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#rayonnante
bernofoot · 2 years
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oliverpeintart · 9 months
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Femme élégante rayonnante Gouache format 50x70 cm pas à vendre
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Maman est tout ça à la fois ! C’est maintenant qu’il faut penser à la fête des mères ! Bougies @bonjourmademoisellebougies dispos en boutique et sur notre eshop ! ✨ Frais de port offerts à partir de 75€ d’achat ✨ Belle journée 😘 #bougie #candle #bonjourmademoiselle #merveilleuse #rayonnante #gourmande #reveuse #voyageuse #zen #romantique #maman #fetedesmeres #mothersday #fraisdeportofferts (at Amiens, France) https://www.instagram.com/p/CdfulInsnsq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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le-journal-catalan · 2 years
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Déroulé festivités d'été à Perpignan !
Déroulé festivités d’été à Perpignan !
Festivites-dete-2022_CMTélécharger
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formulapai · 4 months
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WRONG ONE ! PT1
an Arthur Leclerc social media AU
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scenario: he’s been in a relationship for a few years now, everyone knows that, no one knows with whom it is.
warning:
pai’s words: my first socmed ever !!!
arthur_leclerc added to their story
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charles_leclerc: « remerciez la photographe » non merci (“thank the photographer” no thanks)
clementnovalak: enjoy your weekend bro! 🥳
yourusername just made a post
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📍Maldives
yourusername: enjoyed a nice weekend with great people 🫶 bringing you a little sunshine in your feed, you’re welcome 🌻
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arthur_leclerc: little miss sunshine ☀️
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norman_nato: t’es rayonnante mais oublie pas la crème solaire 😅👍🏻 (you’re glowing but don’t forget to put sunscreen)
yourusername: promis je me suis pas transformée en homard 🦞😂 (promise I haven’t turned into a lobster)
charlotte2304: stunning, baby ! 🥵
♥️ liked by author
username1: you’re so pretty !!
username2: so… who’s in the last pic???
username3: one of her friend ig ?
username4: wasn’t Arthur in the Maldives too ??
username3: maybe they hung out together, they’re best friends
username4: or more.. 🤫🤫🤫
username3: or not.
arthur_leclerc just made a post
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arthur_leclerc: call me captain ! 🧑‍✈️
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victormartinsfr: quel homme! 🤒
arthur_leclerc: 🤣🤣🤣
marcusarmstrong: why put a shirt if you’re not buttoning it, mate ?
arthur_leclerc: it’s fashion, bro
lorenzotl: looking good bro ♥️
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username5: IS Y/N THE MYSTERIOUS GF???
username6: ISTG SHE IS I KNEW IT
username3: so what if she is, if they don’t want to make it public we need to respect it
username7: wait he’s in a relationship ??
username8: have been for a few years judging by his posts and stories but he keeps his gf hidden !!
yourusernameprivate added to their story
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arthur_leclerc: mon amour ♥️ (my love)
leclerc_pascale: mes deux jolis bébés 🥰🥳 (my two beautiful babies)
bffone: GIRL YOU’RE GLOWING
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ekman · 2 months
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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coolvieilledentelle · 4 months
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Cette journée, sera lumineuse, car je le suis au fond de moi. Elle sera rayonnante et douce, car mes pensées le sont également. Elle sera le reflet que je lui adresse. Elle sera la tendresse que j'y apporte. Cette journée sera la mienne, car l'amour, coule en abondance, dans mes veines.
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jeanchrisosme · 5 months
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Il y a ces êtres d'une beauté d'âme insoupçonnée, des âmes rayonnantes que l'on croise parfois tardivement sur notre chemin. On regrette alors de ne pas les avoir rencontrés plus tôt, d'avoir manqué la chance de partager des moments précieux avec eux dès le début de notre parcours. Leurs sourires éclatants, leurs cœurs chaleureux nous laissent penser aux instants manqués, à ces échanges qui auraient pu illuminer nos premiers pas. Mais malgré ce regret, leur présence récente nous rappelle que la magie de leur âme, une fois découverte, continue d'embellir notre route, même si elle a débuté sans eux.
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aurevoirmonty · 16 days
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"[…] le soldat, dans son rapport à la mort, dans le sacrifice de sa propre personne pour une idée, ignore à peu près tout des philosophes et de leurs valeurs. Mais en lui, en ses actes, la vie trouve une expression plus poignante et plus profonde qu’elle ne peut l’avoir dans aucun livre. Et toujours, de tout le non-sens d’un processus extérieur parfaitement insensé, ressort une vérité rayonnante : la mort pour une conviction est l’achèvement suprême. Elle est proclamation, acte, accomplissement, foi, amour, espérance et but ; elle est, en ce monde imparfait, quelque chose de parfait, la perfection sans ambages. La cause n’y fait rien, tout est dans la conviction."
Ernst Jünger, La guerre comme expérience intérieure (1922)
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les-faits-plumes · 4 months
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Au fil de l'aiguille
Sur pied, face à un vase garni de fleurs, elle venait de pousser pour la énième fois du jours, son nœud plus persan que les Abaca-dabra de ses congénères mises dos aux murs du grand patchwork brodé par les pièces multiples du foyer familial. Rayonnante, malgré le temps qui passe, son caractère était de plus en plus élaboré, un peu à l’image de la dentelle de ses Abruzzes reliée aux fuseaux…
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orageusealizarine · 5 months
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COMMENT être pleinement vivante ?
Vous m'avez dit laisse tomber les concours et les livres, sors des bibliothèques (s'il te plaît) et de l'amour du dix-neuvième siècle : ne te prostitue pas pour de l'argent (et je sais combien tu en aurais envie, d'épouser n'importe quel.le riche pour son argent seulement), abandonne l'idée du confort et ose, viens, rencontre-moi, allons où tu voudras
Vous m'avez dit d'écrire, de me mettre à nu, de sécher mes larmes et de continuer de rire et de danser, vous m'avez dit des silences qui furent comme des coups de poignard anonymes et des tremblements ; tu m'as dit VIS, JE T'EN PRIE, tu m'as dit à quel point la réalité était un courage et que mon écriture avait toute l'exigence de la violence,
Et vous m'avez dit et répété que mes mots déchiraient, déchiraient ce réel auquel j'en veux tant, étaient plus forts, plus forts - mes mots à moi ; vous m'avez nimbée de je ne sais quelle oracle ; je me suis désertée de ma propre enveloppe : je me suis faite à l'image de n'importe quel miracle.
Vous m'avez dit combien au mot "bonheur" je répondais "réalité", comme si, comme si cette réalité était la condition du bonheur (puisqu'il n'y a pas de bonheur imaginé - il n'y en a qu'un seul, grandiose, qui se vit à l'instant même), oui, tu m'as dit à quel point j'étais intransigeante et je tapais des pieds, à quel point mon propre ego me faisant mal : tu m'as dit sors de ta prison - est-ce que j'étais folle, enfermée ou si j'étais libre de mes mouvements, qu'est-ce qui m'empêchait de courir, partir ?
Vous m'avez dit ose, vis, sois
Pleinement -
Et je suis
Plus grande que mes malheurs - une esthète, une œuvre d'art, délicate et généreuse - mieux : rayonnante
Et je serai - chaleureuse, altruiste, pleine de santé, tonique, je plongerai mes mains dans la terre - amicale - mes yeux ont la beauté des étoiles - magnifique la vie que je voudrais répandre sur tous ceux qui m'entourent
Tremblante, ma voix amoureuse, dans les parcs et les magasins, tant et trop de délicatesse - la feuille à peine détachée de l'arbre, légère, légère, tourbillonnante
Je voudrais m'offrir, je voudrais m'offrir - à toutes les belles âmes qui meurent de froid, donner toute ma beauté et la richesse de mon être - ça serait vivre !
Être encore autre chose qu'un soleil, et plus réelle qu'un astre - ma chaleur et mes enthousiasmes à donner - tout ce qui brille dans mon cœur, tout ce qui déborde, ce que mes bras ne peuvent contenir et encore toute mon âme
Je voudrais tout offrir, tout, tout donner, répandre des morceaux de moi, le meilleur de ma chair, le plus clair de mes mots, le plus pur de mes baisers et ma tendresse et ma sensibilité - j'ai tout et tant à embrasser et la largesse de mon cœur à contenter, à déverser, à ravir,
Mes yeux à ras bords de toutes les merveilles de la terre - que j'aime et que j'aime et que j'aime
Et vous - que je voudrais tant aimer
Pour oser, pour vivre, pour être - dans la clarté du jour, la majesté des soirs, toute la beauté qui m'étreint - pour vous dire mon ivresse d'être en vie, le bonheur qui est encore autre chose et qui n'a rien d'un mystère
Buvez-moi comme un alcool - si seulement, si seulement mon extase pulsante, vibrante, vivante vous prenait à vous aussi - vous parvenait de n'importe où et d'ailleurs...
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Autre chose que la diarrhée macronarde habituelle.
Je n'ai pas plus d'affinité avec lui aupurd'hui qu'avec son grand-père Charles par le passé, mais cette lettre "vise juste, elle vient au bon moment. Pierre de Gaulle par cet Appel s’est positionné là où il le fallait: au dessus." (Bruno Bertez)
Mes Chers Compatriotes,
En cette fin d’année 2023 et à la veille des fêtes de Noël, qui symbolisent la paix et le partage, je voudrais vous adresser ces quelques mots de confiance et d’espoir.
Cette année fut éprouvante, une année marquée par des guerres, ainsi qu’une profonde crise économique, causée par des sanctions qui n’ont fait qu’appauvrir l’Europe et la France. Une année aussi, qui a vu le retour du terrorisme, aggravant encore le sentiment d’insécurité et la fracture sociale. Notre sérénité collective, nos engagements de solidarité entre les peuples sont ébranlés. Notre Gouvernement et en premier lieu, son Président, ont réussi à nous fâcher avec la plupart des pays du monde, détruisant ainsi des dizaines d’années de diplomatie et abaissant considérablement notre capacité d’arbitrage sur la scène internationale. Notre pays, notre belle France, est confronté à une perte d’identité qui a pu nous laisser, à bien des égards, désabusés.
Nous avons vécu des jours où notre confiance en nos institutions a été mise à rude épreuve, où le contrat social qui nous unit semble se défaire sous le poids des épreuves. Les valeurs républicaines et fondamentales de la famille et de la foi sont bafouées. Il serait aisé de céder au désespoir, de s’abandonner à la morosité, d’abdiquer face à la démagogie. Mais aujourd’hui, je souhaite nous rappeler ce que nous sommes, ce que nous avons été et ce que nous pouvons devenir.
La France, notre pays, n’est pas seulement un territoire délimité par des frontières géographiques, mais une somme d’idées, de principes et d’histoire. Notre nation est bâtie sur des siècles d’aventure humaine, d’invasions, de combats, de victoires et d’une culture rayonnante qui a su inspirer le monde entier. Oui, nous sommes actuellement dans la tourmente, mais n’oublions jamais que dans les pages de notre histoire, chaque crise a été suivie d’une renaissance.
Souvenons-nous des paroles immenses du Général de Gaulle à la Libération de Paris, qui ont bercé La France d’un chant de fierté et de gloire : « Paris outragé, Paris brisé, Paris martyrisé, mais Paris libéré! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l’appui et le concours de la France tout entière : C’est-à-dire de la France qui se bat.»
La France est un grand pays, mais elle ne sera jamais grande sans son peuple, ni sans une jeunesse ambitieuse, avec des aspirations élevées. Elle ne sera jamais grande si les élites qui nous dirigent n’indiquent pas la voie et ne montrent pas l’exemple, avant que le peuple de France ne s’éveille et suivant son esprit de résistance, ne renverse une classe politicienne incompétente et malhonnête. Les Français ont toujours eu ce sursaut. C’est dans nos gênes, c’est dans notre caractère et dans notre histoire. Seul compte, au fil des siècles, la capacité d’un pays à rester grand. La France reste grande assurément, grâce à son peuple, grâce aux sacrifices de nos ancêtres, grâce à vous tous.
Les frustrations que nous ressentons aujourd’hui sont le symptôme d’un besoin de changement, d’une volonté profonde de réaffirmer nos idéaux démocratiques et républicains et de promouvoir un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Un gouvernement où le bon sens n’est pas seulement un idéal, mais la pratique quotidienne. Un gouvernement qui respecte l’esprit de la République et la voix des Français, au sein de débats parlementaires véritables, de référendums pour les questions essentielles et non pas par l’abus de décrets-lois, aveu de mépris et d’impuissance. Un gouvernement qui respecte la Nation, plutôt que de se soumettre à une technocratie étrangère, en refusant notamment de voter des directives européennes iniques et contraires aux intérêts de notre pays. Un gouvernement enfin, qui respecte la famille, les croyances de chacun, la conscience collective et le sacré. Un Président et son gouvernement qui aiment la France et les Français.
Nous avons parmi nous tant de talents, d’artistes, d’entrepreneurs, de défenseurs de nos libertés et de notre santé, de scientifiques, de penseurs et d’artisans qui œuvrent chaque jour à faire de la France cette terre d’innovation et de création admirée de tous. En eux repose l’espoir, l’esprit indomptable du peuple français qui jamais ne s’est avoué vaincu.
Alors à la veille de Noël, laissons de côté nos inquiétudes pour un moment de répit et de fraternité. C’est ensemble, dans l’unité, la solidarité et la volonté, qu’il nous faudra refaire notre présent et bâtir l’avenir pour la réussite de nos enfants. Un avenir où la liberté, l’égalité, et la fraternité ne sont pas seulement des mots gravés sur nos édifices, mais le reflet de notre ardeur et de notre courage.
Que les fêtes de fin d’année soient pour vous et vos familles, un havre de paix et un commencement nouveau. Que l’espoir renaisse dans nos cœurs et que nous retrouvions, ensemble, la force de surmonter les défis qui sont devant nous. Chaque réalisation, si petite soit-elle, est une bénédiction dans les incertitudes de notre époque. Croyez-en vous-même, croyez en notre belle France, croyez en Dieu, quelle que soient vos religions ou vos croyances.
Avec foi en notre pays et confiance en chacun de vous, je nous souhaite à tous un joyeux Noël, et une France toujours plus fière, plus unie, et plus forte.
Vive la République, et vive la France!
Pierre de Gaulle
10 décembre 2023
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Un livre....Une histoire
Si j'avais un franc
Ce premier roman d'Abdelkrim Saifi nous plonge dans l'Algérie des années cinquante en même temps que dans le Nord de la France où l'exil débute pour Korichi son père. L'auteur nous raconte sur quelques décennies, l'histoire de sa famille exilée, du combat de son père, ouvrier, pour une vie meilleure en France. Il est également question de sa mère. Yamina la radieuse. Une véritable ode à cette femme combative et forte quoiqu'il arrive. En dépit des pires tragédies que la vie lui a infligées, elle avance, toujours droite et rayonnante. Enfouissant en elle ses souffrances et ses doutes pour donner à ses enfants une réelle envie de vivre et celle de garder le sourire. Bonheur et malheur se côtoient, se mêlent pour tisser des vies dignes de tous les efforts fournis. Chacun des membres de cette famille finira par voir des portes s'ouvrir sur des métiers, des activités ou un destin dont il peut être fier.
Abdelkarim Saifi témoigne sur la misère et l'exil, sur les difficultés d'intégration qui persistent depuis bien longtemps déjà. En narrant les vies de ces "petites gens" il met en exergue la grande Histoire à laquelle chacun d'entre eux a contribué. En parlant pour eux, il donne de la voix à l'importance de leur existence en ce monde, eux qui n'ont guère eu le droit à la parole, en premier lieu en raison du barrage de la langue à leur arrivée en France.
En cela, le geste est beau.
L'auteur signe ici un récit très lumineux, ancré dans une réalité complexe mais pleine d'espoir.
Abdelkarim Saifi à été journaliste dans le Nouvel Obs et à la Voix du Nord, enseignant à l'université de Lille, puis président d'une fondation de recherche. Il est l'auteur d'une biographie de Pasteur : La rage de vaincre.
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galgadotfr · 6 months
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Gal Gadot, une Wonder Woman rayonnante sans maquillage
Une routine beauté digne d'une super-héroïne Ce n'est pas un hasard si la comédienne possède une peau si éclatante. En effet, Gal Gadot est toujours à la recherche du produit le plus efficace pour avoir un teint rayonnant. «Je met des produits de beauté sur ma peau, et je les change, tout comme mes routines sportives, parce qu'il faut toujours alterner», a déclaré la célébrité au magazine Self. Sa routine comprend pas moins de six produits de beauté venus tout droit de son pays d'origine.
En plus de prendre soin de sa peau, l'actrice le fait également pour sa santé : «Il faut boire beaucoup d'eau, car peu importe la quantité d'hydratant que vous mettez sur votre peau, si vous êtes déshydraté de l'intérieur, rien ne vous aidera», a-t-elle déclaré au magazine Byrdie. Avant d'ajouter dans les colonnes d'InStyle : «J'essaie de consommer un énorme pourcentage de légumes, puis des protéines maigres, et une petite quantité de bons glucides de qualité. Je viens d'Israël, donc je suis un régime méditerranéen.»
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alexar60 · 1 year
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Awa (le mythe d’Eve revisité)
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Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il  suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
-          Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
-          Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
-          Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
-          Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
-          Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
-          Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
-          Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
-          Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
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forget-17 · 8 months
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ayano sumida modèle japonaise est très séduisante et rayonnante 💓
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