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#parfum amour mariage
toffavoyance · 2 years
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Le PARFUM MAGIQUE BINTOU
– Nous voici a la fin de l’année 2022 et tu n’a même pas de quoi t’acheter quelque chose jusqu’à l’acheter a un autre ou tous juste tu a envie de faire plaisir a l’autre mais tu n’y arrive pas. – Toi qui est toujours pauvre et qui cherche ardemment l’argent pour rester dans la paix. – Toi qui a un projet a réaliser et qui par défaut d’argent, tu n’y arrive toujours pas – Toi qui a plusieurs…
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ltalaynareor · 3 months
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L'anniversaire de mariage
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Contexte: Le roi Baudouin IV de Jérusalem n'a pas la lèpre. Alix de Tripoli est la fille du comte Raymond III de Tripoli.
Dans la magnifique cité de Jérusalem, le roi Baudouin IV et la reine Alix de Tripoli se préparaient à célébrer une nuit de liesse et de passion. Mariés depuis cinq ans, ils étaient unis par un amour profond et une complicité inébranlable. À l'aube de leurs vingt-trois ans, ils avaient décidé de marquer cet anniversaire en célébrant leur union par une fête grandiose et une nuit merveilleuse.
Baudouin, aux traits nobles et au regard perçant, attendait avec impatience la venue de sa belle épouse. Alix, à la beauté éclatante et à la douceur envoûtante, fit son entrée dans la salle spécialement décorée pour l'occasion. Elle était vêtue d'une somptueuse robe de soie brodée d'or, mettant en valeur sa silhouette élancée et sa grâce naturelle.
Les yeux de Baudouin s'illuminèrent en contemplant sa femme, dont la beauté le fascinait toujours autant. Il lui prit délicatement la main et l'entraîna sur la piste de danse improvisée où ils commencèrent à virevolter au rythme envoûtant de la musique jouée par des musiciens talentueux.
Les invités observaient le couple royal avec admiration et respect, témoins de l'amour qui les unissait. Baudouin et Alix dansaient avec grâce et légèreté, leurs yeux ne se détachant jamais les uns des autres, comme s'ils étaient seuls au monde.
Après la danse, Baudouin prit la main d'Alix et l'entraîna vers leur chambre, où les attendait un festin de fruits exotiques et de douceurs sucrées. Ils se regardèrent intensément, comprenant sans mots que cette nuit serait spéciale.
Dans la chaleur de leur étreinte, Baudouin et Alix s'abandonnèrent l'un à l'autre, dans un tourbillon de passion et de désir. Leurs corps fusionnèrent dans un ballet sensuel et enivrant, scellant leur amour dans un échange de tendresse et de complicité.
Cette nuit-là à Jérusalem, dans la lueur des bougies et le parfum enivrant des fleurs, Baudouin et Alix célébrèrent leur union avec une intensité et une tendresse qui éclairèrent leur amour d'une lumière éternelle.
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eurydicenomadsoul · 1 year
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Giverny le sacre du printemps
Giverny le sacre du printemps 21/05/2023
Un matin de printemps
flâneurs à Giverny
sans boussole ni laisse
Goûtant à l'harmonie et la délicatesse
des amours éternelles de l'amant des maîtresses
en fleurs assurément !
A leur peintre fidèles
devenus dieux vivants d'ésotériques messes
Encensoirs raffinés sur les ponts japonais
les glycines balancent
un doux parfum d'enfance et leur magnificence
nous laisse stupéfaits
Un bien petit jardin
par tant de pas foulés
pur joyau dont l"écrin
est la sérénité
L'amour de la nature
par le pinceau perdure
ô mariage essentiel de la terre et du ciel !
que l'artiste a sacré
pour la postérité
Au bord des allées fières
les iris messagers
aux corolles altières
célèbrent ta beauté
Et au bord du bassin
où la foule se presse
pour voir les nymphéas
Sublimes aléas
Quelques-uns apparraissent
esquissant le Dharma
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christophe76460 · 1 month
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Les critères du choix
« Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans faire de reproches, et elle lui sera donnée. » Jacques 1:5
Choisir, c’est appliquer avec sagesse ce que nous avons appris de Dieu. Il faut donc tout de suite éliminer une mauvaise raison de choisir ou rejeter quelqu’un comme futur conjoint : l’aspect physique.
Bien entendu, le mariage comporte un aspect pulsionnel, physique et biologique. Il n’est pas mauvais en soi ! Dieu a donné la sexualité comme un cadeau, avec une condition : elle se vit dans le mariage. Cela n’implique pas que le but du mariage soit seulement de satisfaire le besoin sexuel et il est faux de croire que la sexualité produit un amour véritable, durable. Ce qui fait la force d’un mariage, c’est un amour profond et désintéressé l’un pour l’autre.
Attention donc au faux amour. C’est un désir purement charnel, égoïste et possessif, qui n’a rien de spirituel, car aimer un corps plus que la personne est de la pure convoitise !
Enfin, soyons réalistes : si on choisit un conjoint parce que son corps est attirant, que se passera-t-il avec l’âge, ou lorsqu’on rencontrera une personne plus attirante ? On comprendra alors, mais trop tard, que l’attirance physique n’est pas une raison suffisante pour choisir son conjoint.
Un homme et une femme sont toujours différents ; mais il faut que ces différences dans le mariage soient des avantages et non des obstacles. Elles sont des obstacles quand elles obligent régulièrement un des conjoints à céder, à renoncer, à s’effacer. Par exemple, des différences majeures dans les habitudes de vie, des niveaux de formation très différents …
Par contre les différences sont des avantages quand chacun des conjoints découvre à la fois qu’il apporte quelque chose à l’autre et que lui aussi reçoit quelque chose de positif de son conjoint, par exemple : les conjoints ont les mêmes objectifs, les mêmes valeurs, les mêmes principes ; mais l’un analyse les situations de façon rationnelle, il voit surtout des faits et des principes ; l’autre les analyse en étant plus sensible aux aspects psychologiques. Ces deux approches ne s’opposent pas, elles se complètent. Les deux conjoints prennent alors conscience que ces différences sont mutuellement bénéfiques et renforcent le lien qui les unit.
Quelle que soit la vie que Dieu nous réserve, rappelons-nous que, comme chaque fleur a sa couleur et son parfum, de même toute vie porte en elle un message. Qu’il soit à la gloire de Dieu !
Voir note Comment choisir un conjoint ? (1) "Matthieu 19:4"
Voir note Mariage ou célibat ? (2) "1Corinthiens 7:7"
Voir note Avant le mariage (3) "2Corinthiens 6:14"
Voir note Comment reconnaître la direction divine ? (4) "Romains 12:2"
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philippe-audard · 2 months
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AMOUR ET HYGIÈNE DANS LES ANNÉES 1600 ET 1700.
En visitant le Palais de Versailles à Paris, on constate que le somptueux palais n'a pas de toilettes.
Au Moyen-Âge, il n'y avait pas de brosses à dents, de parfums, de déodorants, encore moins de papier toilette. Les excréments humains étaient jetés par les fenêtres du palais.
En un jour de vacances, la cuisine du palais a pu préparer un banquet pour 1500 personnes, sans la moindre hygiène.
Dans les films actuels, nous voyons les gens de cette époque secouer ou s'éventer...
L'explication n'est pas dans la chaleur, mais dans la mauvaise odeur qu'ils émettaient sous les jupes (qui ont été faites exprès pour contenir l'odeur des parties intimes car il n'y avait pas d'hygiène). Il n'était pas non plus coutume de se doucher en raison du froid et de l'absence d'eau courante.
Seuls les nobles avaient des laquais pour les éventer, pour dissiper la mauvaise odeur qui expiraient le corps et la bouche, et pour chasser les insectes.
Ceux qui sont allés à Versailles ont admiré les énormes et magnifiques jardins qui, à ce moment-là, étaient non seulement contemplés, mais utilisés comme toilettes dans les célèbres ballades promues par la monarchie, parce qu'il n'y avait pas de toilettes.
Au Moyen-Âge, la plupart des mariages avaient lieu en juin (pour eux, le début de l'été). La raison en est simple : le premier bain de l'année était pris en mai ; donc en juin, l'odeur des gens était encore tolérable. Cependant, comme certaines odeurs commençaient déjà à gêner, les mariées portaient des bouquets de fleurs près de leur corps pour couvrir la puanteur. D'où l'explication de l'origine du bouquet de mariée.
Les bains étaient pris dans une seule baignoire énorme remplie d'eau chaude. Le chef de famille a eu le privilège d'un premier bain d'eau propre. Puis, sans changer d'eau, les autres arrivaient à la maison, par ordre d'âge, les femmes, aussi par âge et finalement par enfants. Les bébés étaient les derniers à prendre un bain. Quand son tour arrivait, l'eau dans la baignoire était si sale qu'il était possible de tuer un bébé à l'intérieur.
Les toits des maisons n'avaient pas de ciel et les poutres en bois qui les soutenaient étaient le meilleur endroit pour les animaux : chiens, chats, rats et scarabées pour rester au chaud. Quand il pleuvait, les fuites forçaient les animaux à sauter par terre.
Ceux qui avaient de l'argent avaient des assiettes en conserve. Certains types d'aliments rouillaient le matériel, causant la mort de nombreuses personnes par empoisonnement.
Rappelons-nous que les habitudes hygiéniques de l'époque étaient terribles. Les tomates, étant acides, ont été considérées comme venimeuses pendant longtemps, les tasses en boîte étaient utilisées pour boire de la bière ou du whisky ; cette combinaison laissait parfois l'individu « par terre » (dans une sorte de narcolepsie induite par le mélange de boisson alcoolisée et de l'oxyde d'étain). Quelqu'un qui passait dans la rue pensait qu'il était mort, donc ils ramassaient le corps et se préparaient pour l'enterrement. Puis le corps était placé sur la table de la cuisine pendant quelques jours et la famille restait à regarder, manger, boire et attendre de voir si le mort se réveillerait ou non. D'où la veillée des morts (voyatoire ou veillée mortuaire), qui est la veillée près du cercueil.
L'Angleterre est un petit pays où il n'y avait pas toujours de place pour enterrer tous les morts. Puis les cercueils étaient ouverts, les os étaient enlevés, placés dans des ossuaires et la tombe servait à un autre cadavre. Parfois, en ouvrant les cercueils, on sentait qu'il y avait des égratignures sur les couvercles à l'intérieur, ce qui indiquait que l'homme mort avait en fait été enterré vivant.
Ainsi, en fermant le cercueil, l'idée est venue d'attacher une bande du poignet du défunt, de la passer par un trou fait dans le cercueil et de l'attacher à une cloche. Après l'enterrement, quelqu'un restait de service près de la tombe pendant quelques jours. Si l'individu se réveillait, le mouvement de son bras ferait sonner la cloche. Et il serait « sauvé par la cloche 🔔 », qui est une expression populaire utilisée par nous jusqu'à aujourd'hui.
Ce que nous faisons aujourd'hui par tradition, nous le faisons sans le savoir.
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artifleurs · 4 months
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Faites fondre le cœur de votre bien-aimé(e) avec un bouquet de roses éternelles parfumées, personnalisable pour créer un cadeau unique et inoubliable. Parfait pour un anniversaire, un anniversaire de mariage, ou toute autre occasion spéciale, ce bouquet exprime l'amour éternel de la manière la plus élégante et touchante.
Personnalisez votre bouquet d'amour :
Choisissez les couleurs : Sélectionnez les couleurs qui reflètent le mieux vos sentiments et les goûts de votre être cher. Que ce soit le rouge passionné, le rose tendre, le blanc pur ou une combinaison de teintes, chaque rose peut être choisie individuellement pour composer un bouquet harmonieux et significatif.
Déterminez les quantités : Que vous souhaitiez offrir une rose unique, symbole de votre amour indéfectible, ou un somptueux bouquet de 12, 24, ou même plus de roses pour un effet grandiose, le choix vous appartient. Créez un arrangement qui correspond parfaitement à l'importance de l'événement et à l'intensité de vos sentiments.
Ajoutez des mots doux : Exprimez tout votre amour avec un message personnalisé. Que ce soit une déclaration d'amour passionnée, un poème tendre, ou des vœux chaleureux, votre texte sera soigneusement imprimé et inclus avec le bouquet pour une touche personnelle et émotive.
Pourquoi choisir nos roses éternelles parfumées ?
Durabilité : Nos roses sont traitées pour conserver leur beauté et leur parfum pendant plusieurs années. Pas besoin de les arroser ou de les entretenir, elles restent magnifiques et embaumantes en toute circonstance.
Parfum envoûtant : Chaque rose est délicatement parfumée, ajoutant une dimension sensorielle à votre cadeau et rappelant à votre bien-aimé(e) votre présence à chaque respiration.
Élégance intemporelle : Le design raffiné de nos bouquets s'intègre parfaitement à tout décor, ajoutant une touche de luxe et de sophistication.
Cadeau unique et mémorable : Offrir des roses éternelles parfumées, c'est offrir un souvenir impérissable et empreint de douceur. Chaque fois que votre proche regardera ou sentira son bouquet, il ou elle pensera à vous et aux moments précieux que vous avez partagés.
Transformez chaque célébration en une déclaration d'amour éternelle avec notre bouquet de roses éternelles parfumées personnalisé. Créez le vôtre dès aujourd'hui et faites un geste qui touchera le cœur de votre bien-aimé(e) pour toujours.
Je suis une fleur stabilisée, 100% naturelle, je ne nécessite aucun arrosage, aucune luminosité, aucune terre, aucun entretien. Surtout ne me mouillez pas, ne m'arrosez pas, sinon je risque de m'abîmer.
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epopoiia-leblog · 6 months
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Des souvenirs ressurgissant
Il était une fois des souvenirs ressurgissant. Cette robe en soie qu’elle avait mise pour leur premier rendez-vous. Ce bonnet de laine que son fils avait porté à sa naissance. Cette paire de bottes, une véritable folie qui lui avait coûté un prix indécent. Le pull en cachemire de sa mère qui sentait encore son doux parfum de jasmin. Toute son armoire regorgeait d’objets qui racontait aussi bien son amour pour la mode que son histoire personnelle. Elle les avait chéris, chacun à leur manière, si bien qu’à les regarder, ainsi disposés sur son lit, elle se sentait envahie par une profonde vague de nostalgie. Comme si, pour chaque vêtement, elle revoyait la fille, la femme, la personne qu’elle avait été à chaque moment de sa vie. À travers eux, elle pouvait refaire tout le fil de son existence. Mais, ce jour-là, elle avait décidé de s’en délaisser. Aussi beaux les souvenirs étaient-ils, aussi lourds pesaient-ils sur son cœur. Son mariage raté, son fils qu’elle ne voyait plus, sa mère trop vite partie… Ressasser tout cela ne l’aiderait pas à aller de l’avant... Et puis, à quoi bon les garder si c’était pour les laisser dormir au fond d’un placard ? Ils ne faisaient que s’entasser sous la poussière pour rien alors qu’elle aurait pu leur offrir une nouvelle vie depuis longtemps... Ce ne serait pas facile de s’en séparer mais elle savait qu’elle ferait une bonne action. Elle les donnerait à des associations qui les redistribueraient à ceux qui en avaient plus besoin qu’elle et en feraient une meilleure utilité ou à ces organismes qui récoltaient les textiles ménagers pour les recycler. Cette idée lui était venue quand elle avait lu qu’il n’y avait que 31 % des textiles ménagers mis sur le marché qui étaient collectés après usage. À ce moment-là, elle n’avait pu s’empêcher de se sentir coupable… Mais au moins elle avait pris conscience qu’il était temps de tourner certaines pages de sa vie et qu’elle aussi pouvait avoir un rôle à jouer. Oui, elle aussi pouvait participer au changement, agir pour une mode plus responsable, un monde meilleur. Et peut-être qu’en allant dans cette voie, ce serait là qu’elle trouverait le prochain chapitre de son histoire…
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Voici les parfums de glace en accord avec... votre signe astrologique !
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Alors que le thermomètre grimpe et que le soleil rayonne dans un ciel sans nuages, les amateurs de douceurs glacées se ruent dans les rues à la recherche de la parfaite bouffée de fraîcheur. Les glaciers, conscients de cet engouement estival, rivalisent d'inventivité pour combler les palais les plus exigeants. Avec une abondance de saveurs qui s'étendent des classiques intemporels aux mélanges audacieux, ces artisans des délices glacés laissent libre cours à leur imagination débordante. Une chaleur estivale qui éveille les papilles et stimule l'imagination Saviez-vous que notre signe astrologique peut révéler le parfum de glace qui correspond le mieux à notre personnalité ? Selon des experts en astrologie gastronomique, chaque signe du zodiaque possède des caractéristiques distinctes qui peuvent être associées à certaines saveurs. Des classiques qui rassurent Parmi les parfums traditionnels, la vanille tient une place de choix. - Riche, crémeuse et réconfortante, la vanille séduit les Taureaux qui apprécient la simplicité et la subtilité. - Les Béliers, quant à eux, se laissent séduire par l'explosion fruitée de la cerise griotte, leur conférant une énergie inépuisable. - Les Gémeaux, qui ont soif d'originalité et d'éclat, se laissent tenter par l'arc-en-ciel de saveurs. Un mélange éblouissant qui évoque la diversité de leurs personnalités curieuses et communicatives. - Les Cancers, en quête de réconfort, se tournent instinctivement vers la douceur tropicale de la noix de coco, qui apaise leur âme sensible. Voici une vidéo intéressante sur l'association des parfums de glace : Lire également : HEURE MIROIR : Guide ultime des significations en amour et dans la vie Votre parfum de glace en fonction de votre signe astrologique ! Une connexion étoilée Dans ce tourbillon de saveurs, les glaciers se transforment en alchimistes, mélangeant habilement les ingrédients pour créer des créations gustatives uniques. Ils explorent de nouveaux horizons, osant des combinaisons inédites qui défient les conventions. Les associations astrales - Les Lions sont conquis par la majesté du caramel beurre salé. Ce parfum intense et sophistiqué reflète leur charisme et leur assurance. - Les Vierges, pour qui la recherche de l'équilibre est une quête perpétuelle, trouvent leur satisfaction dans la subtilité raffinée du matcha, une saveur japonaise délicate et apaisante. - Les Balances, toujours en quête d'harmonie, se laissent envoûter par la framboise, un fruit doux et acidulé qui ravive leurs sens. - Les Scorpions, quant à eux, ne reculent devant rien et se lancent dans l'aventure du chocolat-piment. Un mariage audacieux et enflammé qui reflète leur passion dévorante. Voir aussi :  La surf thérapie : Une pratique excellente pour votre bien-être mental ! L'épanouissement des sens  - Les Sagittaires, avides de fraîcheur et d'aventure, sont comblés par le zeste vif et piquant du citron vert. Une saveur qui les transporte vers des horizons lointains. - Les Capricornes restent fidèles à leur pragmatisme et optent pour le classique et incontournable café, qui leur confère énergie et détermination. - Les Verseaux, toujours en quête d'originalité, se tournent vers le fruit de la passion, une explosion tropicale de saveurs qui éveille leur esprit libre et créatif. - Les Poissons, quant à eux, plongent dans la fraîcheur apaisante de la menthe-chocolat, un parfum équilibré qui reflète leur nature intuitive et rêveuse. Alors, que vous soyez un adepte des saveurs traditionnelles ou un aventurier gustatif, il y aura toujours une glace qui saura ravir votre cœur et émerveiller votre esprit. Les glaciers, gardiens du plaisir sucré, continueront de faire preuve d'imagination et d'audace pour satisfaire les palais gourmands. ________ Important : Nous conseillons à tous les visiteurs de notre site web de consulter un médecin en cas de problème de santé. Retrouvez toutes les infos santé et bien-être sur notre page Google Actualités ou sur notre page Pinterest. Read the full article
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maitreablode · 4 years
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villefrancois · 2 years
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Je vous présente ma nouvelle chanson, LUXURE, en 3 épisodes. 1/3 : Les paroles : il s'agit d'amour, d'un poème érotique, fantasmagorique, gothique. J'ai voulu créer une atmosphère, ce qui est assez rare dans mes textes. LUXURE Une valse étrange gracieuse et barbare Tu danses hypnotique dans tes yeux le noir En découvrant tes courbes tu m'enchantes Je suis troublé par tes gestuelles lentes Tu t'approches me frôles lascivement Et t'esquives en un léger mouvement Je hume ton parfum est une brûlure Je ferme les yeux envie de luxure Je les ouvre à nouveau tu me regardes Alors dans la folie je me hasarde Dans l'alcôve le silence reprend ses droits Féline tu t'allonges sur les draps Cette nuit fut une nuit de légende Si longue et si courte j'en redemande Le Diable était présent dans le feu du désir Et toi mon Ange tu étais là pour l'assouvir François Ville #luxure #chanson #gothique #valse #barbare #hypnose #parfum #amour #couple #mariage #célibataire #nuit #diable #ange #désir #plaisir #légende #érotisme https://www.instagram.com/p/CeL1O6ZAgsc/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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frisquette27 · 2 years
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ET SI.... CHAPITRE 16
Et voilà ça y est, je vais vous partager une de mes parties préférés de ma petite histoire, enfin le chapitre que je me languissais de vous partager car c'est un tournant important..
Enfin je suis nerveuse mais bonne lecture..
AVERTISEMENT SMUT (les enfants au lit !!!)
Chapitre 16 : Si vous étiez celle.....
Quelle magnifique journée ensoleillée, le bruit de la mer qui étreint la plage couvre la douleur des deux cœurs meurtris de ce couple se fixant dans les yeux, comment ne pas comprendre en les regardant que l’amour est le lien qui les unit, n’importe qui les observant ne pourrait douter un seul instant de leurs sentiments pourtant eux ne les comprennent pas ! Une magnifique journée pour peut-être laisser enfin le bonheur gagner.
Mais ce n’est jamais simple de s’aimer surtout quand on a souffert comme eux. Lui n’a jamais connu la vraie tendresse, le véritable amour, il a toujours été seul et triste toutes les femmes qu’il a aimées ne lui ont jamais vraiment rendu, et la dépression a toujours fait partie de sa vie, il y a dans le désespoir quelques chose qui nous rend incapable d’accepter ou de voir l’affection. Elle a aimé, lui seulement lui, elle l’aimera certainement toujours mais il n’est plus rien de douloureux qu’un amour sans retour pire il l’a ignoré, méprisé peut être détesté. Le temps était comme arrêté, perdu dans leurs regards et leurs réflexions, aucun des deux n’osaient rompre le silence. Une mouette les frôla en poussant un cri qui les fit sursauter, le Roi retira sa main rapidement de la joue de la jeune femme tout en gardant l’autre dans sa main. Elle vociféra après le volatile.
« Non mais ce n’est pas vrai, ça ne va pas mieux quand je dis que c’est idiots les oiseaux pffff »
Ils pouffèrent doucement en se regardant complice, le roi en profita pour prendre sa femme dans ses bras, Guenièvre ne se fit pas prier et cala sa tête au creux de son cou. Arthur frissonna de plaisir en sentant son souffle chaud, il la serra plus fort contre lui, le parfum de sa peau venait lui titiller ses sens. Son cœur battait la chamade, elle allait s’en rendre compte, il avait finalement compris qu’il ne la méritait pas pourtant il n’avait pas le droit de la laisser partir, jamais il ne connaitrait de bonheur sans elle. Tout était devenu tellement évident, Elias lui avait dit de la laisser cependant s’il n’essayait pas de la reconquérir, il s’en voudrait toute sa vie.
« Guenièvre, j’ai tellement de chose à vous dire et je ne sais pas par quoi commencer »
« Par le début » dit-elle dans un murmure
« Pardon, je crois que je dois commencer par vous demander pardon »
« Pourquoi ? » la voix toujours aussi basse
« C’est vrai que j’ai beaucoup …trop de chose à me faire pardonner, juste pardon pour ne pas avoir pris soin de vous comme vous le méritiez, je voudrais ..non j’aimerais que vous me laissiez une deuxième chance »
« Deuxième chance, vous pensez sincèrement que vous en êtes qu’à la deuxième chance » dit-elle avec plus d’assurance.
Elle le repousse légèrement pour se trouver face à lui.
« J’ai arrêté de compter le nombre de chance que j’ai pu donner à notre mariage, je ne rien fait pour mériter cela afin je pense, j’ai toujours été là pour vous mais vous m’avez toujours repoussé, méprisé, oh j’ai bien compris que j’étais trop laide et stupide pour vous mais vous n’étiez pas obligé de déverser toute votre colère sur moi »
Un silence pesant s’installa entre eux mais malgré tout Arthur la repris dans ses bras.
« Vous avez raison en tout cas en partie, mais j’étais obligé de vous garder à distance et je n’aurais jamais dû vous traitez de la sorte »
« En partie seulement, j’ai donc quand même mérité votre dédain »
« NON ….non vous avez tort sur ce que je pense réellement de vous, vous n’êtes pas laide et c’est un euphémisme, vous êtes belle même sublime » tout en parlant il lui prit le visage dans ses mains et plongea son regard dans le sien pour lui faire comprendre la véracité de ses mots « vous êtes belle , tellement belle et si désirable ..oh Guenièvre vous me hanter …depuis que j’ai posé les mains sur votre corps je ne trouve plus le sommeil tellement j’ai de désir pour vous »
Et c’est sans sommation qu’il plongea sur ses lèvres pour faire comprendre cette envie qu’il ne le quittait plus, le baiser ce voulait doux mais la passion le consumait déjà et le baiser était fougueux limite violent. Elle entrouvrit la bouche dans un gémissement de plaisir partagé, il profita pour immiscer sa langue et commença une dance sensuelle, qui lui fit perdre toute notion, il ne se maitrisait plus. Se nourrissant des gémissements de sa femme la passion au creux de ses reins l’enflamma, et ses mains quitta rapidement son dos pour lui caresser le corps totalement assoiffé, son dos, ses seins, ses hanches qu’il empoigna fermement, la collant à lui. Elle sentit son désir ardent contre son ventre, et la chaleur s’insinua dans tous son corps, elle voulait ses mains sur sa peau, il y avait trop de vêtements, elle voulait sentir sa peau. Elle sentait son bas ventre devenir chaud, se contracter, les sensations était tellement intenses qu’elle devait s’accrocher à lui pour ne pas s’effondrer. Il relâcha ses lèvres quelques minutes, juste pour embrasser son cou, son épaule continuant de la caresser avidement, ses mains sur les fesses. Alors qu’il l’embrassait à nouveau, elle sentit ses jambes se dérober, réalisant qu’il supportait presque la totalité de son poids. Elle comprit qu’il ne la laisserait pas tomber, alors au lieu d’utiliser ses mains pour se retenir, elle laissa sa main se promener dans ses cheveux pendant que les doigts de son autre main se faufilaient sous sa tunique, se permettant de racler de ses ongles la peau douce de son torse. Il laissa échapper un son qui ressemblait à un grognement transformé en gémissement. Elle sourit contre ses lèvres.
Après une éternité à explorer leur bouche, Guenièvre s’arrêta à contrecœur pour respirer. Bien qu’il fût à bout de souffle, Arthur continuait toujours à laisser de petits baisers le long de son cou et son épaule. Le doux touché de sa bouche et son souffle chaud contre sa peau faisait trembler le corps de la jeune femme de désir. Elle laissa échapper un long gémissement qui ne ferait douter personne de l’effet qu’il lui faisait. Arthur se détacha doucement de sa femme.
« Guenièvre » chuchota-t-il contre sa peau
« Mmm ? »
« On doit arrêter… »
« Pourquoi ? » demanda-t-elle un peu plus durement que ce qu’elle ne voulait. Elle resserra ses bras autour de lui.
« Parce que si nous n’arrêtons pas maintenant. Je vais finir par vous allonger sur le sable et vous faire mienne »
Guenièvre recula en rougissant, elle avait envie de lui dire qu’elle s’en fichait et qu’elle voulait qu’il la prenne maintenant mais il avait raison ce n’était pas le lieu et si elle l’entraînait dans les grottes à l’abri des regards indiscret peut être pourrait-il éteindre le feu qu’il avait allumé en elle. Son regard se porta sur le haut de la dune et elle vit Elias qui les observait, oh comme il devait penser qu’elle était faible de céder si facilement à son mari, elle lui avait pourtant promis d’être plus forte.
L’enchanteur n’avait raté aucune miette de la scène qui s’était produite sur la plage même s’il avait espéré que le roi se rendrait compte de la chance qu’il avait. Il restait persuadé que c’était trop tôt et qu’Arthur n’agissait pas encore par amour, cet homme était beaucoup trop imbu de sa personne, Elias pensait que cela rester encore qu’un caprice d’un enfant gâté à qui on avait retiré son jouet. Il avait un plan, certes un brin cruel mais certainement efficace pour que le Roi réalise afin qui était vraiment Guenièvre même lui avait compris que les dieux n’avaient pas choisi la jeune femme par hasard.
Cette femme était lumineuse, patiente, douce, gentille, elle serait surement la seule capable d’apaiser le Roi dans sa quête, la seule qui lui apporterait la lumière dont il avait tant besoin. L’enchanteur l’appréciait plus que de mesure et peu importe qui lui barrerait le chemin il la protégerait. Il préféra se détacher du couple et retourner dans la maison, chaque chose prendrait son temps, laissons le bénéfice du doute à Arthur.
Encore un peu rougissante Guenièvre se laissa guider par son mari, leurs mains sont jointes, et ils se dirigèrent lentement vers la mer. Arthur se sentait léger, heureux, pour la première fois de sa vie, tout lui paraissait plus simple s’il arrivait à garder sa femme près de lui, il pourrait déplacer des montagnes et réussir le destin que les dieux lui avaient donné. Maintenant que lui dire pour lui faire comprendre qu’il avait ouvert les yeux sur elle, sur eux. Guenièvre lâcha la main de son mari pour aller jouer avec les vagues, son rire s’élevait dans le vent. Ils passèrent leur journée sur la plage à rire et à discuter de tout et de rien, pourtant le Roi n’arriva pas à aborder les sujets qui le tarauder.
Le soir venu, l’enchanteur montrât sa chambre au Roi, tout d’abord soulagé de voir que derrière la porte qui menait à la salle principale se trouvait quatre chambres, il tiqua au fait qu’Elias lui propose une chambre à lui. Il pensait, enfin espérer partager celle de sa femme mais même s’il fit une moue réprobatrice, il n’en dit rien pour autant.
Le diner fut silencieux, en effet Guenièvre jouait avec sa nourriture mais n’avalait rien pour autant sous le regard en colère de l’enchanteur. Le Roi quant à lui été mal à l’aise par la situation, ne sachant pas quoi dire à l’enchanteur. Le repas fût donc très court, Guenièvre se leva pour aller prendre deux potions sous le regard interrogatif de son mari, elle salua brièvement les deux hommes et partie se promener avec une servante pour une promenade « digestive » sous l’œil noir de l’enchanteur.
Rester seul, Arthur se tourna vivement vers Elias.
« Qu’est qu’elle a pris » dit-il en montrant les deux fioles vide.
« La première pour renouveler son sang, elle va en avoir encore un besoin long moment »
Le Roi baissa la tête de culpabilité, il avait presque oublié son geste en tout cas il avait essayé de l’effacer de sa mémoire.
« La deuxième malheureusement est pour compenser ce qu’elle ne mange pas, vous avez bien vu ce soir qu’elle ne se nourrit pas »
« Comment ça ? Elle n’avait juste pas faim »
« Ah non votre femme est dans le contrôle, elle ne se nourrie pratiquement plus, vous avez bien dû remarquer qu’elle avait perdu du poids »
« Non enfin oui mais j’ai mis cela sur le compte de sa convalescence »
« Et ben non !!! vous allez avoir du travail sire !!! »
Il se leva et quitta la pièce sans sommation laissant le roi abasourdi par ses révélations. Que devait il faire la rejoindre et la sermonner pour quelle réalise ses bêtises ? Il préféra l’attendre sagement dans la maison et se calmer, il serait capable de s’emporter, la connaissant elle allait certainement l’agacer avec ses réponses. Il ne l’attendit pas longtemps, sa femme avait abrégé sa promenade car il commençait à faire un peu froid ou surtout elle était pressée de retrouver son mari. Elle le trouva assis dans un fauteuil fixant la porte, elle comprit à l’instant où son regard croisant le sien qu’il était en colère, ce qu’elle redoutait le plus avait dû se produire, Elias lui avait dit, elle en était certaine.
« Mon ami, vous m’attendiez ? »
« Asseyez-vous » dit-il durement, son regard devint encore plus sombre. « Vous ne mangez pas !! »
« Mais non, non je mange qu’est ce vous racontez » sa voix était fébrile et ses mains trembler légèrement sur ses genoux.
Elle n’avait jamais été douée pour mentir, surtout à son mari, elle préféra éviter son regard et se mit à fixer la cheminée.
« Non Guenièvre, vous ne mangez pas, n‘essayez pas de me mentir ce n’est pas vous, vous ne mentez jamais et je ne tolérerais pas que vous me mentiez »
« C’est vrai je mange moins, mais Elias en fait tout un foin pour pas grand-chose, j’ai moinsfaim mais l’appétit reviendra je vous le promets »
« Ah mais j’espère bien !! D’ailleurs je vais veiller à cela, vous allez manger Guenièvre, est-ce bien clair ? »
La jeune femme secoua la tête pour lui répondre mais ce n’était pas suffisant pour son mari, il se leva, se déplaça devant elle et de sa main lui releva le menton pour qu’elle le regarde dans les yeux.
« Avez-vous compris, vous allez manger ! je veux que vous me répondiez »
« Oui » dit elle dans murmure
« Bien, allons nous coucher, la journée a été longue, agréable certes mais longue »
« Nous coucher ? nous comme nous deux …ensembles »
Il lui prend la main et l’aide à se lever de son fauteuil, la rapproche contre lui et doucement à son oreille
« Cela dépend de vous, ce que j’en dit moi c’est que j’aimerais bien et vous ? Vous voulez dormir avec moi ? »
Elle rougit, elle avait pourtant décider de garder le contrôle et de ne surtout pas se brûler les ailes avec lui ce matin, mais l’après-midi merveilleux et que là il soit tout contre elle, de sentir le parfum de sa peau, elle perdait encore la tête et puis zut tant pis pour les regrets, elle verrait cela demain matin. Elle se décolla de lui, se dirigea vers le couloir puis en ouvrant la porte qui menait aux chambres lui dit langoureusement
« Vous avez sommeil vous, pas moi en tout cas …cependant rien ne nous empêche d’aller dans ma chambre, enfin pas pour dormir si vous le voulez bien »
« Carrément que je le veux »
Il lui attrapa la main et d’un pas décisif les emmena dans la chambre de la jeune femme, il referma vivement la porte derrière eux, impatient de la serrer contre lui et de ne surtout pas dormir.
Il tendit l’autre le bras, la ramena vers lui et enroula ses deux bras autour de sa taille. Une main glissa vers sa nuque. Le regard rempli de désir qui lui lança la rendit toute chose. Il se pencha vers ses les lèvres et les effleura des siennes. Doucement, tendrement ils s’embrassèrent, puis comme sur la plage leurs corps se collèrent irrémédiablement attirés l’un par l’autre. Leurs baiser s’intensifièrent, les mains d’Arthur reprirent les caresses de l’après-midi, ne pouvant toujours pas se contrôler, il ne pouvait plus attendre, cette nuit elle deviendrait afin sa femme, cette dernière avait passé ses deux mains sous sa tunique et exploraient son torse. Arthur Grogna de contentement.
« Doucement ma belle, vous me rendez fou »
« Moi ? Bah tant mieux car vos mains .. »
Il l’arrêta par un baiser puis posa son front contre celui de la jeune femme et lui dit d’une voix rauque.
« S vous saviez l’effet que vous me faites » sans attendre sa réponse, il pressa son érection contre elle. Sa tête se redressa d’un coup pour le dévisager, ses grands yeux ouverts vers lui, choqué d’elle-même de ressentir cet effet partagé. Elle lui caressa le visage et d’une voix mutine
« Ah je vois, est ce moi qui vous fait tant d’effet, je n’aurai pas cru, êtes-vous sûr de ne pas vous tromper »
Elle se surprenait elle-même, elle n’avait jamais outrageusement flirté avec lui, elle n’avait d’ailleurs jamais osé flirter avec lui
« Dis donc vilaine jeune fille, vous n’oseriez pas vous moquer de moi tout de même »
« Et si j’ai envie de ne pas être une gentille fille ce soir »
« Attention à vos paroles ma douce si vous êtes une vilaine fille, je pourrais envisager de vous punir et je vous assure que je peux être très imaginatif » lui murmura-t-il à l’oreille
Le feu prit rage dans son ventre à la pensée d’un Arthur « la punissant », ses joues devinrent rouge pivoine, elle était vierge et même si Démetra avait fini par lui raconter en « détails » toutes les choses de l’amour, elle ne s’attendait pas que son imagination soit aussi débordante, excitante et pourtant tellement peu familière, elle voulait s’abandonner à Arthur corps et âmes. Arthur la voyant rougir ainsi regretta ses paroles, il avait poussé le flirt un peu trop loin, elle ne connaissait rien aux choses de l’amour et lui comme une pauvre nouille, lui avait fait des allusions certainement trop poussées même si l’idée ne lui déplairait certainement pas.
« J’ai terriblement envie de vous, mais on n’a pas à faire quelque chose que vous ne voudriez pas. Nous avons le reste de nos vies à passer ensemble, vous tenir dans mes bras, vous embrassez, vous voir sourire suffisent à mon bonheur »
Le cœur de Guenièvre se mit à battre follement sous l’effet de tous ses sentiments pour lui.
« Alors je ne dis pas que je suis déjà prête pour une fessée…afin pour l’instant » dit-elle en souriant alors que son mari rougit aussi fort qu’elle « mais je ne dis pas non à ….vous voyez quoi ! »
Il lui sourit avec un sourire si tendre que le moindre doute ou peur qui serait rester cacher au fin fond de son cœur s’était envolé, elle lui sourit en retour. Leurs lèvres se rejoignirent encore tendrement, elle ne savait pas ce qu’il s’était passé mais la chaleur entre eux s’intensifia, leurs baisers devenant passionnés, affamés, à couper le souffle. Ses mains se perdirent dans ses boucles. La tunique d’Arthur tomba sur sol, elle se retourna pour lui donner accès à son dos, Arthur de ses mains tremblante s’acharna à défaire les liens qui tenait encore sa robe, rapidement elle rejoignit sa tunique sur le sol, elle retira ses chaussures puis très lentement elle retira la petite robe blanche qui cachait son corps. Arthur en eu le souffle coupé et d’une voix rauque lui murmura un « superbe » au creux de son oreille. Il retira ses chaussures qui furent envoyés à l’autre bout de la pièce, et se laissa tomber sur le lit en l’entraîna dans ses bras. Sa bouche parcouru son cou puis glissa vers sa poitrine qu’il décrivit comme étant « sacrement magnifique » entre les gémissements de sa femme. Il se délectait de ses seins, ses tétons caressés, sucé, taquiné sans fin. Son corps à elle entier la brûlait, son intimité s’humidifiait alors qu’il glissait tout le long de son corps sa langue arrivant à son aine où il y traça de savante arabesque. Elle gémit plus fort lorsque ses doigts effleurèrent son entrée en la caressant. Sa langue se frotta contre ce petit bout de chair si sensible encore et encore alors que de ses doigts il faisait des allers-retours, doucement il mit un doigt devant son entrée qu’il taquinait doucement.
« Je …je peux » lui demanda d’une voix douce.
« OUI …oui…s’il vous plait » lui quémanda-t-elle
Il entra son doigt doucement alors qu’elle tremblait d’envie et d’un peu de peur aussi, allait-elle le satisfaire, aucun des deux ne put dire lequel avaient poussaient le gémissement le plus fort. Ses lèvres se refermèrent sur son clitoris, l’aspirant doucement, tout en continuant des va et viens avec son doigt, elle se laissa aller aux sensations de son premier orgasme. Les frissons qui la parcouraient firent trembler tout son corps, elle l’attrapa par les cheveux pour le faire remonter vers elle.
« Arthur…je …j’ai … »
Elle ne put finir sa phrase car déjà il la faisait taire par un baiser. Son propre goût sur sa langue lui donna encore plus envie de lui. Elle aurait dû être terrifié à l’idée de son membre qu’elle trouvait certainement trop grand envahissant son corps mais elle se sentait vide sans lui, elle avait besoin de lui désespérément, éperdument, son besoin physique était aussi puissant que les sentiments qu’elle ressentait pour lui. Il en avait eu des femmes dans ses bras, on aurait même pu dire de lui qu’il avait eu peut-être trop, mais pour la première fois de sa vie, tout était enivrant parfait, elle, elle était parfaite, sa peau laiteuse au goût miel, son corps à la fois ferme et tendre, ses formes qu’il l’excitait comme un adolescent, il était ivre d’elle, c’était elle la femme de sa vie, pour son cœur, pour son corps, pour son âme.
Elle écarta les jambes, lui offrant tout son corps. Il parut sentir le besoin presque animal qu’elle avait de lui ou alors c’était son propre désir qui suppliait d’être apaisé. Il se positionna face à son entrée, la pénétrant doucement.
« Dites-moi si je vous fais mal »
« Non ..oh par tous les dieux … ne vous inquiétez pas …faites-moi juste l’amour …s’il vous plait »
Pourtant aussi courageuse qu’elle était, elle ne put retenir le cri douloureux qui lui échappa alors qu’il brisait la dernière barrière entre eux.
« Oh ma douce…je suis désolé. Vous allez bien » murmura-t-il alors qu’il recouvrait son visage et son cou de baiser.
Elle se sentit aimé comme jamais alors qu’il oubliait son propre besoin en s’arrêtant et en attendant qu’elle s’habitue à lui. A son grand soulagement son corps s’habitua rapidement à sa présence. Elle l’attira plus près et lui rendit chaque baiser, se souvenant ce que Démetra lui avait expliqué, elle souleva ses jambes et les enroula autour des hanches de son amant. Son mouvement l’enfonça encore plus profondément en elle, Arthur émit un grognement de satisfaction à cette nouvelle sensation. Il devait absolument se calmer et rester concentré car il perdait déjà tous ses moyens. Il commença à bouger lentement, scrutant le visage de sa femme pour y voir toutes les sensations qu’il pouvait lui procurait mais très vite encouragé par ses gémissements, il accéléra. Mais elle avait besoin de sentir plus alors elle accompagna ses mouvements, l’insistant à aller plus vite. Elle perdait la tête alors que les coups de reins de son mari s’amplifiaient. Le plaisir commençait à monter en elle, elle devenait bouillante, des petites étoiles brillaient derrière ses paupières fermées.
« Arthur…s’il vous plait..plus …encore plus »
Elle le sentit délier ses jambes de ses hanches, elle allait protester mais il les remonta plus haut et les posa sur ses épaules avant de reprendre plus fortement ses vas et viens. Ses gémissements s’intensifièrent pour finir dans une longue plainte alors que son second orgasme s’abattit sur elle.
Chaque contraction de son corps enserrait son sexe alors qu’il plongeait toujours en elle encore plus fort, il la rejoignit rapidement dans un grognement sourd, il s’abattit contre elle totalement épuisé, enivré par son propre orgasme. Il parvint à les rouler sur le côté, se retirant doucement d’elle, la pris dans ses bras. Elle soupira heureuse contre son torse alors qui lui caressait langoureusement le dos, et que tendrement il lui l’embrassait la tête.
« C’était magique Guenièvre, vous avez mal ? »
Elle fit non de la tête contre son torse, elle ne voulait plus bouger, plus rien dire, elle était trop heureuse et décidément elle qui pensait ne pas pouvoir aimer plus Arthur, cette nuit venait lui démontrer le contraire. Elle voulait passer sa vie dans ses bras. Arthur souriait dans les cheveux de sa femme, il savait que s’en était fini de lui, il ne pourrait plus jamais être loin de cette femme, il allait l’aimer, la protéger, passer tous les jours de sa vie avec elle, lui faire des enfants, oh oui des enfants avec elle, la perspective de ce futur bonheur le remplissait de joie. C’était donc ça d’être vraiment amoureux, même son histoire avec Aconia lui paraissait bien fade comparer aux sentiments, au désir qu’il éprouvait pour cette femme, sa femme, sa tendre et douce épouse.
« Ma douce …ma merveilleuse épouse….ma femme rien qu’à moi » dit-il en la serrant plus fort.
Elle voulut faire une touche d’humour alors d’une voix plus sérieuse lui dit
« Afin épouse ..pour l’instant car mon père a d’autre projet, non »
Arthur rit
« Alors je peux vous dire que le plan de votre père est totalement foutu, oh quel dommage tant pis pour lui, il a perdu sur ce coup »
« Comment ça ? »
« Ben le plan tordu de votre père c’était d’annuler notre mariage car nous ne l’avions pas consommé et là dommage Léodagan vous avez perdu !!!! »
Guenièvre se figea contre son mari, elle ne comprit pas que son mari faisait de l’humour car une colère noire lui tordit les tripes et elle lui hurla dessus en le repoussant.
« QUOI c’était votre plan depuis le début, GAGNER contre mon père !!!!! »
Elle se levant du lit en un bond et avant qu’Arthur estomaqué puisse lui répondre elle continua de plus belle, en hurlant plus fort.
« AH MAIS BIEN SUR QUE JE SUIS GOURDE, ARTHUR PENDRAGON NE PEUT PERDRE CONTRE PERSONNE » tout en s’habillant et en attrapant les vêtements de son mari.
« CA VAS C’ETAIT PAS TROP DIFFICILE VOTRE PLAN, CRUCHE COMME JE SUIS BIEN SUR QUE J’ALLAIS CEDER »
« Oh on se calme qu’est-ce que vous racontez comme connerie encore »
« Des conneries ! DES CONNERIES !!! BEN OUI JE SUIS TELLLEMENT STUPIDE …UNE GROOOOSSE GOURDE QUE VOUS POUVEZ PAS ENCADRER EN PLUS »
Elle lui balance ses vêtements sur le lit et lui montre la porte de son doigt
« BARREZ VOUS !! JE NE VEUX PLUS VOUS VOIR »
« Mais ça ne va pas BIEN ma pauvre fille » dit il complètement sorti de ses gonds.
Il se lève rapidement, met son pantalon et se rapproche d’elle
« Vous allez vous calmer tout de suite !! et arrêter d’être stupide
« STUPIDE !!! » Elle lui lance le vase posé sur son bureau, ce dernier frôle la tête du Roi.
« Mais vous êtes complètement malade, faut vraiment vous faire soigner dans cette famille à tout me balancer à la gueule. JE SUIS VOTRE ROI !! »
« ROI DES CONS !! » Elle serra fort ses poings et se mit à trembler de tout son corps « Sortez de ma chambre, je ne veux plus vous voir » Arthur avait ouvert la bouche pour intervenir mais elle dit en larmes « NON, non ne dites rien là maintenant, tout de suite je veux plus vous voir, si vous partez pas je HURLE »
Elle éclata en sanglot, Arthur n’eut pas d’autre choix que de partir, il sentait bien que s’il restait elle pourrait se faire du mal. Avant de sortir, la poignée de la porte dans la main.
« Je m’en vais mais cette conversation est loin d’être fini vous vous plantez complètement Guenièvre, calmez vous on reparlera plus tard.
Après avoir fermé la porte, il posa sa tête contre cette dernière se demandant comment il avait pu passer du moment le plus merveilleux de sa vie à cette scène. Le cœur lourd il se dirigea vers le salon où se trouvait l’enchanteur assis dans un fauteuil devant la cheminée, ce dernier fit signe au Roi de s’asseoir dans le siège à côté de lui.
« Ce qui est bien avec vous c’est que l’on ne s’ennuie pas, quelle soirée pleine de rebondissement faudra quand même m'expliquer comment vous êtes arrivé à vous débrouiller pour la faire crier, disons de deux façon différentes cette nuit, très fort quand même, je suis impressionné, en tout cas dans les deux cas on vous a entendu à des kilomètres à la ronde »
L’enchanteur fit mine d’applaudir pour accompagner ses paroles pourtant le Roi ne réagit pas, alors il enchaîna.
« Non mais vraiment très fort !! En revanche j’aimerais bien savoir pourquoi elle criait, qu’est ce que vous lui avait fait, …. enfin sur la deuxième partie, sur la première nous avons TOUS bien comprit ce que vous lui faisiez !!! « 
« Arrêtez d’être aussi insolent, je ne me répéterais plus, je suis votre Roi, vous me devez le respect !! »
« D’accord Sire, ne nous énervons pas, dites-moi je peux peut-être vous aider »
« Je ne la comprend pas, elle est complètement folle !!! »
L’enchanteur lui lança regard noir
« Ah ben si , ne me regardez pas comme ça, là il lui manque une case !!! On était bien, même très bien, tout avait été parfait, bien au-delà du parfait d’ailleurs, pourquoi je vous raconte ça moi d’abord je deviens aussi fou qu’elle »
« Vous me racontez cela car je suis le seul à pouvoir vous aider à la comprendre »
« Vous la connaissez tant que ça ! Vous passez dix jours avec elle et ça y est vous la connaissez par cœur »
« Disons que j’ai comprit son fonctionnement certes je vous le conçoit particulièrement pas simple mais oui je peux dire que je la connais bien » « Elle a peur des oiseaux pour une raison un peu absurde mais je pense que c’est plus profond peut être une peur de l’enfance refoulé, elle a peur des orages car on lui a raconté que des conneries dans sa jeunesse, elle adore la pâte d’amande, elle aime la musique, elle aime l’art mais c’est toujours intéressé à des trucs qu’elle ne comprenait pas pour vous faire plaisir, elle adore les bébés chien afin les chiots pour des raisons bizarre. C’est une femme candide à qui on n’a rien expliqué mais qui a un tempérament de feu, si on prend le temps de lui expliquer les choses, elle devient pertinente dans ses réflexions. Elle s’ennuie dans sa vie au château, elle n’a pas d’amis à part vos maîtresses mais soit dit en passant vous ne trouvez pas sa glauque que ses seules amies soient les femmes avec qui vous la trompait. J’imagine bien leurs conversations, Ah ben le Roi il m’a fait ça hier soir… Elle devait adoré et puis ce n’est pas humiliant pour deux sous ..Ah j’allais oublié il y a aussi le seigneur Lancelot, son confident qui a quitté le château car il n’est plus d’accord avec vos « méthodes » …Bon il est aussi amoureux de votre femme mais on va passer le sujet. Et surtout elle n’aime que vous ne me demandez pas pourquoi mais elle vous met sur un piédestal, c’est d’ailleurs un peu flippant qu’elle aime même autant vos défauts »
Le Roi sourit aux dernières paroles de l’enchanteur mais il fut surpris qu’il la connaisse autant.
« D’accord !! j’ai compris, donc on venait de passer un bon moment » l’enchanteur sourit aux paroles du Roi « Bon ça va !! alors heu …après tout allait bien mais d’un coup elle devenu complètement folle et elle m’a foutu dehors !! »
« Non mais qu’est-ce que vous lui avez dit ! »
« Mais rien de particulier, je plaisantais sur le fait que son père ne pourrait plus annuler notre mariage ! »
« Ah voilà tout s’explique !! Elle a cru que vous l’avez fait exprès pour faire chier son père »
« Mais non !! Vous êtes aussi tordu qu’elle ça rien avoir si on … enfin j’ai pas fait ça pour quoi ce soit d’autre que pour ..enfin vous voyez bien, j’avais envie d’elle non mais c’est fou ça que je sois obligé de me justifier »
« Non mais vous n’avez pas à vous justifier mais comme votre femme est si peu sure d’elle qu’elle n’a pas pût imaginez que vous aviez vraiment envie d’elle, du coup elle a sauté sur la première conclusion foireuse. »
« Non mais c’est n’importe quoi !! Je n’ai rien fait pour qu’elle puisse douter de mes sentiments et de mon désir ce soir »
« Vous venez de répondre à votre question, vous n’avez rien fait ce soir par contre avant penser vous que vous n’avez rien fait »
« Non enfin si peut être, …je vais ramer c’est ça ? »
« Oh oui , et il va falloir vous accrocher mais bon allons-nous coucher demain il fera jour, je vais vous aider »
Sur ces dernières paroles les deux hommes se levèrent pour aller se coucher, cette nuit ni le Roi ni la Reine ne trouvèrent le repos.
Le jour venait à peine de se lever et dans la forêt sur les terres du seigneur Dagonet, le chevalier errant restait contemplatif devant son feu de camp, ses pensées était toute tourné vers sa bien-aimée, elle lui manquait terriblement, souvent il rêvait d’elle, de sa beauté, de son sourire, de sa posture royale pourtant la colère lui venait souvent en pensant au Roi comment une femme aussi parfaite pouvait elle supporter un tel incapable. Un bruit dans les buissons réveilla ses sens et le sorti de sa contemplation, qui se permettait encore de le déranger et surtout à cette heure-ci, quel choc pour le chevalier quand il vit la femme maintenant devant lui.
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pupurpupull · 4 years
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La saison des amours
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Ça commence aujourd’hui
Je m’étais pris un râteau sur un banc de Villeurbanne. Pourtant je considère que quand on couche avec une villeurbannaise cintrée, qu’on la serre très fort dans ses bras et que la fenêtre donne sur un brasier de poubelles de tri, ça mérite d’y consacrer toutes ses pensées et toute son existence. Nous avions ensuite marché dans une dizaine de rues. Dans toutes ces rues, le garçon m’avait dit beaucoup de compliments qui m’avaient anéantie. Si j’étais quelqu’un d’aussi bien qu’il le disait, je devais être sacrément laide pour qu’il ne veuille plus serrer ma main. Il se racontait à voix haute qu’on avait eu une relation singulière qu’il avait beaucoup d’estime pour moi, qu’il avait été heureux de me connaître, que j’étais étrange et drôle. Ça ne suffisait pas : les ciseaux coupent la feuille, la feuille couvre la pierre et la laideur enterre l’amour, c'est un fait qui ampute de beaucoup de joies. 
Je suis rentrée et sans allumer la lumière, je me suis allongée, j’ai mis de la musique que j’ai laissé m’envelopper dans un sommeil sinistre. 
 Le lendemain, j’allais mieux. J’avais convoqué une figure mentale pour porter mes pensées : en fille de Polonaise j’appelle souvent une slave vénale et moqueuse qui claque la porte dans des effluves de parfum bon marché après avoir dépouillé un pauvre jeune homme. Elle m’accompagne et je joue avec elle.
 J’étais prête à en découdre et à tout faire pour ne pas me complaire dans le chagrin. J’ai donc tapé dans la barre de recherche Youtube « Ça commence aujourd’hui », l’émission présentée par Faustine Bollaert. Tous les problèmes de la vie s’y exposent et le temps d’une émission on arrive toujours à s'emparer d’une phrase qui console, d’un hochement de tête qui vous convainc que rien n’est grave, que tout va s’arranger.  Je suis persuadée que Faustine pense à ses invités avant de s’endormir, elle se demande s’ils vont bien. Ce n’est pas quelque chose que ferait Sophie Davant. 
D’habitude Faustine n’emmerde pas trop ses invités mais j’étais mal tombée puisqu’il s’agissait là de relooker des femmes minées par diverses violences.
« — Moi je me maquille tous les matins, le parfum, les boucles d’oreilles… Et après c’est jean et pull-over expliquait Cathy, 43 ans.
— Mais féminine du visage » lui répondait l’animatrice.
J’essayais de déceler chez Faustine une attitude, une expression qui montrerait qu’elle n’avait pas envie de faire ça, qu’elle n’avait jamais eu l’idée de relooker des gens mais que ses patrons l’y avaient forcée. Ce n’était pas le cas. Elle y prenait visiblement du plaisir.
Quand on commence à vouloir rhabiller les gens, on est corrompu de façon assez grave. Il en est de même avec les coachs de recherche d’emploi, les tarologues et les astrologues. Lors d’une soirée d’anniversaire, j’ai fait connaissance avec un voyant. Sans que je l’autorise à procéder à une quelconque analyse de ma personne, il a conclu en me regardant que j’avais un “problème avec mon père” : « ton père est mort non ?  » C’était parfaitement vrai même s’il se trompait sur le fait que c’était un problème. Satisfait de ce premier succès, il m’a expliqué que j’avais une jambe plus courte que l’autre : il me fallait aller voir un spécialiste du pied, une petite cale d’un demi-centimètre pouvait totalement modifier mes relations avec le monde. Durant la semaine qui a suivi j’ai pensé que j’étais boiteuse sans le savoir, que c’était une particularité de ma démarche dont tout le monde avait connaissance. Je me disais que ma mère avait conspiré avec le reste de ma famille pour me préserver en n’évoquant jamais en ma présence cette anomalie. Ce n’est pas grave de boiter mais c’est important de savoir qu’on marche comme ça.  C’était ridicule comme pensée car les voyants sont trop arrogants pour faire quelque chose d’aussi bête : qui irait dévoiler à un manchot qu’il lui manque des bras ? On ne peut révéler que ce qui est caché comme une constipation, un cancer ou le pressentiment d’être un élu de Saturne.
Le voyant mondain et Faustine faisaient donc partie des gens qui lorsqu’ils te voient t’abreuver dans le caniveau refusent de s’accroupir avec toi pour se désaltérer de la même boue. Faisant mine de te soutenir, ils te signifient le dégoût que leur évoque ton corps, ta personne et ta vie. 
Je suis sortie acheter des surgelés. Dans les rues de Villeurbanne mes mains gerçaient si fort à cause du froid que le sang s’y faufilait. Je repensais au garçon : cette histoire comme toutes les histoires avait creusé ses galeries et il suffisait maintenant de laisser les jours y couler des burgers, de l’ennui et des regrets. Attendre que le temps passe, je savais très bien faire ça.
Mon style de mec
On ne m'avait jamais conviée à un mariage ou choisie comme marraine pour son enfant. J’étais tatie, c’est vrai, et mon neveu m’appréciait mais personne ne m’avait élue et ma tête n’était pas ceinte de la couronne éthérée des marraines. On m’invitait rarement en vacances. Toutes ces situations n'avaient rien d’alarmant mais elles me semblaient tracer les stigmates d’une misère grotesque qui sautait tellement aux yeux que personne ne m’en parlait.  
Certaines personnes voulaient bien coucher avec moi mais rechignaient à se montrer à mes côtés, à mettre une capote, à me faire des cadeaux, à m’emmener quelque part. Les quelques fois où un mec était venu plus d’une fois dormir contre moi, j’avais l’air de rien évoqué l’idée qu’il puisse avec sa voiture m’apporter un canapé. J’étais sans voiture, sans permis et sans canapé. J’aurais aimé être assez proche de quelqu’un pour qu’il m’apporte un meuble ou qu’il fixe une étagère chez moi. C’était le genre d’attention dont j’avais besoin : qu’on m’aime suffisamment pour se soucier de mon environnement. J’avais bien remarqué que les garçons préféraient faire ça avec des marraines. Je voulais savoir ce qui me distinguait de ces filles.
 Je passais de plus en plus de temps à scruter les gens pour comprendre quelles monstruosités ils pouvaient déceler chez moi, je savais qu’elles existaient mais je voulais les voir. Elles me terrifiaient. Enfant j’étais persuadée que les adultes se voyaient sans avoir besoin de se refléter dans un miroir.    Ça m'avait dérouté quand j’avais fini par comprendre que le regard des gens sur moi serait pour toujours inconnu.
J’étais soudainement devenue allergique aux acariens : ces débris contrariaient mon visage, je voyais mon nez se distendre et mes yeux se vitrer d’un voile rose. Rien de très important mais cela s’ajoutait à tous mes problèmes, je devais parader avec la tête d’une fille qui passe sa vie à renifler sa couette, volets fermés.
Je me demandais comment trouver quelqu’un. Une copine m’avait conseillé de ne pas attendre que les choses me tombent dessus, de réfléchir sérieusement et concrètement à ce que je souhaitais, d’en faire un projet, d’écrire un cahier des charges en quelque sorte. Cela avait marché pour elle. C’était sans doute bête d’écouter ce conseil (son mec était un gros con) mais c’était la première fois qu’on me le donnait et ça semblait parfaitement logique : il n’y a finalement pas de grande différence entre trouver un copain et trouver un travail. Les récompenses et punitions y sont juste différentes.
J’essayais donc de définir mon style de mec. Avec qui je voulais être. Ça ne pouvait pas être un randonneur ou un féru d'escalade. Les corps trop sportifs me feraient détester mon corps flasque et comment quelqu’un qui se grise de paysages pourrait partager quoique ce soit avec une fille à gros cul qui regarde des replays en buvant du coca ? Sans oublier que c’est le genre à faire semblant d’être expert en fromages ou en bières brassées dès qu’il s’agit de faire un apéro. En bref, les grenoblois étaient exclus.
Ce qui vraiment aurait été bon pour moi comme pour n’importe qui aurait sans doute été d’arrêter les garçons et de penser aux filles. Mais mon cas était désespéré, j’avais sucé l’intégralité des épisodes d’Hélène et les garçons, j’étais pleine de romance fétide, un sac de pus prêt à attendre cent ans l’épingle qui viendrait le percer. J’étais faite comme une tique qui au bout d’un brin d’herbe attend son mammifère.
En attendant mon bus je voyais passer des camions d’artisans : Hervé Thermique, Romain Isolation, Stéphane Rabotage, Fred Débarras. C’était assurément un garçon comme ça qu’il me fallait. Un bon bricolo qui s’il me voyait vivre un seul jour sans rideaux m’installerait une tringle avant même d’avoir baissé son slip.  Ça ne le dérangerait pas que je prenne du poids, il me suffirait juste de faire mijoter régulièrement un bon bourguignon ou des joues de bœuf qu’il mangerait avec appétit.  Je pouvais tout à fait faire ça, j’avais une cocotte en fonte. Il serait celui qui répare et moi celle qui restaure.  Je me sentais prête à trouver les secrets des meilleurs ragoûts et à apprendre à sucer correctement contre l’assurance d’un partenaire disponible pour tous les sinistres qui m’attendaient : dégâts des eaux, décollement de carrelage et chimiothérapies.
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alexar60 · 5 years
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Les amants maudits
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C’était une légende qu’on se racontait le soir, au temps où l’homme venait d’inventer le fer. Rhyfel était un brave et beau guerrier. Il était connu pour être un chasseur hors-pair et surtout un combattant respecté de ses ennemis. Pas moins de dix têtes ornaient la façade de sa hutte. Il avait et obtenait toujours ce qu’il désirait. Les hommes le vénéraient, les femmes l’adulaient, les garçons voulaient lui ressembler, les filles voulaient l’épouser. Il était un dieu vivant auprès de son peuple.
Un matin, alors qu’il traquait un magnifique sanglier, il croisa la jeune et belle Dealane. Sa peau blanche, ses cheveux longs et blonds, son parfum de fleurs sauvages, éveillèrent chez Rhyfel des sensations encore inconnues. Certes, il avait déjà aimé des femmes, il avait su conquérir leur cœur et savouré  la chair juteuse de leur fruit défendu, mais Dealane montrait un tempérament différent. Bien qu’elle fût de suite conquise par le regard sombre et les cicatrices du guerrier, elle montra une désinvolture inhabituelle pour une personne vouée à entretenir la maison d’un guerrier.
Dealane était une rebelle. Elle n’écoutait rien préférant la compagnie des oiseaux et autres animaux libres. D’ailleurs son surnom était le papillon qu’on attrape jamais car nombreux furent les hommes qui essayèrent de prendre dans leur filet la belle Dealane. Elle vivait dans une cité voisine et était la fille du roi local. La princesse se promenait souvent loin des murs de bois de son château qui ressemblait plus à une grosse ferme. Elle préférait la compagnie des biches à celle des chasseurs. Quand elle vit Rhyfel, son cœur se mit à battre la chamade. Elle comprit qu’il était différent. Mais elle ignora sa présence, et continua de marcher sur le sentier vers une source ou elle aimait se reposer.
Durant plusieurs semaines, Rhyfel courtisa Dealane. La princesse montrait à chaque fois sa classique arrogance en détournant le regard afin de montrer qu’elle n’était pas intéressée. Alors, le héros décida de ne plus l’importuner. Persuadé de venir la voir pour la dernière fois, il entra un soir dans la ferme du père de Dealane. Le clan fêtait Lugnasad, la fête du dieu Lug en organisant des jeux et des échanges commerciaux ainsi que des traités de paix. Dealane s’amusait et dansait avec d’autres filles célibataires en quête d’un mari quand elle aperçut  Rhyfel, la mine en colère et triste à la fois. Tous virent le jeune guerrier s’approcher et annoncer qu’il partait combattre un dragon invincible. Dès lors, le visage de la jeune femme s’assombrit. A peine, s’était-il retourné qu’elle le serra dans ses bras. Tout le monde comprit qu’elle avait fait son choix. Pourtant, Rhyfel partit après avoir promis d’apporter la tête du dragon.
Les jours passèrent, Rhyfel ne revenait pas, Dealane s’inquiéta malgré les mots rassurants de ses amis : «Rhyfel est un guerrier, il t’aime, il reviendra ». Un jour, un groupe d’homme fut annoncé. Elle courut jusqu’au grand portail mais découvrit plusieurs cavaliers d’une tribu méconnue en tenue d’apparat. Le roi Mownt était venu en personne demander la main de la princesse.  Le père de Dealane accepta car ce mariage permettait d’obtenir une grande alliance avec le royaume de Mownt. De même la rumeur que Rhyfel serait mort n’encourageait pas non plus à refuser. Cependant, alors qu’ils buvaient de l’hydromel pour conclure l’affaire, Dealane s’insurgea en affirmant ne jamais épouser un autre homme que Rhyfel. Tous cherchèrent à raisonner la blonde, tous annoncèrent que Rhyfel était certainement mort. Dès lors, Dealane déchira ses vêtements, dévoilant sa peau blanche comme le lait et annonça qu’elle préfère se transformer en statue et avoir un cœur de pierre plutôt que de vivre auprès d’un homme qu’elle n’aime pas. La coutume interdisait de refuser à une femme entièrement nue ce qu’elle exigeait.  Humilié, Mownt rentra chez lui et ordonna à son druide de maudire la belle. Le savant partit à la source, là où Dealane aimait passer son temps. Il y attendit la princesse patiemment en espérant la faire changer d’avis. Mais encore une fois, Dealane n’hésita pas à se déshabiller en clamant haut et fort qu’elle épousera uniquement Rhyfel. Dès lors, le vieil homme entonna des incantations qui pétrifièrent Dealane sur place. Il maudit aussi tous ceux qui toucheront la statue.
Rhyfel mit deux mois pour trouver et tuer le monstre. Quand il arriva dans le village de son amour, il ne vit que tristesse et désolation. Il comprit qu’il y avait quelque chose de grave en apercevant des chevelures rasées déposées en signe de deuil devant la maison des parents de Dealane. Il poussa la porte, et sentit l’angoisse envahir son corps en ne croisant pas le regard de sa bien-aimée. On raconta l’histoire. Il courut jusqu’à la source où il vit Dealane changé en statue. Malgré son apparence immobile et froide, elle rayonnait comme si elle respirait encore. Il s’agenouilla auprès d’elle, oubliant les conseils de la famille de Dealane. Il ne sentit pas le froid transformer sa peau en marbre. Il resta immobile à jamais, serrant les genoux de la belle Dealane qui l’attendait pour l’éternité.
Les années passèrent, la légende fut oubliée mais les statues demeurèrent près de la source. Elles aussi furent oubliées ; recouvertes de mousse, elles ressemblaient plus à des pierres qu’à une représentation antique de Roméo et Juliette. La mairie nous sollicita pour les restaurer et les nettoyer. Elle comptait en faire cadeau à un musée célèbre. Avec mon équipe, nous fîmes un travail magnifique, redonnant l’éclat à ces deux statues de grande beauté. De temps en temps, je cherchai leur origine et découvris cette légende conservé dans un parchemin en vieux français. Quand je racontai l’histoire à mes collègues, l’un d’eux resta dubitatif. Il n’osa pas exprimer son point de vue. Mais au cours d’une soirée, il avoua avoir entendu des battements de cœur pendant la restauration. Un autre collègue signala aussi avoir entendu des battements de cœur. « Mais pourquoi n’avons-nous pas été changé en statue nous aussi? » demandai-je en souriant. « Peut-être que la magie ne fait plus effet ? » répondit-il.  Cela nous amusa puis nous continuâmes notre boulot jusqu‘à leur enlèvement.
Il y a eu une belle réception lors de la présentation des statues dans le musée. Elles étaient mises en valeur dans une salle comportant des sculptures de Rodin, Claudel ou encore Bourdelle. Nous fûmes félicités pour notre job. Et pendant que tout le monde discutait autours du banquet dans la salle voisine, je partis me promener seul pour leur dire au revoir. Ça parait con, mais j’ai tendance à humaniser les œuvres que je répare. Je me tus, observant une dernière fois ces deux corps nus. Elle, assise tandis que lui, à genoux, semble la supplier. Je n’avais pas remarqué son visage triste. En voyant une goutte d’eau sur la joue blanche de l’homme, j’approchai afin de la retirer lorsque j’entendis un bruit qui n’avait rien à faire ici. C’était des pulsations calmes, douces, apaisées. Je crus à un délire de ma part, je reculai tout en restant attentif. Seuls les rires et voix lointaines empêchaient le silence de régner. Cependant, en tendant un peu plus l’oreille, je reconnus bien ces battements de cœur entendus par mes collègues. Les statues ne bougeaient toujours pas. Je les observais et vis une nouvelle goutte perler sous l’oeil du garçon. Une autre goutte apparue mais sur le visage de la fille. Je déglutis en pensant qu’ils étaient encore en vie. Toutefois, je préférai partir, comme pour les laisser seuls. Je rejoignis donc les autres sans rien raconter de peur d’être pris pour un fou…Ou juste pour qu’on ne les dérange pas.
Alex@60 – mars 2020
En photo : ‘Adoration’ par Stephan Sinding (1846-1922)
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christophe76460 · 4 months
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TON CIEL EST OUVERT 🙌
PRIE AVEC MOI CE MATIN !
🗣️ Merci Seigneur pour ta fidélité ta grâce et ton amour; merci pour le privilège que tu me donnes d’élever ma voix devant toi ce matin que ton Nom soit glorifié 🙌
🗣️ Aux pieds de ta croix je me prosterne pour implorer ton pardon dans ma vie. En effet, mes paroles, mes actions et mes pensées t’ont offenser en ce jour pardonne-moi lave-moi dans le sang de Jésus et purifie mon cœur 🙏
🗣️ Je me positionne en Jésus-Christ dans les lieux élevés et je disperse Tout rassemblements satanique contre ma destinée.
🗣️ Pendant que je prie en battant mes mains avec foi et autorité, je proclame que, pauvreté, honte, humiliation, maladie, retard, stagnation, écoutez la voix de l’Eternel je vous commande de retourner à votre envoyeur de libérer ma vie, et je détruis maintenant tout pouvoir qui me retient au même niveau.
🗣️ Je me tiens sur mon droit légal en Jésus-Christ et me lève contre tout pouvoirs qui prononce et déclare la mort à mes progrès, mes projets, ma vie et mon avancement.
🗣️ Je me positionne en Jésus-Christ dans les lieux élevés et brise l’horloge des ténèbres contre ma vie, mes enfants et mon mariage mon âme.
🗣️ Pendant que je prie en battant mes mains avec autorité et foi, Je brise Tout ambargos de la maison de mon père, et de la maison de ma mère contre mes finances, mes projets, ma santé et mes bénédictions.
🗣️ Je me tiens sur mon droit légal en Jésus-Christ et déclare. Que, mes ennemis le veulent ou pas je l’œuvre de mes mains prospères et je reçois le parfum de la faveur Divine.
🗣️ Je me positionne en Jésus-Christ dans les lieux élevés et rend silencieuse toute voix des ténèbres qui parlent contre mes finances, mes affaires, mon travail, mes projets et mes bénédictions.
🗣️ Pendant que je prie en battant mes mains avec foi et autorité, je me lève, je détruis et anéantis tous esprits de sorcellerie de la maison de mon père de la maison de ma mère, du territoire où je vit qui volent mes bénédictions .
🗣️ O Dieu d’Elie lève-toi et poursuit ceux qui me poursuivent détruit ceux qui veulent me détruire.
🗣️ Merci Seigneur de m’avoir exaucé que l’honneur et la gloire te reviennent 🙌
🗣️ Je prophétise une journée de miracles, de bonnes nouvelles et de percées illimitées dans chaque domaine de ma vie!
🗣️ C’est au Nom Puissant et Souverain de Jésus-Christ j’ai prié.
Amen Amen Amen🙏
SHALOM !
EV. Marlyse Rufus
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blossomeisblume · 4 years
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l'hiver promet un printemps..
ma peau est blanche.. pâle.. je m'affaiblis, les neiges de décembre.. vont faner les fleurs.. j'aimerai mourir pour renaitre au printemps.. comme un brin de lavande, comme un coquelicot.. des adieux, les préliminaires d'une vie triste à en mourir.. je suis en deuil, en deuil de moi-même.. les funérailles enterrent les promesses d'autrefois.. une amertume envahit mon âme errante.. je me promène dans les allées du cimetière des amours.. mon regard rivé sur les pierres tombales.. des hommes oubliés. des bagues de fiançailles perdues.. j'ai mal à l'âme.. poésie indécise.. l'harmonie, l'osmose de notre symbiose.. l'alliance d'un mariage heureux se fige dans l'instant présent, où la présence de l'absence est irréversible.. où mon âme n'est qu'une ombre dans la lumière.. la mélancolie s'invite et je me noie dans l'océan dense de mes mensonges.. ces songes et chimères qui s'allongent sur les pétales d'une romance inespérée.. l'idylle s'évapore, la silhouette transparente s'estompe et laisse place à une aquarelle aussi jolie qu'enivrante.. comme ce parfum de candeur, un délicieux sillage, les chagrins militent et la tentation me ravit, celle d'embrasser un sourire, celui d'Avril.. cette divine poupée.. qui m'accorde l'extase et l'exaltation d'exquises gourmandises.. le fruit défendue d'une folie douce, d'une ivresse, d'un enchantement.. prodigieux.. merveilleux plaisir de se jeter dans la gueule du loup.. et de s'initier au jeu indécent.. de l'amour bestial.. et sagement sauvage.. charnelle sera cette nuit.. caresses intimes.. jardin secret.. l'invitée de la chambre 707 est une femme.. une déesse.. une reine.. un mélange harmonieux de nos corps en émoi.. s'intensifie dans l'intensité de nos baisers suaves.. et langoureux..
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traitor-for-hire · 4 years
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Les Quatre Filles March - Chapitre 25
Le premier mariage
Les roses de juin sur le perron étaient éveillées de bonne heure ce matin-là, et se réjouissaient de tout leur cœur sous le ciel sans nuage, comme les petites voisines amicales qu'elles étaient. Leurs visages rougeauds étaient tout empourprés par l'excitation, tandis qu'elles se balançaient dans le vent, se chuchotant de l'une à l'autre ce qu'elles avaient vu ; car certaines pointaient le bout du nez aux fenêtres de la salle à manger, où le festin était déployé, d'autres grimpaient pour saluer les sœurs et leur sourire comme elles habillaient la mariée, d'autres encore faisaient des signes à ceux qui allaient et venaient dans le jardin, sous le porche et dans le couloir, et toutes, de la fleur la plus épanouie au plus pâle des boutons nouveaux nés, offraient en tribut leur beauté et leur parfum à la douce maîtresse qui les avait aimées et s'était si longtemps occupée d'elles.
Meg elle-même était pareille à une rose ; car le meilleur et le plus doux du cœur et de l'âme semblaient s'épanouir sur son visage en ce jour, lui apportant lumière et tendresse, avec un charme plus éclatant que la beauté. Elle n'aurait ni soie, ni dentelles, ni fleurs d'oranger. «  Je ne veux pas avoir l'air étrange ou apprêtée, aujourd'hui, avait-elle dit ; je ne veux pas d'un mariage à la mode, mais seulement ceux que j'aime auprès de moi, et je veux pour eux paraître et rester mon moi habituel. »
Aussi avait-elle cousu sa robe de mariée elle-même, en mettant dans son ouvrage les tendres espoirs et les romances innocentes du cœur d'une jeune fille. Ses sœurs nattèrent ses beaux cheveux, et les seuls ornements qu'elle portait étaient les fleurs de muguet que « son John » préférait à toutes autres.
« Tu as tout à fait l'air de notre chère Meg, mais si charmante et adorable, que je te prendrais dans mes bras si je n'avais pas peur de froisser ta robe », s'exclama Amy en la contemplant avec ravissement, quand elle fut prête.
« Alors je suis satisfaite. Mais s'il vous plaît, venez dans mes bras et embrassez-moi, toutes, et ne vous souciez pas de ma robe ; j'entends bien la froisser de cette façon de nombreuses fois aujourd'hui » ; et Meg ouvrit ses bras à ses sœurs, qui la serrèrent, le sourire aux lèvres et les larmes aux yeux, en sentant dans leur cœur que le nouvel amour n'avait rien changé à l'ancien.
« Maintenant je vais aller nouer la cravate de John pour lui, et puis passer quelques minutes avec Père, au calme, dans l'étude » ; et Meg descendit en hâte pour accomplir ces petites cérémonies, et pour ensuite suivre sa mère où elle irait, consciente qu'en dépit des sourires, il y avait un chagrin caché au fond du cœur maternel, à voir le premier oisillon quitter le nid.
Pendant que les cadettes mettent la dernière touche à leurs simples toilettes, le moment est idéal pour parler des quelques changements que ces trois ans ont apportés à leurs apparences ; car en cet instant elles sont toutes à leur avantage.
Les angles de Jo se sont adoucis ; elle a appris à se déplacer avec aisance, sinon avec grâce. Les boucles courtes ont poussé en une épaisse masse frisée, plus seyante au petit visage perché en haut de la haute silhouette. Il y a une couleur nouvelle sur ses joues brunes, un doux éclat dans ses yeux ; aujourd'hui sa langue acérée ne produit que des mots aimables.
Beth s'est amincie en grandissant, elle est pâle et plus calme que jamais ; les beaux yeux tendres sont plus grands, et en eux réside une expression qui attriste celui qui la perçoit, bien qu'elle ne soit pas une expression de tristesse. C'est l'ombre de la douleur qui touche ce jeune visage avec une patience si pathétique ; mais Beth ne se plaint que rarement, et parle toujours avec espoir d'aller « mieux, bientôt ».
Amy est véritablement considérée comme la « fleur de la famille », car à seize ans elle a les airs et l'allure d'une femme adulte - non pas belle, mais pleine de ce charme indescriptible qu'est la grâce, visible dans sa silhouette, dans les mouvements de ses mains, le froufrou de sa robe et le tombé de ses cheveux - inconsciente mais harmonieuse, et pour beaucoup, aussi attirante que la beauté même. Le nez d'Amy la désolait toujours, car il ne serait jamais un nez grec ; de même que sa bouche qu'elle trouvait trop grande, et son menton décidé. Les traits incriminés donnaient du caractère à son visage, mais elle ne s'en rendit jamais compte, et se consolait avec son teint merveilleusement clair, ses yeux bleus vifs, et ses cheveux bouclés, plus dorés et plus abondants que jamais.
Toutes trois portaient des ensembles légers, gris argent (leurs meilleures robes d'été), avec des roses pâles dans les cheveux et au corsage ; et toutes les trois avaient exactement l'air de ce qu'elles étaient - des jeunes filles aux cœurs joyeux et aux visages frais, qui marquaient une pause dans leurs vies actives pour lire d'un air songeur le plus doux des chapitres de la romance féminine.
Il ne devait pas y avoir de cérémonies ostentatoires ; tout devait se faire de façon aussi naturelle et agréable que possible ; aussi quand Tante March arriva elle fut scandalisée de voir la future mariée venir l'accueillir en courant pour la faire entrer, de voir le futur marié en train de rattacher une guirlande qui était tombée, et d'apercevoir le ministre paternel monter gravement les escaliers, une bouteille de vin sous chaque bras.
« Ma parole, en voilà des façons ! » s'exclama la vieille dame en s'asseyant dans le fauteuil d'honneur préparé pour elle, et en arrangeant les plis de sa soie moirée lavande avec un grand froufrou. « Tu ne devrais pas te montrer avant la dernière minute, mon enfant.
— Je ne suis pas un spectacle, tantine, et personne ne vient pour me contempler, critiquer ma robe ou évaluer le coût de mon déjeuner. Je suis trop heureuse pour me soucier de ce qu'on peut dire ou penser, et je vais avoir mon petit mariage exactement comme je l'entends. John, chéri, voilà ton marteau, » et Meg s'en fut aider « cet homme » dans son activité particulièrement peu correcte.
Mr. Brooke ne dit même pas « Merci », mais comme il se penchait pour prendre l'outil si peu romantique, il embrassa sa petite fiancée derrière la porte, avec un air qui fit soudain monter la buée aux yeux perçants de Tante March, qui sortit promptement son mouchoir de poche.
Un grand fracas, un cri, et le rire de Laurie, accompagnés de l'exclamation, « Jupiter Ammon ! Jo a fait tomber le gâteau ! », causèrent un chaos temporaire, qui était à peine calmé quand une bande de cousins arriva, et « la fête entra », comme le disait Beth étant enfant.
« Ne laisse pas ce jeune géant s'approcher de moi ; il m'inquiète plus que les moustiques », chuchota la vieille dame à Amy, comme la maison s'emplissait, et que la tête brune de Laurie dominait tout le reste.
« Il a promis d'être très sage aujourd'hui, et il peut être parfaitement élégant s'il le veut bien », répondit Amy, qui partit avertir Hercule de se méfier du dragon, avertissement qui l'incita à hanter la vieille dame avec une persistance qui faillit lui faire perdre ses moyens.
Il n'y eut pas de cortège nuptial, mais un silence soudain se fit quand Mr. March et le jeune couple prirent place sous l'arche de verdure. La mère et les sœurs vinrent se tenir auprès d'eux, comme réticentes à laisser partir Meg ; la voix paternelle se brisa plus d'une fois, ce qui ne rendit le service que plus beau et solennel ; la main du marié tremblait visiblement, et personne n'entendit ses réponses ; mais Meg avait les yeux rivés à ceux de son mari, et dit, « Je le veux ! » avec une telle confiance, une telle tendresse sur son visage et dans sa voix, que le cœur de sa mère se réjouit, et qu'on entendit renifler Tante March.
Jo ne pleura pas , mais elle en fut bien près, et n'évita de se donner en spectacle que parce qu'elle était consciente que Laurie était en train de la fixer, avec un mélange comique d'amusement et d'émotion dans ses espiègles yeux noirs. Beth cachait son visage contre l'épaule de sa mère, mais Amy était telle une gracieuse statue, son front blanc et les fleurs dans ses cheveux illuminés de manière charmante par un rayon de soleil.
Cela ne se fait pas du tout, j'en ai bien peur, mais à l'instant où elle fut effectivement mariée, Meg s'exclama, « Le premier baiser pour Marmee ! » et se tourna pour l'embrasser de tout son cœur. Durant le quart d'heure qui suivit elle fut, plus que jamais, semblable à une rose, car tous vinrent alors réclamer une part de son affection, de Mr. Laurence à la vieille Hannah, qui, parée d'une coiffe « étrange et admirable », l'intercepta dans le couloir, pleurant et riant, « Dieu vous bénisse, ma chérie, une centaine de fois ! Le gâteau n'a rien, et tout est très beau. »
Tout le monde se dispersa après ça, et dit quelque chose de profond, ou essaya, ce qui fit tout aussi bien l'affaire, car le rire est prompt à venir quand les cœurs sont légers. Il n'y eut pas d'étalage de cadeaux, car ils étaient déjà tous dans la petite maison, pas non plus de festin élaboré, mais un copieux déjeuner de gâteau et de fruits, ornés de fleurs. Mr. Laurence et Tante March haussèrent les épaules et échangèrent un sourire quand ils s'aperçurent que les seuls nectars offerts à l'assemblée par les trois Hébé étaient de l'eau, de la citronnade ou du café. Mais personne ne fit de remarque, jusqu'à ce que Laurie, qui avait insisté pour servir la mariée, apparut avec un plateau lourdement chargé, l'air perplexe.
« Est-ce que Jo a cassé toutes les bouteilles sans faire exprès ? souffla-t-il, ou est-ce que j'ai seulement rêvé en avoir vu quelques unes ce matin ?
— Non, ton grand-père nous a gentiment offert ce qu'il a de mieux, et Tante March en a envoyé quelques unes, mais Père en a mis un peu de côté pour Beth, et a fait parvenir le reste au Foyer des Soldats. Tu sais qu'il pense qu'on ne devrait boire de vin qu'en cas de maladie, et Mère dit que ni elle ni ses filles n'en offriront jamais à un jeune homme sous leur toit. »
Meg parlait sérieusement, et s'attendait à voir Laurie se renfrogner ou rire, mais il ne fit ni l'un ni l'autre, et après un bref regard, il dit, à sa manière impétueuse, « Cela me plaît ; car j'ai vu assez de malheurs arriver pour souhaiter que les autres femmes pensent comme vous !
— J'espère que ce n'est pas l'expérience qui te rend si sage ? » dit Meg avec une pointe d'inquiétude.
« Non, je t'en donne ma parole. N'aie pas non plus trop haute opinion de moi ; ce n'est pas une de mes tentations. Ayant grandi dans un pays où le vin est aussi commun que l'eau, et presque aussi inoffensif, je n'en ai cure ; mais quand une jolie fille en offre, on n'aime pas refuser, tu comprends.
— Mais tu refuseras, pour les autres sinon pour ton bien. Allons, Laurie, promets, et donne-moi une raison de plus d'appeler ce jour le plus heureux de ma vie. »
Cette demande si soudaine et si sérieuse fit hésiter un moment le jeune homme, car le ridicule est souvent plus difficile à supporter que l'abnégation. Meg savait que s'il lui donnait sa parole, il la tiendrait à tout prix, et, consciente de son pouvoir, en usait comme peut le faire une femme pour le bien de son ami. Elle ne dit rien, mais leva vers lui un visage rendu très éloquent par le bonheur, et un sourire qui disait, « Personne ne peut rien me refuser aujourd'hui ». Laurie, assurément, en était incapable, et avec un sourire il lui tendit la main, en disant chaleureusement, « Je promets, Mrs. Brooke !
— Je te remercie infiniment.
— Et je bois à ta résolution, Teddy », s'écria Jo en le baptisant d'une lampée de limonade, comme elle agitait son verre, rayonnante d'approbation.
Aussi le toast fut bu, le serment prêté, et loyalement tenu en dépit de nombreuses tentations ; car avec une sagesse instinctive, les filles avaient profité d'un heureux moment pour rendre un service à leur ami, pour lequel il leur fut éternellement reconnaissant.
Après le déjeuner, les invités se promenèrent, par deux ou trois, à travers la maison et le jardin, profitant du soleil. Il se trouva que Meg et John se tenaient ensemble au milieu de la pelouse, quand Laurie eut une inspiration qui ajouta la touche finale à ces noces démodées.
« Tous les couples mariés se prennent par la main et dansent en cercle autour des jeunes époux, comme le font les Allemands, tandis que nous autres célibataires dansons en couples à l'extérieur ! » s'écria Laurie, en galopant le long de l'allée avec Amy, avec une bonne humeur si contagieuse que tous les autres suivirent leur exemple sans un murmure. Mr. et Mrs. March, Tante et Oncle Carrol commencèrent ; d'autres se joignirent rapidement à eux ; même Sallie Moffat, après une hésitation, releva sa traîne et entraina Ned dans la ronde. Mais le meilleur vint avec Mr. Laurence et Tante March ; car quand le majestueux vieux gentleman s'approcha solennellement de la vieille lady, elle glissa sa canne sous son bras, et sautilla vivement pour venir donner la main aux autres, tandis que les jeunes gens envahissaient le reste du jardin comme des papillons un jour d'été.
L'essoufflement mit fin au bal impromptu, et les invités commencèrent à partir.
« Je te souhaite d'être heureuse, ma chérie ; de tout mon cœur ; mais je pense que tu le regretteras », dit Tante March à Meg, en ajoutant pour le jeune marié, quand il l'accompagna à sa voiture, « Vous avez un trésor, jeune homme, faites en sorte de le mériter. »
« C'est le plus joli mariage auquel j'ai assisté depuis longtemps, Ned, et je ne saurais dire pourquoi, car il n'avait pas une once de style », fit remarquer Sallie à son mari, comme ils s'en allaient.
« Laurie, mon garçon, si jamais tu veux te laisser aller à ce genre de choses, fais-toi aider par une de ces jeunes filles, et je serai parfaitement satisfait », dit Mr. Laurence en s'installant dans son fauteuil pour se reposer, après l'agitation de la matinée.
« Je ferai de mon mieux pour vous contenter, sir », fut la réponse inhabituellement docile de Laurie, tandis qu'il détachait soigneusement la fleur que Jo avait mise à sa boutonnière.
La petite maison n'était pas loin, et le seul voyage de noces de Meg devait être la calme promenade avec John, de l'ancienne maison à la nouvelle. Quand elle parut, telle une jolie quakeresse dans sa robe grise, avec son bonnet de paille noué d'un ruban blanc, tout le monde se rassembla pour lui dire « Au revoir », aussi tendrement que si elle partait de l'autre côté de l'océan.
« Ne crois pas que je me sépare de toi, Marmee chérie, ou que je t'aime moins parce que j'aime tant John », dit-elle, en prenant pour un moment sa mère dans ses bras, les larmes aux yeux. « Je viendrai tous les jours, Père, et je compte bien garder ma place dans vos cœurs à tous, même si je suis mariée. Beth sera souvent avec moi, et les autres filles passeront me voir pour rire de mes problèmes de maîtresse de maison. Merci à tous pour mon joyeux mariage. Au revoir, au revoir ! »
Ils la regardèrent, les visages empreints d'amour, et d'espoir, et de tendre fierté, tandis qu'elle s'éloignait au bras de son mari, les mains pleines de fleurs et le soleil de juin illuminant son joyeux minois - et ainsi débuta la vie d'épouse de Meg.
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