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#pauvres choupettes
aramielles · 3 years
Note
Pour Nesta (because I love her) : 1 - 12 - 36 - 58 - 88
Et pour Ralia : 20 - 38 - 55 - 67 -98
JE VAIS PLEURER Mon brouillon est mort. DU COUP :
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Nesta : 1. What’s a unique skill they have ? Is their any reason why they can do it ?
Pousser son frère des escaliers. Elle sait très bien faire le chaos cette choupette. Et elle est très instinctive en matière de politique. Elle voit les stratégies quand elles arrivent et sait organiser les troupes. Mais comme personne ne l’écoute, elle préfère semer le chaos en envoyant des lettres. (ce qui causera à Mór d’avoir l’air plus mort que Mór)
12. What’s their position in their friend group ?
Au moment où on la rencontre dans Solivagant, l’amie qui veut faire des conneries dans le dos de tout le monde. Mais avec le chemin qu’elle va parcourir dans Novaturient, ça sera plus ma mom friend qui veut prévenir la connerie.
36. Do they trust easily ? What would you have to do to earn their trust ?
Un sale coup et l’appeler Reine. Plus sérieusement, elle et bourrée d’insécurités et c’est en partie à cause de ça qu’elle fait ses conneries. Elle essaie de se prouver quelque chose en interférant dans la politique de son royaume. En fait, il faudrait lui montrer qu’elle est capable d’agir et être là pour elle, l’écouter, la calmer, lui faire un GROS câlin, la prendre au sérieux. C’est de ça dont elle a besoin et c’est ça qui fait qu’on peut gagner sa confiance.
58. Which friend do they immediately become a zero braincelled idiot around ?
Leur rencontre n’est pas pour maintenant mais ma princesse byzantine Ariadne Gülfem. Elles sont assez similaires sans non plus avoir le même caractère et elles s’entendraient à merveille. Sinon c’est Hervé mais c’est lui le zero braincelled idiot (ainsi que leur fils oops)
88. Are they lucky ? Do they believe in luck ?
Quand elle apparaît, oui plutôt ! Mais plus elle cheminera dans Solivagant et surtout dans Novaturient, plus sa naïveté (si je puis dire) qui se concentre autour du pouvoir va tomber. Et ses expériences ainsi ce qu’elle va vivre vont la nourrir de désillusions.
(Elle aussi elle t’aime et t’envoie un gros e-câlin)
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Ralia : 20. Are they easy to wake up in the morning or grouchy and sleepy ?
Plutôt grouchy and sleepy quand on la réveille. Mais quand c’est elle qui se réveille normalement, plutôt gentille et souriante. Elle a besoin de ses dix heures de sommeil la pauvre.
38. Do they get lost easily or are they good with directions ?
C’est plutôt elle qui suit le mouvement parce qu’elle serait capable de se perdre dans son propre village. Mais elle adore admirer le paysage et se perdre ne l’ennuierait pas du tout !
55. Choose a vine you think perfectly encapsulates their character.
Je dois dire que celui dans la dernière compil de @rarougrougrou est pas mal 😭
67. What’s an outreagous story about them nobody believes ?
Hum,,, quand elle avait 16/17 ans, une jolie exploratrice venue d’Orient s’est pointée chez elle et elles sont tout de suite devenues… *très proches*. Après quelques verres de tords boyaux des Féroé, elles décident donc de passer aux choses sérieuses dans une grange mais y a une brebis qui est en train de donner naissance. Donc Ścirye et Ralia font accoucher une brebis, alors qu’elles sont totalement bourrées et horny. J’imagine très bien la scène.
98. How competitive are they ?
Franchement, ça va, elle est plutôt équilibrée. Mais ça dépend sur quoi. Pour des drinking games par exemple, TRÈS compétitive.
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mistexpi · 5 years
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Inktober 29 : Bored / Eve & Lilith, de @koumon-no-hana
Les pauvres choupettes, elles s'ennuient grave quand y a pas de Keito à asticoter dans les parages... Sob sob tro trist :'(
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maluron · 5 years
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Et la deuxième partie, dommage que la seconde image soit si sombre et que je ne sache pas encore comment l'éclaircir (quelqu'un connaît un logiciel gratuit/un site d'édition rapide et simple de photos ? pas GIMP parce que je n'ai jamais compris comment commencer à m'en servir s'il vous plaît ?)
La pauvre technicienne de scanner, elle avait les cheveux auburn au départ, et après avoir été zappée par Rizel puis témoin de la manifestation de Chorum, elle aussi a les cheveux qui ont viré au blanc, exactement comme Rizel. (Et vu son état de prostration, elle est sans doute morte asphyxiée dans l'incendie de l'hôpital ensuite donc c'est un détail plutôt inutile au final. Pauvre choupette.)
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belphegor1982 · 6 years
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So, trip :o)
Since my sister lives over 600 km away, going there is always a little bit of an odyssey, but the drive there was stressful for a number of things: 
it was Friday, lots of people (including really, really dumb and dangerous people) driving
the last time our dad came with us and lent his car he put the AC on too cold and got neck ache, but came to the conclusion that it was because I’d fiddled with the settings (when I only insisted that having 21°C in the car and 35°C outside was not a good idea) - so this time he insisted on sitting shotgun and controlling the AC. Which meant I was deprived of my usual copilot, because the Best Beloved sat in the back, and my dad, being half-deaf even with hearing aids, doesn’t talk much in a car. Also he fiddled with the controls a lot. I think he was a little bit nervous.
Still, we made it there, and the stay itself was a mix of good and happy and less good things - like the fact that Eloïse, who so far was probably the most chill baby I’ve ever seen, has had bowel troubles that really hurt her, and is so now terrified of having a poo that she holds it... which makes it hurt all the more. Ma pauvre choupette. Other than that, she's just darling, absolutely loves books, and kills me of squee and cute every time she calls me “tatie” ^^ I’m a very proud auntie. Look at that cutie pie:
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My brother-in-law spoiled us, cooking-wise: he made lamb curry, blanquette de veau, butter-cooked galettes complètes (ham, egg, grated cheese)... 
The return drive was far less stressful than journey there: my dad was his usual tranquil self, hardly fiddled with the dash buttons at all, and the weather was absolutely splendid - you’d hardly think it was late February, it’s ridiculous. We had 24°C (75°F) here today O.o
Anyway, as usual, I wish they didn’t live so far :-/
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chaglt · 6 years
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Suavemente
BESAMEEEE !!! Pardon. Je ne suis pas très inspirée pour le titre, et je viens de mettre une “musique relaxante et apaisante anti-stress” sur Youtube (véridique). Après la vidéo “20 minutes de yoga pour se détendre après une journée difficile” faite avec Jacob hier, je reste dans le ton hihi :-) Ai-je besoin de vous expliquer mon état (d’esprit)? :D
Tout va bien, je me repose :) J’ai dormi de 21h30 à 7h la nuit dernière, avec des rêves assez comiques à la clé. De ma môman et de mon pôpa, mais aussi de ma colloc (qui se révélait être peintre dans mon rêve haha), et je pense que c’est tout. Une autre nuit, j’ai rêvé que la salle des profs était sur une plate-forme à laquelle on accédait via un pont, et que ce pont se cassait. Entonces (donc pour les initiés, mon dieu j’ai parlé allemand à un élève aujourd’hui.. je voulais lui dire “esta palabra se escribe sin e” et je n’arrêtais pas de lui dire “ohne e, ohne e”, m’étonnant qu’il ne comprenne pas la bilingue espagnol-français que je suis). Pour revenir à mon rêve, les pauvres profs coincés sur la plate-forme devaient sauter de la plateforme (dans le vide donc) pour atterrir sur un matelas géant en dessous. Moi j’ai refusé, et j’ai attendu la réparation du pont. Comme la ninja que je suis!
On a fait un chouette exercice avec mes Primero de Bachillerato :) Je leur ai demandé, après avoir lu un texte sur Halloween, d’inventer par deux ou trois leur propre fête. Fredo et Yusef m’ont inventé la “Powerade”, crée par un ninja du Moyen-âge et célébrée le premier mai. Sergio et Danni (je commence à retenir les noms héhé) m’ont inventé une fête où les robots se déguisaient en humains, sans que les humains le sachent. Ca m’éclate ce genre d’exercices créatifs, j’adore j’adore!
Ca par encore en c.. acauète (restons poli) cet article/ billet (pas de banque). Que dire sonst? Là je suis posée dans le salon, je reviens des cours, il est presque 14h (siesta time) et j’avais envie de me poser un peu para escribir. La dernière fois c’était jeudi si je me rappelle bien. Allez, je vous raconte ce que j’ai fait depuis (nous sommes mercredi):
Vendredi on est sortis avec la smala (= Pripri et Elise d’amour, ainsi que le colloc brésilien d’Elise (à qui j’ai posé plein de questions sur le fait qu’il ne ressemblait pas du tout à un brésilien) et Victor, un pote espagnol (tmtc ma poule :D) de Pripri. Mas tarde Manuel (il s’appelle pas comme ça mais j’ai oublié son petit nom), un pote argentin d’Elise (j’étais la seule qui n’avait pas de “pote” en fait haha. C’est triste.) nous a rejoint. On est d’abord allés dans un karaoké-bar, où Elise, Pripri et moi avons massacré “Comme d’habitude” de mon idole de toujours dont je vous mets une photo ici:
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Purée je meurs hahaha!
et “Papaoutai”, de notre Stromae national. Ces deux chansons sont puta difficiles à chanter, sa maman! On était gênées mais c’était bien marrant :) Par contre les espagnols n’ont pas tous repris en coeur avec nous, bizarre. [je change ma musique “relaxante blabliblou” pour Amélie Poulain, wait a second] Roh c’est bien mieux :)
Alooors, après on s’est retrouvés dans la rue, Tiago (le pauvre pseudo-brésilien - à d’autres!! - à qui j’ai posé 1000 questions) nous a quittées (bizarre) et on s’est baladés (au grand daim (din, d’hein?) de Pripri, TMTC choupette hahaha <3 ) jusqu’à trouver un bar presque vide à 3h du mat. 3 h du mat c’est un peu tôt hein! Moi je pensais que c’était parce qu’il était pourri mais non, la populasse (bien chaudasse) s’est ramenée au calme (j’ai voulu écrire “dans le plus grand des calmes” mais c’était pas trop le cas donc je vais m’abstenir, même si je viens de le faire HAHAHA qu’est-ce qu’on se marre) à 4 heures du matin. Quatre fucking heures du fucking matin. (Et après je m’étonne d’être fatiguée). Une bonne heure plus tard nous nous en sommes allés, moi à pied (ouaiiis), 45 minutes ma gu*eule! (cette astérisque ne sert à rien haha). Mais c’est super safe, c’est juste que j’étais au lit à 6h quoi :) Plus jamais, ça m’a en partie bousillé mon samedi.
Allez je vous cherche quelques photos de la soirée de vdd puis je passe au jour d’après (pas le film Maman, calme toi - c’est son film préféré, elle nous a obligé à le voir minimum 15 fois à la maison):
- HAHAHA en cherchant les photos je suis tombée sur des selfies de moi dans la glace en mode pina des familles (vous ne les verrez JAMAIS).. J’ai été faire du shopping chez Humana, conseillé par Priprou magique, une révélation! Tout à 5 euros en plus! Regardez le logo:
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Purée ça vous dit rien de plus ce vieux logo vert (je suis même pas sûre que ce soit le bon en plus). Ce billet s’annonce épique (pica! ça pique).
En gros c’est un magasin de seconde main :) Ben c’est franchement sympa, puis du coup j’ose des choses que je n’aurais jamais osées (vu que c’est à 5 euros souvent). BREF, les photos de ma soirée de vendredi (je recontextualise, comme je m’égare toutes les 4 secondes 36):
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Premier bar où on a eu des méga tapas gratuits (je voulais juste prendre le “recommandé par tripadvisor”)
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Pripri et Tiago, qu’Elise et moi avons mis en couble - couPle pardon (putain le fou rire - roh cette vulgarité Carlota, tu vas te calmer?!)
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Elise et moi (je tenais à vous partager cette photo et sa qualité surprenante)
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Une partie de Pri’, et trois chanteurs (mais si, au fond, les trois pixels) espagnols ultra clichés.
VoILA, vous n’aurez rien d’autre sur vendredi hihi!
Saamedi, je me suis réveillée comme une fleur (fânée et décomposée) à 10h30 (rappelez-vous de l’heure à laquelle j’étais au lit hihi) et j’ai végété, fait n’importe nawak, jusqu’à rejoindre Jacob (mon pote de Tenerife d’amour que j’aime) pour allez au marché du Matadero :) Regardez-moi ces bouilles:
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Bon alors je vous vois venir “purée mais c’est pas des bouilles, c’est des bâtiments”. Ah oui? En fait les photos envoyées sur Whatsapp n’ont pas l’air d’apparaître dans mon Google photos (à la pointe de la technologie la meuf, ouech!) et comme j’ai décidé de couper mon téléphone jusqu’à avoir fait ma sieste, je n’ai pas envie de l’allumer pour les transférer. Peut-être que vous les aurez plus tard, peut-être pas. En attendant, voici une photo de la vue du toit de Jacob (qui habite à 8 minutes à pied de chez moi, c’est trop bien).
Le marché c’était bien cool, on a eu plein d’échantillons gratuits et on a acheté aucun produit! Comme des vrais! A part un truc chocolat/fraise hihi. BREF, jolie après-midi, après j’ai fait une sieste parce que j’étais moisie. (c’est vraiment le terme adéquat). Puis j’ai rejoint Josué, un allemand et un latino (je sais plus d’où il venait, mince) dans un bar à salsa (j’avais été caca toute la journée, j’avais besoin de prendre l’air OK? je suis pas venue ici pour souffrir, ok?!)
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Les photos qui n’ont rien à voir avec le texte, haha j’adore! Bon ça c’est le truc qu’on a mangé avec Jacobouille la fripouille, voici le bar à salsa:
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Vous voyez les figures de fou, les fronts transpirants et cette énergie qui émane des corps? Moi non plus, les gens “dansaient” à droite.. pas de chance, j’ai fait une photo du côté gauche, et oui! #hipster
C’était vraiment sympa! Après on s’est retrouvés dans un pub irlandais, tout aussi chouette (moins facile de danser quand un beau mâle ne te guide pas, mais je suis une femme INDEPENDANTE crotteferdom) - ce que j’ai clamé haut et fort au latino qui était avec nous (dont j’ai même oublié le nom, une honte). Oh et anecdote très marrante, je n’ai pas réussi à parler allemand avec Max (l’Allemand donc). Mon cerveau ne voulait tout simplement pas. Par contre aujourd’hui avec mon élève (espagnol donc), ça oui, mon cerveau voulait bien. Merci cerveau. Merci. Et hier j’ai réussi à parler italien avec Jacob alors que jusque là mon cerveau refusait aussi. Je sais pas, il a des jours comme ça. Je devrais lui donner un nom (pas à Jacob, à mon cerveau). Si vous avez des suggestions, n’hésitez pas :)
Et le dimanche je vais faire un article tout exprès parce que
1. J’ai peur que ça déconne et de perdre toutes les âneries que je viens de débiter
2. Ce fut une des plus belles journées de mon séjour jusqu’à maintenant
3. Les photos sont magnifiques, et je ne voudrais pas les polluer avec le kitsch de Cloclo (love love quand même)
A tout de suite! :)
Carlota (un élève m’a appelée “Chalorte” aujourd’hui, ça m’a fait penser à ma petite cousine d’amour <3 )
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babymedof-blog · 7 years
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Romy a eu son premier virus. Pauvre petite choupette. Heureusement aujourd’hui elle va bien mieux.
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histoire-de-vivre · 6 years
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Lettre à moi-même³
On est vendredi matin. 6h30. Dis bonjour à tes trois nouveaux hématomes ! 3h30 de sommeil, hein ? Record de la semaine battu, toutes mes félicitations ! On commence les réjouissances ? Allons-y ! Je me demande comment tu peux encore supporter d’être en vie, pauvre, pauvre petite chose ! Tu ne mérites rien d’autre que souffrance et haine, mais ça, tu le sais déjà, hmm ? Et pourtant ! Et pourtant, qui a mangé une assiette de brocolis et de pommes de terre, hier au soir ? Et qui n’a pu résister à ces jolis cookies ? Tu mérites la nausée qui t’assailles depuis. Bordel, j’ai cru que t’allais dégueuler, pauvre, pauvre petite chose ! Mais t’y a cru aussi, hein, vu que tu étais prête à te faire vomir tellement tu te sentais mal. Mais tu es trop fragile pour faire ça, trop lâche. Heureusement que tu as repris le dessus en passant trente minutes à te frapper le plus fort possible. Dis bonjour à tes trois nouveaux hématomes ! Ce n’était pas assez fort. Tu le sais très bien. Tu es faible et lâche. Même pas capable de te corriger et de te punir. Pauvre, pauvre petite chose ! Tant de juste haine de toi-même, tant de dégoût, pour au final ne pas être capable de te donner ce que tu mérites ? Le réveil a été dur, n’est-ce pas ? Mais bon, au moins, te lever te permet de trouver une excuse facile pour ne pas manger ce midi. Tu as maintenant toute la journée pour trouver une excuse pour ne pas manger ce soir. Ah bah oui, avec la quantité avalée hier, il est hors de question que tu te nourrisses avant samedi soir ! Comment ça tu ne sais pas quelle excuse sortir ? Tu sais que la migraine ce n’est plus possible, hein ? Pour ce soir, tu n’as pas faim, ça arrive, ils seront contents de voir que tu ne manges pas. Pour demain midi, imaginons que tu boives un thé, tu peux toujours avancer que tu veux garder de la place pour le buffet du soir. Ah, oui, l’anniversaire de l’Ange. Là, tu n’as pas le choix. Tu le sais, tu vas sûrement perdre le contrôle de ta consommation d’alcool, alors faudra manger. Comme l’a dit la Comète, dans ton état, vaut mieux éviter l’hôpital. Pauvre, pauvre petite chose ! Pas facile de se détruire, hein ? C’est résistant, les cafards !
 Mais ce n’est pas tout ça qui t’a motivé à t’écrire cette lettre. Non, c’est le message de la Comète disant qu’elle ne viendrait pas. Et elle a raison de ne pas venir, d’ailleurs, vu comme elle doit être fatiguée. Tu prendras son contrôle et lui enverra le cours, hmm ? Mais en es-tu capable ? Tes nerfs hurlent, ils sont d’ores et déjà submergés. Ta très mauvaise note de latin va complètement t’écraser. Tu es faible. Tu sais que plus ça va, moins tu supporteras de -pourtant petites- choses ? Laisse-moi attraper le pop corn, cela promet d’être intéressant. Pauvre, pauvre petite chose ! Une matinée seule et ça y est, tu paniques ? Oh, Choupette, ce n’est que le début. Crois-moi, on n’a pas fini de s’amuser. Tu es un monstre nocif. Tu mérites le pire, et on n’y est pas encore alors accroches-toi. Tu es la Pire Chose. Mais après tout, ce n’est qu’une matinée, hmm ?
Bisous, la voix que tu devrais écouter plus souvent.
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societystuffs · 6 years
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52 MINUTES MODABLES
La semaine dernière le nouveau documentaire de Loïc Prigent, 52 minutes de mode, a été diffusé sur nos petits écrans. Et ce nouveau “inside fashion” du Pierre Carles en culotte courte de la mode fait preuve - une fois encore - d’un bon travail, où les dissonances, incohérences et absurdités du milieu de la mode ressortent d’elles-mêmes, sans trop en faire, tantôt avec subtilité, tantôt avec fracas. Un documentaire pour tous, et notamment pour les novices qui peuvent comprendre la plupart des grands enjeux de la mode en une heure. Sont abordés les thèmes des tendances qu’on retrouve étrangement dans chaque défilé, des rythmes inhumains, de la politique, de la fourrure, de la ségrégation raciale sur les podiums, de l’influence des mannequins stars, ou encore des grands noms de la photographie de mode tombés pour atteintes sexuelles. Le journalisme de mode se fait secouer le cocotier. Force est de constater qu’il n’a rien du journalisme. Loïc Prigent ne met pas en valeur Anna Wintour avec des blagues à la limite de la limite mais qui passent quand même : Quelle est la différence entre un Pokemon et une rédactrice de mode ? Le Pokemon évolue. Le travail et l’esprit critique de Robin Givhan, seule journaliste de mode a avoir jamais reçu le Pulitzer, est quant à lui, bien valorisé ; une trasheuse juste et connectée à son temps, qui donne une bonne fessée à ses voisines du front row qui pètent dans la soie du sens du vent pour gratter plus de cadeaux presse. Son analyse de Ralph Lauren, sous-entendant une analyse de toutes les maisons américaines du même acabit, casse avec classe des culs pas assez bottés. Les jeunes bloggers font le travail des journalistes et se font recaler des défilés pour ça. Comprenez, parce qu’ils sont honnêtes avec eux-mêmes et intègres à leurs goûts - de vrais intégristes. La Reine d’Angleterre apparaît bien déconnectée du monde. Une fois de plus. Dans le documentaire, on la voit assister pour la première fois à un défilé anglais. Son mépris de la culture du pays qu’elle représente en premier chef rase de près le scandale. Le thème de la précarité du métier de mannequin est aussi bien présenté pour un sujet casse-gueule : aucune intimité en défilé, bulletins de salaire tronqués à hauteur de 70%, incompétence médicale et psychologique des bookeurs, maladie, harcèlement et concurrence. La mode est le premier secteur économique en France. Il serait peut-être temps d’arrêter de la considérer superficielle et frivole, cependant, les études sociales et humaines à ce sujet sont toujours considérées comme des intruses, et la mode française résiste à l’analyse. Loïc Prigent a ce mérite d’avoir su s’incruster dans ce milieu si opaque, exclusif et excluant, même s’il joue parfois le jeu insidieux du marché, même si l’on peut imaginer qu’il doit bien déranger quelques personnes. De plus, il sait présenter les choses clairement : diagrammes pour comprendre les rythmes des collections, le déroulement d’une année dans le milieu, le diaporama des marques, comment les deux groupes mondiaux et dictatoriaux français du luxe monopolisent le marché, leurs chiffres et leur logique commerciale. Piquant Roustaing sur sa timidité de jeune pucelle (on regrette qu’il ne lui rappelle pas que le renouveau de la maison et que la base des patrons sont de Christophe Decarnin), soutirant quelques mots au discret Vaccarello, si Loïc Prigent a su s’incruster, qu’il titille de ses questions, oui, il ne manque pas de rester conforme aux stratégies commerciales des groupes et aux maisons chéries ou sponsorisées par les groupes. En effet, parler de Chanel, d’YSL, de JPG, de Balmain ou de Jacquemus (qui a reçu le prix LVMH) n’ont rien d’anodin actuellement. Lorsqu’il interviewe Karl sur son rythme effréné de travail, on peut discourir sur une multitude de théories. J’en affectionne une en particulier. Quand Karl Lagerfeld dit “créer” désormais dix collections par an pour Chanel, le téléspectateur comprend de lui-même qu’à son grand âge, sans drogue sauf le café, seulement avec sept heures de sommeil, avec tout le temps que lui prend sa Choupette, sa maison d’édition, ses photos, son travail chez Fendi, sa propre marque pour toute la famille, il ne doit plus faire grand chose à part donner des dynamiques générales pour s’en aller parader ailleurs aussitôt. Rien que du bon sens : sans cocaïne ni dépression personne n’a le temps de créer autant de looks. Serons-nous réalistes un jour ? Les directions des maisons et leur service de communication rendront-ils un jour aux assistants et à toutes les personnes de l’ombre la part de gloire qui leur revient ? Les directions des maisons vont-elles encore longtemps donner le statut d’employé à leurs petites mains plutôt que celui d’artisan ? La maison Chanel ne manque vraiment pas de toupet. Construire un storytelling pareil et laisser à l’abandon, à la saleté et à la médiocrité, le premier temple de la maison à Deauville est terriblement honteux. Quel preuve de respect envers celle, digne Coco, qui est à l’origine certes lointaine mais bien réelle elle de leur position si convoitée. Si les créateurs créent, ils sont loin d’être aussi libres de créativité qu’à certaines époques où le marketing se tâtait encore. Lorsque sur les podiums, on retrouve la même teinte de fuchsia, même chez des maisons soit disant concurrentes, ce n’est pas parce que tous ces créateurs ont brunché ensemble un dimanche matin à Paris pour se mettre d’accord. Non, ce sont les membres des services marketing de chaque maison qui sont allés acheter les mêmes teintes de tissus, mis après à la disposition des créateurs, dans les mêmes salons de tissus hautement surveillés, après avoir acheté les mêmes carnets de tendances dans les mêmes bureaux de tendances. Le milieu de la mode n’est qu’une énorme partouze entre privilégiés, comme le montre bien Loïc Prigent peut-être malgré lui lorsqu’il s’intéresse au repas des créateurs qui a été donné à l’Elysée par le Président et sa femme. Brigitte Macron était habillée du must have de la dernière collection Vuitton, alors qu’elle ne peut se rendre aux défilés - l’hypocrisie est norme. Un premier repas de ce type avait eu lieu il y a longtemps, mais comme tout le monde se détestait - concurrence directe oblige - ça s’était mal passé. Mais désormais, puisque tout le monde - ou presque - appartient aux mêmes groupes, il serait mal vu de taper l’embrouille. Tous ceux qui ont connu l’ancienne époque meurent les uns après les autres. Les créatrices et créateurs qui ont su apporter quelque chose de différent à la mode, étaient pour la plupart issus de milieux pauvres à modestes. La mode était leur échappatoire, leur raison de ne pas mourrir, de ne pas ressasser le passé et de s’évader. L’industrie tente de mystifier les créateurs actuels, tels des demi-dieux, tels des savants de l’ingéniosité, mais tout est biaisé. Tous ces demi-créateurs viennent quasiment de la même classe sociale - la privilégiée, restes d’aristocratie et de bourgeoisie à multiple niveaux. Il n’y a qu’à regarder le prix des écoles de mode aujourd’hui qui sont faramineux pour former des élèves à faire du grand n’importe quoi comme le montre les chroniques “Fashion Nawak” du documentaire. Les créateurs ne se respectent plus eux-mêmes et ils ne sont plus ce qu’ils étaient. Quel plaisir d’ailleurs de voir dans ce reportage ce bon vieux Pierre Cardin, 95 ans, dernier témoin d’une industrie réellement inspirée, se descendre des coupes de petites bulles avec entrain. Selon la philosophie hédoniste, il n’y a plus rien à faire d’autre arrivé à un certain stade que d’éviter le déplaisir, surtout à cette époque et à cet âge. 
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