KINEMA ist ein Schulkinoprojekt im Rahmen der Regionalpartnerschaft zwischen dem Land Niedersachsen und der Region Haute-Normandie. Die Zielsetzungen des Projektes liegen zum einen im Bereich der filmkulturellen Erziehung, zum anderen im Bereich des interkulturellen Lernens. In jedem Schuljahr werden ein deutscher und ein französischer Filmbeitrag ausgewählt, die das Zentrum vielseitiger Begegnungen für die teilnehmenden Lerngruppen und ihre Lehrer (sechs aus jedem Land) bilden. Genaueres zu diesen Begegnungen erfahren Sie auf den folgenden Seiten. KINEMA versteht sich als dialogisch ausgerichtetes Projekt. Seine wesentlichen Aufgaben bestehen darin, den Dialog über kulturelle und sprachliche Grenzen hinweg zu fördern und den Dialog zwischen Filmkunst und Filmerziehung zu intensivieren. KINEMA est un projet qui s’inscrit dans le cadre du partenariat entre la Région Haute-Normandie et le Land de Basse-Saxe. Les objectifs de cette opération relèvent d’une part du domaine de l’éducation à l’image et d’autre part du domaine de l’apprentissage interculturel. Au cours de chaque année scolaire sont choisis un film français et un film allemand qui constituent le noyau de nombreuses rencontres pour les classes participantes (six par pays) et leurs professeurs. Les pages suivantes vous donneront des précisions sur la nature de ces rencontres. KINEMA se définit comme un projet favorisant l'apprentissage des langues par le dialogue. Ses principaux objectifs consistent à promouvoir l'échange par-delà les frontières linguistiques et culturelles et à intensifier le dialogue entre le milieu éducatif et le milieu professionnel du cinéma.
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Yam Dam - "Leicht, locker und interessant."

Wir präsentieren die finale Kritik zu dem Film "Yam Dam" (R: Vivian Goffette) von den Schülerinnen Marta Tomé und Theda Kriegel.
Der belgische Film „Yam Dam“ wurde 2013 von Regiesseur und Autor Vivian Goffete umgesetzt.
Der Film erzählt von einem glücklich verheirateten, etwa 40-jährigen Tierarzt (Fabio Zenoni), der einem Afrikahilfe-Verein vorsitzt. Eines Tages steht eine junge Afrikanerin (Clarisse Tabsoba) überraschend in seinem Wohnzimmer und fordert ihn dazu auf, ihr zu helfen, eine Möglichkeit zu finden, in Belgien zu bleiben. Es stellt sich heraus, dass der Protagonist im Rahmen des Afrikahilfe-Programms ein Praktikum in seiner Tierarztpraxis angeboten hat, um jemandem eine Chance zu geben, für eine Weile legal in Belgien zu bleiben. Seine Frau (Valérie Lemaître) ist über die Ankunft der gutaussehenden Schwarzhäutigen nicht sehr erfreut. Die viele Zeit, die der Tierarzt zusammen mit seiner Praktikantin verbringt und das Engagement, mit dem er ihr hilft, sorgen bald für Gerede im Ort und Eifersucht bei seiner Frau, was sich als nicht unbedingt unberechtigt herausstellt... Dabei erfährt der Zuschauer unter anderem auch, was „Yam Dam“ bedeutet.
Der Film ist recht einfach gehalten, die Sprache und die Kleidung der Darsteller sind alltäglich. Die Kameraführung, sowie die Farbgebung und der Schnitt fallen ebenfalls nicht besonders auf. Sie sind sehr realitätsnah und erzeugen dadurch den Effekt, dass sich der Zuschauer besser mit den Charakteren identifizieren kann. Der Film kommt weitgehend ohne Musik aus, einzig bei besonders gefühlvollen Szenen werden einfache Melodien eingespielt.
Allgemein ist der Inhalt des Filmes gut zu verstehen, da die dargestellten Situationen und Charaktere einem bereits aus anderen Filmen oder aus dem Alltag bekannt sind. Bei bestimmten Szenen bringt einen die Geschichte aufgrund kindlicher, naiv neugieriger Züge zum Lächeln, sie ist aber nicht erschütternd oder schockierend. Die Geschichte ist leicht, locker und interessant. Als ein Mangel könnte allerdings das Fehlen von Spannung gesehen werden. Der Film hat keinen wirklichen Spannungsbogen; als typischer Actionfilm-Gucker kommt einem Yam Dam womöglich langweilig vor. Die Besetzung der Rollen ist gelungen, besonders die beiden Hauptdarsteller, die den Tierarzt und die Afrikanerin spielen, haben ihren Job sehr gut gemacht.
Uns persönlich hat der Film gut gefallen, für eine kostengünstige Umsetzung einer schönen Geschichte ist er sehr gelungen. „Yam Dam“ ist auf jeden Fall einen Kinobesuch wert, wenn Sie nach ungezwungener, unanstrengender Unterhaltung suchen. Von uns bekommt er drei von fünf Sternen.
Theda Kriegel und Marta Tomé
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Der Blinde Fleck - "Tache aveugle... vraiment aveugle?"

Die französische Rezension des Filmes "Der Blinde Fleck" (R: Daniel Harrich) des Schülers Johannes Drews.
La tache aveugle est un petit point dans nos yeux qui est dépourvu des photorécepteurs et donc aveugle: Sur ce point on ne voit rien.
Le filme parle de l’enquête sur l’attentat de la fête de la bière le 26 septembre 1980. Il met en question l´interaction entre la politique fédérale, les medias et les services secrets bavarois en 1980. La dernière instance, y incarné par M. Hans Langemann en tant que directeur du service des renseignements bavarois, essaye de sauvegarder sa position de pouvoir – en dissimulant les résultats de l’enquête et ainsi leur échec politique.
Le journaliste ambitieux de la radio bavaroise Ulrich Chaussy qui est soutenu par l´avocat Werner Dietrich, est frustré par les résultats de l’enquête sur l´attentat. Il y avait une détonation et le service des renseignements bavarois affirme que l’extrémiste de droite, Gundolf Köhler, était le seul qui ait commis ce crime. Poussé par une conviction intérieure, Chaussy fait ses propres recherches et révèle un grand scandale. Le chef de ce service M. Langemann confirme qu’il n´y a aucun doute, que cet acte terroriste était commis par un malfaiteur isolé et non pas par un groupe d’extrême droite - en sachant que c´est faux. En réalité, comme les recherches de Chaussy révèlent, c´était un groupe de malfaiteurs. Mais M. Langemann veut cacher ce résultat pour protéger la politique. Le solitaire serait donc poussé par des problèmes personnels et surtout pas par des raisons politiques représentées par un groupe d’extrême-droite.
Le film est plein de rebondissements ce qui est souligné par les différentes positions de la caméra. Le plan rapproché ou le gros plan montrent que Chaussy est en train de réfléchir ou de révéler un secret. Pour accentuer la tension, la musique de fond devient de plus en plus dramatique et bouleversante. En même temps la lumière est plutôt pâle et faible, dès que le réalisateur incite le spectateur à réfléchir.
En regardant ce film on se sent proche de cette catastrophe, grâce au style documentaire. Mais à mon avis un jeune de 16 ans, sans connaissances approfondies, doit être vraiment attentif et concentré pour avoir la chance de comprendre ce film, étant donné que l’intrigue est très complexe. En résumé, c’est en tout cas un très bon film impressionnant qui amène le spectateur à réfléchir et que je recommande.
Johannes Drews
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Millionen - "Nous sommes très impressionnés."

Eine weitere französische Rezension eines Deutschen Filmes; diesmal ist es "Millionen" (R: Fabian Möhrke), den sich die Schülerinnen Mascha Grawenhoff und Mareile Tietz näher betrachtet haben.
Dès le début du film, le jeu des acteurs est convaincant. Nous sommes très impressionnés – tout particulièrement par le protagoniste du film, Torsten (Andreas Döhler), un homme physiquement attirant. Ses sautes d’humeur provoqués par des tas de changements de sa vie quotidenne amusent le spectateur. Le protagoniste ainsi que les autres acteurs sont convaincants dans leurs rôles. C’est un film dont l’intrigue est facile à comprendre, qu’on ne prend pas toujours au sérieux, mais qui vaut la peine d’être vu.
Ce film traite la question de l’argent, à savoir, si avoir beaucoup d’argent est vraiment nécessaire et si l’argent tient une place importante, voire capitale ou pas dans la vie. Ainsi, il reflète un peu la réalité, parce qu’il montre à quel point une grosse somme d’argent peut tout changer. Le spectateur commence à réfléchir et se demande ce qui compte le plus dans la vie.
Toutefois, le film nous semble peu crédible puisqu’il se termine de manière illogique. C’est la seule chose du film qui nous a un peu déconcertés.
Finalement, nous avons aimé le film et le recommandons, parce que tout en étant drôle, il montre une évidence, que l’argent ne rend pas toujours heureux, qu’il peut au contraire perturber la vie des gens qui se croyaient heureux.
Mascha Grawenhoff und Mareile Tietz
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Yam Dam - "Der Film hat mir gut gefallen."

"Während des 27. Internationalen Filmfests in Braunschweig haben wir uns den Film 'Yam Dam' angeschaut. Dabei handelt es sich um einen belgischen Film aus dem Jahr 2013 unter der Regie von Vivian Goffette. Es ist ein Drama mit einem kleinen Komödienteil." - Julia Labenda
Bei einer Veranstaltung des Afrikahilfe-Vereins nimmt Christian Faustine mit. Sie soll das Publikum belügen und über ihre Arbeit als Tierärztin in Afrika berichten. Dabei erwähnt sie ihren Wunsch, länger zu bleiben. Daraufhin wird Christians Frau eifersüchtig, da Faustine und ihr Mann immer mehr Zeit miteinander verbringen. Es geht so weit, dass er zusammen mit ihr auf der Vespa seiner Frau durch die Gegend fährt und ihr sogar die Vespa schenkt. Dabei wird erklärt, was ''Yam Dam'' überhaupt bedeutet: Faustine nennt die Vespa ''Yam Dam'', da dies, wie die Leute in ihrer Heimat sagen, eine Yamaha für Frauen sei. Das bekommt Christians Frau mit und fasst einen Entschluss: Sie will diese Frau nicht mehr in ihrem Ort haben...
Meiner Meinung nach gibt es an der Regie und am Schnitt nichts auszusetzen. Der Film hat keine Längen, die Übergänge zwischen den einzelnen Szenen sind fließend.. Die Drehorte, wie z.B. die Tierarztpraxis oder der Veranstaltungsraum der Afrikahilfe sind realistisch gewählt. Besonders gut gefallen mir die Landschaftszenen während der Vespafahrt. Die Schauspieler überzeugen und spielen ihre Rollen glaubhaft.
Die Musik spielt eine untergeordnete Rolle, es sind nur wenige Klaviermelodien zu hören.
Alles in allem hat mir der Film gut gefallen. Es gibt zwar ein paar Kritikpunkte, die positiven Aspekte überwiegen allerdings.
Julia Labenda
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Schwestern - "C'est un thème ambitieux."

Die französische Rezension zum deutschen Film "Schwestern (R: Anne Wild) von den Schülerinnen Kira Hoffmann und Isabelle Périard.
Une rencontre particulière c’est le sujet du film ‘Schwestern‘ d’Anne Wild.
Le sujet principal du film et le problème des protagonistes, c’est la recherche du bonheur. C’est un thème ambitieux, mais Anne Wild réussit à montrer ce problème sans imposer de point de vue. Pour autant le film est plutôt à recommander à des gens plus âgés. Le thème est présenté avec beaucoup de sérieux, mais malgré quelques scènes drôles, le film est ennuyeux et a des longueurs.
Kira Hoffmann und Isabelle Périard
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Schwarzer Panther

Die Rezension zum Film "Schwarzer Panther" (R: Samuel Perriard) von den Schülerinnen Enja Künne und Marie Züchner.
Attendez-vous un film captivant et profond qui parle d’inceste? Alors, dans ces conditions, ne regardez pas « Schwarzer Panther » de Samuel Perriard ! 80 minutes d’ennui et de désarroi.
Bien que l’action semble intéressante, elle traîne en longueur étant donné qu’il y a de longues scènes dans lesquels personne ne parle. En plus, on ne comprend pas le rapport entre le titre « Schwarzer Panther » et ce qui se passe. Certes, on sait qu’il se trouve une panthère dans la forêt mais est-ce que c’est vraiment en rapport avec l’histoire ? NON, c’est totalement incompréhensible !
Au bout du compte, nous vous conseillons de ne pas regarder ce film! C’est un gaspillage de temps!
Enja Künne und Marie Züchner
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Yam Dam - "Fesselt den Zuschauer von Beginn an."

Drei weitere Schüler haben "Yam Dam" (R: Vivian Goffette) gesehen und rezensiert.
Es ist ein ganz normaler Tag im Leben des belgischen Tierarztes Christian, der mit seiner Frau auf dem belgischen Land wohnt, jedoch wendet sich alles als er eines Tages von der Arbeit nach Hause kommt und die 26-jährige Faustine in seinem Wohnzimmer sitzt.
Yam Dam fesselt den Zuschauer von Beginn an mit einer Problematik, die nicht alltäglich ist. Obendrein schafft es der Spielfilm trotz der ernsten Atmosphäre, den Zuschauer zum lächeln zu bringen. Die Länge des Films ist angemessen und die Schauspieler waren zudem sehr authentisch. Trotz einer sehr ernsten Problematik, die im sich Film aufbaut, kann Yam Dam sehr mit Witz und Ernsthaftigkeit zur selben Zeit überzeugen. Da die Problematik im Film jedoch sehr ernst ist, ist der Spielfilm unserer Meinung nach nur für ein Publikum jenseits der 16 Jahre geeignet.
Bewertung: 7/10
Jakob Engelmann, Jannick Stühff, Fabian Vermum
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Yam Dam - "Ein erstklassiger , völlig neuartiger Film."

Johannes Drews schreibt die erste Kritik zum Film "Yam Dam" (R: Vivian Goffette). Was der Schüler davon hält erfahrt ihr beim Weiterlesen...
In dem dramatischen belgischen Film von Vivian Goffette noch aus diesem Jahr spielen Fabio Zenoni (als Christian)und Clarisse Tabsoba (als Faustine) die Hauptrollen.
Doch als Faustine vor seiner Tür steht, scheint alles für ihn noch selbstverständlich zu sein. Als er die hübsche Afrikanerin aus Burkina Faso zurückweist und ihr ein Trostgeld in die Hand drückt, um ihr lebe wohl zu sagen, verneint sie dieses und besteht auf seine Hilfe. Er hatte versprochen sie zu heiraten, was nun aber unmöglich ist. Eine Ersatzlösung muss her. In ihrer Selbstsicherheit, die Faustine erstaunlicherweise noch in solch einer aussichtslosen und prekären Situation besitzt, fordert sie seine volle Unterstützung. Christian, der sein introvertiertes Leben und seine Frau nicht vollkommen verlieren will, sieht keine andere Wahl, als die notdürftige Unterbringung in einem Wohncontainer eines Freundes.
Während Faustine sich an das Scheinleben als Tierarztpraktikantin gewöhnt, hofft sie inständig auf einen Mann, der ihren Ansprüchen gerecht wird und sie heiratet. Durch die falschen Hoffnungen die ihr Christian gemacht hat, ist sie verletzt, will aber ein komfortableres Leben führen als in ihrem armen Heimatland. Emotional und Verständnis suchend reagiert sie bei ihrer Rede vor dem Afrika-Verein. Christian, der die ganze Angelegenheit am liebsten verdrängen würde, reagiert äußerst gestresst auf jegliche Art von Fragen, die sein Wohlergehen und die vermeintliche Praktikantin betreffen.
Die häufigen, wie aus dem realen Leben gegriffenen Kamerabilder geben dem Film ein ganz persönliches und tiefgreifendes Flair. Die seltene, aber passende Musik zu den traurigen und mehr oder weniger fröhlichen Szenen, hat eine persönliche Wirkung. Dies erzeugt Publikumsnähe und damit kann sich der Zuschauer viel intensiver mit dem Charakterkonflikt auseinander- und in den Charakter hineinversetzen. Unterstützt wird dieser Prozess von der exzellenten Schauspieler Leistung, die Einen für die intensive Film Zeit in ein anderes Leben katapultiert. Durch die sich mehr und mehr aufbauende Zweisamkeit von Christian und Faustine ist die Hoffnung nach einem allseits bekannten „glücklichen Ende“ unfassbar ergreifend. Die Spannung wird stets gesteigert und Nebenszenen werden eingebaut, die beim Zuschauer ein noch größeres Verlangen nach dem Ausgang des Filmes schaffen.
Ein erstklassiger, völlig neuartiger Film, der die wirklichen Beziehungen und möglichen Handlungsarten der industrialisierten Welt offenbart. Nebenbei: Yam Dam heißt so viel wie „Vespa“.
Johannes Drews
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Suzanne - "Die heile Kindheitswelt und die erwachsene Zerstörung?"

Eine Rezension des Filmes "Suzanne" (R: Katell Quillévéré) von Miriam Müller.
Ein unbekümmertes, kleines Mädchen beim Ballett. Sie tanzt und lacht in die Kamera ihres Vaters. Die kleine Suzanne. Nichts deutet auf den weiteren Verlauf der Geschichte hin. Suzanne wird schwanger. Sie verliebt sich hals über kopf in einen Typen und brennt durch. Zurück lässt sie ihren Vater mit ihrem Sohn Charlie und ihre Schwester, bei der sie vorher gelebt hat. Ende der Geschichte.
Auch dies ist noch nicht das Ende, aber schauen Sie sich den Film selbst einmal an!
90 Minuten, geballt mit Inhalt, der nicht billig oder gestellt wirkt. Die Themen werden ernst und leidenschaftlich vermittelt. Die Emotionen beruhen vor allem auf den schauspielerischen Leistungen der einzelnen Figuren.
Die Hauptfigur Suzanne wird von Sara Forestier gespielt. Suzanne hat lange mittelblonde Haare und ist sehr dünn. Sie trägt eher lässige Kleidung, die weder besonders schick, noch heruntergekommen ist. Ihr Charakter ist sehr vielseitig, denn auf der einen Seite liebt Suzanne ihre Familie, lebt allerdings eher in einem Traum mit ihrer großen Liebe. Ihre Kindheit bzw. Jugend endet abrupt mit ihrer Schwangerschaft. Dadurch geht Suzanne weiterhin auf Partys, beschäftigt sich wenig mit ihrer Zukunft und lebt ihrer Nase nach.
Der Regisseur des Films hat in Suzanne einen Großteil der Probleme heutiger junger Erwachsener verarbeitet. Frühe Schwangerschaften, Drogen, die große Liebe, Familienkonflikte, Berufsprobleme und weitere Themen werden in dem Film aufgegriffen.
Doch obwohl der Film reichhaltig an Material ist, wirkt er nicht überladen.
Viele Themen werden vor allem indirekt angesprochen und trotz der vielen Tiefs hat der Film auch schöne Höhen zu bieten. Z. B. Suzanne, die zwar ihren Sohn verlassen hat, aber doch an ihn denkt und ihm etwas schenkt.
Allgemein bietet der Film vor allem triste Farben und wenig Kontraste. Daher wird vor allem die traurige Seite des Films verstärkt, allerdings wirkt dieses eher authentisch als gestellt.
Musik wird dezent und wenig eingesetzt. Ein Lied sticht bei dem Film besonders heraus, es wird zu Beginn, in der Mitte und am Ende des Films gespielt. Ein eher melancholisches, aber angenehmes Lied. Besonders auffällig ist außerdem, dass der Film über einen sehr langen Zeitraum handelt. Begonnen mit der Kindheit von Suzanne, endet er ca. im heutigen Zeitalter. Erkennen lässt sich dies anhand der Dekoration. Am Anfang gibt es einen sehr alten Anrufbeantworte und zum Schluss einen Laptop.
Auch muss noch einmal hervorgehoben werden, dass die Regisseurin die vielen Themen sehr gut miteinander verknüpft hat. Dadurch konnte der Zuschauer dem Geschehen gut folgen und sich in die Lage der Protagonistin versetzen.
Der Film lässt sich nicht nur Jugendlichen sondern auch Erwachsenen empfehlen, denn es werden viele Konflikte, vor allem innerhalb der Familie thematisiert. Insgesamt zeigt der Film besonders, wie wichtig eine stabile Familie für Heranwachsende ist, aber auch mit welchen Problemen junge Erwachsene heute konfrontiert werden.
Miriam Müller
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Schwestern - "Nous pouvons vraiment recommander le film."

Vorhang auf für die erste französische Rezension des deutschen Filmes "Schwestern" (R: Anne Wild) von Mareile Tietz und Mascha Grawenhoff...
On pourrait dire que les sujets centraux dans ce film sont la foi, la famille et la recherche des choses qui nous rendent heureux dans la vie.
À notre avis, c´est un film réussi qui intéresse les spectateurs. Il nous plaît parce qu’il nous a incité à réfléchir sur les choix importants à faire dans sa vie. En tout cas, tous les acteurs jouent leur rôle de manière très convaincante. C’est vraiment intéressant d’observer les divers caractères qui rendent le film vif et gai. Les humeurs différentes et changeantes des protagonistes et l’atmosphère générale sont très bien agrémentées par la musique. En plus, cet effet est souvent renforcé par les changements de temps – soleil, orage, vent.
En général, nous pouvons vraiment recommander le film, parce qu‘on peut s’y retrouver, car „Schwestern“ décrit l‘histoire d’une jeune femme de nos jours, qui souhaiterait mener une vie bien remplie – et, ce que nous trouvons plus important – qui veut vivre heureux et satisfaite. Enfin nous avons à ajouter qu’il y a beaucoup de moments gais dans le film qui le rendent vraiment amusant pour les spectateurs.
Mareile Tietz und Mascha Grawenhoff
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Suzanne - "Der Film regt zum Nachdenken an."

Rezension des Filmes "Suzanne" (R: Katell Quillévéré) von Pauline Schostok. Weiterlesen um zu wissen, was die Schülerin von dem Film hält...
„Suzanne“ betitelt den französischen Debütfilm der Regisseurin Katell Quillévéré aus dem Jahr 2013, mit Sara Forestier in der Hauptrolle. Der ca. 90-minütige Film handelt von dem Leben Suzanne Merevsky's vom Kindesalter bis zum Erwachsensein. An ihrer Seite stehen von Beginn des Films an ihre jüngere Schwester Maria Merevsky(Adèle Haenel) und der Vater Nicolas Merevsky (Francois Damiens).
Die Protagonisten Suzanne, ein zierliches Mädchen, das im Film oft einen ungepflegten Eindruck macht, ist ein sehr gefühlsbetonter Mensch ohne Nachsichtigkeitsempfinden. Sie handelt frei aus dem Bauch heraus, als sie sich entschließt, ihren Sohn bei ihrer Schwester zu lassen und Julien zu folgen. Ihre Schwester Maria steht jedoch immer hinter ihr, auch als ihr Vater Suzanne zwingen will, wieder ihren Bürojob wahrzunehmen und nicht so viel Zeit mit Julien zu verbringen. Die beiden Schwestern verbindet während des gesamten Films eine sehr enge Beziehung, daher hat Suzanne der Tod Marias umso mehr getroffen. Kritisiert wird durch den Film meines Erachtens nach zum einen die Vermittlung falscher Werte an die Jugend, und zum anderen der trügerische Schein der Liebe. Suzanne steht in großem Konflikt mit ihrem Vater, als dieser erfährt, dass seine Tochter ein Kind erwartet. Doch ihre Antwort auf seine Frage, warum sie das Kind behalten will, ist ein einfaches „Weil ich es will.“ Auf rebellische Art und Weise geht sie mit ihrem Vater und auch ihrer Schwester um. Maria zeigt zwar ähnliche Verhaltensweisen wie Suzanne, als sie beispielsweise ohne Führerschein Auto fährt. Dennoch hat sie immer einen Blick auf die Realität, denn sie ist zufrieden mit ihrem Job und steht auf eigenen Beinen.
Auf jedoch heftige Art und Weise wird in dem Film die Sehnsucht zum Partner dargestellt. Naiv und durch eine „Rosa-rote Brille“ blickend, läuft die Protagonistin durch ihr Leben, tut alles, was Julien will, vertraut ihm blind. Dass dieser ihr gewaltig schadet, merkt sie nicht. Auch dann nicht, als sie seinetwegen ins Gefängnis muss, wo er sie im Stich lässt. Was die Filmeffekte angeht, beschränken sie sich auf die Filmmusik. Umso beeindruckender ist die schauspielerische Leistung der Darsteller, die sich während des Films zu authentischen und überzeugenden Persönlichkeiten entwickeln.
Meiner Meinung nach ist der Film jedem weiterzuempfehlen, der Filme bevorzugt, die mit wenig Action aber grandioser Schauspielkunst eine auf der Kinowand eher unbekannte und ungewöhnliche Art der Gefühle darstellen. Auf schon fast psychisch kranke Weise hält Suzanne an der Liebe zu Julien fest. Der Film wirft viele Fragen auf, die einen mächtig zum Nachdenken anregen und man versucht, Antworten auf ungeklärte Fragen zu finden.
Pauline Schostok
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Suzanne - "Letztlich ist der Film traurig."

Eine weitere Rezension des Filmes "Suzanne" (R: Katell Quillévéré) von Emely Möller und Jamie Willenbrock.
Im französischen Drama „Suzanne“ geht es um das turbulente, verantwortungslose Leben der jungen Suzanne. Realisiert wurde der 94 minütige Film von der Regisseurin Katell Quillévéré 2013 mit den Schauspielern Sara Forestier und Francois Damiens.
Durch Julien gerät sie in die Kriminalität und schließlich wird sie inhaftiert. Nach der Haft versucht sie ihr Leben zu ordnen und unter Kontrolle zu bringen. Doch als sie Julien wiedertrifft, beginnt alles von vorne und sie endet mit der gemeinsamen Tochter Solange erneut im Gefängnis. Ihr Vater hält stets zu ihr und auch ihr Sohn, der in einer Pflegefamilie lebt, steht zu seiner Mutter. Allerdings stirbt Maria bei einem Autounfall. Die Geschichte endet damit, dass Suzanne glücklich im Gefängnis ist.
Im gesamten Film wird sehr wenig gesprochen, die Gefühle werden hauptsächlich durch die Gestik und Mimik ausgedrückt. Die Protagonisten sind sehr häufig gerührt und weinen oft zum Ausdruck von dem, was sie nicht sagen können. Auch auf kräftige, fröhliche Farben wird verzichtet. Durchgehend ist das Bild durch triste Farben ausgezeichnet, die die eher traurige Atmosphäre unterstreichen. Anhand der gezeigten Emotionen, Farben und Kleidung muss sich der Zuschauer oft die Gedanken und Intentionen der Protagonisten erschließen. Die Kleidung trägt viel zur Interpretation bei, da sich Suzannes ungeordnetes Leben und ihre seelischen Probleme sehr in ihrem zerfetzten, unordentlichen Erscheinungsbild wiederspiegeln. Auf Suzannes Gefühlslage wird auch mit der Kamera und der Musik eingegangen. Oftmals werden nur sehr nahe Kameraeinstellungen verwendet, sodass der Zuschauer, wie die Protagonisten selbst, keinen Überblick über das Geschehen und das Umfeld hat. Die Filmmusik untermalt passend die dargestellten Emotionen und zeigt dem Zuschauer, wie manche vermeidlich gefühlsneutralen Sequenzen gemeint sind. Anhand der Musik, der Kamera und des Schauspiels ist der Inhalt meistens gut erschließbar, doch durch mehrmalige Zeitsprünge, muss man sich immer wieder neu orientieren. Als Zuschauer hat man Mitleid mit Suzanne und man fragt sich ständig, wie man selbst handeln würde und was man womöglich besser gemacht hätte, da man zudem viele begangene Fehler nicht nachvollziehen kann.
Letztlich ist der Film traurig und langatmig. Die Handlung ist oft berechenbar und die Darstellung durch die Farbgebung eher trist und altmodisch. Die Schauspieler allerdings haben sehr gut und überzeugend gespielt. Sie konnten alles auch ohne Worte fantastisch rüberbringen und hätten sensiblen Menschen an einigen Stellen durch diese Glaubwürdigkeit eine Träne entlocken können. An sich spricht der Film allerdings keine Jugendlichen an, daher ist er für uns kaum weiter zu empfehlen. Die Handlung zieht sich sehr hin und wiederholt sich eigentlich ständig. Trotzdem sind die Schauspieler nach wie vor zu loben.
Emely Möller und Jamie Willenbrock
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Post Partum - "Nichts für schwache Nerven."

"Post Partum" (R: Delphine Noels) wurde rezensiert von Maximilian Schlürmann und Thore Wienecke. Wer wissen will, was die beiden davon halten liest weiter...
Der Psychothriller „Post Partum“ von Regisseurin Delphine Noels, welcher am 05.11.2013 beim internationalen Filmfest in Braunschweig präsentiert wurde, behandelt das Thema der postnatalen Depression.
Schauspielerin Mélanie Doutey schlüpft hierbei in die Rolle der überforderten Mutter Luce.
Unserer Meinung nach ist der Film eine sehr gelungene Inszenierung, besonders Hauptdarstellerin Mélanie Doutey sticht durch ihre hervorragende schauspielerische Leistung heraus, denn sie verkörpert die Entwicklung einer normalen Frau bis hin zu einer Wahnsinnigen sehr realistisch.
Des Weiteren ist die Atmosphäre des Films sehr kühl und düster, was zur Thematik des Films passt. Diese Kälte wird besonders durch die graue, felsige Meeresumgebung und die größtenteils schlichte Einrichtung des Hauses der Familie erzeugt.
Weiterhin ist der Film nur sehr selten musikalisch untermalt, wodurch oft eine erdrückende Stille entsteht, die das gestörte Mutter-Kind-Verhältnis verdeutlicht. Durch das Fehlen der Musik wird das Weinen des Babys in den Vordergrund gestellt, was Luce maßgeblich in den Wahnsinn treibt.
Der Film ist nicht sonderlich spektakulär und nur mit wenigen Effekten gedreht, allerdings betrachten wir dies ebenfalls als Stilmittel, welches die kühle und bedrückende Atmosphäre bekräftigen soll.
Zusammenfassend kann man sagen, dass wir beeindruckt von dem Film waren, da er sowohl mit dem Drehbuch und der schauspielerischen Qualität als auch mit der Atmosphäre überzeugen konnte.
Jedoch glauben wir nicht, dass er mit Hollywoodproduktionen mithalten kann, da er nicht besonders spektakulär und nur mit wenigen Effekten gedreht wurde. Außerdem bleibt offen, ob das Thema massenkompatibel ist und sich gegen die Konkurrenz durchsetzen kann.
Dennoch können wir den Film nur empfehlen, allerdings ist er nichts für schwache Nerven.
Maximilian Schlürmann und Thore Wienecke
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Suzanne - "Ein Film, der fesselt."

“Suzanne”, die Zweite. Eine Rezension des Filmes von Anna Mohr und Apollonia Oortmann...
Der französischsprachige Film „Suzanne“ von der Regisseurin Katell Quillévéré war der Eröffnungsfilm der „semaine de la critique“ in Cannes 2013.
Trotz des frühen Todes ihrer Mutter und einem oft abwesendem Vater (François Damien), erlebt die Hauptdarstellerin, Suzanne (Sara Forestier), zusammen mit ihrer Schwester eine glückliche Kindheit. Ihr Leben nimmt jedoch eine entscheidende Wendung, als sie sich Hals über Kopf in den verbrecherischen Julien verliebt. Ihre Beziehung erscheint einem sehr realistisch und innig, auch weil Suzanne dafür bewusst ihr „persönliches Happy End“ aufs Spiel setzt.
Mit seiner absoluten Tiefgründigkeit schafft es der Film auch die Schattenseiten des Lebens aufzudecken. Suzanne ist definitiv ein Film, der beweist, dass Kino heutzutage nicht nur aus Klischees und der Oberflächlichkeit einer typisch amerikanischen „Lovestory“ gemacht sein muss. Ein Film, der den Zuschauer auch nach der letzten Szene auf dem Kinositz gefesselt hält.
Anna Mohr und Apollonia Oortmann
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Suzanne - "Spannend und sehenswert."

Bühne frei für die Rezension des Filmes "Suzanne" (R: Katell Quillévéré) von Mascha Grawenhoff und Mareile Tietz...
‚Suzanne‘ ist ein Drama von Katell Quillévéré aus dem Jahr 2012. In den Hauptrollen spielen unter anderem Sara Forestier und François Damiens.
Die Protagonistin wird von Sara Forestier sehr gut und überzeugend dargestellt, sodass wir uns teilweise gut mit ihr identifizieren konnten. Meistens jedoch konnten wir persönlich uns besser mit ihrer Schwester, Maria, identifizieren, weil manche Handlungen der Hauptperson für uns schwer zu verstehen waren.
Es gibt ungewöhnlich viele Nahaufnahmen von Gesichtern in diesem Film, wodurch mehr Spannung erzeugt wird und der Zuschauer eigentlich so mittendrin ist. Auch die Musik, die eher unauffällig ist, passt gut zu den Szenen und unterstreicht die Stimmung.
Allerdings gibt es im Laufe der Handlung viele Zeitsprünge, die nicht besonders deutlich gemacht werden, wodurch wir persönlich etwas verwirrt wurden und den Handlungsstrang teilweise erst einmal nicht mehr nachvollziehen konnten. Außerdem fanden wir es nicht so gut, dass man, eben durch diese Zeitsprünge, manche Beziehungen zwischen Personen nicht ganz verstehen konnte. Am Ende des Films waren noch viele Fragen offen, was einen zwar zum Nachdenken angeregt hat, trotzdem wäre ein weniger offenes Ende unserer Meinung nach besser gewesen.
Da das Schicksal es nicht unbedingt gut meint mit Suzanne, ist die Atmosphäre des Filmes auch oft eher bedrückt und nicht besonders positiv, es gibt viele traurige Elemente. Allerdings ist er dafür sehr fesselnd, man will unbedingt wissen, wie es weitergeht und ob es doch noch ein Happy End gibt. Diese Spannung wird vor allem durch die überzeugenden Schauspieler noch unterstützt.
Insgesamt hat uns der Film eigentlich ganz gut gefallen, vor allem weil das Schicksal von Suzanne fesselnd und spannend dargestellt ist. Obwohl er teilweise unzusammenhängend erscheint, ist er unserer Meinung nach sehenswert.
Mascha Grawenhoff und Mareile Tietz
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Et voilà ... die KINEMA-Jury stellt sich vor...
Gordian Maugg Regisseur / Réalisateur (Jury-Präsident / président du jury)
Philine Behrens 18 Jahre / 18 ans Schülerin in Buxtehude (Niedersachsen) / Élève à Buxtehude (Basse-Saxe) Lieblingsfilme / coup de cœur : Les Choristes (Christophe Barratier) Lachsfischen im Jemen (Lasse Hallström)
Camille Grossmann 17 Jahre / 17 ans Schülerin in Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) / Élève à Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) Lieblingsfilme / coup de cœur : Hunger games (Gary Ross) De l'eau pour les éléphants (Francis Lawrence)
Eske Hilbrands 17 Jahre / 17 ans Schülerin in Leer (Niedersachsen) / Élève à Leer (Basse-Saxe) Lieblingsfilme / Coups de cœur : Les Choristes (Christophe Barratier) Die Welle (Dennis Gansel)
Amalric Lombard de Buffières 17 Jahre / 17 ans Schüler in Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) / Élève à Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) Lieblingsfilme / Coups de cœur : The King’s Speech (Tom Hooper) La Maison de la radio (Nicolas Philibert)
Emeline Roger 17 Jahre / 17 ans Schülerin in Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) / Élève à Verneuil sur Avre (Haute-Normandie) Lieblingsfilme / Coups de cœur : Big Fish (Tim Burton) OSS 117 : Rio ne répond plus (Michel Hazanavicius)
Marie Johanna Trautmann 20 Jahre / 20 ans Studentin in Braunschweig (Niedersachsen) / Étudiante à Braunschweig (Basse-Saxe) Lieblingsfilme / Coups de cœur : Mr. Morgan's Last Love (Sandra Nettelbeck) Night on Earth (Jim Jarmusch)
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Was ist der KINEMA-Blog?
Der KINEMA-Blog ist zum ersten Mal dieses Jahr im Rahmen des KINEMA-Projektes entstanden und soll dazu beitragen die Kooperation der Region Haute-Normandie und des Landes Niedersachsen auszuweiten und dem KINEMA-Projekt mehr Aufmerksamkeit zu Teil werden lassen.
Während des diesjährigen Filmfests werden Schülerinnen und Schüler des 11. und 12. Jahrgangs des Hoffmann-von-Fallersleben Gymnasiums insgesamt sechs französische und deutsche Filme zu sichten und daraufhin im Rahmen ihres Französisch Leistungskurses in 2er bzw. 3er Gruppen zu rezensieren. Die Rezensionen der deutschen Filme werden auf Französisch verfasst, die der französischen Filme auf Deutsch. Der KINEMA-Blog dient als Plattform, auf der die Schüler ihre Rezensionen posten und sich über die Filme austauschen können.
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