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#printemps arabe
ejcmedia · 6 months
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Le football au sud de la Méditerranée, un sport très politisé
Entre l’ingérence des États sur les fédérations et les revendications sociales portées en tribune, le football dans la région MENA est décidément tout sauf apolitique. Un critère à prendre en compte pour les médias. De gauche à droite : Youssef Chaini (animateur de Radio2M au Maroc), Frédéric Suteau, Aziza Naït Sibaha et Mehdi Dahak, lors des Assises internationales du journalisme au Palais des…
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jloisse · 8 months
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⏳ Nous vivons une période de l’histoire où tout est inversé.
Le menteur est considéré comme un véridique, le sincère comme un imposteur.
Les dirigeants occupent des places qu'ils ne méritent pas…
Israël qui a envahi une terre entière, la Palestine 48, est la seule occupation militaire qui perdure à notre époque et toute occupation militaire est vouée à disparaître.
Tout le monde sait que c'est une occupation qui a volé la terre d’un peuple et pourtant, ils affirment que c’est une démocratie. Lorsque les palestiniens ont pu voter librement et démocratiquement en choisissant le Hamas, ce seul droit a été interdit au peuple. Un droit qui est obstrué depuis maintenant 18 ans.
Tel Aviv a vu le jour sur la destruction de plusieurs villages palestiniens, sur les ruines de Tall Al Rabih, la colline du printemps, qui a été rayé de la carte. Pourtant, on entend que les palestiniens sont ceux qui veulent rayer Israël de la carte.
Israël vole chaque jour un peu plus les terres de Cisjordanie, les quartiers de Jérusalem, occupe le Golan et les fermes de chebaa et assiège la Bande de Gaza.
Israël a vu le jour sur la Nakba, le massacre, le sang et le déplacement du peuple palestinien. Pourtant, ce sont les palestiniens qui sont traités d’assassins.
Israël pratique la torture dans les prisons, kidnappe chaque jour hommes femmes et enfants, mais le monde entier est choqué lorsque des soldats sont pris en captivité et bien traités.
Des milliers d’enfants croupissent dans les geôles israéliennes sans aucun droit et sous la torture.
Israël pratique les pires tortures dans ses prisons.
Les colons profanent depuis des décennies les lieux saints chrétiens et musulmans. Tous les jours les colons tuent, volent et agressent en toute impunité les palestiniens. Tous les jours les colons volent des maisons et les occupent illégalement. Tous les jours l’occupation sioniste détruit des maisons à Jérusalem et en Cisjordanie occupée. Les palestiniens sont parqués à Hébron et n’ont même pas le droit de passer par des routes réservées aux colons.
Israël détruit les cimetières et volent les organes des martyrs. Israël transforme des mosquées en discothèque ou en synagogue sans être inquiété.
Israël change subtilement le statu quo de Jérusalem et de la mosquée Al Aqsa, pour parvenir à son objectif de construire un temple sur les ruines du site Al Aqsa, troisième lieu saint de l’Islam.
Tout est organisé pour effacer toutes traces de la présence palestinienne par la destruction des monuments et du patrimoine arabe.
Israël asphyxie la Bande de Gaza depuis plus de 15 ans avec un blocus illégal, maritime, terrestre, aérien et même sous-terrain sans être inquiété.
Israël a massacré des centaines de milliers d’enfants, d’innocents depuis sa création, mais ce sont les palestiniens que l'on qualifie de terroristes parce qu'ils osent résister.
Israël bombarde des civils librement et avec des bombes interdites par toutes les conventions. Israël viole depuis toujours toutes les conventions et les traités internationaux.
Israël assiège Gaza avec des restrictions inhumaines à travers le droit de se déplacer, l’alimentation, l’électricité, l’eau, les médicaments, la pêche, le droit de voyager, et tous les produits de premières nécessités ainsi que les matériaux de construction.
Israël peut bombarder n’importe quel pays dans la région en toute sécurité.
Israël empêche les journalistes de travailler en censurant l’information ou en faisant disparaître tout simplement ceux qui dérangent l’occupation.
Israël a construit un mur de l’apartheid en Cisjordanie et Jérusalem en volant les terres.
Israël pratique à travers son agence du mossad le meurtre dans n’importe quel pays en toute impunité.
Israël fait de la vie des palestiniens un enfer à travers ses checkpoints à travers toute la Cisjordanie, Jérusalem, et points de passages de la Bande de Gaza.
L’armée israélienne débarque quotidiennement au milieu de la nuit chez les palestiniens pour kidnapper, dévaster et humilier.
Tous les colons sont armés et sont sous la protection de l’armée.
Pour le monde Israël a le droit de se défendre malgré toutes ses injustices.
Et tout cela dure depuis trop longtemps dans un silence complice et assourdissant.
Les derniers jours de septembre et les premiers jours d’octobre 2023, Israël a fais le pas de trop avec sa répression dans la mosquée Al Aqsa, interdisant aux propriétaires des terres l’entrée dans le site sacré et faisant entrer devant eux les colons. Le dernier maillon a craqué et le volcan de la Bande de Gaza a explosé sur le visage de l’occupant qui opprime depuis plus d’un demi-siècle le peuple palestinien.
Et alors le silence s’est brisé. Les palestiniens ont été traités de terroristes, d’assassins, de tueurs de civils par les leaders politiques du monde entier et les médias mainstream corrompus. Le monde a fermé les yeux sur les agissements de l'oppresseur et a condamné l'opprimé.
Israël a un très lourd casier judiciaire et il devra payer ses crimes depuis le premier jour de son occupation.
Le peuple palestinien n’a aujourd’hui plus rien à perdre et se moque royalement des jugements des hypocrites et des ignorants qui se sont réveillés le 7 octobre, s'impliquant soudain dans le
conflit qu'ils ont ignoré pendant des décennies, feignant maîtriser le sujet quand ils sont incapables de situer Jérusalem sur une carte.
Le peuple palestinien résistera jusqu’à la libération, le peuple palestinien est un peuple de résistants, des enfants aux leaders qui ne connaissent pas la peur. Le dernier des palestiniens humiliera et résistera à la face des envahisseurs. Des envahisseurs qui combattent uniquement derrière des armes, des tours, des blindés, des F16, des drones. Des lâches qui n’ont aucune légitimité ni avenir sur notre terre sainte.
Ceux qui les soutiennent aujourd’hui verrons bientôt qu’ils se sont fait trompés, mais il sera alors trop tard et ils vivront dans la honte, la honte d’avoir été complices à travers de fausses convictions.
Bientôt, très bientôt, la Palestine sera libre et le peuple palestinien vaincra.
Vous voyez cela loin mais nous le voyons très proche.
{ La libération sera au lever du soleil. }
{ Lundi 15 janvier 2024
Sentinel }
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claudehenrion · 5 months
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Samuel Huntington ( II ) : Le choc des incultures.
Lorsque le livre de Samuel Huntington ''le Choc des civilisations'' est paru, en 1993, une immense levée de boucliers a secoué la Gauche française (beaucoup plus encore que celles des autres pays, sans doute moins stupides et moins bornées que la nôtre) : il sortait complètement des chemins obligés, et proposait une hypothèse nouvelle : la culture ! Devant ce crime de lèse-pensée-clônée, tous les progressistes se sont précipités : il fallait détruire ce brûlot et son auteur, ''quoi qu'il en coûte'' ! Trente ans plus tard... on sait qu'il ne s'agissait pas d'hypothèses, mais d'une vraie ''vision''.
Car ce premier quart du XXI ème siècle a vu un nouveau paradigme, le choc des civilisations, balayer son prédécesseur, celui qui rêvait à voix haute d'une mondialisation heureuse... qui semblait possible, en ces temps révolus. Et Samuel Huntington, le premier (et longtemps le seul) a osé énoncer cette vérité incontournable : la mondialisation des échanges, loin d'effacer les différences entre les civilisations –qui, tant bien que mal, arrivaient à coexister sans elle-- les a exacerbées. Cette évolution vers le pire est soulignée dans ou par l'actuel conflit israélo-palestinien, si différent des précédents qui étaient entre des personnes, donc relativement limités. Plus rien de tout cela : l'horreur est désormais exposée au grand jour, ce qui la rend ''hollywoodienne'' dans son atrocité, et elle n'est plus dictée par des choix rationnels (voire idéologiques), mais par des considérations liées à des appartenances religieuses ou culturelles. Finies les trêves olympiques, les Eurovisions, les matches de foot ou le respect malgré la guerre : c'est ta violence contre ma violence, et mon dieu contre le tien. Seul Huntington l'avait deviné.
Il avait également prévu la guerre en Ukraine, avec 30 ans d'avance, ce que, paradoxalement, ses détracteurs ont retourné contre lui : à les entendre, il avait tort, puisque deux pays pratiquement mono-culturels se faisaient la guerre... S'ils avaient lu (et pourquoi pas, relu, comme je l'ai fait et refait !), ils auraient remarqué que Huntington expliquait clairement que ''la frontière civilisationnelle entre l'Occident et l'orthodoxie passe en plein cœur de l'Ukraine, depuis des siècles'', et que le conflit à venir ne serait donc pas entre ''le monde libre et un tyran'', mais entre une partie d'une Ukraine occidentalisée et le monde russe ''qui n'a presque jamais été exposé aux constituants de la civilisation occidentale (i.e. le catholicisme romain, la féodalité, la Renaissance, la Réforme, l'expansion coloniale, les Lumières et la victoire de l'Etat-Nation'' --puis sa chute, dans l'Europe dévoreuse... Et le scénario qu'il voyait le plus probable était ''une division en deux de l'Ukraine, avec une partie Est revenue à la Russie''... Question : combien avons-nous été à clamer cette évidence depuis le premier jour (NDLR-- Sans pour autant excuser les attaques unilatérales russes des 20 février 2014 ‎et 24 février 2022) et à avoir droit à des noms d'oiseaux ? La ''vista'' et la prémonition de Samuel Huntington sont presque incroyables !
Mais ce n'est rien en comparaison de ce qu'il écrivait sur l'islam, et sur l'invasion non-déguisée que nos aveugles-par-décision et nos doctrinaires enrégimentés s'entêtent à appeler ''migration'' : vingt ans avant les tristes ''printemps arabes'' (2011 -2012) où tant de bobards nous ont été racontées, il avait déjà prévu les flots, les torrents ''d'eau de boudin'' qui allaient nous tomber dessus (et que les plus obtus de nos malvoyants continuent à refuser de voir) … ''Certains dirigeants occidentaux, comme Bill Clinton (NB : il écrit ça en 1993), ne voient aucun problème avec l'Islam, mais seulement avec quelques extrémistes violents... Quatorze cent ans d'histoire démontrent le contraire. Nos conflits actuels entre la démocratie libérale et le marxisme léninisme ne sont que des phénomènes superficiels si on les compare aux combats millénaires entre le christianisme et l'islam...''. Mais nos cuistres incultes ne veulent rien voir...
Il a d'ailleurs prédit que ceux-ci vont s'accentuer avec le temps, à cause de la fabrication d'un besoin de revanche post-coloniale des musulmans, et de l'arrogance des prétentions universalistes de l'Occident où l'aveuglement naïf et puéril de nos fausses ''élites'' devant la dimension planétaire de notre conflit avec l'islam –encore nié par la majorité des myopes malfaisants-- risque chaque jour de dégénérer en conflit planétaire avec la Russie : l'Occident est si satisfait de ses absurdités ''sociétales'' --dites moralo-politico-économiques, mais majoritairement mauvaises, perverses et dépassées--, qu'il ne veut pas voir que le monde entier les rejette, toutes, en bloc... et il persiste dans son harcèlement à ne juger les autres (qui n'en veulent à aucun prix) qu'à travers elles. Huntington constate que ''la croyance occidentale dans la vocation universelle de sa culture a trois défauts majeurs : elle est fausse, elle est immorale et elle est dangereuse.. '' Que ne l'a-t-on écouté ! On aurait évité les erreurs catastrophiques en cours des Macron, von der Leyen... et autres cuistres, oublieux de toutes les leçons de l'Histoire !
L'immigration est une autre ''prédiction'' clairement exprimée dans ce livre (rappel : qui, écrit en 1993, n'a jamais été ''retouché'') : Huntington écrit : '' La démographie et les mouvements de population sont les moteurs de l'Histoire'' (ce que m'enseignait mon Maître Alfred Sauvy à l'Ecole des Hautes Etudes, en 1959, déjà !). Au lieu du problème que nous posons si mal : ''l'Europe sera-t-elle islamisée et l'Amérique hispanisée puis islamisée à son tour'', Sam Huntington propose la réflexion suivante : ''Ces deux sociétés vont-elles être déchirées entre deux communautés distinctes voire opposées, se recommandant de deux civilisations que tout oppose'' Et il conclut ''Une immigration importante ne peut produire que des pays divisés entre musulmans et chrétiens même résiduels ou déculturés...''.
Sa conclusion est, pour le moins, ''décoiffante'' :''En des temps où tous les peuples sont à la recherche des racines culturelles qu'on leur a volées ou qu'on leur refuse, quelle place peut prétendre occuper une société qui a perdu son fond culturel commun et croit pouvoir se définir par des principes politiques ou philosophiques totalement inadaptés au monde de demain, comme le fait l'Occident, qui n'a plus que le mortel multiculturalisme pour remplacer l'ancienne identité européenne fondée sur le christianisme, donc sur la séparation du spirituel et du temporel et la force de la Loi''. Parcourons tous les médias, et revisitons notre ''quotidien'', quel que soit le jour : tout ce que nous y lisons avait été annoncé il y a 30 ans... et nous n'avons rien fait pour ''corriger le tir''. Que de regrets nous devons avoir !
H-Cl.
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SAMEDI 15 JUILLET 2023 (Billet 4 / 5)
La veille du départ de Marrakech, JM a fait l’excursion d’Essaouira, une ville qu’il connaît bien pour y être allé à plusieurs reprises. Mais se souvenant du séjour que sa nièce Maïlys y avait fait au printemps, avec son mari Jérôme et leurs deux enfants, il a voulu se rafraîchir la mémoire. Marina, rebutée par les 6 heures de bus, n’a pas voulu le suivre.
Ci-dessous, un petit texte extrait de la brochure donnée par le Service Excursions du Club.
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Le « fils du pays » : c’est ainsi que les habitants ont ironiquement surnommé le vent qui, toute l’année, s’engouffre dans les ruelles de la ville. Cet alizée vaut à Essaouira la douceur de son climat : ici, le mercure atteint à peine les 25°.
Depuis sa fondation au XVIIIe siècle, la ville s’est voulue un carrefour d’influences : arabes et berbère, juives, mais aussi africaines avec les descendants des esclaves d’Afrique noire. S’y côtoient aussi religieux et artistes, marocains et occidentaux, venus confronter leurs talents dans les nombreuses galeries de la ville.
Essaouira, c’est aussi le charme de ses ruelles et de son port, ses maisons blanches, la beauté de ses remparts, une plage de sable fin longue de plusieurs kilomètres et la gentillesse spontanée des habitants. Bref, la ville la plus séduisante du littoral marocain
Cette ville historique a une riche histoire qui remonte à l'Antiquité. Elle a été fondée par les Phéniciens, puis a été occupée par les Romains, les Carthaginois. Les Portugais y érigèrent une forteresse au XVIe siècle (Mogadouro), mais la ville telle qu’on la connaît aujourd’hui doit sa création au sultan alaouite Mohammed ben Abdallah qui, en 1764, fait appel à un architecte français, Théodore Cornut. Il dessine une cité fortifiée dans la plus pure tradition de l’architecture militaire de Vauban qui rappelle beaucoup celle de Saint Malo. Dans la médina, les rues rectilignes se coupant à angle droit sont un exemple unique d’architecture planifiée au Maroc. Elles valurent à la cité, son nouveau nom : Essaouira, la « bien dessinée ».
Dans les souks on trouve de nombreux produits artisanaux tels que des tapis, des bijoux en argent et des articles en bois de thuya.
Une grande partie de la ville est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
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Nous avons déjeuné sur le toit terrasse de l’Hôtel « L'Heure Bleue » (« Relais & Châteaux), aménagé dans un ancien Riad, situé au cœur de la médina. Il possède une piscine sur le toit offrant une vue panoramique sur la médina et l'océan.
JM garde un souvenir très mitigé de cet Hôtel. A part le rez-de-chaussée (et encore…), le roof top est très quelconque, ce qu’il a mangé aussi. Si « L’Heure Bleue » fait partie de la chaîne très haut de gamme des « Relais & Châteaux », il connaît à Marrakech au moins 3 Riads qui mériteraient l’appellation « Relais & 5 Châteaux », quant au Riad du Club Med, ce serait « Relais & 10 Châteaux » !!! (voir le Billet suivant).
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queerafricans · 2 years
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Spring by Rachid Boudjedra. Translated from French by André Naffis-Sahely.
TRANSLATOR’S NOTE: Spring (Printemps), which was published by Grasset in April 2014, is set in Algiers between early 2011 and 2013. Teldj, a former 400m hurdles Olympic medalist, is gay, in her thirties, and teaches at the University of Algiers. As Teldj watches the events of the Arab Spring unfold, she exhumes memories from her personal past, as well as her country’s recent history, most notably the Civil War, which claimed hundreds of thousands of victims during the 1990s.
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taminoarticles · 2 years
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— Tamino for Libération, 2018 (x) (Original French text)
Tamino, Amir do you hear...
Still unknown last year, the young Belgian singer of Egyptian origin wants to be circumspect in the face of the announced success.
by Gilles Renault, photo Marleen Daniels for “Liberation”published on October 26, 2018 at 5:06 p.m.(updated at 6:10 p.m.)
To well-born souls, value not waiting for the number of years, here comes another Belgian kid knocking at the door of musical fame. The Walloon Infanta Angèle, barely hatched in the light song department for children, likely to titillate the grown-ups, makes way for Tamino, 22, an indifferently Flemish - and mixed-blood - replica of a strong magnitude within an industry in perpetual quest for fresh flesh.
As recently as last year, the three syllables only referred to the Oriental Prince of The Magic Flute, a Mozartian hero pursued by a snake and saved by the Queen of the Night who, in return, commissions him to fly to the aid of her daughter. However, by the grace of the nickname connoted, the obliging ephebe becomes, in 2018, one of the most serious hopes of the European pop scene, ready to capsize the choirs.
A hundred and eighty-eight centimeters of haughty youth, swaddled in an endless black sweater (and unwearable, for a quidam) branded Ann Demeulemeester, matching the flagrant charm of a dark romanticism à la Louis Garrel, Amir Moharam Fouad wears handsome with his left ear ring. But does not seem to make much of it, in the art-deco house surrounded by greenery of the maternal grandparents, where he gives audience on his land, in Antwerp, a few days before the international release of a much awaited first album "based on a harmonious blend of oppositions, hot - cold, bright - dark, western - eastern…”.
Indeed, for months in Belgium first, then in France and elsewhere, all the halls and festivals (Printemps de Bourges, Rock en Seine, Montreux) have been rolling out the red carpet in front of the steep romanticism of the precocious English-speaking prodigy. Germinated in the spring, a song, Habibi, was enough to raise the temperature, an embrocation steeped in spleen, climbing so cheerfully in the treble that it revived this flame once fanned by the late Jeff Buckley - to stick to a filiation which he cannot escape. Since then, the fever has not gone down.
Sitting on a big gym ball behind the grandfather's desk, the neo-crooner deceives it without hesitation, while taking care to maintain the private sphere within a security perimeter: it will be necessary to be satisfied with the minimum service - "a girlfriend, for a long time" - in the taste buds department. Just as the hypothesis of a meeting at home was politely dismissed, on the grounds that the Antwerp apartment into which he moved a year ago hardly represents him, fault, already caught up in the whirlwind of concerts and the recording of the disc, to have had time to open all the boxes.
Conversely, Tamino rightly feels at home in the home of Lucas and “Nonna” Gerda, affectionate ancestors who still brood over the infant whose sleepless hours were brushed with Mozart. The little boy who “transformed the living room into a place of theatrical performance”. The child "often in his bubble who, eager for reading, promised to one day transform into films the stories that captivated him". Then the teenager who, having no Christmas present to offer his grandmother, "went to her room for an hour, writing her a song at a moment's notice" - whose framed manuscript is now hanging on the wall.
Going back in the annals, we come across another Moharam Fouad who, on stage, once caused syncope. Adored actor and prolific singer (his track record counts 900 tunes), the roucouleur who died in 2002 was one of the Egyptian figures of the golden age of Arabic song, in the 60s and 70s. Dogs don't make cats; Tamino has a deep respect for his paternal grandfather, whose guitar he now uses like a talisman; while specifying to have been especially marked, child, by the melodic unction of John Lennon, or the considerations on the life, the love and the friendship of the Prophet, of the Lebanese author Khalil Gibran.
“If I have a role to play today, it's that of a unifier through my music. A large part of the evils that overwhelm our society comes from the ignorance that generates these prejudices fueling rejection and racism", extrapolates the "citizen of the world", not stingy with clichés for which he apologizes, while praising a spirituality kindly abstruse, based on a transcendence that defies monotheisms.
Growing up in a land where the Vlaams Belang - the Flemish far-right party - is fanning the embers of intolerance, Tamino - who, due to his young age, won't vote for the first time in his life until next year , to the municipal ones - prefers to appeal to the weighting. “Certainly, with my head and my name, I know that in the event of a random identity check, in a crowd, it will undoubtedly fall on me. But to be frank, I must admit that I have never had to suffer from discrimination for all that”, assures the ephebe, born of a Belgian mother, anthropologist, and an Egyptian father working today in events, who separate when he is just 3 years old - and his little brother has just been born (two half-brothers will follow, one on each side).
Retaining the "friendliness and open-mindedness" of the first, and the "humor" of the second - a moment lost sight of and today requalified as an excellent "friend" - Tamino assures, as far as he remembers, always wanting to be an artist. Even though the study of languages and behavioral sciences do not leave the high school student indifferent, music is indeed very quickly imposed on his eyes - and his ears - as the "most natural way of expressing himself". The shyness overcome at the conservatory of Amsterdam, where he will perfect his scales at the age of 17, Tamino nevertheless continues to appreciate this loneliness which, in the past, encouraged him to "stay two hours hidden reading under the desk of the grandfather". Or to take refuge in phantasmagoria, at this age when, ordinarily, boys seriously begin to stare at girls.
"Still today, isolation is not displeasing to me, and I know very well how to adapt to silence", certifies the seed of star, whose sincerity does not seem subject to caution. Without this preventing him from adding, a little later in the exchange, that he would see no incompatibility therewith with the fact of "becoming the new Bono". A brazenness that hastens to defuse an ingenuous smile, pushing away the still distant specter of disappointed hopes.
October 24, 1996 Born in Mortsel (Belgium).
2017 Release of the song Habibi in Belgium and first big concert, at the Werchter festival.
October 19, 2018 Release of the album Amir.
November 19 Concert at the Café de la danse (full).
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ondessiderales · 3 months
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Ondes sidérales
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Onde sidérale de l'Antiquité
Printemps (Grèce antique) : philosophie, développement des sciences, mythologie, théâtre Été (Rome antique) : empire, puissance, politique Automne (Rome chrétienne) : culpabilité, persécution des chrétiens puis christianisation de l'Empire Hiver (chute de l'Empire romain) : invasions barbares
(VIIIe siècle : invasions arabes)
Onde sidérale du Moyen-Age
Printemps (Haut Moyen-Age) : christianisation lente et progressive de l'Europe, reconstitution d’États forts Été (Moyen-Age classique) : Louis IX, croisades, chevaliers, autorité totale de l’Église (du pape) Automne (Moyen-Age tardif) : invasions mongoles, guerre de Cent Ans Hiver (fin du Moyen-Age) : guerre de Cent Ans, peste noire, memento mori, danses macabres
« L'omniprésence de la mort souligne la brièveté et la fragilité de la vie, thème traité par des poètes comme Eustache Deschamps, Charles Chastellain, Pierre Michault… jusqu'à François Villon. La poésie amoureuse insiste sur la mort de l'être aimé et le deuil inconsolable. »
(1453 : chute de Constantinople et invasions ottomanes)
Onde sidérale de la Renaissance et de l'ère classique
Printemps (Renaissance) : redécouverte du patrimoine antique, humanisme, art et littérature (De Vinci) ; découverte du Nouveau Monde Été (Classicisme) : Louis XIV, absolutisme royal, ascendant du temporel (roi) sur le spirituel (pape) Automne (Printemps inversé) (Lumières) : la raison l'emporte sur l'obscurantisme, Voltaire, Rousseau, l'Encyclopédie Hiver (Révolution française) : le roi est guillotiné, Dieu est mort
Onde sidérale de l'ère moderne
Printemps (Révolution) : révolution américaine, révolution française (Dieu est mort), la France envahit l'Europe mais échoue en Russie Été (Puissance et colonisation) : guerre de sécession aux États-Unis, abolition de l'esclavage ; guerre contre la Prusse en France, fondation de la IIIe République ; le Royaume-Uni (et la France) envahit (colonise) le monde sans complexe (Dieu est mort) Automne (Fascisme) : fascisme en Italie, nazisme en Allemagne ; camps de concentration et d'extermination, Shoah (Dieu est mort), l'Allemagne envahit l'Europe mais échoue en Russie Hiver (Fin du monde) : Dieu est mort, mais seul l'Homme peut écrire son Histoire. À suivre...
Onde sidérale millénaire
Printemps (Antiquité) : Dieu est multiple Été (Moyen-Age) : Dieu est unique Automne (Ère moderne) : Dieu est mort, et c'est nous qui l'avons tué (Révolution française, Nietzsche, nazisme) Hiver (Fin du monde) : Dieu est mort, mais seul l'Homme peut écrire son Histoire. À suivre...
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« Un hiver nucléaire est un phénomène climatique hypothétique de baisse globale des températures de surface, prédit comme pouvant être le résultat d’une guerre nucléaire massive. Il serait analogue à l’hiver volcanique ou à l'hiver d'impact. »
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kiirex · 3 months
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Pour maman, c’est les Lip. Les Lip la réconcilient avec tout ce que la vie peut lui avoir apporté de merdique. Le monde est un taudis. Le monde est un enfer. Les puissants écrasent les petits et ne cesseront jamais de le faire, qu’importent les rébellions, les Bastille, les printemps arabes. À la fin, tout recommence, toujours. Mais il y a eu les Lip. C’est arrivé. En 1973, l’entreprise Lip, en faillite, ferme ses portes. La boîte bisontine, spécialisée dans les montres, est bouffée par la concurrence asiatique qui déferle sur le monde. Ils sont les premiers à fabriquer des montres à quartz françaises ? Rien à foutre. Ils ont créé le modèle Himalaya, qu’affectionnait le général de Gaulle au point que cette montre a été rebaptisée la CDG par les connaisseurs ? Rien à foutre. Ils s’apprêtaient à licencier, à dégager quatre cent quatre-vingts employés. Eh bien, ces employés ont dit : « Nous aussi, rien... à... foutre ! » Les salariés de l’entreprise Lip ne se sont pas laissé faire. Ils ont décidé d’occuper l’usine et de cacher le stock de vingt cinq mille montres. Et rapidement, ignorant les décisions des administrateurs et du repreneur liquidateur suisse – une filiale d’un groupe qui deviendra plus tard le groupe Swatch –, ceux que l’on va désormais appeler les Lip ont relancé leur activité. Autogestion. Ils ont placé une banderole sur le fronton de l’usine, dans le quartier de Palente : « On fabrique, on vend, on se paie. » Certains économistes et historiens considèrent que les Lip représentent le basculement entre deux époques, deux philosophies. Avant eux, le cœur d’une entreprise était son produit. Après, il est devenu la finance. Le règne des bâtards.
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christophe76460 · 5 months
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Jérémie, 2:36 - Pourquoi tant d`empressement à changer ton chemin? C`est de l`Égypte que viendra ta honte, Comme elle est venue de l`Assyrie.
Jérémie, 2:37 - De là aussi tu sortiras, les mains sur la tête; Car l`Éternel rejette ceux en qui tu te confies, Et tu ne réussiras pas auprès d`eux.
Jérémie, 3:1 - Il dit: Lorsqu`un homme répudie sa femme, Qu`elle le quitte et devient la femme d`un autre, Cet homme retourne-t-il encore vers elle? Le pays même ne serait-il pas souillé? Et toi, tu t`es prostituée à de nombreux amants, Et tu reviendrais à moi! dit l`Éternel.
Jérémie, 3:2 - Lève tes yeux vers les hauteurs, et regarde! Où ne t`es-tu pas prostituée! Tu te tenais sur les chemins, comme l`Arabe dans le désert, Et tu as souillé le pays par tes prostitutions et par ta méchanceté.
Jérémie, 3:3 - Aussi les pluies ont-elles été retenues, Et la pluie du printemps a-t-elle manqué; Mais tu as eu le front d`une femme prostituée, Tu n`as pas voulu avoir honte.
Jérémie, 3:4 - Maintenant, n`est-ce pas? tu cries vers moi: Mon père! Tu as été l`ami de ma jeunesse!
Jérémie, 3:5 - Gardera-t-il à toujours sa colère? La conservera-t-il à jamais? Et voici, tu as dit, tu as fait des choses criminelles, tu les as consommées.
Jérémie, 3:6 - L`Éternel me dit, au temps du roi Josias: As-tu vu ce qu`a fait l`infidèle Israël? Elle est allée sur toute montagne élevée et sous tout arbre vert, et là elle s`est prostituée.
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tadwina · 6 months
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J'ai perdu une part de moi, sans savoir où ni quand elle s'est éteinte. Est-ce que je regrette vraiment cette version oubliée du temps, ou est-ce que je cherche juste à être plus heureuse ? Avant, mes yeux brillaient plus fort et mon cœur s'émerveillait sans cesse des choses que j'aimais.
Je touchais les livres avec passion et la musique résonnait toujours dans ma tête.
J'ai perdu cette version de moi qui n'a jamais perdu son sens de l'existence, sans la documenter, et je le regrette amèrement.
Même les visages que je connaissais avec ces yeux, je les vois maintenant comme un rêve, des moments de tendresse dont j'ignore s'ils reflétaient la réalité ou si c'était mon soleil intérieur qui embellissait tout.
Tout autour de moi me rend nostalgique, le ciel couleur jaune pâle et le vent qui murmure aux nuages leur destin immuable.
C'est ça le rêve, je ne sais pas si je rencontrerai un jour une autre version de moi-même, ou si elle continuera à envoyer des étincelles qui me guident vers le même bonheur, sans artifice.
Je me souviens d'avoir écrit un poème en arabe sur ce sujet à la même époque. Les moments du printemps me captivent, et si je ne suis pas heureuse à l'origine, je suis heureuse de la nostalgie.
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osos206020 · 7 months
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The most famous Arabic books
The most famous Arabic books
A Voice for Peace and Tolerance:
Kassis' unwavering commitment to secularism and her insightful analysis of the Syrian conflict have earned her international recognition. She has authored several books, including "Le chaos syrien: printemps arabes et minorités face à l'islamisme," and continues to advocate for peace and dialogue on various international platforms.
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latribune · 7 months
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claudehenrion · 7 months
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Au programme : aveuglement et autres stupidités...
Avec le temps qui passe, on se demande en permanence comment font nos ''Lumières'' --ces lumignons éteints, au pouvoir-- pour être si aveugles, si bornés, si incapables d'apprendre de la vie –et de leurs échecs... Ils disent ''nous prendre en charge'' mais ''se déchargent'' aussitôt ! Ils croient nous diriger, mais ils ne font que nous précipiter dans des abîmes qui pouvaient tous être facilement évités. C'est simple : ils ne comprennent rien ! Parmi tous leurs aveuglements, l'islam est sans doute un de leurs plus beaux (?) échecs...
Car nos irresponsables-aux-manettes n'entendent rien, ne voient rien, ne remettent jamais tel ou tel épisode dans son contexte du moment ou dans un cadre plus général... Quoi que fassent leurs (donc : nos ?) ennemis-adversaires déclarés, quoi qu'il disent, qui que ces fous furieux assassinent, quelque revendication absurde qu'ils émettent... tout semble se passer comme si... il ne se passait rien –alors que, pour eux, pas de doute : ils revendiquent être en guerre, i.e. le Djihad. Et mieux ou pire que ça, les plus atteints d'entre eux nous expliquent que c'est nous qui avons l'esprit mal tourné et nous qui voyons des agressions partout, alors que tout va pour le mieux possible dans le Landerneau de leur myopie mortifère caricaturale.
Un point m'a toujours fasciné, mais l'âge venant, il m'atterre : notre civilisation occidentale est si profondément marquée par le christianisme que tant ceux qui s'en sont peu à peu écartés (par paresse, le plus souvent : ''c'est ch... disent-ils, de se soumettre à des règles, même bonnes !'') que ceux qui l'ont rejeté au nom de leur intelligence –proclamée par eux seuls-- et/ou de leur liberté (cf. le prétentieux ''ni dieu, ni maître '' de ceux qui courent ensuite lire leur horoscope ou acheter un billet de loterie le vendredi 13 !)... ne se rendent même plus compte du degré auquel leur représentation mentale et leur lecture du monde sont influencées par un vocabulaire et une conception du monde qui sont de purs produits de la seule chrétienté..
Ce phénomène est particulièrement visible dès qu'il s'agit d'islam... où 99 % de nos contemporains sont incapables de voir autre chose qu'un ''christianisme autrement'' et sont capables de proférer sans mourir de honte des énormités telles que : ''L'islam, une religion d'amour et de paix ''... ou ''Le carême ? Un ramadan chrétien''... voire, plus énorme encore, ''Eux et nous croyons en un seul Dieu, donc c'est le même...'' etc... Tout se passe comme si nos nuls-au-pouvoir étaient incapables de se représenter une ''religion'' autrement que comme une espèce de démocratie chrétienne ''soft''... ce qu'est devenu, le plus souvent, le christianisme en Europe (mais pas ailleurs, Dieu merci !). Ils croient possible une sorte d' ''islamo-démocratie'', ce qui ne peut même pas se concevoir. C'est une énorme erreur de jugement qui, à force d'être répétée sans cesse, est désormais ressentie par beaucoup comme une vérité systémique qui s'imposerait au réel (attitude typique d'une pensée ''à Gauche''!).
La vérité est, évidemment, diamétralement à l'opposé : ce que rejette (et de plus en plus) l'islam moderne, c'est précisément ce vers quoi nos cuistres espèrent l'attirer : les lamentables critères amoraux de nos politicards, qui nous mènent vers un vide abyssal... vers lequel nous sommes, hélas, déjà en route. Il suffit de se souvenir que la tendance la plus radicale de tous les mouvements anti-occidentaux s'est baptisée elle-même ''Boko-Haram'' (qui veut dire : ''Ce qui est contenu dans les livres –books en anglais, déformé en ''Boko''-- est ''Haram'' (= interdit par Allah, bien plus fort que notre mot ''péché'' : l'idée-même n'en est pas admissible, contenu et contenant) !
J'ai longuement raconté ici-même, en leur temps, les fausses interprétations des ''printemps arabes'' où nos reporters, ivres d'un soi-disant ''esprit de liberté'' qui soufflait –à les en croire-- sur les terres d'islam, étaient incapables d'entendre ce que moi, arabophone, j'entendais : uniquement des cris de haine contre l'Occident qui sortaient de ces foules électrisées... qui allaient bientôt se répandre sur le monde alors dit ''libre'' et nous envoyer des armées plus ou moins secrètes de terroristes en puissance et de criminels en sommeil... L'indiférence savamment entretenue des français pour la religion, d'une part, et l'incapacité chronique des américains à comprendre ce qui n'est pas ''eux'', d'autre part, jouent évidemment un rôle d'accélérateur dans cette évolution mortelle.
Le bras militant de cette nouvelle tendance de l'islam, la confrérie des frères musulmans, est une caricature de tout ce que nient nos lumières éteintes : la notion-même de démocratie lui est intolérable. Quant à la littérature produite en Occident sur tout ce qui touche à l'islam (que nos intellos persistent à couper en ''leurs bons'' et ''leurs méchants'' musulmans, sur des critères non-pertinents, non-écrits et connus d'eux seuls !), elle est énorme en quantité et affligeante en qualité, allant jusqu'à confondre ''frérisme'' et ''salafisme''. (NDLR - le distingo obligatoire entre islam et islamisme, à la mode dans nos ministères hollando-macronistes et dans les salles de rédaction-toutes-à-gauche, est une invention de l'Occident et de lui seul : la langue arabe ne dispose que d'un seul mot : ''islamiyi'' qui recouvre l'islam et l'islamisme –qui sont une seule et même chose, pour les musulmans. Cette grossière erreur risque fort de nous être fatale !).
Quant aux réflexions des universitaires (tous ''de Gauche'', aussi, ceci expliquant cela !), elles semblent s'être arrêtées avec l'apparition (relativement récente) d'un islam-en-guerre qui est surtout le fait des plus jeunes générations, elles-mêmes fruit d'un matraquage anti-valeurs occidentales par les ''frères'' et –n'oublions pas cette source importante de tous nos malheurs-- de notre propre masochisme qui revendique tous les péchés du monde et qui renie notre Histoire et notre passé –sans lesquels pas un seul de nos adversaires ne serait en mesure d'émettre une seule de leurs idées --qui rendent le monde de plus en plus invivable. (NB : eux, savent ce qu'ils veulent. Nous, nions'' le réel' , en vrac, ''quel qu'en soit le prix''! Folie des hommes ! ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde'', disait Camus. Mais ''ne même pas oser les nommer'' est bien pire !).
Tout le vilain petit monde qui gravite à nos frais et aux dépens de la pauvre France met un ''point d'honneur'' (enfin... Disons : ''un point'' !) à oublier le ''Rapport Aubin'' (18 mai 2021) --du nom d'un ancien inspecteur général de l'Education nationale-- qui visait à ''promouvoir et harmoniser la formation du personnel à la laïcité, dans le cadre de la lutte contre le séparatisme''. On y trouve des pépites telles que ''Des forces sont à l'œuvre pour imposer un modèle de société qui n'est pas le nôtre''... ou encore : ''Il n'y a pas eu de complicité officielle, à l'échelle de l'État, mais une forme de passivité''. Et la conclusion est : ''Dans certains quartiers, les élèves sont incités à se méfier de tout ce que disent les professeurs : ce doit être d'abord un objet de suspicion –comme ce qu'ils trouvent dans leur assiette, à la cantine) : les élèves doivent trier les textes étudiés à la lumière (sic !) de critères religieux, entre ''hallal'' (= autorisés) et ''haram'' (= interdits, maudits)''. Quand je vous parlais, plus haut, de ''Boko haram'' : pas besoin d'aller bien loin pour le trouver !
Le plus grave dans ce tableau (NDLR - qui n'est pas exagéré : j'attends toujours un seul argument sérieux qui me clouerait le bec), c'est que nulle part on ne voit poindre le moindre espoir que nos (et surtout ''leurs'') yeux ne s'ouvrent avant qu'il ne soit trop tard : notre univers se délite, notre modèle est refusé, nos références rejetées, et nos idées moquées et nos populations parfois terrorisées –souvent, il faut le dire, avec juste raison, tant nous nous sommes mis à ''déconner à pleins tubes''. Mais nous sommes sourds et aveugles (à défaut d'être muets) et nous continuons à soutenir des idées stupides que les 4/5 èmes de l'humanité rejettent comme absurdes –ce qu'elles sont souvent (ex. : tout ce qui touche aux minorités, aux sexes et aux genres, aux valeurs, au secteur dit ''sociétal'' –en réalité : mortifère-- et à nos libertés, en voie de confiscation massive). Il devient urgent d'arrêter ce petit jeu ''à qui perd, perd'' avant qu'il ne soit trop tard...
H-Cl.
PS : ''Errare ordinateur est''... Pour une fois, la procédure ''enregistrement préalable'' est devenue folle, et a publié un ''édito'' un samedi pour le dimanche... ce qui ne fait pas partie du ''cahier des charges''. Pardon a ceux qui, punis, ont lu deux fois le même texte. Je m'en suis rendu compte trop tard pour réagir, et j'ai dû… laisser ''Tumblr'', si vous me permettez ce mauvais jeu de mots.
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metroactu · 10 months
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Cheikh NIASS,PDG« Le livre vient à son heure»
Revenant sur l���importance qu’il accorde à la journée du 04 décembre, l’actuel Président directeur général du groupe de presse WalFadjri a lui aussi, comme ses prédécesseurs, livré sa compréhension de l’ouvrage posthume de son défunt père. «La cérémonie d’aujourd’hui (hier, Ndlr) est le plus grand hommage à l’honneur de Sidy Lamine Niass.  Le livre a été écrit en 2011, lors du printemps arabe.…
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lespenseesej · 11 months
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Séance #9 - La désinformation, inévitable avec l'hybridation des médias traditionnels et numériques ?
X, autrement appelé Twitter, est un réseau social qui permet aux internautes de partager des « tweets » rapidement avec un grand nombre de personnes en temps réel.
Twitter, maintenant X, est devenu une plateforme où les internautes sont enseveli par de la désinformation, des messages haineux et de la propagande. Pendant la pandémie, Twitter avait une politique sur la désinformation à propos de la Covid-19, c’est-à-dire que si les utilisateurs ont droit à cinq avertissements avant d’être banni indéfiniment du réseau social. Sous cette politique, plusieurs comptes ont été retirés de la plateforme depuis 2020. Elon Musk a éliminé cette politique le 23 novembre 2022 et il a réintégré plusieurs comptes qui ont été bannis du réseau. De plus, l’algorithme a été changé pour maximiser l’échange entre les internautes en mettant la priorité sur les messages les plus toxiques sur les fils d’actualités des utilisateurs.
Par exemple, durant le printemps arabe en 2010, les internautes pouvaient suivre l’événement en direct via la plateforme. Twitter était une source d’information importante pour suivre l’événement de près. Aujourd’hui, la guerre entre le Hamas et l’Israël démontrent à quel point les messages haineux et la désinformation circule, car beaucoup d’images et d’information refont surface. Parmi ce flux d’information, plusieurs sont fausses, truquées ou datent de plusieurs années, donc elles n’ont aucun rapport avec le conflit. Les utilisateurs ont davantage de difficultés à discerner le vrai du faux.
Pourquoi y a-t-il autant de désinformation qui circule sur X? Pour nommer une autre raison autre que les changements de politique et de l’algorithme, les bots sont de très bons outils pour partager l’information en grand nombre. Par exemple, plusieurs faux comptes « certifiés » ont partagé des images de conflits passés et apportés des conclusions sans vérifications à la suite de l’attaque contre un hôpital dans la bande de Gaza. Ces bots complexifient la recherche de la vérité dans les informations reçues.
Selon moi, nous devrions être plus prudents et mieux informés pour identifier les outils de désinformations sur les réseaux sociaux. Lors d’un cours, j’ai adoré ces deux jeux, « Bad news » et « Breaking Harmony square ». Ils nous permettent de jouer le rôle d’un responsable de la désinformation qui utilise les outils utilisés par les réseaux sociaux pour tromper les gens. À vous de jouer!
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teumbeleur · 1 year
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L'avènement d'internet, ma génération à connu l'avènement d'internet.
2 avions dans 2 tours, l'axe du mal, le SIDA ne se guérit pas encore, une pendaison de Saddam, Guantanamo, un président d'Amérique noir, Aung San Suu Kyi, Yasser Arafat, Julie & Mélissa, les premiers divorces normalisés, le mariage pour tou•xtes, le décès de Madiba, la remontée des extrêmes, un confinement total, #Metoo, 2 crises économiques, des printemps Arabe, des mondialisation.
J'ai tant oublié. Maman a lu un livre sur ma génération, la "Sacrifiée"
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