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ruemorinpointcom · 4 months
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« Je m’intéresse à ma communauté, je m’intéresse à la politique »
Activité non-partisane pour informer, sensibiliser et permettre l’implication politique des personnes de la région issues de l’immigration (le samedi 25 mai prochain) Continue reading « Je m’intéresse à ma communauté, je m’intéresse à la politique »
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banqueenfrancecom · 2 years
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Liban/Crise des banques: Une député, aussi, ferme une banque qui refuse de lui permettre de retirer ses fonds
Liban/Crise des banques: Une député, aussi, ferme une banque qui refuse de lui permettre de retirer ses fonds
⚡Liban/Crise des banques: Une député, aussi, ferme une banque qui refuse de lui permettre de retirer ses fonds #LibanCrise #des #banques #Une #député #aussi #ferme #une #banque #qui #refuse #lui #permettre #retirer #ses #fonds #banque #france Liban/Crise des banques: Une député, aussi, ferme une banque qui refuse de lui permettre de retirer ses fonds Un incident est actuellement en cours devant…
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wolfsnape · 2 months
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En train de découper plein de lettres dans des vieux journaux et magazines parce que j'ai décidé que ma vie serait plus fun en faisant du scrapbooking avec mes journaux
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luma-az · 1 year
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Pour bien commencer, ma petite journée...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 29 août 
Thème : café/dernières fois
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C’est fini, j’arrête le café.
C’est mauvais pour la santé, ça me stresse, ça gêne mon sommeil. Sans oublier que c’est dégueulasse. Je ne peux pas le boire sans rajouter du lait ou du sucre – ou encore mieux, les deux, voir même de la chantilly. Je ne l’aime même pas, le café. Ça va être très simple. Sevrage sec. De toutes manières, je n’en buvais pas tant que ça. Je ne suis même pas sûre que je verrai une différence.
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J’ai envie de mourir.
Le mal de crâne est une horreur. Mes pensées ne sont plus qu’un petit tas de boue vaseuse mollement agitées par le bâton d’un gamin à moitié endormi. Et j’ai moins d’énergie qu’un combat de pokémon entre un coconfort et un chrysacier.
Pitié, que quelqu’un m’achève.
Tant pis, je vais reprendre un café. Il faut que je survive à cette journée, et que je sois opérationnelle pour la réunion. C’est important, c’est pour mon travail ! Et ce sera la dernière fois.
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Bon. Ça n’a pas été la dernière fois, mais je me contrôle maintenant. Pas plus d’une tasse par jour, le matin, histoire de dormir malgré tout. Oui, tant qu’à me limiter à une tasse, on est plutôt sur un mug, voir un bol, mais après tout c’est un classique, le bol de café le matin, et ça n’a jamais empêché personne de dormir, non ? Ça suffira bien.
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Ça n’a pas suffit. Ça n’a pas suffit du tout. Il faut vraiment que j’arrête. Il faut absolument, définitivement que j’arrête. Cette nuit, j’ai dormi trois heures. Celle d’avant, quatre. Celle d’encore avant, quatre et demi. Et la précédente, deux.
J’ai tenu un certain temps, et là je m’écroule.
Ce que je compense avec plus de café.
Donc maintenant c’est bon, j’ai compris ma leçon. C’est triste, il y a des milliards de gens qui vivent très bien sous caféine, ce n’est pas mon cas, il faut que je me fasse une raison. Cette fois, c’est la dernière fois. Promis, juré, craché, j’arrête.
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Je suis une loque essorée jusqu’à la moelle de la dernière goutte d’énergie qui lui restait.
Que quelqu’un m’achève.
Comment fonctionnait mon cerveau, avant ? Il y a bien eu une époque où ce cerveau marchait sans caféine. Je m’en souviens. A peu près.
Plus envie de rien. Tout s’accumule.  Et s’accumule. Et s’accumule…
. Ok, j’ai repris, mais j’étais très stressée ! Et puis une tasse ça ne va pas me tuer. Ce n’est pas de la cigarette non plus !
Cette fois, c’est dit, c’est décidé, c’est la dernière fois.
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superiorkenshi · 1 year
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Imagine tu finis à 19h il est 19h15 tu prend le temps de répondre à un client sauf que ce quil veut est indisponible en surface de magasin mais en réserve tu lui explique que faudra voir avec quelque d'autre car ça fait 15min que tu devrais être partie et qu'il faut au moins une 20aine de minute pour faire un aller retour en réserve et le gars te repond "bah fallais pas être dans le commerce "
ÉCOUTE MOI BIEN FILS DE PUTE JE FAIS DU 7H PAR JOURS PAS DU 8H POUR TES BEAU YEUX SINON JE SERAIS MIEUX PAYER EN PLUS T'AS LE CULOT DE ME DIRE QUE TU PEUX PAS VENIR UNE AUTRE FOIS AVEC TES HORRAIRE DE BUREAU BAH SI JE SUIT TA LOGIQUE FAUT CHANGER DE BOULOT AU LIEU DE TE PLAINDRE CONNARD ALORS J'ESPÈRE QUE TAURA TON POTELET ET QUE TU TE L'ENFONCERA BIEN DANS LE CUL
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randomnameless · 7 months
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Grr, ça m'emmerde les transports en commun -
Soit je prends 11h dans la face de transports en commun en une journée pour un aller-retour d'un point A à B pour environ 200 euros - somme à laquelle il faut rajouter une nuit d'hôtel et un repas sur place parce que le premier TGV ne me permet pas d'arriver à l'heure - ce qui me bousille en réalité deux jours -
Soit je prends seulement 5 heures, dont 3 heures d'avion AR, mais pour 500 euros et j'ai juste un seul jour de "bousillé".
Si j'utilisais mes fonds propres, je ragerais mais je prendrais quand même le TGV (ce qui impliquerait de travailler le week-end pour récupérer une des deux journées bousillées) - mais vu que j'ai la possibilité de prendre l'avion (avec la carte du boulot lol), ben pour "seulement" 300 euros de plus je peux tout caser en une journée...
Je sais que c'est déjà une ligne grande vitesse, mais bordel, 4 foutues heures et 40 minutes pour faire un Paris-Toulouse (donc plus de 9h AR) c'est pas jouable.
Je sais qu'on met en avant l'argument écologique pour supprimer les lignes intérieures (ou pour les surtaxer?) mais franchement, presque 5 heures pour traverser la France c'est censé être acceptable?
Et ce qui me gonfle encore plus, c'est de payer 500 balles pour faire le trajet équivalent en avion : soit tu ne voyages pas, soit tu es riche (même si 200 balles c'est pas non plus donné). V'là la France et le développement du territoire en 2024.
Merde.
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narriaa · 1 year
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Hm, et donc... j'ai écrit un livre ? :3
L'Ombre et l'Eclat est une novella queer (protagonistes pans & agenres), fantasy, écrite en inclusif et qui traite notamment de la santé mentale au travers de la dépression. Elle devrait être à votre goût si vous appréciez être plongé·e·s dans des ambiances plutôt sombres, mais surtout toutes en nuances et en contrastes. Nécromancie et monstres mystérieux seront au rendez-vous, et pour découvrir les premières pages c'est par ici !
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Que le livre vous intéresse ou non, je vous conseille de jeter un oeil au catalogue de l'éditeur !
YBY Éditions pour but de représenter la diversité dans la fiction. Tous ses ouvrages comportent au minimum un·e protag' LGBTQ+, et mettent en avant les personnes racisées, neurodivergentes, handicapées... De nombreux écrits sont own voice et ceux qui ne le sont pas sont relus et corrigés par des personnes concernées par les sujets évoqués.
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flashbic · 1 year
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Page 8/9! Le pot-de-vin sera pour la prochaine fois...
Page 7 / Page 9
Close-ups et traduction under the cut!
Panel 1 : Oh, these tiny things...?
Panel 2 : Any chance of getting to keep half of it if we share? / No.
Panel 3: Bah! Nevermind. Next time, maybe. / I doubt it.
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agbetomegblo · 1 year
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(via https://youtube.com/watch?v=aR0hL6KvUoo&feature=share)
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lolochaponnay · 1 month
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C'est un prêtre qui a envie de se soulager. Il se précipite dans un bar et demande au barman: -Où sont vos toilettes s'il vous plaît ? -Vous prenez cette porte et c'est au bout du couloir. -D'accord, merci. Soudain, le barman le rappelle: -Attendez, mon père ! -Qu'est-ce qu'il y a ? -J'ai oublié de vous dire que dans le couloir se trouve la statue d'une femme dont le vagin, si je puis me permettre le mot, est caché par une feuille de vigne. J'ai peur que cela vous gêne. Le prêtre lui répond: -Oh, ça ? Vous savez tant que c'est caché tout va bien. Et même si ça ne l'était pas, j'aurais réussi à prendre sur moi. Il prend donc la porte et revient 3 minutes plus tard. À peine a-t-il ouvert la porte que tous les clients l'applaudissent en scandant des: "Bravo ! Il est des notres ! etc..." Le prêtre se tourne alors vers le barman: -Je ne vois en quoi aller aux toilettes est un évènement ! Le barman lui dit: -Ils veulent parler de la statue. Le prêtre lui demande: -Et bien quoi la statue ? Et le barman lui répond: -Quand on soulève la feuille de vigne, la lumière du bar s'éteins.
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tealviscaria · 2 months
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Déjà de base, je suis pas fan de "přechylování" des noms étrangers (en tchèque, on ajoute "-ová" à la fin des noms de femmes. cool. mais on a aussi tendence à le faire avec les noms étrangers, comme Jane Austenová ...) mais là, j'étais forcée à lire la traduction automatique sur YT et voir de mes propres yeux "Aya Nakamuraová". La violence.
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energiologue · 7 months
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Un Temps, en un rien de Temps.
. VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Je suis l’Archange Michaël. Je suis venu pour être avec vous en ce moment, en ce temps où il n’y a pas de temps. Car vous faites l’expérience que, de plus en plus, le temps n’a pas d’importance dans votre vie. Ou bien il semble se réchauffer. Et c’est effectivement le cas. Ce n’est pas une illusion lorsque vous dites que le…
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chaotictomtom · 1 year
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trossibop · 1 year
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nanan wiloo dsl tu peux pas me faire une video debrief en vacances sur ton tel la ca va pas du tout jai des pensées pas bien pas bien jarrete tout je me cache et je reviens quand ca va mieux
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luma-az · 1 year
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Miracles à plume
Défit d’écriture 30 jours pour écrire, 1er août 
Thème : vivantes/après la fin du monde
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Elle avance parmi les gravats, sans but. Un silence de mort plane sur l’endroit. Cette idée la fait pouffer toute seule. Un silence de mort. Ça, c’est une expression sacrément bien choisie, pas de doute.
Un silence des morts, même, pourrait-on dire.
Mais hé, tout le monde n’est pas mort, n’est-ce pas ? Elle elle est vivante. Le seul être vivant à des kilomètres à la ronde. Toute fraiche sortie de sa cave, pour découvrir qu’à la surface, il n’y avait plus rien. Enfin, il reste des traces de vie. D’une vie passée. Trépassée. Il reste des ruines. Des décombres. Des cadavres. Si on peut considérer ces restes calcinés comme des corps humains. Enfin, d’une certaine manière, c’est sans doute mieux comme ça.
Où va-t-elle aller maintenant ? Elle n’en sait rien. C’est ça le problème avec la fin du monde : ça concerne tout le monde. Et il ne reste rien…
Elle marche, parce que rester sur place serait intolérable.
Elle marche, parce qu’elle ne parvient pas à crier l’atrocité qui lui brûle les poumons, et que si elle était immobile elle finirait broyée par cette souffrance, par cette agonie. Et elle n’est pas restée en vie pour agoniser, n’est-ce pas ?
Marcher, c’est ce que font les vivants. Un pas après l’autre, et on recommence. Une petite silhouette qui se balance, si menue, tout au fond du paysage. Un pas après l’autre et on recommence.
Jusqu’à ce qu’elle entende un écho, un bruit qui n’est pas celui de ses propres pas, de son propre souffle. Un bruit qui ressemble à un… gloussement ?
Elle s’immobilise, toute ouïe, tendue comme un arc. Ça ne peut pas être son esprit qui lui joue des tours, non ? C’est forcément réel ? Quelque chose qui a gloussé ? Quelque chose qui glousse encore ? Qui lâche un soupir plaintif ? Qui est bien réel ? Qui est bien vivant ?
A pas de loup, elle se glisse plus près du bruit. Derrière les décombres, au-delà du spectre des rues, dans les jardins qui deviennent des terrains vagues, entre les bosquets remplis de ronce, elle trouve des poules. Une dizaine de poules, très vivantes, très bruyantes, très contentes visiblement que tout ce bazar soit terminé, et d’avoir trouvé une ouverture pour fuir leur improbable poulailler… Elles gloussent et caquètent, ou tous les autres bruits qui peuvent accompagner des gallinacées en pleine exploration, qui ont l’air très bavardes entre elles. La survivante n’a jamais vu de poule de si près, à la réflexion. Elle est absolument incapable de dire si les volailles ont l’air en bonne forme ou bouleversées par tout ce qui s’est passé. Et ça n’a aucune importance. Vivantes ! Elles sont vivantes, toutes, et toutes magnifiques et hilarantes, et douces, et belles, et absolument grandioses ! Dix petits miracles à plume qui viennent gentiment lui picorer les lacets, au cas où elle ait de quoi manger.
Elle va chercher. Pour ses nouvelles amies, ça c’est sûr, elle va chercher ! Quel but encourageant : nourrir les poules, abreuver les poules, abriter les poules, protéger les poules. Il y a tellement à faire ! Elles sont vivantes, elles doivent le rester.
Après tout, il faut prendre soin des miracles.
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