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Celui qu'on appelait le Survivant allait avoir du mal à répondre à cette question. Que lui arrivait-il ?
Depuis la Bataille de Poudlard, même débarrassé de l'horcruxe à l'intérieur de lui-même, il se trouvait fréquemment dans un état de panique total. Il faisait toutes les nuits les mêmes cauchemars, remplis des corps ensanglantés de ses camarades, de sa famille, de ses amis. Il se revoyait affronter les Mangemorts, et le visage inhumain de Jedusor prêt à le massacrer. Il revoyait la mort de son mentor, Dumbledore, et celle de ce foutu Rogue, en permanence. Il revoyait sa mort. Les images de sang, de violence et les sons d'impacts et de cris ne voulaient pas le quitter. Mais il ne pouvait pas en parler. Pas même à Ron ni à Hermione. Il ne pouvait pas demander de l'aide à ceux qui avaient déjà tout sacrifié. Il tremblait, recroquevillé, les poings inutilement serrés dans le vide.
La tête blonde de Luna glissa doucement sous le bureau et elle s'installa à côté de lui, dans ce minuscule espace, vêtue d'une combinaison en patchwork. Puis elle lui prit lentement la main.
"Ferme les yeux. Et inspire profondément," ordonna-t-elle de sa voix d'ange, néanmoins ferme.
Et il obéit, parce qu'il ne savait pas quoi faire d'autre.
"C'est bien. Maintenant, concentre toi dans une expiration bien lente, indiqua-t-elle, et pense à l'endroit où tu te sens le mieux au monde."
Harry garda sa position, ses yeux toujours fermés, sa main serrée dans celle de Luna. Sa présence et ses gestes le calmait, aussi incroyable que cela puisse être.
"Voilà Harry, tu y arrives très bien. Maintenant, recommence s'il-te plaît."
Et il oblitéra, le coeur toujours palpitant mais un peu plus maître de lui-même. Une fois son espèce de crise terminée, elle lui caressa le dos en souriant. Luna Lovegood était un mystère de la nature, mais il se promit de ne jamais abandonner d'essayer de l'élucider.
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« Coucou Harry, qu'est-ce que tu fais sous cette table ? »
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Près du Lac Noir
Harry : embrasse-moi.
Drago : absolument pas. On est en public.
Harry : *fronce les sourcils* mais je suis sérieux...
Drago : moi aussi.
Harry : *le pousse dans l'eau*
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its just soo excellent to me how rhys has lived for 500 years and met millions of people and yet feyre was the most beautiful person hes ever seen
IKRR
The way he's SO utterly smitten by feyre, just absolutely fascinated by her, her human heart, her fae power, her resilience, basically everything about feyre never fails to drown me in feels.
It's like she breathes and he falls to his knees in awe of her, worshipping her. Like he has in his very very long life never seen anyone so breathtaking. INSANE.
We love a man whose entire world revolves around his wife.
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i fully believe that James could not tell McGonagalls animagus form from any other cat so he just treated every cat like it was her
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Rhys: Feyre, Feyre, do the thing
Feyre: *smiles*
Rhys: Oh my god
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they will really miss each other on the christmas break </3
By likeafunerall, and reposted with permission.
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Marlène est morte.
Le silence envahit le salon alors que James et moi sommes assis à table, scrutant le quotidien sorcier.
Seul le bruit de l'eau cheminant dans les tuyaux depuis la salle de bain persiste.
Mes yeux se reposent sur ces petites tâches d'encre sans que je puisse en comprendre le sens.
Peu à peu, je sens un poids immense s'abattre sur mon crâne. James est toujours penché sur le bout de papier, sourcils froncés, son regard en analysant le moindre centimètre comme pour y trouver une réponse, une solution.
Lui aussi a lu les mots.
Je ne bouge pas. Ne parle pas. J'en suis incapable.
Les mots. Lentement, s'incrustent au fond de moi. Il se gravent au fer rouge sur mon cœur.
Une douleur sourde s'empare maintenant de tout mon être. Mes mains, qui tenaient jusque là le journal, tremblent. J'ai mal au cœur.
"Comment... commence James. "
Mais le choc est trop grand.
J'ai mal. Il faut que ça s'arrête, il faut que je me réveille.
"Lily, chuchote James autant pour moi que pour lui en posant une main sur mon bras. "
Mes sanglots, témoins de l'épouvante, restent coincés au fond de ma gorge.
Le bruit de l'eau à cessé. Remus doit être sorti de la douche, maintenant.
Le sol a cédé sous mes pieds, et soudain, rien n'a plus d'importance. La douleur et le désespoir se font maîtres de tout.
Marlene est morte. Elle a été tuée.
Assassinée. Et nous l'apprenons par le journal. Comme un fait divers. Comme une anecdote.
Je suis perdue dans le noir, dans mes souvenirs, dans mes maux.
"Qu'est-ce qui se passe, ici ? résonne au loin la voix de Lunard. "
Je n'ai pas la force, ni la capacité de lui répondre. Sirius pose sur lui un regard paniqué. Il n'y croit pas encore. Il ne veut pas y croire. James a enfoui la tête dans ses mains. Même pour le leader de Gryffondor, s'en est trop.
Le silence est si lourd qu'il nous écrase tous petit a petit. Remus a compris, il ne dit plus rien.
Sirius s'entête à aller chercher du papier pour écrire au Ministère. Il ne veut toujours pas y croire.
Pourtant je sens dans tout mon être que c'est vrai. Quelque chose en moi a disparu. La lumière de Marlène s'est tut. Tout est sombre à l'intérieur de moi.
Harry se met à pleurer à l'étage. Sa sieste est finie. Pendant quelques instants, ses pleurs de nourrisson résonnent seuls dans notre petite maison de Godric's Hollow. Remus se propose de monter à l'étage. Je ne l'ai jamais vu aussi blème. Je ne lui réponds même pas. Il prend tout de même les escaliers.
Sirius met sa veste et se prépare à sortir. Probablement pour faire un scandale. C'est sa manière d'encaisser. En même temps, la porte d'entrée claque et j'aperçois le visage de Peter pour la première fois depuis des semaines.
"Je- je suis désolé. Pour Marl, bafouille-t-il, les cheveux en bataille."
Mais plus rien n'a d'importance.
J'ai une pensée pour Dorcas, qui vient de perdre l'amour de sa vie.
James n'a pas bougé à côté de moi. Ses mains calleuses recueillent maintenant des larmes silencieuses.
James ne pleure jamais. James est le grand-frère protecteur que l'on vient voir pour être rassuré. James est le pilier de notre groupe. James est l'assurance et la protection qui ne faillissent jamais. Pourtant tout de suite, James n'a plus rien de James. Il vient de perdre une petite soeur.
Je pose une main réconfortante sur son épaule sans même vraiment y croire. Il m'encercle de ses bras comme il le fait si souvent. Mais cet étreinte n'a plus rien de chaleureux, il se raccroche à moi comme pour s'empêcher de sombrer. Et moi aussi. Je le serre très fort. Ça va aller.
#maraudeurs#harry potter#marauders#james potter#lily potter#marlene mckinnon#sirius black#remus lupin#marauders fanfiction
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PARTIE III
Cygnus Black n'était pas le sorcier le plus avenant ni le plus sociable. En fait, il détestait cordialement la plupart des gens. Cependant il appréciait une petite fête de temps en temps, avec des gens que l'alcool rendaient plus supportable ou du moins ceux qu'il considérait comme moins casse-pieds que le commun des mortels. Il avait quelques amis dans les rangs de Serpentard, qui l'avaient d'ailleurs invité à une soirée dans la salle commune qui se tenait ce soir.
Le jeune Black enfila donc une tenue plus adaptée que son incipide uniforme scolaire, attrapa quelques verres à shot et se rendit au lieu-dit sans plus de cérémonie. Il avait un peu de retard et la musique et l'alcool avait déjà commencé à se répandre dans la vaste pièce tamisée. Un grand brun qui lui rappelait vaguement quelque chose lui fit un signe de loin et il le rejoint. Quelques uns de ses amis au sang-pur discutaient autour de lui. Il prit part à la discussion en se servant un peu de vodka. Il n'avait jamais été très cocktail ni alcool doux.
Peu à peu, les verres s'enchaînèrent et alors qu'il était occupé à observer une partie de jeu à boire (auquel il avait refusé de participer- il n'avait pas besoin de raison autre que sa propre envie pour se bourrer la gueule) il remarqua une figure familière à quelques mètres.
Un grand blond élancé se frayait un chemin vers le fond de la salle pour rejoindre des amis. Lorsqu'il dégagea ses cheveux de son visage en passant une main dedans, Cygnus fut frappé comme par la foudre. Encore lui. Il fallait qu'ils soient entassés dans la même pièce. Celà dit, étant préfet et de la famille Malfoy, il n'était pas spécialement surprenant qu'Abraxas, puisque c'était le nom de ce spécimen, soit invité.
Cygnus se mit à bouillir comme à chaque fois qu'il l'apercevait. Ce gars avait un sérieux problème. Dire qu'il l'avait...(il eu un frisson de dégoût) embrassé ?? Quel genre de mec en venait là en pleine engueulade ? C'était répugnant, horrible et...
"Black ? Tu en es à combien de verres ? lui demanda quelqu'un dont il ne discernait que les contours du visage.
-Mêle toi de tes affaires, répliqua Black, acerbe."
Cela dit, il aurait peut être effectivement du compter le nombre de shots qu'il s'était enfilé- vu qu'il n'arrivait même plus à marcher correctement. Soudainement agacé par à peu près tout ce qui l'entourait, il se mit en tête de quitter la pièce pour rentrer à son dortoir. Mission plus difficile qu'il ne l'avait anticipé...Mais buté dans son égo, il arriva tout de même à la sortie de la salle commune et s'engouffra dans un couloir.
Puis il entendit un ricanement juste derrière lui.
Faisant volte-face avec toute la grâce d'un ivrogne, la faible lumière d'une torche lui révéla le visage...de Malfoy. Cet incapable, décérébré de Malfoy qui avait passé toute la soirée à étirer son long corps dans un sofa, passant un bras autour des épaules d'une fille de temps à autre, allant jusqu'à déboutonner le haut de sa chemise un peu plus tard...Non, Cygnus n'était pas obsédé par ce qui s'était passé. Ni par lui. Par rien du tout.
Le jeune sorcier trépignait de frustration.
"Va te faire foutre, Malfoy, cracha-t-il.
-Oh mais en voilà des manières, jeune homme. Des petits soucis d'équilibre, je vois ? lui demanda le blond, tout sourire."
Stupide sourire pour un gars stupide qui se croyait tellement...pas stupide. Tout ça parce qu'il était beau. Enfin, de manière absolument, totalement objective. Connard.
Cygnus grognait encore dans sa barbe quand il sentit un bras passer sous le sien et le soulager d'une bonne partie de son bras.
"Allez, je sens que ta maman te manque, alors je vais te mettre au lit et te border comme il faut, ok ?
-Je vais te tuer, menaça Black."
Cette agressivité ne fit que renforcer l'amusement largement perceptible dans le regard du préfet. Détestable. Ce gars était détestable. Ses lèvres étaient détestables.
Lorsqu'ils arrivèrent enfin au dortoir, Malfoy referma la porte derrière lui et lui fit face.
"Ta veste, lui ordonna-t-il.
-Dans tes rêves, cracha Cygnus. Pas question que tu poses tes sales pattes de-"
Mais il ne put même pas finir sa phrase sans manquer de tomber de tout son long. Alors Abraxas le rattrapa d'une main et fit glisser sa veste le long de ses bras. Puis il ouvrit quelques boutons de sa chemise. Du moins jusqu'à ce que Cygnus le frappe. Assez violemment.
"Qui t'as permis de- espèce de sale gay, homo de mes deux-
-Wow wow, doucement le toréador. Je me suis juste dit que tu serais plus à l'aise pour dormir sans, se justifia le blond en levant les mains en signe de paix. "
Il le fit ensuite s'asseoir au bord du lit et s'accroupit de manière à le débarrasser de ses chaussures hors de prix.
"Je suis sûre que tu prends ton pied, là. C'est dégoûtant, grommela Cygnus.
-En l'occurrence c'est plutôt le tien que j'ai dans les mains, se contenta de répondre Malfoy."
Mais le brun l'attrapa par le col et le tira au niveau de son visage.
"Ne va pas croire que- (il était vraiment très saoule) que j'ai aimé, susurra Black entre ses dents.
-Ah bon ? questionna l'autre en haussant un sourcil, pas intimidé le moins du monde par le cinéma de son camarade. Parce que c'est l'impression que j'ai eu quand tu as glissé ta langue dans ma bouche."
Et sa réplique ne manqua pas de clouer Cygnus six pieds sous terre.
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Harry est choqué lorsque Drago lui avoue qu'il a toujours été jaloux de lui. C'est quelque chose d'inconcevable, de complètement délirant pour celui qu'on appelle l'Élu. Parce que quand Harry se regarde dans le miroir, il voit un orphelin qui portent des habits trop grands et que la plupart des gens détestent parce qu'il est à part. Il n'a jamais été bon à l'école. Il n'était ni riche ni particulièrement beau, et myope par-dessus le marché. L'archétype du cas social, de l'enfant bizarre. Alors comment par Merlin Drago Lucius Malfoy aurait eu quelque raison de l'envier ?
Quand il regarde Drago, il voit son exact opposé. Il admire ses manières, sa démarche, les traits fins de son visage, ses goûts vestimentaires, son assurance et son charisme. Il admire sa culture, le ton de sa voix quand il lit, l'élégance avec laquelle il boit le thé. Il voit quelqu'un qui a tout pour lui, quelqu'un de parfait.
Pourtant Drago s'entête à lui expliquer qu'il avait tout ce qu'il convoitait : de l'instinct, du naturel, des amis loyaux, ce sourire sincère sur ses lèvres charnues, l'amour d'une famille, le sentiment d'être aimé pour ce qu'on est, et par-dessus tout le courage. L'honnêteté. Il était mort de jalousie pour tout ça.
Une faiblesse s'ouvre dans l'armure de métal du prince de Serpentard. Un éclat étrange brille dans ses yeux tandis qu'il l'observe. Malfoy sera encore et toujours une énigme pour lui.
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PARTIE II
Abraxas prit les escaliers centraux, puis un passage à droite afin d'accéder à un coin reculé des jardins. A dire vrai, c'était le havre de paix des fumeurs et des traffiqueurs en tout genre. Mais il y régnait une tranquillité plutôt appréciable après les foules d'élèves dans les salles communes et les couloirs. Le préfet de Serpentard laissa échapper un soupir, ses épaules se détendant un peu en respirant l'air frais. Puis il aperçu une ombre reconnaissable, adossé au mur de pierres à côté de lui, fumant sa clope avec mépris. Remarque, Cygnus Black était toujours méprisant. Les deux jeunes sorciers avaient eu hier soir une altercation plutôt...intéressante. Disons qu'Abraxas avait certainement remarqué le physique de son "rival en charmes", qui, malgré qu'il soit complètement opposé au sien, ne manquait pas d'atouts. Ni de plaire à ces demoiselles. Black ne semblait pourtant pas vouloir entamer la discussion avec lui, passées les formalités obligatoires, alors il s'en était contenté pendant longtemps. Après tout, ce n'était pas les conquêtes qui lui manquaient. Et accessoirement, il doutait fortement que Cygnus Black III soit de ce bord là.
Cela-dit, on peut dire qu'il l'avait surpris. Abraxas s'était pour sûr amusé à le taquiner hier en classe, mais il ne s'attendait pas à ce que le brun ait une réaction aussi forte...qui avait découlé en un baiser passionné. Rocambolesque, on peut se le dire.
« Black » le salua le préfet avec un sourire.
Cygnus sembla s'étouffer avec sa fumée et le fusilla du regard. Bon.
« Je peux t'en empreinter une ? demanda Malfoy innocemment, désignant le paquet de cigarettes qui dépassait de la poche du brun. Cygnus, toujours tendu, grogna quelque chose et lui en balança une sans précaution. Quelle fougue. Il avait vraiment sale caractère. Ce qui n'empêcha pas Abraxas de le reluquer du coin de l'œil.
-Qu'est-ce que tu me veux ? railla Cygnus.
-Qui, moi ? feignit de s'offenser le blond. Rien du tout. Je fume, là...Pourquoi ? »
Voir fulminer son interlocuteur l'amusait beaucoup. Cette histoire commençait à lui plaire. De toute évidence, sous sa conduite extra-défensive, Black remettait en question sa vie entière. En tout cas, il ne pourrait jamais lui faire croire que leur...échange, ne lui avait pas plu. Quelques minutes passèrent, et Malfoy recracha sa fumée une dernière fois en fermant les yeux.
« Allez, à plus, » lança-t-il ensuite tout naturellement avant d'écraser son mégot et de repartir l'air de rien, comme il était venu. Il pouvait sentir derrière lui le désarroi total de l'héritier de la plus noble famille d'Angleterre. Ça promettait d'être intéressant.
#harry potter#cygnus x abraxas#harry potter fanfiction#harry potter fanfic#abraxas malfoy#malfoy#serpentard
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Regulus: I’m so good at telling lies, that came from my mother’s side.
Sirius: Reg, we don’t have a mother’s side. Our family tree is a circle.
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there are two types of children who come out of abusive homes. Sirius and Regulus are them, that’s why they are always at odds.
Sirius knows how precious sleep is, he can sleep anywhere anytime at the drop of a hat
Regulus can’t let himself sleep. Even safe and alone he feels so uncomfortable and can’t sleep until his eyes droop and he can’t fight anymore
Sirius’ rage turns hot and passionate, an angry fire blazing
Regulus’ rage turns cold and calculate, concentrated into fine points of cruelty
Sirius feels everything all too much, consuming all of him until he cannot feel himself anymore
Regulus feels so little that he cannot navigate his own emotions, and when he feels something strong it consumes every part of him
Sirius begs for contact and touch with everyone he knows, to confirm they are there, and to soothe him
Regulus’ skin pricks when he is touched, no matter how much he loves them. He can’t handle close proximity
Sirius hides his pain with a smile
Regulus hides behind dead eyes
and yet they are still, two scared and traumatised boys, hiding.
they hid in that house, and they hide now, with the people they love most.
because that’s the Black brothers. they hide.
because they don’t know how to be found.
but they’re begging
they are begging to be found.
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Auntie Marlene
Marlène adorait les enfants. Principalement parce qu'elle en était une dans un corps de jeune adulte. Et le petit Harry semblait l'adorer aussi, du haut de ses quelques mois. Il lui servait sans hésiter ses plus beaux sourires dès qu'elle apparaissait. Dorcas répétait qu'il était déjà aussi dragueur que son paternel et son tonton Sirius. Ce jour-là, le groupe ne fit rien d'autre qu'une petite promenade de quartier. Godric's Hollow était ensevelit de blanc, mais le rire de Marlène réhaussait ses couleurs.
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