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Le Web - Documentaire = l’avenir du divertissement ? Cette semaine, nous allons aborder le web documentaire à travers le célèbre média National Geographic, car nous savons que vous êtes des lecteurs très cultivés ! Le web documentaire, c’est un documentaire, mais que l’on trouve sur internet. Ces dernières années, on le rencontre régulièrement sur les différents réseaux sociaux (Youtube, Facebook…), et les publics jeunes y adhèrent volontiers. Cela nous amène à la question suivante : qu’est ce qui fait que le web documentaire prend de l’ampleur sur de nombreuses plateformes qui sont surtout destinées au jeune public ?Depuis que nous avons commencé ce blog, un grand nombre de nos sujets s’articulent autour d’internet et de son utilisation par les publics d’aujourd’hui. La raison, c’est que tout se passe sur nos réseaux : Les memes, les tutos, la viralité, les mash up… tous ces sujets partagent la même plateforme et ont une capacité de diffusion plus importante que la télévision ou la radio. De la sociabilisation à la documentation, en passant par la dénonciation de causes de plus en plus mises en avant, internet est omniprésent et touts les autres médias s’y sont rattachés au fil du temps.Internet a bousculé la manière dont on apprend, dont on interagit ou même créer. Pour ce qui est de l’apprentissage, tout est devenu plus simple et n’importe quelle information est accessible immédiatement. Il en est de même pour les films ou les émissions : plus besoin d’allumer la télé à une heure précise pour ne pas rater un programme, car la plupart des chaînes proposent désormais leurs contenus en rediffusion sur internet. National Geographic, que l’on connaît aujourd’hui comme la plateforme la plus célèbres pour les documentaires, principalement animaliers, c’est tout d’abord un magazine très ancien puisque le premier numéro est sorti aux États Unis en 1888 ! Ce n’est qu’en 2001 que la chaîne de télévision National Geographic Channel voit le jour. Forte de son succès, elle existe aujourd’hui en 27 langues et est diffusée dans 162 pays dans le monde entier. Ses thèmes récurrents portent sur la science, la nature, la culture et l’histoire. Son site internet propose aussi des articles journalistiques d’actualité. Le succès de ses documentaires à la télévision a amené la chaîne à les transposer en ligne, notamment sur Youtube, sur leur chaîne officielle, ou encore sur facebook ou instagram. Les contenus diffèrent selon la plateforme : les vidéos sont très longues sur youtube (jusqu’à 3h de documentaire), tandis qu’Instagram propose surtout des photos, et facebook des vidéos raccourcies. L’une des principales cause de l’attractivité des web documentaires, c’est leur accessibilité à toute heure, de sujets précis et la possibilité de pouvoir passer ou revenir en arrière. C’est aussi le fait que l’on regarde souvent seul sur internet, ce qui donne plus de liberté, et on ne dérange personne.Ensuite, les documentaires se sont transformés pour être prenants : National geographic pour ses documentaires sur la science comme celui que nous avons publié sur Elon Musk, ponctue le documentaire d’interviews de différentes personnes, de voix off, de montages sur l’espace, d’images de synthèses d’une installation d’une base sur la lune… Cela apporte en plus un côté « science fiction » qui plaît au jeune public. Tout ceci aide à captiver d’avantage le spectateur et à donner un certain peps à des vidéos sur des sujets qu’on maîtrise souvent mal.C’est aussi une époque dans laquelle on est habitués à apprendre des choses en permanence, notamment avec les applications mobiles pour les différents journaux, ou la télévision. Les insomnies, les moments d’attente (métro, salles d’attente) sont autant de temps libre pour pratiquer le « binge watching » que nous allons ici renommer le « binge learning » ! Le web documentaire attire un public qui est plus sensibilisé qu’avant sur les causes environnementales, et qui cherche à comprendre, ou qui cherche des solutions pour l’avenir : dans le cadre du documentaire sur Elon Musk, on nous apprend comment il cherche à réinventer le futur, à trouver de nouvelles solutions pour notre planète, voir à nous envoyer dans l’espace… Ce web documentaire favorise la prise de conscience, bien qu’il sous entende que la planète sera bientôt, voir est déjà « condamnée », et que la solution est de la quitter pour faire une civilisation sur Mars. Ainsi, le web documentaire s’inscrit dans l’ère du temps et ne faiblit pas face à l’arrivée de films et séries toujours plus nombreux. L’accessibilité, la réinvention du montage, la diversité des plateformes de visionnage ou encore l’urgence environnementale sont tout autant de raisons qui poussent les utilisateurs à se documenter chaque jour. -> La vidéo dont on parle : https://www.youtube.com/watch?v=nwHC5UT6MQ4&fbclid=IwAR3oJVrXUnFBPHg4wnH4-g5YZQZLYAnBBwYRGwFcyxrIxazEBy__Tnnoex4
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Transcendons les tutoriels
Durant ces dernières années vous avez forcément remarqué que le tuto s'est imposé sur la toile, tout particulièrement chez les jeunes ! Youtube en est le principal diffuseur et la popularité des créateurs de ce genre de vidéo ne cesse de grandir. Mais vous vous demandez donc ce qu'est un tuto ? ... Eh bien non puisque tout le monde sait qu'il s'agit d'une vidéo qui vise à apprendre quelque chose à celui qui la regarde. Le vidéaste peut en plus de cela ajouter des commentaires, du montage avec des zooms ou ralentis ou même de la musique pour rendre le sujet de la vidéo plus facile à réaliser. Les tutos beaut��, qui parlent de coiffure, de make-up etc sont maintenant les plus répandus sur la plateforme, ils sont ceux qui reviennent le plus généralement quand on pense à cette catégorie spécifique de vidéo. Le but ici est donc d'apprendre à se coiffer d'une certaine manière ou encore de se maquiller de différentes façons. Le but de ces tutos est, dans la majorité des cas, de pouvoir plus ou moins facilement réaliser sois même l'objet de la vidéo. C'est donc l'aspect instructif et pratique qui compte. Il faut pouvoir reproduire l’exercice en temps voulu, que celui-ci soit efficace sans pour autant demander beaucoup de temps ou d'investissement. Mais certains tutoriels vont plus loin et proposent des idées pas comme les autres, des idées plus originales voir même certifiées sans malédiction, et ce que nous allons décrypter ici même, devant vos yeux ébahis, en compagnie de l'aventurière Charlie Danger de la chaîne « Les Revues du Monde » et de son tuto antique « Comment fabriquer une momie ? ».
Pourquoi donc avoir choisi cette vidéo me direz-vous ? Soyez patient chers lecteurs car les réponses arrivent de ce pas ! Ce qui détonne directement dans cette vidéo c'est son aspect humoristique, mais il s'agit pourtant bien d'un tutoriel! Dans celui-ci, nous avançons étape par étape dans la réalisation de notre momie, les instruments nous sont présentés. Nous savons donc parfaitement comment retirer le cerveau de notre cadavre par les narines pour pouvoir commencer le processus de momification …Charmant, n'est-il pas ?
C'est là que se joue l'enjeu de la vidéo : en plus d'être scénarisée avec une mise en place forte rigolote du sujet, la vidéo est remplie d'informations historiques sur l'embaumement. Le but de cette vidéo n'est pas véritablement de faire un tutoriel, mais de nous apprendre, de nous renseigner sur la pratique même de la momification, telle qu'elle était à l'époque. Ainsi, si nous avions un cadavre à disposition, rien ne nous empêcherait de suivre ces instructions, puisque ces dernières sont exactes. Ainsi utilisant la vidéo tutoriel pour motif et parodiant ce principe, Mme Danger se livre à un exercice bien plus instructif loin de toute portée pratique et classique que l'on retrouve dans des tutoriels plus conventionnels, dans lesquels l'objectif principal est d'enseigner au spectateur ce qui lui sera utile au moment où il regardera la vidéo. Elle utilise l’humour pour préciser dans son introduction que pratiquer un véritable embaumement est une activité qui, même si elle n'est pas votre métier, ne peut que s'imposer à vous. Bien que contestée, cette activité douteuse ne devrait en aucun cas rester cachée du grand public, et ce n’est pas parcequ’elle a une image négative qu’elle ne mérite pas d'être l'objet d’un tutoriel de réalisation. A la place d'être une fin à part entière, le tutoriel est ici le moyen, l'outil dont se sert la présentatrice pour expliquer son sujet. Cette façon de procéder à aussi un autre avantage : celui de la visibilité. Les vidéos « tutos » envahissent les tendances et les fils d'actualités des utilisateurs Youtube alors que des vidéos traitant de sujets relatifs à l’histoire, et ici de l'archéologie, peine d’avantage à sortir du lot. La chaîne des « Revues du monde » atteint un bon pic avec ses 500 000 abonnées, avec, dans le cas de cette vidéo, près de 200 000 vues. De l’autre côté, la chaîne d'Enjoy Phoenix, grande référence des tutos make-up en France, culmine à plus de 3 millions d'abonnées. Loin de nous l'idée de faire des jugements de valeurs ou d'instaurer des hiérarchies entre les sujets de vidéos et de questionner leur légitimité ! Mais dans le cas étudié, la forme du tutoriel vidéo peut aider des vidéastes plus spécialisés dans la vulgarisation de sujets plus historiques ou scientifiques à créer plus d'audience. Et c'est pour le mieux ! La beauté d'un tutoriel, c'est qu'au-delà de la quête de connaissances pratiques ou même théoriques, c'est l'occasion de s'amuser et de prendre du plaisir ! Alors à vos cadavres et disons à la prochaine pour un nouvel article sur Eye Decript. -> La vidéo en question : https://www.youtube.com/watch?v=tjm1olXZS-0&t=14s&fbclid=IwAR1_shD6JlMglLdeGK0cAiHJ7p4RcA3yJbm6rWkEbt0pdrhW2CDbIF68Pno -> Et la chaîne des Revues du Monde pour plus de curiosité : https://www.youtube.com/channel/UCnf0fDz1vTYW-sl36wbVMbg
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HORS SÉRIE : NVTL PODCAST Qui dit vacances dit repos, mais ce serait bien mal connaître l'équipe d'acharnés qu'est Eye Decript ! Et puis, comment passer de bonnes vacances sans avoir pu porter votre attention sur un de nos fameux articles hebdomadaires ? Ne vous inquiétez pas et laissez vous bercer par ce sujet hors-série : l'interview du meilleur podcast français ( oui on est biaisé ) NVTL Podcast. Alors, pour les non initiés, il est bon de répondre à cette question : qu'est ce qu'un podcast ? Selon le dictionnaire Larousse, il s'agit d'une émission de radio ou de télévision qu'un internaute peut télécharger et transférer sur un baladeur numérique ou un fichier correspondant. Voyez donc ça comme une web-radio, une émission en direct que l'on regarde sur internet, et plus précisément sur la plateforme de streaming live « Twitch », dans le cas de NVTL, d'ailleurs composé d'un remarquable trio d'amis, à savoir Ewen Guigon, Dimitri Fouque et Yann Ballanger. Lors du dernier épisode, ces derniers ont eu l'amabilité d'inviter un membre de notre équipe pour participer à leur émission, avec pour objectif de débattre des remises de récompenses des Césars et des Oscars de cette année. Cette interview marque la fin de cette première collaboration entre nos deux médias. Ces trois messieurs ont eu la gentillesse de se prêter au jeu et de répondre à quelques-unes de nos questions, nous vous laissons maintenant le plaisir de mieux les découvrir ! Eye Decrypt : Vous venez de créer votre média en ligne, pourquoi donc avoir choisi ce format qu'est le podcast ? Dimitri Fouque : J'avais envie de faire un podcast parce que quand je me dit « qu'est ce que je vais faire plus tard ? » et bien je me vois en train parler des choses que j'aime, j'ai envie de transmettre de l'intérêt et de la passion. J'ai déjà fait une to-do list au détour d'une soirée et dedans j'avais déjà marqué « faire un podcast avec les copains ». C'est une idée qui est en moi depuis longtemps et ça répondait parfaitement au projet que notre professeur nous donnait. Yann Ballanger : Comme Dimitri, la forme « podcastique » me donnait vraiment envie, on en a souvent parlé ensemble. A titre personnel j'en écoute aussi beaucoup donc cette idée me convenait parfaitement. On a envie de transmettre nos intérêts et on est heureux d'en parler. Ewen Guigon : Alors d'un point de vue personnel j'étais pas au courant qu'il fallait créer un média (premier rire). Mes deux collègues sont venus à moi avec cette idée, et vu que j'ai déjà le matériel pour pouvoir diffuser un podcast, c'était parti. Ça fait deux ans qu'on se connaît maintenant et on a souvent parlé de ce genre de format ou d'émission donc on s'est vite dit que ça serait une bonne expérience et qu'on allait faire quelque chose qui nous plaît. E.D : Qu'apporte en plus ce format ? D.F. : Je pense que c'est plutôt original, on est les seuls de notre classe à le faire je crois. On a pas trop à écrire non plus et le fait d'être à l'oral ça permet de garder une certaine sincérité et spontanéité, voir même d'aller plus loin. Y. B . : Pour moi c'est surtout le côté sincérité, il n'y a pas d'artifices, de montage, on peut parler en live et le chat réagit sur ce que l'on dit, il y a la possibilité d'avoir un vrai échange. Dans l'épisode sur l'écologie on va même jusqu'à parler de nous, de nos angoisses et de nos habitudes personnelles, on hésite pas s'ouvrir, à se dévoiler. E. G. : En fait je vois un peu ça comme une radio améliorée. On est en live mais on peut rajouter de l'image en plus, créer des ambiances différentes, ça rend l'émission plus agréable à suivre. E.D : Quels sont les points à améliorer pour parfaire votre émission ? D.F. : Il faudrait qu'à terme on améliore la qualité visuelle du stream, avoir une vraie scène, un vrai logo, une vraie identité visuelle. On aimerait bien continuer à inviter des gens comme on l'a fait avec vous pour amener des points de vues plus spécialisés sur les sujets dont on parle. Y. B. : En plus de la qualité visuelle il faudrait aussi qu'on fasse un travail de recherche en amont plus efficace. Il faudrait qu'on récolte plus d'informations précises et légitimes pour appuyer nos propos. E. G. : Je rejoins Yann sur ce point, il faut qu'on arrive à rassembler plus d'informations avant les épisodes pour être plus professionnel. Après on s'améliore petit à petit, on fait des génériques d'intro où on se met en scène, on a changé les micros pour avoir une meilleure qualité sonore. Ces pleins de petits ajustements qu'on est en train de faire et qui vont rendre le stream de meilleure qualité petit à petit. Est-ce que Twitch est pour vous la meilleure des plateformes pour ce genre d'exercice ? E. G. : En vérité je pense qu'il s'agit même de la meilleure plate forme sur internet à l'heure actuelle, c'est la plateforme la plus libre. Il y a une vraie liberté de parole sans représailles comme sur Youtube par exemple avec les strikes.( Il s'agit d'un avertissement envoyé par Youtube aux créateurs sur leur contenu ). Y. B. : Dans la forme où on l'a pris oui carrément ! On peut avoir un interaction avec des gens via le chat et on essaie de faire en sorte que ce soit essentiel pour notre émission. D.F. : On aurait pu faire des lives Facebook mais d'un point de vue technique Twitch est plus efficace. Que faire des replays si nous ne pouvons pas avoir accès à votre émission en direct ? D.F. : J'aimerai bien qu'on reposte les replays sur Youtube d'autant plus que les replays sur Twitch disparaissent au bout de deux semaines. J'avais aussi pensé à SoundCloud mais je pense qu'on aura une meilleure visibilité sur Youtube. Y. B. : Youtube je pense aussi que c'est la meilleure des idées, plus que SoundCloud parce qu'en plus de la visibilité, la partie visuelle de notre stream sera coupée. On fait en sorte de passer des vidéos, de montrer des images etc en live pour rendre l'émission plus dynamique, et on perdrait cet aspect sur une plateforme audio. E. G. : Je trouve que l'important dans notre projet c'est le live. L'important c'est le spontané, on se retient même de parler des sujets avant de commencer le direct. S'il n'y avait pas de replay ça me dérangerait pas parce que à partir du moment où on récupère les replays et qu'on y appose du montage ça serait perdre ce côté où tout peut arriver puisqu'on aurait choisit de garder certains moments et pas d'autres par exemple. Vous êtes donc un trio et cette question s'adresse à chacun d'entre vous, quel est le rôle de chacun des membres ? E. G. : On ne s'est pas vraiment donnés de rôles, mais par contre c'est bien d'être trois ! Dans la vie de tous les jours en fait c'est mieux d'être trois que deux puisque ça créer obligatoirement des divergences, et dans ce qu'on veut proposer aux spectateurs, et bien c'est parfait. Après je pense que Dimitri et Yann sont plus portés sur le débat pur. D'ailleurs, c'est tout le temps Yann qui va trouver des petites références académiques à chaque fois qu'on commence une émission, c'est le plus sérieux sur ce point là. Y. B. : Ewen c'est peut être plus l'animateur, il nous présente en début d'émission, il sait gérer le son et son volume, il nous rappelle à l'ordre si on parle loin du micro par exemple. C'est aussi lui qui souvent gère les temps de parole et fait en sorte qu'on ne se marche pas dessus. Dimitri, c'est un peu le community manager (rires). Il écrit à chaque fois sur le site nos articles et rédige aussi les annonces sur les réseaux sociaux. Mais en ce qui concerne le direct, c'est aussi lui qui arrive à synthétiser ce que l'on dit souvent. Il arrive à faire avancer les débats de manière un peu plus posée et construite que moi qui ait tendance à m'emballer. D.F. : Ewen, c'est vraiment notre ingénieur, réalisateur à la voix douce et grave (encore des rires). Il fait les montages de tous les podcast et s'occupe de tout ce qui est technique en fait. Yann, c'est plutôt le « trampoline » dans le milieu (toujours des rires). Yann c'est une pastille d'aspirine dans un grand verre d'eau, dès que tu parles d'un sujet il devient effervescent et à plein de choses à dire ! Il rebondit à chaque fois qu'on lui parle de quelque chose d'où l'image du trampoline. Un mot de la fin, pourquoi écouter et/ou regarder NVTL Podcast ? D.F. : Napperon. C'est un mot sympa et ça serait mon mot de fin. Mais surtout parce que le dimanche à 16h30-17h c'est souvent le lendemain de soirée et au lieu de zoner chez soi à ne rien faire mieux vaut nous écouter, passer un bon moment, réagir sur le chat en direct et puis apprendre des choses en s'amusant ! Y. B. : Alors avant tout on passe un bon moment ! Un peu à la manière des vidéos de vulgarisation on essaie de faire en sorte que ce soit sympa à écouter mais qu'on apprenne aussi sur des sujets que l'on découvre ou pas. Les vidéos sur internet, c'est quelque chose qu'on accumule beaucoup et on vous propose de prendre un peu de recul par rapport à tous ces visionnages et d'analyser un peu tout ça ! E. G. : Alors avant tout parce que ce sont les meilleurs podcast de France.(eux aussi sont biaisés). Mais surtout la force de Twitch c'est qu'on peut réagir et partager en live ! Et vous devez participer parce que c'est vous qui faites vivre le live en vérité. Et puis plus sérieusement je pense qu'on est hyper bienveillant, on est pas là pour faire des jugements de valeurs, on essaie de comprendre les points de vues de chacun et voilà c'est que de l'amour. Leur page Facebook pour retrouver toute leur super podcast : https://www.facebook.com/NVTL-Podcast-928831870645210/ Pour passer dans la bloggosphère NTVL Podcast : https://nvtlpodcast.wordpress.com/
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VULGARISATION = ÉDUCATION ? Cette semaine c’est un sujet plus sérieux que nous voulons decrypter avec vous puisqu’il traite du thème de l’éducation.
Celle-ci est dispensée à l’école, dans un cadre sérieux et obligatoire en France, et également à la maison. Cependant, une autre forme d’éducation, plus libre, plus originale et plus accessible s’est développée avec l’essor d’internet, et plus précisément de Youtube. En effet, parmi les nombreux youtubeurs - on sait que vous les connaissez tous, ne faites pas les innocents - quelques uns ont pour thématique l’éducation de leurs internautes. Le problème, c’est qu’ils ne sont pour la plupart pas des professeurs, et qu’ils ne connaissent pas leur public. En conséquence, ils adaptent leurs vidéos pour les rendrent accessibles et compréhensibles à tous, ce qui pose la question suivante :
Est-ce que la vulgarisation peut être assimilée à l'éducation ?
Pour répondre à toutes les interrogations que cette question a immédiatement suscité en vous, nous allons nous baser sur le travail du célèbre youtubeur Nota Bene (il l’est en tout cas dans son milieu puisqu’on lui compte 846 652 abonnés). Ce brave homme d’apparence sympathique a tout d’abord étudier brièvement l'histoire avant de changer de filière pour se diriger vers l'audiovisuel. Ça n’en fait pas un prof, mais il a au moins le mérite d’avoir étudié ce qu’il enseigne !
L’éducation est devenu son domaine, il a notamment fondé la Vidéothèque d'Alexandrie, qui est une structure associative ayant pour but de promouvoir la création de vidéos culturelles et éducatives. Il mets en avant toute les recherches qu'il fait à propos d’histoire pour faire ses vidéos, et emploie ses connaissances de l’audiovisuel pour les rendre plus agréables, et ainsi toucher plus de personnes. En effet, le contenu qu’il met en ligne est composé de vidéos qui s’adressent à des jeunes, voir des très jeunes : dans sa façon de parler, il laisse le temps, il fait des pauses, prends des respirations, reviens sur des mots, explique le contexte le plus simplement possible. Il essaye de faire de l'humour, pour garder l’attention des spectateurs. Fait des vidéos plus contemplative en laissant le spectateur s’immerger. En d’autres termes, il utilise la vulgarisation ! Les thèmes qu’il aborde sont aussi faits pour intéresser un certain public, comme les mythes et les légendes.
Le vulgarisateur n’a pas besoin de diplôme, il se met à la place du public, il choisit son public, comme Nota Bene, et adapte son contenu en fonction. Il a donc choisit, compte tenu des jeunes auxquels il s’adresse, des formats compréhensible par tous : phrase d'accroche, face cam, décor récurrent… Ce travail a permit à Nota Bene d’être reconnu par des spécialistes et des universitaires. Ses vidéos ont acquis un poids supplémentaire puisqu’il travaille aussi avec le musée du Louvre. Il a aussi énormément de partenariat avec les régions pour promouvoir le patrimoine, par exemple avec le Val de Loire et le Château de Chambord. Un sérieux travail de passionné en somme.
Il faut cependant prendre en compte les limites des vidéos de vulgarisations. Nous n'avons pas affaire à des cours magistraux universitaires. La visée de ces vidéos, le but que se doivent d'attendre les youtubers vulgarisateurs est de donner envie aux gens de s'intéresser à certains sujets , pas de les instruire de manière exhaustive ou de les préparer à des concours officiels. Ces vidéos agissent comme des tremplins. Elles ne sont que des introductions vers des sujets bien plus complexe et vaste qui pour être maîtrisé nécessite beaucoup de lecture universitaire, de recherche sur des sites spécialisés ou encore par le visionnage de vidéo conférence tenu par des professionnels. L'un des autres problèmes des vidéos de vulgarisations et plus largement encore l'un des problème d'internet est celui des sources. Les vidéastes comme Nota Bene présente leurs sources dans leurs descriptions de vidéos mais ce n'est pas toujours le cas. Ces liens ne renvoient pas toujours à des sources universitaires ou appartement à divers système éducatifs. Internet nous donne accès à l'information de manière généralisée et immédiate mais peu de gens cherchent à savoir si ce qu'ils lisent vient de sources légitimes, de sources officielles.
Les vidéos éducatives et les vidéos de vulgarisations peuvent très bien cohabiter ensemble sur internet, mais cette dernière ne peut être reliée à une vidéo éducative que si le travail sur l'ensemble de la vidéo est sérieux et légitime. L'éducation passe par divers moyens et la vulgarisation sur internet en est un, elle permet de toucher de nouveaux publics, d’insuffler des passions et même si elle n'apporte pas un savoir complet et total sur un sujet, elle a le mérite d'enfoncer des portes et de faire naître des vocations.
-> Pour aller voir sa chaîne : https://www.youtube.com/user/notabenemovies
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UN PEU DE MUSIQUE (LE MASH-UP) L'audiovisuel se définit comme une association entre le son et l'image. Nous avons dans nos articles précédents analysé deux vidéos reposant sur l'image, alors il est temps pour nous de chambouler vos habitudes très chers lecteurs et très chères lectrices parce qu’aujourd'hui nous parlons de musique, plus précisément de « Mash-Up ». L'univers de ce dernier est bien sûr très large mais il se définit de manière assez simple puisqu'il s'agit d'un assemblage de contenus différents qui en créent un nouveau et qui, par conséquence, contient un nouveau discours. C'est donc le moment pour nous de vous en parler et de voir ensemble ce qui fait les caractéristiques du Mash-up, ses singularités, et sa popularité sur Internet :
L'élection présidentielle française de 2017, la onzième de la Vè République, fut le théâtre d'une féroce bataille bataille entre les candidats, mais pas que : elle nourrit la créativité des internautes et permet la création ainsi que la diffusion de nombreux contenus, professionnels et amateurs, qu'ils soient sérieux ou humoristiques. Et c'est à un mash-up vidéo en particulier que nous allons nous intéresser : celui posté par Khaled Freak, « Hypocrites-Jean Luc Mélanchon ( REMIX POLITIQUE ) ». Un discours politique en plein air est délivré par Jean Luc Mélenchon, chef du parti politique La France Insoumise, durant lequel quelques doux mots sont prononcés par ce dernier envers ses principaux rivaux. A maintes et maintes reprises l'adjectif qualificatif «hypocrite» est utilisé par l'orateur, et cela n'a pas échappé à notre musicien vidéaste, qui en fait le refrain de sa musique. Les paroles du couplet proviennent aussi du même discours et sont placées sur une instrumentale rap. Le but premier de ce genre de vidéo est évidemment humoristique puisque nous imaginons peu nos merveilleux hommes politiques, quinquas ou sexagénaires, pratiquer ces si urbaines musiques que sont le slam ou le rap.
Est-ce que nous prenons parti en écrivant cette dernière phrase ? Peut-être bien, même si le but est bien sûr de vous décrocher un léger sourire. Mais au fond, nous pouvons nous poser la même question pour cette vidéo. « Hypocrites. Hypocrites. Au nom de la République, nous-ne sommes pas dupes ! ». Dans cette vidéo Jean-Luc Mélenchon est clairement mis en avant, galvanisant le public et, par la même occasion, les spectateurs de la vidéo. Aucun reproche n'est fait à son encontre et seuls ses concurrents sont critiqués. Regardez d'ailleurs l'espace commentaire de la vidéo et vous verrez que le seul commentaire épinglé par le possesseur est de la chaîne est celui du compte officiel de Mélenchon « Merci pour cet excellent remix!- MC Mélenchon ». Ce dernier réagit avec humour, mais même si cette vidéo n'a pour objectif d'aider le candidat dans sa campagne, elle y contribue quand même. Un mash-up vidéo est un contenu original qui obtient un discours lui aussi original et il ne faut pas l'oublier !
Mais avant de nous quitter, j'aimerai que vous répondiez à l’une de nos interrogation : Êtes-vous des lecteurs attentifs ? Mais évidemment voyons ! Vous n'avez donc oublié que nous vous avions promis de parler de musique. Nous avons utilisé le terme de mash-up vidéo à plusieurs reprises, mais allons plus loin. Cette vidéo, au delà de son message humoristique et politique, nous montre autre chose, c'est que le mash-up est aussi une œuvre musicale. Avec le travail de synchronisation des voix et de l'image, le mixage des paroles, l'instrumentale... Le mash-up est une fusion de deux éléments différents mais ces deux sources peuvent totalement être musicales et ne sont pas nécessairement visuelles et n’ont pas pour vocation de le devenir. -> La vidéo en question : https://www.youtube.com/watch?v=cm1AQk30kFs -> Et si vous voulez voir d’autres super mashup de cette chaîne : https://www.youtube.com/channel/UCwi4cpbdkeuyYD8lDo3Z6qA
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PAS DE TOILETTES, PAS D’ÉPOUSE !
Cette semaine nous avons décidé de vous parler d’un sujet qui peut faire rire en France, mais qui, dans d’autres pays, peut être la cause d’une grande détresse !
Vous êtes vous déjà demandé à quoi ressemblerait votre vie, votre quotidien, si vous n’aviez pas de toilettes chez vous ? Probablement pas, car la question ne se pose pas, les toilettes sont partout, dans tous les appartements, les cafés, les musées, même dans la rue. Et on se plaint pourtant souvent du confort de nos appartements parisiens ! Mais c’est une question à laquelle une grande partie de la population d’Inde pourraient répondre…
Nous sommes en 2019, et les Indiens, comme nous, possèdent presque tous des téléphones portables, mais toujours pas de latrines. Nous savons que l’Inde est un pays pauvre, et qu’en conséquence des choix sont à faire quand à l’achat des objets dans un ménage. Et les toilettes font rarement parties des priorités. Le téléphone portable est-il donc plus important que le confort personnel ? Certains parmi vous penseront probablement immédiatement « Oui ! », car il est vrai que nous vivons également d’avantage avec notre Iphone que dans nos toilettes, du moins nous l’espérons pour vous… Nous sommes donc dans l’obligation de vous faire changer d’avis, et vous proposons pour cela de découvrir toutes les complications qu’un choix pareil implique : Et c'est ce que nous allons décrypter !
La vidéo que nous avons choisi de vous présenter aujourd’hui montre les conséquences de l’absence d’accès aux toilettes.
Tout d’abord, les toilettes définissent en partie le statut social auquel un ménage appartient : pour les mariages, souvent arrangés par la famille, leur possession compte énormément dans le choix du mari. Les hommes qui possèdent des toilettes sont considérés comme plus élevés socialement, elles font leur fierté, et donc celle de leur femme. Qui parmi vous pourrait considérer aborder sa belle famille pour la première fois en évoquant avec fierté la possession ou non de toilettes dans la maison familiale ?
L’autre problème que soulève cette absence de toilettes c’est l’hygiène : Le fait d’utiliser l’extérieur pour faire ses besoins, n’importe où, et sans aucun contrôle, entraîne une pollution des sources d’eau. Les indiens se retrouvent ainsi régulièrement avec des maladies intestinales, surtout les enfants ! Dans ce pays surpeuplé qu’est l’Inde (en 2018 elle aurait été de 1 355 621 800 habitants), on compte aujourd’hui près d’un décès sur dix du à l’absence de toilettes, ce qui représente un nombre vertigineux si l’on fait le calcul.
De plus, par pudeur, les habitants sortent de chez eux la nuit, et les femmes se retrouvent donc seules dans des endroits sombres et isolés, elles sont inquiètes, stressées, honteuses. Elles prennent des risques chaque fois qu’elles sortent en pleine nuit. L’insécurité des femmes est un enjeu majeur dans le développement de l’accès aux toilettes.
Le gouvernement ne propose pas de solution puisque les habitants sont même punis lorsqu’ils se rendent dans la nature : ils payent une amende de mille roupies si ils sont pris en train de déféquer en plein air. L’État cherche donc à limiter les pollutions et l’insécurité, mais sans proposer d’alternatives. Plusieurs manifestations ont cependant été observées, les habitants commencent à réagir, et à demander un accès facilité aux toilettes pour tous, revendiquant le respect de leurs femmes notamment. Cette question s’est aussi invitée dans la culture puisqu’un film évoque aussi ce problème « Si vous voulez garder votre épouse, ayez des toilettes chez vous ». Une publicité incitant les gens à « aller au petit coin » chez eux a également été diffusée. -> La vidéo en question : https://www.youtube.com/watch?v=pyhFGNar08Y -> Pour aller plus loin : - https://www.youtube.com/watch?v=Di2m5vDQNHI - http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20161220-inde-toilettes-latrine-bataille-construction-hygiene-sante-maladies
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ASDF MOVIE, VIRALE ? Si des gags comme « I Like Trains » ou « It's muffin time ! », ne vous disent rien, et bien laissez nous vous prendre par la main et vous faire découvrir le monde de l'ASDF Movie !
Tomska, de son vrai nom Thomas James Ridgewell, est un vidéaste britanique s'imposant comme une figure de proue des youtubers humour anglais sur Youtube, avec plus de 5 millions et demi d'abonnés. Son succès et l'explosion de sa chaîne ? Ils le doivent à son format vidéo phare : l'ASDF Movie. Le concept est très simple : Tomska nous propose de courtes vidéos d'environ 1min30, où des personnages en noir et blanc, très simplistes, proches du design d'un enfant à vrai dire, se font l'écho de toute la folie de l'auteur. On compte plus de 61 millions de vues pour la première vidéo sortie il y a maintenant 10 ans. Mais qu'est ce qui explique donc le succès de ces vidéos ? Comment cette dernière à donné lieu à une web série ultra virale réunissant des dizaines de millions de fans et de viewers à chaque sorties d'épisodes ? C'est ce que nous allons essayer de décrypter ! Si vous êtes fan d'humour absurde, de jeux de mots douteux et de blagues au rythme effréné, ces vidéos sont pour vous ! Voilà ici déjà deux éléments de réponses : Les vidéos virales, qui font le buzz et qui sont relayées et partagées à travers les réseaux et plateformes médias, sont en grande partie humoristiques. Mais là où beaucoup d'entre elles sont des vidéos filmées face caméra, sans montage, et montrant de manière spontanée un événement original, Tomska nous livre ici une vidéo bien plus travaillée. La technique même des personnages animés demande du temps de réalisation et des connaissances spécifiques à ce domaine, les blagues sont écrites à l'avance et certaines sont mêmes coupées au montage comme le prouve les vidéos « deleted scenes », et le montage général de la vidéo est rempli de cut façon « zap » télé. Là où des internautes filment simplement avec leur téléphone, Tomska se donne à l'ouvrage pour nous proposer un contenu de qualité mais surtout original, qui fait l'effet d'une bombe dans un paysage virtuel rempli de chats ou de bébés plus ou moins drôle. Mais ASDF Movie est maintenant bien plus qu'une simple vidéo sur Youtube parmi tant d'autres. Il s'agit d'une web série encore en cours avec 11 épisodes. Et c'est là que le cas de Tomska est intéressant puisqu'il a réussi avec ce type de vidéo a inscrire l'effet de viralité de la première vidéo dans le temps. Les vidéos gagnent en qualité graphique au fil des épisodes, les sorties se font rares mais des vidéos complémentaires sortent pour combler l'attente des fans. Des chansons sur des personnages de gags populaires et récurrents font le pont entre les dates de sorties trop longues de certains d'épisodes. Une boutique en ligne pour acheter des goodies en ligne en place par le créateur. Sur ce lapse de temps de 10ans, Tomska a parfaitement su gérer la viralité de sa première vidéo et tout continuant à sortir ces vidéos quand il le souhaite pour ne pas se lasser, les fans répondent présent avec environ 41millions de vue moyenne par épisode principal (Oui très cher lecteur, nous avons fait le calcul.). Et si le nombre de vue d'une vidéo n'est pas forcément le critère le plus révélatif de la viralité d'une vidéo il permet néanmoins de montrer l'engouement toujours intact que procure chacune des sorties. Des fans de la série allant même jusqu'à répéter le phénomène de compilation de vidéo viral (compilations de « meme » en tout genre) rassemblant tous les épisodes en une vidéo pour faciliter la visibilité, et encore plus loin en « mememisant » ces chansons avec le phénomène Tik-Tok et intégrant encore plus ce fabuleux monde de l'internet. Et si ça vous tente on vous met tous les épisodes juste là : https://www.youtube.com/watch?v=2CeurT8vjU0
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