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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Les Anges de l’Elysée Réalité
Des clans qui s’affrontent, des têtes qui vont tomber, d’autres qui vont réapparaître, le tout exposé sur l’espace médiatique français. Cette fois-ci cependant les débats haletant ne se déroulent pas sur NRJ12. Après un an et demi d’existence, le « Gouvernement Philippe 2 » va disparaître. Teasé depuis plusieurs jours, le remaniement ministériel se fait désirer comme une punchline de Nabilla.
Arrivé dans l’aventure comme le sauveur, cassant les clivages, devenant même le champion de la terre, Manu doit réagir. Les sondages autour de sa popularité sont au plus bas et il redoute le vote du public. En bon chef de meute il souhaite mettre du renouveau dans son clan et regagner les faveurs des téléspectateurs français. Problème : son frérot Ed’ sent l’affaiblissement du boss et se dit qu’il y a peut-être quelque chose à faire s’il ne veut pas quitter l’aventure prématurément.
Du coup, chacun essaye de surpasser l’autre pour retirer toute la gloire de ce changement tant annoncé. Mais l’heure du prime arrive et les petites querelles repoussent le moment attendu. Ça se fritte, ça veut placer les copains, ça veut garder la face, ça veut montrer qui est le vrai patron. Au final, on assiste à ce qui semble être un triste remake des bouses diffusées par NRJ12. Sauf que là ils savent parler. Et qu’ils sont à la tête de l’Etat.
Corentin Murat
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Inspire Me-Tz : comment, pourquoi, combien ?
Plus encore qu’hier, tout est question d’image aujourd’hui. Pour cette raison, l’agglomération de Metz vient de propulser sa propre marque de territoire qui comprend un logo, un slogan, Inspire Me-Tz, et un fort volontarisme pour vendre le sillon mosellan au-delà de ses frontières.
Devenir visible, lisible et compréhensible de tous, du nord au sud et de l’est à l’ouest. Afin de doper sa notoriété un peu reléguée au second plan, l’agglomération de Metz vient de lancer, avec faste et virtuosité, sa propre marque de territoire.
 Logo, slogan : une identité pensée pour le marketing
Une marque, c’est d’abord un logo, un marqueur visuel, une oriflamme, un précipité d’identité. Désiré par la Ville de Metz et la communauté d’agglomération de Metz-Métropole, celui du territoire messin a été conçu par une équipe d’experts du marketing territorial qui a œuvré, entre autres, pour le bretzel alsacien.
Pour symboliser la région, l’agence lyonnaise MMAP a fait sobre et ludique. Elle a imaginé un blason et un slogan détournable à l’envi autour du nom du chef-lieu de la Moselle, Metz.
Un long travail collégial d’exploration et d’analyse a débouché sur un cri de ralliement lové dans deux quadrilatères imbriqués représentant le QuattroPole, “l’espace pertinent et naturel de Metz Métropole”. Et voici… Inspire Me-Tz, compréhensible en anglais, langue du business international, et en français.
But : devenir un emblème fédérateur
Cette instance aura pour mission de faire décoller et vivre la marque à travers la France et l’Europe. Elle sera appuyée dans sa stratégie marketing par le Club des ambassadeurs de Metz-Métropole présidé par Fabrice Genter, patron du groupe Dumur Immobilier, qui rassemble près de sept cents membres issus principalement du monde économique et politique, et par une troisième entité, Metz destination affaires, qui sera installée le 24 octobre.
Le but avoué est de faire grandir et prospérer, cette signature, censée synthétiser les atouts du bassin de vie (terre d’accueil, de croisements, de culture, d’innovations, frontalière…). Inspire Me-Tz devra devenir un emblème fédérateur, un « bien commun ». La marque aura vocation à figurer sur tous les supports de communication, des entreprises comme des institutions publiques et parapubliques
Coût : 250 000 €
La marque Inspire Me-Tz disposera d’un budget alimenté à parts égales par les entreprises de l’agglomération et les collectivités locales. Pour démarrer, le comité d’animation de la marque devrait tabler sur un peu plus de 250 000 € par an. En attendant, le bébé va être accompagné dans ses premiers pas par un comité de pilotage gouverné par Hervé Bauduin, président de CLAAS France, filiale du premier fabricant mondial de machines agricoles qui détient une usine à Woippy depuis 1959.
Corentin Murat
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Hugo TSR, le dernier samurai mobilise les 5 sens
Un quasi silence radio pendant six ans. Et puis un nouvel album. Hugo TSR reste fidèle à lui-même et sa volonté de demeurer un artiste indépendant. Peu de communication et un travail ultra personnel. Des instrus, à la pochette de l’album en passant bien évidemment par les textes, Hugo TSR a tout réalisé lui-même.
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« Tant qu’on est là » est venu percuter les oreilles du public le 22 septembre dernier. A travers les douze titres qu’il comporte, cet album est un véritable journal intime du rappeur. De son malaise avec les gens de sa génération (jeunes trentenaires), à sa volonté de rester indépendant (choix qu’il avoue être le responsable de sa « faible » notoriété) en passant par une description sombre, froide et percutante du 18e arrondissement de Paris, Hugo TSR se livre.
Il revient beaucoup sur les valeurs qu’il défend en tant qu’artiste indépendant mais reste lucide sur la situation du rap en France. Il va jusqu’à se décrire comme le dernier samurai d’une scène hip-hop underground française qui se meurt selon lui. Dans « Tant qu’on est là », titre éponyme de l’album, Hugo TSR lance : « J'touche pas qu'tes tympans, j'mobilise tes cinq sens ». Une affirmation qui prend tout son sens au moment de l’interlude musicale. Une mélodie au piano, des bruits d’enfants en fond, et une plénitude qui fait quitter l’endroit où l’on se trouve.
L’album est une invitation de l’artiste à découvrir son lieu et mode de vie. Un rappeur qui donne, à travers son album, beaucoup à voir, à entendre, à sentir, à goûter et à toucher.
Corentin Murat
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Le foot us français se transforme
D’importants bouleversements vont avoir lieu dans le paysage du football américain français. Les deux premières ligues vont se voir enrichir de nouvelles équipes et d’un nouveau fonctionnement. Explication des changements à venir.
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Un système “à l’américaine” va être mis en place pour la prochaine édition du championnat Elite, le meilleur championnat de l’hexagone, qui débutera en février. Jusqu’à aujourd’hui, huit équipes s’affrontaient à tour de rôle durant la saison avant d’accéder ou non à des play-offs. Ces phases finales faisaient se rencontrer les quatre premières formations au classement.
Le fonctionnement du championnat sera totalement chamboulé pour la saison prochaine. La première division française sera enrichie de quatre nouvelles équipes et deux conférences vont être créées.
Le territoire sera coupé en deux durant la saison régulière (limite Nord-Sud). Les meilleures équipes se retrouveront pour les phases finales (comme expliqué ci-dessous).
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Ce fonctionnement de saison régulière en conférences est calqué sur ce qui se fait au sein de la NFL, le championnat américain (où les équipes sont réparties entre celles de l’Ouest et celles de l’Est).
La D2 change aussi
La Division 2 est également touchée par les réformes de la Fédération Française de Football Américain (FFFA). Comme pour le championnat Elite, huit équipes s’affrontaient avant que les quatre meilleures ne se rencontrent en phases finales. Si les changements sont quasiment les mêmes que pour la première division, une différence subsiste. Les conférences Nord et Sud compteront deux poules de quatre équipes chacune.
Ces modifications structurelles ont pour but de stabiliser des équipes au plus haut niveau national. La FFFA compte ainsi développer encore plus le football américain au niveau national en comptant sur des clubs forts et stables en France. 
Corentin Murat
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Le “charbonneur” mis à l’épreuve
Arrêté par la police marseillaise en flagrant délit, un revendeur de cannabis s’est vu attribué une peine de six mois de prison ferme assortie d’une mise à l’épreuve par le tribunal correctionnel de Marseille.
“On ne vous crois pas une seconde” martèle le juge du tribunal correctionnel de Marseille face aux explications de l’accusé. Ce dernier, interpelé alors qu’il vendait du cannabis, affirme qu’il ne connaissait celui qui lui a fourni la drogue que depuis quelques heures au moment de son arrestation.
Un argument qui ne passe pas auprès du tribunal. Il est ensuite évoqué le résultat d’une perquisition chez la mère de l’accusé. Mille euros, en liquide, dissimulé dans des vêtements. Pour le juge, cela ne fait aucun doute : l’accusé est un « charbonneur » (NDLR un revendeur de drogue, faisant le lien entre les grossistes et les clients) et connait son fournisseur de longue date. « Les stups c’est basé sur la confiance, il faut que les types qui sont au-dessus de vous s’assurent que vous n’allez pas les doubler, et pour ça ils doivent vous connaître » lance le juge à l’accusé.
L’avocat du « charbonneur » ne défendra pas la version de son client. Il insiste cependant sur le casier judiciaire vierge de l’accusé, ainsi que sa situation sociale délicate, faisant de lui une cible idéale pour ceux désirant écouler de la drogue dans les rues de Marseille.
Le tribunal correctionnel décidera finalement d’infliger une peine de prison ferme de six mois négociable. Mais le juge insistera surtout sur la mise à l’épreuve de dix-huit mois qui attend le « charbonneur » et devrait l’éloigner, en théorie, du trafic de stupéfiants.
Corentin Murat
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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CSA kézako ?
Il est de plus en plus sollicité, cité, demandé. Mais qui est ce Conseil Supérieur de l’Audiovisuel ? Quel est son périmètre d’action et comment s’y prend-il ?
 Les vigies du petit écran ne se cachent pas là où on l’imagine. On ne les trouve pas au Conseil supérieur de l’audiovisuel, tour Mirabeau, en lisière du 15e arrondissement de Paris, se relayant jour et nuit pour débusquer les manquements. Pas besoin : d’autres s’en chargent pour eux. À commencer par les patrons des chaînes de télévision, qui gardent l’œil rivé sur plusieurs écrans et ne manquent pas une occasion de dénoncer à l’institution les concurrents n’ayant pas respecté leurs engagements. BFMTV versus LCI, TF1 contre France 2… Téléspectateurs, associations et élus s’en mêlent eux aussi et déposent force signalements, qui pour une publicité déplacée, qui ou un propos violent. Tous s’insurgent alors en chœur : « Mais que fait le CSA ? »
L’autorité publique indépendante, « gendarme » des ondes et des écrans, a pour mission de « garantir la liberté de communication audiovisuelle ». Un énoncé pompeux qui recouvre des champs multiples. Le danger des écrans pour les enfants, le renouvellement des fréquences, le respect du pluralisme de l’information ? C’est le CSA. Les quotas de chansons francophones, la nomination des PDG de l’audiovisuel public, les dépassements publicitaires ? Encore lui. Si le respect de la loi est à la base de son travail, cela ne l’empêche pas de gérer des situations de terrain. Comme l’incendie d’un pylône, début juillet, qui a privé de télévision 3.200 foyers autour de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (Yvelines). « Nous manquons de moyens humains par rapport à l’immensité des tâches, la masse d’informations et d’images à couvrir », reconnaît Jean-François Mary, conseiller d’État chargé du groupe droits et libertés.
« Nous ne sommes pas le juge de l’humour »
En avril 2016, une nouveauté à première vue anodine a fait exploser les compteurs : le CSA a glissé un lien vers son formulaire de recours dans sa « biographie » Twitter. Cette initiative a coïncidé avec les affaires dites, en interne, « des nouilles » (versées dans le slip d’un chroniqueur de Touche pas à mon poste sur D8), et « de la gifle » (de JoeyStarr à l’animateur Gilles Verdez dans la même émission), dont les internautes, émus, se sont emparés sur @csaudiovisuel. Résultat, quelque 80.000 cas ont été signalés en 2017, contre 8.900 en 2015.
À la direction des programmes, 45 salariés visionnent les séquences incriminées depuis une console dédiée. D’autres applications partagées permettent aux diffuseurs de relever eux-mêmes le temps de parole des personnalités politiques, ou la présence de femmes à l’antenne. En cas d’actualité brûlante, comme lors des attentats de 2015 et 2016, toutes les bonnes volontés sont réquisitionnées pour suivre en direct le travail des chaînes, au bureau ou à la maison sur smartphone. « S’il y a des manquements, les patrons viennent au CSA la boule au ventre », assure Jean Spiri, ex-conseiller au cabinet de Michel Boyon, ancien président de l’institution. Celle-ci peut prononcer une mise en demeure, comme ce fut le cas à l’encontre de la chaîne russe francophone RT France, en juin, pour « manquement à l’honnêteté et à la rigueur de l’information ». Et, en dernière instance, une sanction, comme l’amende de 3 millions d’euros infligée à C8 en juillet 2017. « La loi nous donne pour mission de veiller à ce que les chaînes n’encouragent pas les comportements discriminatoires, rappelle Jean-François Mary. Mais nous n’assurons pas la police du langage et nous ne sommes pas le juge de l’humour. À partir de quelle limite un propos peut-il être considéré comme incitant à la discrimination ? Nous dialoguons en permanence avec les responsables des antennes. » Reste que 40 % des saisines portent sur les retards dans les horaires de diffusion, un point sur lequel l’autorité de régulation n’est pas compétente. Preuve que pas grand monde ne comprend le rôle du CSA au sein du PAF, le paysage audiovisuel français.
Un conseil pointé du doigt
Inutile, trop opaque ou trop lent, le conseil est depuis toujours la cible des critiques. En 1987, déjà, François Mitterrand lâchait une phrase assassine à propos de son ancêtre, la Commission nationale de la communication et des libertés : « Elle ne fait rien qui puisse inspirer ce sentiment qui s’appelle le respect. » Neuf ans plus tard – on en est encore traumatisé tour Mirabeau –, c’est le groupe de rap NTM qui dégainait dans une chanson : « On nous censure parce que notre culture est trop basanée / Qu’on représente pas assez la France du passé / Nique le CSA ! » La rançon de la gloire ? Le reflet, aussi, de l’histoire du paysage audiovisuel français et de ses jeux d’influence depuis plus de trente ans. « Avec la création de la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, en 1982, la loi coupait le cordon ombilical entre les chaînes publiques et le pouvoir, se souvient Pascal Josèphe, ancien dirigeant des programmes et des antennes de plusieurs chaînes et candidat à la direction de France Télévisions en 2015. Ce fut un nouveau souffle, notamment pour les journalistes. Même si la présidente de la Haute Autorité, Michèle Cotta, avait une forte personnalité, parfois interventionniste : on y allait pour soumettre nos grilles de programmes à arbitrage. »
La fameuse CNCL invectivée par Mitterrand succède à la Haute Autorité entre 1986 et 1989, jusqu’à la création du CSA. Depuis, cinq présidents – Jacques Boutet, Hervé Bourges, Dominique Baudis, Michel Boyon et Olivier Schrameck – se sont penchés tour à tour sur la question de l’exception culturelle française dans les années 1990, sur la régulation d’une filière de plus en plus touffue dans les années 2000. « Quand je rencontre des membres en poste il y a vingt ans, on ne parle plus de la même chose, reconnaît la conseillère Nathalie Sonnac, professeure, chargée des sujets économie, concurrence et sport. Avant, les enjeux étaient politiques et de pouvoir. Aujourd’hui, ils sont aussi économiques et technologiques. »
300 hommes et femmes de l’ombre
Le CSA instruit désormais mille dossiers par an, dont 10 % seulement portent sur les questions de déontologie. Dans la grande salle du collège, réuni chaque mercredi au 18e étage, les six conseillers, installés en demi-lune autour du président, plaident leurs dossiers. Depuis son arrivée tour Mirabeau, Nathalie Sonnac s’est mise à la boxe, au sens propre comme au sens figuré. Une fois par semaine, elle monte sur le ring, un œil rivé sur la pendule, surligneur en main. « Quand je suis en plénière, je me dois de capter l’attention, sourit-elle. Comme du temps où j’étais professeur. »
Installés devant les conseillers sur différents rangs, les membres des services chargés d’instruire les affaires montent et descendent les six étages occupés par l’institution à mesure que l’ordre du jour s’égrène. Ces 300 hommes et femmes de l’ombre, diplômés de Normale sup, de HEC ou du Celsa, savent pour certains coder et exploiter les algorithmes. Des têtes bien faites, dont beaucoup sont passées par l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) ou par l’Autorité de la concurrence, opérant à la base un rapprochement que le pouvoir politique songe depuis des années à réaliser par le haut. Devant eux, des écrans tapissent la salle. Selon les semaines, les débats sont plus ou moins houleux. « On nourrit beaucoup de fantasmes sur le CSA qui fait et défait les carrières, regrette-t-on au cabinet du président. Or, les dossiers, que ce soit autour des fréquences radio ou du temps de parole, sont très concrets.”
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Titre incitatif
Coste accroche Hulot à son tableau de chasse
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Chute Pavard
A lui de confirmer désormais, s'il veut obtenir le diplôme suprême de Monsieur Deschamps et friser la mention.
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corentinmjmn-blog · 7 years ago
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Attaque article Netflix
Entre Netflix et Canal +, la guerre des séries dépasse la fiction en France. Un affrontement où chacun se rend coups pour coups en quête de parts de marché supplémentaires. La bataille pour l'audimat promet encore de nombreux épisodes.
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