Tumgik
#rénovation haussmann
berenicelefebvre · 11 months
Photo
Tumblr media
Library Living Room Paris Living room library - large, open-concept design with a light wood floor, beige walls, and no television
0 notes
dinahjane97 · 1 year
Photo
Tumblr media
Library - Living Room Example of a large, modern, open-concept living room with a light wood floor, beige walls, and no television.
1 note · View note
alicesbookshelf · 2 years
Photo
Tumblr media
Library Living Room
0 notes
nunc2020 · 8 months
Text
Un récit du désenchantement du monde, extase esthétique, l’abandon érotique
1981-1987 und 1857-1863
Révolution de l’espace urbain opérée par le baron de Haussmann et la littérature en procès: Gustave Flaubert et Charles Baudelaire. Enfin le scandale de l’Olympia et le révolution symbolique du champ visuel.
Le Grand Louvre, Opéra Bastille, arche de la Défense, Bibliothèque nationale, Parc de La Villette, Institut du monde arabe, ministère des finances à Bercy. Rénovation des musées, salles de concerts, écoles d’art, théâtres, cinémas, bibliothèques, prix unique aux livres.
0 notes
tynatunis · 2 years
Photo
Tumblr media
Paris Art Déco restauration Rénovation et décoration complète d'un appartement Haussmannien Avenue de Friedland par Xavier Lemoine, Architecte d'intérieur Cet appartement a fait l’objet d’une rénovation complète. L’idée était ici d’apporter tout le confort moderne à cet appartement de prestige, en conservant un maximum d’éléments décoratifs classiques typiques du style Haussmannien. Le côté classique est apporté par un nouveau parquet en pointe de Hongrie dans la pièce à vivre, de nouvelles corniches décoratives au plafond, et des cimaises murales. Quelques touches de couleurs et du mobilier plus contemporain viennent ponctuer la pièce de modernité pour créer un ensemble intemporel. Xavier Lemoine chose natural materials such as wood, marble and textiles, combined with warm colors for a cozy and warm atmosphere. The living room, the heart of the apartment, is also equipped with many unique pieces of furniture made to measure. Interior designer in Paris, Xavier Lemoine specializes in the renovation, decoration and fitting out of Haussmann-style apartments and houses #LiveArtfully #bytyna #helmutnewton #mamiyarz67 #georgesjouve #luisbarragan #donaldjudd #vincenzodecotiis #charlotteperriand #josephbeuys #josephdirand #axelvervoordt #parisiandesign#mediterraneandesign #jeanroyere #markrothko  #miesvanderrohe #pierrepaulin #ettoresottsass #jamesturrell #jeanprouvé #bottegaveneta #pierrechapo #midcenturydesign https://www.instagram.com/p/CpVOVIltc_q/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
zbib · 4 years
Photo
Tumblr media
  Au Moyen-âge, le carreau désigne le marché de plein air où les marchands déballent leurs friperies. Au début du XIIème siècle , les chevaliers de l'ordre des templiers de Jérusalem reçoivent en donation du roi les terres qui constituent l'enclos du temple. En 1788 la Rotonde du Temple est construite puis agrandi de 4 pavillons entièrement en charpente de bois, ce marché rencontre un grand succès. La ville dans le cadre de la rénovation urbaine voulue par Napoléon III et le préfet Haussmann (entre 1853 et 1870) décide de le remplacer par une structure métallique plus sure face aux fréquents incendies. Inauguré en 1863, sa façade monumentale s'ouvre sur la rue du temple, sur 23 000 m², les six pavillons de fer, de fonte et de verre peuvent accueillir plus de 2400 boutiques. en 1904, la première foire de Paris a lieu dans l'édifice mais quatre de ces six bâtiments sont détruits en 1905, sa configuration actuelle. Les années 1950 à 1970 voient les clients affluer, puis c'est le début du déclin jusqu'au au début des années 2000 ou il ne restait plus qu'une dizaine de marchands. En 1976 une pétition le sauve d'une destruction pour parking (ouf), en 1982, le bâtiment est inscrit au titre des monuments historiques. En 2007 l'agence Studio Milou Architecture remporte le concours de réaménagement du Carreau. Son inauguration a lieu en février 2014. Aujourd'hui, la pluridisciplinarité est une ligne éditoriale établie. Sport, arts vivants, concerts, salons, amateurs de spectacles, artistes et praticiens sont amenés à cohabiter ensemble dans l’enceinte du Carreau du Temple. #paris #architecture #carreaudutemple #sky #iloveparis (à Le Carreau du Temple) https://www.instagram.com/p/B_Sabz6pbRP/?igshid=14ipvriqeuk09
2 notes · View notes
jcarlosisla · 5 years
Photo
Tumblr media
Opéra national de Paris - Palais Garnier. Chef-d'oeuvre d'architecture théâtrale du XIXe siècle, le Palais Garnier, construit par Charles Garnier et inauguré en 1875, est la treizième salle d'opéra à Paris depuis la fondation de cette institution par Louis XIV en 1669. Sa construction fut décidée par Napoléon III dans le cadre des grands travaux de rénovation de la capitale menés à bien sous son ordre par le Baron Haussmann. Paris, France ➖ . . . #paris #france #paris_focus_on #architecture #parisianstyle #parismonamour #citytrip #vivreparis #pariscartepostale #parismaville #igersparis #citygrammers #parisianlife #parisjetaime #visitparis #parislovers #topparisphoto #topfrancephoto #topeuropephoto #hello_france #super_france #igersfrance #visitfrance #merveillesdefrance #parisjetaime #parismonamour #parigi #igersparis #opera #operagarnier (en Ópera Garnier) https://www.instagram.com/p/B20xDaUIfUd/?igshid=x9ks6ddt36rl
0 notes
appartonaute · 5 years
Photo
Tumblr media
🛠 D’Haussmann à nos jours : urbanisme et transformations de Paris 🛠 Rome ne s'est pas faite un jour... et Paris non plus ! Découvrez comment le Baron Haussmann a entièrement repensé la ville et ses avenues que vous parcourez encore aujourd'hui 😄 #Paris #Urbanisme #Histoire Do you know Paris? D’Haussmann à nos jours : urbanisme et transformations de Paris
Pour mieux comprendre le Paris “pré-haussmannien”, imaginez le tableau : au début du 19ème siècle et après des siècles d’évolutions organiques et désordonnées, la capitale ressemble encore à une ville du moyen-âge. Les rues, petites, tordues et malsaines, empêchent la circulation des gens et un entretien efficace. De vrais coupe-gorges qui éloignent les populations aisées du coeur de la ville. Peu lumineuse, Paris s’entasse sur elle-même, laissant ses rues pourrir et l’empêchant de se renouveler. Favorisant les mouvements populaires et handicapant les forces de l’ordre, cette ville d’un autre âge devient un fardeau même pour l’empereur de l’époque, Louis-Napoléon Bonaparte (dit Napoléon III).
  De 1846 à 1848, l’empereur demeure à Londres. La capitale anglaise s’est renouvelée avec la Révolution Industrielle. Assainie, elle ouvre parcs et grandes avenues et devient une référence de la ville moderne aux yeux du monde… et surtout de Napoléon III. Ce dernier, de retour à Paris en 1850, possède les pouvoirs nécessaires pour mettre son grand projet en place : moderniser Paris et empêcher d’autres révolutions en repensant la ville. Pour cela, il choisit le Baron Haussmann qui possède le pragmatisme d’un architecte, la vision d’un urbaniste et les fonds financiers nécessaires, mis à disposition par l’empereur et ses ministres.
  Il faut savoir qu’avec les travaux, le Baron Haussmann a modifié entre 60 et 70% de Paris. Après une expropriation massive, il fait détruire quelques 20 000 maisons pour en reconstruire plus de 40 000 au cours des 20 ans qui suivent. Ces nouvelles habitations respectent et étendent les nouvelles règles voulues par l’empereur Louis-Bonaparte :
• Chaque grand axe de Paris doit aboutir sur une voie de chemin de fer
• La hauteur des maisons doit toujours être égale à la largeur de la rue et ne jamais y être supérieure (soit une hauteur généralement entre 12 et 20 mètres de haut)
• Les tracés des grandes rues doivent mettre en avant les monuments et belles maisons parisiennes par des perspectives lisibles, ponctuées par les monuments parisiens, nouveaux repères de la ville
    A ces règles, Haussmann appose son regard d’urbaniste. Comme nous l’avions vu avec les façades, il s’agit de prolonger l’alignement des façades d’un bâtiment à l’autre, sans saillie, ni retrait. Que ce soit par les balcons/corniches, les toits et la pierre, tout est fait pour créer des perspectives claires et des lignes horizontales fortes qui les soulignent et de permettre à la ville de respirer par ces grandes avenues. Cette homogénéité passe par l’utilisation de la pierre de taille dans chaque construction et son nettoyage tous les 10 ans pour maintenir une esthétique convenable et l’entretenir. La rénovation de la capitale a bien entendu d’autres conséquences : la hausse des loyers écarte les populations les plus pauvres du centre-ville.
  Les nouvelles rues sont aussi une part importante du chantier : 175 kilomètres de voiries sont posées et plus de 600 kilomètres d’égouts se chargent d’assainir la ville. En effet, la révision des circuits d’eau, de gaz, d’égouts, et bientôt du métro en 1900, permettent une évolution souple et adaptée de ces énergies et évacuations. Cet aménagement, en plus de la construction des immeubles, permet de revoir l’accessibilité des quartiers : énormément de services s’installent dans un cercle proche, facilitant ainsi la vie de quartier. Paris devient une ville qui favorise le parcours piéton. Malgré la densité très importante de Paris (3 fois plus qu’Hong Kong et 4 fois plus qu’à Londres), le volume des immeubles étant exposé à la lumière et à l’air s’approche des 100% contre 70% dans les tours créées de nos jours. Une autre prouesse rendue possible grâce à la façon de constituer les quartiers comme des alvéoles et un système de mitoyenneté continue.
  « Ouverture du boulevard de l’Opéra-Comique. Achévement du boulevard Haussmann » – Paris, 19ème siècle – BNF
  Si les normes et règles peuvent sembler strictes, elles ont permit de faire émerger le Paris que nous connaissons aujourd’hui : moderne, agile, sain et lumineux. L’espace public gagne aussi en lisibilité et en accessibilité. Les parisiens se réapproprient les parcs et le mobilier urbain de la ville, allant volontiers d’un point à l’autre à pied. A compter de cette époque, Paris fait partie des villes européennes où l’on marche le plus. C’est la conséquence directe d’un travail sur la densité de la ville en alternant les pleins et les vides, permettant une diversité visuelle et une circulation renouvelée.
Dans le prochain épisode, nous vous parlerons de ce mobilier urbain si distinctif qui fait la richesse et l’identité des rues de Paris au même titre que les façades haussmanniennes. C’est aussi par ce mobilier et par l’assouplissement du catalogue architectural et des règles d’urbanisme que la créativité s’exprime et que l’Art Nouveau fleurit les rues de Paris.
Lire l’épisode précédent : Les immeubles haussmanniens
https://www.appartonaute.com/histoire-paris-immeuble-haussmann-urbanisme-ville-espace/
0 notes
decoro360 · 6 years
Photo
Tumblr media
Verrière Cuisine : Eva et Grégoire. Rénovation d’un appartement de 100m2 à Paris 17ème. Design Charlotte Féquet. Crédits photos Anthony Delanoix. #design #architecturedinterieur #renovation #haussmann #paris #verriere #deco #charlotte_fequet http://bit.ly/2HpZiLz
0 notes
opticien2-0 · 5 years
Text
Les Galeries Lafayette réinventent la maison
Inauguré il y a vingt-deux ans, le Lafayette Maison, boulevard Haussmann à Paris, se refait une beauté sur trois étages et 3700 m2. Le meuble et la déco reviennent en force, à l’aide de 50 nouvelles marques. 
Après le Printemps il y a un an, c’est au tour des Galeries Lafayette de refaire leur espace maison. Situés au-dessus du Lafayette Gourmet, qui attire beaucoup de Parisiens, selon Alexandre Liot, le directeur général du navire amiral, les trois étages dévolus à la décoration avaient vieilli. »Nous n’avions plus l’offre qu’il fallait en décoration et en mobilier, commente celui qui préside désormais à l’avenir des magasins emblématiques du groupe.
Nous avons cassé les cloisons, rouvert les fenêtres qui étaient obstruées et fait rentrer 50 nouvelles marques ». Objectif : séduire à nouveau la clientèle parisienne à qui s’adresse ce nouveau magasin. 
Du meuble et de la déco
Parmi les nouveaux entrants, des marques très connues, comme Conran Shop qui a désormais son corner rive droite, mais aussi Cinna pour le mobilier haut de gamme, AMPM, qui appartient au même groupe depuis que les Galeries ont pris 51% de la Redoute, Yellow Corner, What the flower pour le végétal… Au total, les 3700 m2 présentent 190 marques. Les luminaires font leur retour pendant que d’autres familles, comme le linge de lit, ont vu leur superficie considérablement réduite. « Nous avons voulu éviter le côté une marque, un stand, en créant des galeries, qui permettent aussi d’avoir une présentation plus aérée », explique Amandine de Souza, à la tête du BHV et de l’espace maison pour les Galeries Lafayette.
Galerie des senteurs pour les bougies, galerie des grandes tables pour la vaisselle, galerie Héritage pour les articles culinaires, et un espace éphémère réservé à un invité qui change tous les mois et demi. En ce moment, Casa Lopez. 
Galop d’essai
La décision a été prise en novembre, le chantier a duré à peine six mois. « Il fallait aller vite, précise Alexandre Liot, dont la carrière est aussi fulgurante. Au rez-de-chaussée, le Lafayette Gourmet fonctionne très bien, avec une croissance à deux chiffres. Il y avait une dichotomie entre les deux ».
Sans préciser l’objectif de chiffre d’affaires pour la maison, on apprend que ce secteur est en-dessous de la norme fixée aux Galeries. L’investissement financier a été limité à 3 millions d’euros. En revanche, cela permet de s’entraîner avant la rénovation complète qui va concerner les autres magasins d’Haussmann et qui durera, elle, quatre années.
Les chiffres
3700 m2
190 marques, dont 50 nouvelles
3 millions d’euros d’investissement
Source : LSA Par : Magali Picard
from We are commerce addicted https://ift.tt/2RVagKG via IFTTT
0 notes
nimda47 · 6 years
Text
Le Boulevard de la République à Agen
https://wp.me/p6o0oD-1wUz Le Boulevard de la république à Agen, situé entre la place du 14 juillet à l'est et la place Jasmin à l'ouest , relie ainsi les anciennes porte du Pin (place du Pin actuellement)et Saint Antoine (Place Jasmin aujourd'hui). Le projet émis en 1880 par le Maire Jean Baptiste Durand, doit permettre de modifier le trajet dans la ville de la route nationale 127 qui serpente dans Agen au départ de la porte du Pin puis prend successivement la rue du Pin, la rue des Arènes (actuellement rue Emile Sentini) puis la rue Molinier, la rue du Marché, la rue Garonne, et enfin la rue Saint Antoine (actuellement rue Voltaire) pour arriver à la porte saint Antoine. Une fois percé le grand Boulevard doit emprunter la rue du Pin jusqu'à la rue des arènes, puis après une courbe à gauche se dirige en droite ligne jusqu'à la future place Jasmin, ce qui entraine la démolition de la porte Saint Antoine en 1883. Il en est de même pour le réaménagement du Quartier des Cornières. Ce tracé est choisi parmi 5 propositions car il est moins cher et aussi pour des raison politiques puisque la courbe de la place des carmes, actuellement place Castex, et permet d'exproprier l'immeuble de Félix Aunnac, banquier et conseiller général, s'opposant à la municipalité Radicale socialiste élue en 1880. Le Nouveau Boulevard a 16 m de large et 800 m de long et le nom de Boulevard de la république lui est donné. Ce nouveau Boulevard est inspiré de l'œuvre du baron Haussmann, ancien Sous préfet de Nérac (1832 - 1840), qui sous Napoléon III transforme et révolutionne le paysage urbain de Paris pendant près de dix-huit ans, entre 1853 et 1870. Si le Boulevard de la République d'Agen est inauguré le 26 mai 1886 sous la présidence du ministre de l'Agriculture M Develle, les immeubles en construction ou en restauration seront terminés en 1900. La création du boulevard, , permet la construction d'immeubles commerciaux , de nouveaux grands magasins comme les Grandes Galeries Modernes, les Nouvelles Galeries Billières, la Banque de France...très vite devenu la fierté de tous les agenais. Le Boulevard de la république est le début de la transformation d'Agen, ville réputée, sale, malodorante et insalubre, en une ville moderne qui répond aux besoins démographiques, économiques et d'hygiène indispensables pour contrôler l'urbanisation et le développement de la cité. Au XXIeme siècle le projet Agen Cœur Battant propose un calendrier détaillé des travaux jusqu'en 2016 pour la piétonnisation du boulevard de la république. La première tranche des travaux commence en février 2011 avec la rénovation de la partie des 4 boulevards jusqu'à la place des Laitiers dure 10 mois avec l'inauguration le 1 décembre 2011. En juillet 2016 les travaux de la partie des 4 boulevards jusqu'à la place du Pin se terminent en février 2017. La transformation du boulevard de la république à Agen symbolise le renouveau du centre-ville et cette portion du boulevard piéton ressemble au boulevard du début du XXème siècle où. l'absence de voitures favorise la convivialité et met en valeur le patrimoine immobilier construit à cette époque.
0 notes
renovandlove · 6 years
Text
Points importants de Paris
Aujourd'hui, les nombreux boulevards, bâtiments anciens, monuments, jardins, places et ponts de Paris composent l'un des plus grands paysages urbains du monde. Une grande partie du centre de Paris a été désignée site du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1991. renovandlove.com/paris/ L'Ile de la Cité Située en Seine au centre de Paris, l'île de la Cité en forme de navire est le cœur historique de la ville. Il s'agit d'environ 10 rues de long et 5 de large. Huit ponts le relient aux rives de la rivière et un neuvième mène à l'île Saint-Louis, la plus petite île située au sud-est. Pont neuf Le pont le plus à l'ouest est le Pont Neuf, construit de 1578 à 1604. Malgré son nom, c'est le plus ancien des ponts de Paris (d'autres l'ont précédé mais ont été reconstruits). Sa robustesse est devenue axiomatique : Les Parisiens disent encore que quelque chose est "solide comme le Pont Neuf". Le pont, soutenu au milieu par la pointe de l'île, s'étend sur cinq arches jusqu'à la rive gauche et sept à droite. Les corbeaux de parapet sont décorés de plus de 250 masques grotesques différents. Le parapet s'incurve vers l'eau à chaque jetée de pont, formant des baies en demi-lune le long de ce qui fut le premier trottoir de Paris ; dans ces baies, des vendeurs de rue s'installent. Pendant 200 ans, ce pont a été la rue principale et la foire perpétuelle de Paris. Bien que la structure subisse des réparations régulières, le pont Neuf principal tel qu'il existe aujourd'hui est le pont d'origine. Statue Henri IV En aval et juste en dessous du pont, la pointe de l'île de la Cité est transformée en un parc triangulaire en gravier, bordé de buissons fleuris, avec des bancs sous les arbres anciens. Il est entouré d'un large quai pavé qui est particulièrement populaire auprès des amateurs de bronzage et des amoureux. Là où les marches mènent au pont depuis le parc, il y a une statue équestre en bronze du roi Henri IV, qui a insisté sur l'achèvement du Pont Neuf. La statue est une reproduction en 1818 de l'original de 1614, qui fut la première statue à se tenir sur une voie publique à Paris. Place Dauphine En face se trouve l'entrée étroite de la place Dauphine (1607), du nom de l'héritier d'Henry (le dauphin), le futur Louis XIII. L'endroit était autrefois un triangle de maisons uniformes en briques rouges pointées en pierre blanche, mais la rangée de maisons le long de sa base a été arrachée en 1871 pour faire place à la construction d'une partie du Palais de Justice (Palais de Justice). Palais de Justice et Conciergerie Le palais du premier gouverneur romain (aujourd'hui Palais de justice) a été reconstruit sur le même site par le roi Louis IX (Saint-Louis) au XIIIe siècle et agrandi 100 ans plus tard par Philippe IV (la Foire), qui y a ajouté la sombre Conciergerie grise, avec ses impressionnantes chambres gothiques. La Grande Salle (Grande Chambre), qui, sous les rois, était le lieu de rencontre du Parlement (la haute cour de justice), était connue dans toute l'Europe pour sa beauté gothique. Les incendies de 1618 et 1871 ont toutefois détruit une grande partie de la pièce d'origine, et la majeure partie du reste du palais a été dévastée par les flammes en 1776. La Grande Salle sert maintenant de salle d'attente pour les différentes cours de justice logées dans le Palais de Justice. Dans la première Chambre civile voisine, le Tribunal révolutionnaire siégeait à partir de 1793, condamnant quelque 2 600 personnes à la guillotine. Après avoir été condamnés, les victimes ont été ramenées dans les escaliers de pierre jusqu'aux cachots de la Conciergerie pour attendre les tumulus, les charrettes qui les transportaient jusqu'au lieu d'exécution. La Conciergerie est toujours debout et est ouverte aux visiteurs. Sainte chapelle Dans les cours du palais se trouve l'un des plus grands monuments de France, la Sainte-Chapelle (XIIIe siècle). Construit sous la direction de Louis IX entre 1243 et 1248, c'est un chef-d'œuvre de style gothique rayonnant. Avec beaucoup d'audace, l'architecte (peut-être Pierre de Montreuil) a posé ses voûtes sur un treillis de colonnes élancées, les murs entre les deux étant faits de vitraux. La chapelle exquise a été conçue pour contenir la couronne d'épines, que l'on croit être celle que Jésus portait lors de sa crucifixion. Louis IX avait acheté la relique des Vénitiens, qui la tenait en gage de Baldwin II Porphyrogenitus, empereur latin de Constantinople (aujourd'hui Istanbul). D'autres reliques sacrées, comme des clous et des morceaux de bois de la Vraie Croix, ont été ajoutées à la collection de la chapelle, dont les restes se trouvent maintenant dans le trésor de Notre-Dame. Sous le roi Louis-Philippe, l'assainissement de l'île a commencé au XIXe siècle et s'est poursuivi pour son successeur, Napoléon III, par le baron Haussmann. Le projet comprenait un nettoyage en masse des structures vétustes, l'élargissement des rues et des places, et l'érection de nouveaux bureaux gouvernementaux massifs, y compris des parties du Palais de Justice. La partie du palais qui borde le quai des Orfèvres - anciennement le quai des orfèvres et des orfèvres - devient le siège de la Police Judiciaire (Police Judiciaire). Préfecture de Police De l'autre côté du boulevard du Palais se trouve la Préfecture de Police, une autre structure du XIXe siècle. De l'autre côté de la préfecture se trouve la place du Parvis-Notre-Dame, un espace ouvert agrandi six fois par Haussmann, qui a également déplacé l'Hôtel-Dieu, le premier hôpital de Paris, du bord de la rivière vers l'intérieur de la place. Ses bâtiments actuels datent de 1868. Notre Dame de Paris A l'extrémité est de l'île de la Cité se trouve la cathédrale Notre-Dame de Paris, située à un endroit que les Parisiens ont toujours réservé à la pratique des rites religieux. Les bateliers gallo-romains de la cité y érigèrent leur autel à Jupiter (il se trouve maintenant dans le Musée du Moyen Âge de la ville), et, lorsque le christianisme fut établi, une église fut construite sur le site du temple. Le premier évêque réputé de Paris, saint Denis, en devint le saint patron. Le rouge aux couleurs de Paris représente le sang de ce martyr qui, dans la légende populaire, après décapitation, ramasse sa tête et marche. https://www.google.com/maps/place/Renov%26Love+-+R%C3%A9novation+d'appartement/@48.844495,2.3003613,17z/data=!3m1!4b1!4m5!3m4!1s0x0:0x479f5c1f0c0cac3d!8m2!3d48.844495!4d2.30255?hl=fr Lorsque Maurice de Sully devient évêque en 1159, il décide de remplacer la cathédrale décrépie de Saint-Étienne et Notre-Dame du VIe siècle par une église de style gothique. Le style a été conçu en France, et un nouveau développement structurel, le contrefort volant, qui ajoutait à la beauté de l'extérieur et permettait aux colonnes intérieures de s'élever à de nouveaux sommets, a été introduit dans le bâtiment de Notre-Dame. La construction a commencé en 1163 et s'est poursuivie jusqu'en 1345. Après avoir été endommagée pendant la Révolution française, l'église a été vendue aux enchères à un marchand de matériaux de construction. Napoléon Ier est arrivé au pouvoir à temps pour annuler la vente, et il a ordonné que l'édifice soit redécoré pour son couronnement comme empereur en 1804. Le roi Louis-Philippe entreprit plus tard la restauration de l'église négligée. L'architecte Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc a travaillé de 1845 à 1864 pour restaurer le monument. Comme toutes les cathédrales de France, Notre-Dame est la propriété de l'État, bien que son fonctionnement en tant qu'institution religieuse soit entièrement laissé à l'Église catholique romaine. Quelques bâtiments des XVIe et XVIIe siècles survivent au nord de la cathédrale. Ce sont les vestiges du cloître du chapitre de la cathédrale, dont l'école était célèbre bien avant la construction de la nouvelle cathédrale. Au début du XIIe siècle, un de ses théologiens, Peter Abelard, quitta le cloître avec ses disciples, traversa la rive gauche et fonda une école indépendante en plein air dans le couvent du Paraclet près de l'actuelle place Maubert. Après une lutte prolongée avec les moines de Saint-Denis, les disciples d'Abelard en 1200 ont obtenu du roi et du pape le droit de former et de gouverner leur propre communauté. Ce fut le début de l'Université de Paris. Ile saint Louis En 1627, Louis XIII accorde un bail de 60 ans sur deux bancs de boue derrière l'île de la Cité à un entrepreneur, Christophe Marie, et deux financiers. Il fallut attendre 37 ans avant que Marie puisse unir les îlots, endiguer la circonférence, aménager une avenue centrale avec 10 rues latérales et louer de l'espace aux propriétaires. L'église Saint-Louis-en-l'Île a été commencée la même année, 1664, mais l'une des plus belles maisons de Louis Le Vau a été achevée dès 1640. Hotel de Lauzun Un autre, l'Hôtel de Lauzun, à quelques mètres en amont du Quai d'Anjou, fut achevé en 1657. Le pont Marie vers la rive droite, qui a été achevé dans le cadre du contrat, est la travée d'origine, bien qu'elle ait été modifiée pour la circulation moderne. L'île Saint-Louis constitue un quartier tranquille au centre de la ville animée. Le Louvre Sur la rive droite, juste au nord de la pointe ouest de l'île de la Cité, se dresse le Louvre, l'un des plus grands palais du monde. Bien qu'elle n'ait été achevée qu'en 1852, son origine remonte au Moyen Âge. Les Vikings campèrent sur le site pendant leur siège de Paris en 885, sans succès, et vers 1200 le roi Philippe II fit construire un château carré de croisés sur le même site, juste à l'extérieur de la nouvelle muraille de la ville, pour renforcer les défenses occidentales. Au cours des siècles suivants, de nombreux ajouts et rénovations ont été faits, et du château s'est développé le palais actuel. De la place d'origine, connue sous le nom de Cour Carrée, deux galeries s'étendent vers l'ouest sur environ 1 640 pieds (500 mètres), l'une le long de la rivière et l'autre le long de la rue de Rivoli. En 1871, 19 ans seulement après l'achèvement de l'immense oblong, sa face ouest, le Palais des Tuileries (commencé en 1563), a été détruit par les insurgés de la Commune de Paris. Deux des façades de la Cour Carrée ont eu une forte influence sur l'architecture française. Pierre Lescot a commencé la façade de sa cour intérieure en 1546, en adaptant les rythmes et les ordres de la Renaissance qu'il avait observés en Italie et en ajoutant une décoration purement française aux motifs classiques. Le médecin et architecte Claude Perrault a collaboré avec Louis Le Vau, architecte du roi, pour dessiner la face extérieure est du palais en 1673. Il utilise également des éléments classiques, en particulier l'utilisation gracieuse de colonnes couplées et d'un fronton. Le musée du Louvre occupe les quatre côtés du palais autour de la Cour Carrée ainsi que des parties des deux galeries. Parmi les trésors du musée se trouvent la Victoire de Samothrace, la Vénus de Milo et la Joconde. Les énormes collections contiennent des œuvres s'étendant sur au moins 26 siècles, avec une énorme diffusion culturelle et géographique. La galerie nord, le long de la rue de Rivoli, abrite un musée séparé, le Musée des Arts Décoratifs, ainsi que le ministère des Finances. De vastes travaux de rénovation ont été entrepris dans tout le Louvre afin d'augmenter l'espace pour les œuvres d'art. La construction dans les années 1980 a créé une nouvelle entrée principale et un hall d'accueil souterrain dans la vaste cour Napoléon, entre les deux galeries ; la grande pyramide de verre conçue par I.M. Pei pour couvrir l'entrée a suscité à la fois un fort soutien et des critiques vives. Axe Historique de Paris Au nord-ouest de l'Arc de Triomphe du Carrousel, situé dans la cour entre les bras ouverts du Louvre, s'étend l'une des perspectives les plus remarquables de toute ville moderne. On l'appelle parfois la Voie Triomphale. Du milieu de l'arche du Carrousel, la ligne de vue s'étend le long des Jardins des Tuileries, s'aligne sur l'obélisque de la Place de la Concorde et remonte l'avenue des Champs-Élysées jusqu'au centre du célèbre Arc de Triomphe de la ville et au-delà jusqu'aux gratte-ciel de La Défense, dans la banlieue ouest. Arc du Caroussel Le modeste arc de triomphe du Louvre, achevé en 1808, se dresse dans l'espace ouvert où des nobles costumés se sont produits dans une exposition équestre - carrousel - pour célébrer la naissance du dauphin (héritier du trône) en 1662. Le dessin de l'arc, imitation de celui de l'Arc de Septime Sévère à Rome, a été conçu par Charles Percier et Pierre Fontaine. Les flancs de l'arche du Carrousel sont gravés d'un enregistrement des victoires de Napoléon Ier. Jardin des Tuileries Le Jardin des Tuileries, qui faisait face au Palais des Tuileries (pillé et brûlé en 1871 pendant la Commune), n'a pas beaucoup changé depuis qu'André Le Nôtre les a redessinés en 1664. Le Nôtre est né et est mort dans la maison du jardinier des Tuileries ; il y a succédé à son père comme maître jardinier. Sa conception a porté la ligne de l'allée centrale au-delà des jardins et dans la campagne en traçant un chemin droit le long de la colline boisée à l'ouest du palais. Sur cette colline, le célèbre Arc de Triomphe a été achevé en 1836. Orangerie A l'extrémité ouest des jardins, Napoléon III érigea une serre, connue sous le nom d'Orangerie, et le Jeu de Paume, un court de tennis intérieur. Tous deux ont finalement été adaptés comme musées : l'Orangerie possédait une petite collection permanente, comprenant un groupe de 19 tableaux de nénuphars de Claude Monet exposés comme panoramas ; et le Jeu de Paume abritait la collection du Louvre de peintures des impressionnistes et de leurs précurseurs. Les collections des deux musées - à l'exception des panoramas Monet - ont été transférées au musée d'Orsay (musée d'Orsay), qui a ouvert ses portes de l'autre côté de la rivière en 1986, et le Jeu de Paume et l'Orangerie ont ensuite été réservés à des expositions occasionnelles. La porte de sortie formelle des Tuileries est flanquée de deux chevaux ailés, et l'entrée des Champs-Élysées de l'autre côté de la place est également ornée de chevaux de terre. Au XVIIIe siècle, les deux paires décoraient le domaine du château royal de Marly (détruit à la Révolution française). Les sculptures originales de chevaux ailés ont été transférées au Louvre en 1986 ; des répliques sont maintenant à leur place. Place de la concorde La Place de la Concorde a été conçue comme un octogone d'eau en 1755 par Ange-Jacques Gabriel. L'extrémité de la rivière a été laissée ouverte et, du côté intérieur, deux bâtiments correspondants ont été planifiés. Le rez-de-chaussée a été voûté et la façade agile adaptée de la colonnade du Louvre, le tout avec un raffinement typique de l'époque. Bien que Gabriel ait construit huit piédestaux géants autour de la périphérie de sa place, ils sont restés inoccupés jusqu'au XIXe siècle, lorsque le roi Louis-Philippe leur a donné des statues représentant les capitales provinciales. Vues dans le sens des aiguilles d'une montre à partir du Ministère de la Marine, les statues symbolisent Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille, Bordeaux, Nantes, Brest et Rouen. Louis-Philippe fit également installer l'obélisque de Louxor, un cadeau de l'Egypte, au centre et flanqué de deux fontaines. Plus tard, les douves environnantes ont été comblées. Le roi Louis XVI a été décapité le 21 janvier 1793, près du piédestal qui abrite aujourd'hui la statue de Brest. Quatre mois plus tard, la guillotine a été érigée près des portes des Tuileries, et les exécutions s'y sont poursuivies pendant près de trois ans. Champs elysées Le long des premiers 2 500 pieds (750 mètres) des Champs-Élysées, entre la Concorde et le Rond-Point des Champs-Élysées, l'avenue est bordée de jardins. Les pavillons des jardins sont utilisés comme salons de thé, restaurants et théâtres. Le Grand Palais et le Petit Palais, construits pour l'Exposition internationale de 1900, se trouvent du côté sud de l'avenue. Les bâtiments sont encore utilisés pour les expositions annuelles et pour les grandes expositions d'art. Du Rond-Point à l'Arc de Triomphe, les luxueuses maisons de ville qui bordaient les Champs-Élysées au XIXe siècle ont été supplantées par des cafés, des boîtes de nuit, des boutiques de luxe et des cinémas, mais la rue a conservé son caractère luxueux, et les trottoirs ombragés (aussi larges qu'une rue normale) offraient des promenades qui faisaient la fierté de Paris. Cependant, à partir des années 1950, les banques, les salles d'exposition automobile, les bureaux des compagnies aériennes, les restaurants fast-food et les chaînes de magasins (dont beaucoup sont des marques mondiales bien connues) ont occupé une grande partie de l'espace. Néanmoins, l'avenue reste l'une des artères les plus célèbres au monde. Arc de Triomphe et Place de l'étoile Au sommet des Champs-Élysées se trouve un lieu circulaire d'où rayonnent 12 avenues imposantes pour former une étoile. Elle s'appelait Place de l'Étoile de 1753 jusqu'en 1970, date à laquelle elle a été rebaptisée Place Charles de Gaulle. Au centre de la place se trouve l'Arc de Triomphe, commandé par Napoléon Ier en 1806. Il est deux fois plus haut et deux fois plus large que l'Arc de Constantin, à Rome, qui l'a inspiré. Jean Chalgrin était l'architecte, et François Rude sculptait la frise et le groupe animé Le départ des volontaires de 1792 (appelé "La Marseillaise"). Le jour de l'Armistice en 1920, le Soldat inconnu a été enterré sous le centre de l'arche, et chaque soir, la flamme du souvenir est ravivée par un groupe patriotique différent. La Défense Dans les années 1970, la plus grande concentration d'immeubles de grande hauteur en Europe est apparue à environ 3 km au-delà de l'arche, de l'autre côté de la banlieue de Neuilly-sur-Seine. Le quartier, appelé La Défense, n'était autrefois qu'un lieu sur la route jouxtant les communes suburbaines de Puteaux, Courbevoie et Nanterre. Aujourd'hui, les grands immeubles de bureaux, chauffés et climatisés à partir d'une centrale, sont au cœur du complexe. Le "rez-de-chaussée" entre les bâtiments est une plate-forme surélevée réservée aux piétons, avec des routes et des parkings en contrebas. Il y a des magasins, des restaurants, des cafés, des hôtels et des maisons d'appartements. Avant le début du projet, l'Etat avait déjà construit à La Défense son Centre des Nouvelles Industries et Technologies (CNIT), un grand hall d'exposition. Les trois municipalités ont ensuite bénéficié de l'acquisition de logements sociaux de faible hauteur dans le cadre d'un parc, d'un grand parc, de garderies pour enfants et de nouvelles écoles. Nanterre est également le site d'une antenne de l'Université de Paris. La Tour Eiffel et ses alentours Palais de Chaillot De retour dans les limites de la ville, au sud de la place Charles de Gaulle, se trouve le Palais de Chaillot (Palais de Chaillot). Situé sur une colline sur la rive droite de la Seine, là où la rivière commence sa courbe vers le sud-ouest, le palais est un endroit impressionnant d'où l'on peut voir ce qui est sans doute le symbole le plus reconnu de Paris, la Tour Eiffel. Le palais, qui date de l'Exposition internationale de 1937, a remplacé le palais du Trocadéro, une structure héritée de l'Exposition internationale de 1878. Il est composé de deux pavillons séparés, dont chacun s'étend une aile courbe. Plusieurs musées, dont le Musée de l'Homme, le Musée de la Marine, le Musée des Monuments français et le Musée du Cinéma, s'y trouvent. Sous la terrasse qui sépare les deux sections se trouvent le Théâtre National de Chaillot et une petite salle qui sert de salle de cinéma de la cinémathèque nationale. La terrasse, bordée de statues, offre une vue splendide sur Paris. La pente descendant jusqu'à la rivière a été transformée en un parc en terrasses, dont le centre est animé de fontaines, de cascades et de piscines. L'Aquarium du Trocadéro (Cinéaqua) se trouve à quelques pas dans le parc. Du bas de la pente, le pont de Jena (Pont d'Iéna) à cinq arches traverse la rivière. Il a été construit pour Napoléon Ier en 1813 pour commémorer sa victoire à la bataille de Jena en 1806. La tour eiffel Sur la rive gauche s'élève la Tour Eiffel elle-même, une tour à treillis métallique non revêtue conçue par Gustave Eiffel. La tour a été construite pour l'Exposition internationale de 1889, contre l'opposition stridente de personnalités nationales qui la jugeaient dangereuse ou laide ou les deux. Lorsque la concession d'exposition a expiré en 1909, la tour de 984 pieds (300 mètres) devait être démolie, mais sa valeur en tant qu'antenne pour la transmission radio l'a sauvée. Les ajouts faits pour la transmission télévisuelle ont ajouté environ 79 pieds (24 mètres) à la hauteur. De la plus haute des trois plates-formes, la vue s'étend sur plus de 40 milles (64 km). Champ de Mars Le Champ-de-Mars (Champ de Mars), un immense champ, s'étend jusqu'à l'Académie militaire (École Militaire), construite de 1769 à 1772 et qui devint plus tard le site du Collège de guerre (École Supérieure de Guerre). Le Champ-de-Mars, qui servait à l'origine de terrain de parade de l'école, a été le théâtre de deux grands rassemblements pendant la Révolution française : le Festival de la Fédération (1790) et le Festival de l'Être Suprême (1794). A partir de 1798, il y a eu des expositions nationales annuelles de l'artisanat et des manufactures, qui ont été suivies par des foires mondiales entre 1855 et 1900. Les Invalides Une rue au nord-est de l'Académie militaire est l'Hôtel des Invalides, fondé par le roi Louis XIV pour abriter 7 000 anciens combattants âgés ou invalides. L'énorme gamme de bâtiments a été achevée en cinq ans (1671-1676). La coupole dorée (1675-1706) qui s'élève au-dessus des bâtiments de l'hôpital appartient à l'église Saint-Louis. Le dôme a été conçu par Jules Hardouin-Mansart, qui a employé un style connu en France sous le nom de jésuite parce qu'il dérive de la première église des Jésuites à Rome, construite en 1568. (Les églises de l'Académie française, de l'hôpital du Val-de-Grâce et de la Sorbonne, ainsi que trois autres églises de Paris, toutes du XVIIe siècle, ont également suivi ce style. En utilisant les éléments classiques plus librement que ce qui avait été fait à Rome, les Français en ont fait quelque chose de Parisien reconnaissable. Dans les chapelles de Saint-Louis se trouvent les tombes des frères Joseph et Jérôme de Napoléon Ier, de son fils (dont le corps a été ramené de Vienne en 1940 par Adolf Hitler), et des maréchaux de France. Immédiatement sous la coupole se trouve un sarcophage en porphyre rouge qui recouvre les six cercueils, l'un à l'intérieur de l'autre, renfermant les restes de Napoléon, qui ont été restitués de l'île de Sainte-Hélène en 1840 grâce aux efforts du roi Louis-Philippe. Les uniformes, les armes personnelles et le lit de mort de Napoléon sont exposés au Musée de l'Armée, à l'avant des Invalides. Une partie des Invalides sert encore d'hôpital militaire. La vaste esplanade des Invalides, bordée d'arbres, s'incline doucement vers le Quai d'Orsay et le Pont Alexandre III. La première pierre du pont, qui commémore le tsar russe Alexandre III, a été posée en 1897 par le fils d'Alexandre, le tsar Nicolas II. Le pont a été terminé à temps pour l'Exposition internationale de 1900, et il mène à deux autres souvenirs de la foire de cette année-là, le Grand Palais et le Petit Palais. Quais d'Orsay et Ministères Le long de la rivière, de la Tour Eiffel jusqu'au pont Carrousel, se trouve une zone de la rive gauche connue sous le nom de quartier ministériel. La plupart des ministères nationaux y sont implantés, de même que les sièges de la région Île-de-France et de l'Assemblée nationale. L'arrondissement est l'ancien Faubourg Saint-Germain, une adresse impeccable depuis le début du 18ème siècle. En tant que tel, il a fait l'objet d'une forte expropriation pendant la Révolution française, et les ministères sont hébergés pour la plupart dans de splendides demeures anciennes et couvents. Bien qu'imposants, ils ont été difficiles à adapter aux besoins de l'administration moderne. Lorsqu'il s'est avéré impossible de s'étendre dans des bâtiments adjacents ou de construire des annexes dans le jardin, des branches ont été installées partout où il y a de l'espace. Certains ministères occupent jusqu'à 25 bâtiments distincts. Ministère des affaires étrangères Le plus connu de tous les ministères est probablement le Ministère des Affaires Étrangères, sur le Quai d'Orsay, entre l'Esplanade des Invalides et l'Assemblée nationale. L'adresse "Quai d'Orsay" est devenue synonyme de ministère. Palais Bourbon L'Assemblée nationale est logée dans le Palais Bourbon (1722-28), qui a été saisi pendant la Révolution. Les régimes successifs ont ajouté des morceaux sur l'ancien palais, y compris le péristyle grec face à la rivière comme l'avait ordonné Napoléon Ier en 1807. Musée d'Orsay L'ancienne gare d'Orsay, désaffectée près du fleuve, a été rénovée et a été rouverte en 1986 sous le nom de Musée d'Orsay (musée d'Orsay) de l'art et de la civilisation du XIXe siècle. Il contient, entre autres collections, les peintures impressionnistes et postimpressionnistes - Paul Cézanne, Édouard Manet, Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Vincent van Gogh, et d'autres - qui se trouvaient autrefois dans le Jeu de Paume. Institut de France A l'est du musée d'Orsay, au point de rencontre entre le Pont des Arts et la Rive Gauche, se trouve l'Institut de France qui, depuis 1806, abrite les cinq académies françaises. Le site était à l'origine occupé par la Tour de Nesle (Tour de Nesle), un ouvrage de défense pour le terminus de la rive gauche de l'enceinte de la ville de 1220. Louis Le Vau a conçu les bâtiments supplémentaires en 1663 pour abriter le Collège des Quatre-Nations, financé par un legs du cardinal Mazarin, ministre de Louis XIV, qui avait apporté les quatre entités en question - Pignerol (Pinerolo, dans le Piémont italien), Alsace, Artois et Catalogne du Nord (les régions de Cerdagne[Cerdaña] et Roussillon) - sous la couronne de France. Le Vau a basé ses créations sur des modèles italiens. Les cinq académies contemporaines sont l'Académie française, fondée par le Cardinal de Richelieu en 1635, qui édite le dictionnaire officiel français, décerne des prix littéraires et compte parmi ses membres "40 Immortels" ; l'Académie des Inscriptions et des Belles Lettres, fondée en 1663 par Jean-Baptiste Colbert, ministre des Finances de Louis XIV ; l'Académie des sciences, fondée en 1666, également par Colbert ; l'Académie des Beaux-Arts, deux sections formées à des époques différentes par Mazarin et Colbert et rejointes en 1795 ; et l'Académie d'éthique et de sciences politiques, créée par la Convention nationale (organe directeur de la Révolution française) en 1795 pour réfléchir aux questions de philosophie, d'économie, de politique, de droit et d'histoire. Hotel des monnaies Presque à côté se trouve l'Hôtel des Monnaies. Dans ce bâtiment sobre de la fin du XVIIIe siècle, les visiteurs peuvent visiter un musée de pièces de monnaie et de médailles. Pont des Arts Le Pont des Arts mène de l'Institut de France à travers la Seine jusqu'au Louvre. L'un des plus charmants de tous les ponts parisiens, il fut le premier (1803) à être en fer, et il a toujours été réservé aux piétons ; il offre une vue intime sur le bord du fleuve Paris et sur la Seine elle-même. Quartier Latin, Saint Germain des Prés Au sud du centre-ville se trouvent les quartiers typiques de la rive gauche, Saint-Germain-des-Prés et le Quartier Latin. Le boulevard Saint-Germain lui-même commence à l'édifice de l'Assemblée nationale, s'incurvant vers l'est pour rejoindre la rivière à nouveau au pont Sully. Eglise de Saint germain des prés Un peu moins de la moitié du boulevard se trouve l'église pré gothique de Saint-Germain-des-Prés. L'ancienne église, qui appartenait à une abbaye bénédictine fondée au 8ème siècle, a été saccagée quatre fois par les Vikings et a été reconstruite entre 990 et 1201. Certaines parties de l'église actuelle datent de cette époque. Cette partie de la rive gauche est depuis longtemps un lieu de rassemblement pour les praticiens des arts. Le dramaturge Jean Racine y mourut en 1699 ; le peintre Eugène Delacroix avait son atelier sur la place Fürstemberg ; les maisons d'édition s'y installèrent au cours du XIXe siècle ; et les principaux cafés sont des lieux de rencontre pour les artistes, les écrivains et les éditeurs depuis lors. De 1945 à 1955 environ, c'était le centre du mouvement existentialiste et de la renaissance du bohème. C'est toujours un centre vivant pour la littérature, la nourriture et la conversation. Ecole des beaux arts Tout droit au nord du carrefour de l'église Saint-Germain-des-Prés se trouve l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, l'école nationale de peinture et de sculpture, sur le quai Malaquais. Deux rues au sud du carrefour est l'église Saint-Sulpice (1646-1780), œuvre de six architectes successifs. Quartier saint michel La rue à côté de l'église est parsemée de boutiques spécialisées dans la statuaire dévotionnelle, dont une grande partie sur le plan esthétique des souvenirs touristiques et connue en France sous le nom de " Saint Sulpicerie ". À l'est du boulevard Saint-Michel, le secteur vers la rivière à partir du boulevard Saint-Germain est un enchevêtrement de rues étroites et animées, typiques de l'idée que se fait le touriste d'un Paris vivant et bruyant. À l'est du boulevard Saint-Michel se trouve l'enceinte universitaire, autonome sous les rois, où, en classe et à l'extérieur, étudiants et enseignants ont parlé latin jusqu'en 1789 (d'où le nom de Quartier Latin). Musée de Cluny A la jonction des boulevards Saint-Germain et Saint-Michel sont les vestiges d'une des trois thermes de la ville romaine. C'est dans le parc du Musée National du Moyen Âge, situé dans l'Hôtel de Cluny, un hôtel particulier gothique (1485-1500) qui abrite une collection d'œuvres d'art médiéval, dont la célèbre tapisserie à six panneaux La Dame à la licorne. Université de la Sorbonne Le large boulevard Saint-Michel est la rue principale du quartier étudiant. Il est bordé de librairies, de cafés, de cafétérias et de cinémas. Les bâtiments de l'université se trouvent sur des rues plus petites. L'université s'est constituée de collèges, chacun fondé et soutenu par un donateur, souvent un prélat ou un ordre religieux. Vers 1257, Robert de Sorbon, aumônier de Louis IX, établit un collège, connu sous le nom de Sorbonne, qui devint par la suite le centre d'études théologiques en France. La partie la plus ancienne de la Sorbonne est la chapelle (1635-42), don du cardinal de Richelieu, qui y est enterré. Il a été conçu par Jacques Lemercier et faisait partie d'un certain nombre de nouvelles églises à coupole de style jésuite de l'époque. La Sorbonne a été pendant des siècles le siège administratif de l'Université de Paris. Suite aux protestations massives des étudiants en 1968, l'université a été divisée en un certain nombre d'universités entièrement séparées, et le bâtiment de la Sorbonne proprement dit continue de servir de locaux pour certaines d'entre elles. D'autres facultés, écoles et instituts ont déménagé vers des sites plus spacieux dans la ville et la banlieue afin de soulager le surpeuplement du milieu étudiant parisien. Le Collège de France (Collège de France) a été créé à quelques pas de l'université par le roi François Ier en 1529 pour offrir un cursus plus libéral et moderne que la théologie étroite et le latin de la Sorbonne. Ne décernant aucun diplôme, elle a toujours eu une superbe faculté de spécialistes bien connus, surtout en philosophie, en littérature et en sciences. Jardin du Luxembourg Au sommet de la colline qui s'élève de la rivière, le boulevard Saint-Michel longe les Jardins du Luxembourg, vestiges du parc du Palais du Luxembourg de Marie de Médicis (1616-21), qui abrite aujourd'hui le Sénat français. Les jardins sont plantés de châtaigniers et sont agrémentés d'un étang pour les voiliers jouets, d'un théâtre de marionnettes et de statues. Le Panthéon A l'est des jardins, au bout de la rue Soufflot, se dresse le Panthéon du XVIIIe siècle, conçu par Jacques-Germain Soufflot. Il fut commandé par le roi Louis XV, après sa guérison d'une maladie, comme offrande votive à Sainte Geneviève et devait remplacer l'abbaye du 5e siècle en son nom. Bien que destinée à être l'église principale de Paris, elle fut rebaptisée Panthéon par les autorités révolutionnaires, qui en firent le dernier lieu de repos des héros de la Révolution française. La muraille d'un certain nombre de ses fenêtres et la suppression d'une grande partie de la décoration intérieure ont remplacé l'effet voulu d'un espace intérieur lumineux avec une lugubre dignité. Parmi ceux qui sont enterrés sous l'inscription "Aux grands hommes, la Patrie reconnaissante" se trouvent les auteurs Voltaire, Jean-Jacques Rousseau, Victor Hugo et Émile Zola, ainsi que Jean Moulin, chef de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Rue de la Montagne sainte geneviève Au nord-ouest du Panthéon se trouve une rue escarpée appelée rue de la Montagne Sainte-Geneviève. C'était la route pavée vers l'Italie à l'époque romaine. La colline descend jusqu'à la place du marché animée de la place Maubert et un enchevêtrement d'anciennes rues pittoresques au bord de la rivière. La plus connue d'entre elles est la rue de la Huchette médiévale, d'où part la rue du Chat-qui-Pêche qui mène au Quai Saint-Michel. Deux églises de cette région - Saint-Séverin (1489-94), gothique et humble, et Saint-Julien-le-Pauvre (1165-1220), qui appartient à la période de transition entre le roman et le gothique - sont remarquables. La place en face de cette église offre l'une des plus belles vues de Notre-Dame de Paris. Rue de Rivoli Au nord du centre-ville, à quelques rues de la Seine, parallèle à la rivière, se trouve la rue de Rivoli. Tour saint jacques À son extrémité est, la rue fait face à l'Hôtel de Ville et au clocher Saint-Jacques (Tour Saint-Jacques), tout ce qui reste d'une église de style gothique flamboyant qui a été démolie en 1797. Plus à l'ouest, le Louvre et le jardin des Tuileries occupent une longue bande de terre entre la rue et la rivière. Du côté nord de la rue se trouve une arcade de plus d'un mille (1,6 km) de long. Palais Royal En face du Louvre, la place du Palais-Royal mène au palais du cardinal de Richelieu, qu'il a légué à la famille royale. Louis XIV y vécut enfant, et pendant la minorité de Louis XV, le royaume y fut gouverné par le régent débauché Philippe II, duc d'Orléans, de 1715 à 1723. Vers la fin du XVIIIe siècle, Louis-Philippe-Joseph, duc d'Orléans, populairement rebaptisé Philippe-Egalité pendant la Révolution française en raison de ses opinions radicales, entreprit de vastes travaux de construction autour du jardin du palais. C'était une opération commerciale, et le prince espérait payer ses dettes à partir des loyers de la propriété. Autour du jardin, il a construit un bel oblong de galeries à colonnades et, à chaque extrémité de la galerie la plus éloignée de sa résidence, un théâtre. Depuis le règne de Napoléon Ier, la Comédie-Française, la compagnie théâtrale d'État, est installée dans la grande salle de théâtre. Les appartements princiers abritent aujourd'hui de hautes instances étatiques telles que le Conseil d'État. L'Opéra Garnier Le baron Haussmann agrandit considérablement la place du Palais-Royal en 1852, et il prit soin de préserver le palais en aménageant l'avenue de l'Opéra. Au sommet de cette avenue, un grand opéra a été construit de 1825 à 1898. L'Opéra de Paris (l'Opéra, ou Palais Garnier), splendide monument du Second Empire, a été conçu dans le style néo-baroque par Charles Garnier. Elle est surtout connue pour ses embellissements décoratifs, au premier rang desquels le Grand Escalier. Juste derrière l'Opéra se trouvent plusieurs grands magasins. Statue de Jeanne d'Arc La prochaine place le long de la rue de Rivoli est la Place des Pyramides. La statue équestre dorée de Jeanne d'Arc se dresse non loin de l'endroit où elle a été blessée à la Porte Saint-Honoré (Porte Saint-Honoré) lors de son attaque infructueuse sur Paris (alors tenue par les Anglais), le 8 septembre 1429. Place Vendôme Plus à l'ouest, vers la place de la Concorde, la rue de Castiglione mène de la rue de Rivoli à la place Vendôme, élégante place octogonale, peu différente des 1698 dessins de Jules Hardouin-Mansart. Au centre, la colonne Vendôme porte une statue de Napoléon I. Elle a été démolie lors de la Commune de 1871 et remise sous la Troisième République (1871-1940). La place Vendôme et la rue de la Paix adjacente, qui entre dans la place en face de la rue de Castiglione, n'ont rien perdu de leur distinction discrète, pas plus que leurs boutiques. La rue de Rivoli se termine à la Place de la Concorde. Entre les bâtiments jumeaux du côté nord-est de la place, la large rue Royale monte à la Madeleine, consacrée en 1842. Cette église est une poupe oblongue, clôturée avec des colonnes d'environ 65 pieds (20 mètres) de haut. Sa conception, supposée être celle d'un temple grec, est en fait plus proche de la notion romaine de l'architecture grecque. A l'ouest de la rue Royale se trouve la rue du Faubourg Saint-Honoré. Outre l'ambassade de Grande-Bretagne et le Palais de l'Élysée (résidence du président français), elle possède sur ses vitrines les noms les plus prestigieux du commerce de la mode parisienne. Place de la Madeleine et Grand Boulevards A la place de la Madeleine commencent les Grands Boulevards, qui s'arquent vers l'est en passant par la rive droite jusqu'à la place de la République. Le chic scintillant de ces boulevards contigus - Madeleine, Capucines, Italiens, Montmartre, Poissonnière, Bonne Nouvelle, Saint-Denis et Saint-Martin - a fait revivre la vie parisienne des années 1750 aux années 1880. Beaucoup de théâtres et d'autres divertissements de cette époque survivent. L'Opéra Comique se dresse juste à côté du boulevard des Italiens ; le musée de cire Grévin survit sur le boulevard Montmartre ; et, à quelques portes de là, le Théâtre des Variétés, fondé sous le Second Empire par le compositeur Jacques Offenbach, fonctionne toujours. Le Théâtre de la Renaissance, où le comédien Benoît-Constant Coquelin a créé le rôle de Cyrano de Bergerac en 1897, demeure sur le boulevard Saint-Martin. Le Théâtre de l'Ambigu, où Frédéric Lemaître, le célèbre acteur du boulevard mélodrame, a fait vibrer tout Paris au milieu du XIXe siècle, a été démoli dans les années 1960. Hotel de Ville de Paris De retour au centre-ville, l'Hôtel de Ville est situé sur la rive droite, juste en face de l'extrémité est de l'île de la Cité. Il contient les appartements officiels du maire de Paris. Trois hôtels de ville se sont tenus sur le site du bâtiment actuel, chacun plus grand que son prédécesseur. La première était la Maison aux Piliers, utilisée par la municipalité de 1357 à 1533. L'Hôtel de Ville actuel (1874-82) a remplacé la structure Renaissance en usage du XVIe siècle jusqu'en 1871, date à laquelle elle a été incendiée par les communards insurrectionnels. Les deux premiers bâtiments se trouvaient sur la place de Grève (grève), qui fut le principal port de Paris pendant des siècles. (Le refus des bateliers de travailler a donné aux Français leur phrase pour faire la grève : faire la grève. Le nom de cette place a été changé en 1830 en Place de l'Hôtel de Ville. De 1310 à 1832, c'est le principal lieu d'exécution de Paris. Le deuxième Hôtel de Ville a été le théâtre de nombreux soulèvements populaires, dont les révolutions de 1789, 1830 et 1848 et la Commune de Paris de 1871. Le bâtiment actuel a joué un rôle important pendant la libération de la ville de l'occupation allemande en 1944. En juillet 1789, ayant déjà pris les Invalides et la Bastille, la foule révolutionnaire s'empare de l'Hôtel de Ville. Trois jours plus tard, Louis XVI est apparu sur le balcon avec une cocarde tricolore (bleu, blanc et rouge, symbole de la Révolution) et a été acclamé par la foule. Plus tard, le bâtiment a été pris comme siège du gouvernement révolutionnaire de la ville (la Commune de Paris de 1792), qui a dirigé l'action de la foule pour contrôler la Convention nationale, l'assemblée gouvernante de la France de l'époque. Le 27 juillet 1794, les gardes de la Convention entrèrent dans l'Hôtel de Ville et s'emparèrent du chef radical Maximilien de Robespierre et de ses partisans ; tous furent exécutés peu après. Après la Révolution de juillet 1830, le nouveau roi Louis-Philippe apparaît sur le balcon de l'Hôtel de Ville et est acclamé par la foule révolutionnaire. En 1871, après la défaite de Napoléon III à Sedan pendant la guerre franco-allemande, une nouvelle république française est déclarée sur les marches de l'Hôtel de Ville ; cependant, lorsque le gouvernement national capitule à son tour, les Parisiens refusent d'accepter la défaite et forment en mars la Commune de Paris. En mai, les troupes nationales sont entrées dans la ville et ont combattu avec les Communards, qui ont mis le feu à l'Hôtel de Ville, au Palais des Tuileries, au Palais de Justice, à la Préfecture de Police, à l'Arsenal et à d'autres bâtiments gouvernementaux. Environ 20 000 Parisiens ont été tués au cours des combats. En 1944, alors que la ville se libère des Allemands, le Conseil National de la Résistance fait de l'Hôtel de Ville son siège. Au point culminant de la libération, le général Charles de Gaulle apparaît sur le balcon et est acclamé par la foule. La Bastille La route de l'extrémité supérieure de l'île Saint-Louis mène à la place de la Bastille sur la rive droite. De la rivière à l'endroit coule un canal, le bassin de l'Arsenal, qui alimentait autrefois les douves autour de la forteresse de la Bastille. Sur la place de la Bastille, la voie d'eau souterraine sur près de 1,6 km, puis émerge pour former le canal Saint-Martin qui, avec ses ponts, ses écluses et ses péniches descendant lentement le long des rues de la ville, constitue l'un des tronçons les moins connus et les plus pittoresques de Paris. La Bastille a été utilisée comme prison d'État à partir du XVIIe siècle. Sa capture par une foule le 14 juillet 1789, pendant les premières années de la Révolution française, fut un coup symbolique à la tyrannie plutôt qu'un acte de libération pour les victimes de la tyrannie. La prison avait été pratiquement inutilisée pendant des années et devait être démantelée par la monarchie ; elle ne détenait ce jour-là que quatre faussaires, deux fous et un jeune aristocrate qui avait déplu à son père. La Bastille a été démolie après sa capture. Le futur empereur Napoléon Ier fit aménager le lieu en 1803. Une gare y a été construite en 1859. La station a été rasée en 1984 pour permettre la construction d'un nouvel opéra, l'Opéra Bastille (inauguré en 1989). Le quartier entre la Bastille et la Place de la Nation, à l'est le long de la rue du Faubourg Saint-Antoine, est un quartier d'artisans qualifiés depuis le milieu du XVe siècle, lorsque l'abbaye royale autonome a donné de l'espace dans ses vastes domaines aux ébénistes qui refusaient de respecter les restrictions des corporations parisiennes quant aux styles et aux essences de bois à utiliser. Ce quartier a toujours été parmi les premiers à se révolter quand la révolution était dans l'air et a été noté pour la vitesse avec laquelle il a soulevé des barricades de hauteur impressionnante. Le caractère de la région a toutefois changé, car la plupart des petits ateliers ont fermé leurs portes. Le Marais A l'ouest de la Bastille se trouve une zone triangulaire avec sa base le long de la rivière jusqu'à l'Hôtel de Ville et son apex juste avant la Place de la République au nord. Il garde son nom le marais - du Moyen Age, et parce qu'il est devenu le jardin maraîcher de Paris, il a donné son nom à tous les maraîchers (la culture maraîchère) en France. L'extension des remparts le long de la rive droite a conduit à l'endiguement de la rive et au drainage du sol. En 1107, les Templiers établissent Le Temple, une vaste enceinte fortifiée, au sommet du triangle. En 1360, le futur roi Charles Quint s'installe dans sa nouvelle résidence royale dans le coin inférieur droit, où la rue des Lions marque l'ancien emplacement des ménageries. Le roi Charles VII préférait vivre juste derrière la Bastille, dans l'Hôtel des Tournelles, que Henri II avait fait agrandir et embellir par Philibert Delorme en 1550. De grands nobles, comme les ducs de Guise et de Lorraine, suivirent le roi et firent construire des palais à proximité. Lorsque Henri II est tué lors d'une joute sur la rue Saint-Antoine en 1559, sa veuve, Catherine de Médicis, fait raser les Tournelles. Place des Vosges Sur le site en 1607, la construction a commencé sur la première place résidentielle conçue à Paris. Henri IV s'y réservait une maison. Les maisons à trois étages sont faites de briques rouges avec des angles en pierre blanche (angles pleins) et des encadrements de fenêtres, et les rez-de-chaussée forment des arcades sur les trottoirs. La place s'appelait Place Royale, mais depuis 1800 elle s'appelle Place des Vosges. Une autre vague de construction par les riches, désireux d'être proche d'un projet royal, a doté le Marais de 200 palais privés supplémentaires. En 1792, les Hospitaliers (également connus sous le nom de Chevaliers de Malte) ont été chassés du Temple, qui leur avait été donné en 1313 lorsque l'ordre des Templiers a été dissous. Le temple devint propriété de l'État et, en août 1792, la famille royale fut incarcérée dans le donjon de la tour du temple. Louis XVI a été emmené à sa mort le 21 janvier 1793 et la reine Marie-Antoinette a été emmenée à la Conciergerie en août 1793 (et exécutée le 16 octobre). La tour du temple a été rasée en 1808 pour décourager les rassemblements des royalistes. Après le boom de la construction au XVIIe siècle, le Marais est resté pratiquement intact. Vers la fin du XIXe siècle, alors que certains des palais les plus anciens et les plus imposants étaient démolis par des promoteurs privés, d'autres propriétaires ont réussi à restaurer quelques hôtels particuliers, et les gouvernements français et parisien ont également restauré une poignée de beaux bâtiments. Cependant, comme de nombreux réfugiés juifs d'Europe de l'Est se sont installés dans le quartier, des dizaines de maisons ont été subdivisées en petits appartements pour les nouveaux arrivants pauvres, et des ateliers ont été installés aux étages inférieurs et dans les hangars de la cour. Le Marais est progressivement devenu l'un des pires bidonvilles de Paris. En 1969, le conseil municipal a approuvé un plan de rénovation urbaine pour mettre fin aux conditions de taudis tout en préservant la vie professionnelle et l'animation et en restaurant la beauté indéniable du quartier. Le projet a connu un grand succès et les prix de l'immobilier dans le Marais ont grimpé en flèche. Parmi les bâtiments anciens restaurés et ouverts au public se trouvent : le Musée de l'histoire de Paris (Hôtel de Carnavalet) , construit en 1545 et agrandi par François Mansart en 1645 le Musée de l'histoire de France (Archives nationales, Hôtel de Soubise) , dont certaines parties datent de 1375, 1553 et 1704-15 le Musée de la chasse et de la nature (Hôtel de Guénégaud des Brosses) , construit par Mansart en 1648-1651 le Bureau national des monuments historiques (Hôtel de Sully) , par Jean Ier Androuet du Cerceau (voir famille du Cerceau) le Musée Picasso (Hôtel Salé). L'hotel de Sens Plus près de l'Hôtel de Ville se trouve l'Hôtel de Sens gothique, construit à la fin du 15ème siècle pour les évêques de Sens, puis aussi les évêques de Paris. Elle a été restaurée après 40 ans de travail et sert maintenant de bibliothèque municipale de collections spécialisées. A proximité, derrière les façades d'une date beaucoup plus tardive, deux maisons médiévales à colombage ont été découvertes. Des parties de l'enceinte de la ville du XIIIe siècle, dont l'une des tours de guet, sont encore visibles dans le quartier. Centre Pompidou A l'ouest du Marais se trouve le Centre National d'Art et de Culture Georges Pompidou, populairement appelé Centre Pompidou, une vaste structure de verre et de métal au design distinctif inaugurée en 1977. Il a rapidement prouvé sa popularité et reste une attraction à succès pour les parisiens et les touristes. Le centre abrite le Musée national d'art moderne, des expositions temporaires, la Bibliothèque publique de référence multimédia, le Centre de design industriel, l'Institut de recherche acoustique et musicale et des ateliers pour les enfants. Les Halles Plusieurs rues au nord-ouest de l'Hôtel de Ville est le quartier des Halles, qui fut de 1183 à 1969 le marché central (finalement un marché de gros pour les produits frais) de Paris. Lorsque le marché s'installe à Rungis, près de l'aéroport de Paris-Orly, les halles en fer et en verre du quartier (10 originaux, conçus par Victor Baltard et construits entre 1854 et 1866, et deux reproductions de 1936) et leur quartier ont été désignés pour être rénovés. Les projets de renouvellement ont toutefois été retardés de plusieurs années en raison d'âpres désaccords sur l'utilisation de la zone. Les anciennes halles du marché ont été utilisées temporairement pour des expositions et des manifestations culturelles, mais en 1971, elles ont été démolies. Leur démolition a laissé un énorme trou dans le sol qui est devenu un symbole pour beaucoup de Parisiens de la fin d'une époque. La construction sur le site a commencé en 1971 et, en 1977, une station reliant le métro de la ville au réseau express régional a été ouverte. Le Forum des Halles, un centre commercial et commercial partiellement souterrain à plusieurs étages, a été ouvert en 1979, et les rues avoisinantes ont été converties en une zone piétonne sans circulation. Le Forum n'est jamais devenu populaire, cependant, et beaucoup se sont plaints de la prépondérance des restaurants fast-food et des trafiquants de drogues illicites dans la région. Au début du XXIe siècle, la ville a prévu de rénover à nouveau le site. Quelques-unes des vieilles maisons du quartier ont été rénovées ou restaurées pour conserver une partie de l'ancienne saveur. L'église Saint-Eustache (1532-1637) et la Halle au Blé (1811-1813), qui a été brûlée par la Commune de 1871 et restaurée dans les années 1880 en Bourse de Commerce. Les buttes de Paris La vallée de la rivière Paris est presque entièrement encerclée par des hauteurs. Sur les hauteurs de Passy, sur la rive droite entre les limites ouest de la ville et l'Arc de Triomphe, se perchent les quartiers riches du 16ème arrondissement. En revanche, la Butte-Montmartre (18e arrondissement) et les Buttes-Chaumont (19e arrondissement), qui s'élèvent le long de la limite nord de la ville, sont historiquement des quartiers populaires qui ont attiré une importante population d'immigrants. Montmartre Du début du XIXe siècle jusqu'à la migration des années 1920 vers Montparnasse, Montmartre était la principale colonie d'art de Paris. Certaines sections sont hautement commercialisées pour le commerce touristique ; d'autres, cependant, contiennent des éléments pittoresques et désinvoltes, comme les ruelles sinueuses du quartier, dont certaines deviennent des escaliers sur les collines plus abruptes. Montmartre est également connue pour ses boîtes de nuit et ses divertissements. Le monument le plus célèbre de Montmartre n'a été construit qu'en 1919 : la Basilique du Sacré-Cœur, payée par abonnement national après la défaite des Prussiens en 1870, pendant la guerre franco-allemande. Les travaux ont commencé en 1876 mais ont été retardés par la mort de l'architecte Paul Abadie, qui s'est inspiré de l'église romane Saint-Front de Périgueux du XIIe siècle à cinq coupole, elle-même inspirée d'églises vénitiennes ou byzantines. A côté de l'escalier monumental en terrasses du square Willette planté dans le jardin, sous l'entrée de l'église, se trouve le seul funiculaire de Paris. En bordure nord-est de la ville proprement dite, à La Villette dans le 19e arrondissement, la structure géante des anciens abattoirs de la ville, hors d'usage depuis 1974, a été rouverte en 1986 sous la forme d'un musée des sciences (Cité des Sciences et de l'Industrie). A proximité se trouvent un cinéma panoramique sphérique (La Géode) et un grand parc de loisirs et un complexe culturel. Buttes Chaumont Sur les Buttes-Chaumont, juste à l'est de Montmartre, se trouve le parc des Buttes-Chaumont, créé en 1864-67 sous l'égide du baron Haussmann. Une colline dénudée, à moitié creusée par des carrières de tunnel abandonnées et remplie de déchets de générations, a été transformée en un paysage romantique avec un lac, une chute d'eau, une grotte, des chemins boisés sinueux et des ponts pittoresques. C'est le plus grand parc public de Paris. Ménilmontant et Père Lachaise Cette partie du 19e arrondissement est connue sous le nom de Belleville, un ancien village indépendant qui s'étend vers le sud jusqu'au 20e arrondissement. Le 20e est aussi le quartier de Ménilmontant et le cimetière du Père-Lachaise - le site du Mur des Fédérés, contre lequel les derniers combattants de la Commune de Paris ont été abattus en 1871. Le cimetière est à la fois le plus grand parc et le plus grand cimetière de Paris et est une attraction touristique majeure, renommée pour ses tombes de personnages célèbres et souvent saluée comme le cimetière le plus visité au monde. Parmi les personnages célèbres qui y sont enterrés figurent Peter Abelard et Héloïse, Molière, Eugène Delacroix, Jacques-Louis David, Georges Bizet, Frédéric Chopin, Honoré de Balzac, Marcel Proust, Georges Seurat, Oscar Wilde, Sarah Bernhardt, Isadora Duncan, Gertrude Stein, Colette, Edith Piaf, Marcel Marceau, Richard Wright et Yves Montand, entre autres. L'une des tombes les plus visitées est celle de la rock star Jim Morrison (chanteur des Doors), décédé en 1971 à l'âge de 27 ans. En plus des fleurs, les fans ont laissé des bougies allumées, des bouteilles de vin et d'alcool et des accessoires de drogue sur sa pierre tombale. Des vandales, des fans et des chasseurs de souvenirs ont dépouillé le site de souvenirs et de statues, organisé des fêtes sur sa tombe et même tenté d'enlever son corps. Quartiers d'Affaires de Paris Pour contrebalancer la marche des immeubles de bureaux vers l'ouest jusqu'à La Défense et au-delà, et dans le cadre de l'effort pour limiter l'effacement des quartiers résidentiels autour du centre d'affaires de la ville, d'autres "pôles d'attraction" ont été institués dans plusieurs quartiers de Paris, à partir de la fin des années 1960. Deux d'entre eux sont directement sur le front de mer à chaque extrémité de Paris : Front de Seine dans l'angle sud-ouest et Austerlitz-Bercy-Lyon dans l'angle sud-est. Un autre, Maine-Montparnasse, est situé dans le centre-sud de Paris. Le Front de Seine se trouve sur la rive gauche, entre la Tour Eiffel et la limite sud de la ville. Ici, un quartier d'usines et de logements insalubres a été remplacé par des immeubles de grande hauteur utilisés pour des bureaux et des appartements. Le quartier d'affaires à cheval sur l'autre côté de la rivière comprend des immeubles de bureaux autour des gares d'Austerlitz (rive gauche) et de Lyon (rive droite). Bercy, qui se trouve directement sur le fleuve sur la rive droite, était jusqu'à ce développement l'une des "villes secrètes" de Paris. C'était le village des millésimes, où les marchands entreposaient et vendaient leurs stocks de vin. Clôturé et gardé, ses chalets bordés de ruelles pavées portent le nom des grands quartiers viticoles de France. On disait que les grands chênes fleurissaient parce que leurs racines étaient trempées dans le vin. Le quartier de Bercy, réaménagé à grande échelle, compte aujourd'hui de nombreux grands immeubles de bureaux et une arène sportive et de divertissement. La pièce maîtresse du quartier Maine-Montparnasse est une tour de bureaux de 59 étages sur le site de l'ancienne gare Montparnasse. Une gare plus compacte a été construite à une rue plus loin sur l'avenue du Maine, où les rails sont cachés sur trois côtés par des bâtiments de 15 à 18 étages. Les unités sont reliées par une plate-forme surélevée qui sert de "rez-de-chaussée" au-dessus de la rue. Renov&Love – Rénovation d’appartement 51 rue Cambronne, 75015 Paris 09 70 73 33 28 https://renovandlove.com/
0 notes
refairesatoiture · 7 years
Text
Campagne nationale d'appel aux dons pour la rénovation du Théâtre du Châtelet
Construit à l'emplacement de l'ancienne forteresse du Grand Châtelet entre 1860 et 1862 sous la direction de l'architecte Gabriel Davioud et à la demande du baron Haussmann, le Théâtre du Châtelet est inauguré le 19 avril 1862 en présence de l'Impératrice Eugénie, constituant avec l'actuel Théâtre de la Ville qui lui fait face de l'autre côté de la place un ensemble monumental remarquable.
Source : http://bit.ly/2BKzMu3
0 notes
Text
Campagne nationale d'appel aux dons pour la rénovation du Théâtre du Châtelet
Construit à l'emplacement de l'ancienne forteresse du Grand Châtelet entre 1860 et 1862 sous la direction de l'architecte Gabriel Davioud et à la demande du baron Haussmann, le Théâtre du Châtelet est inauguré le 19 avril 1862 en présence de l'Impératrice Eugénie, constituant avec l'actuel Théâtre de la Ville qui lui fait face de l'autre côté de la place un ensemble monumental remarquable.
Article : http://feeds.feedblitz.com/~/512018700/0/isolationcomblesperdus
0 notes
Text
∘ L’architecte : Eugène Haussmann
Tumblr media
Georges Eugène Haussmann est né à Paris et a été préfet de la Seine et a dirigé les transformations de Paris sous le Second Empire. Il a approfondi le vaste plan de rénovation établi par la commission Siméon, qui vise à poursuivre les travaux engagés par ses prédécesseurs à la préfecture de la Seine Rambuteau et Berger.
L’architecture haussmannienne date du Second Empire et les travaux ont été réalisé entre 1852 à 1870 par Napoléon III et Haussmann.
Sous Napoléon III, après la Révolution Française, Haussmann imagine un système complet de réorganisation de Paris pour plusieurs raisons : augmentation de la population, nécessité économique de faciliter la circulation, insalubrité, épidémies et peur des émeutes.
Tous les domaines de l’urbanisme de Paris ont été modifié :  rues et boulevards, réglementation des façades, espaces verts, mobilier urbain, égouts et réseaux d'adduction d'eau, équipements et monuments publics.
Ces travaux ont été vivement critiqué : des artistes et des architectes (Charles Garnier) dénoncent la monotonie étouffante de cette architecture monumentale. Des hommes politiques et des écrivains mettent en cause l’étendue des spéculations et de la corruption (La Curée de Zola) et certains accusent à tort Haussmann d’enrichissement personnel. De plus, les rénovations de Paris forment une sorte de synthèse de la hiérarchie sociale parisienne. Les loyers augmentent ce qui force les habitants les plus pauvres a déménager vers le périphérique. Certains choix d'urbanisme ont contribué à déséquilibrer la composition sociale de Paris entre l’ouest, riche, et l’est, défavorisé. Sur le niveau budgétaire les rénovations sont très critiquées puisque le budget initial ne suffit pas et les parisiens supportent mal les travaux puisqu’ils paralysent la ville.  
0 notes
tynatunis · 6 years
Photo
Tumblr media
Loved and Shared #bytyna for @my_homemag this project by @caroline.andreoni Projet rénovation - Les Sablons- Une invitation au voyage dans cette entrée/bureau au style bohème chic! On ose associer au style Haussmannien de l’appartement, un esprit " nature "qui casse les codes du classique. 📷 Sophie Lloyd . . . #interiordesign #interior #interiors #design #designer #interiordesigner #appartement #bohemechic #entrée #dark #bureau #surmesure #hall #haussmann #darkwalls #pendantlight #picoftheday #instagood #instadecor #walldecor #picture #home #homedecor #homedesign #lighting #decoration #hkliving #ananbopapierpeintpanoramique #decoratrice #carolineandreoni https://www.instagram.com/p/Bt51iPPhJ1C/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1k5w2ui4s79pn
0 notes