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Que vaut la R36S




Test & Avis de la R36S – La petite console rétro qui veut jouer dans la cour des grands ! 🎮
Ah, la R36S… Une console portable rétro qui fait de l’œil aux amateurs de jeux old-school. Mais vaut-elle vraiment le coup ? Est-ce un petit bijou ou juste un gadget en plastique à oublier sur l’étagère ? Allez, attache ta ceinture, on va disséquer la bête avec un peu de fun et beaucoup d’honnêteté ! 😆
🔍 Déballage & Premières Impressions
À première vue, la R36S a un design plutôt sobre mais efficace. Plastique mat, prise en main agréable, format compact… Ça respire le sérieux, même si on n’est pas au niveau premium de certaines consoles concurrentes comme l’Anbernic RG351MP. Par contre, pas de Wi-Fi, pas de Bluetooth… Bon, on est clairement là pour jouer, pas pour chatter sur Discord !
💡 Note perso : On dirait un croisement entre une GBA et une PSP version budget. Pas moche, mais pas hyper sexy non plus.
🎨 Écran – Petit mais costaud ?
L’écran IPS de 3,5 pouces, en 640 x 480, est franchement bon pour du rétro-gaming. Couleurs vives, bon contraste, angles de vision larges… Ça fait le taf sans souci. En plus, il est en verre trempé, donc pas de stress si tu la jettes dans ton sac avec tes clés (même si, bon, évite quand même 😅).
✅ Points positifs :
✔ Bonne résolution pour du pixel art rétro
✔ Verre trempé anti-rayures
✔ Luminosité correcte
❌ Points négatifs :
✖ Taille un peu petite pour les gros doigts
✖ Pas de réglage avancé de l’affichage
🚀 Performances – Du rétro en toute fluidité ?
Le processeur RK3326 (quadricœur à 1,5 GHz) avec 1 Go de RAM… c’est du déjà-vu. Clairement, on est sur une config suffisante pour faire tourner la SNES, la GBA et même la PS1 sans broncher. Mais dès qu’on s’attaque à de la N64 ou de la Dreamcast… Aïe, ça rame. Certains jeux passent nickel, d’autres sont de vraies diapositives.
✅ Points positifs :
✔ Excellente fluidité sur 8-16 bits (NES, SNES, GBA, Mega Drive)
✔ PS1 tourne comme un charme
✔ 20+ émulateurs supportés
❌ Points négatifs :
✖ N64 et Dreamcast ? Ça passe… parfois… en soufflant sur la cartouche imaginaire
✖ Pas de Wi-Fi pour scraper automatiquement les jaquettes de jeux
🎮 Confort & Prise en main
Bonne surprise : les boutons sont réactifs, le D-pad est précis, et le stick analogique est agréable (même s’il fait un peu cheap). Par contre, les gâchettes L2/R2 sont mal placées pour les longues sessions… Ça finit par être un peu fatigant.
✅ Points positifs :
✔ Bonne ergonomie globale
✔ D-pad précis et agréable
✔ Stick analogique type Switch
❌ Points négatifs :
✖ Gâchettes L2/R2 trop petites
✖ Pas de double stick pour certains jeux PSP
🔋 Autonomie – Tiens bon la route, petite !
La batterie de 3 500 mAh assure environ 6 à 8 heures de jeu, ce qui est franchement pas mal. Bon, évidemment, si tu lances de la PSP ou de la Dreamcast, ça fond plus vite qu’une glace en plein été…
✅ Points positifs :
✔ Très bonne autonomie
✔ Recharge rapide en USB-C
❌ Points négatifs :
✖ Pas de veille automatique, donc attention à l’oubli !
✖ Câble USB un peu court dans le packaging
🎵 Son – De la puissance ou un son de casserole ?
Les haut-parleurs font le job, mais c’est pas un concert de rock non plus. Heureusement, y’a une prise jack (oui, ça existe encore !) pour brancher un casque et éviter d’avoir un son nasillard en pleine session de Chrono Trigger.
✅ Points positifs :
✔ Son correct pour une console portable
✔ Présence d’une prise casque
❌ Points négatifs :
✖ Haut-parleur un peu faiblard
✖ Pas de réglage avancé du son
📂 Stockage & Logiciels – Ça envoie du lourd ?
Avec 64 Go de base (+ slot microSD), tu as de quoi caser une belle bibliothèque de jeux rétro. En plus, ArkOS est une excellente interface, fluide et bien pensée. Pas besoin d’être un hacker pour ajouter des jeux, c’est du plug & play !
✅ Points positifs :
✔ Interface intuitive
✔ Préchargée avec des tonnes de jeux (selon les vendeurs…)
✔ Compatible avec Recalbox & Batocera
❌ Points négatifs :
✖ Pas de Wi-Fi pour télécharger directement des jeux
✖ Un peu de bidouillage pour certaines configs avancées
🔥 Verdict Final – Faut-il craquer pour la R36S ?
👉 Pour qui ?
Si tu cherches une console pas chère et efficace pour du rétro 8-16 bits et PS1, c’est un super choix.
Si tu veux jouer à la N64, Dreamcast ou PSP sans prise de tête, passe ton chemin (ou prends une console plus puissante comme la Retroid Pocket 3+).
🟢 Les +
✔ Excellent écran pour du rétro-gaming
✔ Bonne autonomie
✔ Prise en main agréable
✔ Compatible avec ArkOS et Batocera
✔ Très bon rapport qualité/prix
🔴 Les -
✖ Performances moyennes sur les consoles 3D avancées
✖ Gâchettes mal placées
✖ Son pas fou
✖ Pas de Wi-Fi
⭐ Ma Note : 7,5/10
Une bonne console pour qui veut du rétro accessible sans se ruiner, mais avec quelques limitations. Si t’aimes bidouiller et que tu veux optimiser tes émulateurs, elle a un bon potentiel ! Sinon, regarde peut-être du côté des modèles plus puissants. 😉
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Civilization : Une épopée vidéoludique, de 1991 à 2025
Ah, Civilization… Cette saga mythique qui a transformé des millions de joueurs en despotes bienveillants (ou tyrans sanguinaires, selon l’humeur et la quantité de café ingurgitée). Depuis 1991, Sid Meier et son équipe ont façonné l’un des piliers du jeu de stratégie au tour par tour. Mais comment sommes-nous passés de quelques pixels à des empires tentaculaires en 4K ? Et surtout, comment cette série est-elle parvenue à séduire aussi bien les vieux briscards du PC que les joueurs consoles ?
Accrochez vos ceintures (et vérifiez votre stock d’uranium), car nous allons remonter le fil du temps !
1991 : Sid Meier's Civilization – L'Origine du Mythe
Tout commence en 1991, dans un monde où les jeux vidéo sont encore jeunes. Sid Meier, déjà créateur de quelques succès, pose les bases d’un concept révolutionnaire : et si l’on pouvait bâtir une civilisation de zéro, traverser les âges et imposer notre vision du monde ?
Le premier Civilization est un jeu austère, à l’interface carrée et minimaliste, mais au potentiel infini. Entre diplomatie, guerre, expansion et gestion des ressources, les joueurs découvrent un bac à sable stratégique d’une richesse folle. Certes, les animations sont quasi inexistantes et l’IA a des lubies étranges (Gandhi, le pacifiste, devient une menace nucléaire incontrôlable !), mais le charme opère immédiatement.
1996 : Civilization II – L’Âge de Raison
Après le succès du premier opus, Civilization II débarque en 1996 avec une vraie refonte visuelle. L’interface devient plus lisible, la carte plus détaillée, et surtout, une nouvelle profondeur stratégique apparaît.
Ce qui marque aussi cette version, c’est l’arrivée des fameux conseillers. Vous souvenez-vous du conseiller militaire moustachu qui suggérait d’envahir tout le monde ? Ou du diplomate affolé qui vous suppliait d’éviter la guerre ? Un vrai sketch en soi !
2001 : Civilization III – Diplomatie et Ressources Stratégiques
Avec le passage au XXIe siècle, Civ III introduit un système de frontières culturelles et de ressources stratégiques, rendant la diplomatie encore plus importante. Impossible de bâtir une armée décente sans fer ou pétrole, obligeant les joueurs à marchander, menacer ou annexer leurs voisins.
C’est aussi à cette époque que la franchise commence à lorgner vers le grand public. Le gameplay se fluidifie, l’ergonomie s’améliore, et surtout… le jeu devient plus addictif que jamais.
2005 : Civilization IV – Le Passage à la 3D et le Pouvoir de la Religion
Là, on franchit un cap. Avec Civilization IV, les graphismes passent en 3D, et surtout, le jeu devient plus immersif. Les religions font leur apparition, influençant la diplomatie mondiale (et créant quelques tensions bien senties).
Mais s’il y a une chose qui reste en mémoire, c’est la musique ! Baba Yetu, le thème principal du jeu, devient la première musique de jeu vidéo à gagner un Grammy Award. Rien que ça.
2010 : Civilization V – Réinvention Stratégique et Premiers Pas sur Console
Le cinquième opus change les règles du jeu. Exit les cases carrées, bonjour les hexagones ! Ce changement semble anodin, mais en réalité, il révolutionne la stratégie militaire et territoriale. Les batailles sont plus tactiques, les villes-États apparaissent, et la gestion des unités devient cruciale (fini les "stacks of doom" de centaines de soldats sur une seule case !).
C’est aussi à ce moment-là que Civilization tente une percée sur consoles avec Civilization Revolution (sorti en 2008 sur Xbox 360, PS3 et DS). Ce spin-off simplifié vise à rendre la série plus accessible, avec un gameplay plus rapide et des graphismes cartoonesques. Une bonne idée ? Oui et non. Si certains apprécient la fluidité et l’accessibilité, les vétérans regrettent la profondeur du jeu PC.
2016 : Civilization VI – Un Empire en Expansion
Avec Civilization VI, la série embrasse un style graphique plus coloré et lisible. Mais surtout, le jeu innove en permettant aux villes de s’étendre sur plusieurs cases. Cela oblige à planifier minutieusement son empire, sous peine de se retrouver avec une Merveille du Monde coincée dans un coin ridicule.
Autre nouveauté : le retour du jeu sur consoles, avec une sortie tardive sur Switch en 2018, puis sur PS4 et Xbox One en 2019. Et là, surprise : le portage est réussi ! L’interface repensée et la jouabilité fluide permettent aux joueurs consoles d’enfin goûter au plaisir d’un vrai Civilization.
2025 : Civilization VII – La Révolution en Marche ?
Et nous voilà en 2025, avec Civilization VII fraîchement débarqué le 11 février. Ce nouvel opus marque une évolution majeure, en introduisant un système de progression par ères historiques dynamiques. Fini les transitions linéaires et prévisibles : chaque ère apporte son lot d’événements inédits, obligeant les joueurs à s’adapter en permanence.
Autre changement majeur : les leaders ne sont plus liés à une civilisation fixe. On peut désormais choisir sa nation et son dirigeant séparément, ouvrant la porte à des combinaisons inédites. Gengis Khan à la tête des Français ? Napoléon commandant les Aztèques ? Tout est possible !
Côté console, Civ VII est pensé dès le départ pour être aussi fluide sur PC que sur PS5 et Xbox Series X. L’interface tactile sur Switch et Steam Deck offre un confort de jeu inédit, tandis que le cross-play permet enfin aux joueurs de toutes plateformes de s’affronter.
L’accueil est globalement positif, même si certains regrettent une IA parfois encore perfectible et une difficulté légèrement revue à la baisse. Mais une chose est sûre : Civilization continue de régner sur le genre du 4X (eXplore, eXpand, eXploit, eXterminate).
Conclusion : Pourquoi Civilization Continue de Fasciner ?
Après plus de 30 ans, Civilization n’a rien perdu de son pouvoir d’attraction. Que l’on soit un joueur PC nostalgique du premier opus ou un nouvel empereur en herbe sur console, la série offre toujours cette magie unique : celle de voir son peuple évoluer, de survivre aux crises, de négocier des alliances improbables… et, bien sûr, de voir Gandhi nous déclarer la guerre nucléaire à la moindre occasion.
Alors, prêts à (re)conquérir le monde ?


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