Tumgik
#queue du bonheur
humeurs-des-plaisirs · 7 months
Text
Le cocu
Admire ta femme, Regarde la s’apprêter de ces lingeries coquines, Se faisant un devoir de se présenter, Dans ses plus beaux atours, Tu la sais espérer ce moment, Pleine d’appétit pour cet inconnu, Et déjà tu l’imagines en appétit, Mouillée de ses pensées vicieuses, Et toi prêt à combler cette ambition de plaisir.
Devant son invité, En hôte prévenant, Tu lui dévoiles son corps prêt à l’amour, Tu lui dis ce qui la fera succomber, Tu la fait se mettre à ses pieds, Et tu lui tend cette laisse de pouvoir, Pour qu’il lui donne ce qu’elle attend, Et tu t’installes sur le fauteuil, Au premières loges du spectacle, Qu’ils vont te donner.
Chorégraphie de ses envies, Regarde son regard gourmand, Face à cette queue qui s’offre Sa langue baveuse qui lèche. Sa bouche qui s’ouvre en Ô, Et se laisse envahir jusqu’à la garde, La gorge déformée par ce gland avalé Son souffle court après cette gorge profonde, Son regard pétillant de bonheur qui te fixe.
Quand tu fermes les yeux, C’est pour mieux entendre ses soupirs, Quand le coquin la pénètre, La petite chienne face à toi, Jappe son plaisir, Et appelle à l’outrance. Dans ce rut animal où les corps claquent Ecoute la crier, Jurer L’appeler à la saillie,
Putain, Regarde la baiser avec alégresse, Emportée par ce désir femelle d’être possédée, Saisie par ses mains fermes qui la tiennent Admire le balancé de ses seins, Cadencés par cette queue conquérante, Qui lui défonce le cul et le con, Savoure quand son regard se perd, Emportée par le tsunami de sa jouissance, Le corps secoué des spasmes libérateurs.
Qu'elle est belle après l’amour, Quand reconnaissante, Elle vient lover son corps nu contre toi, Caresse sa peau encore bouillante, Le con baveux et maculée de foutre, Constate maintenant qu’elle te revient, Tu bandes de désir pour elle, Toi, qu’elle reconnait comme unique,
… Son cocu !
Tumblr media
Texte original : PSganarel
Les humeurs du valet
28 notes · View notes
eaux-fortes · 19 days
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
C’est pourquoi les peuples lunaires décrits par Socrate dans le Phédon, ces habitants des sommets de la terre qui mènent au-dessus des nuages une vie sobre et frugale en se consacrant à l’étude de la plus secrète philosophie, ainsi qu’à la pratique de la religion, on peut dire qu’ils goûtent la félicité de Saturne, dans un bonheur et une longévité qui les font ressembler moins à des hommes mortels qu’à des démons immortels. Beaucoup les considèrent comme des héros ou des demi-dieux, d’une espèce toute d’or, qui jouirait en quelque sorte de l’âge et du règne de Saturne. Voilà peut-être, me semble-t-il, ce qu’ont voulu dire certains astrologues arabes, en affirmant qu’au-delà de la ligne d’équinoxe, vers le midi, vivent des démons très subtils qui ne semblent ni naître ni mourir ; c’est là qu’il faudrait situer le pouvoir de Saturne et la Queue du Dragon. Albumasar semble bien le confirmer lorsqu’il parle dans son Sadar de certaines régions de l’Inde qui sont soumises à Saturne, et où la longévité est telle que la plupart des habitants meurent à un âge extrêmement avancé : l’explication étant, selon lui, que Saturne porte atteinte aux étrangers et non aux gens du pays. — Marsile Ficin, Conseils aux intellectuels, Livre III, 22: Comment nous pouvons nous accorder avec les puissances célestes : les septs moyens dont nous disposons. Qui pâtit et qui profite de l'influence de Saturne ; qui en est protégé par Jupiter. Comment le ciel agit sur l'esprit, le corps et l'âme. (1489)
11 notes · View notes
lexiie-xd · 1 month
Text
16 août 24
Quand tu discutes avec un mec sur Wannonce en fin de soirée et qu'il t'invite à passer chez lui.
Quand tu as tellement envie de baiser que tu traverses Mulhouse à 1h du matin.
Quand tu découvres qu'il vit dans un quartier que même ton GPS ne trouve pas l'adresse.
Quand il n'y a plus d'éclairage de rue et que tu dois marcher une plombe en talon dans l'obscurité pour rejoindre son immeuble.
Quand tu te dis que tu as vraiment faim pour en être là.
Quand tu te dis aussi que c'est tellement agréable de marcher dans la rue habillée comme une pute.
Quand tu arrives au 7ème étage (avec ascenseur... ouf!!!) et que tu te rapproches du bonheur.
Quand le mec ouvre et te dit qu'il a fait une connerie en te disant de venir parce qu'il est shooté à mort!
Quand tu te dis qu'il faut vite se barrer parce que les mecs drogués c'est pas ton truc.
Quand tu lui dis que c'est pas grave et que tu penses le contraire mais que tu ne veux pas faire d'histoires.
Quand tu redescends les 7 étages (avec ascenseur... ouf!!!) complètement frustrée et encore plus en manque.
Quand tu traverses le hall de l'immeuble et qu'un mec rentre.
Quand tu dois assumer d'être habillée comme une pute en croisant un mec dans un hall d'immeuble éclairé.
Quand tu dis bonsoir le plus naturellement possible.
Quand le mec te répond gentiment et que tu vois dans son regard qu'il a mis moins de 3 secondes à comprendre la situation.
Quand il y a un flottement dans l'action en cours.
Quand le mec s'arrête, te sourit, te montre son bas ventre et une porte à côté de toi.
Quand tu lis sur la porte que c'est la cave et que tu as peu de temps pour te décider.
Quand le mec te sourit toujours et te dit "on y va?"
Quand c'est trop dur de réfléchir, que tu es encore sous la surprise, que t'as un peu peur et beaucoup envie.
Quand tu suis bêtement le mec dans la cave.
Quand à peine arrivée en bas des escaliers il te plaque le dos contre le mur en béton.
Quand tu es surprise, apeurée et qu'il t'embrasse à pleine bouche sans te laisser le temps de respirer.
Quand il défait sa ceinture et baisse son jean en t'embrassant toujours à pleine bouche.
Quand tu penses à ton rouge à lèvres qui va faire la gueule et que déjà il te pousse à te mettre accroupie devant lui.
Quand il te met sa queue déjà dure dans la bouche et que tu n'as encore pas pu prononcer un mot.
Quand tu as la tête coincée contre le mur et qu'il te bourrine la gorge.
Quand tu commences à étouffer, que tu baves carrément et que tu n'arrives plus à réfléchir.
Quand d'un coup il te relève, te retourne face au mur, qu'il t'enlève ta veste et t'arrache ton string violemment.
Quand il t'embrasse dans le coup et te mordille la nuque en te traitant de salope.
Quand décidément tu n'as toujours pas pu parler, ni pu réfléchir.
Quand tu as moins peur.
Quand il te rentre sa queue bien gonflée en continuant à te mordiller la nuque et en te tenant par le hanches.
Quand tu peux enfin réfléchir, tu te dis qu'il aurait pu te lubrifier et mettre une capote.
Quand tu te dis finalement qu'au minimum il aurait au moins pu te le demander.
Quand il te besogne à fond et que tu te dis que visiblement ce n'est pas le genre de mec à poser des questions.
Quand tu en es là de tes réflexions et que tu sens qu'il s'active plus vite.
Quand tu as le visage contre le béton froid et qu'une de ses mains est toujours sur ta hanche.
Quand son autre main t'écrase la gorge et que tu te demandes s'il va vraiment t'étrangler.
Quand il fini de s'activer et qu'il te lâche la gorge.
Quand il reste immobile au fond de toi pour savourer son plaisir.
Quand tu comprends que ton plaisir il s'en fiche.
Quand il sort et qu'il te dit de lui nettoyer la bite avec la langue.
Quand tu t'éxécutes sans discuter parce que tu as compris que c'était inutile.
Quand tu t'accroupis avec le cul encore ouvert.
Quand tu penses à la flaque que tu vas laisser par terre à la femme de ménage.
Quand tu finis de lui nettoyer la queue et qu'il te dit de te casser.
Quand devant lui tu attrapes vite fait ton sac à mains et ta veste et que tu te sauves, en bredouillant un merci.
Quand il te répète de te casser vite fait, salope.
Quand tu finis d'enfiler ton manteau dans le hall de l'immeuble et que tu penses à ton maquillage.
Quand tu retraverses le quartier dans l'obscurité, un filet de jus qui coule sur les cuisses, en espérant ne rencontrer personne.
Et bien finalement tu te dis qu'il existe encore des vrais mecs!
9 notes · View notes
claudehenrion · 8 months
Text
Et la France, dans tout ça ?
Les sujets survolés ces temps derniers sont trop vastes, trop complexes, trop ''à tiroirs'' ou trop pleins de mensonges pour que l'on puisse dire tout ce qui vaut la peine d'être dit, dans le format de ce blog (en gros, une page, format ''A4''). Et une communication sérieuse ne saurait se contenter des formats ex-'twitter' (devenu 'X') ou SMS, chers aux professionnels du bobard politique : depuis le covid et l'Ukraine, nous les croyons encore moins qu'avant . Heureusement.
Mais il est impératif de parler de la France... Ce fut un grand pays, une civilisation à l'intérieur de la civilisation occidentale... Ce fut un pays d'une beauté à couper le souffle (vous et moi ne l'avons pas oublié) : ses paysages, ses cathédrales, ses châteaux (qui ont beaucoup souffert de la haine ravageuse des révolutionnaires et des ''septembriseurs''), ses villages charmants, ses clochers graciles... sans parler de sa Capitale, cette ''Ville-Lumière qu'une dingue, élue (?) par la faute d'une loi scélérate (dite ''PLM'') a réussi à foutre en l'air en deux mandatures. Ce fut le pays de la joie de vivre, du bonheur individuel de ses habitants –toujours prêts à râler, certes, mais... comme ils étaient sympathiques, malgré ce petit travers...
En ces temps de fin de notre monde, la seule chose que nous permettent encore des idées sans queue ni tête (imposées par des politicards sans foi ni loi et par des compromissions létales dans des traités imposés, où notre possibilité de survie est coincée entre une démocratie morte et une liberté confisquée)... se réduit à quelques marches blanches inutiles et vaines, (ceux qui sont étiquetés ''à Droite'' n'y ont pas droit !), qui sont la dernière oraison funèbre permise, pour nous ou nos survivants... Oh ! Il subsistera, quelques temps encore, un espace géographique qui portera ce nom autrefois flamboyant : ''France'' --peut-être ridiculisé en ''Francistan'', le pays de francs, avec le suffixe persan ''-istan'' qui veut dire : ''lieu, pays'')-- avant de disparaître à jamais, avec le souvenir de nos belles heures oubliées... ou sans lui, plutôt.
Quatre sujets sont fondamentaux pour notre ''être'' et pour notre survie : (a)- une immigration invasive, conquérante et suppressive ;(b)- une menace pour la planète, imaginaire et indémontrable, mise en balance avec la survie d'une humanité ; (c)- la volonté masochiste d'une ''camarilla'' qui veut supprimer jusqu'à la racine tout ce qui a existé avant elle –mais qui n'a rien de valable à proposer, pour remplacer une civilisation (qui a apporté à l'humanité tout ce que ses rêves les plus fous n'avaient même pas imaginé), devenue, sans raison valable, l'objet d'une haine injustifiable... (d)- la volonté perverse et masochiste d'une caste de malfaisants qui préfère le pire à toute autre solution, l'absurde à l'intelligent, l'indémontrable au vraisemblable, l'affirmation mensongère à l'expérience et la guerre à la paix, au nom, bien sûr, de faux ''grands principes'' dont pas un seul ne pourrait exister sans l'énergie qu'ils déploient pour faire croire que le faux pourrait être vrai, le laid, bon ou beau, et le mensonge, vérité... Or, si nous approfondissons ces sujets, qui résument l'immensité de notre désarroi et décrivent la gravité de la crise artificielle ouverte sous nos pas, ce qui se passe ne peut être perçu que comme ''consternants'' et annonciateurs de drames sans limites. Une seule porte de sortie : que le Président dise : ''Je me suis trompé sur tout. On arrête les conneries avant la cata....''. Hélas...
(1)- L'immigration, d'abord. Résumons-la en trois mots : l'écrasante majorité du peuple a enfin réalisé que ses représentants lui mentaient honteusement, et c'est désormais à > 80 % que les français veulent que tout change, le plus vite possible. Réponse des dits représentants : une loi ''a minima'' qu'on fait semblant de concéder au populo... puisqu'on est certain d'avoir verrouillé par derrière le gouvernement de juges qui a de facto pris le pouvoir, sans mandat, dans l'opacité et le non-dit les plus complets. Huit jours plus tard, ils sont tout contents de nous promettre que le record absolu d'entrées légales ou non, qui vient d'être battu ce mois-ci, va devenir la nouvelle norme... et que l'œuvre de destruction sournoise de nos sociétés va enfin se muer en une œuvre de destruction massive et rapide. Et le Conseil constitutionnel de faire la danse du ventre pour nous expliquer sans rire que le contrôle des entrées, le contrôle des sorties, et la composition de ces deux éléments –seuls paramètres connus-- sont sans lien direct avec une loi sur l'immigration massive --et devenue majoritairement hostile... On est chez les fous, qui se prétendent ''sages'' !
(2)- La transition écologique. Toutes les énergies disponibles sont mobilisées à plein temps par la quête de ''l'impossible étoile'' du poète : un réchauffement dont les causes sont infinies mais que d'aucuns s'acharnent à prétendre n'être du qu'aux fautes, dites ''crimes'', de la race blanche contre l'humanité tout entière –dont elle, la folle ! Nos paysans, en se révoltant contre la stupidité castratrice des faux prophètes en mal de télé et de ''JT'', viennent de semer une petite graine qui ne peut que croître et se multiplier. Tremblez, fauteurs de troubles (lire : ''fouteurs de merde'', évidemment !), vos jours sont comptés... Plus personne ne peut vous voir, vous sentir, vous tolérer. Avec votre ''dérèglement climatique'', vous avez semé le vent, vous récoltez la tempête : quand quelque chose n'a aucune chance de marcher, inutile d'espérer un miracle que tout le monde sait impossible. Arrêtez vite cette mauvaise transition anti-écologique, de grâce ! !
(3)- La victoire à la Pyrrhus du progressisme : a force de croire, dans leur inculture structurelle, qu'il suffisait qu'une chose soit ''autre'' pour être réputée ''mieux'', nos cuistres chroniques avaient presque réussi a faire disparaître toutes les bases et tous les fondamentaux de l'édifice qui soutient le monde.... comme si quoi que ce soit pouvait vivre, une fois privé de ses racines (ou : de son histoire, de sa culture, de ses ''raisons d'être'' et de ses sources. Et j'ajoute, puisque nous parlons de civilisations, ''de son Dieu et de la Foi de ses Pères''). Leur faux dieu ''Progrès'', n'est fait que de ''changements'' –et le plus souvent peu souhaitables, comme le sont toutes leurs lois dites sociétales, qui sont autant de portes ouvertes vers la fin de toute humanité digne de ce nom.
(4)- La mondialisation maléfique : comme un vieux fantasme hugo-hollywoodien, une sorte de tenaille de torture a été installée à demeure sur les pauvres gens, par des esprits malfaisants. Ses dents déchiqueteuses pourraient se nommer Klaus Shwab pour l'une et Ursula von der Leyen pour l'autre. Leur but est simple : pour atteindre le plus vite possible le point de non-retour de notre chute vers leur néant absolu (ce que eux seuls désignent par ''mondialisation heureuse'', qui est synonyme de malheur irréversible pour tous les autres mortels), il faut et il suffit de rendre impossible la vie et la survie des classes sociales, des métiers, des structures, etc... l'une après l'autre. Ces tenailles assassines ont failli avoir raison de nos familles, de notre industrie, de notre religion, de notre système hospitalier et de notre médecine, de notre école, de notre foi en nous, de notre culture, de notre langue, de notre Histoire, de nos traditions.... mais semblent se briser sur le saccage officiellement programmé de notre agriculture : nos paysans, armés de leur bon sens réputé, ont éventé leurs manigances avant qu'il ne soit trop tard. L'espoir renaît : Méphisto, dans ''Faust'', dit : Mon pouvoir tient à ''Je suis celui qui peut dire ''Non''... Au lieu de sur appliquer les folies de Bruxelles (ce qui est une stupidité signée Macron : il ne sait pas que sa ''transition écologique'' est une connerie XXL !), il suffirait de dire ''Non'' aux idioties présentes et passées.
Au lieu de ça, nous avons eu droit aux pitreries de Gabriel Attal, hier soir. Il est courageux, mais il croit possible d'endormir la contestation à coups de ''n'' chèques de 50 millions chacun... au lieu de faire la seule chose qui peut sauver la paysannerie, la France –et même l'Europe-- de tous les malfaisants qui veulent leur disparition : remettre la grosse commission de Bruxelles à sa place, se dresser contre sa fièvre normative, et annuler toutes ses tentatives d'assassinat depuis 5 ans.
Ce samedi 27 janvier 2024, le Figaro titrait, dans une orgie d'inculture : ''Attal affiche son volontarisme pour apaiser la colère paysanne'' (sur une botte de foin, pour faire ''bouseux''!). Nos journaleux (derniers dans le classement ''Pisa'') ne savent pas que ''volontariste'' ne veut pas dire ''qui a de la volonté'', mais : ''qui croit pouvoir soumettre le réel à sa volonté''.. Nos politicards en sont là ! Le mal est immense, mais la guérison encore possible.. 
H-Cl.
3 notes · View notes
mauvais--sang · 1 year
Text
« J’attendis des secondes merveilleuses et de cette attente, du moment qui part du réveil de la queue, au bonheur, on s’étonne que ne soit pas né, comme du sang de Méduse Chrysaor, le plus fabuleux héros, ou des fleuves nouveaux, des vallées, des chimères, dans un bond sur un parterre de violettes, l’espoir lui-même en pourpoint de soie blanche, toque emplumée, poitrine royale, collier de ronces d’or, ou des langues de feu, un évangile nouveau, des étoiles, une aurore boréale sur Londres ou Frisco, une sonate parfaite, ou que la mort elle-même n’eût fait entre les deux amants une fulgurante apparition. »
— Jean Genet, Pompes funèbres, 1947
2 notes · View notes
Text
Aujourd'hui, Dr Rathatton a appris plein de choses sur la vie, qu'elle ne manquera pas de transmettre aux prochaines petites filles que nous rencontrons en hostel.
Tumblr media
D'abord, la pluie ça mouille. Même si c'est la pluie de la veille, et même que ça salit les sacs.
Tumblr media
Ensuite, que la vie des riches, c'est vachement plus pratique que la vie des pauvres. 35$ les 10km de train, on les a donc fait à pied, pleurant sous les quolibets de la haute société qui nous jetait un regard dédaigneux depuis sa fenêtre.
Tumblr media
Dr Rathatton a aussi appris que 22km à pied, ça useuh ça useuh, 22km à pied, ça use la sanité ! (Oui, parceque après 15min de chansons de colonies de vacances, on avait toutes les deux le cerveau en apoptose)
Tumblr media
Sinon, on a aussi appris qu'une Touille au soleil, ça fond, même si ça lui permet de voir le Machu Picchu de loin. (Sisi, il est au bout du doigt, promis) Je dirais bien qu'on a aussi appris que ça ... parfume ses délicats petons, mais ça fait une semaine qu'on est ensemble, Dr Rathatton a donc déjà largement eu le temps de constater cet effet.
Tumblr media
On a également découvert que des ruines abandonnées pendant 6 siècles, ça se cassait. Bienvenue à Llactapacta...
Tumblr media
Dr Rathatton a aussi réalisé que quand on monte (800m) et qu'on atteint un très joli panorama, ça veut dire que derrière on va descendre. Sisi. C'est terrible les genoux qui grincent à 28 ans.
Tumblr media
Et pour finir, Touille a aujourd'hui eu une grande révélation : pour elle, le bonheur liquide ce n'est pas l'alcool, mais ... le fromaaaaaaaage. Dr Rathatton a eu beau couiner, voici la preuve en photo que finalement, elle est un peu d'accord quand même.
Tumblr media
Ah oui, et on a découvert que finalement, l'administration française c'était pas pire que celle péruvienne. Ils ont décidé que c'était vachement plus rigolo de vendre 1/3 des billets pour les Machu Picchu en ligne, et le reste sur place, pour faire faire des heures de queues aux touristes déconfits et odorants qui ont plus de 20 bornes dans les pieds. Bande de sadiques. Au moins on avait des chaises, c'est gentil.
Tumblr media
Bref, c'était looooooong, c'était beauuuuu, on est cassées mais on est à Aguas Caliente, la ville de départ du Machu Picchu ! Rendez vous demain midi sur la montagne \o/
2 notes · View notes
Text
Tumblr media
UN HAVRE DE PAIX
No explain , no complain disait la Reine Elizabeth II . Après tout explain n'est pas vraiment obligatoire et Léonard Woolf l'avait bien compris . Lui qui avait brûlé les cahiers intimes de sa femme Virginia Woolf . Pourtant c'est bien ceux là qui auraient eu le plus grand succès . Les cahiers intimes de Virginia Woolf ! Particulièrement de nos jours, ou la fouille dirais-je dans la vie des autres, est devenue un amusement , une véritable chasse à coure parfois dont le seul but serai ; de découvrir les secrets inavoués, inventés un peu plus tard, et remis au goût amer de certains illuminés . C'est alors le grand bonheur de ceux là, qui s'exclament enthousiasmés ; Je m'en doutais un peu ! . Le sourire grand et détendu comme une demi lune . Rien à dire sur l'écrivaine Virginia . Elle emmènera ses secrets écrits , ses amours , ses doutes et ses peurs dans sa tombe . Mais qui ne serai pas tenté après tout, de raconter post mortem son histoire sans rien en connaître .
C'est un cauchemar pour bons nombres d'entre nous, que d'imaginer une vie , la vôtre, sans queue ni tête, jetée en pâture quelques années ou siècles le plus tard .
Quelque chose que je n'avais pas encore réussi à identifier me rapprochait de mon écrivaine préférée . Il eût fallu sans aucun doute un déclic , un sourire un matin, et vous parlez aux anges en leur disant " Oui , c'est à peu près cela " .
Cette réflexion partait d'un angle d'une cheminée, là ou se brûle le papier et le bois . No explain , no complain ! toutefois il faut parfois expliquer afin de n'être point déçu des dires fantasmagoriques de quelques inconnus .
Revenons à Virginia et du peu que nous savons déjà . Elle était étrange disait-on , elle écrivait rapidement , avait souvent des migraines , et piquait des crises de colère au point que son époux Léonard qui vivait avec elle depuis plusieurs années, décida un beau jour , que la vie commune étant devenue impossible pour lui, de s'enquérir un bout de terrain sur lequel il fît planter, son havre de paix .
Certains êtres sont invivables et comment leur en vouloir quand toutes leurs colères , leur déception , leur anxiété et particulièrement leurs cris relèvent d'une maladie . Sans doute avais je eu un jour peu après Noel , la même réaction que Léonard Woolf Et si mon terrain n'était pas assez grand , si le havre de paix ne pouvait se dessiner au loin comme pour Léonard , la maison qui comportait trois étages, était bien assez grande pour se diviser en deux parties distinctes .
Ainsi comme Léonard campé un peu plus loin , je pouvais entendre quelques bruits , quelques colères fantastiques , des plaintes aussi , alors ,je descendais les escaliers et longeais le couloir . Debout dans le vestibule les mains sur les hanches, j'entendais sa voix me dire . Ouais je sais j'ai crié trop fort ! .
PATRICIA COINTE LAURENT
0 notes
cinemaylol · 1 month
Text
Le divertissement à portée de clic les avantages du visionnage de films et séries en ligne
Le monde du divertissement a connu une révolution spectaculaire avec l'arrivée d'internet et des plateformes de streaming. Regarder des films et des séries en ligne est devenu un phénomène culturel majeur, offrant aux spectateurs une multitude d'avantages et une liberté sans précédent dans leur façon de consommer le divertissement.
Liberté de choix et flexibilité : un accès illimité au divertissement
L'un des principaux avantages du visionnage en ligne est la liberté de choix qu'il offre. Les plateformes de streaming proposent un catalogue immense et diversifié, allant des classiques du cinéma aux dernières productions originales, des drames captivants aux comédies hilarantes, des documentaires instructifs aux séries acclamées par la critique.
Plus besoin de se plier aux horaires des salles de cinéma ou de se déplacer pour accéder à un film. Vous pouvez regarder ce que vous voulez, quand vous le voulez et où vous le voulez. Vous pouvez vous offrir une soirée cinéma improvisée, vous détendre après une longue journée de travail ou simplement profiter d'un moment de détente en famille.
Un catalogue immense et diversifié : explorer un monde de possibilités
Les plateformes de streaming offrent un accès à un univers de films et de séries que vous ne pourriez pas trouver dans les salles de cinéma traditionnelles. Vous pouvez découvrir des productions internationales, des films indépendants, des documentaires rares, des classiques oubliés et des œuvres d'auteur souvent négligées.
La variété du catalogue est immense, permettant à chacun de trouver son bonheur. Vous pouvez explorer des genres que vous ne connaissez pas, découvrir de nouveaux réalisateurs et acteurs, et élargir vos horizons cinématographiques.
Confort et commodité : un divertissement à domicile
Regarder des films et des séries en ligne vous offre le confort de votre domicile. Plus besoin de se déplacer, de faire la queue, de payer des billets et de subir les désagréments d'une salle de cinéma bondée. Vous pouvez vous installer confortablement dans votre canapé, avec vos couvertures et vos snacks préférés, et vous laisser transporter par l'histoire.
La possibilité de visionner des films et des séries en haute définition, voire en 4K, avec un son surround immersif, contribue à enrichir l'expérience. Vous avez l'impression d'être au cœur de l'action, de ressentir les émotions des personnages et de vivre l'histoire de manière intense.
Economies et abonnements : un divertissement accessible
Le visionnage en ligne peut être plus économique que les sorties au cinéma. Les plateformes de streaming proposent des abonnements mensuels abordables, qui vous donnent accès à un catalogue immense de films et de séries.
De plus, vous pouvez souvent profiter d'offres promotionnelles, de périodes d'essai gratuites et de promotions spéciales. Vous pouvez ainsi économiser de l'argent et profiter d'un divertissement illimité.
Interaction sociale et partage : une communauté de passionnés
Les plateformes de streaming favorisent l'interaction entre les fans de cinéma et de séries. Vous pouvez partager vos impressions, discuter des intrigues, commenter les épisodes et découvrir de nouvelles œuvres grâce aux recommandations d'autres utilisateurs.
Les réseaux sociaux et les forums en ligne dédiés au cinéma et aux séries sont des lieux de rencontre et d'échange pour les passionnés. Vous pouvez y trouver des analyses approfondies, des critiques constructives, des discussions sur les réalisateurs et les acteurs, et des débats sur les thèmes abordés dans les films et les séries.
Découverte et exploration : un voyage au cœur du divertissement
Le visionnage en ligne vous permet de découvrir des films et des séries que vous n'auriez peut-être jamais connus. Les plateformes de streaming vous proposent des recommandations personnalisées en fonction de vos goûts et de vos habitudes de visionnage.
Vous pouvez ainsi sortir de votre zone de confort, explorer de nouveaux genres, découvrir des œuvres d'auteur et élargir vos horizons cinématographiques.
L'avenir du divertissement : vers une expérience immersive
Le streaming continue d'évoluer, avec de nouvelles technologies et de nouvelles plateformes qui émergent constamment. L'avenir du visionnage de films et de séries en ligne promet d'être encore plus immersif, plus interactif et plus personnalisé.
La réalité virtuelle et la réalité augmentée pourraient révolutionner l'expérience, permettant de se plonger encore plus profondément dans les univers fictifs. Les plateformes de streaming pourraient proposer des contenus adaptés à nos préférences et à nos habitudes de visionnage, offrant une expérience personnalisée et unique.
L'avenir du divertissement est prometteur, avec des possibilités infinies de découverte, d'immersion et d'interaction. Le visionnage de films et de séries en ligne est en train de redéfinir la façon dont nous apprécions le divertissement, offrant un accès inégalé à un monde de rêve et de possibilités.
0 notes
omagazineparis · 4 months
Text
Les plus belles coiffures à réaliser avec des extensions de cheveux
Tumblr media
Qui n'a jamais voulu changer de tête du jour au lendemain ? Vite fait avant d’aller au boulot ou plus élaborées pour les soirées, les coiffures à la mode prennent une longueur d’avance grâce aux extensions de cheveux. Attachés, détachés, tressés, il y en a pour tous les styles. La saison des mariages, des week-ends à la plage et du batifolage reviennent pour le plus grand bonheur des chevelures parisiennes. Pour se mettre sur son 31 jusqu’à la pointe des cheveux, osez les extensions capillaires qui offrent volume et longueur tout en restant naturelle. Les techniques de rajout de cheveux sont nombreuses, entre la fixation à la kératine, la pose d’anneaux ou encore le smart system. Le plus important est de demander conseil à un salon d'extension de cheveux professionnel pour choisir la meilleure méthode selon son type de cheveux. Il faut également vérifier l’origine des mèches, sachant que les cheveux naturels garantissent un résultat plus discret et de longue durée. Extensions de cheveux : Évasion capillaire à Paris Vous passez votre été dans la capitale ? Offrez un voyage à votre chevelure comme si vous sortiez de la plage. Le style wavy donne un air léger aux cheveux longs alliant volume et glamour. L’effet mouillé, dit « wet hair », se marie parfaitement avec les cheveux ondulés, bouclés ou même souples. Idéal pour une soirée élégante, il suffit d’appliquer votre huile capillaire à la sortie de la douche. Pour une meilleure tenue, vous pouvez également utiliser de la laque. Imparfait et parfait à la fois, le chignon sauvage est la coiffure pratique en toute occasion. Avec la pose d’extension de cheveux, le résultat est plus volumineux et toujours aussi naturel. Conseils shopping : Conseils pour adopter la frange rideau et sublimer votre coiffure Les Coiffures tressées de l’été La tresse cascade et la tresse africaine sont les grandes tendances de l’été 2019. Pour toutes les variantes, la technique est plus ou moins la même, mais reste plus facile sur les cheveux longs. Avec un rajout de cheveux, il faut privilégier les mèches de bonne qualité pour une meilleure tenue. https://youtu.be/jjxOs6wUmKY Le revival des années 80 grâce aux extensions de cheveux Les extensions de cheveux de Brooke Shields Le brushing souple et bouclé de Brooke Shields donne des envies de volume et de longueurs XXL. C’est également le retour de la demi queue de cheval, aussi bien décontractée pour la journée que chic pour le soir. A lire : A la recherche de la meilleure restauration capillaire : analyse comparative entre la France et la Turquie Les extensions capillaires sont une bonne solution pour devancer le long processus de la pousse des cheveux. C’est pourquoi il faut en prendre soin. Trouver le bon salon de coiffure est impératif pour avoir des produits de qualité. Les instituts professionnels offre également l’avantage d’une pose d’extension grâce à des techniques respectueuses de nos cheveux. Read the full article
0 notes
jmviolon · 6 months
Text
Attente amoureuse
Tumblr media
J'étais arrivé à l'avance, comme toujours ou presque. Pour le plaisir de l'attendre. Même si je m'étais convaincu que c'était par prudence : je me disais qu'il valait mieux être sur place plus tôt au cas où ... au cas où elle pourrait au dernier moment sortir plus tôt ; ou bien si j'avais mal compris : si par exemple, je m'étais trompé d'une demi-heure en recopiant l'horaire sur mon agenda... 
Mais au fond, je le savais bien, c'était pour mieux profiter de ce moment. Parce que l'attendre donnait à notre rendez-vous une importance, un goût d'événement, un prestige supplémentaire... 
Je m'étais préparé lentement, longtemps à l'avance, pour que ce bonheur commence et dure, pour l'impression d'y être déjà, avant même d'être parti.
Comme j'avais du temps, j'étais venu tranquillement en voiture. Sans m'énerver des queues de poisson des conducteurs égoïstes. En m'arrêtant même pour photographier la lumière sur Paris, berceau de notre histoire... Au bout d'un parcours assez peu rectiligne, j'avais fini par échouer naturellement à notre point de rendez-vous et m'étais garé en double file pour l'attendre...
Depuis ma voiture, je regardais passer les touristes, nombreux, et j'étais frappé par l'homogénéité de leur air : malgré une mine affairée, courant presque derrière les petits drapeaux permettant de repérer leurs guides dans la foule, ils semblaient tous afficher ce que je croyais être un sourire, comme si un gaz positivant avait été répandu dans l'atmosphère...
Finalement, je ressentais l'envie que tout s'arrête : le temps... Que s'arrête par exemple la course de ce garçon de café que je voyais s'affairer sur le trottoir, les cheveux gominés ou bien pas encore secs. Il était beau et assez jeune, et j'imaginais qu'il devait avoir du succès auprès des femmes... Une femme asiatique habillée de noir prit sa suite. Elle me rappelait mon amour. Elle était dynamique dans sa façon de marcher, les épaules droites, sur son visage sérieux et un peu figé se lisait une certaine douceur, en même temps qu'une détermination. Elle était en costume (pantalon et veste), sans manteau ni écharpe malgré la fraîcheur. Venait-elle de terminer sa vacation du matin ? Allait-elle déjeuner rapidement ? Je regardais ces personnes, personnages d'un film muet qui semblait se projeter pour moi au ralenti.
Tout en laissant mon regard et mes pensées vagabonder ainsi, j'écoutais à la radio le premier concerto pour violoncelle de Saint-Saëns. En même temps que les volutes sensuelles de cette musique me berçaient, comme par une douce caresse, la sonorité du violoncelliste, son grain de son si présent, révélant un mélange détonnant de puissance expressive et de fragilité, maintenait en moi un soupçon de nervosité, comme une électricité, et participait ainsi à me disposer, dans l'attente délicieuse de ce moment priviligié où mon amoureuse apparaîtrait au coin de la rue, me ferait un petit signe de la main, et viendrait en courant jusqu'à ma voiture...
1 note · View note
franckdoutrery · 9 months
Text
L’homme de la Saint-Sylvestre
Tumblr media
Au jour de l’An, les habitants de la Nouvelle Zélande ont le privilège (dont ils jouissent d’ailleurs tous les autres jours) de voir le soleil se lever bien avant nous. L’astre surgit à l’est et inonde la mer d’une « aurore aux doigts rosés », selon l’expression du vieil Homère. Aussi sont-ils les premiers à entrer dans le Nouvel An, sans avoir jamais fait quoi que ce soit pour mériter cette faveur. C’est l’heure à laquelle ils sortent dans les rues pour faire un charivari avec tous les ustensiles de cuisine qui leur tombent sous la main : casseroles, bassines, marmites, qu’ils cognent comme des grosses caisses de fanfares, afin de chasser les mauvais esprits. Ceux-ci s’enfuient la queue entre les jambes (des queues et des jambes d’esprits, j’entends) et sans demander leur reste. 
Pendant ce temps, la Terre continue de tourner autour de son axe incliné, permettant aux océans et continents d’accéder au Nouvel An au gré des longitudes. Les derniers à tourner la page du 31 décembre sont les habitants de l’archipel d’Hawaï, perdu depuis toujours dans l’Océan Pacifique. Or le monde étant rond comme une pastèque, il eût suffi que le méridien de Greenwich se déplaçât de quelques degrés vers l’est – disons d’une tranche verticale du fruit –, pour que les Hawaïens soient les premiers à amorcer le Nouvel An. Mais comme l’évangile leur fut jadis prêché par le Père Damien à Molokai, ils se consolent à l’idée que « les derniers seront les premiers ». 
Entre ces deux extrémités du globe et les décalages horaires qui s’ensuivent, l’homme réveillonne de la façon la plus diverse. Les anciens Aztèques (du moins ceux de Jacques Soustelle) croyaient que le Soleil, qu’ils appelaient Quetzalcóatl, menaçait de disparaître tous les quatre ans à minuit, si on ne lui sacrifiait quelques milliers d’hommes. Ce qui ne se fait plus. Du moins pas au Nouvel An. Désormais l’homme boit du champagne et embrasse ses semblables sous le gui. Parfois il met le masque de Fernandel ou de Poutine, sort cotillons et serpentins et danse une folle farandole. D’autres fois, pour une raison connue du seul Danois, il se déchausse, monte sur une chaise et attend le douzième coup de minuit pour en descendre. (Où l’on voit qu’au Danemark, l’homme ne monte jamais sur une chaise sans ôter ses souliers ; suivons cet exemple édifiant !) Ailleurs encore, comme en Russie, il ouvre portes et fenêtres pour laisser entrer le Nouvel An. Si le premier passant franchit le seuil en avançant le pied droit, l’année sera faste. Sinon, gare au mauvais sort ! 
Et que l’homme ne mange-t-il pas à la Saint-Sylvestre ! Une cuillerée de lentilles au Portugal, une carpe farcie dont il garde les écailles porte-bonheur en Pologne, un raisin sec à chaque coup de minuit en Espagne, un gâteau de riz au lait truffé d’une amande en Norvège, des fruits ronds qui favorisent la prospérité en Italie, des lamelles de thon blanc à Hawaï. Et que ne boit-il pas ! Outre du Roederer ou du Veuve Clicquot, il sort de derrière les fagots des Pétrus millésimés, des Châteaux Margaux, voire des alcools forts, des eaux-de-vie titrant 60%, des chartreuses, des fines ... 
Et puis il y a les étrennes ! Depuis au moins quinze jours, l’homme se soucie de son prochain. A preuve, il s’interroge sur le cadeau à offrir à son grand-père, qui n’en a plus pour longtemps et dont il espère hériter la montre à gousset et la veste en velours côtelé. L’ancêtre pourrait recevoir une cravate italienne en soie, mais c’était déjà la surprise de l’année dernière et il s’en est servi comme ceinture de pyjama. Un passe-montagne, voilà ce qu’il lui faut, vu le peu de cheveux qui lui reste ! Un bonnet crocheté avec toutes les couleurs de l’arc en ciel. Mais chut, c’est un secret ! Et que recevront les enfants ? Un bilboquet par ci, un cheval bascule par-là. Un meccano peut-être, ou un Nain jaune ? Car l’homme se souvient du sage soufi disant : « Ce que tu donnes est à toi pour toujours, ce que tu gardes est perdu à jamais ».
Sitôt les cadeaux déballés, on passe aux résolutions. Car il en faut à chaque réveillon. Dans une nuit où les spiritueux déteignent volontiers sur le spirituel, l’homme en formule qui ressemblent tantôt à des vœux de confessionnal, tantôt à des serments d’ivrogne. Pour perdre du poids, il promet de faire du sport. C’est ainsi que dès demain, installé confortablement dans son canapé en cuir caramel, il regardera la finale de rugby à la télévision. Et pour pouvoir serrer sa ceinture d’un cran, il ne touchera plus aux friandises. Ni aux mignardises. Il se couchera sans dessert mais avec une pastille contre les reflux gastriques ou une tisane d’une haute valeur dormitive. Et dans son rêve, il entrera dans l’année nouvelle par une porte dérobée, qu’il franchira du pied droit. 
Et c’est ainsi qu’Allah est grand.
1 note · View note
christophe76460 · 9 months
Text
Tumblr media
05-160 Super fils du ciel !
https://soundcloud.com/jlgaillard/super-fils-du-ciel
Super fils du ciel !
Philippe est aujourd'hui un jeune père de famille, heureux, aimant sa femme et ses enfants. Aimant aussi en premier son Dieu, Jésus-Christ, à qui il a donné sa vie de nombreuses années auparavant. Mais il n'en a pas toujours été ainsi.
A seize ans, révolté comme de nombreux autres jeunes, il fait partie d'un groupe de musique « hard », il est punk, et trouve la vie de son père totalement dénuée d’intérêt. Il ne voit que du négatif en son père : pour lui, tout tourne autour de sa petite maison, son petit boulot, sa petite voiture qu'il lave tous les samedis, sa petite femme, sa petite église, bref, son petit bonheur. Un jour il décide de dire à son père ce qu'il pense de lui et de sa vie étriquée. Une fois qu'il lui aura dit sa façon de penser, il quittera cette maison et ira sur les routes chercher un autre bonheur !
Quand il a terminé d’exposer tous ses arguments et ressentiments, calmement son père lui répond : « Philippe, tu me parles sérieusement et avec sincérité. Alors moi aussi, je vais te répondre de la même façon. Cela te semble stupide et creux que je puisse être heureux en aimant simplement ta maman, mes enfants, mon travail. Tu me parles de musique, de drogue, des choses que je ne comprends pas trop... Mais ce que je comprends entre les lignes dans ton discours, c'est que tu cherches le bonheur. Alors, mon fils, fais ce que tu as sur le cœur, vas-y, cherche le bonheur et cherche-le jusqu'au bout. Ne t'arrête pas tant que tu ne l'auras pas réellement trouvé ».
Philippe est sans voix. Il n'avait jamais imaginé une telle réponse de la part de son père. Vraiment bredouille, il rentre dans sa chambre. Le départ fracassant qu'il avait imaginé est complètement raté, et se termine en queue de poisson.
A partir de ce moment-là, ne méprisant plus son père comme avant, il veut vraiment savoir pourquoi son père est si heureux. C'est alors que, doucement mais sûrement, il a pu découvrir l'amour d'un autre Père, son père céleste. Aujourd'hui il est responsable d'un groupe de jeunes dans une église évangélique. A la guitare électrique, il leur chante un chant composé par lui. Voici les paroles « On n'est pas superficiels, on est des Super fils du Ciel. » Original, oui, mais aussi très convaincant parce que vécu réellement !
#pere #parler #voix #revolter #jeune #heureux #famille #aimer #dieu # femme #enfant #vie #musique #hard #punk #denuder #intérêt #negatif #petit #maison #boulot #bonheur #penser #facon #vie #etrique #drogue #bonheur #chercher #poisson #chambre #evangelique #eglise #fils #histoire #365histoires
Jean-Louis Gaillard
www.365histoires.com
www.jlgaillard.fr
0 notes
greendaxcat · 11 months
Text
Apparence
Tumblr media
Un chien court et fort dont l'apparence reproduit des formes massives dans de petites tailles.  La première chose qui attire l'attention, ce sont les plis profonds de la peau sur le front large du carlin, sous lesquels des yeux ronds et sombres brillent d'un désir de lumière indescriptible.  Le pelage court et brillant qui recouvre le corps athlétique du bébé peut être teint en noir uni ou combiner un ton général beige (ou abricot) avec un masque noir sur le visage.  La queue lisse du chien se tord en un anneau serré, la partie arrière du corps se balance légèrement en marchant.
 Caractère et tempérament
 Les carlins ont un caractère amical et affectueux, grâce auquel ils s'habituent bien dans la famille.  Un bébé joueur appréciera passer du temps avec les enfants, et le plus grand bonheur pour lui sera une soirée en famille sur le canapé à côté de son maître.  Cet animal de compagnie très "domestique" demande beaucoup de caresses et d'attention, donc si vous arrêtez de caresser le carlin et lui laisser du temps, il peut avoir recours à la jalousie.  Le tempérament calme de ces chiens sociables et sympathiques en fait d'excellents compagnons même pour les propriétaires sédentaires.
0 notes
Text
Mesdames et messieurs, nous avons le plaisir de vous annoncer que nous avons survécu ! Et voici donc la narration de notre premier jour en terres sauvages :)
L'aventure commence bien : pendant qu'on se tourne les pouces à l'auberge en se disant que le tuktuk qui devait nous récupérer est en retard, un monsieur arrive et explique que ça fait 30 min qu'il attend dans la rue ! Oups. Il nous emmène quand même à l'agence avec le sourire, c'est agréable. Le responsable de l'agence nous attend avec notre guide anglophone, on est rassurées, il a l'air de parler correctement anglais ! Deux filles qui rentraient de trek nous ont raconté hier que leur guide parlait trois mots et que ça avait été impossible d'échanger vraiment, c'est tellement dommage …
On monte ensuite à l'arrière de deux motos, armées de nos sac à dos (qu'on ne pourra malheureusement pas poser à l'avant, les deux sont chargés comme des mules avec deux énormes paquets, l'un deux ayant un pack de 9L d'eau en équilibre par dessus), et c'est parti pour … 1h30 de route. Aouch. Après la première demi heure, on s'arrête dans un petit magasin où le guide nous achète un masque : on part ensuite sur les routes en terre. Je me dis intérieurement que ce n'est pas forcément nécessaire, on en a déjà fait des routes en terre et ça allait ! Erreur de débutante, heureusement qu'on les a mis … les routes en terre ocre soulèvent des nuages de poussière qui se déposent absolument sur tout, les vêtements, le visage (nos guides trichent, ils ont des visières ! On sera de notre côté marquées à vie, couvertes de terre au moindre interstice à découvert), même les arbres en bord de route changent de couleur. Le pire, c'est quand un camion passe : ils créent une mini tempête qui nous engloutit, un vrai bonheur! Nos vêtements et notre sac en sont aussi couverts, j'espère que ça partira au lavage !! Sakal, notre guide, nous explique en rigolant qu'il s'agit de la neige cambodgienne... On vous laisse juges !
Tumblr media
On longe les rizières à sec et les plantations d'arbres à cajou, où quelques rares fruits ( les genres de poires allant du vert au rouge en fonction de leur maturité. On en a goûté sur un marché et de nouveau pendant le trek, on n'est pas fans) trônent encore, c'est très joli.
Tumblr media
Après quelques pauses (nos guides ont visiblement aussi mal aux fesses que nous), on finit par arriver devant un petit gué qui ressemble bigrement à celui de Chi Phat! Au milieu de la rivière, un grand bateau tirant des filets est stationné, on nous explique qu'il récupère le sable charié par la rivière depuis le Vietnam : le renouvellement est constant, avec l'accord du gouvernement ce sable est revendu dans la région, surtout pour construire des maisons.
Tumblr media
On finit la route par une petite demi heure au milieu des villages de minorités, à faire coucou aux enfants qui nous regardent passer. On s'arrête pour acheter du vin de riz, la route ressemble de moins en moins à quelque chose (respect aux conducteurs, ils gèrent !), et soudain c'est un cul de sac, on est arrivées ! (Dans la cour d'une maison)
Entourées de cochons (l'un des bébés essaye d'ailleurs de manger la queue de la maman, qui n'apprecie pas du tout) et de poulets, on comprend avec sidération que les deux énorme sacs qui étaient posés à l'avant des motos sont donc de la nourriture : il y a 8kg de riz de prévu (on est 4, sur 4 jours hein), des pâtes, du pain, une quantité astronomique de légumes, un sachet de fruit… et de la viande crue (spoiler alert, c'était carrément trop, à part les fruits qu'on a finis en un jour et demi). Un instant de regret nous submerge quand on pense que la veille, on aurait pu répondre qu'on était végétariennes et éviter de manger de la viande restée pendant 3 jours dans un sac par 35°, puis la résignation s'installe, et on suppose que s'ils avaient des touristes malades à tour de bras, ils ne feraient pas ça … suspense jusqu'à la fin du séjour !
Tumblr media
Ayant donc récupéré notre guide local (Mr Cho, celui qui ne parle pas anglais mais connait la zone comme sa poche), nous fourons nos hamacs dans les sacs, nous debarbouillons pendant qu'ils se séparent la nourriture (et vu la quantité de terre qu'on étale sur nos masques, c'était nécessaire!), récupérons le pain, les bananes et 3L d'eau chacune, et c'est parti mon kiki !
On commence par traverser de longs champs desséchés, rizières abandonnées à cette période de l'année qui reprendront toute leur splendeur à la saison des pluies. On alterne entre rizières et vergers (beaucoup de cajou, quelques manguiers), et on nous explique qu'après le défrichage d'une nouvelle zone, on plante en même temps du riz et des arbres. La double culture se poursuit jusqu'à ce que les arbres aient trop grandi, après quoi on recommence dans une autre zone en conservant le verger : 1kg de cajous (encore dans leur coque verte, puisqu'ils n'ont pas les machines pour les décortiquer sur place et aucune envie de se brûler les mains sur le contenu acide, comme ce qui se fait en Inde) vaut environ 1,10$ (moins qu'il y a quelques années, où le kg était à 1,25$), alors que le riz, même de meilleure qualité, se vend au mieux à 75cents le kg.
Tumblr media
En ce qui concerne le riz, ils plantent différentes variétés, de normal (40cents le kg) à excellent : un meilleur riz demande plus d'intrants, il faut donc avoir les moyens de se payer les fertilisants.
Tumblr media
On passe également devant des termitières géantes, un des ennemis des plantations : s'ils s'attaquent normalement plutôt aux troncs morts, ils partent parfois à l'assaut de la chair tendre juste sous l'écorce, ce qui finit par les tuer. Il faut alors pulvériser un mélange chimique sur le tronc pour le sauver. Les termitières trop gênantes peuvent être brulées, mais elles servent aussi de nourriture aux poulets ou aux varans, les locaux ont donc l'air de les laisser plutôt tranquilles.
Tumblr media
En avançant, Sakal (notre guide anglophone non local) nous explique les utilisations de différentes plantes, de la plante mille pattes qui sert à traiter leur morsure venimeuse, à la plante en forme de pieds de boeuf utilisée pour fumer, en passant par la plante comestible (instant d'introspection avant de croquer dans une feuille rose, on se sent un peu entre la chèvre et la chenille. Verdict : c'est peut être comestible, mais contrairement au guide qui se régale, je n'irai pas jusqu'à dire bon ! C'est un peu aigre, mais ça passe).
Tumblr media
On passe soudain des champs à la forêt, la délimitation est très nette, et on se pose pour déjeuner. La pause est d'ailleurs looooooongue, et n'est que la première d'une longue lignée aujourd'hui. Visiblement, notre guide anglophone n'a pas l'habitude de marcher autant avec de poids sur le dos, d'autant plus que sa ceinture ventrale est cassée (parceque ce n'est pas un problème de dénivelé ou de distance, on ne marche pas vite et c'est tout plat) : on fait trois grandes pauses entre 13h et 14h10, ce qui nous agace honnêtement un peu. On se demande si on va un jour arriver à la cascade promise, et si on ne devra pas se dépêcher d'en partir à cause du temps perdu ici, je demande donc si on peut se remettre en marche (sans rien mentionner d'autre). Malgré mes pincettes (j'ai dit que je voulais partir à cause des mouches qui nous tournaient autour, ce qui est vrai aussi !), j'ai l'impression qu'il est un peu vexé (et désolé), et on repart cette fois au pas de course ! Notre guide local (en tête) vit sa vie tranquillement, on sent qu'il a l'habitude de faire bien pire pour le coup. Je récolte au passage une estafilade sur le mollet gauche, les bambous sont vraiment traîtres.
Note : on s'habituera vite à ce rythme finalement, c'était surtout qu'on ne s'y attendait pas
Tumblr media
On arrive enfin à notre très jolie cascade, où nous piquons une tête avec délectation… elle est certes bien fraîche, mais qu'est ce que ça fait du bien !! On retrouve sur place un autre groupe qui dormira visiblement ici, pour notre part nous repartons après une bonne heure à se tremper les pieds. (Et à tenter de se nettoyer de la poussière de ce matin, optimistes que nous sommes).
Tumblr media
Et comme je n'ai plus le droit de mettre de photos, vous aurez droit à un deuxième post tout à l'heure !
5 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media
SAINT-CLAUDE Marine Egraz
En juillet, à l'aide d'Etienne, en apprentissage à l'imprimerie, l'artiste Marine Egraz est venu imprimer sa nouvelle estampe en deux versions pour le plus grand bonheur de tous les sanclaudiens chauvins !
Marine a caché plein de choses à trouver!
Des lieux à Saint-Claude: La queue de Cheval, la roche Percée, la grotte Sainte-Anne, le Chapeau de Gendarme, la cathédrale, La fraternelle, le pont de Pierre, le terrain de rugby, le Grand pont, le kiosque du Truchet, l'Ébonite, le "château de la Poyat", l'ancienne usine Chacom et la rue de la Poyat. Des objets cachés dans Saint-Claude: une cocotte-minute, une pipe, un diamant et la canette de 8.6 de Mehdi. Des animaux: un lynx, un chat, un renard, un chamois, une vache, un héron, un drôle de poisson, 4 petits oiseaux, une poule et ses 6 poussins, une souris et un canard.
0 notes
raimeiha · 1 year
Text
Tumblr media
八重桜 アスナ - Yaezakura Asuna
Âge inconnu || 20 septembre Mesure 1 mètre 62
Shinigami || Shin'en Troisième siège de la huitième Division
Tumblr media
Il y a quelques centaines d'années, le clan Yaezakura a célébré l'arrivée d'une petite fille, une nouvelle descendante de la branche principale : Asuna.
Si la fête bâtait son plein pendant les premières heures de la soirée, elle a vite viré au cauchemar quand des hommes masqués sont venus les assassiner tous, un à un, laissant pour seule survivante le bébé âgé de quelques jours seulement.
Heureusement pour Asuna, elle a été adoptée par Kyōraku Shunsui et a ainsi pu connaître le bonheur de grandir entourée des bonnes personnes, en étant couvée, choyée, adorée. Elle n'a ni connu la solitude et la tristesse d'une orpheline banale, ni les bidonvilles de la Soul Society.
Quand elle a atteint un âge suffisant pour comprendre tout, son père adoptif lui a parlé de son clan et de ses parents biologiques. Il ne lui a jamais caché qu'il n'était pas son vrai père mais, malgré tout, elle continue à le considérer ainsi encore aujourd'hui.
Une fois adolescente, Asuna est entrée à l'Académie et a poursuivi ses études là-bas. Elle s'est rapidement démarquée des autres grâce à un talent apparemment commun autrefois chez les membres du clan Yaezakura.
Officiellement shinigami dès l'obtention de son diplôme, elle a rejoint la huitième Division et s'est liée d'amitié avec plusieurs membres. Elle a aussi gravi les échelons jusqu'à atteindre le troisième siège.
Intelligente et talentueuse, Asuna est souvent décrite par les autres comme étant aussi confiante et très sérieuse dans ses études ainsi que dans son travail. Apparemment, elle détesterait perdre.
Avec ses proches, c'est une véritable crème. Elle est plus douce, plus avenante... et dès qu'elle est un peu saoule, c'est une véritable machine affectueuse qui s'enclenche.
Elle est gourmande et apprécie découvrir de nouvelles saveurs. De ce fait, il lui arrive de visiter le monde des humains pour acheter une chose ou l'autre.
Asuna a l'apparence d'une demoiselle d'une trentaine d'années. Elle possède de longs cheveux bruns qui s'arrêtent dans le bas de son dos et des yeux verts.
Lorsqu'elle s'entraîne, elle attache ses cheveux en une queue de cheval haute et dissimule l'élastique sous un long ruban vermeil qui retombe sur ses épaules.
Elle porte, la plupart du temps, sa tenue standard de shinigami : le shihakushō. Il est composé d'un shitagi blanc, un kosode noir, un hakama noir également, un hakama blanc, un tabi blanc et un waraji.
Quand elle quitte son uniforme, elle porte des kimonos raffinés dans des tons qui se marient avec la couleur de ses cheveux et de ses yeux.
Elle a pour habitude de prendre le thé, seule ou accompagnée de son père adoptif. Elle aime aussi le saké, pour le plus grand plaisir de Kyoraku.
Tumblr media
× Experte au maniement de l'épée × Bonne tacticienne × Kidō × Hohō - Shunpo × Zanjutsu
• Zanpakutō :
× Son zanpakutō a pour nom « Shin'en », soit « Abysse » en japonais.
Il s'agit d'un tachi de soixante-dix centimètres, à la lame fine et dont la tsuka est de couleur bleu nuit.
C'est l'un des rares zanpakutō considéré comme utilisant les ténèbres.
× Tout comme les autres zanpakutō, Shin'en a une apparence physique.
C'est un grand homme qui a l'air d'avoir la trentaine. Il a des cheveux longs de couleur noir, des yeux bleus profonds et une peau très pâle, presque translucide.
Il est vêtu d'habits traditionnels japonais bleu nuit.
• Shikai :
× Sa commande de libération est « Zetsumese, Shin'en » (éteints-toi, Abysse).
× Une fois le shikai libéré, la lame du zanpakutō change. Elle devient noire et se courbe légèrement.
Le zanpakutō dégage une sorte d’épaisse vapeur noire qui va s'enrouler autour de la lame. Elle peut s'en séparer et changer d’état pour attaquer l'ennemi.
Le contact avec la vapeur entraîne une fatigue intense, comme si le corps était épuisé et souhaitait reprendre des forces.
→ Burrakuhoru (trou noir) : La vapeur se déploie et se concentre en une sphère solide qui va agir comme un petit satellite et envoyer des projectiles sur l'adversaire afin de le transpercer de toutes parts.
→ Ashikase (entraves) : La vapeur se détache de la lame et vole, tel un nuage de poussière, jusqu’à l'adversaire afin de se déposer sur ses membres. Il entrave ainsi ses mouvements en rendant les membre touchés endoloris, fatigués.
Il est possible de stopper la vapeur avec sa lame ou en la faisant entrer en contact avec un vêtement qui ne touche pas directement la peau.
→ Kenkou (reflet) : La vapeur pénètre dans la lame du tachi. En fendant l'air, des particules spirituelles fusionnent avec la vapeur qui va se dégager de la lame pour créer de fines lames bleu nuit. Celles-ci agissent comme des projectiles et sont plus rapides mais moins larges qu'un Getsuga Tenshō, par exemple.
Il est possible d'en préparer plusieurs avant de les envoyer sur l'ennemi.
→ Ori (cage) : La vapeur se détache du tachi et s'étend suffisamment pour pouvoir englober une personne et créer un épais brouillard autour d’elle.
Cette attaque peut être utilisée à la fois pour protéger quelqu'un, ou pour, à l'image d'une vierge de fer, torturer l'adversaire en le transperçant de toute part ou en se refermant de plus en plus jusqu'à le broyer.
• Bankai :
× Le nom de son bankai est « Okkanai Shin'en » (Abysses terrifiantes).
× Une fois le bankai libéré, la vapeur de la lame se déploie et englobe l'adversaire du détenteur du zanpakutō ainsi que ce dernier dans une sphère. Ils sont ainsi plongés dans les ténèbres et, comme s'ils étaient au fond d'un trou profond, l'air commencera à manquer au fur et à mesure que le temps passera.
S'il est habitué à son bankai, le détenteur peut être moins affecté par cela en ayant appris à contrôler son souffle pour économiser l'oxygène.
La vapeur laisse suffisamment passer la lumière pour que l'adversaire puisse distinguer le propriétaire du zanpakutō et inversément. Néanmoins, il reste beaucoup de zones d'ombre où on ne verrait pas plus loin que le bout de son nez. Le propriétaire de Shin'en peut s'en servir à son avantage en s'y dissimulant pour prendre son adversaire par surprise.
D'un œil externe, une sorte de boule d'épais brouillard noir compact est formée autour du détenteur et de son adversaire. Il est impossible d'y pénétrer sans en avoir l'autorisation. En effet, entrer en contact avec le brouillard revient à se faire aspirer une partie de son énergie.
→ Nageki (plaintes) : Des voix s'élèvent et se plaignent, de plus en plus fort. Elles semblent être torturées, être en plein cauchemar. Elles appellent à l'aide, interrogent l'adversaire sur leur sort.
C'est une illusion déstabilisante, perturbante et aussi terrifiante car elle amène l'adversaire à penser à des compagnons morts qui viendraient le tourmenter.
C'est aussi une parfaite diversion pour que le détenteur du zanpakutō puisse porter le premier coup ou un coup fatal. → Nitari (copie) : Une ombre se matérialise et prend la forme de l'adversaire. Elle imitera ses moindres faits et gestes, devenant ainsi son pire ennemi et une barrière difficilement franchissable.
L'ombre ne s'arrêtera pas avant d'avoir été soit épuisée, soit tuée l'adversaire. Elle peut néanmoins être prise par surprise et être détruite si une attaque en dehors de son champ de vision et de celui du propriétaire de Shin'en est lancée. → Akumu (cauchemars) : Une attaque en deux étapes sournoise que Asuna n'utilise qu'en cas de dernier recours.
La première consiste à faire apparaître des créatures difformes et horribles, semblables à des hollows, qui vont se jeter sur l'adversaire dans le but de le blesser, voire de l'annihiler.
Si elles le touchent, elles laissent une marque sur la partie du corps atteinte. Et si elles sont détruites, elles éclates et un liquide noir va éclabousser l'ennemi et le marquer également.
La seconde consiste à activer les marques laissées sur l'adversaire. Elles peuvent soit le transpercer sans faire de fioritures, soit recevoir la commande de le "dévorer".
Si elles ont l'ordre de le dévorer, les marques vont devenir de petits monstres semblables à des papillons qui vont dévorer, aspirer l'énergie de leur adversaire, jusqu'à être pleins.
Ces monstres peuvent être retirés mais ils essaieront aussitôt de revenir sur leur cible, à moins d'être détruits. Si l'adversaire n'agit pas suffisamment tôt, il sera épuisé et aura l'impression de s'être battu pendant des heures. Il sera ainsi à la merci du propriétaire de Shin'en.
Tumblr media
• Recherches :
- Coyote Stark → Une première rencontre dans le faux Karakura. Une survie impensable de l’Espada privé de l’autre moitié de lui, Lilynette, qui l’amène au sein de la Soul Society. Une relation d’abord hostile entre un prisonnier et son bourreau qui évoluerait en un interdit que personne n’aurait su prévoir.
- Muguruma Kensei → Un ami de longue date. Des retrouvailles après sa réadmission à la Soul Society. Des entraînements communs dans la bonne humeur, des petits rendez-vous entre amis aux yeux de tous qui s’enchaîneraient et qui pourraient bien les rapprocher...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes