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Tu déteste quand les gens te vois pleurer parce que tu veux être cette fille forte. Mais tu déteste aussi quand personne ne remarque combien tu t'écroule et combien tu es brisée.
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Le temps se mesure en heures. La vie, en émotions.
Antonio Curnetta
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Certains jours, je ne peux affronter le monde extérieur
Je tombe dans les bras de ma mère
Certains jours, j'ai l'impression que personne n'est de mon côté
Puis je regarde dans les yeux de ma mère
Comme un enfant
Dans les bras de ma mère
Où je ne pourrai être blessé
Certains disent:
"tu n'aura pas à te cacher Si tu vis dans la lumière"
Mais je sais que si tu prends la lumière,
Si tu prends la lumière
Tout sera sombre, n'est-ce pas?
Dans les bras de ma mère
Comme un enfant
Où je n'ai pas à me cacher
Je peux montrer mon côté le plus faible
Et elle me dit:
"Chut mon enfant, laisse tes soucis de côté repose toi dans les bras de ta mère"
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T'aimer c'est jouer avec le feu,
Et je suis un incendie.
🔥
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Une femme,
Préserve la paix,
En retenant ses mots,
En ravalent ses maux,
Et en gardant le silence.
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Parfum d'une vie

Les pétales colorés semblent éternels Existence passagère d’une ribambelle De gens qui se confondent Ou de regards qui se sondent Cueillir les instants à la dérive Saisir le temps qui nous prive De plus de vie, de plus d’espoir, Qui laisse derrière nous l’au revoir, Le mystère et les regrets De ce qui a fortement été Les pétales colorés sont mortels Comme tout ce qui est condamné, charnel, Les secondes passagères sont toujours là Bien que l’Être puisse arriver à trépas Les effluves de la vie ont cela de fort Que même la fin ne s’endort Sans nous laisser bercer Par la magie des instants passés Les pétales colorés semblent venir encore A l’aube de la mort… L’être humain est sans conteste, Le mystère qu’il lui reste, Celui parfois absurde et vain Qui conjugue à la fois tout et rien A l’horizon nouvellement créé Il se retrouve désormais Seul…
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La douleur en-dedans
qui comme une gueule acerbe
me dévore :
putréfaction de mes viscères
qui colonise mon corps /
culture inconnue
dont le jus poisseux coule
le long de mes membres malades je
me dépièce dans l’œil
tranchant des soirs que je juge
mortels je
me souviens de tes mains qui semblaient
ne pas exister
au-delà des miennes
inoubliables moulées
dans ma chair qui crève
quelle torture que le désamour.
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“Quand tu te lèves le matin, que tu songes à la journée qui t’attend et que tu n’éprouves que tristesse et ennui, c’est qu’il est grand temps de changer quelque chose à ta vie…”
—
V. H. SCORP
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“Si tu prends la peine d’écouter, tu découvriras que tous les cœurs qui battent disent tous la même chose : “ je veux être aimé…”
— V. H. SCORP
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MAL TOUJOURS…
Pour certains d’entre nous, la vie est un voyage où tout est beau et doux, sans drames et sans orages.
Ceux-là sont bienheureux, tout va toujours au mieux, leur ciel est lumineux et leur futur, radieux.
Leur existence est pleine de joie et de sourires, ils ignorent la peine, ont foi en l’avenir.
Mais pour d’autres, voilà, l’existence n’est rien qu’un long chemin de croix, un enfer quotidien.
Qu’ils aient l’âme fragile ou un mauvais karma, rien n’est jamais facile et rien, jamais, ne va.
Ils luttent à chaque instant, ils souffrent et ils endurent des drames et des tourments si violents et si durs.
Ils se demandent pourquoi leur vie est un calvaire et ce qu’ils ont pu faire pour mériter cela.
Et aux soirs d’épuisement, de douleurs et de larmes, l’envie les prend souvent de déposer les armes.
Moi, je suis de ceux-là, qui se battent sans cesse, et qui, sans cesse, dois ravaler sa détresse.
Et si parfois l’amour m’apaise quelques temps, je sais bien, pour autant, que j’aurai mal toujours…
V. H. SCORP
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“Elle est comme un phare qui émet des éclairs de chagrin chaque fois que son esprit atteint un paroxysme d’émotion trop violente pour être contenue.”
— Colleen McCullough, Les oiseaux se cachent pour mourir
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“L'âme d'une belle personne est un havre de paix où le cœur s'abandonne sans honte ni secrets, elle est comme un grand feu qui réchauffe le corps, comme un coin de ciel bleu dans le gris du décor…”
—
V. H. SCORP
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“C'est un vrai combat de titans que d'arriver à croire en soi malgré le doute permanent qui ne cesse de nous hanter…”
—
V. H. SCORP
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