So I was on the phone with my sisters and my father and I started getting out vegetables and meat to cook dinner and my Baba said "you're not going to make a tajine now?" (it was around 10.30pm). And I said "it's alright, it's not gonna take too long, I'm just throwing everything into the pan and letting it cook". And my Baba went full offended gasping "oh hell no, if you're going to make a tajine you're going to make it right and that takes at least 45 minutes!". So I said "uuuh, tell me again how it's made, because I think I'm missing something?..."
Turns out I've been making my tajines wrong all along, but now I know how to make them right, so I'll share with you.
Moroccan tajine (for 1 person) :
- onion and garlic to taste
- meat to taste (preferably lamb)
- 2 carrots
- 1 courgette (or half if it's a big one)
- 2 potatoes
- spices
To start:
Cut the onion in thin slices and the garlic roughly. Put them in the saucepan with a bit of water, just enough to cover them but not drown them.
Let them simmer for around 15 minutes, until the onion is melted.
In the meantime get the rest of your vegetables ready.
Once you deem the onion sufficiently translucid, add your meat (sorry, I don't know the timing for vegetarian equivalent meat).
At this point, add your spices. I personally put the classics, salt, pepper and cumin (cumin is very important), and then I add paprika, ginger and rosemary.
Let the meat cook for another 15 minutes or so and add the carrots. Carrots take a long time to cook so you add them before the rest.
Wait for another 20-25 minutes, cooking on slow burn and checking regularly the water. You don't want your sauce to evaporate. The water you add if necessary must be heated.
You can add the rest of your vegetables after 20 minutes, when the carrots are already starting to cook well.
And now you let it all cook gently and slowly until the vegetables are ready. Don't eat immediately, it's very hot! A traditional Moroccan tajine is usually cooked in a clay dish like this, so it's dangerously hot.
And that's it! Quite simple in the end, but it does take a hot minute.
Je déclare la saison du poke bawl multicolore, savoureux, roboratif et léger ouverte malgré la grisaille du plat pays ; le lit est fait d’un riz a sushis assaisonné pareil avec un vinaigre de riz sucre et sel… au dernier moment je rajoute une citronnelle hachée fin-fin-fin.
La verdure d’un fenouil, ciboulette, cebette… celui qui n’est pas coriandre n’en met pas, les autres ils peuvent… la saumure de l’œuf parfait mariné me sert de vinaigrette par dessus avec une (bonne) petite huile de sésame.
J’ai terminé par snacker thon/saumon/noix de Saint-Jacques en unilatérale.
Dans un bol délayez la levure avec une cuillère à soupe de sucre et le lait préalablement tiédi.
Dans le bol du robot, versez la farine, le sel. Faites tourner le robot.
Ajoutez le sucre, le beurre coupé en dés, les deux oeufs, la crème fraîche, la fleur d'oranger puis l'eau et le mélange avec le lait.
Pétrissez 10 minutes à vitesse élevée.
La pâte se détache alors des bords ; elle doit rester collante.
Placez la pâte dans un grand plat, couvrez-la d'un torchon et laissez-la pousser ainsi 3 heures.
Une fois la pousse terminée, renversez la pâte sur votre plan de travail. Chassez l'air en la travaillant délicatement. Séparez-la en deux portions égales.
Prenez chaque portion puis séparez-les de nouveau en deux.
Façonnez chaque pâton dans la longueur puis tressez-les deux par deux. Vous obtiendrez ainsi deux brioches.
Placez chaque brioche dans un moule à cake beurré (ou chemisé de papier sulfurisé).
Laissez à nouveau pousser deux heures.
Préchauffez votre four à 170°C.
Badigeonnez chaque brioche avec un jaune d'oeuf mélangé à une cuillère de lait.
BRÈVE | Berlingoles de Châtellerault : recette oubliée vieille de trois siècles ? ➽ https://bit.ly/Berlingoles-Chatellerault C’était en l’an 1727. La population châtelleraudaise se plaignait de ce que Paul Beaupoil et Guillon Pierre, les seuls apothicaires de la ville, vendaient fort cher « drogues et médicaments »
Extraits du livre de recettes écrit, peint et calligraphié par Danièle Pirodon, 2016.
Une petite merveille pour les yeux et pour les gourmands!
Évidemment, avec de la confiture maison !
"Mon goût du bonheur est un cahier de cuisine personnel. C'est un travail artisanal réalisé à la main. Le projet, ébauché en 2014, a réellement pris corps en 2016. Il conjugue mes trois passions: la cuisine, la peinture et la calligraphie. [...] Ce livre est le fruit de beaucoup de persévérance et d'attention, mais si, par mégarde, il reste quelques imperfections, le seul et unique responsable est Titivillus, le Démon-patron des copistes du Moyen-Age!" Danièle Pirodon, avant-propos du recueil.