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#régent de france
roehenstart · 1 year
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Caterina Maria Romula di Lorenzo de' Medici (known simply as Caterina de' Medici).
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Franz Xavier Winterhalter (German, 1805-1873) Louise-Marie Boquet de Saint-Simon (1818-1891), épouse de François Adolphe Akermann (1809-1890), financier, régent de la Banque de France (1859-1890), 1837
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rubberizer92 · 6 months
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🎉🌈 OBEY Season 14: A Colorful Spectacle in the Semi-Final! 🌈🎉
Get ready for a burst of vibrant energy as we dive into the semi-final of #OBEYSeason14! Our top 6 contestants are all set to dazzle you with their sexy and colorful rubber outfits, complete with artsy splashes of color and revealing cuts that will keep you highly aroused. It's a feast for the senses like no other!
Voting is your ticket to shaping the outcome. Every like, comment, share, and save on Instagram, Tumblr, and X (formerly known as Twitter) counts as a vote for your favorite contestant. The power is in your hands to decide who deserves a spot in the coveted Top 3! 🗳️🌟
Now, let's introduce our first contestant from the land of romance and style: France 🇫🇷. Get ready to be mesmerized by the sultry and colorful performance of Le Régent de Rubberbourg. Stay tuned for more breathtaking looks and make your voice heard in the world of #OBEYSeason14! 🇫🇷🌈📸
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lepartidelamort · 5 days
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Le château de Saint-Germain-en-Laye et le châtiment des juifs de Bray-sur-Seine
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Pour le grand public, la ville de Saint-Germain-en-Laye est le centre d’entraînement du PSG ou le lieu de la fête millénaire des Loges, avec ses attractions populaires.
« La fête des Loges c’est depuis 1138, à l’époque c’est Saint Louis qui a lancé la première... »
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Une fête très familiale à ne pas confondre avec la foire du Trône, cette rencontre annuelle de la racaille à la porte Dorée.
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Pour le petit public, plus cultivé, Saint-Germain est la ville du fameux château où se reposaient des rois de France, aujourd’hui remplacé par le fort de Brégançon et la Lanterne (à Versailles), où le couple du prince et de la régente, Brigitte 1er, fuient les caméras.
C’est aussi là que le fils de François Hollande, l’avocat antiraciste Thomas, recevait ses copines et ses copains pour des parties pas très fines. Aujourd’hui, enfin, depuis 150 ans, le château est devenu un musée d’archéologie nationale, après avoir été désossé de ses dépendances – vendues au plus offrant – lors de la Révolution. Fin de la parenthèse culturelle républicaine.
C’est sur Wikipédia, qui recèle des trésors à la fois involontaires et intacts, que Jean-Michel Vernochet a déniché une sacrée perle...
Philippe Auguste construit en pierre une tour logis et entoure le palatio d’un mur de fortification. « À son retour de croisade, le roi était venu se reposer à Saint-Germain-en-Laye de ses fatigues, et, le 18 mars 1192, il en partit précipitamment, à l’insu de ses courtisans, pour aller à Bray-sur-Seine pour faire bonne justice de quelques juifs qui avaient mis à mort un chrétien. » En effet, en 1191, un Juif avait été tué par un chrétien qui, selon le chroniqueur Guillaume Le Breton dans sa Vie poétique de Philippe-Auguste, se trouvait incapable de rendre avec intérêts l’argent qu’il avait emprunté. Agnès de Baudement, connue sous le nom de Comtesse de Braine, mère de Robert de Dreux, faisait sa résidence à Bray au mois de mars 1191 peu avant Pâques. Des commerçants juifs avaient obtenu d’elle, au moyen de remises commerciales considérables, qu’elle leur livre le prisonnier. Ils s’emparèrent de lui et le conduisirent sur une place, où, après l’avoir publiquement dépouillé ils lui avaient attaché les mains derrière le dos et mis une couronne d’épine. Les Juifs l’avaient ensuite conduit par tout le bourg en l’accablant de coups de fouet, afin d’impressionner les autres habitants, puis ils l’avaient pendu. Arrivé à Bray, le roi Philippe-Auguste fit placer des gardes aux portes, se saisit de tous les Juifs, et en retint quatre-vingts qu’il condamna à être brûlés sur la même place.
Pour les juifs, il s’agissait d’une rumeur
À l’époque médiévale, se trouvait tous les 20 kms une communauté juive ou un groupement de Juifs. Ce qui permettait à un commerçant de se rendre d’une ville à une autre dans une seule journée et de pouvoir rentrer chez lui pour le Chabbat. Entre la Champagne, la Brie et le Gâtinais, il est facile de repérer les toponymes juif tels « Rue des Juifs », « Rue de la Juiverie », et notamment à Provins, Bray-sur-Seine, Coulommiers, Brie-Comte-Robert, Sens, Melun, Ivry-sur-Seine, etc. (...) Au XIIe siècle, Bray-sur-Seine avait une importante communauté juive, y compris les rabbins tels que Jacob le Tossafiste, et R. Isaac. Plusieurs commentateurs sont nés dans cette ville, tels R. Matathia et Phineas, et il y avait aussi quelques Juifs très riches. En 1191, après le meurtre d’un Chrétien qui avait lui-même tué un Juif, la rumeur courut qu’il aurait été crucifié par ces derniers. Aussi, sur ordre du roi Philippe Auguste, une centaine de Juifs furent brûlés dans cette ville en représailles. D’autres Juifs, pour refus de baptême, se laissent égorger. Après le bannissement de 1306, les Juifs reçurent l’autorisation de retourner s’installer à Bray-sur-Seine. (kkl.fr)
Cette histoire, incroyable aujourd’hui, nous rappelle le bûcher des 200 Talmud à Paris, (le livre était accusé d’être un substitut à la Bible), ordonné en 1242 par Saint Louis (Louis IX). Le Talmud avait été déclaré « infâme » par le tribunal. Les rabbins qui avaient défendu l’ouvrage lors du procès se barrèrent ensuite en Palestine.
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Sept siècles, sept décennies et sept années plus tard (777 ans, d’après les calculs de Jovanovic), ce sera le grand incendie de Notre-Dame, soit le symbole de la chrétienté qui part en fumée.
Enfin, quatre ans après ce bûcher aux criminels fantômes, la Palestine est attaquée par les descendants de juifs d’Europe de l’est et du Maghreb, principalement, qui ont pris possession de ce pays arabe en 1948, suite à des tractations avec les autorités britanniques. Ces militaires qui assassinent des civils par milliers sont-ils influencés par le Talmud ? C’est toute la question.
E&R
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MARDI 2 AVRIL 2024 (Billet 3/3)
« LE JEU DE LA REINE » (2h)
Un film de Karim Aïnouz (un metteur en scène brésilien d’origine algérienne), avec Alicia Vikander, Jude Law…
« Il était une fois un roi malade et colérique qui régnait sur un royaume corrompu », les premières phrases du film, en forme d’incipit de conte, sont prononcées par une future Reine d’Angleterre, Élisabeth 1ère. Sa voix introduit un épisode de sa jeunesse auprès de son père, Henri VIII. Elle aurait tout aussi bien pu fredonner une comptine que les Anglais apprirent par la suite : « Divorcée, décapitée, décédée, divorcée, décapitée, vivante », moyen mnémotechnique de se souvenir du sort des six épouses du célèbre monarque.
Une fois n’est pas coutume, « Le Jeu de la Reine » s’intéresse à la dernière. La « vivante », Catherine Parr, qui assista son mari jusqu’à la mort de ce dernier en 1547. C’est en ressuscitant cette figure d’une épouse longtemps assimilée à la nurse d’un roi décrépit que le cinéaste Karim Aïnouz s’aventure sur les terres ripolinées du film en costumes. Et ça ne sent pas la naphtaline ! Malin, il transbahute la cour des Tudor dans le Devonshire.
À Londres, la peste fait des ravages et voilà ce beau monde investissant avec cage à perroquet, colliers en forme de chaînes et manteaux à épaulettes XXL, les moindres recoins d’un château qui semble fort mal chauffé dans son nuage de brume.
Catherine Parr (Alicia Vikander), Reine régente, est à la manœuvre pendant que son mari guerroie en France. Elle gère plutôt efficacement les affaires courantes (moues dédaigneuses des puissants du royaume) et fait réviser leurs leçons à ses beaux enfants, tous deux orphelins. Le jeune Édouard, (branche Seymour, mère décédée) futur héritier, et Elisabeth (branche Boleyn, mère décapitée) à qui elle enjoint d’aller plus loin que la traduction littérale des textes. Il s’agit de former une femme qui pense. La reine se rend aussi en catimini dans la forêt. Elle y rencontre la prédicatrice Anne Askew, une amie d’enfance impliquée dans la Réforme. L’expédition ne passe pas inaperçue auprès de ses opposants qui estiment qu’elle a un peu trop d’influence sur le roi vieillissant.
Justement, Henri VIII (Jude Law) affligé d’un ulcère à la jambe rentre plus tôt que prévu de la campagne de France. Branle-bas le combat au château, le stress se diffuse dans toutes les antichambres. « Je ne sais jamais ce qu’il va faire, ni ce qu’il pense », déclare la jeune Elisabeth, défaite. Jude Law, ogresque à souhait, tonne, éructe, joue au jeu du chat et à la souris avec sa femme qui esquive, tout à tour câline ou ferme.
Karim Aïnouz filme l’histoire en regardant par le trou de serrure, la confrontation du couple. Il introduit le thriller psychologique dans cette Angleterre filmée comme un tableau. Chacun avance ses pions : le mari retors et violent, l’épouse maligne et déterminée. Il est le feu, elle joue avec. Visage impassible mais cœur battant à tout rompre, Alicia Vikander affronte avec une belle audace un Jude Law aussi méconnaissable qu’inquiétant. Le roi est mort. Ouf ! Vivante.
(Source : « lefigaro.fr »)
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Nous avons beaucoup aimé ce film dont nous avions repoussé à 2 reprises le jour de la séance, suite à des conditions climatiques DÉ-TES-TABLES !
On ne peut pas dire qu’il ait fait meilleur lorsque nous y sommes allés, disons qu’il faisait juste un peu moins pire.
L’article ci-dessous dit très bien tout ce que nous avons particulièrement apprécié dans ce film, l’interprétation entre autres des 2 comédiens principaux (si vous ne le saviez pas, nous vous aurions mis au défi de reconnaître Jude Law, un des plus beaux acteurs de sa génération, dans le rôle d’Henri VIII) mais aussi tout le reste de la distribution. Les costumes, les décors… parfaits ! Quant à l’histoire, même si dès le début nous connaissons la fin (quoique…), l’angoisse qui s’installe au fur et à mesure de son développement est digne d’un thriller.
Nous avons donné tous les deux ❤️❤️❤️,5 sur 5 à ce film.
NB. Pour finir, nous vous mettons 2 liens à la fin de ce Billet, le premier concernant la sixième Reine, Catherine Parr et le second, Henri VIII. Si vous les ouvrez et les lisez aussi attentivement que nous l’avons fait, vous vous apercevrez très vite que l’autrice du livre dont s’est inspiré le film, Elizabeth Fremantle, s’est très largement éloignée de la vérité historique mais, par contre, est restée fidèle au sens principal de l’« action » de Catherine Parr sur son époque et sur l’avenir « spirituel » du Royaume d’Angleterre. Comme disait Alexandre Dumas : « Il est permis de violer l’histoire, à condition de lui faire un bel enfant ! »…
Les 2 liens en question :
Sous-estimée, la sixième et dernière femme d’Henri VIII façonna l’Angleterre | National Geographic
Henri VIII — Wikipédia (wikipedia.org)
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ousontlesfemmes · 2 months
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Marie Leszczynska (1703-1768)
Ou celle dont Evelyne Lever dit que si on ne parle pas d’elle, c’est parce qu’elle n’a rien fait de mal
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Marie Leszczynska est une figure oubliée de l’Histoire de France et je tiens à vous le dire de suite : les personnages historiques oubliés, c’est ma passion secrète ! Et en plus, Marie est polonaise et étant d’origine polonaise par ma mère (mes arrières arrières grands-parents ont fui le pays pour ne pas mourir de faim), je me dois donc doublement de vous évoquer Marie surnommée « Notre Bonne Reine » par le peuple français !
Notre chère Marie est née le 23 juin 1703 à Trebnitz, en basse Silésie, de Stanislas Leszczynski (1677-1766) et de Catherine Opalinska (1680-1747). Je vous entends me dire : « Mais Marina, c’est Marie Leszczynska alors pourquoi son père c’est Leszczynski ? » Oui, je vous entends de très très loin, j’ai une excellente ouïe. C’est parce qu’en polonais (et en russe aussi), on accorde les noms de famille.
Marie naît de Stanislas qui sera un éphémère roi de Pologne avant d’être chassé du pouvoir. D’ailleurs, pour l’anecdote, au moment de fuir, les servantes ont failli oublier la petite fille et ce n’est que parce qu’une domestique a vu un tas de linge bouger qu’elle a réalisé qu’on allait un petit peu laisser un bébé d’environ 1 an derrière alors que ses parents sont boutés hors de leur palais… Marie suit donc ses parents en exil. La famille finira par pouvoir s’installer en Alsace. Le 20 juin 1717, elle a le malheur de perdre sa sœur Anne, alors âgée de 18 ans, de maladie et son père en a été tellement affligé qu’il a demandé à sa cadette de ne pas mentionner l’aînée. Marie, en fille obéissante, la mentionnera si peu que son époux, Louis XV, découvre qu’elle n’est pas fille unique bien des années après le mariage !
Le mariage, parlons-en !
Si Marie épouse le roi Louis XV (1710-1774), ce n’est que par un concours de circonstances. Louis XV est le dernier héritier de Louis XIV (1638-1715) : en effet, le Roi Soleil a eu le malheur d’enterrer tous les enfants qu’il a eus avec Marie-Thérèse d’Autriche (qui était espagnole!), il a perdu presque tous ses petits-fils à l’exception de Philippe qui est devenu roi d’Espagne après la guerre de Succession d’Espagne, récupérant ainsi le trône de Tonton Charles II (1661-1700) mais perdant ainsi ses prétentions au trône de France, et parmi ses arrières petits-enfants, seul Louis a survécu… parce que sa nourrice, Madame de Ventadour, « Maman Ventadour » comme il l’a si joliment surnommée, a refusé de laisser le bébé de deux ans auprès de médecins qui ne font que des saignées et a soigné le garçonnet elle-même ! Alors, certes, si Louis meurt sans héritier, ça passe à la branche cousine des Bourbon, les Orléans, qui descend de Philippe de France (1640-1701), le frère de Louis XIV. D’ailleurs, le fils de Philippe, Philippe de France (non, je ne me trompe pas, il a vraiment appelé son fils comme lui), a été le Régent durant la minorité du roi.
Louis XV est déjà fiancé à la princesse espagnole Marie-Anne Victoire (1718-1781). Le souci, c’est qu’avec la différence d’âge, Louis est prêt à faire des enfants mais Marie-Anne, elle, bah… elle a genre sept ans. Et on ne peut pas attendre. Donc, on dresse une liste des princesses à marier en Europe puis on écrème. Celle-là est trop jeune, celle-là est trop vieille, celle-là est protestante et on n’a pas envie de s’emmerder avec une conversion, celle-là est anglaise beurk ! Oui, on se croirait sur Tinder. Comme quoi, on n’a rien inventé. Sauf qu’à force d’écrémer, sur la liste d’une centaine de noms, il n’en reste plus que deux… avec, notamment, Marie, qui n’est pas retenue de suite.
Et Marie, ils vont revenir sur sa candidature : elle est catholique donc pas besoin de la convertir. Elle a sept ans de plus que le roi donc elle est déjà fécondable. Elle a une bonne éducation. Et elle est plutôt jolie, et si les portraits laissés plus tard par Nattier sont fidèles, elle était en effet une jolie femme. Le seul souci, c’est sa parenté un peu faiblarde, surtout qu’il va falloir rehausser le statut du beau-père mais ça, ça peut se faire !
La Princesse Palatine écrit ceci concernant le choix de la fiancée : « J’avoue que pour le Roi, dont le sang était resté le seul pur en France, il est surprenant que l’on lui fasse faire une pareille mésalliance et épouser une simple demoiselle polonaise, car […] elle n’est pas davantage, et son père n’a été roi que vingt-quatre heures. » Tout cet épisode est repris dans le roman L’Echange des Princesses de Chantal Thomas, lequel a été adapté en film du même nom.
C’est donc par second choix que Marie épouse Louis XV le 15 août 1725 par proxy. Le mariage par proxy est une cérémonie durant laquelle on « épouse » son futur époux… sauf qu’il n’est pas physiquement présent. Le futur marié reste chez lui et c’est quelqu’un qui prend sa place et le représente. Les mariés ne se rencontrent réellement qu’une fois la dame arrivée dans son nouveau pays. Marie et Louis se rencontrent vraiment le 04 septembre 1725. Le roi est alors un adolescent de 15 ans avec tout ce qui en découle. Il tombe raide dingue de sa Polonaise ! Il se vantera de l’avoir honorée sept fois lors de la nuit de noces ! Vérité ou bien mensonge un peu gras, toujours est-il qu’il l’honorera très souvent puisqu’ils auront ensemble dix enfants et la première grossesse a été gémellaire ! Ce qui lui fera dire « On avait dit que je ne pouvais pas avoir d’enfant, eh bien j’ai fait coup double » ! Ensemble, ils ont eu :
Louise-Elisabeth (1727-1759), la seule fille du couple qui sera mariée. Sa fille Isabelle sera la première épouse de Joseph II, le frère de Marie-Antoinette. Son fils Ferdinand sera duc de Parme et épousera Marie-Amélie, la sœur de Marie-Antoinette (oui, encore!). Quant à Marie-Louise, elle sera reine d’Espagne et l’ancêtre de l’actuel roi Felipe VI ;
Anne-Henriette (1727-1752). Elle a un rôle assez important dans le téléfilm « Jeanne Poisson, marquise de Pompadour » ;
Marie-Louise (1728-1733) ;
Louis-Ferdinand (1729-1765) , père des futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X ;
Philippe-Louis (1730-1733) ;
Adélaïde (1732-1800). Son personnage sera assez présent dans les débuts du manga et de l’anime Lady Oscar ;
Victoire (1733-1799) Son personnage sera assez présent dans les débuts du manga et de l’anime Lady Oscar ;
Sophie (1734-1782). Son personnage sera assez présent dans les débuts du manga et de l’anime Lady Oscar ;
Thérèse-Félicité (1736-1744) ;
Louise-Marie (1737-1787). Elle deviendra nonne et priera tout le reste de sa vie pour le salut de l’âme de son père, libertin notoire.
Comme vous pouvez le constater, dix enfants en dix ans, ce qui fait que Marie dira un jour : « Eh quoi ! Toujours grosse, toujours couchée, toujours accouchée ! »
Au début, le mariage est assez heureux et Louis reste fidèle, ce qu’il faut souligner quand on sait son appétit sexuel et de qui il descend (Henri IV, le Vert Galant, ou bien le chaud du slip, à vous de voir!). Mais peu à peu, les maîtresses s’enchaînent , notamment quatre des cinq sœurs de Nesle (la fidélité!) et surtout l’iconique Madame de Pompadour (1721-1764). Les infidélités commencent alors que Marie refuse sa couche à Louis : apparemment, suite à une fausse couche, on dit carrément dit à la reine qu’un onzième enfant, ça la tuerait et comme elle n’a pas trop envie de mourir mais qu’elle est timide, elle ferme sa porte de sa chambre à son époux, sans lui dire pourquoi… Du coup, Louis, il va voir ailleurs. Ca et la différence d’âge qui se fait sentir : de sept ans son aînée, Marie fait vite mature et matrone quand lui, en bien, c’est un jeune adulte qui a envie de profiter des plaisirs de la vie, surtout que profiter l’aide à lutter contre sa tendance dépressive. Marie ferme les yeux sur les incartades de son mari, se consacre à ses enfants, notamment à son fils survivant qui est l’héritier au trône et dont elle souhaite mater le caractère un peu trop fort. Elle sera très proche de ses enfants et ses enfants lui seront loyaux. Adélaïde, notamment, pour défendre sa mère, appelle Madame de Pompadour « Madame Putain ».
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Sauf que vous vous doutez bien, une femme pareille dans le cloaque de vices de Versailles, ça détonne et donc, on se moque d’elle… sauf Madame de Pompadour qui enjoint le roi à passer plus de temps avec sa femme et qui met un point d’honneur à toujours la respecter ! Marie apprécie cela et les deux femmes ont une relation cordiale, presque amicale à la vérité, comme cela sera repris dans le téléfilm français « Jeanne Poisson, marquise de Pompadour », que j’ai déjà cité mais c’est parce qu’il est super bien fait ! Et puis merde, Charlotte de Turckheim dans le rôle de Marie, pardon du peu !
Sur le plan politique, Marie a peu d’influence sur le roi. Au début de leur mariage, elle a essayé mais s’y est tellement mal prise que dès lors, Louis l’a complètement écarté de ses réflexions. Il faut dire que Marie voulait aider le duc de Bourbon, lequel avait favorisé son mariage, n’écoutant pas en cela les objections de son père. Elle a convoqué son mari dans ses appartements afin de lui demander de conserver le ministère du Duc. Sauf que ça va à l’encontre de l’Etiquette et Louis, seize ans et qui n’aime pas le conflit, le prend un peu mal. Tant pis !
Marie s’efforce donc d’être une bonne reine : gentille, douce, pieuse, charitable… et cela fonctionne puisque le peuple la surnomme « Notre Bonne Reine ». Elle accomplit son devoir de représentation à la perfection et vit son autre vie tranquille, loin des ambitieux, entourée de sa famille et de ses amis.
Hélas, sa vie n’a pas été des plus heureuse : comme vous l’aurez vu, elle a eu à enterrer beaucoup de ses enfants, souvent dans l’enfance, d’autres adultes. La mort de son fils, en 1765, est un coup extrêmement rude pour elle comme pour Louis : le nouveau dauphin, le futur Louis XVI (1754-1793) n’a alors que onze ans. Puis, deux mois plus tard, c’est son père qui meurt d’une manière absolument effroyable : le peignoir de l’octogénaire prend feu à cause de sa cheminée et si on lui porte secours, il meurt de ses blessures des jours plus tard.
Marie meurt deux ans plus tard, le 24 juin 1768, le lendemain de son anniversaire, à l’âge de 65 ans. Louis sera profondément affecté par le décès de son épouse et s’il aura une dernière grande histoire d’amour avec Madame du Barry (1743-1793), il ne se remariera jamais et ce malgré les pressions du gouvernement. Elle laisse aux français le souvenir d’une personne qui s’est sincèrement souciée de leur sort.
Les punchlines de Marie : « Il vaut mieux écouter ceux qui nous crient de loin : Soulagez notre misère, que ceux qui nous disent à l’oreille : Augmentez notre fortune. » « C’est une chose sotte que d’être reine ! Pour peu que les troubles continuent, on nous dépouillera bientôt de cette incommodité. » (quand on sait que la Révolution arrive, on se demande si Marie n’est pas voyante) « Je n’ai pas besoin de robes quand les pauvres n’ont pas de chemises. » « La miséricorde des rois est de rendre la justice, mais la justice des reines est d’exercer la miséricorde. » À Louis XV, pour demander la grâce d’un déserteur. « Tout le bien d’une mère n’appartient-il pas à ses enfants ? » À son trésorier, qui jugeait ses aumônes excessives
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Marie, tu peux aller regarder ces sources :
Marie Leszczynska par Jacques Levron
La Reine et la Favorite, Marie Leszczynska, Madame de Pompadour d’Evelyne Lever
Marie Leszczyńska, épouse de Louis XV d’Anne Muratori-Philip
Les femmes de Louis XV DE CÉCILE BERLY
LOUIS XV ET MARIE LECZINSKA D’APRÈS DE NOUVEAUX DOCUMENTS DE PIERRE DE NOLHAC
Billet de Marina Ka Fai
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ltalaynareor · 2 months
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Édouard Ier (1239-1307)
Édouard Ier est né le 17 juin 1239 à Westminster, du roi Henri III et de sa reine Éléonore de Provence, surnommé Longshanks, ou longues-jambes en français, Hammer of the Scots, le Marteau des Ecossais est un roi extrêmement controversé. Il endossa au cours de sa vie plusieurs manteaux : prince, croisé, roi, administrateur, conquérant du Pays-de Galles et pendant un temps de l'Écosse, constructeur, régent, père et aussi mari.
Notons, même si c'est anecdotique, qu'il fut l'un des seuls rois à ne pas prendre de maîtresse. Il épousa en 1254, Éléonore de Castille, âgée de 13 ans, alors que lui en avait 15. Leur union donna naissance à environ 16 enfants, mais seulement 6 atteignirent l'âge adulte. Il perdit Éléonore à l'âge de 49 ans en 1290, soit après 36 ans de mariage.
Il épousa en seconde noce Marguerite de France, de 40 ans sa cadette. Le mariage est dit heureux et la jeune femme semble avoir de l'influence sur lui. Ils auront ensemble trois enfants, deux garçons et une fille qui décédera jeune, nommée Éléonore.
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dixvinsblog · 2 months
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Almanach Vermot 1951 : Les bons mots (de Voltaire, d'Adrien Hébrard et de Tristan Bernard)
 Voltaire au Duc d’Orléans Voltaire avait été enfermé à la Bastille par ordre du Duc d’Orléans, régent du royaume de France après la mort de Louis XIV. Il s’y trouvait encore lorsqu’on représenta sa tragédie  “Oedipe”. Le régent qui assistait à la représentation, goûta si fort la pièce qu’il fit rendre sur-le-champ la liberté au prisonnier. Voltaire se rendit aussitôt auprès du prince pour le…
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yespat49 · 5 months
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Jeanne de Navarre, duchesse de Bretagne & reine d’Angleterre.
Destin d’une grande reine méconnue : Jeanne de Navarre, duchesse de Bretagne & reine d’Angleterre. Auteur : Pierre Scordia Jeanne de Navarre (née à Pampelune en juillet 1370 – fille du roi de Navarre Charles le Mauvais et de Jeanne de France) troisième femme de Jean IV, mère de Jean V et d’Arthur de Richemont devient régente de Bretagne à la mort de son mari en 1399, elle se révèle fine…
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frmenu · 6 months
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Bistro Régent Menu Prix & Carte France Mis à jour pour 2023
🇫🇷 Découvrez notre toute nouvelle carte des prix chez Bistro Régent en France ! 🍽️ Nous sommes heureux de vous présenter notre menu avec des plats délicieux à des prix qui vous feront sourire. Chez Bistro Régent, nous nous engageons à vous offrir une expérience culinaire de qualité à des tarifs accessibles. 🍔 Savourez nos burgers gourmets, préparés avec soin, à partir de seulement XX€ ! 🥩 Dégustez nos succulentes grillades, à partir de seulement XX€ ! 🍝 Laissez-vous tenter par nos plats de pâtes, à partir de seulement XX€ ! Chez Bistro Régent, nous mettons l'accent sur la fraîcheur des ingrédients et la saveur de nos plats. Venez déguster une cuisine française authentique et délicieuse, sans casser la tirelire. Rejoignez-nous dès aujourd'hui pour une expérience gastronomique exceptionnelle ! 📍 Rendez-vous dans votre Bistro Régent local pour découvrir notre toute nouvelle carte des prix. Bon appétit ! 🍽️🇫🇷 #BistroRégent #MenuPrix #CuisineFrançaise #DélicieuxPlats Read the full article
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roehenstart · 11 months
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Anne of Austria, Queen of France.
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christophe76460 · 9 months
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BIOGRAPHIE DE JAN LASKI
Jan Łaski ou Jan de Łask, armoiries Korab, né à Łask en 1499 et mort le 8 janvier 1560 à Pińczów, est un humaniste, théologien et réformateur protestant polonais, commémoré au Monument de la Réforme à Genève. Neveu du primat de Pologne Jan Łaski, secrétaire du roi Zygmunt II Auguste, il a joué un rôle important dans les grands débats théologiques de son époque. Il a organisé des églises protestantes en Angleterre et en Frise orientale ainsi que l'église calviniste en Pologne. Bien qu'il ait vécu et œuvré pour l’essentiel en dehors de son pays, il a grandement contribué au développement de la langue et de la littérature littéraires polonaises ainsi qu'au développement de l'humanisme et des traditions démocratiques de la République des Deux Nations.
Jan Łaski naquit en 1499 à Łask, en Grande Pologne, dans une famille aristocratique polonaise qui jouait un grand rôle dans le pays. Son père Jarosław Łaski était voïvode de Sieradz, son oncle, Jan Łaski - archevêque de Gniezno, primat et chancelier de Pologne. En tant que troisième fils, Jan Łaski était destiné à une carrière ecclésiastique. Il fut ordonné prêtre en 1521. Son oncle qui avait financé ses études en Italie, nourrissait de grandes ambitions pour lui. Il lui procura des prébendes et le nomma, à quatorze ans, coadjuteur, chanoine de Cracovie et doyen de Gniezno, en attendant qu’il devint évêque. Le jeune Łaski exerçait en même temps de hautes fonctions dans l’administration du royaume.
En 1523, il accompagna son frère pour une mission diplomatique à Bâle et Paris. En France, il fut présenté à Marguerite de Valois et fut chargé de sa correspondance. Suivirent d’autres voyages dans l’Europe, cette fois sous l’autorité de l’église catholique qui le missionna pour lutter contre la réforme. Loin de ses objectifs, il rencontra Ulrich Zwingli et Érasme de Rotterdam. Il demeura six mois à la maison d’Érasme à Bâle, lieu de réunion de nombreux humanistes. En raison de la grande estime qu'il éprouvait pour ce jeune homme, Érasme, qui était déjà âgé, décida de vendre sa bibliothèque à Jan Łaski "en viager", c'est-à-dire à la condition qu'il n'en prenne possession qu’après sa mort et moyennant un paiement échelonné sur plusieurs années. Cette bibliothèque, augmentée des livres acquis par ailleurs par Jan Łaski , est conservée à Emden dans l'ancienne grande église, restaurée à cet effet entre 1992 et 1995.
En 1526, Jan Łaski rentra en Pologne où il accepta des postes de prestiges que lui offrait l’Église catholique et devint archidiacre de Varsovie, évêque de Vesprem puis secrétaire du prince de Transylvanie Jean Sigismond Zapolya.
En 1537, il rendit visite à Philippe Mélanchthon à Wittemberg, et se trouva dès lors entièrement acquis à la Réforme, rendant visite aux principaux leaders protestants en Suisse, en Allemagne et aux Pays-Bas. A Louvain, il épousa une femme de condition très modeste dont il eut plusieurs enfants.
En 1541, cet aristocrate promis aux honneurs et à l'épiscopat, il fut contraint par sa conscience à renoncer à cette dignité ecclésiastique, pour « servir, selon sa faiblesse, cette Église du Christ qu’il haïssait au temps de son ignorance et de son pharisaïsme. » A son retour en Pologne, il rompit publiquement avec l’Eglise catholique.
En 1543, il fut appelé par la régente de la Frise orientale, Anne d’Oldenbourg, comme surintendant de l'église. II passa une dizaine d’années en Frise orientale où il fit œuvre de réformateur, donnant une forte impulsion au calvinisme, notamment à Emden. Mais au bout de quelques années, sa position se trouva menacée du fait que l’Empereur souhaitait le retour au catholicisme de la Frise orientale. Dans cette perspective, répondant à l’appel de l’archevêque Thomas Cranmer, Jan Łaski se rendit à Londres en 1548, où il entra au contact avec l’entourage du jeune roi Edouard VI qui voulait réformer l’Eglise d’Angleterre.
En 1550, la régente dut se résoudre à se séparer de Jan Łaski. Il se rendit donc à Londres, où il devint prédicateur et surintendant des paroisses regroupant des réfugiés protestants originaires de France, d’Italie et des Pays-Bas. Cette expérience s’acheva à la mort de Edouard VI. La sanglante persécution des protestants par «la catholique» Marie Tudor montée sur le trône d'Angleterre en 1553 obligea Jan Łaski et sa communauté à prendre la fuite.
Il chercha à émigrer avec sa paroisse au Danemark mais ni dans ce pays, ni dans les ports allemands de la Baltique où ils se présentèrent, les réfugiés ne furent acceptés par les luthériens. Finalement, il trouva refuge à Emden puis à Francfort-sur-le-Main.
En 1556, il rentra en Pologne accueilli par le roi le roi Zygmunt II August dont il devint secrétaire. Il s'installa à Pińczów. Il créa l’Église Réformée polonaise et en fut le superviseur.
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rubberizer92 · 6 months
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Prepare to be captivated by a rubbery transformation in this special Halloween edition of the Top 12 in #OBEYSeason14. Our contestant, Le Régent de Rubberbourg from France 🇫🇷, has drawn inspiration from sexy rubber superheroes, creating a jaw-dropping ensemble that's equal parts alluring and heroic. 💪🦸‍♂️✨
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cabinetlevytahiti · 10 months
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super-caribe-suomi1012 · 11 months
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Coup de force.
2 juin 1216 : les Capétiens prennent le contrôle de l’Angleterre.
Depuis la bataille d’Hastings de 1066, des rois originaires du Regnum Francorum (Royaume des Francs) se succèdent sur le trône d’Angleterre.
Depuis cent cinquante ans, c’est toute la haute société anglaise qui s’en trouvent profondément remaniée.
Suite à la victoire de Guillaume le conquérant, l’élite saxonne est remplacée par les seigneurs originaires du Royaume des Francs et particulièrement de Normandie, de Bretagne, des Flandres.
Après près de cent ans de domination sans partage en Angleterre, la maison de Normandie cède le pas face à une nouvelle dynastie de rois.
Ces derniers sont toujours originaires de France : il s’agit des Plantagenêt, originaires du Maine-Anjou.
Plus ambitieux que la maison de Normandie, les Plantagenêt entendent constituer un véritable empire à cheval entre les îles britanniques et le continent.
La dynastie angevine entre alors en conflit direct avec les Capétiens, dépositaires de la couronne de France depuis près de deux cents ans.
Cherchant à déstabiliser les Plantagenêt, les Capétiens projettent plusieurs invasions de l’île.
Philippe Auguste coordonne une première tentative en 1213 depuis le comté de Flandres.
Dans l’estuaire de la Zwim, il réunit une énorme flotte d’invasion composée de 1 700 navires.
L’armada est tellement importante que le port flamand de Damme ne peut pas tous les accueillir.
Près de 400 navires français jettent alors l’ancre au large, leur équipage pose le pied à terre pour piller l’arrière-pays.
Guillaume de Longue-Epée est dépêché sur place pour le compte de Jean d’Angleterre.
Avec une flotte de 500 navires et 700 chevaliers, il s’empare des 400 navires français restés en large de Damme le 30 mai 1213.
Guillaume de Longue-Epée est toutefois contraint de se replier vers Angleterre le lendemain, lorsque la flotte française restée dans le port de Damme engage le combat.
La bataille de Damme de 1213 réduisant le contingent de navires français disponible, Philippe Auguste temporise son projet d’invasion de l’Angleterre.
Après avoir humilié les hommes de Jean d’Angleterre et d’Otton de Germanie à Bouvines en 1214, Philippe Auguste confie à son fils Louis (futur Louis VIII) le soin d’envahir l’Angleterre en 1215.
Ce dernier fait débarquer en éclaireur près de 400 chevaliers entre décembre 1215 et janvier 1216 en Angleterre afin de préparer l’invasion.
Après avoir retourné une partie de l’arrière-pays du comté de Kent contre Jean d’Angleterre, Louis de France débarque sur l’île de Thanet (Kent) en mai 1216.
L’île se rend aux 1 200 chevaliers français et leurs supplétifs anglais le 21 mai 1216, ouvrant la voie à l’invasion totale de l’Angleterre.
Louis de France et ses hommes parviennent à Londres le 2 juin 1216 où il se fait proclamer roi d’Angleterre sous le nom de Louis Ier, avec le soutien des grands seigneurs anglais en rupture de ban avec Jean d’Angleterre.
Les Capétiens garderont le contrôle du royaume d’Angleterre pendant près de deux ans.
Après la mort de Jean d’Angleterre le 19 octobre 1216, le régent désigné par les Plantagenêt, Guillaume le Maréchal, retourne un à un les seigneurs anglais contre les Capétiens.
Les barons finiront par se retourner contre Louis de France et le contraindront à renoncer au trône anglais à la suite des batailles de Lincoln (mai 1217) et de Sandwich (août 1217).
Si les Capétiens se retirent, la couronne d’Angleterre restera néanmoins entre les mains des Angevins pendant encore près de deux cents ans.
Illustration : Portrait de Louis VIII (1187-1226), dit le Lion, vers 1837, Henri Lehmann (1814-1882), Il est représenté tenant l'épée du sacre dite de Charlemagne. Châteaux de Versailles et de Trianon, Versailles, France.
Pour aller plus loin : Jules Viard, « Les Grandes Chroniques de France : publiées pour la Société de l'Histoire de France », Paris, Librairie ancienne Honoré Champion, 1932, en libre accès sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6548730j.r=.langFR
Pour une biographie récente sur Louis VIII : Flavien Dupuis, « le Lion de France, l’histoire épique du roi Louis VIII », éditions le Cerf, 2021.
807 ans de date à date, 2 juin 1216.
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Jacques-Bénigne Winslow
Type : Œuvre
Adresse : 15 rue de la Bûcherie, 75005 Paris, France
Date de pose : 1969
Texte : L'anatomiste Jacques-Bénigne Winslow, 1669-1760, né à Odense - Danemark, inaugura ici son amphithéâtre, 1745
Quelques précisions : Jacques-Bénigne Winslow (1669-1760) est un médecin français d'origine danoise. Après des études avortées de théologie, il se tourne vers la médecine et l'anatomie et entreprend ainsi un périple européen qui le mène notamment aux Pays-Bas et en France. Il devient docteur régent de la faculté de médecine de Paris en 1705 et entre à l'Académie royale des sciences, et fait construire un centre médical, considéré comme son "amphithéâtre", en réalité une salle de dissection.
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