idéalement à plusieurs puisque la solution à ces enjeux semble se trouver dans l’action collective.
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pauline-lewis · 10 months
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La nuit brille de tous ses feux
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Je me souviens très bien du jour où mon père a posé Paris ailleurs sur la table du salon. Il est passé de mains en mains de mes sœurs à moi, on a scruté cette photo en noir et blanc.     Ce jour-là le disque tournait pour la première fois mais pas pour la dernière dans le salon. Je l'ai écouté tant de fois enfant qu'il a aujourd'hui encore le goût de la joie familiale, de l'été breton, des voyages en voiture et un peu de l'interdit aussi, avec ses paroles que je ne comprenais pas toujours mais que j'imaginais faire référence à des plaisirs que je ne connaissais pas (encore). Parfois je m'en suis éloignée, quand j'ai voulu m'émanciper sans conviction du goût familial, mais j'y suis toujours revenue, pour retrouver une saveur ancienne qui pourtant s'actualisait toujours et prenait la forme de celle que je devenais parfois laborieusement. J'ai toujours écouté les nouveaux disques d’Étienne Daho, assisté avec mes parents et mes sœurs à ses tournées comme on retrouve avec plaisir ces ami•es qui vivent loin, chanté sans me lasser saudade ouh yeah à la gloire de tes prunelles marines. (Et revisité sans relâche et avec fausses notes ses chansons au karaoké mais deux mentions du karaoké dans la même semaine n'est-ce pas un peu too much ?)   Hier à Brest Etienne Daho a chanté tous ses tubes avec une énergie folle et moi je voyageais dans le temps, vers ces étés qui semblaient sans fin comme si j'avais encore 10 ou 15 ou 20 ans. Mais c'était un voyage sans nostalgie, de ceux qui ne peuvent se faire que dans l'euphorie bien réelle de l'instant présent. En plein dans la lumière. Et quel bien ça m'a fait.
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dabo60 · 1 year
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Je ne laisserai pas entrer le vieux !
C'est la réponse admirée et non génétique que Clint Eastwood a donné quand on lui a demandé quel était son secret pour rester actif et brillant à son âge (93 ans)
Quand je me lève tous les jours je ne laisse pas entrer le vieux. Mon secret est le même depuis 1959 .
Occupez-vous... Je ne laisse jamais le vieil homme entrer dans la maison. J'ai dû le traîner dehors parce que le gars était déjà confortablement installé, me donnant des coups de pied constamment, ne laissant aucune place à autre chose que la nostalgie.
Tu dois rester actif, vivant, heureux, fort, capable.
C'est en nous, dans notre intelligence, attitude et mentalité.
Nous sommes jeunes avec l'indépendance. Il faut apprendre à se battre pour ne pas laisser entrer le "vieux. "Ce vieux qui nous attend, debout fatigué au bord de la route pour nous décourager.
Je ne laisse pas entrer le vieil esprit, le critique, l'hostile, le jaloux, l'être qui persécute notre passé nous lier avec des plaintes et des angoisses lointaines, des traumatismes revus ou des vagues de douleur.
Il faut tourner le dos au vieux bavardage, plein de colère et de plaintes, sans courage, qui se renie que la vieillesse peut être créative, déterminée, pleine de lumière et de protection.
Vieillir peut être agréable, et même amusant, si vous savez utiliser le temps, si vous êtes satisfait de ce que vous avez réalisé et si vous continuez à avoir l'illusion, ajoute Clint Eastwood.
Une légende qui a dix nominations aux Oscars, dont il a gagné quatre statues. Tous après avoir dépassé le seuil des soixante ans . Ça s'appelle "ne pas laisser le vieil homme entrer dans la maison. "👍
Ces mots ont frappé le chanteur country Toby Keith si profondément qu'il l'a inspiré à écrire la chanson « Don't let the old main in " (Ne laissez pas entrer le vieil homme), dédié au légendaire acteur. 👍❤️
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claudehenrion · 2 years
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Ici, jadis, était un village de France...
  Je sais ce que vous allez me dire : le mien, de village, n'était pas en France, mais dans un ''Protectorat'', sorte de colonie, le futur violent en moins (en principe) : un jour, ses habitants re-voleraient pacifiquement de leurs propres ailes. (NB : au moment dont je vous parle, personne n'était vraiment pressé de voir ça). Mais mon village (en fait un ''quartier dans une grande ville''), était bien là, si peu différent de tous les autres, situés ''en Métroplole''... ou partout dans cet Empire français, si impressionnant sur les cartes ''Vidal-Lablache'' accrochées aux murs de la classe, avec sa couleur mauve clair et ses noms familiers... Nous le comparions sans cesse au rose mièvre de l'Empire britannique, et on préférait de beaucoup le nôtre.
Il y avait donc là une petite école primaire, l'Ecole Communale de L'Aguedal, où Monsieur-le-directeur enseignait les ''7 ème'', son épouse, Madame Auque, les ''9 èmes'' (tous deux,  de Carcassonne, avaient gardé un accent ''au cassoulet et à la fougasse'' --elle nous parlait, en roulant les ''R'', de la grran-mmèrre à propos de la grammaire), et pour les ''8 èmes'', un homme admirable, Monsieur Grandin, gazé à l'ypérite en 1915. Tous ‘’ses enfants'' l'ont adoré, même s'il avait la gifle rapide et efficace (mais juste !), ce qui lui vaudrait aujourd'hui la une de tous nos journaux imbéciles, la stigmatisation des jocrisses du Ministère, et une plainte auprès du Procureur qui n'a pas que ça à foutre, incapables qu'ils sont, tous, de voir, dans leur grille de lecture hermétiquement grillagée, qu'il avait la transmission des savoirs plus rapide encore ! C'est simple : après 3 ans dans cette petite école, en gros, ''on savait à peu près tout, sur à peu près tout'' (cf les épreuves du Certificat d'Etudes Primaires de l'époque. Ce que nous savions est à peine croyable, aujourd’hui !).
Monsieur Grandin exigeait que nous sachions par cœur (et nous ne les avons pas oubliées 80 ans plus tard, au mot près) de jolies poésies comme celle-ci : ''Ici, jadis, était un village de France -- Dont les jours, doucement, coulaient au fil de l'eau -- Et l'arche d'un vieux pont joignait, d'une alliance, à la verte forêt la blancheur du hameau. -- Les heures du clocher, tintant dans la lumière, mariaient leurs sons clairs au pas lent des grands bœufs --qui faisaient, en buvant au bord de la rivière, sous les arbres courir des cercles lumineux...''.
Je ne sais pas si cette représentation d'une civilisation encore agricole est restée fréquente dans nos campagnes abandonnées : les poids lourds qui traversent le village pour échapper au péage, les trottoirs rétrécis et les feux tricolores qui ont accompagné cette invasion fumante, la fermeture des quelques boutiques, et celle de l'école et des services ''ex-publics'' ont fait des images de rêve de mon enfance un ''désert'' où ne survivent encore que quelques ''vieux'' délaissés, plus ou moins abandonnés, pauvres successeurs des ''anciens'' respectés d'époques révolues... Mais pourquoi cette soudaine évocation en forme de ''crise de nostalgie'' ?
Parce que notre Président, empêtré dans les contradictions de son pauvre logiciel illogique de perception d'un réel qu'il invente au fur et à mesure que des crises éclatent, et en l'absence d’un système cohérent lui permettant de prévoir quoi que ce soit, a décidé, tout seul dans son petit coin, de détruire le peu qui pourrait rester de ce qui fut ''la France'', avant lui : les néo-réfugiés en provenance du monde musulman devraient --si on l'en croit !-- porter des chapeaux ronds et jouer du biniou ! Mais quelle naïveté ! C'est pitoyable !
Les exigences ravageuses de la doxa progressiste interdisent que subsistent des coins où l'homme  de ce XXI ème siècle, dégoûté par toutes les non-solutions et les anti-réponses que lui proposent des ''leaders'' incapables, archi-nuls et même néfastes pour la France et les français, rêve de retrouver un peu de la pureté d'un ''paradis perdu'' --peut être un peu magnifié, mais tout de même plus proche de ses rêves que le purgatoire punitif macronien en voie de devenir ''la seule alternative'' --comme disent les cuistres... La dernière trouvaille de nos irresponsables est à souligner en rouge : puisqu'on ne sait vraiment plus quoi faire des hordes hostiles qui ont envahi nos banlieues, au lieu d'en arrêter les vagues, comme il suffirait de le faire, ''il y a ka'' les mettre... là où elles seront totalement incontrôlables --donc incontrôlées... Mais comme il faudra un certain temps pour que ça devienne dérageant... ça laisse le temps de s'attaquer à d'autres secteurs de la société, la retraite, ou la mort par assassinat légal, par exemple, et à poursuivre la totale déconstruction de tout. En somme, c'est un ''remake'' de la monstrueuse connerie de Merkel en 2015. L'Europe ne s'en est jamais remise ? Peu importe : on se souvient de cette vieille règle du Sapeur Camembert : ''Quand on veut boucher un trou, il suffit d'en creuser un autre, encore plus grand, juste à côté'' !
Nos villages de France vont donc (pour détruire aussi la célèbre phrase du moine Raoul Glaber) ''se couvrir d'un blanc manteau de mosquées'', car il est évident que les nouvelles ''médinas à la campagne'' ne vont pas être plus intégratrices que toutes les autres folies que nos irresponsables ont déjà essayées, à (nos) grands frais :  il serait temps que nos lamentables grands esprits si petits réalisent enfin que pas un seul de ces nouveaux arrivants (en disant pas un seul, j'exagère à peine...) ne vient chez nous pour s'intégrer : ils sont là pour nous détester --et Macron a fait tout ce qui pouvait être fait pour fabriquer cet ''échec du succès''--, nous mépriser, haïr nos idées et ce que nous sommes, remplacer le Dieu de nos pères --que nous avons laissé tomber, sans  raison objective-- par un Allah exogène et inamical envers nous, qui ne nous apportera, en gros, jamais rien de bon... Et aussi pour prendre le plus vite possible la place que les plus inconséquents d'entre nous (les maires de gauche ou les ‘’zécolos’’) sont déjà prêts à leur abandonner...
Cette stupidité de reporter un problème insoluble là où il n'a vraiment aucune chance d'être résolu, au prétexte de ''mettre la ville à la campagne'' (Alphonse Allais), ça porte un nom, dans l’Histoire : une reddition... en pleine campagne ! Mais comment peuvent-ils avoir des idées aussi imbéciles... et oser les proférer en public, comme si elles avaient un sens ? Monsieur Grandin, ce héros de la Grande guerre promu instituteur, doit se retourner dans sa tombe. Qu'il se rassure : ses anciens élèves sont bouleversés devant ce déferlement incontrôlable de solutions ''à la Gribouille''. La folie, je le confirme encore, est bel et bien sortie des asiles !
H-Cl.  
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