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#révolution tunisienne
african-gate · 2 years
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Après avoir eu peur d’une "panne"... les affaires étrangères tunisiennes considèrent les déclarations de Borrell "disproportionnées"
Après avoir eu peur d’une "panne"... les affaires étrangères tunisiennes considèrent les déclarations de Borrell "disproportionnées"Les affaires étrangères de la Tunisie ont rejeté mardi les déclarations de Josep Borrell, le chef de la politique étrangère de l’Union européenne, qui a dit que les préoccupations concernant "l’effondrement" de la situation en Tunisie étaient "disproportionnées." La réaction étrangère de la Tunisie coïncide avec la visite d’une délégation de l’UE dans le pays confronté à une crise économique, sociale et politique et où l’opposition critique vivement les actions du président Kais Saied comme un "coup d’État contre la révolution." Dans une déclaration, le Ministère a souligné que "les déclarations faites sont disproportionnées tant au regard des capacités de longue date et reconnues du peuple tunisien à survivre et à surmonter les difficultés, ainsi qu’en ce qui concerne la menace posée par la migration des États du Sud vers l’Europe". "Des déclarations sélectives continuent d’ignorer toute responsabilité dans la situation qui prévaut en Tunisie depuis 2011 jusqu’au 25 juillet 2021." Josep Borrell a annoncé lundi que le bloc était préoccupé par la détérioration de la situation politique et économique de la Tunisie et craignait son effondrement. Après la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne à Bruxelles, Borrell a averti que "la situation en Tunisie est très grave". Il a déclaré : "Si la Tunisie s’effondre, elle menace d’envoyer des migrants vers l’Union européenne et de provoquer l’instabilité au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Nous voulons éviter cette situation ". Des milliers de migrants tunisiens illégaux et d’Africains subsahariens tentent de traverser la mer Méditerranée pour rejoindre les côtes européennes, à seulement 150 km de la Tunisie. #السودان #إفريقيا #الإمارات #مصر #المغرب # الاردن #الجزائر #السعودية #البحرين #الكويت Read the full article
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apsny-news · 2 years
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Les arrestations d'opposants au président Kaïs Saïed continuent en Tunisie
Publié le : 22/02/2023 – 23:39 La police tunisienne a arrêté mercredi Issam Chebbi, chef de file du Parti républicain, Chaima Issa, une activiste ayant pris part à la révolution de 2011, et encerclé le domicile de Jawher Ben Mbarek, un détracteur du président Kaïs Saïed. Ces trois opposants sont proches du Front de salut national, une coalition que le chef de l’État a accusée d’être “payée” et…
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(petite scène de la ville quotidienne, XXXVI, les lieux de mémoire)
sur la ligne du bus à la station Bastille, le voyageur assis juste derrière moi, raconte à ses camarades le commencement de la révolution française dans ce début du faubourg saint Antoine dont les artisans ont été les premiers à lever les armes et à affronter les troupes royales de la prison célèbre ; il fait cette digression pour introduire et rappeler qu'il y a un an jour pour jour le peuple tunisien faisait de même… sur une des places principales de leur capitale ; aimé que ce lieu soit encore propice à rappeler l'Histoire, qu'il puisse résonner encore dans le coeur des hommes comme un symbole dont le sens est toujours tout à fait d'actualité et qu'il puisse influencer d'autres lieux aussi lointains soient-ils en temps et en espace ; ainsi cette place parisienne et cette place de la Kasbah de Tunis se trouvaient réunis par son discours, elles sonnaient ensemble la même et belle musique de la liberté
© Pierre Cressant
(mercredi 18 janvier 2012)
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amereid1960 · 2 years
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دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) - دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية   دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية الكاتب: جودي عبد العزيز الملخص: لعب الإعلام العربي دورا تاريخيا في دعم و تحقيق المطالب…
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alewaanewspaper1960 · 2 years
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دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) - دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية   دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية الكاتب: جودي عبد العزيز الملخص: لعب الإعلام العربي دورا تاريخيا في دعم و تحقيق المطالب…
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acpsalewaanewspaper · 2 years
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دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) - دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية
دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية   دور الإعلام العربي في تسيير الثورات العربية (ثورتا تونس و مصر 2011) – دراسة تحليلية مقارنة بين قناتي الجزيرة والعربية من وجهة نظر عينة من النخبة الجزائرية الكاتب: جودي عبد العزيز الملخص: لعب الإعلام العربي دورا تاريخيا في دعم و تحقيق المطالب…
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atypicalstudio · 2 years
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La imaginación es más importante que el conocimiento.
••••••
Albert Einstein
Foto: Red
Primavera árabe - Revolución de jazmín - Túnez
La revuelta se inició el 17 de diciembre de 2010, tras la protesta extrema del tunecino Mohamed Bouazizi, que se prendió fuego tras los malos tratos de la policía, cuyo gesto desencadenó todo el movimiento de revuelta.
La Revolución tunecina (en árabe: الثورة التونسية; en francés: Révolution tunisienne) a veces llamada Revolución del Jazmín (ثورة الياسمين; Révolution de jasmin), Intifada de idi Bouzid (Sidi Bouzid intifada; سيدي بوزيد الانتفاضة) o, más comúnmente entre la población tunecina, Revolución de la Dignidad (Révolution de la dignité; ثورة الكرامة) es como se conoce a una intensa campaña de resistencia civil ocurrida en Túnez a partir de diciembre de 2010 y que se extendió a lo largo del año 2011, bajo la forma de manifestaciones masivas y huelgas generales. Las protestas, en gran medida pacíficas y de carácter laico, sentaron un precedente decisivo para el mundo árabe cuando, el 14 de enero de 2011, precipitaron el derrocamiento del gobierno autoritario de Zine El Abidine Ben Ali. Su caída condujo a un gobierno provisional dirigido por Fouad Mebazaa como presidente y Béji Caïd Essebsi como primer ministro, el cual disolvió los mecanismos de poder del régimen (el poder legislativo y el partido hegemónico RCD) y convocó a elecciones libres para una Asamblea Constituyente en octubre de 2011. La misma redactó una nueva constitución democrática que entró en vigor el 26 de enero de 2014, convirtiendo a Túnez en la primera democracia secular del mundo árabe.
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rympresse · 4 years
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RÉVOLUTION │Tunisie : 10 ans après la révolution, le mythe du martyr Bouazizi s’étiole
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La légende du martyr de Sidi Bouzid qui en s’immolant par le feu à enclenché la révolution tunisienne et provoqué le Printemps arabe bat de l’aile. Le pays peine aujourd’hui à se sortir de la crise. Son économie s'est détériorée et ses dirigeants politiques semblent paralysés. Que reste-t-il du «laboratoire-modèle» de la démocratie arabe ?
Vendredi 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi s’asperge d'essence de térébenthine et allume son briquet. Médusés quelques passants tentent d’éteindre les flammes mais il est déjà trop tard. Ce jour-là il avait rejoint l’avenue Habib-Bourguiba de Sidi Bouzid, pour y vendre comme à l’accoutumée des fruits sur un chariot de fortune. Mais n'ayant aucune licence, des agents municipaux en patrouille lui confisquent son matériel et lui dressent une amende. Une altercation avec la policière Fayda Hamdi le pousse à se diriger aux autorités de la ville, pour dénoncer le contrôle qu’il estime injuste. Le cri de détresse du jeune homme, à qui on refuse l’entrée au siège du gouvernorat, ne sera jamais entendu. Ce jour-là, Mohamed Bouazizi s’est publiquement ôté la vie dans un dernier acte de protestation. Son geste a servi de catalyseur à une vague de révolte dans la région : le Printemps Arabe
L’étincelle qui a fait exploser la colère populaire
Par son geste désespéré le marchand ambulant de 26 ans a cristallisé la misère sociale que vivaient ses pairs et a déclenché un soulèvement sans précédent qui a fait quelque 300 morts et a surtout renversé l'autocrate de longue date Ben Ali. Le mouvement s’est répandu de la Tunisie à plusieurs autres pays arabes. « De Tunis en passant par Bagdad, Damas ou Le Caire, d’autres jeunes issus de pays arabes, ont battu le pavé durant l’année 2011 pour une vie décente et l’avènement de la démocratie dans leur pays d’origine. » rappelle aujourd’hui l’Obs, à l'occasion du triste anniversaire de la mort du martyr tunisien.
Le soulèvement populaire a permis cette année-là en Tunisie, au mouvement Ennahdha de remporter plus de 40 % des sièges de l’Assemblée constituante lors des premières élections libres du pays. Moncef Marzouki, un militant de gauche, est alors élu président par la constituante. En 2014, le pays adopte une nouvelle Constitution et organise des législatives, que remporte le parti anti-islamiste Nidaa Tounès. Cette victoire annonce l’élection du président Béji Caïd Essebsi au suffrage universel.
Aujourd’hui, Kaïs Saïed est l’homme à la tête du pays, Sidi-Bouzid la ville natale de Bouazizi reste le « berceau des mouvements de protestation » et la Tunisie aux yeux du monde « la seule réussite, porte-drapeau de la démocratie Arabe ». Mais cette vision manichéenne est loin du quotidien que vivent les tunisiens et tunisiennes des zones déshéritées.  
Désenchantement de masse
Tant d’années sont passées depuis les premières manifestations de foules en colère. Pourtant, les tunisiens se désolent que peu de choses ont changé. Ils scandaient « travail, liberté, dignité », leurs demandes n’ont été que partiellement satisfaites et ils sont fatigués d’attendre. Pour la plupart, la révolution a été surtout vécue comme une baisse du niveau de vie.  
The Guardian souligne que « les débats qui occupent Tunis, comme la question de l’accès égal des femmes à l'héritage ou si la présidence devrait être réservée aux musulmans, semblent éloignés des revendications sociales pour lesquelles la révolution a été soulevée. » Il est évident que depuis la révolution, les tunisiens ont gagné en liberté. Mais peut-être que s’ils avaient à choisir entre liberté d’expression et misère, le choix serait difficile. Un témoignage au Guardian à propos du renversement de Ben Ali, raconte : « Sous lui, nous ne pouvions pas parler. Mais cela affecte-t-il ma vie ? Je veux de la liberté et de la dignité. Je ne peux pas avoir les deux ? ».
« Bien que le chemin de la Tunisie vers la démocratie ait été beaucoup plus fluide (ndlr : qu’ailleurs), son économie s'est détériorée et les dirigeants politiques semblent paralysés. » écrit Reuter. Plus que jamais, les Tunisiens tentent de quitter illégalement le pays et les dangereuses promesses du jihad attirent des jeunes aliénés et sans emploi. « Cette année, la colère est plus grande que par le passé. » déclare Attia Athmouni, un professeur de philosophie à la retraite à l’agence de presse.  
« La classe politique, plus fragmentée que jamais depuis les élections législatives de l'année dernière, est paralysée par d'âpres luttes intestines qui l'ont empêchée de s'attaquer à des problèmes sociaux et économiques urgents. », note Al Jazeera. Car, le taux de chômage national supérieur à 15%, frappe de manière disproportionnée les jeunes de l'intérieur longtemps marginalisés. Et les salaires ont été dévalués par l'inflation, tandis que l'instabilité politique a anéanti les espoirs de réformes fondamentales.
Le mythe s’étiole
Bouazizi a été « martyr héroïque de la révolution », aujourd’hui certains en sont à maudir ce nom. Il serait « oublié, quand on ne lui impute pas carrément l’échec de la Révolution. Son portrait géant sur le mur de la poste s’étiole et jaunit sous le soleil, tandis que les passants feignent d’oublier que tout est parti d’ici. », constate Jeune Afrique. Déjà, les versions à propos de l’auto-immolation divergent. Pour certains, il s’agissait simplement d’une menace, d’un appel à l’aide qui aurait dérapé. L’acte si symbolique dans la psyché de tous, à l’image d’un glorieux hara-kiri pourrait-il être un malheureux accident ?
« Mohamed Bouazizi, de toute façon, c’est un mythe construit de toutes pièces », révèle au quotidien suisse Le Temps, Nader Hamdouni,membre du premier noyau de manifestants de 2010. « Pour mobiliser un maximum de personnes, lui et d’autres compagnons de gauche ont l’idée de répandre la rumeur que Mohamed Bouazizi était un chômeur diplômé, alors qu’il n’avait que le niveau baccalauréat. », ajoute la même source. Le but était d’en faire la victime parfaite : un jeune homme éduqué, originaire d’une région marginalisée, sans perspective et poussé à bout par les dérives du système Ben Ali.  
Et puis il y’a la rumeur de la gifle qui devient le symbole de « l'humiliation de trop ». Lors de la dispute entre Mohamed El Bouazizi et Fayda Hamdi, l’homme aurait touché l’agent de police à la poitrine. Elle l’aurait alors giflé, chose qu’elle a toujours nié. Personne n'est certain d'avoir vu la policière donner le soufflet, pourtant la rumeur se répand. « On a tout inventé moins d’une heure après sa mort. », raconte le militant Lamine Al Bouazizi à Libération.  
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VENDREDI 6 MARS 2020 (Billet 1 / 3)
« UN DIVAN A TUNIS » (1h 28min)
Un film de Manele Labidi, avec Golshifteh Farahani, Majd Mastoura, Aïcha Ben Miled…
Synopsis
Après avoir exercé en France, Selma, 35 ans, ouvre son cabinet de psychanalyse dans une banlieue populaire de Tunis. Au lendemain de la Révolution, la demande s'avère importante dans ce pays « schizophrène ». Mais entre ceux qui prennent Freud et sa barbe pour un frère musulman et ceux qui confondent séances tarifées avec "prestations tarifées", les débuts du cabinet sont mouvementés… Alors que Selma commence enfin à trouver ses marques, elle découvre qu'il lui manque une autorisation indispensable pour continuer d'exercer…
Critique d’une spectatrice sur le Site de « Allo Ciné » :
Premier film de la franco-tunisienne Manele Labidi qui choisit de faire une retranscription de la Tunisie post-révolution en utilisant la satire et la comédie. L'ambiance dégagée est bonne, la galerie de personnages, dont les traits et personnalités sont volontairement grossis et exagérés, est large et amusante.
L'actrice franco-iranienne Golshifteh Farahani est magnifique, tant par son charisme à l'écran, que son jeu naturel et authentique qui colle parfaitement au personnage de Selma, taiseuse mais au tempérament déterminé qu'elle incarne avec brio.
Les thématiques abordées et dénoncées avec humour sont elles aussi assez larges, de la censure à la corruption, le chantage, le système judiciaire et du respect de l'ordre, l'éducation, les aberrances administratives, la place de la femme au sein de la société tunisienne... Tout est traité avec drôlerie et intelligence, chaque aspect est intéressant.
Le film aurait pu aussi être un peu plus punchy en termes de rythme qui est assez irrégulier, et donne plus l'impression d'une succession de sketchs parfois. Mais cela reste quand même un bon premier film.
_______________________________
Comme prévu, nous sommes allés voir ce film (sorti il y a déjà 15 jours) mercredi après-midi et n’avons pas été déçus par rapport à tout ce que nous avions lu à son sujet auparavant.
Certes, c’est un film qui aurait pu être beaucoup plus « percutant » si le scénario avait été davantage travaillé. Mais, dès les premières images, nous sommes tombés sous le charme de Golshifteh Farahani, l’actrice principale. Alors nous avons suivi les tribulations de son installation sans aucun déplaisir, avons ri parfois, souri souvent… nous aurions même voulu que le film continue encore un peu, le temps de voir quand elle allait enfin se décider à « rejoindre » celui qui lui tourne autour depuis le début (la scène de l’alcooltest, une des premières du film, est cocasse et troublante en diable…).
Du coup, les nombreux « petits défauts »… sont restés « petits » et ne nous ont pas empêchés de passer un bon moment.
Un peu généreusement (mais nous assumons), nous avons donné tous les deux ♥♥♥ sur 5 à ce film. Et c’est un film qu’on peut recommander…
Petit aparté à l’intention de Corinne (R.) qui a été gêné par ce détail : si Selma fume dans beaucoup de plans, c’est bien sûr une intention de la metteuse en scène… peut-être pour signifier qu’elle est une jeune femme émancipée, « libre ». Mais nous sommes d’accord, on aurait pu malgré tout réduire d’un demi-paquet sa consommation.
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jayedetunis · 7 years
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Flower power - Jaye © 2017
Flower power – Jaye © 2017
Flower power © Jaye 2017
© Jaye 2017
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7bc · 5 years
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Tunis, place du 14 janvier 2011, haut lieu de la révolution tunisienne, où le matin de ce même jour, des milliers de gens ont scandé "dégage, dégage.." devant le triste bâtiment gris, le ministère de l'intérieur, qui serait mieux rasé. A gauche, l'horloge de l'avenue Habib Bourguiba, que plusieurs forcenés ont déjà escaladée. Au centre, l'hôtel Africa, plus haut bâtiment de Tunis, et sur la droite, l'avenue Mohammed V. #Tunis #Tunisie #Tunez #Tunisia #placedu14janvier2011 #14janvier2011 #avenuemohammedV #avenueHabibBourguiba #NorthAfrica #revolution #7bc (à Avenue Habib-Bourguiba) https://www.instagram.com/p/B0LQmgyHlAH/?igshid=1n96a9ovm6ga8
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defenderoftheearth · 6 years
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«Les gilets jaunes sont à la mesure de l’écroulement de la politique» #AshRévolution «Les gilets jaunes sont à la mesure de l’écroulement de la politique» 29 JANVIER 2019 PAR AMÉLIE POINSSOT Pour le philosophe italien Antonio Negri, les gilets jaunes s’inscrivent dans une mouvance que l’on observe, en Europe et dans le monde, depuis 2011, d’Occupy Wall Street à la révolution tunisienne.
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arablit · 2 years
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A Talk with Seif Eddine Nachi About ‘Une Révolution Tunisienne’
A Talk with Seif Eddine Nachi About ‘Une Révolution Tunisienne’
Special from Arabook.It In January, the French publishing house Alifbata published the graphic novel Une Révolution Tunisienne. The graphic novel has now been published in an Arabic editing by the editorial project Soubia. Arabook had the opportunity to have a chat with the artist Seif Eddine Nachi.  We are grateful to Seif Eddine for his availability, frankness, and humor: his vision of the…
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on a qualifié, sans tarder, avant même qu'elle ne s'achève, de jasmin la révolte tunisienne, qui a eu lieu en effet à sa saison exacte, celle de sa floraison invisible qui embaume les ruelles au passage ; cette année leur doux parfum a couvert celui des violences des rues ; le jasmin pour adoucir la brutalité sourde de la dictature, alléger la fureur du drame, l'allégresse d'un parfum qui offre des armes pour la liberté avec pour limite brutale sa douceur mêlée à l'odeur du sang
© Pierre Cressant
(lundi 17 janvier 2011)
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basilepesso · 6 years
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"Lajmi a, par ailleurs, appelé les journalistes et les propriétaires des médias à fournir plus d’efforts. “Ils doivent être conscients de leur responsabilité vis-à-vis de la société tunisienne surtout en cette période de mise en place du système démocratique”, a-t-il insisté.
Malgré les acquis de la Révolution tunisienne, le processus démocratique a encore besoin d’être consolidé pour éviter le retour à la dictature dont notamment la mise en place de la Cour constitutionnelle, le développement économique, la stabilité sociale et la lutte contre la corruption, a souligné, pour sa part, le ministre des Affaires locales et de l’environnement Riadh Mouakher." (Aussi sur mon Fb, 15/09/2 018) Article du HuffPost Maghreb : “"La démocratie en Tunisie est menacée et le retour à la case départ est possible" alerte Chawki Tabib”
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leia-bessad · 3 years
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J’essaie de m’informer sur mon domaine de prédilection, le graphisme, en regardant des podcasts (France Culture ou Arte par exemple), en lisant (Histoire du graphisme en France, Icônes du graphisme : influences et inspirations d’hier et d’aujourd’hui, Design contemporain le guide…), ou bien en allant explorer des expositions.
Les graphistes engagé.e.s sont une grande source d’inspiration pour moi comme Formes Vives ou Les Graphicants, mais pas seulement. Les compositions singulières des affiches souvent faites de collages de Roman Cieslewicz et celles des couvertures de comics toujours harmonieuses de Brian Bolland me plaisent énormément de par la maîtrise graphique qui en émane. La manière dont Massin traite l’orientation, la taille, la déformation, l’ondulation, et la superposition des typographies dans ses travaux est un modèle de la façon dont on peut utiliser l’écriture pour raconter une histoire. Les images très narratives de Laura Callaghan dont les personnages principaux sont exclusivement des femmes sont inspirantes tant dans le style affirmé de l’illustratrice que dans le réalisme qu’elles reflètent.
Je m'intéresse évidemment au graphisme, mais également au design et ses enjeux dans sa globalité. Je trouve important que les designers prennent en compte l’impact environnemental et social de leurs productions. De ce fait, les démarches responsables des marques aux valeurs éthiques m’inspirent énormément, comme par exemple Freitag, une marque suisse qui crée des sacs à partir de bâches de camions réutilisées, ou encore le studio de design d’Emmaüs, Les Résilientes, qui met la création au service de la réinsertion et le design au service de l’environnement par la fabrication d’objets fait à partir de déchets. Le designer Enzo Mari est un modèle de par ses convictions : ce designer du XXe siècle est le précurseur visionnaire du mouvement anti consumériste “do it yourself”. Ses plans de meubles Autoprogrettazione à monter soi-même ont été une révolution dans le monde du design et ont permis de démocratiser ce milieu. La designer longtemps oubliée parce que femme, Charlotte Perriand est une inspiration de par son engagement social et de par sa vision avant-gardiste du design. Elle s’est imposée en tant que femme dans un milieu dominé par les hommes.
Le féminisme et la lutte pour les droits des femmes prennent une place de plus en plus importante dans ma vie et j’ai envie de le montrer dans mon quotidien. J’essaie de suivre et de m’informer au maximum sur les combats pour les droits des femmes qui restent à mener, que ce soit par le biais d’illustrateur.rice.s qui utilisent leur travail pour éduquer sur le féminisme (comme Marion Spénale, Diglee, ou encore Hubert), des séries ou podcasts qui traitent avec justesse divers sujets sur la lutte pour les droits des femmes (comme Anne with an e, Le bazar de la charité ou bien Libres sur Arte) ou bien tout simplement en me renseignant sur des femmes engagées et inspirantes de par leur combat et leur implication dans la lutte qu’elles ont mené/qu’elles mènent (comme Gisèle Halimi ; avocate franco-tunisienne, Caroline de Haas ; fondatrice du collectif #NousToutes ou encore Giulia Foïs, auteure de ”Je suis une sur deux”.). Chaque posture autour du féminisme m'enrichit.
J’essaie d’acquérir des connaissances en arpentant les galeries d'art contemporain parisiennes. Mais je suis également dans l’hyper actualité du design tous les ans grâce à la Paris Design Week. J’explore des expositions qui mêlent histoire et contemporanéité (Marche et Démarche au MAD, Océan au Muséum Nationale d’Histoire Naturelle) ou des expositions sur des sujets “historiques” (L’exhibitonniste au Palais de la Porte Dorée, Harper’s Bazaar au MAD), j’essaie de me nourrir de tous les champs liés au design mais aussi de toutes les sources complémentaires : littérature, histoire, science… qui pourraient être des tremplins créatifs.
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