Tumgik
#surtout que j'ai souvent juste la fenêtre volante
deescontinuity · 8 months
Text
Salome qui découvre qu'en mettant la qualité à 160p plutôt que 720p, twitch consomme beaucoup moins de données mobiles 👍
2 notes · View notes
lesavocatsdudiable · 5 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
TÉMOIGNAGES D’AUTEURS EN RÉSIDENCE
Dorothée Myriam Kellou et  Marco Caramelli ont séjourné à la Laune, Résidence d’écriture en Petite Camargue, pendant un mois en juillet dans les deux appartements. Ils ont eu la gentillesse de nous laisser ces textes pour témoigner de leur expérience. Un grand merci à tous les deux, ce fut pour nous aussi une très belle rencontre. 
...
Dorothée Myriam Kellou, en résidence du 8 au 26 juillet 2019
Dans le train, en plongeant mon regard dans la nuit bleutée du Gard, je laisse défiler en moi les souvenirs encore naissants de cette résidence.
On quitte un lieu mais il ne nous quitte pas, surtout quand dans ce lieu est survenu une rencontre.
Une rencontre avec soi,
Avec l'écriture,
Avec des paysages,
Avec des bruits qui jamais ne résonnent dans son quotidien. Comme les cigales qui en ce mois de juillet, logées dans les arbres, dans l'herbe ne cessent de chanter.
"C'est leurs chants d'amour" m'a dit avec pudeur Hélène Genetet lors de mon arrivée à la résidence.
Leurs chants d'amour allaient m'accompagner nuit et jour dans l'exercice tantôt joyeux, tantôt éprouvant de l'écriture, dans le plus grand isolement, la plupart du temps.
Pour le rompre, j'allais me balader en vélo, je me laissais aller au doux délire d'une conversation avec les chevaux blancs comme ce paysage illuminé de soleil.
Les taureaux, je les regardais de loin, ces bêtes magnifiques qui au fil des histoires que j'entendais sur elles devinrent, à  mes yeux, effrayantes. "Ainsi un taureau se serait un jour échappé de son enclos et mu par la peur aurai transpercé un cycliste?" "Oui", me confirma Marco, mon voisin de palier qui s'était bien renseigné et avait cumulé des détails sur ce fait divers grâce à Internet. Il me précisa l'année mais j'eus vite fait d'oublier.
Quand je passais près des champs de taureaux en vélo, je me surpris à élaborer dans ma tête des plans de fuite. "Si ce gros-là venait à s'échapper, je pourrais lâcher mon vélo et courir jusqu'à l'arbre. Avais-je assez de force dans les bras pour me porter jusqu'à la première branche? Il y avait sinon le champs de vignes, juste à côté, protégé par les barbelés. Il me suffirait de sauter au dessus. Je risquerai peut-être de me blesser les mains, mais je resterai sauve." Pendant que j'imaginais une issue au pire dans l'arène de mon imagination, les taureaux broutaient paisiblement et des oiseaux blancs - des hérons ? - jonchées sur leur dos étaient bien heureux de déguster leurs parasites.
J'allais aussi au café du coin, à Gallician le plus souvent, avec en poche, mon carnet de notes.
Quel plaisir de traverser, seule sur les chemins, la campagne de bon matin, de m'assoir à la table d'un café qui sert les gens du coin et les cyclistes de passage et écrire, écrire, s'oublier dans l'écriture, perdre le sens du temps et de l'espace, laisser l'agitation parisienne en soi devenir un lointain souvenir, être seule avec soi et l'écriture.
"Vous êtes écrivaine?", me demanda un jour la serveuse.
"J'écris"
Je ne su lui répondre par un statut, juste par un acte. J'écris.
Elle était étonnée de me voir ainsi, assise, prise dans mes pensées, flotter dans mes rêveries et laisser glisser le stylo sur la feuille, lisse.
"Comment faites-vous pour écrire ?"
- "Comme vous entrez là en conversation avec moi, j'entre moi en conversation avec la feuille."
Elle eut envie de s'y adonner, elle aussi.
J'arrachai plusieurs feuilles de mon carnet et lui offris.
A t-elle a posé des mots sur ces feuilles dans la journée? A t-elle a pu trouver un moment de solitude? Il est difficile d'écrire sans solitude.
Et cette solitude, il faut la créer, l'arracher au monde, la forcer à soi.
Aux avocats du diable, elle est là, impossible à fuir. Elle nous attend de pieds fermes chaque soir quand on s'est échappé en ville le temps d'un après-midi. Elle nous rattrape et nous ligote à l'écriture, logée en soi, qu'il faut laisser émerger, attablée au bureau, plongée dans l'eau d'un bain froid en été.
On ne le dit pas assez. Pour écrire, il faut un stylo, du papier, de la solitude et une baignoire pour permettre aux idées et sensations enfouies en soi d'affleurer à la surface, bien immergée sous l'eau, pour pouvoir ensuite les partager comme lors de cette soirée où nous auteurs avons pu lire un extrait de notre travail dans l'intimité d'une nuit chaleureuse où se sont rencontrées tant de sensibilités, des amoureux de l'écriture, des idées et des émotions qui bousculent et nous bousculent.
Après ces trois semaines passées dans ce lieu à jamais ancré en moi, je suis moi-même bousculée. Le dernier soir, j'ai rêvé de ma mort. Ça ne m'était jamais arrivée. Ce rêve annonçait-il un renouveau ? Ou la conscience de ma finitude que seule l'écriture pouvait  déjouer?
Au réveil, j'étais entourée des chants d'amour des cigales et pouvais donc partir rassurée. Elles me l'avaient soufflé. C'était un bon présage.
Merci aux avocats du diable pour cette résidence et de nous offrir la possibilité d'un voyage intérieur !
Tumblr media
...
Marco Caramelli, en résidence du 1er au 26 juillet 2019
Une ancienne école de campagne aux volets azurins, plongée dans le vert des manades, des vignes et des parcs des Mas attenants, vous accueille.
Dans le jardin ombragé, deux tables et leurs chaises en bois vous annoncent que ce sera là qu’après vos exténuantes journées de travail, vous vous détendrez en compagnie d’une bière fraîche ou d’un bon verre de vin, bercés par la symphonie des cigales nichées dans le feuillage des arbres.
Vous traverserez les locaux du Diable Vauvert et croiserez Marion, la patronne, mais aussi ses fidèles collaboratrices, son adorable chien qui se mettra sur le dos pour que vous lui caressiez le ventre, et peut-être même, si la saison est propice, quelques jolies stagiaires.
La fabuleuse Hélène vous présentera votre appartement, accueillant et douillet, confortable et spacieux, parfaitement équipé, délicieusement dallé de tommettes rouges. Mais lorsque vous vous approcherez des fenêtres et découvrirez la vue grandiose qui se dressera devant vous – une rangée de lauriers roses en fleur, des vignes, un enclos peuplé d’adorables chevaux blancs typiques de la région ; plus loin, une majestueuse rangée de cyprès verts comme de la tapenade d’olives et encore des strates de végétation dense à perte de vue –, vous écarquillerez les yeux, votre bouche restera inéluctablement ouverte pour une minute entière, et vous prendrez alors pleinement conscience de ce qu’une expérience unique est sur le point de s’offrir à vous.
Vous rangerez vos vêtements dans la penderie, poserez votre ordinateur portable, vos carnets et vos livres sur la grande table, et pour nourrir ce cerveau qui devra dans quelques instants produire les premiers mots d’une inoubliable littérature, vous descendrez, prendrez place au volant de la Fiat 500 blanche que les Avocats du Diable auront mis courtoisement à votre disposition, et à Vauvert, vous vous garerez sur le parking du supermarché, car le parking du supermarché se situe à deux pas du marché ouvert et des halles, où vous vous ravitaillerez en fruits et légumes frais, en poisson et en gardiane de taureau.
En ce mois de juillet 2019, la chaleur fut si accablante, que je pus tranquillement travailler jusqu’au soir aux dernières corrections de mon manuscrit, et résoudre ainsi les dilemmes linguistiques les plus cornéliens et me défaire des pièges littéraires les plus redoutables.
Vers 18 heures, lorsque le soleil projetait au sol des rayons moins brûlants et l’air devenait un peu plus respirable, j’enfourchais le vélo, et un nouveau spectacle pouvait alors commencer.
Le plus souvent, vous emprunterez le chemin qui longe le canal et serez plongé, que vous décidiez de descendre vers Aigues Mortes ou de remonter vers Saint-Gilles, dans un bain sensoriel unique et voluptueux : de somptueux paysages exhaleront mille parfums, une extraordinaire variété d’oiseux régaleront vos yeux dans le ciel et vous délecteront l’ouïe de leurs chants enchanteurs et célestes, des ragondins moustachus barboteront dans les eaux troubles et embaumantes des étangs d’eau douce, des chevaux blancs solliciteront, en vous hélant d’un hennissement joyeux, une petite caresse sur le museau, et des taureaux enfin, noirs comme de l’ardoise, fiers et majestueux, vous fixeront, de derrière leur enclos, et vous lanceront des regards réprobateurs pour cette somptueuse gardiane dont vous vous serez délecté la veille.
Vous rentrerez à La Laune le cœur chaud et l’âme ivre de béatitude, et pourrez vous désaltérer enfin de cette bière fraîche qui vous attendait, pétillante et servile, dans le frigidaire.
Et puis un jour, après avoir travaillé comme jamais vous ne l’aviez fait jusque-là, les yeux pleins de poésie champêtre, les sens encore empreints d’une infinité de délices, il faudra partir, et votre gorge, en se serrant, et vos paupières, en s’humidifiant, vous rappelleront à quel point vous venez de vivre une expérience hors normes qui demeurera à jamais dans un petit coin privilégié de votre âme.
1 note · View note
allen-kunekune · 5 years
Text
L'avarice du Dragon
Tumblr media
Fried avançait silencieusement sur le chemin, ses yeux s'attardant sur les arbres l'entourant sans pour autant les voir. Son esprit n'était pas à ça. Il était restait à la dispute de se matin, dans la maison qu'ils occupaient tous ensemble.
Il s'était disputait avec Luxus , une grosse dispute. Cela arrivait bien sur de temps en temps d'avoir un désaccord, mais ce matin cela avait été plus fort, plus violent. Fried repoussa ses pensées une nouvelle fois, ne souhaitant pas se rappelais des objets volants dans la pièce et des cries. Il s'était emporté, tout comme Luxus. Plusieurs verres avait étaient brisé et il était sur d'avoir cassé leur canapé comme le blond avait réussi à briser la fenêtre.
A la fin il était simplement partie en se téléportant, refusant de continuait de briser leur maison tandis que Luxus partait s'enfermé dans sa chambre en claquant la porte. Cela avait été pour le mieux. Il était arrivé la guilde quelque seconde plus tard, avec la chance de n'avoir presque personne.
Cela lui avait suffit, peu de monde pour savoir se qu'il faisait là. Le jeune homme n'avais pas hésitait et été partie voir Mirajane qui s'occupait justement des missions. Il avait besoin de partir, de remettre ses idées en forme. Les mots l'avaient blessé plus qu'il ne l'aurait souhaité. Si c'était se qu'on pensait de lui, il ferais sans doute mieux de maintenant travaillait seul et ne plus gêner ses amis.
" Bonjours Mira, j'aurai besoin d'une mission solo s'il te plaît." Simple et directe.
L'ainé des Strauss releva les yeux surprit avant de sourire comme à son habitude. " Bonjours, les autres ne sont pas là ? D'habitude tu demande toujours des missions de groupe."
Décidément elle connaît bien trop les habitudes des membres de la guilde. Freed n'avais pas l'esprit à ça néanmoins pour le moment. Il avait juste envie de partir quelque pars quelque jours pour juste être seul et réfléchir, pas félicité la barman pour ses bonnes attentions.
"Non, j'ai besoin de partir seul quelque temps. Tu n'aurais pas quelque chose pour moi ? "
Mirajane fut surprise, mais chercha tout de même parmi les nouvelles missions reçus se matin même.
" Je n'ai pas l'habitude de te voir partir seul, tu veux quelque chose en particulier Fried ?"
" Juste quelque chose de pas trop loin pour que je puisse y être dans la journée et qui m'occupe un peu."
La mage acquiesça et fouilla parmi la pile alors que de nouvelles personnes rentraient. Bientôt la guilde serais bondé, et pleine de vie comme à son habitude. Le regard de Fried se déposait sur les nombreuses missions, avant de remarquer une plus petite pile de missions sur le coté. Le jeune homme les prit, les feuilletant rapidement avant de s'arrêtait sur une qui semblais idéale. Elle demandait un mage capable de détruire un vieux sort de protection et d'en installer de nouvelle sur une propriété nouvelle acquis à quelque heur d'ici. Elle avait une paye convenable et demandais un savoir important que Fried savait avoir. Elle pourrait tout autant convenir à Levy et Fried voulu s'assurer qu'elle était bien disponible.
" Celle-ci est elle réserver Mira ?"
" Oh, non mais elle me paraissait peu suspecte. Je ne pense pas que cela soit une bonne idée de la prendre, surtout si tu es seul."
" Non, c'est bon. Je sais me défendre et elle n'est pas très loin en plus en cas de problème."
Mirajan paraissait septique, argumentant qu'il pouvait attendre quelques heurs le temps qu'elle vérifie que l'annonce soit vrais mais le jeune homme resta obstiné. Levy qui venais d'arriver avec Juvia se proposa même de l'accompagner pour rassurer la barman et veillé sur le mage mais Fried refusa toutes demandes. Il partait pour être seul et même si la compagnie de la petite mage était souvent agréable, le sujet de la dispute le revenait doucement.
"Je vous remercie mais ce n'est pas la peine. Je reviendrais dans quelques jours si tu se passe bien et j'ai vraiment envie de faire un travail en solitaire" Sourit 'il, laissant les deux femmes douteuses.
Maintenant Fried se trouvait un peu idiot d'être partit aussi rapidement et pour une mission qui se pouvais très bien être juste une perte de temps voir un piège. Néanmois marchait dans cette foret avait au moins des vertus apaisante. L'après midi était déjà présent et le jeune homme s'imagina quelque seconde si les autres avaient remarqué son absence. Non, ils devaient profité de ne pas avoir leur capitaine sur leurs dos pour une fois.
Les remuts de la disputes revenant lentement et Fried s'obligea à ne plus y songé. Il jetait un nouveau regard au chemin, laissait la pensé de son travail le détendre. Il reviendrait à Fairy Tail détendu après quelque jour à étudier un vieux sort de protection et en installer un nouveau. Il l'avait déjà fait pour leur maison, personne hors de la guilde ne peux rentrer chez eux et ceux même si il vienait à mourir. Il n'avait qu'à faire un autre modèle de se types, quoique un peu différent pour ne pas mettre en péril sa maison ou celle de ses clients. Cela ne lui prendrait qu'une journée ou deux. Le plus dur allait sans doute être de détruire l'ancien sort.
Fière de sa résolution, le jeune homme aux long cheveux continuait sa marche paisible jusqu'au croisement qui indiquer la direction de la maison de ses clients.  Son regard s'attardait sur les vieux panneaux en bois abimer par le temps et presque entièrement couvert de mousse lorsqu'un qu'un bruit suspect résonna derrière lui.
Fried se retourna rapidement mais il ne vit rien d'autre que les arbres et le chemin de terre. Fried secouait la tête, pensant avoir réver quand le bruit de pas se fit plus fort et juste derrière lui.  Le mage runique entendit le coup de feu alors qu'il sautait sur le coté, l'épée sortie et des sorts sur le bout de doigt. Une douleur le fit plisser les yeux, son œil visible s'attardant une seconde sur l'épaule saignante qui laissait une tache sombre sur son manteau.
Quand Fried relevaient les yeux, personne n'était là. Le bois était de nouveau silencieux et si il n'avait pas cette blessure il aurait put jurer avoir entendu ses bruits de pas. Les sens en alerte et prenant soin de placé son dos contre un arbre Fried sentie que trop tard le canon d'une arme dans son dos. Le coup fut douloureux, mais soigneusement placé pour ne toucher aucun organe important.
Deux mains le jetaient sur le sol, renvoyant un choc douloureux dans les deux plais de Fried qui remarqua que trop tard l'absence de son épée. Brisé et jeté plus loin sur le chemin, Le mage runique remarqua que son agresseur ne prit pas la peine d'attacher ses mains. Il avait juste brisé son épée, menace directement et ne cherchait pas à l'empêchait d'utilisé sa magie. Il pouvais sentir le sang se répandre sur son manteau et sa chemise autrefois blanche , mais cela ne l'empêchait pas de bouger malgré la douleur.
Serrant les dents, Fried profitait de voir l'homme lui tournée le dos pour se relevais malgré la douleur provoquer entre ses cotes par le mouvement soudain. Son ennemie avais fait l'erreur de le laissait libre d'agir, et Fried n'allait pas attendre pour l'attaquer.
Le sort s'incrusta sur le dos du long manteau en cuire usé, et l'homme vola loin de Fried dans un surprise évidente. Le jeune homme ne put pas envisager une nouvelle action qu'une forte main ne le saisie. Une poignée de fer se renfermait sur ses mains, un craquement douloureux résonnant  avec le cri de douleur de Fried quand son nouvel agresseur fit plier ses bras dans un angle peu naturel lui laissant ses poignées brisé.
Fried vit la personne qui le tenais sortir de l'arbre contre le quel il s'était réfugier, sa magie étant visiblement la raison pour laquelle il n'avait pas remarquait plus tôt la présence de la femme à la musculature impressionnante. Forcé d'être mis à genoux sur le sol, Fried sentit un coup de pied sur sa plais qui le fit chuter sur le sol mais le laissa loin des mains adverse. Repliant ses bras aux poignées brisées contre son torse dans une tentative d'apaisé la douleur et le protéger, Fried reprenait son souffle difficilement en s'attendant à un nouveau coup qui n'arriva pas.
" C'est suffisant Danaé. Il doit être vivant pour la suite." La voix était calme quoique marquer par le choc de l'attaque surprise de Fried.
" Bien. Laissez-moi juste le rendre plus facile à transporté."
Sa tête fut saisie sans grande délicatesse, la grande main ne laissant aucune chance d'échappatoire qu'en un tissu imbibé d'une forte odeur fut placé sur son nez et sa bouche. Fried se débâtit maladroitement, épuisé et son corps lui renvoyant en permanence des vagues de douleurs avant d'être juste laissait sur le sol peinant à garder les yeux ouverts.
Luxus ...
Cette journée avais si mal commençait pensa t'il. Il avait était idiot et maintenant il était en train de perdre connaissance sur chemin de terre, la douleur de son corps s'endormant alors qu'il perdait lentement connaissance.
Ses yeux se refermaient définitivement, le peu de force qui lui restait partant sous l'effet de la drogue alors qu'il laisser une dernière pensée a ses compagnons. Finalement il se pourrait bien que cette dispute soit son dernier moment avec eux. Il aurait juste voulut un peu plus de temps pour les revoir , s'excusé d'avoir était un si mauvais capitaine.
C'est grognant que Luxus sortie, Evergreen ayant fini par le convaincre de sortir pour aller à la guilde. Le blond refusait toujours d'expliquer aux autres le sujet de la dispute avec Fried , alors Bixrow et Ever attendais des réponses de leur capitaine.
Il devait s'être réfugié à la guilde, parlant sans doute à Mirajane ou d'autre membre en attendant ses amis avec une mission prête pour eux comme toujours. Le blond pardonné et déjà de quoi remplacé les objets cassés.
Cela les surprit de ne pas trouver la tête verte assis quelque part, attendant souriant qu'ils partent ensemble en mission.
" Fried est déjà partie si c'est lui que vous cherchiez." La douce voix de la barman les surprit, mais Mirajane les saluait juste poliment en nettoyant plusieurs verres.  
" Comment ça partie ?" Questionna Ever , prenant place au bar pour pourvoir mieux discuter avec Mirajane.
" Il est venue tôt se matin, se téléportant directement dans la guilde et m'a demandé une mission solo. Il avait l'air troublé mais il a insisté pour prendre une mission et il est repartie aussitôt il y a maintenant bien cinq heurs."
Evergreen jetait un regard noir à Luxus qui grogna, détournant la tête en se sentant maintenant un peu coupable. Maintenant il allait être aussi en froid avec la seule femme de leurs groupe pensa t'il. Bien qu'elle est une bonne raison de lui en vouloir mais tout va se résoudre comme toujours non ? Fried ne laissait jamais le temps au blond qu'il s'excuse qu'il était pardonné.
"Et il a pris quel genre de mission ? On peux surement le rejoindre !" S'exclama Bixrow optimiste mais Mirajane secoua là tête. "Il a demandé à être seul et à refuser Levy qui voulais bien partir avec lui. Il ne voulais pas être accompagné." Elle soupira avant de reprendre. "Je ne sais pas comment il a put être mit dans un telle état. Mais normalement il devra être de retours d'ici la fin de semaine." Fini la mage, tentant de terminait sur une note plus joyeuse.
Luxus grogna avant de se dirigeait vers la porte. Pas la peine de resté si Fried ne serais pas de retours plusieurs jours.
" Luxus ? "
" Il en aura vite fini de cette mission. On l'attend juste avant de prendre une mission ensemble." Sans plus de mot le blond partie, laissant les trois mages s'échangeait un regard.
" Ils se sont disputaient n'est pas ?" Demanda Mira , finissant de laver la pile de verre sale de se midi.
Ever se contenta de soupirer, fatiguer du comporte contradictoire du chasseur du dragon qui n'arrivait pas à communiqué  même avec son équipe depuis quelque jours.
" Tu ne sais pas ou je pourrais trouver Elfman plutôt que de remarquait l'évidence? " Fini par demandais la jeune femme à lunette en ignorant le petit sourire qui se formait sur les lèvres de l'ainée.
Les yeux de Fried s'ouvrait lentement, le sommeille disparaissant pour laisser place à la confusion. Son corps se réveillait lentement avec lui dans l'obscurité flou que ses yeux lui apporté. La première chose qu'il remarqua était ses bras attaché au-dessus de sa tête, de lourd bracelet qui compressait ses poignées et tirait sur tout son corps. Une chaine semblais avoir était accrocher sur chaque menottes et descendait du plafond. A part ses bras rien ne semblais l'empêchait de bouger.
Son épaule et ses cotes était douloureuse, mais il avait était soigné. Ses poignées bougeaient sans douleurs mais rien ne se passait quand il traça une rune. Il devait portait des menottes anti-magies pensa t'il.
Quelque chose se tenait sur sa gorge, un lourd collier que Fried reconnu être comme ses menottes anti-magie. Il n'avait pas fait la même erreur que lors de son embuscade. Le jeune homme devais d'abord trouver le moyen de retirait les lourd fers qui le tenais avant de tentait une fuite.
Sa vision s'adapter au peu de luminosité, le flou disparaissant maintenant qu'il était bien réveillé. Le sol était froid contre ses pied nues, comme le reste de se qui ressemblais à une prison. Le mur humide sur le quel il était attachait, les chaines au mur et les pierres recouverts de mousses. Il devait être sous terre en vue de l'humidité ambiante et le manque de fenêtre.
Fried frissonna quand une porte à sa droite d'ouvrit, laissant la lumière du couloir se rependre dans sa cellule. L'air frais le fit réaliser qu'il n'avait plus de manteau, juste sa chemise sale de son sang et son pantalon.  Deux hommes entraient, refermant la lourde porte de fer et de bois derrière eux. Une chaude lumière continuait de se reprendre de la torche que portait l'homme en retrais , réchauffant un peu les pierres froides et les muscles engourdies du mage de fairy tail.
" Je ne pensais pas que se serais un mage de Fairy tail qui viendrait." Dit soudainement l'homme en avant que Fried reconnu être son agresseur. Il était grand, dans la moyenne et portait des habits usés mais pratique. Un long manteau de cuire qui descendais jusqu'à ses cuisses, recouvrant une partie d'une chemise lâche bleu nuit et un pantalon noir.
Deux yeux rouges rouilles l'observais, un sourire se formant sur les trais de l'homme aux cheveux argentés cours lissé à la vas vite. Fried se contenta de lui renvoyait un regard noir.
" Aucun mage capable de maitriser des runes ne travails seul dans cette guilde mais j'imagine que nous avons eu de la chance." Conclut l'homme.
" Que voulez vous ?!"
Le sourire de l'homme se fit un peu plus grand. " Nous n'avons pas le temps à ça c'est vrais. Maintenant que nous avons notre mage il ne manque plus que de vous convaincre."
" Je ne ferais rien pour vous." Déclara simplement le mage runique. Il n'allait certainement pas travailler pour une guilde noire. Il devait juste attendre de trouver un moyen pour s'échapper.
" Nous avons besoin de quelqu'un pour tracé quelque runes pour nous. Voyez vous nous avons mis la main sur un livre fort intéressant pour convoquer notre propre démon." La voix de l'homme était plus calme et douce de se à quoi il était habituer quand il combattait des guildes noirs. Si Fried l'avait croisé dans une autre occasion, il ne l'aurait pas suspecté d'être dans une guilde illégale.
" Tracez simplement le cercle d'invocation pour nous, ou nous trouverons le moyen de vous faire céder."
La menace était à peine cachée, et Fried douté que leurs moyens de dissuasion soit une simple discutions.
Pourtant Fried garda le silence, ignorant les deux hommes qui s'échanger un regard entendu.
" Je n'attendais pas moins. Va me chercher Danaé , et dit lui d'importer quelques jeux avec elle."
Les autres chapitres sont disponibles sur AO3 et maintenant Wattpad
L'avarice du Dragon AO3
L'avarice du Dragon Wattapad
Tumblr media
1 note · View note