Alors... Je lis des fanfictions. Mais genre vraiment BEAUCOUP de fanfictions. Le polyamour, c'est super :-) J'envisage d'écrire, mais... Procrastination toque souvent à ma porte. DIY supremacy Boy/girl girl/boy (trop indécise dans son style) Optimiste est le mot qui me décrit le mieux selon bah un site quelconque trouver sur Google. (C'est important à savoir, on ne sait jamais.) Casanière absolument 99 % du temps. Fan incontestée de beaucoup trop de personnages de fictions pour mon bien. Hurt/comfort lover Lectrice ouverte a toutes les possibilités possibles que je pourrais possiblement accepter. (genre, je peux tolérer de façon plutôt surprenante l'adultère consenti entre la nécromancie et la zoophilie) (ça n'a aucun putain de sens, mais on peut voir un genre, j'imagine.) Trop souvent à côté de la plaque dû à mon oreille malentendante, à mon cerveau parfois (souvent, genre très souvent) très (trop) lent, et une empathie qui n'a d'égal que les appareils dentaires de Loki (Donc inexistante pour le commun des hommes, mais qui se manifeste de façon très surprenante (et dérisoire) en cas de lecture (trop) intensive (c'est-à-dire dans une réalité souvent parallèle)) Je ne dirais pas que je suis maso, mais... (Quitte à lire de quoi me mettre en dépression pour deux années consécutives, de façon journalière, faut se poser des questions. 2 jours pour lire un tome de 40 chapitres en moyenne (et ce même les jours de cours) Je change de lectures autant de fois (si ce n'est plus - et c'est peu dire.) que je ne change de vêtements en une matinée pour me rendre au lycée. C'est dur de savoir comment s'habiller... ... Kirishima aussi est dure. https://www.wattpad.com/story/377232980?utm_source=androidutm_medium=linkutm_content=story_infowp_page=story_details_buttonwp_uname=machiavel_hic
Don't wanna be here? Send us removal request.
Text
https://www.fanfiction.net/s/14399227/1/39
NOTE DE L'AUTEUR : premier vrai BKDK que j'écris et qu'est ce que s'était un réel plaisir. Bon, un hurt/comfort sans doute bancale mais je suis beaucoup trop fière de l'avoir terminer (genre une nuit d'insomnie de pure labeur) avec presque 3000 mots où j'explore le point de vue d'Izuku dans un plus où loins long OS.
__________________________
RÉSUMÉ : Izuku Midorya qui se réveille avec l'impression de ne plus jamais pouvoir affronter le monde.
_________________________________
Izuku Midoriya se réveilla à la voix de son héros préféré. Un son qui, d'ordinaire, lui était fort agréable et qui suffisait à le motiver pour se lever et affronter la journée de cours auquel il se devait d'assister.
Mais pas aujourd'hui.
Aujourd'hui, les encouragements qu'All Might, lancer à travers le haut-parleur de son téléphone, ne lui procurait rien de plus qu'une migraine fatiguée, mais surtout l'envie de se terrer sous sa couette, et ne plus jamais en ressortir pour le reste de la journée après avoir, au préalable, pété son portable contre le mur pour pouvoir faire taire une bonne fois pour toutes les paroles répétitif de son mentor.
Résigné, pourtant, de devoir se rendre en classe, affronter une journée chargée, fatigué d'avance devant les montagnes de choses qui lui semblaient impossible à terminer entre, et les entraînements, et les devoirs, et les confrontations sociales, Izuku chercha à tâtant l'objet de ses malheurs et mis fin aux supplices qu'il lui procurait. Il ne put, cependant, empêcher une once de culpabilité de le faire se tasser encore plus sous sa couette face à cette pensée.
C'est vrai quoi, après tout Izuku était un apprenti héros ! Rêve qu'il chérissait depuis sa plus tendre enfance, et qu'il s'appliquait à réaliser de jour en jour. En plus, All Might lui a offert cette chance, celle que l'on ne reçoit qu'une seule fois dans une vie. Il lui avait offert la possibilité de poursuivre ce qu'il a toujours voulu accomplir : venir en aide aux autres, avec le sourire, celui de l'espoir, de la sécurité, et quelque part, de la satisfaction d'avoir accompli quelque chose de beaucoup plus grand que soit. All Might lui a ouvert les portes, en grand, très grand même, vers un avenir qui lui semblait jusqu'alors inaccessible, alors bien sûr qu'il méritait de la part d'Izuku bien plus que des remarques peut flatteuses d'un putain d'adolescent en pleine crise existentielle et qui n'avait même pas les jugeotes pour se lever de son lit ! Qu'il pouvait être pathétique, bon sang !
Izuku sursauta et se rendit vite compte qu'il rêvassait depuis un petit bout de temps lorsqu'il entendit une deuxième vague d'encouragement de la part d'All Might. À nouveau, il cliqua sur une touche de l'écran de son téléphone pour éteindre le réveil, et décida cette fois de se lever pour de bons. Bien que maussade et sans grande conviction, il rejeta sa couette sur le côté, se leva puis pris la direction de la salle de bain d'un pas mécanique.
«. Putain de nerd, regarde où tu mets tes putain de pieds ! »
C'était sur, Izuku allait définitivement finir raide mort par une crise cardiaque avant que la journée n'avait réellement pu commencer et il n'aurait même pas encore pris sa dose de caféine ! Saloperie ! Son regard encore embrouillé de sommeil croisa son mal celui carmin de ce qu'il reconnue être son ami d'enfance, expression du visage déformé, même d'aussi bon matin, par ses sourcils froncé d'une moue réprobatrice. Izuku, toujours l'esprit en vrac mis un temps considérable à remettre véritablement ses idées en place, le visage grimaçant, prêt à s'excuser.
Seulement, Katchan le scruta durant le temps d'un flottement qu'Izuku eu à peine conscience d'avoir provoqué, comme à la recherche d'une quelconque faille, un plie soucieux entre ses sourcils blondes à peine perceptible. Plie qui d'ordinaire était visible pour Izuku qui le connaissait si bien, mais qui, cette fois-là, lui passait loin au dessus de la tête. Katchan ne laissa donc pas le temps à Izuku, de toute façon trop perdu, à dix mille lieux du lycée, de prononcer quoi que ce soit pour reprendre son chemin dans un « tchk ! » un brins agacer et de disparaitre d'un pas moins colérique que d'habitude, mais colérique quand même, au détour d'un couloir.
Izuku semblait presque soulager de le voir s'en aller, mais plus soucieux de son futur retard s'il ne se dépêchai pas plus vite à se préparer, il continua sa traversée jusqu'à la salle d'eau commune et accueilli avec grâce de ne plus avoir à tombé sur l'un de ses camarades de classe, peu enclin pour l'instant de s'encombrer d'une autre présence quelquonque. Presque soulager, donc, puisque maintenant il subsistait en lui cette sensation d'inachevé, comme s'il avait oublié un détail super important. Il y pensera plus tard. Izuku acciona le robinet et un jets dos glacer le menaça assez vite de claquer des dents.
******
« Ochaco ! Je... Pardon ! Je ne voulais pas... Est ce que tu a mal ? Il faut te ramener à Recovery Girls ! Je suis vraiment désolé, je... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. J'étai- »
« C'est bon, Midoryia, ça ne sert à rien de paniquer, on va l'emmener à l'infirmerie. Toi, tu n'as rien ? »
« Non... Mais- »
« T'occupes. Ida, Todoroki, vous vous occupez d'Uraraka. Je vous rejoins. »
« Oui professeur ! »
Penaud, Izuku regarda ses amis traversée le terrain d'entrainement jusqu'à rejoindre l'enceinte du bâtiment, Ochaco lui lançant à la volée un sourire qui se voulait réconfortant. Mais il eux tout l'effet inverse. Izuku s'en voulu que d'avantage d'avoir pue blesser son amie, de manière aussi stupide qui plus est. La culpabilité s'enfonça dans son estomac jusqu'à le faire déglutir, ramenant par automatisme son doigt à la bouche pour en ronger les ongles, la tête baissée.
« Midoryia. »
Izuku avait, de façon pitoyable, perdu le contrôle sur son alter, donnant ainsi par inadvertance une raclée de renom à son amie au pouvoir de gravité, son revêtement intégral à un pourcentage supérieur à ce que le jeune apprentie avait l'habite d'encaisser. Il l'avait envoyé s'encastrer violement contre un bâtiment en ruine alors qu'ils s'affrontaient pour un exercice où il jouait le vilain à attraper et elle le héros. Ça avait trop vite déraper avant qu'Izuku ne prenne réellement conscience de la situation, l'esprit encore sous le choc qui parvenait difficilement atteindre son cerveaux qui avait, lui, décidé de dysfonctionné comme de la bouillie de merde.
Et quelle merde, bon sang ! Il était trop dans les nuages, trop à côté de la plaque, trop dans sa tête et pas suffisamment ancré dans le bas monde qui semblait n'attendre que ça de lui, qu'il revienne ! Mais aujourd'hui, plus que les autres jours il était complètement déglingué. À l'ouest. Et Ochaco était envoyé à l'infirmerie pour une raison aussi stupide. Foutrement stupide en plus !
« Midoryia ! »
Izuku finit par percevoir la voix rauque de son professeur monter à peine plus haut qu'à l'accoutumée. Quand il le vit enfin, il fut frapper par le regard perçant que l'adulte lui lançait, le clouant dans une appréhension qui le paralysa sur place. L'adulte le détailla un instant, semblant étudier la meilleure démarche à suivre pour sans aucun doute le sanctionné, et c'est lorsqu'il lâcha un soupir résigné qu'Izuku remarqua vraiment le léger éclat d'inquiétude dans ses yeux cerné et injecté de sang dû au manque de sommeil. Bien que tout de même pris par la surprise, - enfin... son professeur devait probablement s'inquiéter pour sa camarade de classe envoyé à l'infirmerie - Izuku resta silencieux, peu soucieux d'aggraver encore plus son cas, puisqu'il lui était certain que toute cette situation n'allait pas finir classé sans suite.
« Rappels toi que tu te trouve en filière héroïque. C'est tout à fait normal de finir envoyé à l'infirmerie. Je ne dis pas que le fait que tu perde le contrôle de ton alter soit une bonne choses, mais je compte sur toi pour te surpasser la prochaine fois et en tirer une leçon. »
« Mais, professeur Aizawa, je- »
« À moins que tu ne veuille réellement que je décide de te sanctionné par un renvoie temporaire, auquel cas je devrais faire de même avec tout tes autres camarades de classe puisque, de toute évidence, le risque zéro à un entraînement de futurs héros n'existe pas, je vais te laissé méditer et réfléchir aux points que tu dois améliorer pour progresser dans ton apprentissage. »
Sous le regard aiguiser et le ton sans appel que lui adressa son professeur principal, bien qu'éternellement une lichette mornes, Izuku, se sentant déjà mieux, ce poids dans son estomac toujours foutrement présent, il ocha frénétiquement la tête, le message étant passé. Il ne voulait surtout pas provoquer un renvoie, bien que temporaire, général de la classe. Son estomac se noua rien qu'à cette pensée
« Bien. »
*********
Izuku ne comprenait vraiment pas pourquoi il se sentait maussade, de mauvaise humeur, peu propice à des activités qui, d'ordinaire, lui faisait du bien. À peine il s'était senti fébrile d'excitation à l'annonce d'un nouveau documentaire sur All Might et sa récente retraire qui revenait sur les évènements de Kamino. Si ce n'était pas pue la merde ça ! Il avait juste une envie, à lui faire peur, de ne rien faire, de rester allongée sur son lit et contempler de toutes les façons possibles, et inimaginable, le plafond de sa chambre. Une activité fort contre productif et qui le ralentissait considérablement de son objectif. Mais il n'arrivait juste pas à faire autrement, de quoi le laisser totalement agacer envers sa propre personne. Une boule de ressentiment inexplicable s'était installé dans le fond de sa forge et lui faisait rageusement picoter le coin des yeux. Sérieux ! Il se sentait juste trop minable de ne rien faire, de rester là, d'être autant... Autant dans un putain de mauvais jour.
Un contrecoup de tout ce travail acharné, sûrement, à rester éveillé jusqu'à pas d'heure pour se faire engueuler par Katchan parce qu'il n'était pas foutue de terminer ses devoirs plus rapidement, à s'entraîner comme un fou furieux pour rattraper l'écart qui le maintenait aussi éloigner de ses autres camarades de classe, ayant chacun un alter qu'ils avaient su maîtriser depuis bien longtemps avant lui, à supporter le poids des responsabilités qu'être le porteur, l'héritier du One For All impliquait, les enjeux et les dangers allant avec, surtout depuis que le symbole de la paix avait déposé sa retraite, à toujours, toujours, toujours, toujours encore, faire en sorte de mettre à bien ses principes de futur héros, être disponible pour aider ses camarades, son entourage, les aider à avancer, à faire mieux, à toujours aller plus loin...
Il était pathétique, vraiment. Izuku se sentait faible, démuni, de ne pas pouvoir continuer et poursuivre ce qui lui avait toujours sembler simple à faire. Ça devrait être une putain de routine ! Une habitude d'une simplicité presque insultante. Il se devait d'être meilleur, de braver les limites, parce qu'il était élèves à UA quoi ! Toujours Plus Ultra ! Alors pourquoi ? Pourquoi, aujourd'hui, il n'arrivait tout simplement pas à faire aussi simple que de bouger de ce foutue lit, allonger comme une larve à l'existence quasi pitoyable ? Il se sentait pitoyable. Il était terriblement pitoyable. Ça faisait peine à voir, franchement.
Et sa dérivation dans la journée face à Ochaco n'arrangeait en rien son état. Il avait clairement merder.
Toujours le regard river sur le plafond, les pensées en vrac, Izuku n'entendit pas les premiers coup contre sa porte, pas avant que celles-ci ne deviennent plus brutes, pressés. Il aurait presque pue sourire face aux martèlements caractéristique du manque de patience et de délicatesse de son amie d'enfance. Il aurait pu s'il n'était pas sur le point de fondre en larmes à nouveau. Il n'avait même pas remarqué avoir pleurer, bon sang ! Izuku s'empressa d'ailleurs d'essuyer ses joues, en espérant que sa détresse ne soit pas trop flagrante, et para rapidement un sourire avant que le blond explosif ne venait a décider qu'il prenait trop son temps pour venir l'ouvrir et ainsi lui permettre de venir lui explosé la porte à la figure, auquel cas Izuku se sentirai profondément embêter.
« J'arrive, Katchan, j'arrive. »
Même sa voix manquait d'enthousiasme, constata t-il amèrement.
« Grouille toi, le nerd, j'ai pas que ça à foutre me taper la discut' avec ta putain de porte ! » maugréa Katchan, prenant visiblement son mal en patience pour ne pas avoir à en venir employer les grands moyens.
Mais Izuku ne lui donna pas ce plaisir, ouvrant la porte à la volée en lui adressant un vulgaire sourire qui devait plus se rapprocher de la grimace au vue de l'expression dubitatif de l'explosif, pas enrouler pour un sous. Bien que Katchan étant Katchan, il avait toujours cet air énervé coller au visage avec les sourcils formant une seule et même ligne. Ce qui donnait parfois un mélange assez surprenant qu'Izuku trouva irrémédiablement adorable.
« Salut- »
Le blond n'attendit pas d'être invité pour se frayer un passage entre Izuku et la porte, connaissant de toute façon le chemin à prendre pour qu'il vienne demander de l'aide. Izuku se sentit au passage être tirer dans sa chambre par la taille, une main chaude de Katchan le tenant fermement pour qu'il ne puisse pas tomber, le faisant lacher un minuscule cri de surprise qui lui traversa la trachée alors que la porte claqua derrière lui. Il sentit, pas la ensuite, son corps se faire jeter puis rebondir sur le lit dans un bruit étouffer de frottement de tissu, où il faillit avaler sa salive de travers. Le corps plus chaud de Katchan l'enlaça rapidement dans une étreinte aussi tendre que le blond en était capable, après que ce dernier vienne au préalable posé une assiette sur son bureau, sans doute de quoi le nourrir puisque Izuku n'avait pas sentit la force de dîner avec le reste de sa classe en revenant des cours, s'était directement diriger dans sa chambre pour broyé du noir.
Katchan coinça la tête d'Izuku dans le creux de son cou où le parfum de caramel brûlé et de gel douche au citron le frappa, et où des mèches blondes venaient lui chatouiller doucement le nez.
« Oh ! »
Il se passa quelques secondes durant lequel seul leurs respiration gouvernaient sur le silence de la quiétude que sa chambre leur offrait. Izuku ne l'avait pas remarqué, trop longtemps plonger dans sa propre tête pour y faire réellement attention, mais la pénombre avait gagné dans la pièce, ne laissant que les quelques lampadaires au dehors du dortoir et la lune pour les éclairé, alors même que la nuit remplaçait le jour. Il lâcha un long soupire, les yeux fermés, afin de savourer cette proximité fort en réconfort que Katchan lui offrait dans son étreinte. Il se sentait peut à peut apaiser, presque débarrassé de pensées parasites, retirant le voile qui semblait lui avoir obscurcit les sens toute la journée durant. Ce fut la voix un brins rauque de Katchan au dessus de sa tête, le museau sans doute enfouis dans sa chevelure sapin, qui venait troublé ce silence, arrachant à la volée quelques frissons à sa colonne vertébrale.
« Je te connais, sale nerd. » la voix de Katchan s'éleva à peine, soucieux de préserver cette bulle de tranquilité qui les enveloppait.
C'était sans doute vrais. Ils se connaissaient tout les deux depuis bien trop longtemps, chacun beaucoup trop présent dans la vie de l'autre pour que ce ne soit pas le cas. Et si Izuku savait déchiffrer chaques mimiques de ce visage brute, souvent déformer par les tiques nerveux, s'était forcément aussi le cas pour le blond qui pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert.
Une pensée qui arracha à Izuku un sourire bref.
Katchan ne disait rien de plus, n'avait pas besoin d'en dire plus. Ils se comprenait mieux que quiconque, même dans les silence les plus opaque. Izuku ocha tout simplement la tête, heureux et reconnaissant de la présence de son amoureux. Katchan n'était peut être pas le plus doué en mots de réconfort, mais il bataillait si fort pour qu'Izuku puisse le comprendre par n'importe quel geste, par n'importe quel frémissement de ses muscles, parce que son corps entier était doué de paroles, un language corporel qu'Izuku avait prit la peine d'apprendre, au gré du temps. Et Izuku percevait ainsi tout les signes d'amour, d'affection que le blond avait à son égard, beaucoup plus parlant que n'importe quel autre mots sur terre.
Un « Je suis putain de là aujourd'hui où tu te retrouve au plus bas, et je serai encore là lorsque le putain de bonheur te fera crever comme l'imbécile heureux que tu es. » communicatifs qui résonnait dans ce silence qui les entourait.
S'était peut être une mauvaise journée, comme il y en aura plein d'autres, un putain de jour sans, mais ce n'était pas grave, ils étaient maintenant deux pour l'affronter et toujours avancer. Et tant qu'ils seront ensemble, alors Izuku, même durant les moments de doutes, trouvera la force auprès de son univers, de son Katchan, pour se relever.
[2734 mots]
1 note
·
View note