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#on se serre les coudes
protowillow · 14 days
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contre mon coeur je serre encore des morcellements de mon âme en espérant les recoller avec du sang coagulé, les quelques larmes que je me refuse à te donner et les racines de mon hêtre
ce sont des choses que je ne peux pas réparer qui m’emplissent d’autant de néant
finalement autrefois j’espérais me réparer moi-même - dorénavant, j’espère ne pas me briser encore plus sous des coups de dents, de lames, de mots et de poings
mon âme continue de se terrifier au fond d’elle-même et je me sens comme une cavité de grotte, un creux dans le coude, un trou dans le cœur
je suis une artère qui bat encore d’un poul assez fragile mais qui continue par espoir, qui espère encore et encore
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girafeduvexin · 9 months
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J'ai fini Tocaia Grande, roman brésilien, immense roman brésilien, ultra bien, je recommande, sur une communauté marginale qui se serre les coudes au XIX/XXème siècle ? Un truc du genre, dans les cultures de cacao.
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atticuswritersoul · 2 years
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02/12/18 : Sa neige
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La neige tombe depuis le ciel dans une danse gracieuse, recouvrant la Terre d'une légère couche blanche. Son yeux gris sont immobiles, regardant à travers la fenêtre le paysage qui prend forme devant lui. Ses cheveux noirs de jais sont sagement coiffés sur son crâne. Son dos se tient droit contre le siège. Il ressemble à une statue de cire, et seule sa respiration, calme et régulière, trahit son existence.     Le manoir est vide. Sa mère et son frère sont sortis dehors, sa sœur est avec son mari, chez eux, ses neveux sont à l'école, ou alors sous la neige, il n'en sait rien... ses amies ne sont pas là. Le manoir est vide, vide comme sa tête et ses pensées. Il est là depuis des heures, à fixer cette fenêtre et ces flocons, à se torturer l'esprit de ses sombres pensées. Il ne se rend pas tout de suite compte de la porte qui coulisse. Il ne sent pas tout de suite sa présence. Ce n'est qu'en entendant le claquement de ses talons contre le sol, qu'il comprend qu'il n'est plus seul. Il n'exécute pas le moindre geste, son visage reste impassible, ses yeux sont concentrés sur les flocons, son dos est toujours aussi rigide. Seule sa respiration semble s'accélérer doucement, à mesure qu'elle semble se rapprocher de lui.     La première chose qu'il note, c'est son parfum qui sent la cerise. Et ensuite, il aperçoit ses boucles brunes qui encadrent son visage. Son petit nez, ses traits légèrement enfantins, signe qu'elle n'est une adulte que depuis quelques années. Un rictus ironique menace de recouvrir ses propres lèvres, quand il se dit que lui-même doit avoir l'air encore plus jeune qu'elle. Il recentre son attention sur les flocons blancs tandis qu'elle prend place sur le siège à côté de lui. Elle ne dit rien, et les flocons tourbillonnent sur eux-mêmes dans une chorégraphie innée, toutes différentes, chacune unique, et toujours avec tant de beauté.      Il s'est toujours dit que la neige est magique. Qu'elle possède le don le plus merveilleux au monde, celui de purifier tout ce qui se trouve sur son passage. Même la pierre la plus noire, la plus corrompue et la plus grosse se retrouve enveloppée de cette couche blanche. Mais alors, pourquoi ses idées noires persistent-elle à le poursuivre ? Pourquoi la neige ne les recouvre-t-elle pas elles aussi ? Pourquoi l'ignore-t-elle ? Peut-être parce que c'est une cause perdue d'avance... parce que, quelque part, sous ces visages impossible à chasser de son esprit, dans ce sentiment de culpabilité, de peine, de rage, de colère... tout ça, il le mérite. Et la neige le sait, elle aussi.       Ses paupières se sont fermées sans qu'il ne le veuille. Son dos se courbe, ses coudes s'appuient sur ses genoux, et ses mains prennent sa tête entre elles. Ses épaules tressautent, mais rien ne sort d'entre ses lèvres. Seules des gouttes, rouges comme des roses, glissent le long de ses paumes en traçant un sillon ensanglanté sur ses joues. Sa gorge se serre, il suffoque. Il veut crier, hurler, s'époumoner à s'en casser la voix, sortir et s'enfuir, ne plus jamais revenir. Il veut cracher sur cette neige, qui le rejette, ne plus avoir à voir ces regards sur lui. Mais il ne peut pas, il en est incapable. Et ça le fait se sentir tellement, tellement faible. Alors il garde sa bouche fermée, serre très fort sa mâchoire, laisse ses mains essuyer le sang qui coule sur son cou, et se redresse avec la même impassibilité qu'il a depuis ce matin. On dirait que rien ne s'est passé, qu'il a toujours été cette statue immobile et rigide, dont le dos droit est collé contre ce siège, avec son regard gris métallique perdu sur les flocons, sa respiration calme et régulière.
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laudys83 · 1 year
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Venec et Alzagar se retrouvent à la taverne, dans un baquet d’eau fumante placé près d’une cheminée où des flammes lèchent et dévorent les bûches qu’ils ont jeté là. Silencieux, face à face, laissant ça et là des sourires et des petits rires presque gênés, ils se regardent, s’observent, comme s’ils se voyaient pour la première fois. C’est le chasseur de primes qui brise le silence en premier:
« Viens là »
Il agite légèrement l’éponge qu’il a pris dans sa main et Venec sourit, se rapproche et lui tourne le dos. Doucement, tendrement, il savoure sa caresse sur son dos, bientôt remplacée par des lèvres douces, un souffle brûlant, des bras qui font le tour de son corps pour se refermer sur son torse. Venec s’appuie sur Alzagar, lève un regard interrogateur sur lui:
« Qu’est-ce qu’il y a? »
« Tu ne vas pas le dire, hein? »
« Dire quoi? »
« J’ai lu ta lettre… »
Alzagar sent son pouls s’accélérer, même s’il n’a pas grand chose à craindre. Après tout, Venec est revenu à lui. Il a fait comme si de rien n’était. Ses lèvres entrouvertes courent sur son cou pour se refermer, doucement, sur la peau qu’elles viennent de caresser. Il ne sait quoi répondre aux mots de Venec, qui rit:
« T’as pas les couilles, pas vrai? »
Il le serre dans ses bras, cache son visage dans le creux de son cou. Il n’ose pas lui dire qu’il tremble de peur à cette idée, qu’un sale goût a envahi sa bouche, comme s’il allait vomir.
Et puis, il pleure.
D’abord doucement, aussi discrètement que possible, puis les sanglots s’intensifient, entre soulagement, bonheur, terreur, tous ces sentiments contradictoires et pourtant si proches. Venec fronce les sourcils, s’éloigne de la chaleur de ses bras et se tourne pour lui faire face. Alzagar cache toujours son visage, mais cette fois dans le creux de son coude. Il a honte. Honte de pleurer, pour ça, de montrer cette facette à Venec. Cette facette qui veut dire: si tu savais à quel point j’ai eu peur de ne plus jamais te revoir… si tu savais comme j’ai même cru que tu resterais à Rome plutôt que de revenir… si tu savais comme ton sourire m’a tordu les entrailles… si tu savais comme j’ai envie d’y croire, mais comme j’ai peur d’y croire.
Venec sait.
Il passe sa main gauche dans ses cheveux, pose la droite sur son avant-bras, son pouce caressant la peau mouillée, d’eau ou de larmes, il ne sait pas trop, il faudrait qu’il goûte pour en être sûr. Il aimerait goûter ses larmes, même si ça paraît cruel, juste parce que c’est la dernière partie intime de lui-même que sa langue n’a pas touché. Avec une assurance qui le surprend lui-même, il avance son visage, l’approche tout près de la main baguée, dépose un baiser, doucement, tendrement, sur cette bague achetée à Rome. Il pourrait sucer ce doigt, mais lui, comme Alzagar, n’y verrait que l’expression de son désir pour lui, alors qu’il y a tellement, tellement plus. Au lieu de ça, ses lèvres s’ouvrent, se referment sur sa peau, inlassablement, progressant centimètre par centimètre jusqu’à l’endroit de son bras où les poils disparaissent brutalement, où il n’y a plus que la peau, blanche, si douce, si pâle, là où celle de Venec est si foncée après ce séjour en Italie, et ces grains de beauté, posés ça et là, qu’il embrasse plus passionnément, plus intensément. Il atteint son épaule, repousse doucement les boucles noires qui cachent son visage, qui lui permettent de pleurer en toute confidentialité. Encore un grain de beauté, sur la clavicule. Un autre, plus près de la gorge, serrée. Autant de petits cailloux qui tracent un chemin jusqu’à ses lèvres, jusqu’à son visage. Alzagar résiste encore, ne relevant pas la tête, et Venec doit se démener pour pouvoir embrasser sa joue, presque chastement, et appuyer sa tempe contre la sienne. Leurs deux peaux sont brûlantes, presque fiévreuses, l’un d’avoir trop pleuré, l’autre d’être trop heureux. Les doigts de Venec repoussent quelques boucles derrière son oreille, sa bouche s’approche tout près, et son corps entier reste immobile, sauf ses lèvres.
« Je veux l’entendre. J’ai besoin de l’entendre. Si tu le dis, je te le dirai aussi »
Un long silence, puis un reniflement, le bruit du froissement de la peau par un autre morceau de peau.
« Pourquoi pas toi en premier? »
La voix est encore tremblante, hésitante, épuisée par toutes ces émotions.
« Je ne suis pas une tapette, moi. Si tu veux que je le dise en premier, je le dirai »
Alzagar ne rit pas à la plaisanterie. Venec grimace. Trop tôt, peut-être. Mais il acquiesce, imperceptiblement. La façon donc il redresse la tête est bien plus significative; un cerf aux aguets, guettant le moindre son pour fuir ou continuer à brouter tranquillement. Un moment suspendu dans le temps, qui peut décider de sa vie ou de sa mort. Mais si le cerf vit ce genre de moments des centaines, des milliers de fois, pour certains hommes, ce n’est qu’une fois dans leurs vies, et la mort ne serait alors que métaphorique, bien que pire que la mort physique. Qu’y a-t-il de plus douloureux qu’aimer quelqu’un qui ne vous aime pas en retour?
La respiration de Venec s’accélère, il émet un petit soupir contre l’oreille d’Alzagar: il n’a jamais prononcé ces mots, il veut en savourer chaque instant, s’en souvenir jusqu’à ses vieux jours, quand ils seront allongés dans leur lit et qu’ils en plaisanteront.
« Je… t’aime… »
Il n’hésite pas, mais prend son temps. Étrange comme c’est une des phrases les plus simples à dire avec la bonne personne. Il n’aurait pas voulu la dire à qui que ce soit d’autre, pas même à Arthur. Alzagar ferme longuement les yeux, ses lèvres s’étirant en un sourire stupide mais heureux, son cœur explosant dans sa poitrine, comme naissant, vivant et mourant en l’espace de ces trois mots. Toute la tension accumulée dans son corps disparaît, et sa tête tombe en arrière contre le bois du baquet. Il est beau, se dit Venec. Il se rapproche et l’embrasse sur la joue, longuement, se moquant des poils qui piquent ses lèvres, qui l’empêchent d’atteindre sa peau. Mais Alzagar pose ses mains sur son visage, l’attire à lui, pose sa bouche sur la sienne, glisse sa langue en lui, pour le goûter, parce que chaque baiser est différent du précédent, qu’aucun n’est banal, lancé à la va vite, et que celui-là est spécial. Il dure, dure, dure, jusqu’à ce que l’eau soit trop froide, comme s’ils ne peuvent pas se séparer, ne serait-ce que pour respirer. Quand, enfin, d’un commun accord, ils s’arrêtent, Alzagar garde son visage en face du sien:
« Je t’aime » dit-il à son tour.
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maviedeneuneu · 3 years
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Quand le bon point de cette reprise quand même, ça a été de retrouver mes collègues 😁 Il y a en a plusieurs qui sont venus me voir pour me dire qu'ils étaient trop contents de me revoir et savoir comment je me sentais et tout. ET j'ai même eu droit à des cadeaux de leur part ! Ils se sont cotisés et m'ont offert un soin de mon choix chez mon esthéticienne et des bons chocolaaaaaats
When I was still very happy to see my coworkers again, many of them came to see me and told me they were very happy that I was back ! They even had prepared gifts for me !
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yumeka-chan · 3 years
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Si Lancelot avait été rechercher Guenièvre, au lieu d'aller au tunnel?
(si vous voulez continuer l'histoire, faites-moi signe ;) )
Arthur n'était pas venu.
Lancelot fixe les plans qu'il a récupéré. Il souriait, de voir qu'Arthur n'était pas réapparu. Le Roi avait fui le combat. Comme il s'y attendait. Il allait avoir tout le champ libre pour s'occuper du souterrain. Arthur n'était pas venu pour lui.
Il relève la tête vers Galessin.
- Faites préparer mon cheval. Attendez-moi à l'entrée.
- Attendez, vous allez me laisser seul face à lui? Vous avez la trouille?
- Dites pas n'importe quoi? Je n'ai pas peur d'Arthur, et vous ne devriez pas en avoir peur non plus.
- Alors pourquoi vous ne venez pas?
- J'ai quelque chose à faire avant.
Lancelot monte sur son cheval et revient à son camp. Sans prévenir les gens qui l'ont suivi. Ils sont plus doués que ces abrutis de Kaamelott, mais il n'a pas non plus tapé dans le haut du panier. Il leur a demandé de garder un coin du camp, et ils le font. Mais l'arrière est totalement prenable. La preuve, lui a réussi à se glisser jusqu'à sa cabane avec Guenièvre.
Elle l'observe entrer par la fenêtre, surprise.
- Qu'est-ce que vous faites là?
- Je viens vous chercher.
- Me chercher? Je croyais que vous aviez prévu...
- Je n'allais pas vous laisser ici, comme ça.
Il lui détache à la hâte le premier lien, râlant sur la fermeté des nœuds.
- Vous pouvez prévenir Angharad? Je..
- Non. Vous et moi. Maintenant.
Elle le dévisage. Ses grands yeux qui ne se fixent nulle part, son souffle rapide. Il y a autre chose. Autre chose qu'elle. Autre chose qu'eux. Alors qu'il libère sa première main, elle la pose délicatement sur la joue de Lancelot. Elle attrape son regard, le forçant à s'arrêter.
- Qu'est-ce qui se passe mon ami? Qu'est-ce que vous craignez?
- Il a annulé l'échange. Je crains qu'il ne vienne vous enlever à moi.
Dans les yeux de Guenièvre, Lancelot lit la surprise, et quelque chose de différent. Quelque chose qu'il n'aime pas. L'information lui a fait plaisir.
- Hors de question de le laisser vous récupérer après ce qu'il vous a fait.
Sa voix n'est qu'un souffle. Il tourne rapidement la tête. Il ne se sent pas capable de mentir à Guenièvre quand elle le regarde comme ça. Il se presse de détacher le second lien. Elle se masse les poignets. Elle retarde l'inévitable.
- Venez. Levez-vous.
Elle grimace, puis secoue la tête.
- Je n'ai pas l'intention de vous suivre.
Lancelot s'approche, se penche devant elle.
- Vous ne comprenez pas.
- Je comprends très bien. Je comprends vos craintes. Mais Arthur ne viendra pas me chercher. Vous vous rappelez, je suis partie. Il n'aura qu'à annuler notre mariage.
- Je ne prendrai pas le risque de vous perdre. Je vous l'ai promis.
Il saisit le poignet de Guenièvre, insistant pour la relever. Elle tient de son mieux, refusant de se lever.
- Guenièvre, ne faites pas l'enfant. Le temps nous est compté.
- Lâchez-moi!
Cette fois, Lancelot saisit Guenièvre par les deux poignets, la tirant sans douceur. Elle grimace, fini à genoux devant lui.
- Ne me forcez pas à utiliser la force Guenièvre.
- Comme si ça vous en avait empêché jusque-là.
Elle regrette aussitôt ses paroles. La bouche de Lancelot est déformée par une grimace. Elle sait ce qui va se passer. Alors elle serre les dents.
- Vous allez faire ce que je vous dis Guenièvre. Il est hors de question que je vous laisse repartir avec ce moins que rien!
Elle se redresse, doucement. Lancelot essaie de l'attirer vers lui, mais une fois encore, elle se défend.
- Vous êtes tellement têtue des fois...
Il la lâche, pour lui donner un grand coup de coude dans le plexus. Guenièvre se tord en deux, le souffle coupé. Elle rencontre l'épaule de Lancelot, qui la soulève comme un sac de farine. Elle lutte pour ne pas perdre connaissance alors qu'il sort de la cabane, et qu'elle entend des bruits d'épées.
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quemajoiedemeure · 2 years
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On pousse la porte j'ai rien mis sous mon short exprès, il le devine direct et met sa main dedans pour me chopper, lui il a une ceinture qui enserre sa taille je la détache et franchement c'est un truc que je trouve super hot, il me touche partout et quand on arrive au lit je suis à poil, je tire sur sa ceinture mais il me pousse et s'attaque à ma queue. Je le choppe par les cheveux et je remue le bassin pour appuyer le truc, il se donne à fond jusqu'à me lâcher pour remonter sur moi, m'embrasser super longtemps et je soupire dans sa bouche pendant qu'il frotte sa queue contre la mienne, au bout d'un moment ça devient insupportable, on s'emmêle, il me retourne, me lèche et me met des doigts et soupire en disant que je m'ouvre sans problème, je sais très bien ce qu'il va faire et je serre l'oreiller de toutes mes forces et il crache plusieurs fois et j'entends une capote qui claque avant que son gland ne commence à appuyer pour entrer, j'essaie de me détendre pour faciliter les choses mais quand il s'enfonce je crie à cause de la douleur, il va lentement et je souffle et je couine dans l'oreiller, et quand il arrive au fond je lui dis de plus bouger pendant un instant, j'ai l'impression de palpiter de l'intérieur et que mon coeur va sortir par ma bouche, ça se détend lentement, je sais qu'une fois que c'est rentré c'est bon et il se couche sur moi et se met à bouger, de plus en plus fort, de plus en plus vite, ça claque contre mon cul et je me mets à haleter de plus en plus et lui il arrête pas de répéter "Putain tu prends bien... Tu prends vraiment bien..." je crois que je gueule un peu sans m'en rendre compte, il passe son bras autour de ma gorge pour coincer ma tête dans son coude et je peux encore moins remuer, il m'oblige à le supplier de continuer, et je le fais. Après qu'il ait joui je m'allonge sur lui et son torse est couvert de sueur, je mord son téton, il attrape mes cheveux pour que je pose ma tête sur lui et on reste longtemps comme ça sans bouger, avec juste mon coeur qui bat méga vite.
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english-ness · 3 years
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Ahh je cherchais des copines tumblr qui prépareraient l'agrég d'anglais 2022 pour qu'on se serre les coudes mais je viens de voir que tu es à Lyon et je suis à Paris 😭 dommage! Mais en tout cas courage!!
Ooooh, ravie de faire ta connaissance quand même 😭
Courage à toi aussi! Malgré la distance, n'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit :D
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ethereal-rpg · 4 years
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je me permets un petit peu de pub pour mon forum, RAISE HELL, qui revient tout juste de maintenance ♡
→ il s’agit de notre vingt-cinquième version, ce qui marque les quatre ans et demi du forum ; 
→ quelques simples nouveautés au rendez-vous, notamment une nouvelle intrigue qui mets les chasseurs de surnaturel dans une position délicate, la possibilité de créer un instagram, et des nouvelles situations rps tout aussi cocasses que remplies d’actions ; 
→ nous avons eu un recensement bi-annuel parfait, ce qui veut dire que tous les membres se sont recensés, un record pour nous et une véritable fierté ; 
→ tous les groupes sont ouverts, on recherche particulièrement des chasseurs et des humains, mais n’hésitez pas à proposer votre idée en partie invité ; 
→ nous ne demandons aucune activité rp obligatoire, nous sommes une belle communauté de 200 membres particulièrement active en rp et nous avons hâte de vous connaître ♡
→ d’ailleurs, nous souhaitons relancer notre partie partenariat, donc si vous avez un forum et vous souhaiteriez être notre partenaire, faites-moi signe ou venez nous voir, on accepte absolument tout le monde. pas facile de faire de la pub ces derniers temps, alors on se serre les coudes ♡
★ lien vers notre partie partenariat / publicité sur la directory
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swedesinstockholm · 4 years
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lettres à Kristen Stewart #3
Chère Kristen,
Vingt-et-un ans je me suis réveillée à midi et demi dans la chambre de Fabienne en entendant la nouvelle chanson des Strokes à la radio. Elle était en train de me faire un gâteau qui sentait la banane jusque dans mon lit. Je m'étais échappée en douce du tout dernier étage de l'institut d'art et d'archéologie où tout le monde avait l'air sérieux pour prendre le train pour Zurich et m'enfuir de Paris qui voulait pas de moi. Ou alors je voulais pas de Paris. Un jour une fille que j'aimais pas m'a demandé mais est-ce que tu profites de ce que Paris a à t'offrir au moins? et j'ai eu envie de la gifler. J'avais une très grande télé dans mon nouvel appart où je regardais les Anges de la téléréalité 3 le matin au lieu d'aller en cours (je crois qu'ils étaient à Miami) ou alors des docs arte sur des artistes qui me faisaient rater mes disserts parce que je me rendais compte que je préfèrerais faire de l'art plutôt que de la littérature. La littérature qu'on nous enseignait en deuxième année de licence de lettres du moins. Depuis le début j'espérais passer aux rattrapages pour pouvoir dire Fuck it et partir m'inscrire dans une école d'art mais comme j’étais bonne élève ça me faisait peur, j'arrivais pas à m'en ficher complètement. La nuit je m'endormais bercée par le générique d'It's Always Sunny in Philadelphia engloutie dans mon grand canapé d'angle gris foncé. J'aimais bien la nuit. J'ai écrit dans mon journal: "Je vis la nuit parce que j'ai jamais envie d'être le lendemain."
Y avait un énorme sapin touffu sur la petite place devant la maison et j’ai vu des cygnes qui nageaient sur le fleuve quand on est allées acheter du fromage à raclette. On a passé le weekend à discuter, mais je lui ai pas dit qu'à Paris je pleurais la nuit parce que j'étais amoureuse d'une fille. Parfois je m'imaginais que je lui racontais tout à travers un torrent de larmes sur skype, mais c'est jamais arrivé. J’y arrivais pas. J'arrivais pas à lui dire que quand elle était assise à côté de moi en amphi et qu'elle écrivait sur la page de droite son coude était tout près de moi et j'essayais de définir si j'avais envie de le toucher son coude, si j'avais envie de me rapprocher encore plus près, si j'avais envie de l'embrasser oui, oui? Un soir j'ai cassé mon stylo à force de tirer dessus parce que son genou était en train de toucher ma cuisse en cours de cinéma. On est allées voir Drive ensemble et j'ai passé des semaines à sourire au vide dans le métro en écoutant I don't eat I don't sleep I do nothing but think of you. En cours de grammaire une fille qui voulait devenir journaliste sportive m'a proposé d'aller le voir avec elle mais j'ai poliment décliné non je peux pas j'y vais déjà avec une autre fille qui me plaît plus que toi. Je crois bien qu'elle flirtait avec moi, elle, mais je m’en suis rendu compte à peu près un an plus tard.
J. je pouvais pas flirter avec. D'abord je savais pas comment on fait, et puis elle m'intimidait trop pour que j'arrive à détendre mes muscles, elle ma paralysait jusqu'au cerveau, j'avais même peur de lui faire la bise. Elle avait l'esprit vif et querelleur et elle marchait avec de grandes enjambées déterminées. Quand je marchais à côté d'elle je me sentais au dessus du monde et en même temps je me demandais combien de temps il me restait avant qu'elle se rende compte que j'étais sans intérêt. C'est quand qu'elle va se lasser c'est quand qu'elle va se lasser c'est quand qu'elle va se lasser comme une lourde épée au dessus de ma tête prête à me tomber dessus à tout moment. Elle me rendait malade mais j'allais en cours rien que pour la voir.
J'avais pas envie de retourner à la misère dans ma pièce unique après avoir goûté à la vie douce en Suisse Kristen. J'aimais bien être bercée par les bruits de fontaine sous les fenêtres de l'appartement multipièces biscornu de ma copine. Dans Sils Maria, le film d'Assayas, vous allez à Zurich avec Juliette Binoche et tu lui ouvres la porte d'entrée d'un hôtel de luxe, je crois, et à chaque fois je me dis Ugh Kristen fuck me up. Je me dis ces mots exactement. Fuck me up. Je sais même pas ce que ça veut dire exactement. J'ai essayé de retrouver la scène mais elle a disparu. Peut être que je confonds avec le moment où tu serres la main à quelqu'un avec ta poignée de main masculine, masculine? énergique. Ou les deux petits creux sur le bas de ton dos quand tu te baisses pour rentrer dans une break noire. Je sais plus. A 21 ans tu sortais avec ta première copine, je l'ai lu dans une interview. Tout d'un coup tout le monde s'est mis à te demander si tu étais lesbienne, mais toi tu savais pas. Cet été là à New York un type qui tournait un clip à Battery Park était venu me demander si j'étais lesbienne à moi aussi. J'avais les cheveux très courts depuis le mois de mars et je portais des chemises à carreaux boutonnées jusqu'en haut. Il me trouvait mignonne mais il me disait qu'il avait un sixième sens qui savait détecter les lesbiennes. J'ai dit ah non, non non je suis pas lesbienne, et puis je me suis regardée dans la glace au dessus des lavabos dans les toilettes du McDo, si, si si, je savais.
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la-bucolie · 4 years
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Jour 1 : Le retour aux sources
Nous avons cinq ans alors. Il pleut, c’est un jour d’été sans nuage avec pluie spontanée venue du ciel. Nous décidons que le bleu du ciel est le même que celui de l’eau, nous nous mettons nus dans le grand jardin pour caresser mollement de la plante du pied des balles rouges et des jouets brûlants. Les gouttes s’écrasent et font un joli bruit d’évaporation soudaine lorsqu’elles heurtent le plastique. L’herbe nous pique les fesses, nous ne savons pas encore qu’avant les pantalons on n’avait que les fesses pour s’asseoir. Les grandes jambes s’approchent pour déposer un plateau sur le sol, sur les aiguilles de pin. Des glaçons tintent bizarrement dans nos coupes de plastique, pratiques avec les poignées, jolies avec les couleurs et le bec qu’on garde en bouche jusqu’à la dernière goutte de citronnade. On aspire comme des fous. Le frais glisse dans l’œsophage. On se regarde, on se fouille le nombril à l’aide du doigt, on se demande d’où on vient. Il fait chaud et on parle à peine, il pleut encore, on se serre corps à corps malgré l’herbe piquante et nos peaux glissent à ce moment dans un mélange de chaleur et d’eau, on ferme les yeux, avec l’intuition que c’est ça, la naissance, avec l’eau sur la peau et l’empêtrement des chairs, des coudes pliés écrasant des doigts, des pouces enfoncés dans la bouche, des jambes collées qui grelottent, on se tient comme ça longtemps, nus, face à face jusqu’à ne plus se voir, c’est très flou et dans l’idée très vrai sur notre naissance. Nous avons quasiment le même visage, quasiment le même corps, sauf le nombril. Nous pensons pareil sans rien dire jamais, nous sommes jumeaux, dans le jardin nous naissons à nouveau.
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One cloudy day..
Une main sur la hanche, l'autre dans la sienne et le plongée en arrière. Voilà une heure que Berwald servait de mannequin à Miyuki et Elisa, il servait de mannequin avec Lily qui avait très gentiment accepter se se joindre eux pour cette petite séance de peinture dans l'une de salle de danse au fond nuages de la SM un de ces salles mythiques mais oubliées. Il pencha Lily en arrière et la française lui offrit un grand sourire. Miyuki termina son dessin et se leva très heureux du rendu, Elisa posa son pinceau et c'est ce moment que choisit Sören pour entrer, Lucie à son bras, Ten à l'autre. Lily sourit et relâcha doucement Berwald et s'inclina devant sa sœur et fixa Sören puis Ten. Sören s'écarta de son compagnon et tendit la main a Lily.
« Shall we ? » demanda-t-il calmement
« Do not force yourself » dit Lily en riant
« Won't happen. » dit Sören avec un semblant de sourire
Lily l'emmena alors dans une petite danse de simple, une valse qui jurait avec leurs tenues, car Lily portait un simple Jeans, un débardeur noir et des talons multicolore, et Sören lui portait un vieux t-shirt gris chiné avec l'inscription ' Royal Stockholm High School Hockey Team' et dans son dos 'S. Ekstrøm ' ainsi qu'un vieux jeans déchiré et des simple tennis blanches. La danse était légère et quand la jolie blonde, s'arrêta posant une main sur l'épaule de Sören, Ten serra les dents.
« Hands off he's mine. » grogna-t-il
Lily se recula légèrement surprise et leva la tête vers Sören, qui lui cachait très très mal sa satisfaction. Lily roula des yeux et Lucie secoua la tête en prenant la main de Ten.
« Ecoute, mon chéri... » fit Lucie en douceur « Sören est gay. Très gay. Lily est hétéro. Enfin aux dernières nouvelles.. » Elle fixa sa sœur qui confirma
« Je ne suis pas une menace. » dit Lily en souriant « Sören est juste mon ami. »
« Et c'est mon meilleur ami. » fit une voix velouté.
Elle entra dans la salle, portant une chemise blanche d'homme pas grande, des bas retenus par des porte jarretelles clairement visible sous la chemise et concrètement on voyait tout à travers sa chemise. Elle était petite, pourtant trônait sur des escarpins terriblement haut, ses longues mèches noires tombant de manière naturelle sur ses épaules et on pouvait aisément voire la fatigue dans ses yeux vert intense. Elle avança et soupira en se reposant contre l'épaule de Sören.
« It freaking hurts ... » soupira-t-elle
« I know. » dit-il
« I'm not only fucking meat for fucks sake. I'm not like... » Elle s'arrêta quand NCT entra par l'autre porte et la fixaient  « Holy fuck. »   Sören enleva son pull et le donna a Morganna qui l'enfila rapidement et fixa Lily qui enleva sa ceinture et la lui tendait. En deux secondes Morganna c'était faite une robe d'un pull beaucoup trop grand pour elle. Grâce à Sören et Lily. Ten l'observa et arqua un sourcil.
« Je vous ai déjà vu quelque part non ? » demanda-t-il
« Je suis Mona. » dit-elle doucement en souriant à Ten
« Holy shit. » couina Mark 
« Dude ?! » s'étonna Johnny
« I... oh waw... she's.. really... » Mark était rouge.
Morganna secoua un peu la tête quand Elrick entra, la mine noire, les yeux sombres. Il prit la main de Morganna qui secoua la tête.
« No please no.. » murmura-t-elle
« She's gone... Jolene and Malia said I had to get you. » dit-il
« I.. yes.. » Morganna s'éloigna et sortit en courant chercher quelqu'un.
« She's not Ian. » dit-il a Sören qui se massa les tempes.
« Qu'est-ce qu'il y a Sören ? » Ten prit doucement sa main
« Une amie de Morganna est malheureusement décédé dans l'exercice de ses fonctions. » dit Elrick
« Elle disait qu'elle avait de l'espoir la dernière fois d'arriver au bout de son service... ... » murmura Lily
« Malheureusement tout le monde n'est pas Ian... » soupira Lucie  
-
Voilà quelques jours bien sombres mais la vie continuait... enfin pas tout à fait. Morganna regardait l'homme assis sur la terrasse une cigarette entre les doigts, le regard dans le vide. Elle soupira et vint prendre la cigarette pour l'écraser.
« ça va pas? » grogna-t-il
« J'ai déjà perdue une amie. Tu ne seras pas le suivant sur la liste. » Elle était assez froide et soupira « Que va-t-il advenir de son fils ? » demanda-t-elle
« Je vais devoir ... m'en occuper. » nota-t-il « C'est moi son père. » il prit sa tête entre les mains
« Je sais. En attendant il vit avec Jolene. » nota Morganna en se levant « c'est sa Marraine après tout. » -
Jolene portait le petit garçon, puis s'installa dans le canapé. Le petit garçon aux yeux typé coréen mais d'une jolie couleur verte sombre. Il avait 3 ans et comprenait ce qu'il c'était passer et quand Jolene dessina un avion pour lui... il posa ses mains sur le papier.
« Mama... » dit-il doucement
« Yes Mama.. » Jolene caressa ses cheveux. « She won't comeback you know that right my love ? »
« I know. Uncle Ian... said... she .. » il chercha ses mots « Uncle Ian said... elle est ... partie dans les nuages. »
« C'est ça... » dit Jolene en passant en coréen caressant ses petites joues humide de larmes
« I miss mama... » dit-il en se lovant dans les bras de Jolene
« I miss her too. » dit-elle en le serrant contre elle.
Jaehyun entra dans le salon, cachant très mal un grand ourson en peluche dans son dos et Jolene leva la tête du petit garçon qui offrit un petit sourire fatigué a Jaehyun avant de descendre du canapé et de tendre les bras. Jaehyun posa l'ourse en peluche et souleva le petit dans ses bras.
« Hey big boy. » dit-il en souriant
« Hey uncle Jaee » Il souriait un peu fatigué
« Ohh someone wants a nap. » dit Jaehyun en souriant
« Nappy ! » il souriait un peu plus en se frottant les yeux
« Want Jaejae to put you in bed love ? » demanda Jolene
« want both... want my song... » murmura-t-il fatigué
« All right. » Jolene se leva et ramassa le gros ourse en peluche.
Le couple emmena le petit garçon dans la chambre ou résidait Jolene et le mirent au lit. C'est avec une douce chanson Jolene chantant et Jaehyun à la guitare, un peu hésitant. Une version country de 'Baby Mine' emmena le petit bout dans un sommeil profond et le couple éteignit la lumière et sortit de la chambre. Jaehyun rit un peu et Jolene l'embrassa tendrement avant de rejoindre le reste du groupe dans la salle à manger.
« He's so precious. » nota Johnny
« He is. » Jolene sourit
« Are you... like... gonna adopt him ? » demanda Mark
« He has a father you know. » dit Jolene « I'm just waiting for him to get better. » dit-elle
« we're gonna miss the little guy... » dit Mark
« Is his father gonna be okay ? » demanda Johnny 
« I'm counting on Morganna to not let him down. » dit Jolene
Puis on sonna à la porte et Jolene se leva pour aller ouvrir. Dans l'entrée se trouvait Morganna, avec à son bras un homme un peu morne.
« Hey... » dit Jolene doucement en emmenant le jeune homme avec elle
« Comment va-t-il ? » demanda-t-il la voix brisé
« C'est un grand garçon. Il comprends... » Jolene frotta doucement son dos « Et il attend son papa. Mais il dort là... » dit-elle doucement
« Je peux le voir ? » demanda-t-il doucement
« Viens. » Elle prit sa main et l'emmena doucement vers la chambre ou le petit dormait à poing fermé.
« Si seulement je pouvais dormir aussi insouciant que lui. » dit-il
« Une chanson et une guitare c'est tout ce qu'il demande. » Jolene rit en refermant la porte « Essaie une infusion de camomille et de valériane. Ça peut aider avec du miel. »
« Merci Jolene. Merci pour tout ce que tu fais... » Il soupira
« De rien Kyungsoo... Hilary aurait voulut qu'on se serre les coudes. » Elle l'emmena dans la salle commune et lui servit un thé
« Il lui restait que deux semaines... » soupira-t-il « Deux semaines et elle avait finit avec l'armée. »
« Le sort à été une pute. » grogna Morganna
« Langage. » soupira Jolene
« Tout le monde n'a pas la chance d'Ian. » dit Kyungsoo fatigué
« Appa ? » couina une petite voix endormie
« Douglas... » Il se tourna et s'accroupit « Viens-là »
Le petit bonhomme décida de piquer un sprint un peu bancale mais déterminé vers son père qui le prit dans ses bras. Jolene posa sa tête sur l'épaule de Jaehyun et sourit en voyant le père et le fils réuni.
« Tu as les yeux de ta maman tu sais ? » dit Kyungsoo en souriant
« Tata Jojo dis ça aussi... »  le petit regarda Jolene « ça veut dire... i can go with papa now ? »
« You're going home with papa yes love. » Jolene sourit
« But Uncle Ian and Uncle Jae and you, you have to come to my birthday hein oui papa ils doivent venir ? » le petit Douglas sourit
« Oui on organisera une fête. » dit Kyungsoo un peu dépassé mais souriant
« Bon courage. » dit Jaehyun doucement
« Merci. » Kyungsoo caressa les cheveux de Douglas « On va prendre tes affaires. Ton oncle Ian nous attend. » dit-il en regardant son téléphone.
« Quoi le vieux est là ?! » dit Morganna en souriant
« Respecte ton père. » dit Jolene blasé
« Je l'appelle pour qu'il monte ! » fit Morganna  
« ça doit être un vieux monsieur ... » s'étonna Mark doucement
« Ahah. » Kyungsoo rit un peu posant son fils au sol pour qu'il embarque contre son gré, oncle Jaehyun l'aider a faire sa valise « Ian vieux. »
« Ian vieux... » Jolene secoua la tête en riant et alla ouvrir la porte.
Une homme assez grand entra. Il était battit comme un dieu ce qui se voyait à travers sa tenue, une chemise blanche serrant ses muscles, un veston noir et un pantalon de costume noir collant à ses jambes, lui offrant un galbe des fesses pour le moins sexy. A son cou pendait une cravate défaite et sa chemise déboutonné laissa entrevoir le haut d'une pièce d'échec tatoué sur sa clavicule, ses cheveux noirs tombaient brillant et d'une façon élégante autour de son visage, il avait ce genre de visage de jeune premier, et des yeux d'un vert intense. Il aurait pu clouer n'importe qui sur place avec un seul regard. Il glissa ses mains dans ses poches avant des les sortir pour soulever le petit Douglas lui fonçant dessus.
« Hi ye wee lad » fit-il avec un très gros accent irlandais
« Uncle Ian !!! » Douglas le serrait très fort dans ses bras
« Hi dad ! » fit Morganna en embrassant sa joue, alors qu'il se penchait
« Dad ?! » s'étrangla Johnny « But he's like 20 or so. »
« 40. But thanks wee lad. S'fine knowin am' still handsome. » fit l'homme aux yeux verts.
« Holy shit. » Mark avala de travers
« Dude really ? » Johnny fixa Ian qui haussa un sourcil
« J'ai 40 ans oui. » dit-il en posant Douglas à terre « on va à la maison ? » demanda-t-il à Kyungsoo
« La mienne ou la tienne ? » demanda Kyungsoo
« La mienne. Je suis équipé pour des bambins. » dit-il
« Comment va mon petit frère ?  Et ma petite sœur ? » demanda Morganna
« Leur père me rend dingue mais sinon, ils vont bien. » dit Ian en soupirant « Ton beau-père est casse couille. »
« Tu l'as épousé pour ça Papa. » nota Morganna amusée
« Ouais. » il souleva les 3 grosses valises du petit sans problèmes « Tu diras a Sören que son frère est chez moi, et qu'il va falloir son expertise et celle de Berwald chez Kyungsoo ? »
« Oui papa. » Morganna sourit « Tino est là aussi ? »
« Tino arrive demain. » dit Ian en sortant « Oublie pas Berwald et Sören. »
« J'oublierais pas. » elle sourit un peu
« Au revoir tout le mooonde !!! » fit Douglas en prenant la main de Kyungsoo « Viens appa ! »
« J'arrive... » Kyungsoo salua tout le monde avant de sortir.
Puis tout NCT fixa Morganna qui ferma la porte. Elle se tourna vers eux et haussa un sourcil.
« Quoi ? » elle arqua un sourcil
« Il a 40ans et à l'air plus jeune que moi... » marmonna Johnny
« Ian à la malédiction de l’éternel babyface. » dit Jolene en s'asseyant
« Mais il a dit son mari. » Mark fixa Morganna
« Oh oui, ma mère à disparue quand je suis née y a 24 ans laissant mon pauvre papa seul a 16 ans se démerder avec moi. » expliquait Morganna
« Il a élever Morganna à l'armée, plus tard Hillary a jointe l'alliance élevons Mona ... » Jolene sourit tristement
« Elle va me manquer. » soupira Morganna « Woody est partie trop tôt... »
« C'était son patronyme à l'armée, elle était pilote de chasse. Et c'était la très rousse maman de Douglas. » expliqua Mona « Elle a voler 8 ans avec mon père, et c'est grâce à lui qu'elle avait rencontrer Kyungsoo »
« Son mari était déjà son compagnon il y a 8 ans. » dit Jolene
« Ils sont ensemble depuis plus de v 10 ans. » nota Morganna en riant. « Et ils sont très bien ensemble. »
« Mais c'est qui ? » s'étonna Mark
-
Arrivé à la maison, Ian installa Kyungsoo et Douglas dans l'appartement au dessus du garage. C'était un trois pièces simple mais tout à fait adapter pour un bambin de 3 ans. Dans l'entrée se trouvait Yoona un peu amusée en voyant Ian poser les valises et montrer la chambre à Douglas. Elle se revoyait, elle à la place de Kyungsoo, sauf qu'elle avait son mari avec elle. Elle souriait quand Kyungsoo s'assit en soupirant.
« Le coeur d'Ian explosera un jour avec sa bonté. » dit Kyungsoo
« C'est certain. » dit Yoona en s'asseyant sur le canapé « Mais Douglas aura des copains de son âge ici. »
« J'arrive pas à croire que ton fils à déjà 7 ans. » dit Kyungsoo amusé
« Moi non plus et ma fille qui a déjà 5 ans.. » Yoona secoua la tête
« Yoona-noona ? » fit une petite fille
« Oh Yuni ? » s'étonna Yoona en se redressant
« Y a votre fils qui est tombé dans le jardin. » dit-elle un peu gêné
« Il a encore voulut faire une prise de judo a ton frère ? » demanda-t-elle
« Oui Noona » dit-elle en baissant la tête
« Et ou est Sunhee ? » demanda-t-elle
« Elle prend le thé avec Tata Joy ! » dit-elle doucement
« Yuni ? » Ian s'avança
« Papa ! » La petite sauta dans ses bras.
« On va voir ce que Yunshi à fait comme bêtise ? » dit-il en la prenant dans ses bras
« Mais Yunshi a rien fait de mal c'est juste... Suncheol.. qui a essayer de le bloquer. » dit Yuni
« Un jour il apprendra. » Yoona se leva et sortit de l'appartement
« Vous avez pas réveiller Hyoji ? » soupira Ian
« Non elle fait toujours dodo ! » Yuni sourit
« Et appa ? » il descendit dans le grand salon trouvant son mari, bras croisé, et Sveinn, le mari de Yoona dans la même posture, fixant deux petits garçons.
« Je ne suis pas fier de toi. » souffla le mari de Yoona « Combien de fois devrais-je te dire que le Judo se fait au Dojo et pas à la maison dans le jardin ou c'est dangereux ? » sa voix atteignait un zéro absolu rappelant sa suède natale.
« Désolé... papa.. ; » couina le petit Suncheol.
« Tu as de la chance que Yunshi t'as soutenu tu aurais pu te faire très mal en tombant. » Dit Sveinn « Yunho vous a déjà puni pour ça. »
« Oui papa... » Suncheol baissa la tête
« Je ne suis pas content non plus Yunshi. » souffla Yunho exaspéré. « Je vais devoir le répété aussi ? Que jouer sur les dalles de l'étang est dangereux ? Ou dois-je laisser Papa mettre un requin dans l'étang pour que tu comprennes que c'est dangereux ? »
« C'est un plan ça. » dit Ian en posant Yuni au sol
« Ian... » soupira Yunho, Ian glissa sa main dans le dos de Yunho et fixa les deux « Je vais être gentil cette fois. Vous êtes tous les deux privé de tv pendant une semaine et vous allez aider votre oncle Matthias a ranger le jardin quand il sera là demain. Ai-je été compris ? » sa voix était froide et sévère.
« Yes sir. » firent les deux petits bonhommes
« Maintenant filer dans votre chambre » soupira Sveinn
« Yes sir. » et les deux petits bouts s'en allaient
Yuni alla rejoindre la petite Sunhee dans sa chambre pour prendre le thé avec Tata Joy. Yunho sourit un peu en embrassant la joue d'Ian. L'ancien militaire sourit et fixa Yoona enlacer Sveinn, puis Kyungsoo descendit de l'appartement, tous se séparaient. Kyungsoo secoua la tête amusé.
« On dirait Junmyeon et Lola. » il soupira amusé « ça va.. c'est pas parce qu'Hillary n'est plus là que vous devez faire ça. » il s'assit calmement « Je dirais même, profitez-en plus. »
« Peut-être que cela te changera les idées... » commença Sveinn « Mais Matthias arrive demain avec Tino. Il va s'occuper du jardin. »
« Matthias. » Kyungsoo hocha la tête « Il m'a manqué oui... je pense que je pourrais l'aider et Douglas adore le jardinage. »
« Et Matt est géniale avec les petits. » nota Yoona amusée
« C'est son métier Yoona. » Sveinn rit un peu « Il est professeur de maternel. »
« J'aurais pas imaginé un hockeyeur pro retraité, prof de maternel. » dit Yunho amusé
« C'est Donghae qui va être heureux aussi. » dit Joy en entrant « Parce que Tino a dit ... que Matthias à convaincu Thor de venir avec. »
« En effet Donghae va sauter au plafond. Il sait pas fermer sa gueule sur son pivot préféré... Le pauvre Berwald a été forcé de lui traduire tous les matchs... » dit Yoona en souriant « Il a du succès d'ailleurs Berwi... »
« Apparemment Jaemin et Jeno en ont après lui. » dit Kyungsoo calmement
« Aaah il est pas sortit de l'auberge mon pauvre frangin. » dit Sveinn amusé
« J'ai hâte de récupéré mon Tino.. » soupira Joy
« ça se comprend. » dit Yoona
« Oh... pardon Kyungsoo » Joy baissa la tête
« Y a pas besoin d'être désolé. » Il haussa les épaules.. « Elle me manque oui, mais elle n'est plus là. Ma vie continue malgré tout. »
Ian hocha la tête et servit un verre a Kyungsoo.
La vie continuait.
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dariamarx · 4 years
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Le blocage
Je sais pas quoi faire de ses cheveux, y’en a trop, y’en a partout, j’ai l’impression que je suis maladroite, je les coince sous mes coudes, je vois bien que ca lui fait mal, j’en ai plein la bouche quand j’embrasse son cou, j’ai l’impression que je me perds dans sa crinière, help. Y’a les boutons de sa chemise aussi, j’ai voulu faire la reine en les faisant sauter à deux doigts, mais j’ai du rendre mon sceptre et utiliser mes deux mains, c’est comme si les fentes étaient trop petites, je galère comme une bleue, si je coince la fermeture éclair de son jean je me casse, ca sera le signe de l’apocalypse. Pourtant c’est pas ma première fois, j’ai déjà vu des gens tous nus, j’ai envie de la rassurer, de lui dire que je vais me reprendre, que je vais y arriver. Elle n’a pas l’air trop perturbée, en tout cas elle ne dit rien , elle préserve ma fierté, elle est belle, lascive sur ma couette Ikea, merde elle a encore ses chaussures, est ce que je fois lui dire de les enlever ? J’ai commencé les réjouissances en coinçant mon septum dans sa chaîne, grosse ambiance, je suis le Benny Hill du cul, la Bigard du sexe, est ce que c’est ca que les mecs cis ressentent quand ils arrivent pas à bander ? 
Elle m’aide un peu, elle enlève sa chemise, en dessous, un débardeur, ok, ca je peux gérer, j’ai l’impression qu’elle porte pas de soutif, la météo se lève, je prévois des éclaircies entre ses cuisses dans 7 à 10 minutes, j’ai coince ses cheveux dans mon poing, j’espère que c’est sexy. Faut juste que j’arrête de me cogner à ses branches de lunettes dès que je l’embrasse et j’aurai la situation 100% sous contrôle, remarque je peux peut-être lui enlever, mais elle a envie de voir ce qu’il se passe, ou alors je dois lui proposer, merde, je fais quoi moi, j’ai pas de lunettes et si j’en avais je les enlèverai, ok, bon, je lui laisse ses lunettes. Elle a toujours ses chaussures, du coup j’hésite à attaquer le bouton de son jean, parce qu’elle aura l’air maline avec son fut roulé sur ses baskets, elle est pas super organisée quand même, ou alors c’est un signal ? elle a pas envie en fait ? c’est ca les chaussures ? Elle fait gaffe de pas les poser sur le drap, ses pieds dépassent du lit, c’est donc qu’elle a conscience de ses pieds, je veux dire elle a pas oublié qu’elle en avait, transportée par la passion et par mes dons. Enfin je crois que j’ai jamais oublié que j’avais des pieds en fait, donc c’est un peu con. 
J’enlève son débardeur sans trop d’embrouilles, son téton droit est percé, sexy as fuck, ok, elle prend ma tête entre ses mains, elle me dirige vers son sein, l’autre. Je m’applique, ca lui plaît, elle respire un peu plus fort, je sens ses cuisses se serrer sur mon genou, alors je me redresse un peu pour qu’elle me sente encore mieux. J’ai retrouvé mon game, j’enchaîne les passes, je me perds autour de son nombril, je l’embrasse, je la lèche, j’effleure ses flans, elle se cambre, elle a toujours ses chaussures, je ne sais pas quoi faire. Je fais ce truc un peu timide d’embrasser sa chatte à travers la toile de son jean, comme pour lui indiquer que j’irai bien, mais que j’ose point, je crois que le message se perd dans la traduction, elle doit penser que je veux l’exciter,  elle appuie ses mains sur mon crâne pour que ma bouche s’enfonce un peu plus, je me râpe le nez sur le tissu élimé. Ok en fait je vais dire un truc pour les chaussures non, parce que là ca devient ridicule, je pense plus qu’à ca, aux 120 interprétations du pourquoi la meuf garde ses Air Max alors que je veux lui bouffer la chatte, je pourrais en faire une encyclopédie, est-elle fétichiste, est-elle crado, est-elle pudique des pieds ? ces questions commencent à me préoccuper plus que la douceur de sa peau, c’est qu’il y a un sérieux problème dans l’ordre de mes priorités. 
Je remonte vers sa tête, je me pose à côté d’elle, on s’embrasse un moment, elle se serre contre moi, on est repassées en mode câlin, je caresse ses bras. Ok je vais lui dire, hey au fait, tu peux enlever tes pompes ahah, genre naturelle, genre je viens pas de bloquer pendant 39 minutes sur le fait que tu ne les as pas enlevées. J’ouvre la bouche, et tout ce qui sort c’est « ah bah si tu veux je peux t’apporter quelque chose à boire », me demandez pas pourquoi, j’ai eu un bug, elle dit ouais ok. Alors je me lève, je sors de la chambre, je passe à la cuisine, je prends une bouteille d’eau, je repars vers la chambre et puis je me ravise, une meuf qui enlève pas ses chaussures c’est surement une meuf qui boit pas à la bouteille, je chope donc des verres. Je pousse la porte de ma chambre avec mon coude pour ne rien faire tomber, et je la trouve entièrement déshabillée, chaussures comprises, les jambes écartées, en train de se branler. Comme quoi. Peut-être qu’elle avait soif. Ou peut-être qu’il faut que j’arrête de penser.
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vismaviedemj · 7 years
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Quand on me désigne aux nouveaux comme “la copine de” ou “la fille” 
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a-peu-pres · 4 years
Text
aucun mot ne vient. rien n'a de sens. c'est drôle, j'étais en train de rêver qu'Eric et moi étions chez un notaire à s'occuper de papiers te concernant et soudain, mon téléphone a sonné, ce qui m'a réveillée. j'aurais aimé rester sous la chaleur de ma couette, où tout était suspendu, où rien ne tout ça n'était encore réel. Et puis soudain il y avait mon Alex, et ses bras autour de moi, et cette simple phrase "je suis désolé, papy Léon est décédé.." j'aimerais en vouloir au médecin de ne pas s'être bougé le cul plut tôt. mais à quoi bon ? à quoi bon, hm? Ce qui importe c'est que tu sois parti dans ton sommeil, on dit que mourir c'est comme s'endormir, est-ce donc vrai? je t'aime mon papy, mon Léon, mon grincheux, j'espère que t'es heureux tout là-haut, que t'es mieux. ici ça va, on est ensemble, on se serre les coudes, et promis, on prendra soins de mamie. au revoir mon papy. je t'aime. 💕🌼
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