Text
Douce réunion
Ils étaient enfin réuni. Depuis plusieurs mois, ils avaient été séparé car Paul travaillait au Vietnam pour des ?uvres humanitaires. Dans ce pays, il se faisait souvent regarder par les femmes mais c'est la sienne qui lui manquait. Que faisait-t'elle à la maison. Est-ce qu'elle le trompait car il la connaissait bien et Sandrine aimait la chair comme lui mais saura t'elle résister comme il le faisait. Elle avait préparé un souper pour le réveillons de noël, elle avait mis sa plus belle robe. Ses courbes qui suivait le long de sa robe était invitante. Paul avait attendu si longtemps et n'avait d'yeux que pour elle, toute elle. Il s'était habillé de façon très élégante comme il le faisait toujours. Lorsqu'il est arrivé, il portait son veston et était bien coiffé. Les deux amoureux portait le parfum qui faisait craquer l'autre alors les odeurs s'entremêlait et le désir montait.
Lorsqu'il l'avait embrassé en arrivant, ses lèvres était légèrement humide et le désir avait monté d'un cran. Paul la prenait par les hanches et son toucher l'enveloppait enfin et elle se sentait en sécurité dans ses bras. Le repas, le vin, tout était excellent. Ils avaient discuté de leurs aventures mutuelles car bien que Sandrine était resté au Québec, il lui était arrivé des histoires plus que rocambolesques et ça le rendait attiré vers elle au plus haut point car elle s'en était tellement bien tiré. Ils étaient différents l'un et l'autre mais ils étaient un couple qui se complétait tellement bien. Après le repas, ils passèrent au salon et continuèrent à boire du vin. Soudain, il n'en pouvait plus et l'embrassa de plus belle. Il souleva légèrement sa robe et prit sa cuisse enveloppée dans sa jarretelle. Il adorait lorsqu'elle s'habillait de cette façon car la dentelle lui allait si bien. Il remonta sa main le long de sa cuisse et son touché lui donnait des frissons. Elle se mit alors à se déshabiller devant lui car enfin il l'avait retrouvée. Son dos était d'une beauté et ses fesses le mit en état d'excitation à l'intérieur de son pantalon. Elle le déshabilla ensuite pour découvrir son pénis qui jaillit de son sous-vêtement. Langoureusement, elle se rapprocha et l'embrassa pour ensuite l'insérer autour de ses lèvres. Les lèvres de Sandrine autour de son pénis lui donna des frissons. Il voyait qu'elle frémissait de bonheur et tout était si bon.
Il retira sa culotte doucement et l'embrassa sur les lèvres de son jardin secret. Il se mit doucement à lécher le parfum de ses lèvres et elle frissonna de bonheur, les yeux fermés en regardant vers le ciel. Après un moment, elle se mit assise sur lui et il la pénétra doucement tout en s'enlaçant l'un et l'autre. De bas en haut, les deux sexes étaient en parfaite harmonie. Son pénis était gonflé de bonheur et son vagin le retenait si fort que toutes les inquiétudes qu'ils avaient l'un et l'autre à propos de la distance s'estompèrent. Cela a duré près de 10 minutes. Les amoureux allaient lentement car ils voulaient que ça dure éternellement. Soudain, Sandrine et Paul mirent fin aux mouvements. Ils se rendirent compte que les rideaux était encore ouverts mais il faisait noir alors ça ne les inquiétaient pas. Lorsque ils ont fermé les rideaux, j'étais dehors à les observer discrètement et jaloux de leur bonheur. Je ne sais pas s'ils m'ont vu mais cela ne les dérangeaient probablement pas. Il neigeait ce soir là et ils étaient heureux. J'étais content pour eux alors j'ai continué mon chemin à marcher ce soir là en route pour le réveillon.
Après avoir fermé les rideaux, Paul et Sandrine montèrent à l'étage et leurs ébats continuèrent toute la nuit et durant tout le temps des fêtes.
Joyeuses fêtes xx
1 note
·
View note
Text
Catwoman
L'identité secrète de Batman est Bruce Wayne. L'identité secrète de Catwoman est Sélina Kyle. Ils ne connaissaient pas leur identité secrète l'un et l'autre. Lorsque Batman la pourchassait sur les toits de Gotham City, il ne regardait que son petit derrière. Elle portait un masque et était vêtue de cuir complètement. D'une cascade à l'autre, elle avait voler des diamants et il se devait de récupérer les bijoux. Mais Batman se sentait incapable de la mettre sous les verrous. Elle était d'une beauté incroyable et préférait la pourchasser. Ce soir là ils combattaient l'un et l'autre et Batman tentait de la maîtriser. Lorsqu'il réussi, elle l'embrassa langoureusement. Il mit ses mains sur son derrière de cuir et percevait vraiment ce qui pouvait s'y cacher. Le costume de Catwoman était en une pièce alors il déchira le bas du pantalon pour pouvoir révéler sa chatte qu'il prit du coup. Le cuir frappait le cuir et tout les deux était excité au plus haut point. Le glissement se faisait facilement en elle. Elle se mit alors à le sucer en gardant son masque. Il remarqua ses yeux bleus au travers se qui le rendait hors de lui. Elle prenait bien son pénis et le rouge de ses lèvres lui faisait perdre l'esprit. C'est alors qu'elle sortit un gadget de son costume et s'échappa. En fait, c'est lui qui l'a laissé s'échapper.
Lorsque Batman arriva au manoir, il enleva son costume et se dirigea vers la chambre. Depuis 10 mois, il fréquentait Sélina Kyle et elle était déjà là couchée mais Bruce ne savait pas que c'était la même Catwoman qu'il avait croisé sur le toit. Elle ne le savait pas aussi. Arrivé à la chambre, elle sauta sur lui et prit son pénis dans la bouche car elle avait vraiment faim suite à ce qui venait de se passer sur le toit. Elle le suçait avec vigueur mais avait prit soin d'enlever son rouge à lèvres pour pas laisser de trace. Bruce avait envie de la prendre par derrière. Elle leva son cul bien haut et il la prit au derrière comme il l'avait fait avec Catwoman un peu plus tôt. Catwoman avait été silencieuse sur le toit mais Sélina Kyle gémissait au plus haut point. Alors qu'il s'apprêta à jouir, Sélina sorti sa langue et pris tout ce que Bruce avait à donner. La scène au lit des deux amants était très perverse mais pourtant, Bruce ne pouvait pas s'empêcher de penser à Catwoman et Sélina ne pouvait pas s'empêcher de penser à Batman. Pourtant, ils venaient tout juste d'avoir un scène torride l'un et l'autre sans le savoir.
Ce qu'il faut comprendre dans cette histoire est qu'il se cache en chacun de nous des fantasmes qu'il faut apprendre à explorer. Il faut se donner le mystère et l'aventure dont nous avons besoin pour aller plus loin dans notre couple. Dans l'histoire, ils rêvaient tous les deux d'une chose qui se trouvaient pourtant juste à côté de l'autre. Parlez de vos fantasme à votre partenaire et vous en serez assurément récompensé.
0 notes
Text
Le voyeur
Lorsque j'étais jeune, j'habitais en campagne alors j'étais plutôt gêné avec les gens, avec les femmes alors j'ai développé un p'ti côté voyeur. Lorsque ma voisine de 40 ans allait se changer, je cherchais à la voir nue mais j'avais de la difficulté à la voir. J'étais adolescent et je me cachais dans le noir dans le but de la voir en déshabillé. À un moment donné, elle se mit à la fenêtre habillée toute en dentelle un soir, la lumière ouverte mais ils avaient fermé les rideaux juste avant que leurs débats commencent vraiment.
Un été, ma voisine et son conjoint partirent prendre une marche dans le bois. J'avais pris mon vélo car je connaissait le trajet et je me cacha dans les hautes herbes. Ils passèrent tout près de moi et c'est alors qu'il se mit à l'embrasser. Elle portait son maillot de bain seulement car il faisait chaud alors il a rapidement dévoilé ses seins qu'il se mit dans la bouche tout de suite. Elle se mit alors à le sucer, il était bien membré alors elle devait ouvrir la bouche très grande pour se faire. Suite à cela, il la prit par derrière pendant qu'elle regardait dans ma direction. Je n'osais pas bouger mais elle me regardait droit dans les yeux, j'en étais figé. J'entendais le claquement de son derrière jusqu'à mes oreilles. Lorsqu'il lui jouit dans son visage, elle regarda ensuite dans ma direction…
Elle s'est séparé de son mari, j'avais 20 ans. Elle m'avait invité à venir la voir car on s'entendait bien et j'ai pu visité sa nouvelle demeure. Un moment donné, elle me fait visiter sa fermette et on se retrouve au grenier de la grange. C'est à ce moment que je lui ai avoué :
- Lucie, je t'ai vu une fois baiser dans le bois
Elle me répondit
- Tu es un p'ti pervers toi, qu'est ce que tu voulais voir. - Ta bouche, tes seins, tes mains. Tu es comme un fantasme
Elle se rapprocha de moi et mit sa main dans mes culottes et se mit à me masturber. Ma queue devint tout de suite très dure car elle avait de bonnes mains pour faire des massages. Pendant ce temps là, elle me regardait dans les yeux tout en me crossant le pénis. Elle me dit :
- Touche les mes boules, si elle t'excite tant que ça. Je vais te crosser jusqu'à ce que tu jouisses espèce de pervers. Ça ne se fait pas d'espionner les gens.
Je sorti alors ses beau gros seins de son soutien-gorge maladroitement et elle se mit alors à masturber mon pénis entre les deux. Elle me dit :
- Je fais pas ça souvent mais fourre mes boules petit pervers et profites en bien parce que je déteste les voyeurs
Je me mis alors à fourrer ces seins et ma queue se promenait de ces seins à ses mains en passant par sa bouche. Je voulais profiter de tout ce qui m'excitait tant chez elle. À un moment donné, je pris sa tête et la colla contre mon pénis pour lui jouir sur sa joue, sur ses mains, sur ses seins. Elle en avait plein partout. Lucie m'avait dit qu'elle détestait les voyeurs mais une fois que je lui avait jouit un peu partout sur elle, elle se retourna alors et regarda au loin. En effet, elle avait aperçu un autre p'ti voyeur qui la regardait caché dans le foin depuis le début et le spectacle était en fait pour lui, pas pour moi.
0 notes
Text
La professionnelle
J'avais le pénis craqué et c'était douloureux. Je ne savais plus où aller on m'avait déjà dit que les chiro pouvaient aider à ce sujet. J'ai été chez ma chiro que je vais d'habitude et à l'entrée il y avait Mélanie. Elle me regardait de ses yeux verts, j'en avais mal au pénis car il était sensible à son regard. Elle me fit attendre un peu dans la salle d'attente pour me diriger ensuite à la salle 6.
Mélanie ma chiropraticienne arriva un peu plus tard. Les deux femmes s'appelait Mélanie, son adjointe et ma chiro. Elle me dit : - Qu'est-ce qui se passe ? - J'ai le pénis cracké et c'est douloureux.
Elle me dit :
- Ouch, je peux voir ?
Je me couche sur le dos et sorti mon pénis. Elle s'est mis à le masser doucement et me dit je crois que je vais avoir besoin de mon assistante. Les deux Mélanie étaient donc dans la salle à observer mon pénis. La Mélanie aux yeux verts baissa son pantalon et la chiro applica de l'huile sur ma queue. Mélanie releva doucement sa robe et tassa sa culotte et fit des mouvements de va-et-vient doucement autour. Sa chatte me faisait du bien car elle y allait doucement et droite. Le pénis entrait dans sa chatte et l'huile permettait un bon glissement.
Mon chiro donnait les instructions à Mélanie et disait de monter et de descendre. Une chance qu'elle était là pour superviser. Une fois qu'elle a terminée, elle lui dit de disposer. Mélanie m'a chiro avait un pantalon serré. Elle baissa sa culotte au genou et délicatement elle inséra son petit derrière autour de ma queue. Cette fois ci, elle y alla plus doucement car c'était plus serré. Au début cela était plus difficile à entrer alors elle ajouta de l'huile. Avec ses mains, elle tira un peu plus ses fesses ce qui permit au pénis de pénétrer la chatte de ma chiro. Je sentais que c'était plus critique, elle y allait de bas en haut mais encore plus lentement que son adjointe. Ma queue était extrêmement serré à l'intérieur de son cul alors j'essayais de garder mon pénis bien droit. Un moment donné j'ai senti comme un craquement et c'est ainsi que j'ai su que mon pénis s'était replacé. Elle se releva et on entendit un bruit de succion lorsque ma queue sortie de sa chatte.
Elle dit : - Je pense qu'on a eu.
Elle me dit:
- Prenez cette huile et appliquez en abondamment durant deux semaines sur votre pénis.
Ma chiro et une professionnelle qui connaît les produits apaisant et sait comment replacer mon corps pour tous les maux. Je vous la recommande.
0 notes
Text
Le décoleté
Elle avait pris soin de se préparer pour cette soirée. Elle connaissait cet homme depuis peu de temps mais celui-ci dégageait quelque chose qu’elle n’avait pas ressenti depuis longtemps. Au restaurant, Carla et Philippe se dévorait des yeux. Elle portait une robe avec un décolleté discret mais elle avait une poitrine généreuse et il ne lui en fallait pas beaucoup pour être très invitant. Philippe remarquait la mince ligne de son soutien gorges rouge qui suivait ce décolleté. Il se disait, elle fait exprès la gamine. Philippe observait sa poitrine mais ne le faisait pas discrètement. Il discutait et riait avec Carla, prenait un instant dans les yeux et se retournait vers sa poitrine. Elle adorait ça. Il dit alors à Carla : Bon, terminons le repas si tu veux ta surprise.
Il avait pris un hôtel, chambre 202. Il était passé 21h et lorsqu’ils arrivèrent à la chambre, il lui dit de se mettre un foulard noir sur les yeux qu’il avait pris soin de placer sur le lit. Elle s’exécuta. Les yeux bandé, Philippe admirait à sa guise sa poitrine. Carla ne voyait rien, elle entendait respirer Philippe derrière elle et se demandais ce qu’étais sa surprise. Elle entendit alors la porte s’ouvrir et sentait la présence d’une deuxième personne dans la chambre. Ça l’énervait mais ça l’excitait en même temps. Son corps se mettait à se réchauffer. Elle senti alors les mains fermes de quelqu’un la pencher vers l’avant. Personne ne parlait. Une autre main lui agrippa un sein et se mis à le malaxer. Une autre main prenait ses cheveux et une autre le visage. Carla ouvrait la bouche et cherchait avec ses lèvres les personnes qui étaient dans la chambre. Combien était-il en fait ?
Une main entra dans son décolleté complètement au fond. Son mamelon durcissait à vue d’œil. Elle avait maintenant les seins à l’air. Elle sentait le souffle de quelqu’un au bout du téton. Un doigt caressais son extrémité et de la chaleur arrivait près de l’autre. Elle murmura : Prend le je t’en prie. Soudain une langue la léchait, lui léchait les bouts. Elle n’en pouvait plus, elle se tortillait mais la langue la rattrapait, elle se débattait et les main la retenait. Ils étaient là pour ses seins, pour ses tétons, pour ses boules, peu importe car elle leur mettait au fond de la gorge. Soudain, une autre sensation survenue, elle reconnaissait cette sensation, c’était le bout d’un gland qu’elle percevait. Le pénis dur de l’homme mystérieux lui pénétrait ses seins. Carla gémissais de plaisir, elle n’entendait pas l’homme et ne pouvais pas dire si c’était Philippe.
Le pénis de cet homme sur les seins de Carla la rendait perverse, elle se sentait utile pour ce pénis. Elle voulait que ces seins le fasse jouir, soudain d’autre main pinçait et tournais le bout de ses sein et c'est alors qu'elle senti un liquide chaud jaillir férocement le long de son coup qui descendait sur ces sein. Il y avait plusieurs jet, était-ce le même homme, elle ne savait pas mais se sentait plein de miel. Sa poitrine avait fait jouir encore une fois, et elle était satisfaite. Elle aimait faire jouir de ces seins. Un temps passa, la porte s’ouvrait, elle entendit les pas s’éloigné et Philippe lui dire, tu peux enlever ton foulard. Philippe l’observait assis sur un fauteuil au loin, elle avait le soutiens gorge pendant et les seins mielleux. Est-ce qu’il avait participé, elle n’en savait rien mais Philippe voyait enfin l’intérieur de son décolleté…
0 notes
Text
La pulsion
Il était marié, elle était en couple elle aussi. Pourtant lors d'un voyage au Mexique malgré tout, il n'a pas su écouter ses pulsions sexuelles.
Lors du voyage, il était avec sa femme et plusieurs amis, mais il n'avait que d'yeux pour la jeune cousine de sa femme. Cette petite peste aux yeux bleus qui l'allumaient tellement. Elle était en couple elle aussi alors il n'était pas question pour le mari fidèle de faire quoi que ce soit. Pourtant ils ont flirté, à la piscine, à la plage, c'était léger. L'homme ne donnait pourtant que très peu de signes de son intérêt, mais elle persistait. Ses bikinis, à chaque fois, il l'imaginait nu, la voyait nue au travers et ses formes le mettaient hors de lui. Un soir, il devait aller chercher quelque chose chez elle, pendant que sa femme l'attendait au souper. Elle lui ouvrit, était en sous-vêtements sexy. Elle avait mis ces vêtements pour lui, pour qu'il la voie dans son simple appareil. Son copain n'était pas au Mexique, mais elle avait mis cette lingerie pour lui et elle voulait qu'il la voie. Il a pris ce qu'il est venu chercher et a quitté. Cette situation l'a hanté, il n'a pas suivi ses pulsions. Le soir, il a rêvé d'elle et voici à quoi il a rêvé :
Il cogne à sa porte de chambre et elle lui ouvre dans son simple appareil. Elle part pour s'habiller, mais il lui prend le bras. Il lui dit : où tu vas, tu as mis ça pour qui, tu savais que je viendrais pourtant. Elle lui dit, j'ai mis ça pour toi cette lingerie, cette culotte. Il regarde sa culotte et voit ses formes, elles sont parfaites, il bande. Elle le remarque soudainement et tous les deux sont pris au dépourvu. Il prend la culotte par l'avant et la baisse doucement, il commence à voir sa chatte. Elle n'était pas rasée, mais elle était parfaite. Il commence alors à la caressé et elle sort la queue du pantalon de celui qui l'a caressait si bien. Ils savaient tous les deux que ce devait être rapide alors elle prit la queue dure de l'homme et se l'introduisent dans sa chatte. Elle avait simplement tassé sa culotte et ils firent ensemble le va et viens sur la porte d'entrée. Cela fut court, mais tellement intense et alors qu'il s'apprêtait à jouir, elle lui dit, viens dans mon visage, je veux que tu me jouisses dans la face. Elle le regardait dans les yeux, ses yeux bleus le hantaient, il était en furie après elle, après cette petite peste qui le faisait bander. Mais il jouit alors de toutes ses forces et gémis tellement il fantasmait sur son corps de déesses. Jamais il n'avait éjaculé autant sur une femme.
Et soudain, il se réveilla, rien de tout cela n'était arrivé. Il n'avait pas écouté ses pulsions lorsqu'il avait été à sa chambre. Est-ce qu'il le regrettait ? Non, il était marié, mais par contre il sait pertinemment que les sous-vêtements qu'elle avait mis ce soir-là, elle les avait mis pour lui...
0 notes
Text
Parler pour parler
C'est arrivé avec ma petite amie de l'époque. Nous avions fêté avec des amis et ils avaient trop bu pour prendre la voiture. Ils était donc rester à coucher dans la chambre d'à côté. Pendant que nous étions couché, ma petite amie leur parlait :
- Alors Sophie, on fait quoi demain ?
Pendant ce temps, j'avais une érection terrible sous la couverture. Nous n'étions pas en mode de faire l'amour mais lorsque je me suis retourner, mon pénis s'est retrouvé entre les main de ma petite amie. Elle fut tout autant surprise et se mis a caresser mon engin.
- Je ne sais pas Steph, qu'est ce que ça te tente de faire ?
Elle me pompait déjà assidûment, et je vis la pointe de ses gros seins se durcir. Je me mis alors à les manger et les lécher comme un gourmand. J'étais dur, c'était excitant.
- Eh bien je me disais qu'on pourrait aller marcher en montagne
Je devais être silencieux mais elle avait de gros sein et il est difficile d'être silencieux lorsque tu as d'aussi gros mamelon entre les lèvres. Elle me chuchotait de faire moins de bruit mais me crossait tellement intensément qu'elle était plus bruyante que moi. Je me suis mis alors à descendre vers sa chatte qui était bien mouillé évidement.
- Bien sûr que ça me tente on pourrait partir de bonne heure
Je léchais sa chatte tel un maître que je suis et elle débordait de plaisir mais je n'avais alors qu'une envie, c'était de baiser cette chatte jusqu'à ce que jouisse. Je me foutais un peu d'elle car elle ne faisait que parler pour parler la salope. Je mis alors ma queue entre ses jambes et je me mis à la fourrer.
- Oui, que dirais tu après déjeuner. J'ai pensé faire des crèpes. J'ai plein de fruit.
Pendant qu'elle parlait, je la martelais de coup de hanche et elle adorait ça la petite pute. Je voyais ses gros sein aller de bas en haut et elle se léchais les bouts entre deux mots. Je me disais, mon dieu, elle est maître dans l'art car je l'a baisait très fort et je voulais la faire vaciller mais elle continuait de parler calmement malgré les yeux qui lui virait à l'envers
- Oui, j'adore les crèpes
C'était intense, je n'en pouvais plus de les entendre parler ces deux petite garce comme si de rien était. Je l'avais baisé comme jamais et elle avait garder son calme dans sa voix, c'était incroyable. J'ai jouit tel un pervers qui n'en pouvais plus de leur voix et elle a reçu les tout principalement sur ses gros sein.
Quelque semaine plus tard, le copain de la fille qui était à côté m'a avoué que lorsque nos copines parlais de crèpes, il était en train de la baisé. J'était bouche bée. Elles était toute les deux en train de se faire prendre et se parlait entre eux comme si de rien était. Il y avait deux queue qui les baisait en même temps et elle étaient discutait comme si de rien était. C'était de vrai petite garce ces deux là.
0 notes
Text
La langue
Mon ex belle-soeur avait une grande bouche et étrangement, j'avais remarqué qu'elle avait particulièrement une grande langue. La relation que j'avais avec elle était amicale et lorsqu'on prenait de l'alcool en gang, elle devenait gourmande et se sortait la langue pour lécher tout ce qui lui tombait sous la main. De la crème glacée, de l'alcool, de la nourriture. Un jour qu'elle sortait sa langue, elle a remarqué à quel point je fantasmais sur cette langue. À partir de ce moment là, c'était plus la même chose. Elle faisait exprès pour m'exciter avec son regard et son appétit de gourmande.
Je me suis toujours demandé ce qu'elle était capable de faire avec une queue bien dure entre ses mains. La connaissant, elle gémirait et se mettrait à masturber ce pénis tranquillement. Avec ses grandes mains, elle s'adaptait probablement à toutes les tailles. Mais le comble serait probablement tout ce qu'elle pouvait faire avec sa langue et sa grande bouche. Mettre son pénis dans sa bouche devait être d'une chaleur incroyable. Probablement que lorsque que sa bouche est fermé autour d'une queue, sa langue doit travailler encore au maximum. Je crois que de sucer 2 ou 3 queue ne devait pas l'impressionner vraiment. Elle pouvait en manger une pendant qu'elle caressait de ses main les deux autres. Je crois même qu'elle serait à l'aise avec la grosse queue d'un de mes amis noir dans sa bouche avec la langue qui sort en dessous pour la supporter. Cela devait la faire saliver énormément. J'imagine que sa salive fait un bruit exaltant lorsqu'elle suce un pénis avec tout l'appétit qu'elle aime faire cela. Donner des coups de pénis sur sa langue doit être aussi très excitant. Mais le comble c'est qu'elle adore qu'on lui viennent dans la bouche. En fait, elle le demande et pendant que tous le monde se masturbe devant son visage, elle peut ouvrir très grand sa bouche et sortir sa langue pour qu'on puisse jouir plusieurs à l'intérieur. Ça ne lui dérange pas que tu aies joui un peu dans son visage et dans ses cheveux mais il doit y en avoir sur sa langue et dans la bouche même si ça coule car elle est gourmande.
Tout cela, c'est ce que j'imagine. Je n'ai jamais réalisé ce fantasme car à l'époque, j'étais marié avec sa soeur mais il m'arrive parfois de me souvenir de sa grande bouche de suceuse et sa langue qui aimait lécher les testicules jusqu'au bout de la queue.
0 notes
Text
Bye la grande
Quelqu'un frappa timidement à la porte de sa maison. Elle était arrivé. Il s'était habillé propre et elle était à l'heure. C'était sa collègue du bureau. Son plan fonctionnais bien jusqu'à date. Il est vrai que son invité était timide et elle se demandais un peu pourquoi elle était là mais les réponses allait venir.
- Bonjour Marie-anne, tu peux entrer. Je suis content que tu sois venu. Je l'apprécie je t'assure. - Tu veux boire quelque chose ? - Je prendrais bien un verre de vin blanc lui répondit-elle en souriant timidement.
Sa femme allait arrivé bientôt. Il y a un mois, elle avait dépassé les bornes, elle l'avait encore humilié devant les invités et lui avait lancé du vin au visage. Sa patience avait atteint un point de non retour. Il était prisonnier de cette femme. Le nombre de fois qu'elle l'avait traité de tout les noms et l'injuriait était nombreux. Elle était plus grande que lui et il en avait marre des claques qu'il recevait à gauche à droite et aussi quand elle lui crachait au visage. Il méritait mieux que ça. La porte s'ouvre.
- Salut Edouard, mais c'est qui cette petite conne. Qu'est ce qu'elle fait ici ? - Hey, un peu de respect s'il vous plaît. C'est assez, écoute moi Nathalie, ce soir c'est moi qui reprend le contrôle et c'est toi qui écoute la grande. - Quoi, qu'est ce que tu viens de dire… - Shuuuuuut, il lui mis le doigts devant la bouche. Va t'asseoir s'il te plaît. Tu te souviens la dernière fois que nous avons fait l'amour, il y a près de 8 mois. Tu m'humiliais encore au lit en disant que je ne bandais pas, que j'arrêtais pas de réfléchir et tu mettais tous les échecs de nos ébats sur ma faute. Eh bien je veux te faire comprendre que le sexe ça se fait à deux la grande.
Marie-Anne se leva de la chaise.
- Attend un peu Marie, j'ai besoin de toi, ne t'inquiète pas. Je ne voulais pas que tu assiste à cela mais le reste va aller mieux. - D'accord lui répondit elle qui se rapprocha doucement de lui car Edouard l'attirait beaucoup. Il lui pris doucement les épaules et elle regardais par terre. Il la retourna doucement et l'embrassa légèrement devant sa femme. - Attend une minute lui dit Nathalie en levant le ton ! - Toi tu restes assis et tu regarde la grande.
Les mains de l'homme se dirigea alors vers le petit derrière de Marie-Anne. Elle était très délicate, avait les yeux bleus et de petit sein. C'était tout le contraire de Nathalie. Sa femme était grande, était plus ronde et avait des seins énormes. Il baissa alors son pantalon et sorti son engin qui était à moitié en érection. Marie-Anne rougit alors mais elle trouvais le pénis de Edouard vraiment appétissant. Elle y avait pensé pendant tellement longtemps et le voyait enfin. Il était propre, aucun poil sur les testicules et sur le pénis. Il avait le torse velu mais juste assez et ça s'arrêtait dans le haut du sexe. Elle se mis alors a le sucer doucement. Sa bouche était chaude et Edouard tomba en transe. Il devenait un autre homme, il devenait enfin libre de toute la pression qu'il avait eu dans les dernières années. Elle le suçait tellement bien qu'il en avait des spasmes. Nathalie regardait et au début elle était en furie mais soudainement, la situation l'excitait en même temps au plus haut point. Elle se mis alors a se caresser la vulve en regardant Edouard se faire sucer par une autre femme.
Marie-Anne semblais toujours gêné par la situation alors Edouard était rassurant par ses gestes et ses mots et ça excitait de plus en plus la petite timide. Elle commençait vraiment à mouiller sa culotte par la situation mais ne l'exprimais pas. Par contre Nathalie était plus expressive, elle avait sorti un de ses gros sein de son soutien gorge et se le caressait. Elle était capable de se le lécher avec sa langue. Edouard était extrêmement excité par la situation. Il retourna alors Marie-Anne fermement mais avec passion et la pencha par en avant et lui baissa sa culotte. Il entendit alors Marie-Anne chuchoter tout bas, vraiment pas fort : « Fourre moi s'il te plaît ». Edouard était surpris de ces mots, il la connaissait tellement timide et tout d'un coup elle se laissait aller. Il pris alors son pénis en main et l'inséra dans sa petite chatte. Il se mit alors a faire le mouvement de va et viens et il y avait des palpitations dans l'air. Nathalie avait la vulve toute mouillé. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Elle caressait ses gros seins et voyait Edouard bien bandé et était jalouse de Marie-Anne. Elle voulait que Edouard la fourre dans sa chatte elle aussi.
Marie-Anne se faisais prendre vigoureusement par Edouard et elle commença au début à lâcher de petit cri mais de plus en plus, ses cris prirent de l'ampleur et sa voie chaude et douce mettait Edouard hors de lui. Elle lui cria alors « Fourre mon p'tit cul je t'en prie, je veux sentir ton pénis dans mon p'ti cul ». Edouard n'y comprenais plus rien, il ne reconnaissait plus Marie-Anne mais savais que c'est lui qui la mettait dans tout ces états. Il l'inséra doucement son pénis et se mis a faire les mouvement de va et viens. Nathalie observais la scène et avait déjà jouit plusieurs fois. Marie-Anne se faisait prendre par derrière et dit à Nathalie, « Tu vois, c'est la queue de ton mari bien bandé qui me fourre en ce moment la grande ». Nathalie se mit à jouir de plus belle et dit « Prends-moi aussi Edouard s'il vous plaît, je suis toute à toi ».
Edouard s'arrêta alors tout d'un coup. Il dit alors à Marie-Anne. « Viens avec moi, il serait mieux que l'on parte d'ici. » Edouard quitta l'endroit avec Marie-Anne et ils allèrent faire l'amour ailleurs. Ils voulait garder le meilleurs en privé. Il gardait sa sensualité et sa bestialité pour plus tard, il ne voulait pas le faire devant Nathalie. Ce jour là, c'est la dernière fois qui vit la grande.
0 notes
Text
Ce qui est interdit
Il y a quelque chose d'excitant dans ce qui est interdit. C'est souvent ça le problème. On ne pense pas aux conséquences et on en oublie la raison. L'interdit est dans notre tête car au fond pourquoi est-ce que c'est interdit. L'histoire qui suit est quelques choses qui m'est arrivé mais que je ne ne me suis pas rendu jusque au bout de l'histoire pour toute ces raisons. Tout cela est pour en faire bénéficier le lecteur. Saurez-vous trouver le vrai du faux ?
C'était Josée au téléphone. Je lui dit d'aller me rejoindre chez moi, j'avais laisser la porte débarré. Lorsque je suis arrivé, elle était couché sur le fauteuil en petit short jeans. Nous étions bon amis mais son cul dans ses petite short ont été me chercher et je n'ai pas pu m'empêcher de lui donner une claque sur les fesses. "Salut toi, comment va tu ?". Elle allait très bien. On jase on discute, on parle de sexe, on déconne. Un moment donné elle part à la salle de bain et laisse son cell sur le fauteuil. Faut pas faire ça je le sais, mais je fouille et je tombe sur un texto entre elle et son nouveau copain. Elle lui avait écris "Je m'ennuie de ta queue". J'en lis pas plus, je peux pas faire ça, c'est interdit.
On part souper on flirte, c'est léger quand même. Lorsqu'on reviens plus tard, on saute dans le spa mais elle n'avait pas de maillot alors je lui prête un t-shirt noir. Je lui dit : si ça te dérangerait pas, je me baigne souvent tout nu dans mon spa. Elle n'y voit pas de problème alors j'enlève mon maillot et on fait comme si de rien était.
Il est tard, elle a bu, je l'invite à coucher je dors nu (Je suis souvent nu dans cette histoire). Je déconne, je me caresse a côté d'elle, je lui dit que je suis en manque. Elle me répond : "Tu peux te masturber, pas de problème". J'en peux plus, Josée est une belle femme, yeux vert, grande fesse, petite taille. Un visage et des lèvres qui m'inspire quand je me masturbe. Je me retourne, elle se retourne, on se met a se frencher, elle a une langue incroyable dans ma bouche, je ne comprend plus ce qui arrive. Je lui dit de rester coucher, j'ai juste envie de lui mettre mon pénis dans sa bouche. Je ne veux pas qu'elle me suces, c'est moi qui lui prend la tête. Il y a beaucoup de bave, beaucoup de bruit. C'est incroyable la sensation que l'on ressent.
Elle lève ses jambes en l'air et je vois sa chatte poilu et entretenue. J'insère ma queue à l'intérieur et je me met à la fourrer, elle garde ses chambres en l'air tout le long et le souvenir de sa voix chaude continue de me hanter encore aujourd'hui. Je jouis sur sa chatte, dans son poil.
On est bouche bée, sans mot, on vient de réaliser un fantasme interdit car c'est la première fois que je couche avec ma cousine. Oui Josée était ma cousine et bien que c'est un sujet tabou, j'ai le droit de la trouver sexy et c'est physique cette histoire, c'est ça le problème et c'est dans notre tête pourtant. Je cherche encore comment me sortir de ce fantasme maintenant mais je n'y arrive pas alors quoi faire...
0 notes
Text
Un bel engin
J'ai eu un traitement au laser. Je voulais améliorer mon apparence. J'en ai profiter pour faire le traitement sur mes testicules et le pénis. Lors du traitement, c'est douloureux alors il est difficile d'avoir une érection vraiment. Je me souviendrai toujours des deux femmes qui m'avais fait le traitement un jour. La stagiaire apprenais et l'autre lui montrait. Elles étaient toute les deux à l'observer. J'avais l'impression qu'elle se disait : "Oh que c'est un beau pénis. Il a l'air doux. Je le mettrais bien au garde à vous si je le pouvais." Je vois leur deux tête à l'observer, ça ne m'était jamais arriver 2 femmes comme ça a le regarder avec autant d'attention. Le temps passe. Les mois passe, le traitement se termine.
Je me souviens que je marchait à l'exterieur avec des collègues de travail. C'était venu sur le sujet cette histoire de bel engin. Mes deux interlocutrices me disait alors : on peut voir ? On rigole, c'est drôle, on retourne au bureau, fin de l'histoire. Mais qu'est ce qui serait arrivé si j'était aller leur montrer.
On est correct ici dit Mélanie, montre voir. Annie était gêné. Je baisse légèrement mon jeans et je sort mon engin. Il n'était pas en érection mais toujours aussi beau à voir. Mélanie dit : Oh, c'est vraiment propre ce qu'ils ont fait, aucun poil sur tes testicules, trouves tu Annie ? Annie ne répondait pas, elle était obnubilé par la beauté de ce pénis légèrement bronzé. Mélanie demande si elle peut voir de plus près. J'étais gèné mais je lui dit, je voulais vous montrer vite et c'est bientôt la fin de la pause.
Elle se baisse au niveau du pénis et le regardait de près. Mon pénis ne pouvais pas s'empêché d'exprimé son excitation et il se mit à durcir tranquillement. Oh, dit Mélanie, je voulais juste voir, on dirait qu'il aime ma petite face. Je pense que oui que je lui répondit. Je peux toucher tes testicules, elles ont l'air vraiment douce. Annie observait... Après avoir eu mon accord, elle s'exécuta. Ses mains firent en sorte que je ne pu m'empêcher de tomber en érection. Tu vas rire me dit Mélanie mais ton pénis est vraiment beau et il à l'air bon. Elle se léchait les lèvres. Tu aimerais y goûter demanda-t'elle à Annie.
Annie ne savait pas quoi dire. Mélanie la guida, lui pris la main et elles se mirent à me caresser toute les deux. Mélanie se mis alors pomper mon pénis. Wow regarde moi ce pénis dans toute sa splendeur dit elle à Annie. Annie se rapprocha du pénis et le colla sur son visage comme un objet précieux. Les yeux bleus de Annie et le pénis sur son visage était très excitant. Mélanie continuait de me pomper de plus en plus fort et elle le faisait tout près du visage de Annie qui me regardais dans les yeux. Les mains de Mélanie était incroyable, de grand doigts de pianiste qui tenais mon pénis très serré dans sa main.
Je dis à Mélanie : "Pompe moi plus fort ma biche, l'heure de la pause est terminé. Vous vouliez voir, et bien regarder bien." Mélanie masturbait le pénis mouillé car elle avait pris soin de bien se lécher les mains. C'est alors que sans prévenir, le sperme jaillis de l'engin bien dur. La pression était forte et c'est la petite face de Annie qui recu tout le miel dans son visage. Elle laissa ses yeux ouvert durant tout ce temps pour se souvenir du moment. Le visage humilié, Annie retourna au travail cet après-midi là. Elle se remémorait ce qui venait de se passer. Maintenant qu'elle avait pu toucher le bel engin, elle voulait maintenant y goûter.
0 notes
Photo
http://coupletv.blogspot.com/2016/07/cute-couple-perfect-two.html
63 notes
·
View notes